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G001.E.162_002
SCHOELCHER (97233)
Reconstruction d'un Poste Electrique Bâti 63 000 V
/ 20 000V (800 m² au sol)
SCHOELCHER (97233)
INDICE DATE ETABLI PAR VISA VERIFIE PAR VISA PAGES OBSERVATIONS
47 pages +
B 24/08/2015 F. SEGUENI S. MOUNIER Rapport définitif
6 annexes
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A compter du paiement intégral du prix, le Client devient libre d’utiliser le rapport et de le diffuser, à conditions de respecter et de faire respecter
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SOMMAIRE
1 PLANS DE SITUATION............................................................................................. 7
2 CONTEXTE DE L’ETUDE.......................................................................................... 9
3 INVESTIGATIONS GEOTECHNIQUES................................................................... 14
8 VOIRIE DU PROJET................................................................................................ 40
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ANNEXES
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Tableau 15 : Résultats des essais en laboratoire sur échantillons de sols ...............................................25
Tableau 16 : Valeurs limites pour les classes d’exposition chimique des bétons .....................................26
Tableau 17 : Résultats des essais en laboratoire sur échantillons de sol et d’eau ...................................27
Tableau 18 : Hypothèses selon les EC 8..................................................................................................28
Tableau 19 : Coefficients sismiques selon les EC 8 .................................................................................28
Tableau 20 : Paramètres décrivant les spectres de réponse élastique horizontal et vertical recommandé
de type 1...................................................................................................................................................30
Tableau 21 : Cote d’assise des fondations du bâtiment d’exploitation......................................................33
Tableau 22 : Paramètres de sols à retenir pour le pylône N22 (sondages de référence SP3/SC2) .........44
Tableau 23 : Paramètres de sols à retenir pour le pylône 12 (sondage de référence SP3)......................44
Tableau 24 : Capacités des pieux forés tubés sous efforts en traction (NF P 94-262) .............................45
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1 Plans de situation
Figure 1 : Extrait de carte IGN (source : CartoExplorer 3)
Zone du projet
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Figure 2 : Extrait de plan cadastral
Parcelle
concernée
Parcelle
concernée
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2 Contexte de l’étude
2 .1 Données générales - Généralités
2.1.1 Généralités
Nom de l’opération : Reconstruction d'un Poste Electrique Bâti 63 000 V / 20 000V (800 m²
au sol)
Commune : SCHOELCHER (97233)
Maître d’ouvrage : EDF Martinique
Assistant à maîtrise d’ouvrage : DAC Antilles
Architecte : Laurent Dupond
BET Structures : Serba
Les documents communiqués par EDF et utilisés dans le cadre de la présente étude sont les suivants :
- Plan de situation, du cadastre et de masse – Laurent Dupont – version APS - échelle 1/200 –
06/02/2015 ;
- Plans des niveaux - Laurent Dupont – version APS - échelle 1/100 – 06/02/2015 ;
- Coupes et perspectives de principe – Laurent Dupont – version APS – échelle 1/100 –
12/02/2015 ;
- Plan de bornage avec repères topographiques sommaires – Cabinet Fuchs – réf. 0247-02-14 –
Format DWG - janvier 2015 ;
- Rapport d’étude géotechnique préliminaire G1 PGC – GINGER GEODE réf. G001.E.162_001-
02.A – 19/05/2015 ;
- Plan de masse, élévation et coupe de principe – Laurent Dupont – sans échelle – transmis le
05/08/2015.
Les sollicitations sur les fondations ou les dallages du bâtiment projeté ne nous pas été communiquées
par les responsables du projet.
Celles des deux pylônes à construire dans le cadre du projet sont données dans les tableaux ci-
dessous :
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Tableau 1 : Sollicitations sur le pylône H2S2H-fb-aeros-cb-R1
Arrachement (kN) Compression (kN)
Cas Va Ha La Vc Hc Lc
22N – Hypothèse A (vent) 290.02 44.24 33.98 402.20 57.46 46.38
22N – Hypothèse B (froid) 106.70 14.22 13.18 222.18 27.40 26.26
22N – Hypothèses Cycloniques 363.24 55.14 42.25 413.39 61.48 47.51
Empattement 4.7x4.7 m, poids 14.6 tonnes
D’après les informations transmises par la maîtrise d’ouvrage et l’architecte en charge du projet, la voirie
projetée présentera les caractéristiques suivantes :
- Voirie lourde ;
- Voirie en enrobé ;
- Classe de trafic T5 en considérant au maximum un véhicule par jour et par sens de circulation
(poids lourd et véhicule léger confondus) ;
- Durée d’utilisation : 15 ans ;
- Taux de croissance : 0%.
2 .2 Description du site
La parcelle concernée par le projet est référencée R659 sur le registre du cadastre et présente une
surface de 6142 m2. Cette parcelle est marquée par une forte pente de l’ordre de 20 à 30° vers le Sud-
est. Il s’agit d’un terrain boisé orienté vers le sud selon une déclivité moyenne à forte. Il est délimité :
- au Nord et à l’Est par des parcelle boisées non construites à pente modérée à forte ;
- au Sud par une parcelle relativement plane servant de stationnement, voie d’accès et dépôt de
matériaux divers ;
- à l’Ouest par la route de l’Enclos.
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2.2.2 Contextes géologique et hydrogéologique
D’après la carte géologique de la MARTINIQUE à l’échelle 1/50 000ème et compte tenu de notre visite
du site le 27/10/2014, il ressort que la géologie du secteur devrait être celle d’un lahar bréchique à
conglomératique induré pouvant présenter des horizons fins altérés en sable argileux. Ce lahar est
recouvert de formations alluvionnaires récentes en partie basse et plane du site (Sud) sur des épaisseurs
variables.
Le contexte hydrogéologique devrait être celui de ruissellements et d’infiltrations de versant dans la
partie en pente du site (Nord), et celui d’une nappe phréatique à faible profondeur dans la partie plane au
Sud.
Figure 4 : Extrait de la carte géologique de la Martinique à l’échelle 1/50 000
Lahar
Formations
alluvionnaires récentes
Zone du projet
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La zone orange à points bleus correspond aux secteurs urbanisés soumis à un aléa fort. Toute
construction peut y être autorisée si la faisabilité de la protection des biens et des personnes
sans aggravation du risque ailleurs a été confirmée par une étude de risque au titre du PPRn à
condition de réaliser les mesures de protection retenues avant ou conjointement à la
construction.
Il est à noter la présence d’un aléa moyen de liquéfaction des sols sur la parcelle mitoyenne au Sud-
ouest du site. Cet aléa est lié à la présence d’horizons alluvionnaires sableux et d’une nappe phréatique
à une profondeur inférieure à 15 m.
Figure 5 : Extrait de la carte réglementaire du PPRn de 2013 sur la commune de Schoelcher
Parcelle
R659
2 .3 Caractéristiques du projet
D’après les informations communiquées par la maîtrise d’ouvrage, le projet prévoit les travaux suivants :
- la réalisation d’un bâtiment en rez-de-chaussée avec un sous-sol technique d’environ 800 m²
d’emprise au sol ;
- le niveau fini du rez-de-chaussée est prévu à la cote approximative 10.5 NGM ;
- le niveau bas du sous-sol est prévu à -2.3 et -3.2 m, par rapport au niveau du RdC (cotes
respectives estimées à 8.2 NGM et 7.3 NGM) ;
- une voirie et des aménagements périphériques au bâtiment, situés à une cote 10.5 NGM ;
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- deux pylônes tétrapodes HTB sont prévus d’être construits dans le cadre du projet. Le pylône
22N sera localisé à l’angle Nord-ouest de la parcelle R659. Le pylône 12 sera implanté en
remplacement du pylône existant à l’angle Sud-est de la parcelle. Les niveaux finis des pylônes
ne sont pas connus au stade actuel du projet, nous les supposerons sensiblement au niveau du
terrain actuel.
Au stade actuel du projet (phase APS), ces travaux d’aménagement de la parcelle occasionneront des
travaux en :
- déblais de l’ordre de 6.0 à 16.0 m, dont l’amplitude maximale se situera en partie Nord-est du
site ;
- remblais de l’ordre de 4.0 m en partie Sud du site.
La mission de GINGER GEODE est conforme au contrat G001.E.0257. Il s’agit d’une étude
géotechnique de conception, phase avant-projet (mission G2 AVP) selon la norme AFNOR NF P 94-500
de novembre 2013 sur les missions d’ingénierie géotechnique :
- Définir un programme d’investigations géotechnique spécifique, le réaliser et en assurer le suivi
technique ;
- Présenter les résultats des investigations in situ et en laboratoire et des relevés des niveaux
d’eau, ainsi qu’une synthèse des données issues des précédentes études sur la zone d’étude ;
- Définir la classification du site selon l’EC8 ;
- Qualifier et étudier le risque de liquéfaction des sols le cas échéant ;
- Donner les hypothèses géotechniques à prendre en compte au stade de l’avant-projet ;
- Donner les principes de construction envisageables (terrassements, soutènements, pentes et
talus, fondations, assises des dallages et voiries, amélioration de sols, dispositions générales
vis-à-vis de la nappe et des avoisinants) ;
- Fournir une ébauche dimensionnelle (pré-dimensionnement) par type de fondation des ouvrages
projetés, ainsi que des ouvrages de soutènement le cas échéant.
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3 Investigations géotechniques
3 .1 Implantation et nivellement
L’implantation des sondages et essais in situ figure sur le schéma d’implantation joint en annexe 2. Le
récolement de la tête des sondages a été réalisé par un géomètre expert.
PZ2 12.0
Equipement piézométrique 2 Dans les sondages carottés SC2 et SC4
PZ4 8.2
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SP1 10.0 5.7 704058 1616972
Sondages destructifs
3 SP3 15.0 12.4 704064 1616994
Ø64 mm
SD5 3.0 12.6 704044 1616984
Exécution d’essais
Tous les 1.5 m de profondeur environ, dans les sondages SP1 et
pressiométriques. 16
SP3
Norme NF P 94-110
SP1-1 0.0 à 1.0
SP1-2 0.0 à 3.0
Exécution d’essais de
SP1-3 0.0 à 7.7 Dans les sondages destructifs SP1, SP3 et
perméabilité 6
SD5-1 0.0 à 3.0 SD5
Norme NF EN ISO 22282-2
SD5-2 1.7 à 5.0
SP3-1 2.8 à 13.5
Les résultats des investigations géotechniques sont présentés en annexe 3, où l’on trouvera en
particulier les renseignements décrits ci-après :
- Fouilles à la pelle mécanique :
o coupe détaillée des sols,
o tenue des fouilles.
- Essais au pénétromètre dynamique :
o résistance de pointe qd en MPa, calculée selon la formule des Hollandais, avec
application d’un coefficient de sécurité de 0.80 sur l’énergie de battage pour les
sondages réalisés avec la sondeuse SEDIDRILL 140.
- Sondages carottés :
o coupe détaillée des sols,
o photographies des sols prélevés,
o pourcentage de carottage et RQD,
o résultats des essais en laboratoire,
o détail des équipements piézométriques posés dans les sondages carottés.
- Sondage destructif avec essais pressiométriques :
o coupe approximatives des sols*,
o module pressiométrique : EM (MPa) ;
o pression limite nette : pl* (MPa) ;
o pression de fluage nette : pf* (MPa) ;
o rapport EM/pl* ;
o vitesse d’avancement du sondage : Via (m/s).
* l’interprétation des sols à partir des forages de type destructif est faite uniquement d’après l’examen
des cuttings.
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3 .3 Essais en laboratoire
Des essais mécaniques et granulométriques en laboratoire sont actuellement en cours sur les
échantillons prélevés au droit du sondage à la pelle mécanique F6 et carottés SC2 et SC4 en mai et juin
2015. Les essais en laboratoire sont les suivants :
Tableau 5 : Liste des essais géotechniques en laboratoire en cours de réalisation
Identification des sols Nombre Norme
Teneur en eau pondérale W 1 NF P94-050
Analyse granulométrique par tamisage 3 NF P94-056
Valeur au Bleu de Méthylène 1 NF P94-068
Classification GTR 3 NF P11-300
Détermination de la masse volumique 3 NF P94-053
Essai de résistance à la compression 2 NF P94-420
Essai proctor Normal 1 NF P94-093
Indice CBR 1 NF P 94-078
Essai Microdeval 2 NF EN 1097-1
Essai Los Angeles 2 NF EN 1097-2
Essai de fragmentabilité des matériaux rocheux 2 NF P 94-066
Nota : les prélèvements d’échantillons sont la propriété du client. Ils seront conservés pendant un mois à
compter de l’envoi du rapport. S’il le souhaite, le client pourra donc soit récupérer ses prélèvements, soit
demander à ce qu’ils soient conservés. A défaut de demande expresse, les prélèvements seront mis au
rebut.
Des essais en laboratoire sur la composition chimique ont été réalisés sur les échantillons de sols et
d’eau prélevés au droit des sondages carottés SC2 et SC4 ainsi que dans les piézomètres PZ2 et PZ4
en mai et juin 2015 :
Les eaux prélevées au droit des piézomètres PZ2 et PZ4 ont fait l’objet des analyses suivantes :
- MOOX
- HAP
- Hydrocarbures totaux
- COV
- benzène
Les sols et eaux prélevés au droit des sondages SC2, SC4, PZ2 et PZ4 ont fait l’objet d’essais en
laboratoire pour quantifier le degré d’agressivité des sols et des eaux vis-à-vis des bétons.
Les résultats des essais en laboratoire sont présentés en annexe 4.
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4 Résultats des Investigations géotechniques
4 .1 Schéma lithologique et mécanique
Le schéma lithologique présenté ci-après, basé sur les investigations effectuées en avril 2015, est
complété de nos investigations réalisées en mai et juin 2015 :
- Formations de surface. Il s’agit de terre végétale et de remblais d’aménagement du site. Elles
sont présentes sur l’ensemble de la zone d’étude sur des épaisseurs variables. La terre végétale
présente une épaisseur pluridécimétrique mais peut être totalement absente dans les zones
d’érosion (ravines, talus, …). Les remblais d’aménagement ont été principalement observés en
partie Ouest du site, au droit des sondages F1, F2 et SP1. Il est à noter que le pied de talus en
partie Sud du site est actuellement occupé par des tas de gravats divers.
