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RAPPORT
Réalisé par :
ABOUK Aiman GSM
BERRADA FATHI Youssef PIP
EL MORABTI Youssef GSM
GOULHIANE Hamza PIP
JADI Hamza PIP
1. Introduction.
2. Procédés de soudure.
3. Traitement thermique.
4. Le cordon de soudure.
5. Température de préchauffage et temps de refroidissement.
6. Cycle thermique du soudage.
7. Conclusion.
Introduction
Parmi les procédés de mise en œuvre des matériaux métalliques, le soudage se situe en
première position. En effet, une grande partie des objets manufacturés qui nous entourent
font appel à des technologies d'assemblage par soudage pour leur réalisation.
Le soudage est l’un des procédés majeurs d’assemblage de la Mécanique. Il est présent
dans l’ensemble des secteurs industriels :
Le rôle principal de la métallurgie du soudage est donc de connaître la façon dont évolue
la structure métallurgique d’un matériau au soudage, dans le but évident de maîtriser les
propriétés d’une soudure
Procédés de soudure
Il y a plusieurs moyens pour obtenir la continuité métallique. Dans la majorité des cas, elle
est obtenue par fusion locale. Elle peut aussi être obtenus par diffusion, déformation, ...Les
procédés de soudage sont nombreux et peuvent être classés suivant la façon de transférer
l'énergie.
Avec l'un de ces procédés, le soudeur pourra assembler deux pièces dont la matière est
identique ou différente. Assemblages homogènes ou hétérogènes.
a- Soudure à l'arc :
La soudure à l'arc * (électrode enrobée) utilise des baguettes comme métal d’apport.
La soudure à l'arc (électrode enrobée) * consiste à fondre l'acier des pièces à souder et
de les assembler grâce à un apport de métal (électrode).
La fusion est obtenue par une température très élevée (plus ou moins 3200°C) qui est
obtenue par arc électrique entre la pièce à souder et l'électrode. L'arc électrique est une
sorte d'"éclair" de très forte puissance qui dégage à la fois une lumière, une énergie et une
chaleur intense.
L'électrode fond dans le bain de fusion formant ainsi la soudure, l’enrobage de
l’électrode (laitier) fond à la température de l’arc et protège la soudure contre l’oxydation.
b- Soudure au chalumeau :
Le soudage chalumeau (oxyacétylénique) est un procédé d’assemblage thermique qui
s’applique aux tôles et aux tubes de même matière dont l’épaisseur reste inférieure ou égale à
2 mm.
La soudure se déroule de la manière suivante :
Il y a le mélange deux gaz, l’oxygène et l’acétylène. Ensuite ce mélange est enflammé et il
permet, après un réglage correct de souder. La soudure en elle-même est obtenue après que
le métal à souder soit porté à fusion. On apporte ensuite le métal d'apport nécessaire à une
soudure de qualité.
1-Manomètre
2-Bouteille d'oxygène
3-Bouteille d'acétylène
4-Chariot de transport
5-Buses
6-Chalumeau
7-Raccord anti-retour
c-Soudure TIG :
Le soudage TIG est un procédé de soudage à l'arc avec une électrode non fusible, en
présence d'un métal d'apport si besoin. TIG est un acronyme de Tungsten Inert Gas, où
Tungsten (Tungstène) désigne l'électrode et Inert Gas (Gaz inerte) le type de gaz plasmagène
utilisé. L'arc électrique se crée entre l'électrode et la pièce à souder qui est protégée par un
gaz ou d'un mélange de gaz rares tels que l'argon et l'hélium. De fait, l’arc électrique
remplace la flamme du chalumeau traditionnel. La soudure à l’arc s’appuie sur l’élévation de
la température des pièces à assembler jusqu'au point de fusion grâce au passage d’un
courant électrique alternatif ou continu1.
La soudure TIG est une soudure de qualité, avec la possibilité de souder les faibles
épaisseurs, un arc stable. Elle nécessite une dextérité particulière du soudeur2.
