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1 author:
Elmiz Mohamed
LACPRENE
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Doctoral thesis: Study of the interactions between a clay support and bioactive molecules and applications View project
All content following this page was uploaded by Elmiz Mohamed on 07 June 2019.
Encadrée par :
Prof. SAMIRA SALHI
Prof. Mostafa Mimouni
Examinateurs :
2
Nom officiel & raison sociale: Laboratoire Public d'Essais et d'Etudes
(LPEE)
Adresse complète:
De l'expertise à la certification, des mesures aux contrôles, des études aux essais
sur le terrain, le LPEE intervient à tous les niveaux de réalisation et d'exploitation des
projets.
3
public qui se situe au carrefour de tous les intervenants dans le bâtiment, le génie
civil et les industries.
Le sol.
Le LPEE compte parmi ses clients et partenaires des opérateurs publics et privés
représentant les secteurs les plus variés de l'économie nationale.
4
Avec les maîtres d'ouvrages publics ou privés, le LPEE accompagne les projets
durant leur cycle de vie principalement durant les études préliminaires et de projet,
durant les différentes étapes de réalisation, comme il peut intervenir par le conseil et
l'expertise durant l'exploitation des projets.
Aux entreprises, nous apportons un soutien technique pour leur permettre d'opérer
les meilleurs choix de procéder, de matériaux et de mise en oeuvre et de façon
générale pour assurer le contrôle de qualité et de conformité des travaux qu'ils
exécutent.
5
En vue de la situation économique actuelle, qui se caractérise par la libération des
marchés, le L.P.E.E entame une démarche qualité. Toutes les unités du Laboratoire
doivent faire face au défi de la concurrence tant régional qu’international.
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I. Présentation :
Les essais du béton aux laboratoires sont :
Analyse granulométrique par tamisage P 18-560
Mesure du coefficient d’aplatissement P 18-561
Essais Los Angelés P 18-573
Equivalent de sable P 18-598
Essai de compression NF P 18-406
Les essais au chantier :
Des prélèvements par des sacs en plastiques et contrôle de béton par 6 (six)
éprouvettes remplie en béton.
II. Analyse granulométrique par tamisage (NF P 18-
560/NF P 18-561) :
a. Principe de l’essai :
L’analyse granulométrique a trois buts :
Déterminer les dimensions des grains.
Déterminer les proportions de grains de même dimension (% pondéral).
En déduire le Module de finesse (Mf).
Les granulats utilisés dans le domaine du bâtiment et du génie civil sont des
matériaux roulés ou concassés d’origine naturelle ou artificielle, de dimensions
comprises entre 0 et 80 mm.
Ils ne sont généralement pas constitués par des éléments de tailles égales mais par
un ensemble de grains dont les tailles variées se répartissent entre deux limites: la
plus petite (d) et la plus grande (D) en mm.
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normalisées et décroissantes du haut vers le bas entre 80 mm et 0,063 mm.
Le module de finesse Mf est une caractéristique importante surtout en ce qui
concerne les sables.
Un bon sable à béton doit avoir un module de finesse Mf compris entre 2,2 et 2,8 ;
au-dessous, le sable a une majorité d’éléments fins et très fins, ce qui nécessite une
augmentation du dosage en eau ; au-dessus, le sable manque de fines et le béton y
perd en ouvrabilité.
Pour 2,2<Mf<2,8 le sable est à utiliser si l’on recherche une ouvrabilité satisfaisante
et une bonne résistance avec des risques de ségrégation limités.
Pour 2,8<Mf<3,2 le sable est à utiliser si l’on recherche des résistances élevées au
détriment de l’ouvrabilité et avec des risques de ségrégation.
b. Matériel utilisé :
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Les dimensions de mailles et le nombre de tamis sont choisis en fonction de la
nature de l'échantillon et de la précision attendue.
c. Tamisage de l’échantillon :
Verser le matériau lavé et séché dans la colonne de tamis sachant que
Cette colonne est constituée par l'emboîtement des tamis, en les
classant de haut en bas dans l'ordre de mailles décroissantes, et en
ajoutant un fond plein et un couvercle.