Cette formation présente des caractéristiques géo-mécaniques globalement faibles, pouvant
ponctuellement être plus élevées au sein des remblais d’aménagement, avec :
o Résistance dynamique qd < 2 MPa.
- Cendres plus ou moins altérées et argilisées de couleur châtain à brun. Cette formation a
été observée principalement en partie Ouest du site d’étude, au droit des sondages F1 et F2
jusqu’à 1.5 à 2.0 m/TN de profondeur et au droit du sondage carotté SC2 jusqu’à 5.0 m/TN de
profondeur avec la présence de galets et blocs rocheux. Compte tenu de la nature du lahar, des
horizons cendreux peuvent être rencontrés ponctuellement latéralement et en profondeur.
Les formations cendreuses présentent des caractéristiques géo-mécaniques élevées en tête qui
s’améliorent avec la profondeur, avec :
o Résistance dynamique 2 < qd < 35 MPa.
- Substratum volcanique de type lahar rocheux. Cette formation a été mise en évidence au
droit de l’ensemble de nos sondages. Elle présente des caractéristiques mécaniques très
élevées et a provoqué le refus de l’ensemble de nos sondages à la pelle mécanique et au
pénétromètre dynamique entre 0.2 et 2.4 m/TN de profondeur maximale.
Elle présente un aspect sablo-graveleux consolidé en partie amont du site au droit du sondage
SC2 jusqu’à son arrêt à 15 m/TN de profondeur, et un aspect rocheux fracturé avec des
passages altérés en partie basse du site (SC4). Les caractéristiques mécaniques de cette
formation sont définies comme suit :
o Résistance dynamique qd >> 10 MPa,
o Pression limite nette pl* > 6 MPa,
o Module pressiométrique 164 < Em < 343
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4 .2 Distribution des horizons
Les deux tableaux ci-après récapitulent les profondeurs (en m/T.N.) de la base des horizons mis en
évidence au droit des essais réalisés d’avril à juin 2015.
Tableau 6 : Profondeur en m/TN et cote (NGM) de la base des formations mises en évidence au
droit des sondages et essais réalisés sur site en avril 2015
Sondage F1 P1 SP1 P2 F2 SC2
(cote NGM de la tête) (6.0) (6.0) (5.7) (13.0) (8.0) (13.3)
0.3 0.2 0.8 1.0 0.7
Formations de surface N.O.
(5.7) (5.8) (12.2) (7.0) (12.6)
1.5 > 1.4 > 2.4 > 2.0 5.0
Cendres N.O.
(4.5) (< 4.6) (< 10.6) (6.0) (8.3)
> 2.0 > 10.0 > 15.0
Lahar N.O. N.O. N.O.
(< 4.0) (< -4.3) (< -1.7)
Arrêt du sondage par 2.0 1.4 10.0 2.4 2.0 15.0
refus (4.0) (4.6) (-4.3) (10.6) (6.0) (-1.7)
Sondage F6 P6 SP3 F3 P3 P7
(cote NGM de la tête) (16.0) (16.0) (12.4) (13.0) (13.0) (18.0)
0.5 0.2 0.5 0.2 0.2 0.2
Formations de surface
(15.5) (15.8) (11.9) (12.8) (12.8) (17.8)
Cendres N.O. N.O. N.O. N.O. N.O. N.O.
> 2.0 > 1.0 > 15.0 > 0.2 > 1.0 > 0.4
Lahar
(< 14.0) (< 15.0) (< -2.6) (< 12.8) (< 12.0) (< 17.6)
Arrêt du sondage par 2.0 1.0 15.0 0.2 1.0 0.4
refus (14.0) (15.0) (-2.6) (12.8) (12.0) (17.6)
Sondage F4 P4 SC4 F5 P5
(cote NGM de la tête) (6.0) (6.0) (6.2) (13.0) (13.0)
0.2 0.2 0.2 0.2
Formations de surface N.O.
(5.8) (5.8) (12.8) (12.8)
Cendres N.O. N.O. N.O. N.O. N.O.
> 0.2 > 0.8 > 10.0 > 0.3 > 0.6
Lahar
(< 5.8) (< 5.2) (< -3.8) (< 12.7) (< 12.4)
Arrêt du sondage par 0.2 0.8 10.0 0.3 0.6
refus (5.8) (5.2) (-3.8) (12.7) (12.4)
N.O. : formation non observée
Nota :
Les essais de pénétration dynamique des sols étant des sondages dits « aveugles », la géologie des
terrains ainsi que les limites de couches sont interprétées ou extrapolées à partir des diagrammes et
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notamment des valeurs de compacité du sol, mais également des coupes de sols définies au droit des
sondages carottés et destructifs SP1, SP3, SC2 et SC4.
Nous rappelons qu’il n’est pas toujours évident de distinguer les variations horizontales et/ou verticales
éventuelles, inhérentes aux changements de faciès, compte tenu de la surface investiguée par rapport à
celle concernée par le projet. De ce fait, les caractéristiques indiquées précédemment ont un caractère
représentatif mais non absolu.
4 .3 Synthèse géomécanique
Le tableau suivant présente les caractéristiques mécaniques mesurées au droit des essais P1 à P7, SP1
et SP3 :
Tableau 7 : Synthèse mécanique des essais pressiométriques et au pénétromètre dynamique
Profondeur Résistance Ceofficient
Horizon de la base dynamique de Pl* (MPa) EM (MPa) rhéologique
(m/T.N.) pointe qd (MPa) α
Formation superficielles 0.2 à 1.0 <2.0 (2) (2) 0.5
estimée estimée
Cendres 1.5 à 5.0 2.0 à 35.0 0.67
1.0 (2) 10.0 (2)
> 6.0 164 à 343
Lahar > 15.0 > 35.0 Retenue Retenu 0.5
6.0 230 (1)
Nota :
(1) moyenne harmonique pour les modules de déformation (EM).
(2) aucun essai réalisé dans cet horizon. Les valeurs pressiométriques sont estimées par extrapolation
4 .4 Synthèse hydrogéologique
Au moment de nos investigations en avril 2015, aucune arrivée d’eau n’a été interceptée dans les
sondages jusqu’à une profondeur maximale de refus à 2.4 m/TN.
Les sondages profonds réalisés en mai et juin 2015 ont permis de mettre en évidence des niveaux
stabilisés de nappe en profondeur. Nos observations sont synthétisées dans le tableau suivant :
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Tableau 8 : Profondeur en m/TN et cote (NGM) des niveaux d’eau observés au droit de nos
sondages en mai et juin 2015
Sondage SP1 SP3 SC2/PZ2 SC4/PZ4
(cote NGM de la tête) (5.7) (12.4) (13.3) (6.2)
Niveau d’eau stabilisé en
2.0 6.6* 9.6 2.7
fin de forage (m/TN)
Cote de niveau d’eau
stabilisé en fin de 3.7 NGM 5.8 NGM* 3.7 NGM 3.5 NGM
forage (NGM)
Date du relevé 22/05/2015 02/06/2015 01/06/2015 01/06/2015
* : niveau mesuré le lendemain de la réalisation du sondage (niveau non stabilisé probablement alimenté
par des infiltrations d’eau de versant).
Un suivi des niveaux d’eau stabilisés est en cours de réalisation dans les piézomètres posés sur site en
mai 2015 au droit des sondages carottés SC2 et SC4. Des mesures sont réalisées ponctuellement avec
une fréquence mensuelle pour une période d’un an. Un compte rendu est envoyé mensuellement après
chaque relevé et une synthèse sera présentée en fin de période de suivi. Les résultats de nos relevés
réalisés jusqu'au 29/07/2015 sont présentés dans le tableau suivant :
Tableau 9 : Niveaux d’eau (m/TN) et cote NGM au droit des piézomètres PZ2 et PZ4
Sondage/piézomètre SC2 / PZ2 SC4 / PZ4
Altitude NGM du
sondage au niveau du 13.3 6.2
TN
Prof. Prof.
Date Cote NGM Cote NGM
(m/TN*) (m/TN*)
01/06/2015 9.64 3.66 2.53 3.67
01/07/2015 9.73 3.57 2.55 3.65
29/07/2015 9.71 3.59 2.90 3.30
Il a été observé de nombreuses ravines sèches de faible importance (profondeur et largeur inférieure au
mètre) dans le versant, ainsi qu’une ravine plus importante (largeur de l’ordre de 1 à 2 m) qui longe le
site d’étude au niveau de sa limite Ouest. Cette ravine traverse le versant sur toute sa hauteur. Elle était
sèche lors de nos investigations d’avril à juin 2015 et lors de notre visite de site du 27/02/2015,
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néanmoins, les riverains nous ont informés que cette ravine pouvait se mettre en eau suite ou par temps
pluvieux.
Le contexte hydrogéologue du site est donc de deux ordres :
- en partie amont du site (versant) : il est celui de ruissellements et d’infiltrations de versant qui
sont fonctions de la saison et de la pluviométrie.
- en partie aval : une nappe phréatique dont le toit a été identifié à environ 2.5 à 3.0 m/TN, soit une
cote approximative située entre 3.3 et 3.7 NGM en juin et juillet 2015.
Des essais de perméabilité à l’eau dans un forage en tube ouvert (norme NF P 22282-2) ont été réalisés
au droit des sondages SP1, SD5 et SP3. Les résultats de nos essais sont présentés en annexe 5. Le
tableau suivant présente les perméabilités apparentes mesurées par sondage et par type de formation
testée :
Tableau 10 : Profondeur en m/TN et cote (NGM) des niveaux d’eau observés au droit de nos
sondages en mai et juin 2015
Sondage SP1 SP3 SD5
(cote NGM de la tête) (5.7) (12.4) (12.6)
Profondeur de la cavité en 0 à 1.0 0 à 3.0 0 à 7.7 0 à 13.5 0 à 3.0 0 à 3.3
m/TN (cote NGM du fond) (4.7) (2.7) (-2.0) (-1.1) (9.6) (9.3)
Niveau d’eau initial m/TN 2.05 5.2
sec sec sec sec
(cote NGM) (3.7) (7.2)
Lahar Lahar Lahar
Lahar Lahar Lahar
Formation testée cendreux à cendreux à cendreux à
cendreux rocheux cendreux
rocheux rocheux rocheux
Perméabilité apparente
3.5E-08 2.3E-08 2.9E-08 1.6E-08 4.6E-08 1.4E-09
(m/s)
Date de l’essai 27/05/2015 02/06/2015 29/05/2015
Les essais de perméabilité réalisés dans les formations cendreuses à rocheuses plus ou moins
fragmentées et altérées ont mis en évidence des terrains présentant une perméabilité de l’ordre de
10-8 m/s, ce sont donc des formations à caractère peu perméable dans les horizons testés. Cependant,
le lahar conglomératique présente une certaine fracturation qui pourra être le siège de circulations
préférentielles.
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4 .5 Résultats des essais en laboratoire
Dans le tableau ci-dessous sont reportés les résultats des essais d’identification sur les matériaux
cendreux prélevés au droit du sondage à la pelle mécanique F6 et du sondage carotté SC2 :
Tableau 11 : Résultats des essais d'identification des matériaux cendreux prélevés au droit des
sondages F6 et SC2
Tamisat Classe
Prof. (m) W OPN Ind.
Sondage Formation VBS < 80 µm dh ds G.T.R.
échantillon (%) CBR
(%) W% ds
Lahar
F6/SC2 1.0 à 2.5 21.9 1.2 43 1.98 1.71 17 1.52 30 A1th
cendreux
Nota : W(%) : teneur en eau ; VBS : valeur au bleu de méthylène ; dh : densité humide ; ds : densité
sèche ; OPN : caractéristiques à l’optimum proctor ; Ind. CBR : indice CBR à l’optimum proctor
D’après la norme NF P11-300, il ressort que les matériaux de lahar cendreux appartiennent à la classe
GTR A1 et présentaient un état hydrique très humide « th » au moment de nos prélèvements.
Ces matériaux changent brutalement de consistance pour de faibles variations de teneur en eau, en
particulier lorsque cette dernière est proche de la teneur en eau à l’optimum proctor. Leur temps de
réaction aux variations de l’environnement hydrique est relativement court.
Compte tenu de la nature des formations présentes au droit du projet, des résultats des essais en
laboratoire et de l’aménagement du site, le risque de retrait gonflement des sols argileux est faible.
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Dans le tableau ci-dessous sont reportés les résultats des essais d’identification sur les matériaux de
type rocheux prélevés au droit des sondages carottés SC2 et SC4 entre 6.0 et 12.0 m/TN de profondeur :
Tableau 12 : Résultats des essais d'identification des matériaux rocheux prélevés au droit des
sondages SC2 et SC4
Coefficient
Contrainte de Coefficient
Prof. (m) Coefficient de Classe
Sondage Formation ds rupture Los
échantillon Micro deval fragmen- G.T.R.
(MPa) Angeles
tabilité
Lahar
rocheux 0.3
6.0 à
SC2 bloc de 2.15 Bloc entre 10.6 62 51 7.1 R62
12.0 m
cendres et 11.0 m
indurées
Lahar
70.7
rocheux 6.0 à
SC4 2.47 Bloc entre 8.6 56 61 6.0 R62
Bloc 10.0 m
et 9.0 m
d’andésite
Nota : ds : densité sèche (sur matériaux compacts d’aspect rocheux et secs au moment de l’analyse) ;
D’après la norme NF P11-300, il ressort que les matériaux de lahar rocheux appartiennent à la classe
GTR R62.
Ces matériaux ne s’altèrent pas au sein des ouvrages, sous l’effet des contraintes mécaniques et de
l’eau. Les deux échantillons analysés présentent un comportement mécanique similaire malgré des
différences visuelles sur la nature des éléments (cendres indurées grises en SC2 et andésite à matrice
argilo-sableuse marron à proportion variable en SC4). Les cendres indurées présentent une très faible
résistance à la compression mesurée sur une éprouvette taillée dans un bloc induré. Ce résultat n’est
peut être pas représentatif de l’ensemble de la formation.
