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Sriwanthi Thilakarathne

Annexe III : Pollution et environnement


SOMMAIRE Notre
belle
planète
bleue vue
du ciel, la
Terre,
n'est plus
bleue
depuis
longtemp
s. Elle est
très
malade.
Malade
de la
pollution,
à cause
de
l'inconsci
ence, de
la
cupidité,
de
l'égoïsme
et
égalemen
t de la
bêtise des
hommes.
Notre
civilisatio
n
industriel
le et
notre
société de
(sur)cons
ommatio
n, en
même
temps
qu'elles
nous
assurent
un
certain
bien-être
matériel,
sont
Sriwanthi Thilakarathne
responsa
- Maitreya le Christ, Instructeur mondial
bles du
processus
- Source des informations sur la présence du Christ
, déjà
bien
- Pourquoi l'Instructeur mondial revient
entamé,
de
- Les opposants à Maitreya
dégradati
on de
- Savoir interpréter les événements
notre
environn
- Ceux qui veulent des signes les trouveront
ement
par les
- Les signes, ce sont aussi les apparitions, les miracles
substance
s
- Ceux qui sont au courant de la présence de Maitreya se taisent
chimique
s, de
- Pourquoi Maitreya ne s'est pas encore déclaré officiellement détériora
tion de
- Les dégâts du capitalisme et du libéralisme notre
santé par
- Le principe du partage ces
mêmes
- Les Maîtres et la Hiérarchie substance
s, de
- Les livres de Benjamin Creme destructi
on des
ANNEXES écosystè
mes, de
- Les forces du mal et la Bourse changem
ent
* Pour un nouvel ordre économique mondial climatiqu
e par
- Le problème de l'école et de l'éducation réchauffe
ment de
- Pollution et environnement l'atmosph
ère (d'où
* Pollution chimique généralisée (suite) tempêtes,
inondatio
* Grenelle de l'Environnement (suite et fin ns ou
sécheress
- Le problème de la santé es).

* La santé dans le monde (suite et fin) « Si


l'environn
- Appel aux médias (un article du Maître) ement
n'est pas
- Le droit à l'alimentation restauré
dans un
- Imminence de la manifestation publique de Maitreya très bref
délai, il
Sriwanthi Thilakarathne

- La réalité des ovnis : l'heure de la révélation n'y aura


pas de
nouvelle
civilisatio
n. Il n'y
aura plus
de
planète. Il
ne nous
reste plus
guère que
vingt ou
trente ans
pour
restaurer
sa santé »,
écrit
Benjamin
Creme,
qui
transmet
l'enseigne
ment des
Maîtres.
Ces
derniers
affirment
d'ailleurs
que la
majorité
des décès
est due à
la
pollution.
En
France,
par
exemple,
le nombre
de décès
provoqués
par le
cancer a
doublé
depuis la
Seconde
Guerre
mondiale.
En 2004,
on
dépassait
Sriwanthi Thilakarathne
déjà les
150 000
cas, dont
30 000
attribués
au tabac
et plus de
100 000 à
la
dégradatio
n de
l'environn
ement.

Pollution
de la
terre et
de l'eau
Dans ce lit de rivière au Mexique, cette eau polluée, devenue orange avec les produits chimiques
et les déchets miniers, est néanmoins pompée pour être consommée.
La
pollution :
c'est un
mot qui
commenc
e à faire
peur. En
réalité,
tout est
pollué : la
terre,
l'eau, l'air,
les
aliments
Les émissions de fumées de cette usine assombrissent le paysage, et rendent l'air irrespirable, que nous
tout en provoquant l'effet de serre à l'origine du réchauffement climatique. consomm
ons, et par
voie de
conséquen
ce nos
organisme
s. La terre
est
polluée,
entre
autres, par
l'usage
intensif
d'engrais
La déforestation prive notre planète d'un réservoir important d'oxygène. Moins de forêts, c'est chimiques
plus de gaz carbonique qui reste dans l'air, parce qu'il ne pourra être absorbé. dont on
retrouve
Sriwanthi Thilakarathne
des traces
de
composan
ts dans les
productio
ns
agricoles,
mais pas
seulement
. En effet,
ces
engrais
La pollution chimique met la faune en péril. Depuis une dizaine d'années, on a constaté une pénètrent
diminution importante de nombreuses espèces d'oiseaux. profondé
ment dans
le sol par
infiltratio
n, et
parvienne
nt
jusqu'aux
nappes
phréatique
s. Par
ruissellem
ent, ils
peuvent
également
être
entraînés,
en partie,
jusqu'aux
cours
d'eau.
Mais le
purin et le
lisier,
utilisés
comme
engrais,
sont eux
aussi
susceptibl
es de
contamine
r les
rivières,
les eaux
littorales.
Ainsi,
l'eau que
Sriwanthi Thilakarathne
nous
buvons,
malgré les
nombreux
traitement
s
« sanitaire