L'aéronautique
L'automobile
La tuyauterie industrielle L'agro-alimentaire d-Soudure MIG-MAG :
Les acronymes MIG et MAG signifient respectivement Metal inert gas et Metal active
gas. La différence entre les deux procédés tient à la composition du gaz. Le procédé MIG
utilise un gaz neutre qui ne réagit pas avec le métal fondu (argon ou argon + hélium),
contrairement au procédé MAG (mélange d'argon avec du dioxyde de carbone et de
l'hydrogène en proportions variables selon les métaux à souder). Le gaz est injecté en continu
sur l'arc afin d'isoler complètement le métal en fusion de l'air ambiant.
La soudure MIG * est un procédé de soudage très utilisé de nos jours. Pour ce
procédé, un arc électrique est obtenu entre la pièce à souder et le fil d’apport. Lorsque l’arc
est obtenu, on fait dérouler (dévider) ce fil d’apport à vitesse régulière dans le bain de fusion
généré par la puissante énergie de l'arc. On réalise un cordon de soudure par mélange du
métal d’apport et du métal de base, en fusion pendant la fusion. Il est réalisé sous protection
gazeuse.
a) Torche
c) Buse
d) Tube contact
e) Gaz protecteur
f) Fil d'apport
h) Cordon de soudure
Le soudage par points est un procédé de soudage par résistance. On superpose deux
métaux à assembler et on les serre entre 2 électrodes. Une énergie calorifique est générée
entre les électrodes, ce qui provoque la fusion des pièces sur la surface serrée. La soudure
s'exécute après serrage de ces électrodes pendant la fusion. Les pièces s'assemblent de cette
façon.
Un système génère et concentre l'énergie d'un faisceau laser, de 105 W/cm² à 106 W/cm²
environ :
1) Le faisceau laser est de l'épaisseur d'un cheveu (capillaire) dans lequel le métal est
porté jusqu'à son point de vaporisation au centre et au niveau liquide sur ses parois. Le bain
de fusion est déplacé mécaniquement pour la précision du soudage.
2) Une fois solidifié à nouveau après le passage du faisceau, le métal assure la continuité
métallurgique entre les pièces soudées rendant la soudure invisible à l'œil nu.
La norme ISO 857définit les procédés de soudage. La norme ISO 4063 définit la
nomenclature et la numérotation des procédés. Le tableau 1.1 donne des exemples de
numérotation des procédés de soudage. Les désignations numériques figurent sur les dessins
(norme ISO 2553) ou les qualifications des modes opératoires de soudage(QMOS) (norme EN
ISO 15614-1).
Tableau 1.1Numérotation de quelques procédés de soudage par fusion (norme ISO 4063)
Traitement thermique
Laminage :
Le laminage créé un fibrage dans les matériaux et il en résultera des caractéristiques
mécaniques différentes selon "le sens de laminage". Le laminage est un procédé de fabrication
par déformation plastique. Il concerne différents matériaux comme du métal ou tout autre
matériau sous forme pâteuse comme le papier ou les pâtes alimentaires. Cette déformation est
obtenue par compression continue au passage entre deux cylindres contrarotatifs appelés
laminoir.
Ecrouissage :
C'est une déformation à froid, qui modifiera la structure par défauts d'empilement des atomes,
c'est la dislocation. Il correspond à un état hors équilibre, mais accroît la résistance et réduit la
capacité de déformation et donc de la résilience. Avec des propriétés anisotropes.
L'écrouissage correspond aux modifications que subit le métal lorsque les contraintes qui lui
sont appliquées sont suffisamment fortes pour provoquer des déformations plastiques,
permanentes.
La seule différence dans les traitements thermiques volumiques est le temps de descente à la
température ambiante.
-Surchauffe : si on porte l'acier à haute température pendant un temps suffisant (par exemple
5 secondes au-dessus de 1100°C) il en résultera un grossissement des grains proportionnel au
niveau de température atteinte et à la durée de maintien à haute température.