Des analyses de détection d’éléments polluants ont été réalisées sur des échantillons de sol et d’eau
prélevés au droit des sondages SC2, SC4, PZ2 et PZ4. Pour le détail des analyses, on se reportera en
annexe 5.
Conformément aux directives de la politique nationale en matière de gestion des sites et sols pollués en
date du 08 février 2007, les résultats analytiques sont comparés aux valeurs de gestion réglementaire.
Les résultats analytiques des sols sont comparés à trois types de valeurs de référence :
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- en l’absence de données sur le fond géochimique naturel de la Martinique, les teneurs en
éléments traces métalliques définies par le BRGM dans le cadre du programme ASPITET du
BRGM et de l’INRA,
- les valeurs d’acceptation des déchets inertes en Centre d’Enfouissement Technique de classe III
(déchets inertes), issues de l’arrêté du 12 décembre 2014 abrogeant celui du 28 octobre 2010,
- les seuils de quantification du laboratoire AGROLAB pour les autres paramètres.
Le tableau suivant présente une partie des résultats des études BRGM et INRA avec des gammes de
valeurs d’anomalies naturelles.
Tableau 13 : Valeur de référence pour les éléments traces métalliques ASPITET
Anomalies naturelles de sols Anomalies naturelles Anomalies naturelles Anomalies naturelles très
Eléments
ordinaires (mg/Kg) modérées (mg/Kg) fortes (mg/Kg) fortes (mg/Kg)
As 1,0 – 25,0 30,0 – 60,0 60,0 – 284,0 > 284,0
Cd 0,05 – 0,45 0,7 – 2,0 2,0 – 46,3 > 46,3
Cr 10,0 – 90,0 90,0 – 150,0 150,0 – 3180,0 > 3180,0
Co 2,0 – 23,0 23,0 – 90,0 105,0 – 148,0 > 148,0
Cu 2,0 – 20,0 20,0 – 62,0 65,0 – 160,0 > 160,0
Hg 0,02 – 0,10 0,15 – 2,3 - -
Ni 2,0 – 60,0 60,0 – 130,0 130,0 – 2076,0 > 2076,0
Pb 9,0 – 50,0 60,0 – 90,0 100,0 – 10180,0 > 10180,0
Se 0,10 – 0,70 0,8 – 2,0 2,0 – 4,5 > 4,5
Zn 10,0 – 100,0 100,0 – 250,0 250,0 – 11426,0 > 11426,0
Le tableau ci-dessous reprend un extrait des valeurs d’acceptation des déchets inertes issues de l’arrêté
du 12 décembre 2014 :
Tableau 14 : Valeur limite sur brut
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Le tableau suivant présente les résultats synthétiques avec les valeurs seuils admises :
Les résultats d’analyses mettent en évidence des sols qui présentent des teneurs dites normales en hydrocarbures et métaux lourds.
Seul le cuivre présente une teneur définie comme anomalie modérée.
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4.5.3 Analyses de l’agressivité du sol et de l’eau sur les bétons
Des analyses spécifiques à la quantification de l’agressivité du sol et de l’eau sur les bétons ont été
réalisées sur des échantillons de sol et d’eau prélevés au droit des sondages SC2, SC4, PZ2 et PZ4.
Pour le détail des analyses, on se reportera en annexe 4.
Le tableau suivant présente les valeurs limites pour les classes d’exposition correspondant aux attaques
chimiques des sols naturels et eaux souterraines (extrait de la norme NF EN 206/CN de décembre
2014).
Tableau 16 : Valeurs limites pour les classes d’exposition chimique des bétons
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Le tableau suivant présente les résultats synthétiques avec les valeurs seuils admises :
Les résultats d’analyse des sols et de l’eau mettent en évidence un risque nul d’agressivité chimique sur les bétons.
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5 Contexte sismique
5 .1 Classe de sol
5 .2 Sollicitations sismiques
L’accélération nominale est celle donnée par le décret n°2010-1254 du 22 octobre 2010 et les données
prises en comptes sont données dans le tableau suivant :
Tableau 18 : Hypothèses selon les EC 8
Accélération
Zone Catégorie d’importance Coefficient Classe de Coefficient
maximale de
sismique de l’ouvrage d’importance γ1 sol de site S
référence agr
5 3 m/s² IV 1.4 A 1.0
Les coefficients sismiques à prendre en compte sont alors pour des ouvrages assimilés de catégorie
d’importance IV (à confirmer par les responsables du projet) :
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Avec :
- α = ag / g = γ1 x agr / g ;
- Accélération maximale de référence pour un sol A, agr = 3 m/s2 (cas de la Martinique) ;
- Accélération de la pesanteur : g = 9.78 m/s² ;
- Catégorie d’importance du bâtiment prise égale à IV (à confirmer par le maître d’ouvrage) ;
- Coefficient d’importance γ1 égal à 1.4 ;
- Coefficient de site S = 1.0 pour la classe de sol A ;
- Coefficient sismique horizontal : kh = α x S / r ;
- Coefficient sismique vertical : kv=± 0.5 kh, si le rapport avg / ag > 0.6 (cas de la Martinique située
en zone 5) ;
- r = 1 dans le cas d’ouvrages en béton armé et murs d’infrastructure.
Dans le cadre des études de stabilité générale des pentes de talus, les coefficients sismiques à retenir
sont les suivants :
- FH = 0.5 a S
- FV = ± 0.5 FH si le rapport avg / ag > 0.6 (cas de la Martinique située en zone 5)
Dans notre cas, les coefficients sismiques sont : FH = 0.21 et FV = ± 0.11
Le spectre de réponse élastique horizontal Se(T) pour les composantes horizontales de l’action sismique
est défini dans le §3.2.2.2 de la norme EN 1998-1 :2004, le spectre de réponse élastique vertical Sve(T)
est défini dans le §3.2.2.3 de la norme EN 1998-1 :2004.
Ces réponses sont fonction des valeurs seuil TB, TC et TD définies pour deux spectres de réponse
(spectre 1 et spectre 2), distingués par la magnitude probabiliste des ondes de surface dont la limite
arbitraire est fixée à 5.5.
Dans le cas de la Martinique, la magnitude de référence est égale à 7.5, ainsi nous retiendrons le spectre
de réponse élastique n°1.
Les valeurs des paramètres décrivant les spectres élastiques sont donc définies dans le tableau suivant :
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Tableau 20 : Paramètres décrivant les spectres de réponse élastique horizontal et vertical
recommandé de type 1
Spectre de réponse élastique horizontal
Le déplacement de calcul au niveau du sol dg, correspondant à l’accélération de calcul au niveau du sol,
peut être estimé à l’aide de l’expression suivante (cf. EC8-1 §3.2.2.4) et des paramètres données pour le
spectre de réponse élastique horizontal :
dg = 0.025.ag.S.TC.TD
Dans notre cas, nous avons : dg = 0.025 x 3 x 1.4 x 1.0 x 0.4 x 2.0 = 0.084 m, soit un déplacement
maximale en surface de 8.4 cm.
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6 Principes généraux de construction
6 .1 Synthèse du contexte géotechnique et hydrogéologique
Les investigations in situ et prospections visuelles réalisées en novembre 2014, février 2015 et avril à juin
2015 ont permis de mettre en évidence les éléments suivants :
- Des remblais d’aménagement du site sont localisés principalement en partie Ouest et Sud de la
zone d’étude sur des épaisseurs de l’ordre du mètre ;
- Des formations cendreuses de consistance raide à très raide ont été observées en tête des
sondages F1, F2, F6 et SC2 en partie Ouest du site jusqu’à des profondeurs de l’ordre 1.5 à
5.0 m/TN. Leur épaisseur est globalement décroissante vers l’Est, et elles disparaissent
totalement à l’Est et au Sud des sondages P3/F3 ;
- En profondeur, le substratum volcanique est représenté par un lahar conglomératique à
bréchique d’aspect rocheux à l’affleurement, puis plus ou moins fracturé et altéré en profondeur.
Il présente un horizon superficiel altéré et argilisé de quelques décimètres d’épaisseur qui est
généralement végétalisé. Cet horizon a provoqué le refus de nos essais au pénétromètre
dynamique et des sondages à la pelle mécanique 16 t à une profondeur de 0.2 à 2.4 m/TN ;
- Aucun signe d’instabilité n’a été mis en évidence lors de nos visites du site. Il est à noter la
présence d’une érosion superficielle qui provoque le déchaussement de blocs rocheux. Ces
blocs peuvent à terme dans des conditions spécifiques (pente, absence de végétation,
circulations d’eau, …) se mettre en mouvement dans la pente ;
- Compte tenu de la topographie du versant, et de nos observations sur site, des circulations d’eau
superficielles erratiques sont prévisibles notamment depuis l’amont de la zone en période
climatique défavorable. Il est également possible de rencontrer des circulations d’eau en
profondeur par l’intermédiaire de réseaux de fractures dans la formation rocheuse.
Nous rappelons que dans le cadre de l’étude G1 PGC , nous avons conclu que dans l’état actuel de nos
connaissances sur le versant étudié, il apparaît que l’aléa de mouvement de terrain défini comme fort
suivant le PPRn de 2013 est surestimé, plus particulièrement vis-à-vis des grands glissements.
Néanmoins, des travaux de mise en sécurité des personnes, sans impact alentour, sont toutefois
préconisés compte tenu du contexte du site (éboulements de blocs rocheux).
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6 .2 Adaptation du projet au site
Nous rappelons que le site est caractérisé par une topographie en pente modérée à forte vers le Sud-est.
Le projet prévoit de s’adapter au site essentiellement par des terrassements en déblais de l’ordre de 6.0
à 16.0 m en partie Nord-est et en remblais de l’ordre de 4.0 m en partie Sud du site.
Compte tenu des aménagements prévus au projet, et les caractéristiques du site décrites
précédemment, le bâtiment d’exploitation pourra être prévu sur des fondations superficielles ancrées
dans le lahar conglomératique à caractère rocheux.
Compte tenu des terrassements en déblais prévus au projet, le fond de forme des terrassements sera
généralement représenté par le lahar conglomératique rocheux. Cependant, dans le secteur Ouest, il est
attendu un reliquat de formations cendreuses altérées au niveau des fonds de fouille. Les terrassements
pour la réalisation des fondations du projet devront nécessairement traverser cette formation pour
respecter un ancrage dans le lahar conglomératique rocheux.
Dans les zones où le fond de forme sera composé exclusivement du lahar rocheux, les dallages du projet
pourront être réalisés sur terre plein moyennant la mise en œuvre d’une couche de forme de finition en
matériaux de type grave sableuse.
En partie Sud du site prévu en remblais et dans le cas où le fond de forme des terrassements n’était pas
représenté par un lahar rocheux, les planchers bas du projet devront être traités en planchers portés par
les fondations.
Les sols superficiels en partie Ouest du site, de nature limono-argilo-sableuse (cendres altérées), étant
sensibles aux variations de teneur en eau, ils pourront présenter des difficultés de traficabilité et/ou de
terrassement au démarrage des travaux.
Ces principes d’aménagement sont développés dans les paragraphes suivants.
Compte tenu du schéma géomécanique, on envisagera une solution de fondations superficielles de type
semelles filantes ou isolées, ancrées directement ou par l’intermédiaire de gros béton dans le lahar
conglomératique rocheux.
On appliquera les critères suivants définissant le niveau d’assise en considérant le plus restrictif :
- ancrage minimal de 0.3 m dans le lahar conglomératique rocheux,
- encastrement de 0.8 m au minimum en tout point extérieur,
- respect de la norme NFP 94-261 pour les fondations à niveaux décalés, mitoyennes ou à
proximité de talus (respect de la règle des 3H/2V entre fondations voisines descendues à des
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profondeurs différentes). Ces pentes de talus pourront être raidies dans le cas d’un ancrage de
fondations voisines dans les formations rocheuses uniquement. On retiendra alors une pente de
1H/4V. Un recul minimal de 2.0 m sera considéré entre la fondation et le talus aval.
Pour des raisons de bonne exécution, la largeur minimale des fondations sera de 0.5 m pour les
semelles filantes et de 0.8 m pour les semelles isolées.
Le profil géotechnique 1 (cf. annexes 2 et 6), interprété d’après les résultats de nos investigations in situ
et nos observations sur site, permet d’appréhender les variations d’épaisseur des formations de surface
et de couverture cendreuse sur le lahar conglomératique.
Il est attendu une diminution des épaisseurs de cendres vers le Sud-est avec une disparition au delà du
sondage SP3.
A titre indicatif, nous avons retranscrit ci-dessous un tableau donnant le toit de la formation d’ancrage et
le niveau d’assise prévisible des fondations au droit de chaque sondage localisé à proximité des
bâtiments projetés :
Tableau 21 : Cote d’assise des fondations du bâtiment d’exploitation
Bâtiment d’exploitation (cotes rdc 10.5 NGM, ss 7.3 NGM)
Cote d’assise des fondations (NGM) 8.0 9.7 6.8 4.1 6.8
Nota : dans le cas de fondations créées dans les zones totalement enterrées du bâtiment, les fondations
pourront être encastrées à -0.5 m par rapport au niveau fini du bâtiment.
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7 .2 Ebauche dimensionnelle des fondations
7.2.1 Principe
Le prédimensionnement des fondations est mené à partir des résultats des essais pressiométriques
conformément à la norme NFP 94-261 de juin 2013 (Justification des ouvrages géotechniques – Normes
d’application nationale de l’Eurocode 7 – Fondations superficielles).
On s’assurera que la charge verticale transmise par la fondation superficielle au terrain Vd est inférieure
à la résistance nette du terrain sous la fondation superficielle Rv;d :
Vd – R0 ≤ Rv ;d
R0 est la valeur du poids de volume de sol constitué du volume de la fondation sous le terrain après
travaux et des sols compris entre la fondation et le terrain après travaux.
Rv;d est la valeur de calcul de la résistance nette du terrain sous la fondation superficielle
γR;v est un facteur partiel à considérer, égal à 2.30 à l’ELS quasi-permanent et caractéristique, 1.40 à
l’ELU fondamental et sismique, et 1.20 à l’ELU accidentel.