(chimique
s) qu'elle
subit, peut
encore
contenir
des
substance
s issues de
ces
engrais,
mais
également
comporter
des traces
de métaux
lourds,
comme le
plomb, le
mercure
ou
d'autres
métaux
utilisés
dans
l'industrie,
tous
hautement
cancérigè
nes.

Les eaux
des mers,
des
océans,
des
fleuves
sont elles
aussi
polluées
par les
métaux
lourds, les
hydrocarb
Sriwanthi Thilakarathne
ures, les
substance
s
chimiques
et déchets
de toutes
sortes, les
mêmes
qu'on
trouve sur
terre. Des
poissons
sont alors
contaminé
s, des
écosystèm
es
fragilisés
ou
détruits.
Ainsi, la
pêche
dans le
Rhône, de
Lyon à la
Méditerra
née, est
depuis
peu
totalement
interdite.
On a
retrouvé
dans les
eaux du
fleuve et
dans la
chair des
poissons
qui le
peuplent
un taux
particulièr
ement
élevé de
PCB (le
nom
scientifiqu
e du
pyralène).
L'usage
Sriwanthi Thilakarathne
de cette
huile
synthétiqu
e, à fort
dégageme
nt de
dioxine
(très
toxique),
présente
dans les
anciens
transform
ateurs
électrique
s d'EDF,
mais
également
ailleurs,
est
pourtant
interdit en
France
depuis 20
ans. En
réalité, la
pollution
est
ancienne,
et les
autorités
sanitaires
étaient au
courant.
D'autres
fleuves en
France
sont
également
concernés
par cette
contamina
tion au
pyralène
(voir
photo,
page 19,
dans
"Grenelle
de
l'Environn
Sriwanthi Thilakarathne
ement").

Les
ravages
causés
dans les
mers et
les océans
par la
pollution
chimique
sont
d'ordre
très
divers,
avec
parfois
des effets
inattendus
. Ainsi,
sur la
banquise
du
Groenland
, elle-
même
polluée,
on a
découvert
des ours
polaires
hermaphr
odites,
ailleurs
des
poissons
présentant
les mêmes
anomalies
sexuelles.
La
contamina
tion par
des
matières
polluantes
est
capable
de
perturber
le système
Sriwanthi Thilakarathne
hormonal
des
animaux
et
d'entraîner
des
malformat
ions
sexuelles.
Nous
verrons
un peu
plus loin
que le
même
phénomèn
e peut se
rencontrer
chez
l'homme.