10
III. Equivalent de sable (NF P 18-598):
a. But de l’essai :
Essai utilisé de manière courante pour évaluer la propreté des sables entrant dans la
composition des bétons. Il consiste à séparer les particules fines contenues dans les
éléments sableux plus grossiers. Une procédure normalisée permet de déterminer un
coefficient d’équivalence de sable qui quantifie la propreté de celui-ci.
b. Principe de l’essai :
L’essai est effectué sur la fraction 0/5 mm du matériau à étudier. Le tamisage se fait
par voie humide afin de ne pas perdre d’éléments fins.
On lave l’échantillon, selon un processus normalisé. Pour cela on utilise une solution
dite « lavante », elle permet de séparer les éléments fins argileux et provoque la
floculation. Après décantation, on mesure la hauteur des fines floculées (sable
propre + éléments fins = h1) et la hauteur de sable propre (h2 si c’est au piston ou
h’2 si c’est au réglet).
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c. Procédure de l’essai :
12
IV. Coefficient d’aplatissement des granulats (NF P 18-):
a. But de l’essai :
La mesure du coefficient d’aplatissement (CA) caractérise la forme plus ou moins
massive des granulats.
Le CA s’obtient en faisant une double analyse granulométrique, en utilisant
successivement, et pour le même échantillon de granulats :
Une série de tamis normalisés à mailles carrées
Une série de tamis à fentes de largeurs normalisées
b. procédure de l’essai :
L’essai consiste en un double tamisage :
1. Tamisage classique sur une colonne de tamis à mailles carrées, afin
d’isoler les classes granulaires di/Di.
2. 2. Les différentes classes granulaires di/Di ainsi isolées sont tamisées
une à une sur les grilles à fentes parallèles d’écartement E = Di/2
(ex : D = 20 il vient E = 20 / 2 = 10).
13
V. Mesure de la masse volumique (NF P 18):
a. Mesure de la masse volumique apparente:
Mesurer le volume V.
Remplir la mesure de matériau
(Placer les 2 mains à 10 cm
environ au-dessus de la mesure
et laisser tomber le matériau ni
trop vite, ni trop lentement), araser
celle-ci.
Peser l’ensemble, en déduire la
masse du matériau m.
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c. Mesure d’indice des vides:
L’indice des vides (i) est le rapport du volume des vides (Vv) sur le volume de solide
(Vs).
b. But de l’essai:
La résistance à l’usure pour certaines roches à l’état sec ou à l’état humide. Cette
résistance est déterminée par l’essai DEVAL.
c. Procédure d’essai
1. Prise d’essai de 500 g lavée et séchée (M).
2. Mise en place dans un tambour avec 5 kg de billes métalliques calibrées et
2.5 litres d’eau.
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3. Appliquer une rotation de 12 000 tours (2 heurs) au tambour à la vitesse de
100 tours/minute.
4. Retirer alors la prise d’essai, pour lavage au-dessus d’un tamis de 1.6 mm.
MDE = (500-M) / 5
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b. Procédure d’essai:
1. Un échantillon de fraction 10/14 mm et de masse sèche égale à 5 000g + 5 g
(Mo) est placé dans un tambour contenant 11 boulets d'acier
3. La friction des granulats entre eux et des granulats contre les boulets et les
parois du tambour provoque leur dégradation plus ou moins accrue.
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I. Introduction :
les fissurations de surface sous la forme de fissures isolées ou, dans les cas
les plus graves, sous la forme de faïençage généralisé,
les déformations permanentes (ou orniérage) suite à l'accumulation de
déformations irréversibles,
les dégradations de surface sous la forme de polissage des granulats, les
désenrobages et perte de gravillons, les pelades et les nids de poule.
II. Les performances recherchées:
Il est raisonnablement admis, par les professionnels de la route, que les propriétés
recherchées afin de caractériser les performances des chaussées à long terme sont :
Le module
La résistance à la fatigue mécanique
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La résistance aux sollicitations thermiques
La résistance aux fissurations de retrait hydraulique
L’adhérence
La résistance à l’arrachement
Le vieillissement
La susceptibilité hydraulique
A l’exception de la susceptibilité hydraulique, ces dernières propriétés non
mécaniques ne sont pas traitées dans le laboratoire.
Les essais du formulation d’enrobé au laboratoire sont :
Essai Marshall sur mélange hydrocarboné à chaud.
Essai duriez sur mélange hydrocarboné à chaud.
Pesé hydrostatique d'éprouvette d'enrobé.