Rv;k est la valeur caractéristique de la résistance nette du terrain sous la fondation superficielle
A’ est la surface effective de la base d’une fondation superficielle
qnet est la contrainte associée à la résistance nette du terrain sous la fondation superficielle
γR;d ;v est le coefficient de modèle lié à la méthode de calcul utilisée pour le calcul de la contrainte qnet
(1.20 pour la méthode pressiométrique)
Calcul de qnet, contrainte associée à la résistance nette du terrain sous la fondation superficielle :
La contrainte qnet du terrain sous une fondation est déterminée à partir de la relation suivante :
qnet = k p ple* iδ iβ
Avec :
- kp est le facteur de portance pressiométrique qui dépend des dimensions de la fondation, de son
encastrement relatif et de la nature du sol,
- ple* est la pression limite nette équivalente,
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- iδ est le coefficient de réduction de portance lié à l’inclinaison du chargement (on considère ici une
charge verticale centrée, soit iδ = 1.00),
- iβ est le coefficient de réduction de portance lié à la proximité d’un talus de pente β (pour une
fondation éloignée d’un talus, iβ = 1.00).
Ainsi, pour des fondations superficielles de type filantes avec un chargement vertical centré* et
ancrées selon les prescriptions données précédemment, en première approche on peut retenir les
valeurs suivantes :
qnet = 2200 kPa | qELUFond/sism = 1300 kPa | qELS = 800 kPa
Nota : les sols d’ancrage présentent des caractéristiques mécaniques très élevées, cependant,
des passages d’altération plus prononcée sont prévisibles à des niveaux variables. Ainsi, les
valeurs présentées précédemment ont été volontairement réduites pour tenir compte de
l’hétérogénéité des formations en place.
Compte tenu des caractéristiques mécaniques des sols d’ancrage et de la configuration du projet, le
facteur dimensionnant sera la largeur minimale recommandée pour les fondations, soit 0.5 m pour des
semelles filantes.
Dans le respect des conditions d’exécutions précédentes, les tassements sous les fondations seront
négligeables.
7 .3 Dispositions constructives
Les choix constructifs ne peuvent être faits que par le BET structure mais les points suivants sont
toutefois à signaler :
- il appartient au BET structure de vérifier que les tassements déterminés précédemment sont
acceptables par l’ouvrage et les avoisinants ;
- en cas de deux parties d’un même bâtiment, fondés de façon différente ou présentant un nombre
de niveaux différent, il conviendra de s’assurer que la structure peut s’adapter sans danger aux
tassements différentiels qui pourraient se produire ;
- dans le cas contraire, les projeteurs devront prévoir un joint de construction intéressant toute la
hauteur de l’ouvrage, y compris les fondations elles-mêmes.
Si des venues d’eau sont observées lors de l’ouverture des fouilles de fondation, il faudra les évacuer et
éliminer la pellicule boueuse éventuellement présente avant le coulage de rattrapage en gros béton.
Afin de diminuer les risques d’apparition de venues d’eau, nous préconisons d’exécuter les travaux en
période sèche, dite de « Carême ».
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La justification du dimensionnement devra faire l’objet d’une étude spécifique dans le cadre d’une étude
de projet géotechnique (G2 PRO).
Afin d’éviter une décompression du sol d’assise, les fonds de fouille de fondation seront immédiatement
protégés par un béton de propreté.
La profondeur du sol d’assise est variable, plus particulièrement en partie ouest du site, le niveau
d’assise théorique des semelles en béton armé pourra être rattrapé à l’aide de gros béton coulé à pleine
fouille, immédiatement après l’exécution de ces dernières.
Dans le cas d’un rattrapage du niveau d’assise en gros béton, une surlargeur sera prévue en cas de
déplacement relatif de la fondation armée en cas de séisme.
Lors de la réalisation des terrassements il faudra prendre toutes les mesures nécessaires afin d’éviter la
dégradation des talus et l’instabilité des avoisinants (voiries et réseaux).
7 .4 Dallages
En partie Sud du site prévu en remblais et dans le cas où le fond de forme des terrassements n’était pas
représenté par un lahar rocheux, les planchers bas du projet devront être traités en planchers portés par
les fondations.
La mise en œuvre d’un dallage sur terre-plein pourra être envisagée en partie Nord du site, à condition
de purger totalement les formations de surface (terre végétale et remblais) et la cendre altérée ainsi
que toute poche de matériaux altérés présents sur le site et de mettre en œuvre une structure de
répartition des charges d’une épaisseur minimale de 0.2 m en sous face des dallages.
En l’absence de la purge des formations précédentes (cas dans le secteur Nord-ouest), ou dans le cas
de planchers hauts réalisés en console (cas à proximité des niveaux de sous-sol techniques), les
planchers pourront être traités en dalle portée par les fondations soit :
- sur vide sanitaire avec un espace d’air d’une hauteur minimale 0.2 m ;
- sur terre plein après purge partielle des formations de surface et mise en œuvre préalable d’une
couche de sable ponceux non compactée de 20 cm d’épaisseur.
Les paragraphes suivant indiquent la mise en œuvre et le contrôle du dallage sur terre plein.
La mise en œuvre de la structure sous dallage (couche de forme et couche de réglage) sera réalisée
moyennent les précautions successives suivantes :
- purge des formations de surface (terre végétale et remblais) ainsi que les cendres altérées,
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- purge éventuelle des poches médiocres et des sols détériorés par les engins de terrassement ou
les eaux de pluie,
- terrassement jusqu’à la cote préconisée en fonction du projet,
- mise en place d’un géotextile jouant le rôle de séparation et de filtration entre les terrains en place
et le remblai d’apport,
- mise en œuvre de la structure sous dallage avec compactage de la couche de forme à 95 % de
l’optimum Proctor modifié (OPM), par couches de 20 cm d’épaisseur maximale.
La structure sous dallage pourra être envisagée de la manière suivante :
- en partie inférieure, par une grave propre insensible à l’eau, drainante, répondant à la classe GTR
D3, de granulométrie 0/80 mm ou équivalent, d’une épaisseur minimale de 10 cm (à mettre en
œuvre uniquement dans le cas où l’épaisseur de la substitution est supérieure à 20 cm),
- une couche de réglage de 10 cm d’épaisseur minimal en ponce de type 0/31.5 mm ou équivalent.
On veillera à respecter les recommandations du guide GTR édité en 1992 par la SETRA.
Les dallages seront conçus conformément au DTU 13.3.
On veillera à purger les remblais existants, la terre végétale et les argiles d’altération ainsi que toute
formation en place décomprimée ou de mauvaise qualité jusqu’à la cote basse du fond de fouille sous les
dallages. Toute surépaisseur de matériaux extraits sera remplacée par des matériaux de type GNT de
bonne qualité.
Une planche d’essai pourra être réalisée au démarrage du chantier afin de confirmer la méthodologie de
mise en œuvre des matériaux.
7.4.2 Contrôles
D’après le DTU 13.3 de mars 2005 et son annexe nationale de mai 2007, applicable au projet, le module
de Westergaard (Kw) à obtenir est de 50 MPa/m minimum sur la couche de forme avec un rapport
EV2/EV1<2
On s’assurera, d’autre part, que le compactage est correctement réalisé.
GINGER GEODE se tient à la disposition du maître d’œuvre ou de l’entreprise pour la réalisation des
essais de contrôle à tout stade de l’exécution.
7 .5 Terrassements
7.5.1 Déblais
Pour la réalisation des terrassements en déblai, des engins de très forte puissance seront nécessaires
pour entamer les formations rocheuses (pelle hydraulique de fort tonage, BRH, …).
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D’après les plans communiqués, les terrassements en déblai pourront atteindre 16 m de hauteur en
partie Nord-est du site. Ces terrassements devraient intéresser essentiellement des formations
rocheuses, mais également des formations cendreuses plus ou moins altérées en partie Ouest du site.
La pente maximale des talus à considérer en phase provisoire et définitive dans les horizons mis en
évidence dans le cadre de la présente étude est de :
- 1H/1V dans les formations de surface (remblais),
- 1H/4V dans les cendres raides à très raides,
- De l’ordre de 85° par rapport à l’horizontale dans le substratum de type lahar rocheux.
7.5.2 Remblais
D’après les documents transmis, il est prévu la réalisation de remblais sur des hauteurs pouvant
atteindre 4 m en partie Sud du site.
Nous rappelons que la partie Sud du site est située en limite d’une zone d’aléa fort d’inondation. Selon
les prescriptions du PPRn 2013, le remblaiement est interdit dans ces zones. Ainsi, la réalisation du
remblai avec la mise en œuvre d’un talutage paraît compromise.
Par conséquent, nous recommandons la réalisation d’un ouvrage de soutènement du remblai prévu en
partie Sud du site afin de confiner le remblai dans les limites parcellaires et en dehors de la zone d’aléa
d’inondation. Cet ouvrage pourra être de type mur-poids ou en remblais renforcés, ancré dans le lahar
conglomératique. Il sera dimensionné en phase G2 PRO une fois arrêté le principe de soutènement.
D’après les résultats des essais en laboratoire, il ressort les éléments suivants :
- les matériaux cendreux altérés présents superficiellement en partie Ouest du site, ces
matériaux sont de classe GTR A1 avec un état hydrique très humide « th ». Ces matériaux
peuvent être utilisés pour la réalisation de remblais pour remodelage de sites mais sans vocation
structurelle (soutènement). Dans le cadre du projet, nous déconseillons son utilisation. Ils
seront donc évacués du site au cours des terrassements.
- Les matériaux de type lahar rocheux, observés en profondeur en partie Ouest et depuis la
surface en partie Est, sont de classe GTR R62. Compte tenu de nos observations sur site et
dans les sondages carottés, ces matériaux seront assimilés à une classe GTR D1 à D3 après
extraction, criblage et concassage adéquat. Ils pourront être réutilisés en remblais courants de
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comblement des fouilles contre les murs enterrés, sous les dallages du bâtiment et sous voirie
dans le respect des préconisations définies dans le présent rapport.
Nous tenons à préciser que des hétérogénéités ont été observées sur site et dans nos sondages au sein
du lahar rocheux. Ces différences sont dues à la compacité des éléments indurés (cf. essais de
compression sur matériaux rocheux) mais également dans la proportion entre la matrice sablo-argileuse
et les éléments granulaires de type andésite.
La classe GTR du matériau réutilisé à partie du lahar rocheux devra être confirmée en phase EXE
par l’entreprise en fonction des moyens mis en œuvre pour leur extraction et leur traitement.
Dans le cadre de la réutilisation des matériaux issus du site, on s’assurera de respecter les
préconisations définies dans le fascicule II de « Réalisation des remblais et des couches de forme » du
SETRA de septembre 1992.
7.6.2 Matériaux d’apport
Dans le cas où les matériaux du site n’étaient pas réutilisés dans le cadre du projet, les remblais d’apport
sous dallage et en comblement de fouille devront être constitués d’une grave de type 0/31.5 à 0/100 mm
qui devra respecter les critères définis ci-après :
- classe GTR : D1 à D3,
- granulométrie continue,
- passant à 80 µm < 8 %,
- valeur au bleu VBS < 0.1.
Les remblais à mettre en contact directement contre les murs enterrés devront présenter un caractère
drainant sur une largeur de l’ordre de 0.5 m. Ils seront soigneusement emballés dans un géotextile de
séparation/filtration pour éviter leur colmatage à long terme. Ces matériaux drainants à l’arrière des murs
enterrés répondront aux caractéristiques suivantes :
- granularité : 20/40 à 40/80 mm,
- granulométrie continue,
- passant à 80 µm < 5 % et répondant à la classe GTR C1D3 à D3.
D’après le PPRn 2013 de la commune de Schoelcher, un aléa d’inondation est identifié au niveau de la
parcelle située au Sud du projet.
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Les responsables du projet devront prendre connaissance du niveau des plus hautes eaux attendues sur
la zone d’étude. Dans le cas où le niveau des plus hautes eaux étaient supérieur au niveau fini du projet
(sous-sol), les murs enterrés devront être étanchéifiés afin de palier tout problème d’infiltration d’eau. De
plus, le dimensionnement des ouvrages devra prendre en compte les phénomènes de sous-pression
dans le cas d’une remontée du niveau d’eau.
De plus, compte tenu de la topographie du site en pente et des observations réalisées sur site, des
arrivées d’eau par ruissellement et infiltrations sont à prévoir pendant les travaux et sur toute la durée de
vie de l’ouvrage.
Les fonds de fouille devront être asséchés et purgés des formations altérées avant le coulage des
fondations du projet et la mise en œuvre des matériaux sous dallages et sous voirie.
Il sera mis en œuvre un système de gestion des eaux pluviales en périphérie amont des plateformes de
travail afin de limiter les arrivées d’eau sur l’emprise du projet.
En phase définitive, les eaux de toitures et de ruissellement seront collectées et évacuées à distance de
la construction.
7 .8 Murs enterrés
Les murs enterrés du projet devront être dimensionnés comme des ouvrages de soutènement par le BET
structures en charge du projet.
Ils devront également présenter une étanchéité relative et un système de drainage sur toute leur hauteur
relié à un drain de pied avec la mise en place d’un exutoire pérenne en aval du projet.
8 Voirie du projet
8 .1 Classe d’arase et couche de forme sous voirie
Nous rappelons les éléments transmis concernant le type et l’utilisation de la voirie du projet :
- Voirie lourde ;
- Voirie en enrobé ;
- Classe de trafic T5 (un véhicule par jour et par sens de circulation) ;
- Durée d’utilisation : 15 ans ;
- Taux de croissance : 0%.
Lors de notre intervention sur site d’avril à juin 2015, les matériaux constituant vraisemblablement l’arase
de terrassements seront composés d’un lahar cendreux altéré en partie Ouest du site et d’un lahar
rocheux sur la partie Est. Ces matériaux présentaient des caractéristiques visuelles d’un sol support de
classe :
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- Ouest (cendres) : une PST1 /AR1 (Guide GTR). Cette classe de plateforme est définie par la
classe GTR A1 du matériau cendreux dans un état hydrique très humide « th ». Ce matériaux
étant très sensible à l’eau sa portance peut chuter rapidement chuter par temps de pluie ;
- Est (lahar rocheux) : une PST6/AR3. Cette classe de plateforme est définie par l’aspect rocheux
du lahar se débitant en sable graveleux peu voire insensible à l’eau.