L'austénite doit néanmoins se transformer car elle n'existe pas à l'état d'équilibre à
température ambiante dans un acier non allié. Il en résulte la naissance d'une solution solide
et désordonnée appelée martensite, où cohabitent par obligation le fer et le carbone. La
martensite est un constituant hors équilibre, non stable. La cohabitation obligée du fer et du
carbone y fait régner des contraintes intenses. La martensite est dure et fragile.
-Revenu
Après une Trempe martensitique, un acier réchauffé en dessous de la température
d'austénisation (en dessous de 727°C) subit un phénomène de revenu. Sous l'effet de la
température, la diffusion s'active. La "séparation" du fer et du carbone qui n'avait pas pu se
produire durant la trempe se réalise au court du revenu. Il en résulte une transformation
progressive de la martensite en ferrite et cémentite.
Le
cordon de soudure
a) Type de joint :
Il existe cinq principaux types de soudures différentes, chacune ayant ses particularités qui
répondent à différents besoin bien précis.
Joint bout-à-bout : La soudure bout-à-bout est la plus courante et la plus facile à utiliser. C’est
la méthode universellement utilisée pour joindre deux sections d’un même tuyau, ainsi que des
brides, vannes … Toutefois, elle ne peut être employée pour joindre des matériaux d’une
épaisseur de plus de 3/16’’.
Joint d’angle : C’est un joint entre deux pièces métalliques disposées à un angle droit pour
former un L. Il est le plus souvent utilisé pour souder des feuilles de métal et est exécuté sur le
bord extérieur de la pièce.
Joint avec bords relevés : C’est un type soudure à rainure qui fait de deux pièces placées
côte à côte et soudées sur le même côté. Il est utilisé pour réunir deux pièces adjacentes avec
des rebords incurvés.
Joint à recouvrement : Il se forme lorsque deux pièces sont placées une par-dessus l’autre et
se chevauchant sur une certaine distance le long du bord. C’est la méthode la plus utilisée pour
joindre des pièces d’épaisseur différente. C’est aussi un autre type de soudure filetée.
Joint en T : Il est formé lorsque les deux pièces se croisent à un angle de 90°, faisant en sorte
que les bords se réunissent au centre d’une composante ou d’une plaque. C’est aussi un autre
type de soudure filetée.
c)
Joint soudé :
Les différentes zones du joint soudé sur la macrographie d’une section transversale d’un joint
soudé, on distingue les zones suivantes :
• Zone fondue : C’est la zone durant l’opération de soudage où l’état liquide a été obtenu
qu’il y ait eu ou non apport de métal.
• Zone de liaison : C’est la frontière entre le métal fondu et le métal de base non fondu •
Zone affectée thermiquement : Elle concerne le métal de base qui n’a pas fondu mais qui a
subi des modifications de structure (grosseur des grains) ou physico-chimiques (natures et
proportions des constituants).
• Métal de base : Le métal de base est la zone qui n’a pas été affectée par l’opération de
soudage du point de vue des modifications physico-chimiques. Par contre cette zone peut être
le siège de contraintes et de déformations.
Cette zone subit une épitaxie. Le métal de la zone fondue est caractérisé par une structure de
Widmanstaeten issue d’une austénite à grain allongé.
Cette structure sera d’autant plus grossière que le procédé de soudage sera lent et fera
intervenir une zone fondue plus importante.
Cette épitaxie est orientée de la façon que La cristallisation s’amorce à la périphérie du métal
fondu vers l’intérieur du point.
Pour les soudures par fusion exécutées de proche en proche, l’orientation de la structure est
considérée par le déplacement de la source de chaleur. Zone sous cordon :
a) Problèmes rencontrés :
Si cette durée est trop courte, des phases de structure ferritique, perlitique, bainitiques
et martensitiques peuvent se former. D'autre part, il y a un risque de formation de structures à
gros grains induisant des effets négatifs sur les caractéristiques mécaniques.
Si cette durée est trop longue, la transformation des phases austénitiques ne donne que
de la ferrite et de la perlite, ce qui est négatif pour les caractéristiques de dureté. b) Mesures
éventuelles à prendre :
Zone fondue :
Lors du soudage, la Zone Fondue s'est retrouvée à l’état liquide et toute structure a disparu.