III. Présentation :
L’enrobé est un mélange à chaud ou froid de granulats de type 0/D, de bitumes pur
ou modifié, de filler (calcaire broyé ) et d’éventuels ajouts ( Polyéthylène, granulflex,
gilsonite, etc. ).
a. Les granulats
Leur taille, notée d/D avec d la dimension des plus petits éléments et D
celle des plus gros .
Le coefficient d’aplatissement.
Leur nature minéralogique (calcaire, silice, granite, etc.) qui fait varier la
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qualité du granulat.
Et les graves du type 0/10, 0/14, 0/20, ou 0/30 qui peuvent être soit
naturelles soit reconstituées en mélangeant différentes catégories de
granulats.
b. Le bitume :
Le bitume est obtenu par distillation du pétrole. A température ambiante il est solide
alors qu’il est liquide à 150°C .
Il en existe différentes sortes classées sous les appellations suivantes du plus dur au
plus mou :
bitume 20/30.
bitume 35/50.
bitume 50/70.
bitume 70/100.
bitume 180/220.
Le bitume 20/30 est dit dur, c’est à dire qu’il a besoin d’une plus forte température
pour ramollir.
21
Un enrobé à base de bitume 20/30 convient, donc mieux aux région très ensoleillées.
De plus, l’enrobé confectionné avec ce bitume aura des propriétés anti-orniérantes
importantes.
Mais puisque le bitume est dur, il aura plus tendance à se casser d’où risque de
fissurations.
En revanche, un enrobé à base de bitume 180/220 sera plus mou et résistera plus
en fatigue, mais
Un tel enrobé conviendra plus à des voies de trafic faible et aux régions
montagneuses.
Les bitumes les plus utilisés sont les 50/70 et les bitumes 35/50.
c. Le mélange:
Les camions type 25 tonnes font ensuite l’aller-retour entre la centrale et le chantier.
Ces postes peuvent être soit fixes soit mobiles.
Avant chaque démarrage de chantier, ils sont étalonnés par le laboratoire de la
SCREG.
IV. Les essais au laboratoire:
a. Les études :
Avant chaque démarrage d’un chantier d’enrobé, il faut qu’un technicien de
laboratoire ait effectué une étude.
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Cette étude se déroule en deux parties :
Premièrement, le technicien élabore une formule d’enrobé en fonction de
l’expérience de la société, des matériaux disponibles à proximité du chantier, de la
situation du chantier et de ses diverses caractéristiques (trafic, ensoleillement, sous
sol, ...).
Par exemple pour BBSG (Béton Bitumineux semi grenu) élaboré avec des granulats
Château Gaillard, on pourrait avoir :
35 % de 6/10
15 % de 4/6
48 % de 0/4
2 % de Filler
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b. Essai Duriez:
Principe d’essai:
Un essai consiste à confectionner 12 éprouvettes par compactage statique double
effet à partir d’un mélange hydrocarboné fabriqué en une seule fois selon la norme
NF P 98-250-1. Trois lots homogènes sont constitués, sur la base des masses
volumiques apparentes, déterminées par les mesures géométriques ; sur la totalité
des éprouvettes.
Procédure d’essai:
1. Fabrication de l’enrobé avec la même formule et le répartit dans 12 petits
moules cylindriques.
2. A l’intérieur de ces moules, on compacte les éprouvettes d’enrobé.
3. Une fois froides, elles sont démoulées et réparties de la manière suivante:
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Après ce laps de temps, les éprouvettes
sont écrasées dans une presse
hydraulique.
Répétition de l'essai pour plusieurs teneurs en liant, dans les mêmes conditions
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d'essai. Teneur en liant retenue :
respect des spécifications concernant les fourchettes de fluage, ainsi que la stabilité
minimale à atteindre.
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Ecrasement et expression des résultats:
dépasser 1 heure.
(kN).
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I. Essai au bleu de méthylène dite à la tache
EN 94-0-68 :
a. Principe d’essai:
à mesure.
maximale obtenue lorsque la tâche est entourée d’une auréole bleu-clair persistante.