Sur la base des matériaux observés au niveau de l’arase des terrassements lors de la réalisation des
fouilles à la pelle mécanique, deux possibilités d’aménagement de la voirie sont envisageables afin
d’obtenir une plateforme support de chaussée de classe minimale PF2 :
- Dans le cas d’une arase de terrassement cendreuse à l’état hydrique sec « s » à moyen « m »,
une couche de forme en matériaux d’apport de type GNT insensible à l’eau de granulométrie
0/100 mm ou équivalent sera mise en œuvre sur une épaisseur minimale de 35 cm. Dans le cas
où ces matériaux présentaient un état hydrique humide « h » à très humide « th » la couche de
forme devra présenter une épaisseur minimale de 60 cm avec mise en place éventuellement
d’un cloutage pour stabilisation du fond de forme.
- Dans le cas d’une arase de terrassement composée d’un lahar rocheux une simple couche de
réglage en matériaux de type 0/31.5 mm sera nécessaire.
Une planche d’essai pourra être réalisée au démarrage du chantier afin de confirmer la méthodologie de
mise en œuvre des matériaux et la classe des plateformes support de chaussée.
Un géotextile de séparation sera disposé entre les remblais d’apport et le terrain en place présentant des
fines, plus particulièrement dans la zone présentant des cendres altérées.
Les travaux de réalisation de la voirie devront se faire sous des conditions climatiques favorables. Les
travaux devront être arrêtés par temps de pluie, plus particulièrement dans la zone cendreuse.
L’entreprise se tiendra informée des prévisions météorologiques au jour le jour de façon à faire en sorte,
avant l’arrivée de la pluie, que toutes les surfaces soient bien fermées et réglées pour permettre le
ruissellement de l’eau et son infiltration.
Les terrassements seront réalisés de façon à ne pas remanier le fond de fouille.
La couche de réglage ou de forme sera mise en place à l’avancement.
La première couche mise en place sur le fond de forme ne sera pas trop énergiquement compactée dans
le cas d’un sol support composé de matériaux fins.
On vérifiera également qu’il n’y a pas de point d’accumulation d’eau dans l’emprise du chantier, que les
fossés provisoires sont en état de fonctionnement ainsi que leurs exutoires. A cet effet, nous préconisons
la réalisation de fossés de drainage en amont des voiries avant la réalisation des travaux de cette
dernière.
Pour la réalisation des travaux de la plateforme sous voirie, on pourra procéder comme suit :
- décapage des matériaux altérés et de mauvaise qualité,
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- mise en place d’un géotextile de séparation le cas échéant,
- mise en œuvre des remblais par couches horizontales successives de 0.1 à 0.3 m d’épaisseur
maximale, compactées à 95 % de l’OPM,
- Des essais de contrôles par essais à la plaque devront permettre d’obtenir un module de
déformation : EV2 ≥ 50 MPa, et un rapport EV2 / EV1 < 2.
La couche de forme pourra être constituée par une grave ponceuse de type 0/31.5 à 0/100 mm qui devra
respecter les critères définis au paragraphe 7.6.2.
Nous donnons à titre d’exemple le dimensionnement suivant pour une voirie en enrobé à faible
trafic. Nous avons utilisé :
- le guide technique de réalisation des remblais et des couches de forme SETRA & LCPC de
septembre 1992 (GTR),
- le manuel de conception des chaussées neuves à faibles trafic – édition de 1981.
Nous rappelons ci-après les hypothèses de trafic pour la voirie du poste de transformation :
- le trafic sera très faible, moins de 10 poids lourds par jour (ou équivalent), par sens de
circulation, soit une classe de trafic t6 ;
- la durée de service est prévue pour 15 ans avec un taux de croissance de 0%, soit un facteur de
cumul C = 5.4 ;
Sur la base d’une portance de sol support de type P3 ou PF2 (cf. chapitre 8.1), à confirmer par les essais
en laboratoire lors des travaux ou par des essais in situ (planche d’essai), la chaussée en enrobé
pourra présenter la structure suivante :
- Couche de surface : 5 cm de béton bitumineux ;
- Couche de base + fondation : 20 cm de GNT* de type 0/31.5 mm ou équivalent.
* les caractéristiques du matériau d’apport devront respecter les recommandations du SETRA.
Dans le cadre des travaux de réalisation du projet, des terrassements en déblais sont prévus sur des
hauteurs pouvant atteindre 16 m avec une pente qui pourra être très forte compte tenu des très bonnes
caractéristiques mécaniques du substratum. Ainsi, des travaux de mise en sécurité devront être réalisés
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dans le cadre de l’aménagement de la parcelle pour la création du projet. Ces aménagements (cf. plan
en annexe 2) consisteront essentiellement à mettre en œuvre :
- un système antiérosif sur les parois nouvellement créées. Il sera préférentiellement réalisé en
béton armé afin d’assurer une certaine cohésion des blocs rocheux de la paroi (plus
particulièrement dans le cas d’une paroi subverticale). Des barbacanes seront disposées à
intervalles réguliers sur la paroi afin d’assurer un drainage des arrivées d’eau par infiltrations ;
- des dispositifs de retenue des blocs éboulés depuis le versant amont au projet. Ils seront
disposés en tête de talus et ancrés dans le lahar conglomératique ;
- des systèmes de gestion des eaux pluviales en amont du projet. Ils seront composés de
caniveaux béton en tête et pied de talus, reliés à un exutoire en aval du projet.
Ces confortements permettront d’assurer la stabilité des talus en amont du projet afin de sécuriser les
infrastructures et les usagers de site. Le dimensionnement de la paroi antiérosive sera réalisé en phase
projet dans le cadre de la G2 PRO une fois la configuration du projet définie.
Les pylônes tétrapodes projetés pourront être prévus sur fondations superficielles isolées. Ces
fondations seront coulées à pleine fouille et seront ancrées dans le lahar rocheux (fondation de type
rocher).
Nous attirons l’attention sur le fait que des épaisseurs plurimétriques de formations cendreuses
indurées sont attendues dans la zone d’implantation du pylône N22 (cf. profil géotechnique en
annexe 6).
Les dispositions constructives devront respecter celles énoncées au chapitre 7 pour le bâtiment
d’exploitation. Une attention particulière sera apportée au respect d’un recul minimal de 2 m entre la
fondation et le talus aval.
Compte tenu des efforts verticaux à l’arrachement importants pour les pylônes, il pourra être envisagé la
réalisation de tirants d’ancrage ou de fondations profondes en complément des fondations superficielles.
Dans ce cas, nous donnons ci-après les éléments de prédimensionnement des fondations profondes.
Les paramètres de sols retenus pour la suite de nos calculs sont ceux définis dans les tableaux suivants,
définis pour chaque pylône, d’après la norme NF P94-262. Ils sont définis pour des pieux de type forés
simple et micropieux injectés haute pression, adaptés au projet et à la lithologie du substratum :
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Tableau 22 : Paramètres de sols à retenir pour le pylône N22 (sondages de référence SP3/SC2)
Paramètres intrinsèques
Pression Coefficient
Profondeur Angle de Module de type Courbe
Cohésion limite nette rhéologique Classe de sol retenue qs (kPa)
(m/TN) frottement interne Young E (MPa) retenue
(kPa) Pl* (MPa) α
φ’ (°)
Formation Argiles limons sols
0.5 20 5 - 1/2 - Q1 Négligé (1)
superficielles intermédiaires
Argiles limons sols
Cendres 1.0 à 4.0 (1) 40 0 1.0 2/3 15 Q1 40
intermédiaires
200 (2)
Roche altérée ou
Lahar > 15 35 30 6.0 1/2 460 Q5 320 (3)
fragmentée
434 (4)
Tableau 23 : Paramètres de sols à retenir pour le pylône 12 (sondage de référence SP3)
Paramètres intrinsèques
Pression Coefficient
Profondeur Angle de Module de type Courbe
Cohésion limite nette rhéologique Classe de sol retenue qs (kPa)
(m/TN) frottement interne Young E (MPa) retenue
(kPa) Pl* (MPa) α
φ’ (°)
Formation Argiles limons sols
0.5 20 5 - 1/2 - Q1 Négligé (1)
superficielles intermédiaires
Argiles limons sols
Cendres N.O. 40 0 1.0 2/3 15 Q1 40
intermédiaires
200 (2)
Roche altérée ou
Lahar > 15 35 30 6.0 1/2 460 Q5 320 (3)
fragmentée
434 (4)
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Nota :
N.O. : formation non observée
(1)
Compte tenu de nos observations sur site, et des conditions de fondation des pylônes, les formations
superficielles devraient présenter des épaisseurs inférieures à celle des massifs de fondation. Les
cendres devraient présenter des épaisseurs variables mais plurimétriques au niveau du pylône 22N et
négligeable ou inférieure à celle des massifs de fondation au niveau du pylône 12 ;
(2)
Valeur maximale de frottement axial unitaire limite qs pour des pieux forés simples (type 1) ;
(3)
Valeur maximale de frottement axial unitaire limite qs pour des micropieux type III (type 19) ;
(4)
Valeur maximale de frottement axial unitaire limite qs pour des micropieux type IV (type 20) ;
Nous présentons à titre indicatif des pré-dimensionnement de pieux d’après la norme NF P94-262, en
traction sans prise en compte d’éventuels efforts horizontaux.
Tableau 24 : Capacités des pieux forés tubés sous efforts en traction (NF P 94-262)
Arrachement
Diamètre Fiche du Rc ;cr ;d (kN) Rc ;d (kN)
Type de pieu
(mm) pieu (m) ELS ELU
permanent fondamental
600 5 571 1065
Pieux forés (type 1)
800 5 761 1420
Micropieux de type III
250 5 266 496
(type 19)
Micropieux de type IV
250 5 361 673
(type 19)
Compte tenu des caractéristiques mécaniques des sols d’ancrage, et des sollicitations verticales du
projet, nous donnons le prédimensionnement des fondations uniquement à l’arrachement qui sera le
terme dimensionnant.
Le dimensionnement réel des pieux devra tenir compte des sollicitations liées aux conditions
sismiques, notamment la présence de sollicitations horizontales en tête de pieux et des moments
associés dans le corps du pieu, d’origine inertielle (pylône) à définir par le BET structures en
charge du projet. Par expérience, ces moments seront dimensionnants pour la définition du
diamètre des pieux (micropieux ou pieux forés).
Les dimensionnements seront réalisés en phase G2 PRO.
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10.3 Dispositions particulières
Des hétérogénéités liées au mode de dépôt sont prévisibles dans les alluvions, ainsi nous
recommandons l’enregistrement systématique des paramètres de forage couplé à un suivi d’exécution
par un ingénieur géotechnicien afin de s’assurer du respect des hypothèses géotechniques.
Les choix constructifs ne peuvent être faits que par le BET structure mais les points suivants sont
toutefois à signaler :
- L’entrepreneur vérifiera que le type de pieux et la puissance du matériel qu’il propose
permettront de réaliser les ancrages demandés pour assurer les capacités portantes retenues ;
- Nous rappelons que le substratum est représenté principalement pas un lahar conglomératique à
caractère rocheux. Il présente des passages plus ou moins fracturés et altérés. Des plus arrivées
d’eau sont attendues par infiltration dans ces formations, plus particulièrement en période
pluvieuse. Les techniques de forage et de bétonnage seront adaptées en conséquence ;
- Le dimensionnement des pieux sera obligatoirement mené en phase exécution par le bureau
d’étude de l’entreprise, sur la base des hypothèses géotechniques fournies. Une optimisation
sera possible lors de ce dimensionnement par l’intermédiaire d’une mission géotechnique
complémentaire ;
- Dans le cas de pieux forés, le béton sera coulé de la base du pieu à la tête ;
- Les pieux seront dimensionnés vis-à-vis des efforts horizontaux et des moments ;
- La base des pieux devra être curée soigneusement avant coulage du béton, ce dernier devant
absolument être coulé dans la foulée ;
- Les pieux devront être armés impérativement sur toute la hauteur.
Lors de la réalisation des pieux, il conviendra de vérifier précisément la nature des matériaux extraits
ainsi que les paramètres d’enregistrement pour s’assurer du bon ancrage. Cette vérification sera réalisée
dans le cadre d’une mission de suivi géotechnique d’exécution G3 ou G4 que GINGER GEODE est en
mesure de réaliser.
11 Observations majeures
La reconnaissance est basée sur des sondages ponctuels. Le toit de l’horizon d’assise peut fluctuer
entre les points de sondage.
Les conclusions du présent rapport ne sont valables que sous réserve des conditions générales des
missions géotechniques de l’Union Syndicale Géotechnique fournies en annexe 1 (norme NF P94-500 de
novembre 2013).
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Nous rappelons que cette étude a été menée dans le cadre de l’avant-projet avec la réalisation d’une
mission G2 AVP conformément à la norme NF P 94-500 de novembre 2013.
Une mission G2 PRO est envisagée par la maîtrise d’ouvrage. Elle devra être réalisée avant la
construction d’ouvrages sur la parcelle. Elle devra notamment comporter le dimensionnement des
ouvrages de confortement du talus (paroi antiérosive) et des fondations du projet (pylône, bâtiment
d’exploitation et ouvrage de soutènement).
Des éléments nouveaux découverts lors de la réalisation des études complémentaires n’ayant pu être
mis en évidence lors des investigations réalisées dans le cadre de la présente étude G2 AVP peuvent
mettre à défaut les conclusions de la présente étude.