C'est lors de la solidification que les grains se reconstituent venant de la partie froide vers la
partie chaude (suivant le flux de chaleur). C'est à dire qu'elle démarre de la ZL pour se finir au
dernier point d'impact de la source de chaleur au centre du cordon.
En fonction de la Température atteinte et du temps de maintien, il se produit un
phénomène de volatilisation qui conduit à la perte d’élément chimique qui passe à l'état
de vapeur. Mais pas tous les éléments réagissent de la même manière à ce phénomène.
Certains seront plus sensibles que d'autres, ce qui expliquera que dans nos métaux d'apport
nous essayerons de compenser la perte de ces éléments-là.
Notre zone fondue aura des réactions ou inter-actions avec son environnement lors du
processus.
• Le Gaz utilisé : Lorsque le gaz est actif (oxydant pour l’oxygène par exemple dans le
MAG), pour des raisons opératoires, le CO² lui, conduira à une recarburation et oxydation de
la ZF, etc... . Il y aura modification de la composition chimique du bain.
• Le métal de base : Le métal de base lui aussi selon le procédé utilisé participera via son
taux de dilution. par exemple en soudage sans métal d'apport la dilution sera de 100% alors
que pour le brasage ce sera 0%)
Le taux de dilution pendant une opération de soudage est le mélange du métal d’apport
avec le ou les métaux de base.
Selon le procédé de soudage qui sera choisi, le taux de dilution sera différent.
On adopte généralement les valeurs suivantes :
- Pour le procédé Arc électrode enrobée (111) : On adopte un taux de dilution compris entre
10 à 35%
- Pour le procédé MIG/MAG (131/135) : On adopte un taux de dilution compris entre 20 à 40%
- Pour le procédé TIG (141) : On adopte un taux de dilution compris entre 15 à 30%
- Pour le procédé Sous Flux en poudre (121) : On adopte un taux de dilution compris entre 60 à
80%
Le taux de dilution permet d'aider à prévoir les risques métallurgiques dans certaines situations.
Donc, On dit que des matériaux ont une bonne soudabilité si leur assemblage par fusion peut
s'effectuer facilement.
3-pourquoi préchauffer ?
Refroidissement rapidestructure très dur, problèmes de fissurations
- le type d'acier
- le procédé de soudage
Etape2
:
Etape3 :
Cette méthode permet de calculer aussi la température de préchauffage, précise, elle prend
en compte :
- l'indice de soudabilité.
Étape 1 : déterminer TSN (Thermic Severity Number) qui prend en compte la géométrie
et l'épaisseur de l'assemblage
Pius
d’après l'indice de sévérité thermique TSN, puis l'indice de soudabilité et le diamètre de
l'électrode, on détermine la température minimale à laquelle on devra souder.
Temps de refroidissement
1) l'énergie de nominale
C'est l'énergie ou la quantité de chaleur transmise à la soudure pendant l'opération de
soudage.
2) l’énergie dissipée
L’énergie dissipée est l’énergie nominale à laquelle on affecte un coefficient de
rendement d’arc qui sera appelé
-Le rendement d’arc est fonction du procédé utilisé et prend en compte le rayonnement.
Exemple :- le soudage à l’électrode enrobée, = 1
- le soudage MIG/MAG = 0.7
Données :
- Soudure à plat sans chanfrein - 2 tôles
épaisseur 10 mm.
- Procédé 111 (électrode enrobée).
- Baguettes de diamètre 3,2 mm - Vitesse
de soudage de 14 cm/min.
Au travail :
approximativement à 12s.
Cycle thermique du soudage
On appelle cycle thermique en soudage la variation de température dans la pièce soudée
en fonction du temps.
Les conditions de refroidissement dans le domaine de transformation de l'austénite
doivent régir les transformations structurales. Les principaux facteurs qui ont une influence
sur le cycle thermique sont l'énergie de soudage, la forme du joint, le procédé de
soudage, l’épaisseur du métal de base, la température de préchauffage et la
température entre passes.