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un papier filtre sans cendre, grammage 95 g/cm², épaisseur 0,20 mm,
vitesse de filtration 75,
rétention 8 mm
une baguette de verre
un agitateur à ailettes tournant entre 400 et 700 tours/minute dont le
diamètre des ailettes est compris
entre 70 et 80 mm
un récipient de 3 litres en matière plastique de diamètre environ 155
mm.
un tamis de maille 5 mm
une spatule
une pissette de 500 ml
une balance de portée 5 kg, précision 0,1g des bacs en plastique
pour effectuer les essais
d. Procédure d’essai:
Préparation de l'échantillon
1. Séparer par tamisage et si nécessaire par lavage la fraction 0/5 mm
contenue dans l’échantillon
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2. Déterminer la proportion pondérale C de la fraction sèche 0/5 mm contenue
dans le matériau. Cette proportion peut être lue sur la courbe
granulométrique du matériau si elle est connue par ailleurs ou sinon
déterminée sur un autre échantillon représentatif du matériau
3. Déterminer la teneur en eau w %.
4. Préparer une masse humide de sol Mh comprise entre 30 et 60 g pour un
sol argileux et entre 60 et 120 g pour un sol peu argileux.
5. Iintroduire Mh dans le récipient de 3 litres et ajouter 500 ml d’eau
déminéralisée ou distillée
6. Agiter l’ensemble à l’aide de l’agitateur à ailettes à une vitesse de 700 tr/min
pendant au minimum 5
7. Minutes et positionné à 5 mm environ du fond du récipient.
8. Agiter ensuite de manière permanente l’ensemble eau + sol à 400 tr/min
9. Injecter 5 ml de solution de bleu de méthylène à l’aide de la burette
10. Lorsque le test est positif, laisser s’opérer l’adsorption du bleu, qui n’est
pas instantanée, tout en effectuant des tests de minute en minute sans
ajout de solution.
11. si l’auréole bleu clair disparaît à la cinquième minute, procéder à de
nouvelles injections de solution de bleu de 2 ml
30
12. Chaque addition est suivie de tests effectués de minute en minute
13. Renouveler l’opération jusqu’à ce que le test demeure positif pendant
cinq minutes consécutives :
14. Le dosage est alors terminé
15. Noter V le volume de solution de bleu de méthylène adsorbé
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II. Limites d’Atterberg – Classification d’un sol
a. Principe d’essai:
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leur teneur en eau. Leur état va du solide s’ils sont desséchés, à l’état liquide s’ils
sont détrempés. Entre ces 2 états, il existe un état intermédiaire dit plastique (pâte à
modeler).
Les limites d’Atterberg sont des constantes physiques conventionnelles (teneur en
eau pondérale) qui marque les seuils entre :
Le passage d’un sol de l’état liquide à l’état plastique (limite de liquidité
WL).
Le passage d’un sol de l’état plastique à l’état solide (limite de plasticité
WP).
Ces deux limites sont utilisées afin de déterminer la classification des sols. Elles
s’appliquent sur la fraction de sol passant au travers du tamis de 400 μm.
Ces essais sont très empiriques mais ils ne nécessitent que peu de matériel.
D’autre part, de nombreux essais ont été réalisés partout dans le monde. Aussi, des
relations existent entre ces limites et les propriétés des argiles.
⇒ L’application RIGOUREUSE du mode opératoire est particulièrement
indispensable.
Limite de plasticité
Plaque de marbre.
Sèche – cheveux.
Capsules de pesée.
Divers :
étuve.
Balance.
Spatule.
pissette.
Chronomètre indiquant la seconde.
d. Procédure d’essai:
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L’essai se fait en 2 phases :
Recherche de la teneur en eau pour laquelle une rainure pratiquée dans un
sol placé dans une coupelle se referme sur 1 cm lorsque celle-ci et son
contenu sont soumis à 25 chocs répétés.
(Appareil de Casagrande : limite de LIQUIDITE).
recherche de la teneur en eau pour laquelle un rouleau de sol, de dimension
fixée et confectionné manuellement se fissure. (« petits rouleaux » : LIMITE
DE PLASTICITE).
Réglage de l’appareil de Casagrande :
Recueillir le matériau à une teneur en eau élevée afin de pouvoir débuter l’essai de
limite de liquidité.
Essai avec l’appareil de Casagrande :
Recherche des couples de points ( w , Nombre de chocs)
35
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Prélever à l’aide de la spatule 2 échantillons au voisinage de l’endroit où la
rainure s’est refermée.
Mesurer la teneur en eau de ces échantillons.
Etape 4 :
Sécher le sol entre 2 essais en le malaxant sur le marbre et en l’étalant.
Etape 5 :
Refaire un nouvel essai. Il faut avoir au moins 4 points différents.
Note :
La limite de liquidité (wL) est la teneur en eau qui correspond à une fermeture de
la rainure sur 1 cm après 25 chocs.