Pollution
de l'air
extérieur

La
pollution,
c'est aussi
et surtout
celle de
l'air que
nous
respirons
dans nos
villes,
mais
également
dans nos
campagne
s. À cet
air pollué
par le CO²
s'ajoutent
souvent
les
émanation
s
chimiques
de
« surodor
ants ou
Sriwanthi Thilakarathne
désodoris
ants »,
destinés à
masquer
les
mauvaises
odeurs,
déversés
dans les
égouts et
les
caniveaux
par
nombre
de
municipal
ités, qui
pratiquent
également
le
nettoyage
des rues et
des
trottoirs
avec des
lances
répandant
de l'eau
additionné
e de
produits
chimiques
, dits
« désinfec
tants ». Il
faut
savoir que
ces
désodoris
ants et
désinfecta
nts
contienne
nt
généralem
ent de
l'alcool et
du
carbure
terpénique
s, dérivés
Sriwanthi Thilakarathne
directeme
nt du
pétrole (et
non de
végétaux,
contraire
ment à ce
que
prétendent
certains
services
municipau
x). Ces
composan
ts, qui
dégagent
des
odeurs,
peuvent
provoquer
- et
provoque
nt - des
allergies
chez de
nombreux
sujets plus
ou moins
sensibles.
Sans que
ces
derniers
en sachent
d'ailleurs
l'origine !
Va-t-on
nous faire
croire que
pour
assurer la
salubrité
publique
dans une
ville on
est obligé
de
répandre
des
substance
s
chimiques
Sriwanthi Thilakarathne
à tout va ?
Mais une
chose est
certaine :
l'opération
est très
rentable
pour
l'industrie
chimique,
qui écoule
sa
productio
n, et
l'entrepris
e d' «
assainisse
ment »
qui réalise
la
prestation
! Il ne faut
surtout
pas croire
que toutes
les
substance
s
synthétiqu
es,
utilisées
couramme
nt à usage
dit
« sanitaire
», sont
inoffensiv
es pour
les
organisme
s
humains,
selon la
thèse défe
ndue par
les
industriels
eux-
mêmes,
dont
certains
Sriwanthi Thilakarathne
n'ont que
faire de la
santé
publique !

Quand on
parle de
pollution
de l'air, il
est
évident
qu'on
pense plus
volontiers
aux gaz
d'échappe
ment des
voitures et
des poids
lourds
dont le
nombre
est partout
en
augmentat
ion
constante,
aux
fumées
noires des
usines,
aux
dégageme
nts
toxiques
des
incinérate
urs, à la
combustio
n du
pétrole et
des
produits
fossiles,
mais
également
aux
incendies
de forêts,
qui tous
déversent
Sriwanthi Thilakarathne
chaque
année
dans
l'atmosph
ère des
milliards
de tonnes
de
carbone,
de CO²
(dioxyde
de
carbone,
synonyme
de gaz
carboniqu
e). Ce gaz
est le
principal
responsab
le de ce
que l'on
appelle
l'effet de
serre, qui
provoque
le
réchauffe
ment du
climat.
L'empoiso
nnement
de
l'atmosph
ère, c'est
aussi les
pluies
acides
produites
par le
rejet
d'oxydes
de soufre
et d'azote
dans l'air,
dont on
accuse les
chaudière
s
industriell
es et les
Sriwanthi Thilakarathne
fours
d'affinage.
Ces gaz
transporté
s par les
vents
retombent
en
dilutions
acides
(sulfuriqu
e et
nitrique)
dans les
océans, et
mettent en
danger
nombre
d'organis
mes
marins,
parmi
lesquels
les
coraux.
La chimie
des
océans
étant
modifiée -
déjà par
les autres
sources de
pollution
dont on a
fait état
ci-dessus
-, ils
deviennen
t de moins
en moins
capables
d'absorber
le gaz
carboniqu
e de
l'atmosph
ère. Ce
phénomèn
e est
grave,
Sriwanthi Thilakarathne
puisque
dans le
même
temps des
forêts
entières,
immenses
réservoirs
d'oxygène
, pouvant
elles aussi
absorber
une bonne
partie du
CO²
présent
dans
l'atmosph
ère, sont
détruites.

Les gaz à
effet de
serre ont
provoqué
depuis le
début de
l'ère
industriell
e une
augmentat
ion de la
températu
re de plus
de 1° C.
Une
preuve
évidente
de ce
réchauffe
ment est
apportée
par la
fonte des
glaciers,
qui
s'accentue
d'une
année à
l'autre.
Or, des
Sriwanthi Thilakarathne
populatio
ns
entières
sont
dépendant
es de l'eau
provenant
des
glaciers
pour leur
agricultur
e et leur
industrie.
Qu'advien
dra-t-il
d'elles ?

