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Forme

Rapport de la BCT

Pour la première actualité la manière d’introduire les actualités


On a choisi de parler…
Un lien qu’on retrouve entre l’actulalité BCT et BERD perspective
L’introduction aussi de la loi de finance complémentaire

Le bilan draghi

Code couleur et identité visuelle respectée

La diapo 4 on remarque qu’il y un manque d’alignement qui peut induire en erreur

Couleur qui change au niveau de la diapos 9

Une phrase diapos 17 le dernier trimestre est statistiquement

Fond
Pertinence de lIPO
Atteinte de nouveaux sommets à la bourse de wallstreet
3*******************************************************************
Des biais comportementaux ?

Je n’ai pas compris comment l’indice de confiance des investisseurs baissent alors que le la
performance de la bourse continue
Thomas Cook racheté par le géant
chinois du tourisme « Fosun »
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Le groupe chinois Fosun a annoncé vendredi l’acquisition de la marque Thomas
Cook pour 13 millions d’euros. Et ce, plus d’un mois après la faillite du voyagiste
britannique.

Fosun explique que Thomas Cook est l’une des marques de tourisme les plus connues au
monde. La transaction prévoit également l’achat d’autres droits de propriété intellectuelle
comme les comptes des réseaux sociaux.

L’entreprise chinoise, déjà propriétaire du Club Med, avait prévu de prendre une
participation majoritaire dans l’activité de tour-opérateur de Thomas Cook, mais ce plan
de sauvetage n’a pas pu aller à son terme et le voyagiste a fini par être liquidé du jour au
lendemain le 23 septembre, à court de liquidités.

La transaction ne précise pas si la somme du rachat va être, en partie, utilisée pour payer
les créanciers du voyagiste, dont, notamment, les hôtels tunisiens.
Tunisie – La réduction du déficit de la
balance commerciale avec la Turquie et
la Chine pourrait rembourser la dette
extérieure du pays

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Selon les chiffres et les indicateurs publiés dernièrement par la Banque Centrale de Tunisie,
la dette extérieur a atteint, jusqu’à fin octobre dernier, la somme de 7974 millions de
dinars.

Par ailleurs, l’INS a publié dans son bulletin périodique que si la balance commerciale du
pays était assez bien équilibrée avec plusieurs pays, elle restait très largement déficitaire
avec la Turquie et la Chine qui totalisent à elles deux des déficits de 6970 millions de
dinars, soit l’équivalent de 87.4% du volume total de la dette extérieure du pays.

Sachant, en outre, que tous les produits importés de Turquie et de Chine sont superflus et
n’ont aucune nécessité vitale et qu’elles ont causé la ruine de nombreux secteurs
industriels, essentiellement, des PME.
Les émissions de CO2 des pays du G20 ont augmenté dans tous les secteurs de leur
économie en 2018, signale un rapport de Climate Transparency, un collectif de
centres de recherche et de réflexion sur le climat associé au groupe Banque
mondiale.
Les vingt pays les plus avancés économiquement tardent à contenir leurs émissions
de CO2. Elles « augmentent dans tous les secteurs », s’alarme Climate
Transparency, « Le découplage entre la croissance économique et celle des rejets
de carbone ne s’est pas complètement réalisé », observent les experts dans leur
dernier rapport, dévoilé lundi. Le fait que la plupart de ces Etats soient en passe de
remplir leur contrat, c’est-à-dire tenir les engagements de réduction pris devant les
Nations unies en 2015, peu avant la conclusion de l’Accord de Paris, ne change rien
à l’affaire. Ces efforts nationaux ou INDCs (Intended Nationally Determined
Contributions) ne permettront pas d’être à 1,5 degré de réchauffement en 2100, et
il importe plus que jamais d’engager leur révision pour être prêt, en 2020, à
l’échéance fixée. Le poids des responsabilités qui pèsent sur les pays du G20 est
énorme. Pas moins de 80 % du CO2 renvoyé chaque année dans l’atmosphère leur
est imputable. Leurs émissions de gaz à effet de serre (GES), celles que déclenchent
ces fuites massives de carbone, doivent impérativement diminuer de 45 % en 2030
(par rapport aux niveaux de010). Ce n’est pas encore le chemin qui est pris. Alors
qu’ils doivent commencer à se stabiliser, les rejets de carbone dus à l’énergie ont
augmenté de 1,8 % l’an dernier, indiquent les auteurs du « Brown to Green Report
2019 ».
La raison ?
Croissance économique oblige, la production de ces matières premières fossiles
que sont le gaz, le pétrole et le charbon est repartie à la hausse dans neuf pays du
G20 : Australie, Canada, Chine, Inde, Indonésie, Russie, Afrique du Sud, Corée du
Sud, Etats-Unis. Conséquence, l’intensité carbone du secteur énergétique n’a que
très légèrement faibli. Le mix énergétique des pays du G20 est encore constitué à
82 % de combustibles fossiles (pétrole, gaz, charbon). C’est encore très loin des 67
% à atteindre en 2030 (puis 33 % en 2050). « L’Indonésie et la Turquie brûlent plus
de charbon que jamais pour produire de l’électricité », s’alarme notamment l’étude
en invitant ces deux pays, ainsi que l’Afrique du Sud, à cesser de construire de
nouvelles centrales. En revanche, les volumes de CO2 rejetés par la France, le Brésil
et le Royaume-Uni pour produire de l’électricité « ont considérablement diminué
en 2018 »

La France et huit pays européens veulent une taxe CO2 sur les billets d’avion

La BCE a acheté près de 3 milliards d’euros d’obligations d’entreprise en une semaine

Pour sa première semaine complète depuis la reprise de son programme d’achat


d’actifs, la BCE a inondé de liquidités le marché des obligations d’entreprise. Elle en
a acquis près de 3 milliards d’euros, son deuxième plus gros volume hebdomadaire
depuis 2016 soit 2,8 milliards d’euros d’obligations d’entreprise en une semaine.
La Banque centrale européenne (BCE) a frappé fort pour marquer le retour de son
programme d’achat d’actifs (QE), destiné à faire baisser le coût du crédit et soutenir
ainsi l’économie européenne.
Beaucoup s’attendaient à ce que la BCE se montre plus active sur le marché de la
dette d’entreprise que lors de la première phase de ses achats d’obligations
interrompue en décembre 2018. L’institut d’émission dispose en effet de peu de
marges de manœuvre sur les obligations d’Etat européennes, car il est déjà près de
la limite de détention d’un tiers des titres qu’il s’est fixée. Il était donc logique que
les obligations d’entreprise prennent une plus grande part de l’enveloppe de 20
milliards d’euros que la BCE consacre désormais chaque mois à ses achats. Mais le
consensus tournait plutôt autour de 15 %, soit 3 milliards par mois. Parmi les
nouveaux titres achetés par la banque centrale sur le marché secondaire, on trouve
les obligations d’Autoroute du Sud de la France, d’Aéroports de Paris,
d’UnibailRodamco, d’Engie ou de Dassault Systèmes. Même s’il n’est pas encore
certain que la BCE maintienne un rythme aussi soutenu sur la durée, elle semble
déterminer à soutenir le marché du crédit européen. De quoi dynamiser encore plus
un marché primaire qui a vu les émissions obligataires progresser de 27 % sur les
11 premiers mois de l’année.

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