Elle est calculée à partir de l’équation de la droite moyenne ajustée sur les
couples de valeurs expérimentales ( log N, w).La valeur obtenue est arrondie au
nombre entier le plus proche.
IV. Limite de plasticité NF P 94-051
La mesure de la limite de plasticité se fait après celle de la limite de liquidité.
Etape 1 :
Sécher le sol en le malaxant sur le marbre et en l’étalant.
Etape 2 :
Former une boulette avec une partie de l’échantillon puis roulez-la à la main
sur le marbre de façon à former un rouleau qu’on amincit progressivement
jusqu’à ce qu’il ait atteint 3 mm de diamètre.
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Remarques :
Opérer assez lentement de façon que l’amincissement soit bien régulier et surtout
afin d’éviter la formation de petits cylindres creux.
Les petits rouleaux doivent avoir une longueur de 10 à 15 cm.
Etape 3 :
Si aucune fissure n’apparaît, le rouleau est réintégré à la boulette. La pâte est
malaxée tout en la séchant légèrement.
La limite de plasticité est obtenue lorsque simultanément, le rouleau se fissure
et que son diamètre atteint 3 mm±0.5mm
Etape 4 :
Effectuez une mesure de teneur en eau.
Etape 5 :
Effectuer un deuxième essai sur une nouvelle boulette.
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V. Essai Proctor NF P 98-231-1 :
a. Principe d’essai :
L'ingénieur américain Proctor a montré que pour une énergie de compactage
donnée, la teneur en eau du matériau avait une grande influence sur la compacité
obtenue.
L'essai Proctor consiste à compacter dans un moule normalisé, avec une énergie de
compactage normalisée (dame de masse normalisée tombant d'une hauteur
constante), un échantillon du matériau à différentes valeurs de teneur en eau pour en
déduire :
La teneur en eau optimale.
La densité sèche maximum correspondante γd
OPN : Optimal Proctor Normal
OPM : Optimal Proctor Modifié
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I. Mesure de la Masse volumique apparente au
densitomètre à membrane (NF P 94-061-2):
a. Objectifs d’essai :
L’objectif est de vérifier la masse volumique apparente sèche d’un sol après
compactage et de la comparer avec la masse volumique max afin de vérifier le
compactage et l’utilisation du sol en remblai ou en couche de forme.
b. Principe d’essai :
Pour déterminer la masse volumique d’un sol en place, il existe trois essais in-situ :
- Méthode au gamma densitomètre à pointe,
- Méthode au densitomètre à membrane,
- Méthode au sable.
Les 2 derniers essais consistent à creuser une cavité, à recueillir et peser la totalité
du matériau extrait, puis à mesurer le volume de la cavité soit à l’aide du
densitomètre à membrane, soit avec la méthode au sable.
c. Densitomètre à membrane:
C'est un cylindre dans lequel coulisse un piston.
A sa base on adapte une membrane en caoutchouc (donc dilatable). Le piston est
actionné par un tube qui le traverse, et qui est terminé par un bouchon purgeur et
une poignée.
Une graduation à vernier permet de mesurer avec précision le déplacement du
piston.
41
Dimensions usuelles
Exemple :
Déterminer la masse vol. Sèche d’un échantillon à partir des valeurs suivantes :
Vt = 1026 cm3 V0 = 363 cm mh = 1284 g. w = 4,65 %
II. Échantillonnage :
Le prélèvement des échantillons de sol et les éprouvettes de béton afin d’effectuer
des contrôles au laboratoire.
Visite des carrières comme SOTRAJAN et des travaux dans Saidia.