Une
conférenc
e des
Nations
Unies
s'est tenue
à Rio, en
1992,
réunissant
des pays
industriali
sés pour
discuter
d'un
objectif -
non
contraigna
nt - de
diminutio
n des
émissions
dans
l'atmosph
ère des
gaz à effet
de serre.
On en est
resté aux
déclaratio
ns
d'intention
. En 1997,
cinq ans
après, les
Sriwanthi Thilakarathne
émissions
de gaz
continuant
d'augment
er, une
nouvelle
réunion
sur le
sujet s'est
tenue à
Kyoto, au
Japon. Un
protocole
a été
signé, qui
se voulait
cette fois
contraigna
nt pour les
nations
adhérente
s.
Malheure
usement,
il n'a été
ratifié ni
par les
États-Unis
ni par la
Chine, les
deux plus
gros
pollueurs
de la
planète.
Quant aux
signataire
s, eux, ont

s'engager
à réduire
d'ici à
2012 leurs
émissions
de gaz à
effet de
serre de 5,
2 % au-
dessous
des
niveaux
Sriwanthi Thilakarathne
de 1990.
La Russie,
qui n'avait
pas ratifié
le traité à
l'époque,
l'a fait
entre-
temps. Le
quorum
étant
désormais
atteint,
rien ne
s'oppose
plus
maintenan
t à ce que
les États,
qui se
sont
engagés
dans cette
voie,
prennent
leur
responsab
ilité.

Si l'air
extérieur
est pollué
par
l'énorme
dégageme
nt de CO²,
il l'est
également
par
l'épandage
de tonnes
d'insectici
des, de
pesticides,
d'herbicid
es, de
fongicides
, en usage
courant et
massif
dans
Sriwanthi Thilakarathne
l'agricultu
re,
intensive
ou non.
Ces
substance
s, souvent
hautement
toxiques,
dégagent
des
émanation
s
dangereus
es pour la
santé
humaine,
en même
temps
qu'elles
empoison
nent la
faune et la
flore.
(Suite de
l'article :
page
suivante).
Sriwanthi Thilakarathne
ANNEX
ES :

(Cliquez
ci-
dessous)

I) Les
forces du
mal et la
Bourse

* Pour
un
nouvel
ordre
économi
que
mondial

II) Le
problèm
e de
l'école et
de
l'éducati
on

III)
Pollution
et
environn
ement

*
Pollution
chimiqu
e
généralis
ée (suite)

*
Grenelle
de
l'Enviro
nnement
(suite et
fin)

IV) Le
problèm
Sriwanthi Thilakarathne
e de la
santé

* La
santé
dans le
monde
(suite et
fin)

V) Appel
aux
médias
(un
article
du
Maître)

VI) Le
droit à
l'aliment
ation

VII)
Imminen
ce de la
manifest
ation
publique
de
Maitrey
a

VIII) La
réalité
des ovnis
: l'heure
de la
révélatio
n

PA PA
GE GE
PRÉ SU
CÉ IV
DE AN
NTE TE
RET HA
Sriwanthi Thilakarathne
OU UT
R DE
ACC PA
UEI GE
L
Sriwanthi Thilakarathne

Pollution de l'air extérieur

La pollution, c'est aussi et surtout celle de l'air que nous respirons dans nos villes, mais également dans nos campagnes. À
cet air pollué par le CO² s'ajoutent souvent les émanations chimiques de « surodorants ou désodorisants », destinés à
masquer les mauvaises odeurs, déversés dans les égouts et les caniveaux par nombre de municipalités, qui pratiquent
également le nettoyage des rues et des trottoirs avec des lances répandant de l'eau additionnée de produits chimiques,
dits « désinfectants ». Il faut savoir que ces désodorisants et désinfectants contiennent généralement de l'alcool et du
carbure terpéniques, dérivés directement du pétrole (et non de végétaux, contrairement à ce que prétendent certains
services municipaux). Ces composants, qui dégagent des odeurs, peuvent provoquer - et provoquent - des allergies chez de
nombreux sujets plus ou moins sensibles. Sans que ces derniers en sachent d'ailleurs l'origine ! Va-t-on nous faire croire
que pour assurer la salubrité publique dans une ville on est obligé de répandre des substances chimiques à tout va ? Mais
une chose est certaine : l'opération est très rentable pour l'industrie chimique, qui écoule sa production, et l'entreprise d' «
assainissement » qui réalise la prestation ! Il ne faut surtout pas croire que toutes les substances synthétiques, utilisées
couramment à usage dit « sanitaire », sont inoffensives pour les organismes humains, selon la thèse défendue par les
industriels eux-mêmes, dont certains n'ont que faire de la santé publique !