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Reconstruction d'un Poste Electrique Bâti 63 000 V / 20 000V (800 m² au sol)
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ANNEXE 1 – NOTES GENERALES SUR LES MISSIONS GEOTECHNIQUES
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Extrait de la norme AFNOR sur les MISSIONS D’INGENIERIE GEOTECHNIQUE (NF P 94.500 - version de
Novembre 2013)
L’enchaînement des missions d’ingénierie géotechnique (étapes 1 à 3) doit suivre les étapes de conception et de réalisation de tout projet
pour contribuer à la maîtrise des risques géotechniques. Le maître d’ouvrage ou son mandataire doit faire réaliser successivement chacune
de ces missions par une ingénierie géotechnique. Chaque mission s’appuie sur des données géotechniques adaptées issues
d’investigations géotechniques appropriées.
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ÉTAPE 3 : ÉTUDES GÉOTECHNIQUES DE RÉALISATION (G3 et G 4, distinctes et simultanées)
Phase Étude
— Définir si besoin un programme d’investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats.
— Étudier dans le détail les ouvrages géotechniques : notamment établissement d’une note d’hypothèses géotechniques sur la base des
données fournies par le contrat de travaux ainsi que des résultats des éventuelles investigations complémentaires, définition et dimensionnement
(calculs justificatifs) des ouvrages géotechniques, méthodes et conditions d’exécution (phasages généraux, suivis, auscultations et contrôles à
prévoir, valeurs seuils, dispositions constructives complémentaires éventuelles).
— Élaborer le dossier géotechnique d’exécution des ouvrages géotechniques provisoires et définitifs : plans d’exécution, de phasage et
de suivi.
Phase Suivi
— Suivre en continu les auscultations et l’exécution des ouvrages géotechniques, appliquer si nécessaire des dispositions constructives
prédéfinies en phase Étude.
— Vérifier les données géotechniques par relevés lors des travaux et par un programme d’investigations géotechniques complémentaire
si nécessaire (le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats).
— Établir la prestation géotechnique du dossier des ouvrages exécutés (DOE) et fournir les documents nécessaires à l'établissement du dossier
d'interventions ultérieures sur l'ouvrage (DIUO)
Pendant le déroulement d’un projet ou au cours de la vie d’un ouvrage, il peut être nécessaire de procéder, de façon strictement limitative, à l’étude
d’un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques, dans le cadre d’une mission ponctuelle. Ce diagnostic géotechnique précise l’influence de
cet ou ces éléments géotechniques sur les risques géotechniques identifiés ainsi que leurs conséquences possibles pour le projet ou l’ouvrage
existant.
— Définir, après enquête documentaire, un programme d’investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en
exploiter les résultats.
— Étudier un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques (par exemple soutènement, causes géotechniques d’un désordre) dans le
cadre de ce diagnostic, mais sans aucune implication dans la globalité du projet ou dans l’étude de l’état général de l’ouvrage existant.
— Si ce diagnostic conduit à modifier une partie du projet ou à réaliser des travaux sur l’ouvrage existant, des études géotechniques de conception
et/ou d’exécution ainsi qu’un suivi et une supervision géotechniques seront réalisés ultérieurement, conformément à l’enchaînement des missions
d’ingénierie géotechnique (étape 2 et/ou 3).
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Schéma d’enchaînement des missions types d’ingénierie géotechnique
(NF P 94-500 – Novembre 2013)
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ANNEXE 2 – PLAN D’IMPLANTATION DES SONDAGES GEOTECHNIQUES
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M.1
14
.2
0
Profil 1
BN BN
BN E. E.
E. 7 8 BN
Co 14
35.00
-45.00- 36.00
nt. 22
. 00
-44.96- E.
c -29.37- 13
ad
a 21
34 .00
35.00 35.00
-10.00-
.00
s.=
-10.00-
2 1m Futur pylône 22N 20
. 00
33 .00 34.00
² 19
.00 32.0 33.00
0
BN 18
. 00
31.0
0 32.00 BN
E. E.
Vers Terreville
4 17
. 00
30.0
3
0 31.00
16
100
.00
100
29.00
632 8 626 4620 200 300 30.00
4022 598
P6 24 3974 24 598
400
15 28.00 29.00
. 00 Coupe AA
F6 Coupe BB
-23.7
-0.02
14 27.00
100
. 00 28.00
SC 2 grille démontable acier galvanisé grille démontable acier galvanisé grille démontable acier galvanisé
1153
320 24 850 24 320 24 850 24 320 24 320 24 850 24 275 24 275 24
poteau
RTEERDF
13 TSA
6-
incendie .0 26.00 27.00
0
P2
210
LOCAL SECU. TR 311 GRILLE HTA 1 TR 312 GRILLE HTA 2 GRILLE HTA 3 TR 313 LOCAL UA LOCAL BATTERIES CONDO
P7
16.85 m² 44.70 m² 16.85 m² 44.70 m² 16.85 m² 16.85 m² 44.70 m² 14.45 m²
buse Ø160
Pz2
550
BATTERIES
RTR RTR RTR
26.00
buse Ø160
FOSSE
12 IC IC
25.00
120
DEPORTEE
.00 25.00
RPN RPN RPN
653
IC
4 buses
4 buses
4 buses
Ø200
Ø200
Ø200
24.00
RPN
coffret J
coffret J
Coupe DD fosse câbles fosse câbles fosse câbles Coupe DD
24.00 23.00
ERDF
TCM
RTE
prof. 1.45m prof. 1.45m prof. 1.45m
210
permut. CONDO
24
11 .00
Rue Ti’
. 00 23.00 22
SP 3
120
ZONE TECHNIQUE 1
180 /250
180 /250
redresseur
00
453.25 m²
-40.00-
240
.
1595
21
+0.00
belle Font 1 TR311 bell font. 2 TR312 futur future Hydrobase TR313 desbrosses couplage 22.00
TSA
10.50 NGM
210
CONDO
0
8.0
BN
3
10
. 00 SD 5 21.00 20
.0
300
TSA
5 0
.0
420
420
2 0.00
997
19
2283
7.2 E. 19.00
18
.00
0
12
9.
542
2
.0
17
00
Bo
5
P3
180 /250
180 /250
18.0
15 .00
0
0
16
Co
.0
0
F2
180 360 360 360 360 360 360 360 360 360 360 360 180
.0
17.
nt.
1 4572
14
193
12 .00
urrique
Réserve armoire
-12.30-.00
8.0
11 .00
24
36
13
ad
210
CONDO
CTL 2
F3
0
120 /250
TR 3
10 .00
armoire
F.O. réserve
16.0
10 140
+0.00 DGT. 2 SALLE HTA 4 - RDC
.=3
IC
SALLE HTA 1 - RDC
P.1
0
320
7.20 m² 27.20 m²
27.20 m²
0
CTL 1
TR 2
Diff.
.0
120
0m P.1 00
2x4 fourreaux
-
CBO 1 CBO 2
armoire H.I. trappe
Réserve TR 1
SUP
9.
57
d'accès d'accès
165
120x110 120x110
15.0
Ø160
AUTO
0 ² 8.0
0
56
364
364
7
24
10
VESTIAIRES
688
210
17.50 m² CONDO
7 fourreaux
Ø160
TG
réserve PTT
COMMANDE / RELAYAGE
0
7. 0
84.50 m²
165
trappe trappe
chambre
F1 -5.49-
d'accès d'accès
P1
Baie TCD
120x110 120x110
14.0
0
140 10
Futur
120
0
120 /250
54 120 /250
6.0
320
SALLE HTA 2 - RDC +0.00 DGT. 1 SALLE HTA 3 - RDC
27.20 m² 7.20 m² 27.20 m²
Coupe CC Coupe CC
BN
24 850 36 1320 24 526 24 850 24
-5.42-
210
24
13.0 CONDO
00
154
0
100
E. citerne enterrée
BN 5.
-5.51-
pylône 12
-0.02
6.
BN
+ pompe relevage
F5 BN
00
-5.3
compteur eau
vers réseau communal
vers boite RP
+ disjoncteur
11 AEP
Coupe AA
1705 120 /250 494 90 /250
E. 1269 942 12.00
P.1
E. P.1
300
300
cuveau récupération EP
E. FT
3678
4620
1 0
942 + trappe d'accès
9 58
9-
1 Coupe BB
55
-5.58-
11.00
100
-49.00-
100
-42.68- -34.00- BN
SP 1 10.00 10
.4 E.
P4 8 2
F4 P5
-10
9.0 0
-10.01-
Vers C
.77
BN
-
BN 6.00
E.
entre B
4 6.00
4. E. -121.68- 6 Depot
77 5 5. 0
0 SC 4 5.45
5. 50
0ET
5. 49
Pz4 M.
ourg
3 2 1
Rue du 6. 2 6.20 Stade
5 .26 12 5.7 7
M
5.6 .3
2
LEGENDE :
Prestations réalisés dans le cadre de l’étude G1 PGC Prestations réalisés dans le cadre de l’étude G2 AVP Aménagements proposés dans le cadre du projet
Pénétromètre dynamique Sondage destructif avec réalsation d’essais : Paroi anti-érosive en béton
- Pressiométriques tous les 1.5 m de profondeur
Fouille à la pelle mécanique Sondage carotté avec : Filets pare-blocs
- Prélèvement d’échantillons intacts
Cunettes en tête et pied de paroi
- Pose de piézomètre
Sondage destructif avec essais d’infiltration d’eau Ouvrage de soutènement
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Dossier : G001.E.162_002-01.B Annexes
Annexe:
GINGER COUPES DE PUITS OU SONDAGES
GEODE Chantier : Poste électrique 63 kV / 20kV
Client : EDF
Dossier: G001.E.162D
Echant.
matériel
Nappe
..............
1.5 . . . . . . ..1.50 05.90
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. Substratum lahar (blocs rocheux anguleux gris
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. pluri-centimétriques à pluri-décimétriques dans
0oO:O()O°oO.o° matrice cendreuse)
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
2 0oO:O()O°oO.o°2.00 05.40
Nappe: pas d'eau à la prof. reconnue (à date du sondage) | Observations : Refus au creusement à 2.0 m/TN de profondeur
Ech. 1/25° Coord. X: 704039 Y: 1616972 Z: 9.1 (NGM) Date : Avril 2015
Echant.
matériel
Nappe
R R R
R R
R R R
1 R R 1.00 08.10
\`/-/`,-/`-\`-
'/-,`\-/`-/`,
\`/-/`,-/`-\`-
'/-,`\-/`-/`,
\`/-/`,-/`-\`-
Pelle hydraulique 16t
'/-,`\-/`-/`,
\`/-/`,-/`-\`- Cendres raides à très raides brunes (se
1.5 '/-,`\-/`-/`, désagrégeant sous l'action de la pelle en un
\`/-/`,-/`-\`- matériau d'aspect sableux)
'/-,`\-/`-/`,
\`/-/`,-/`-\`-
'/-,`\-/`-/`,
\`/-/`,-/`-\`-
'/-,`\-/`-/`,
\`/-/`,-/`-\`-
2 '/-,`\-/`-/`, 2.00 07.10
Nappe: pas d'eau à la prof. reconnue (à date du sondage) | Observations : Refus au creusement à 2 m de profondeur
Edité le 03/06/2015
Annexe:
GINGER COUPES DE PUITS OU SONDAGES
GEODE Chantier : Poste électrique 63 kV / 20kV
Client : EDF
Dossier: G001.E.162D
Ech. 1/25° Coord. X: 704072 Y: 1616994 Z: 11.80 (NGM) Date : Avril 2015
Echant.
matériel
Nappe
0.5
1.5
Nappe: pas d'eau à la prof. reconnue (à date du sondage) | Observations : Refus au creusement sur substratum rocheux
Ech. 1/25° Coord. X: 704086 Y: 1616985 Z: 6.8 (NGM) Date : Avril 2015
Echant.
matériel
Nappe
0.5
Logiciel PUITS32 - Version 3.01 -- [ DQ.E138-01 - V.0 du 23/06/2008 ]
1.5
Nappe: pas d'eau à la prof. reconnue (à date du sondage) | Observations : Refus au creusement sur substratum rocheux
Edité le 03/06/2015
Annexe:
GINGER COUPES DE PUITS OU SONDAGES
GEODE Chantier : Poste électrique 63 kV / 20kV
Client : EDF
Dossier: G001.E.162D
Ech. 1/25° Coord. X: 704098 Y: 1617000 Z: 11.20 (NGM) Date : Avril 2015
Echant.
matériel
Nappe
0.5
1.5
Nappe: pas d'eau à la prof. reconnue (à date du sondage) | Observations : Refus au creusement sur substratum rocheux
Ech. 1/25° Coord. X: 704051 Y: 1616999 Z: 15.10 (NGM) Date : Avril 2015
Echant.