L'étude de l'effet de ce cycle thermique sur la structure en cours de soudage montre son
incidence sur les propriétés, les caractéristiques et l'intégrité obtenues une fois le joint
soudé. Les effets du cycle thermique en soudage sont à la fois physiques et métallurgiques
et ont des conséquences sur la tenue mécanique du joint soudé, la stabilité
dimensionnelle et les tolérances géométriques de la structure soudée.
Remarque et conséquence :
1. Si ma vitesse de refroidissement se montre rapide alors mon temps de séjour et mon
temps de refroidissement sont plus court
2. Si mon énergie Linéaire de soudage augmente alors Mon seuil à (T°C) max sera plus
long donc Mon temps de séjour à ce seuil sera plus long et mon temps de Refroidissement
sera plus long. Alors problème dû à TS risque de SURCHAUFFE donc AUGMENTATION DE LA
TAILLE DES GRAINS.
3. Si ma pièce est plus épaisse mon seuil à (T°C) max est plus courte donc Mon temps
de Séjour est plus court et Mon temps de refroidissement est plus rapide. Alors Problème
dû à VR RAPIDE alors RISQUES MARTENSITE, FISSURATION À FROID, MANQUE DE FUSION SUR
BORDS DE CHANFREINS, SOUFFLURES...
Etudiant maintenant deux points proche de la zone de soudures on les appellera A et B sur
épaisseurs identiques :
Rappel : Le diagramme fer carbone nous montre qu'à partir de A3 la structure de l'acier se
transforme en AUSTÉNITE ET que celle-ci affine les grains nous savons aussi qu'un maintien assez
long de l'austénite à haute température amorce et produit un grossissement des grains (via la
surchauffe)
Pour A son CYCLE serait : ELS élevée (et ou)T°C élevée (et ou) Épaisseur basse, (et ou) nombre
de voie de dispersions faibles. Nous aurons donc une austénite à gros grains dans la ZL (Zone
de Liaison) ou proche quant à la ZAT il y aurait une austénite à grains fins.
Pour B son CYCLE serait : ELS Basse, (et ou) T°C basse, (et ou) Épaisseur élevée, (et ou) Nombre
de voie de dispersions multiples. Pour B nous aurons une austénite à grains fin dans la ZAT.
>Elle ne présente pas de MARTENSITE mais ses propriétés mécaniques en zone sous cordon se
dégradent à la proportionnelle de l'intensité du grossissement du grain.
Pour B elle subit un refroidissement très rapide dont la conséquence en ZAT sera de devenir de
la MARTENSITE
> Fragilité de la ZAT à cause de la MARTENSITE.
Conclusion
Lors d’une opération de soudage en terme métallurgique, tout est remis en question ; les
structures des pièces à assembler tendent à évoluer lors du soudage. En effet, dans la plupart
des cas, chauffés puis refroidis par la source de chaleur de soudage, les matériaux assemblés
subissent un nouveau traitement thermique
–d’une part, les matériaux assemblés peuvent prendre une nouvelle composition chimique s’Ils
sont mélangés à une composition chimique différente, par ex. Celle du métal d’apport
–et dans tous les cas, ils quittent la structure du métal de base pour passer (au moins dans un
premier temps) par une structure brute de solidification, de type produit moulé (dans la région
où ils sont fondus puis à nouveau solidifiés).
–La faon dont une soudure chauffe et refroidit dans le temps et dans l’espace (traitement
thermique au soudage), ainsi que les facteurs d’influence (énergie, épaisseur soudée...); on
parle d’aspect thermique de l’opération de soudage.
–Les modifications subies par le métal de base dans les régions où il a chauffé et refroidi sans
fondre ; cette région est appelée : zone affectée thermiquement (zat).
–Les modifications subies par le métal de base dans les régions où il a chauffé, fondu, refroidi
(après solidification) et éventuellement modifie chimiquement (s’il y a eu utilisation d’un métal
d’apport) ; cette région est appelée : zone fondue (ZF).