Quand on parle de pollution de l'air, il est évident qu'on pense plus volontiers aux gaz d'échappement des voitures et des
poids lourds dont le nombre est partout en augmentation constante, aux fumées noires des usines, aux dégagements
toxiques des incinérateurs, à la combustion du pétrole et des produits fossiles, mais également aux incendies de forêts, qui
tous déversent chaque année dans l'atmosphère des milliards de tonnes de carbone, de CO² (dioxyde de carbone,
synonyme de gaz carbonique). Ce gaz est le principal responsable de ce que l'on appelle l'effet de serre, qui provoque le
réchauffement du climat. L'empoisonnement de l'atmosphère, c'est aussi les pluies acides produites par le rejet d'oxydes
de soufre et d'azote dans l'air, dont on accuse les chaudières industrielles et les fours d'affinage. Ces gaz transportés par les
vents retombent en dilutions acides (sulfurique et nitrique) dans les océans, et mettent en danger nombre d'organismes
marins, parmi lesquels les coraux. La chimie des océans étant modifiée - déjà par les autres sources de pollution dont on a
fait état ci-dessus -, ils deviennent de moins en moins capables d'absorber le gaz carbonique de l'atmosphère. Ce
phénomène est grave, puisque dans le même temps des forêts entières, immenses réservoirs d'oxygène, pouvant elles
aussi absorber une bonne partie du CO² présent dans l'atmosphère, sont détruites.

Les gaz à effet de serre ont provoqué depuis le début de l'ère industrielle une augmentation de la température de plus de
1° C. Une preuve évidente de ce réchauffement est apportée par la fonte des glaciers, qui s'accentue d'une année à l'autre.
Or, des populations entières sont dépendantes de l'eau provenant des glaciers pour leur agriculture et leur industrie.
Qu'adviendra-t-il d'elles ?

Une conférence des Nations Unies s'est tenue à Rio, en 1992, réunissant des pays industrialisés pour discuter d'un objectif -
non contraignant - de diminution des émissions dans l'atmosphère des gaz à effet de serre. On en est resté aux déclarations
d'intention. En 1997, cinq ans après, les émissions de gaz continuant d'augmenter, une nouvelle réunion sur le sujet s'est
tenue à Kyoto, au Japon. Un protocole a été signé, qui se voulait cette fois contraignant pour les nations adhérentes.
Sriwanthi Thilakarathne
Malheureusement, il n'a été ratifié ni par les États-Unis ni par la Chine, les deux plus gros pollueurs de la planète. Quant
aux signataires, eux, ont dû s'engager à réduire d'ici à 2012 leurs émissions de gaz à effet de serre de 5, 2 % au-dessous des
niveaux de 1990. La Russie, qui n'avait pas ratifié le traité à l'époque, l'a fait entre-temps. Le quorum étant désormais
atteint, rien ne s'oppose plus maintenant à ce que les États, qui se sont engagés dans cette voie, prennent leur
responsabilité.

Si l'air extérieur est pollué par l'énorme dégagement de CO², il l'est également par l'épandage de tonnes d'insecticides, de
pesticides, d'herbicides, de fongicides, en usage courant et massif dans l'agriculture, intensive ou non. Ces substances,
souvent hautement toxiques, dégagent des émanations dangereuses pour la santé humaine, en même temps qu'elles
empoisonnent la faune et la flore.

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