matériel
Nappe
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
1 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.: Substratum rocheux lahar (blocs rocheux anguleux
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.: gris pluri-centimétriques à pluri-décimétriques
0oO:O()O°oO.o° dans matrice tuffique rocheuse brune)
°O()o.°o:(°o.:
Pelle hydraulique 16t
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
1.5 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.:
2 0oO:O()O°oO.o°2.00 13.10
Nappe: pas d'eau à la prof. reconnue (à date du sondage) | Observations : Refus au creusement à 2 m de profondeur
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE PENETROMETRE DYNAMIQUE P1
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Client : EDF Localisation essai
Dossier : G001.E.162D - X : 704059
- Y : 1616975
Date essai : 28/04/2015 - Z : 5.90 (NGM)
1 4.90
2 3.90
3 2.90
Logiciel Pendyn32 - Version 3.92 -- [ DQ.E159-01 - V.1 du 03/02/2009 ]
4 1.90
5 0.90
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE PENETROMETRE DYNAMIQUE P2
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Client : EDF Localisation essai
Dossier : G001.E.162D - X : 704043
- Y : 1616990
Date essai : 28/04/2015 - Z : 13.40 (NGM)
1 12.40
2 11.40
3 10.40
Logiciel Pendyn32 - Version 3.92 -- [ DQ.E159-01 - V.1 du 03/02/2009 ]
4 9.40
5 8.40
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE PENETROMETRE DYNAMIQUE P3
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Client : EDF Localisation essai
Dossier : G001.E.162D - X : 704067
- Y : 1616994
Date essai : 28/04/2015 - Z : 12.00 (NGM)
1 11.00
refus au battage à 1.00 m ( 11.00 m NGM )
2 10.00
3 9.00
Logiciel Pendyn32 - Version 3.92 -- [ DQ.E159-01 - V.1 du 03/02/2009 ]
4 8.00
5 7.00
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE PENETROMETRE DYNAMIQUE P4
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Client : EDF Localisation essai
Dossier : G001.E.162D - X : 704090
- Y : 1616990
Date essai : 28/04/2015 - Z : 6.20 (NGM)
2 4.20
3 3.20
Logiciel Pendyn32 - Version 3.92 -- [ DQ.E159-01 - V.1 du 03/02/2009 ]
4 2.20
5 1.20
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE PENETROMETRE DYNAMIQUE P5
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Client : EDF Localisation essai
Dossier : G001.E.162D - X : 704095
- Y : 1616996
Date essai : 28/04/2015 - Z : 10.40 (NGM)
1 9.40
2 8.40
3 7.40
Logiciel Pendyn32 - Version 3.92 -- [ DQ.E159-01 - V.1 du 03/02/2009 ]
4 6.40
5 5.40
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE PENETROMETRE DYNAMIQUE P6
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Client : EDF Localisation essai
Dossier : G001.E.162D - X : 704042
- Y : 1616996
Date essai : 28/04/2015 - Z : 15.50 (NGM)
1 14.50
refus au battage à 1.00 m ( 14.50 m NGM )
2 13.50
3 12.50
Logiciel Pendyn32 - Version 3.92 -- [ DQ.E159-01 - V.1 du 03/02/2009 ]
4 11.50
5 10.50
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE PENETROMETRE DYNAMIQUE P7
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Client : EDF Localisation essai
Dossier : G001.E.162D - X : 704080
- Y : 1617008
Date essai : 28/04/2015 - Z : 18.00 (NGM)
1 17.00
2 16.00
3 15.00
Logiciel Pendyn32 - Version 3.92 -- [ DQ.E159-01 - V.1 du 03/02/2009 ]
4 14.00
5 13.00
Edité le 03/06/2015
GINGER GEODE MTQE140
tubage provisoire :
protection cote base : L 2 =
L0
T.N. diamètre: C =
équipement :
massif de tête
L2 base équipement : L 1 = - 12 m
cote tête : L 0 = + 0.52 m
tube lisse diamètre ext.: D = 0.06
L5 diamètre int.: d = 0.054
cimentation Nota : pompe GEODE Ø50 mm
L6 bouchon L3 crépine :
cote haut : L 3 = - 2 m
cote base : L 4 = - 12 m
largeur des fentes = 1 mm
chaussette géotextile =
gravier :
granulométrie = 5/15 mm
crépine
gravier largeur des fentes =
L4 bouchon d'argile :
cote haut : L 5 = - 0.5 m
L1 cote bas : L 6 = - 2 m
décanteur L
cimentation :
cote haut = 0
B cote bas = - 0.5 m
Remarques, observations :
Toute reproduction intégrale ou partielle, faite en dehors d’une demande expresse de la Direction de GINGER GEODE est illicite.
GINGER GEODE MTQE140
Nettoyage du piézomètre
Remarques et/ou observations (Obturation, piezo sec, bouche a clef inexistante, etc……….)
Niveau d'eau AVANT nettoyage : 9.6 m (Niveau N1) Date du relevé : 01 / 06 / 2015
Tant que le niveau d'eau n'est pas remonté à sa mesure initiale (Niveau avant nettoyage N1 ) il faut relever le niveau
d'eau selon un rythme qui est fonction de la vitesse de remontée et qui est à définir sur place.
On mesurera le niveau de remontée jusqu'à ce que le niveau initial (N1) soit atteint.
13.30 NGM
Relevés du piézomètre
Observations :
Toute reproduction intégrale ou partielle, faite en dehors d’une demande expresse de la Direction de GINGER CEBTP, est illicite.
GINGER GEODE MTQE140
tubage provisoire :
protection cote base : L 2 =
L0
T.N. diamètre: C =
équipement :
massif de tête
L2 base équipement : L 1 = - 8.2 m
cote tête : L 0 = + 0.59 m
tube lisse diamètre ext.: D = 0.06
L5 diamètre int.: d = 0.054
cimentation Nota : pompe GEODE Ø50 mm
L6 bouchon L3 crépine :
cote haut : L 3 = - 1 m
cote base : L 4 = - 8.2 m
largeur des fentes = 1 mm
chaussette géotextile =
gravier :
granulométrie = 5/15 mm
crépine
gravier largeur des fentes =
L4 bouchon d'argile :
cote haut : L 5 = - 0.5 m
L1 cote bas : L 6 = - 1 m
décanteur L
cimentation :
cote haut = 0
B cote bas = - 0.5 m
Remarques, observations :
Toute reproduction intégrale ou partielle, faite en dehors d’une demande expresse de la Direction de GINGER GEODE est illicite.
GINGER GEODE MTQE140
Nettoyage du piézomètre
Remarques et/ou observations (Obturation, piezo sec, bouche a clef inexistante, etc……….)
Niveau d'eau AVANT nettoyage : 2.5 m (Niveau N1) Date du relevé : 01 / 06 / 2015
Tant que le niveau d'eau n'est pas remonté à sa mesure initiale (Niveau avant nettoyage N1 ) il faut relever le niveau
d'eau selon un rythme qui est fonction de la vitesse de remontée et qui est à définir sur place.
On mesurera le niveau de remontée jusqu'à ce que le niveau initial (N1) soit atteint.
6.20 NGM
Relevés du piézomètre
27/05/2015 6 20 2.05
01/06/2015 6 30 2.72
01/06/2015 10 30 2.53 8.21
Observations :
Toute reproduction intégrale ou partielle, faite en dehors d’une demande expresse de la Direction de GINGER CEBTP, est illicite.
annexe:
SONDAGE CAROTTE SC2
GINGER Chantier : SCHOELCHER
GEODE Client : EDF
Poste électrique 63kV/20kV
Dossier : G001.E.162_002D
Coordonnées du sondage:
X : 704042 Y : 1616988 Z : 13.30 (NGM)
Ech.Prof: 1/75° date travaux: 25-28/05/2015
Echant.
Tubage
Etages
Outils
2
70 0%
Lahar cendreux plus ou moins altéré en sable
3 limoneux beige/marron-clair à galets
60 0%
4
70 0%
5 °O()o.°o:(°o..
5.00 08.30
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 75 60%
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
6 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
Carottier double Ø116 mm
0oO:O()O°oO.o° 90
°O()o.°o:(°o.. 40%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
7 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. 80 10%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
8 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 90 45%
°O()o.°o:(°o..
Logiciel SONDAGE32 - Version 3.60 du 04-02-2015 -- [ DQ.E137 - V.1 du 17/05/2011 ]
0oO:O()O°oO.o°
9 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
_ 0oO:O()O°oO.o° _ 85
01/06/2015 15%
¥ °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
¥
°O()o.°o:(°o.. Lahar rocheux plus ou moins fracturé et
10 0oO:O()O°oO.o°
altéré gris clair à gris sombre
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. 90 80%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
11 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 85 50%
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
12 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 85
°O()o.°o:(°o.. 40%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
13 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. 75 10%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
14 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 70 0%
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
15.00 - 01.70 [ Arrêt du sondage ]
15 °O()o.°o:(°o..
Edité le 29/06/2015
annexe:
SONDAGE CAROTTE SC4
GINGER Chantier : SCHOELCHER
GEODE Client : EDF
Poste électrique 63kV/20kV
Dossier : G001.E.162_002D
Coordonnées du sondage:
X : 704090 Y : 1616984 Z : 6.20 (NGM)
Ech.Prof: 1/75° date travaux: 25-28/05/2015
Echant.
Tubage
Etages
Outils
0oO:O()O°oO.o°
4 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 75 25%
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
5 °O()o.°o:(°o.. Lahar très fracturé gris à marron
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 85
°O()o.°o:(°o.. 45%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
6 0oO:O()O°oO.o° 6.10 00.10
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. 90 80%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
7 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 50 65%
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
8 °O()o.°o:(°o.. Lahar rocheux fracturé gris sombre à gris
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
clair violacé
0oO:O()O°oO.o° 70
°O()o.°o:(°o.. 90%
0oO:O()O°oO.o°
Logiciel SONDAGE32 - Version 3.60 du 04-02-2015 -- [ DQ.E137 - V.1 du 17/05/2011 ]
°O()o.°o:(°o..
9 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. 50 75%
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o° 10.00 - 03.80
10
[ Arrêt du sondage ]
11
12
13
14
15
Edité le 29/06/2015
SCHOELCHER - Poste de transformation 63kV/20kV
EDF
Planche photographique - Sondage carotté SC 2
GEODE 01/06/2015 Dessiné par : F. SEGUENI Contrôlé par : G001.E.162_002D
1m
2m
3m
4m
5m
6m
7m
8m
9m
10 m
SCHOELCHER - Poste de transformation 63kV/20kV
EDF
Planche photographique - Sondage carotté SC 2
GEODE 01/06/2015 Dessiné par : F. SEGUENI Contrôlé par : G001.E.162_002D
11 m
12 m
13 m
14 m
15 m
SCHOELCHER - Poste de transformation 63kV/20kV
EDF
Planche photographique - Sondage carotté SC 4
GEODE 01/06/2015 Dessiné par : F. SEGUENI Contrôlé par : G001.E.162_002D
1m
2m
3m
4m
5m
6m
7m
8m
9m
10 m
annexe:
GINGER SONDAGE PRESSIOMETRIQUE SP1
GEODE Chantier : SCHOELCHER
Poste électrique 63kV/20kV
Client : EDF
Dossier : G001.E.162_002D
Coordonnées du sondage:
X : 704058 Y : 1616972 Z : 5.7 (NGM)
Prof en MPa
Sondes
Outils
4 °O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
Taillant Ø64 mm
11
12
13
14
15
Prof en MPa
Sondes
Outils
°O()o.°o:(°o..
4 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. >3.64 x o> 6.00 344 o <57.3
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
5 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
6 °O()o.°o:(°o.. >3.48 x o> 6.00 208 o
0oO:O()O°oO.o° <34.7
°O()o.°o:(°o..
_ _ _
¥ 05.80 0oO:O()O°oO.o°
¥
°O()o.°o:(°o.. ¥
0oO:O()O°oO.o°
Taillant Ø64 mm
°O()o.°o:(°o..
7 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
Lahar rocheux marron à gris et °O()o.°o:(°o.. >3.49 x o> 6.00 245 o
0oO:O()O°oO.o° <40.8
violacé °O()o.°o:(°o..
8 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
9 °O()o.°o:(°o.. >3.48 x o> 6.00 269 o
0oO:O()O°oO.o° <44.8
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
10 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. >3.57 x o> 6.00 370 o <61.7
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
11 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
12 °O()o.°o:(°o.. >3.50 x o> 6.00 279 o
0oO:O()O°oO.o° <46.5
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
13 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. >3.49 x o> 6.00 306 o
0oO:O()O°oO.o° <51.0
°O()o.°o:(°o..
14 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o..
15 15.00 - 02.60 0oO:O()O°oO.o°
°O()o.°o:(°o.. >3.55 x o> 6.00 343 o <57.2
[ Arrêt du sondage ]
Observations : Forage réalisé à l'eau Nappe: niveau d'eau à 6.6 m.
Edité le 29/06/2015 niveau relevé le 02/06/2015
ANNEXE 4 – RESULTATS DES ESSAIS EN LABORATOIRE
Affaire : SCHOELCHER (97233) - Reconstruction d'un Poste Electrique Bâti 63 000 V / 20 000V (800 m² au sol)
Dossier : G001.E.162_002-01.B Annexes
ESSAI DE FRAGMENTABILITE
DOSSIER : G001.F.162-002D DATE DE PRELEVEMENT : 28-mai-2015
AFFAIRE : Poste de transformation H.T.
TAMISAT EN %
40
20
0
TAMISAGE SEDIMENTATION
ECHANTILLON W% ESV % ESP % Passant à 80 µ VBS F.S. Coef. A Coef. LA MDE GTR 92
SC2 6.00/12.00m 62 51 R62
FR : 7.1%
ESSAI DE FRAGMENTABILITE
DOSSIER : G001.F.162-002D DATE DE PRELEVEMENT : 28-mai-2015
AFFAIRE : Poste de transformation H.T.
TAMISAT EN %
40
20
0
TAMISAGE SEDIMENTATION
ECHANTILLON W% ESV % ESP % Passant à 80 µ VBS F.S. Coef. A Coef. LA MDE GTR 92
SC4 6.00/10.00m 56 61 R62
FR : 6%
annexe:
Chantier : SCHOELCHER
Nature du matériau : CENDRES
Client : EDF Repère ou sondage : F6/SC2
Destinataire : EDF Profondeur : 1.0 à 2.5 m
Adresse : Mode prélèvement : carottage et pelle mécanique
Date prélèvement : 28/05/2015
Dossier : G001.E.162_002D Prélèvé par : GINGER CAMAXA
N° d'enregistrement : F6 Date des essais : 16/06/2015
D.max Teneur en Valeur Limite de Limite de Indice de Passant Passant Passant Poinçon- Masse vol. Classification
eau (*) au bleu liquidité plasticité plasticité à à à nement humide du sol
W VBS WL WP IP 5 mm 2 mm 80µ I.P.I. MVh
mm % g/100g % % - % % % - kg/m3
NFP 94-050 NFP 94-068 NFP 94-078 NFP 94-078 NFP 94-078 NFP 94-078 NFP 94-053 NFP 11-300
40 21.9 1.25 88 85 43 30 1983 A1th
(*) Par dérogation à la norme, la mesure de la teneur en eau est effectuée en laissant le matériau au moins 12 heures à l'étuve
100
90
80
70
60
50
40
30
20
10
0
80µ 0.1mm 1mm 10mm 100
Ouverture de tamis (mm)
Tamis en mm 0.08 0.16 0.315 0.5 0.63 1.25 2 2.5 5 6.3 8 10 12.5 16 20 31.5 40
Passants (%) 43% 55% 70% 76% 78% 83% 85% 86% 88% 88% 89% 90% 91% 92% 93% 96% 100%
Le présent rapport d'essai comporte une page unique. Il ne concerne que les objets soumis aux essais.
Sauf autorisation préalable, il n'est utilisable à des fins commerciales ou publicitaires qu'en reproduction intégrale.
ANNEXE:
Matériau
Provenance : EDF - SCHOELCHER Date du prélèvement : 28/05/2015
N° sondage : F6/SC2 Date de l'essai : 12 -16/06/2015
Profondeur : 1.0 à 2.5 m
Nature du matériau : Cendres Points W (%) γd (t/m3) CBR
Mode de prélèvement : Pelle mécanique 1 7.2 1.486 10
Teneur en eau naturelle : 18% 2 18 1.518 25
3 28.8 1.475 0
4
Essai effectué sur les éléments < 20 mm Moule CBR
WOPN : 17% γdOPN : 1.52 T/m3
1.60
Points expérimentaux
Sr=80% - rs = 2.7 t/m3
1.57 Sr=100% - rs = 2.7 t/m3
1.54
1.51
1.48
γ d (t/m3)
1.45
1.42
1.39
1.36
1.33
1.30
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18 20 22 24 26 28 30
Teneur en eau W (%)
NF P 94-093
GINGER GEODE
Monsieur Farid SEGUENI
23 immeuble les flamboyants
z.i. la lézarde
97232 LE LAMENTIN
RAPPORT D'ANALYSE
N° de rapport d'analyse : AR-15-LK-043413-01 Version du : 24/06/2015 Page 1/8
Dossier N° : 15E034758 Date de réception : 04/06/2015
Référence Dossier : N° de dossier : G001.E.162_002D-SCHOELCHER
Référence Commande : BCG001.F.042
(223) Spectrophotométrie visible : l'analyse a été réalisée sur l'échantillon filtré à 0.45µm.
Les résultats précédés du signe < correspondent aux limites de quantification, elles sont la responsabilité du laboratoire et fonction de la matrice.
Tous les éléments de traçabilité sont disponibles sur demande
Méthodes de calcul de l'incertitude (valeur maximisée) : (A) : Eurachem (B) : XP T 90-220 (C) : NF ISO 11352 (D) : ISO 15767 (e) : Méthode interne
Méthode interne
Analyses immédiates
LS001 : Mesure du pH Prestation réalisée sur le site de Saverne NF
EN ISO/IEC 17025:2005 COFRAC 1-1488
Potentiométrie - NF EN ISO 10523
pH * 8.6 * 7.9
Indices de pollution
001 : SC2 - 2.0 à 4.0 m 004 : PZ4
002 : SC2 - 7.5 à 8.0 m
003 : PZ2
Eurofins Analyses pour l'Environnement - Site de Saverne ACCREDITATION
5, rue d'Otterswiller - 67700 Saverne N° 1- 1488
Tél 03 88 911 911 - fax 03 88 916 531 - site web : www.eurofins.fr/env Site de saverne
SAS au capital de 1 632 800 € - APE 7120B - RCS SAVERNE 422 998 971 Portée disponible sur
www.cofrac.fr
RAPPORT D'ANALYSE
N° de rapport d'analyse : AR-15-LK-043413-01 Version du : 24/06/2015 Page 3/8
Dossier N° : 15E034758 Date de réception : 04/06/2015
Référence Dossier : N° de dossier : G001.E.162_002D-SCHOELCHER
Référence Commande : BCG001.F.042
Métaux
XXS01 : Minéralisation eau * - * -
régale - Bloc chauffant
Prestation réalisée sur le site de Saverne
NF EN ISO/IEC 17025:2005 COFRAC
1-1488
NF EN 13346 (X 33-010) Méthode B
Sol : 1
LS865 : Arsenic (As) mg/kg MS * 5.06 * <1.00
Prestation réalisée sur le site de Saverne
NF EN ISO/IEC 17025:2005 COFRAC
1-1488
Minéralisation à l’eau régale et dosage par ICP/AES -
NF EN ISO 11885 - NF EN 13346 (X 33-010) Méthode
B
Sol : 0.4
LS870 : Cadmium (Cd) mg/kg MS * <0.40 * <0.40
Prestation réalisée sur le site de Saverne
NF EN ISO/IEC 17025:2005 COFRAC
1-1488
Hydrocarbures totaux
LS919 : Hydrocarbures totaux (4 tranches) (C10-C40) Prestation réalisée sur le site de Saverne NF
EN ISO/IEC 17025:2005 COFRAC 1-1488
Extraction Hexane / Acétone et dosage par GC/FID - NF EN 14039
Indice Hydrocarbures (C10-C40) mg/kg MS * <15.0 * 19.8 Sol : 15
LSL4E : Découpage 8 tranches HCT-CPG nC10 à nC40 Prestation réalisée sur le site de Saverne
Découpage seul - Méthode interne
C10 - C12 inclus % - 6.50
Composés Volatils
LSA48 : COHV par Head Space/GC/MS solides Prestation réalisée sur le site de Saverne NF
EN ISO/IEC 17025:2005 COFRAC 1-1488
Extraction méthanolique et dosage par HS/GC/MS - NF ISO 22155 (X 31-438) - NF EN ISO 22155
Dichlorométhane mg/kg MS * <0.05 * <0.06 Sol : 0.05
LSA46 : BTEX par Head Space/GC/MS Prestation réalisée sur le site de Saverne NF
EN ISO/IEC 17025:2005 COFRAC 1-1488
Extraction méthanolique et dosage par HS/GC/MS - NF EN ISO 22155
Benzène mg/kg MS * <0.05 * <0.05 Sol : 0.05
Seules certaines prestations rapportées dans ce document sont couvertes par l’accréditation. Elles sont identifiées par le symbole *.
Laboratoire agréé par le ministère chargé de l’environnement : portée disponible sur http://www.labeau.ecologie.gouv.fr
Laboratoire agréé pour la réalisation des prélèvements et des analyses terrains et/ou des analyses des paramètres du contrôle sanitaire des eaux – portée détaillée
de l’agrément disponible sur demande.
Laboratoire agréé par le ministre chargé des installations classées conformément à l’arrêté du 11 Mars 2010. Mention des types d'analyses pour lesquels l'agrément a
été délivré sur : www.eurofins.fr ou disponible sur demande.
SC2 SC4
Longueur (en mm) 180 180
Affaire : SCHOELCHER (97233) - Reconstruction d'un Poste Electrique Bâti 63 000 V / 20 000V (800 m² au sol)
Dossier : G001.E.162_002-01.B Annexes
SERVICE GEOTECHNIQUE GINGER GEODE
L= 3.00 m
Débit d'apport : Qa= 0.00E+00 m3/s
Cavité B= 0.064 m
Tubage : Diam = 64/64 mm F= 4.2
MESURES
Coefficient de PERMEABILITE : k= 4.6E-08 m/s
t(s) Z (m)
0 0.09
60 0.10
Pente de la courbe semi-logarithmique : α = 6.0E-05
120 0.11
180 0.11
240 0.12
300 0.12 Ln[h0/h(t)] y = 6E-05x Courbe expérimentale
360 0.13 Linéaire (Courbe expérimentale)
420 0.14 0.16
480 0.14
540 0.15
600 0.15
660 0.16 0.14
720 0.16
780 0.16
840 0.17 0.12
900 0.18
1200 0.20
1500 0.22
0.1
1800 0.24
2100 0.26
2400 0.27
2700 0.29 0.08
0.06
0.04
0.02
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000
t-t0 (s)
SERVICE GEOTECHNIQUE GINGER GEODE
L= 3.30 m
Débit d'apport : Qa= 0.00E+00 m3/s
Cavité B= 0.064 m
Tubage : Diam = 64/64 mm F= 4.5
MESURES
Coefficient de PERMEABILITE : k= 1.4E-09 m/s
t(s) Z (m)
0 1.70
60 1.70
Pente de la courbe semi-logarithmique : α = 2.0E-06
120 1.70
180 1.70
240 1.70
300 1.70 Ln[h0/h(t)] y = 2E-06x Courbe expérimentale
360 1.70 Linéaire (Courbe expérimentale)
420 1.70 0.007
480 1.70
540 1.70
600 1.70
660 1.70 0.006
720 1.70
780 1.70
840 1.70
900 1.70 0.005
960 1.70
1020 1.70
1080 1.70
1140 1.70 0.004
1200 1.70
1500 1.71
1800 1.71
2100 1.71 0.003
2400 1.72
2700 1.72
3000 1.72
0.002
0.001
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 3500
t-t0 (s)
SERVICE GEOTECHNIQUE GINGER GEODE
L= 7.70 m
Débit d'apport : Qa= 0.00E+00 m3/s
Cavité B= 0.064 m
Tubage : Diam = 64/64 mm F= 8.8
MESURES
Coefficient de PERMEABILITE : k= 2.9E-08 m/s
t(s) Z (m)
0 0.00
60 0.02
Pente de la courbe semi-logarithmique : α = 8.0E-05
120 0.03
180 0.03
240 0.04
300 0.05 Ln[h0/h(t)] y = 8E-05x Courbe expérimentale
360 0.06 Linéaire (Courbe expérimentale)
420 0.07 0.5
480 0.07
540 0.07
600 0.08 0.45
660 0.08
720 0.10
780 0.10 0.4
840 0.11
900 0.12
0.35
960 0.13
1020 0.13
1080 0.15 0.3
1140 0.16
1200 0.17
1500 0.20 0.25
1800 0.24
2100 0.29
0.2
2400 0.32
2700 0.38
3000 0.45
0.15
3300 0.50
3600 0.55
0.1
0.05
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 3500 4000
t-t0 (s)
SERVICE GEOTECHNIQUE GINGER GEODE
L= 3.00 m
Débit d'apport : Qa= 0.00E+00 m3/s
Cavité B= 0.064 m
Tubage : Diam = 64/64 mm F= 4.2
MESURES
Coefficient de PERMEABILITE : k= 2.3E-08 m/s
t(s) Z (m)
0 0.00
60 0.00
Pente de la courbe semi-logarithmique : α = 3.0E-05
120 0.01
180 0.01
240 0.02
300 0.02 Ln[h0/h(t)] y = 3E-05x Courbe expérimentale
360 0.02 Linéaire (Courbe expérimentale)
420 0.03 0.2
480 0.03
540 0.04
600 0.04 0.18
660 0.05
720 0.05
780 0.05 0.16
840 0.05
900 0.05
0.14
960 0.06
1020 0.06
1080 0.06 0.12
1140 0.07
1200 0.07
1500 0.09 0.1
1800 0.09
2100 0.11
0.08
2400 0.12
2700 0.13
3000 0.14
0.06
3300 0.14
3600 0.15
0.04
0.02
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 3500 4000
t-t0 (s)
SERVICE GEOTECHNIQUE GINGER GEODE
L= 1.00 m
Débit d'apport : Qa= 0.00E+00 m3/s
Cavité B= 0.064 m
Tubage : Diam = 64/64 mm F= 1.8
MESURES
Coefficient de PERMEABILITE : k= 3.5E-08 m/s
t(s) Z (m)
0 0.02
60 0.02
Pente de la courbe semi-logarithmique : α = 2.0E-05
120 0.02
180 0.02
240 0.03
300 0.03 Ln[h0/h(t)] y = 2E-05x Courbe expérimentale
360 0.03 Linéaire (Courbe expérimentale)
420 0.03 0.1
480 0.03
540 0.03
600 0.03 0.09
660 0.03
720 0.03
780 0.03 0.08
840 0.03
900 0.04
0.07
960 0.04
1020 0.04
1080 0.04 0.06
1140 0.04
1200 0.04
1500 0.04 0.05
1800 0.04
2100 0.05
0.04
2400 0.05
2700 0.05
3000 0.05
0.03
3300 0.05
3600 0.05
0.02
0.01
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 3500 4000
t-t0 (s)
SERVICE GEOTECHNIQUE GINGER GEODE
L= 13.50 m
Débit d'apport : Qa= 0.00E+00 m3/s
Cavité B= 0.064 m
Tubage : Diam = 64/64 mm F= 14.0
MESURES
Coefficient de PERMEABILITE : k= 1.6E-08 m/s
t(s) Z (m)
0 2.80
60 2.82
Pente de la courbe semi-logarithmique : α = 7.0E-05
120 2.83
180 2.84
240 2.86
300 2.89 Ln[h0/h(t)] y = 7E-05x Courbe expérimentale
360 2.91 Linéaire (Courbe expérimentale)
420 2.93 0.25
480 2.95
540 2.97
600 2.99
660 3.00
720 3.02
780 3.04 0.2
840 3.06
900 3.08
960 3.10
1020 3.12
1080 3.14 0.15
1140 3.16
1200 3.18
1500 3.28
1800 3.40
2100 3.50
0.1
2400 3.60
2700 3.70
3000 3.80
3300 3.90
0.05
0
0 500 1000 1500 2000 2500 3000 3500
t-t0 (s)
ANNEXE 6 – PROFIL GEOTECHNIQUE INTERPRETATIF
Affaire : SCHOELCHER (97233) - Reconstruction d'un Poste Electrique Bâti 63 000 V / 20 000V (800 m² au sol)
Dossier : G001.E.162_002-01.B Annexes
Nord-ouest Sud-est
Limite de
propriété
Zone d’implantation
du pylône 22N
F1
P6
P2/SC2 +9.45
+7.81
25
25 105 25
+6.11
terra
in ex
405
istan
t
P1/SP1
311
4
300
TR 311 ZONE TECHNIQUE 1 SALLE HTA 1 SALLE HTA 2 -0.02
30
580
LEGENDE
200
200
S.S. TECHNIQUE 1
-2.30
-3.20
Lahar rocheux
Cote NGM
22.19
20.52
16.51
15.00
10.13
11.81
6.27
5.93
5.49
5.15
5.10
du terrain naturel
Distance partielle (m) 6.197 12.353 5.706 9.075 6.714 6.563 6.331 8.313 6.961 6.086
Format : A3
G001.E.162D Date : 20/08/2015 Indice : 1 Annexe : 6
Echelle : 1/250