42
43
44
ANALYSE GRANULOMETRIQUE
AVEC MESURE DU COEFFICIENT
D’APLATISSEMENT
NF EN 933-1/ NF EN 933-3
Coefficient %
Tamisage sur grilles à
Tamis Grilles Tamisage sur tamis d’aplatissement Passant
fentes
partiel au tamis
(mm) (mm) Refus partiel Refus Passant
Refus (g) Ai=mi/Ri*100
Ri (g) cumulés (g) Mi (g)
80
63 40
50 31.5
40 25
31.5 20
25 16,0
20 12,5
16 10
12.5 8
10 6.3
8 5
6.3 4
5 3.15
4 2.5
3.15
2.5
2.0
1.60
1.25
0.5
M1= Ri = g M2 = mi = g
Coefficient global d’aplatissement
Masse sèche de l’échantillon : A
M2
*100
M1
45
DETERMINATION DE LA PROPRETE
SUPERFICIELLE
NF P 18 – 591
NB : Pour les ballasts 25/50 mm, le tamis = 0,5 mm est remplacé par 1,6 mm
Propreté superficielle P
P = (m/Ms) 100 = %
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ANALYSE GRANULOMETRIQUE
AVEC MESURE DU COEFFICIENT
D’APLATISSEMENT
NF EN 933-1/ NF EN 933-3
Coefficient %
Tamisage sur grilles à
Tamis Grilles Tamisage sur tamis d’aplatissement Passant
fentes
partiel au tamis
(mm) (mm) Refus partiel Refus Passant
Refus (g) Ai=mi/Ri*100
Ri (g) cumulés (g) Mi (g)
80
63 40
50 31.5
40 25
31.5 20
25 16,0
20 12,5
16 10
12.5 8
10 6.3
8 5
6.3 4
5 3.15
4 2.5
3.15
2.5
2.0
1.60
1.25
0.5
M1= Ri = g M2 = mi = g
Coefficient global d’aplatissement
Masse sèche de l’échantillon : A
M2
*100
M1
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DTERMINATION DE LA
PROPROTE
SUPERFICIELLE
NF P 18-591
Dossier N° : Client :
Date d’essai : Chantier :
Nature d’échantillon : Date de prélèvement :
Référence échantillon : Lieu de prélèvement :
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EQUIVALENT DE SABLE
P 18 – 598
M1 = g M 1 M '1s
w 100
- Masse sèche de l’échantillon : M '1s
M’1s = g
Essai 1
Essai 2
mh 120 1 w
100
Masse totale de la
Classe granulaire Nombre de Nombre de
charge Observations
(cm) boulets rotations
(g)
4 – 6,3 7 3080 500
6,3 – 10 9 3960 +20 500
10 – 14 11 4840 à 500
Contient 60% de 10 –
10 – 25 11 4840 -150 500
16 mm
Contient 60% de 16 –
16 – 31,5 12 5280 500
25
Contient 60% de 25 –
25 – 50 12 5280 1000
40 mm
50
ESSAI MICRO DEVAL
NF P 18 – 572
51
52
ESSAI MARSHALL
NF P 98 – 251 – 2
Essais mécaniques
Résultat
N°éprouvettes Pesées et mesures géométriques
Moyen
1 2 3 4 N°éprouvettes 1 2 3 4
Poids mj (g)
L ……… ……… ………. ………
……… ………. …….. ……..
Hauteur ……… ………. ………. ………
H
C.H. (cm) ……… ……… ……… ………
……… …….. ………. ………
……… ………. ………. ………
F.C.
Hauteur moyenne (cm)
S.M ………. ………. ……… ………. ……….
. Diamètre
………. ………. ………. ………. ……….
(cm)
…….. ………. ………. ………. ……….
F.M.
Diamètre () Moyen (cm)
Volume V (cm3)
L = Lecteur Masse volumique apparente
C.H. = Charge Mva (g/cm3) (par mesure
F.C. = Facteur de corrélation géométrique)
S.M. = Stabilité Marshall à 50°C (dan)
Le pourcentage des vides
F.M. = Fluage Marshall (mm)
V% = 100(1-(MVA/MVR))
53
54
DÉTERMINATION DE LA
PROPRETÉ DES SABLES
ÉQUIVALENT DE SABLE A 10%
DE FINES
NF P 18 – 597
Essai 1
Essai 2
Ps (valeur moyenne en %)
1200 1200 W
msc 120 >11% (1 ) msc
F F 100
Observations : Nom et Visa de l’opérateur Nom et Visa du responsable de l’essai
55
ESSAI AU BLEU DE
METHYLENE SUR GRANULATS
A LA TACHE
NF EN 933 – 9
Masse sèche de la prise d’essai de fraction granulométrique (0/2 mm ou 0/0,125 mm) au gramme
près M 1
M1 = ………………………………g
V1 = …………………………..…ml
56
MASSE VOLUMIQUE D’UN SOL FIN (METHODE
IMMERSION DANS L’EAU)
NF P 94-053
Echantillon N° 1 2 3
Masse échantillon dans l’air : M
(g)
Masse d’échantillon parafineé dans l’air : Mp
(g)
Masse d’échantillon parafinée dans l’eau M’p
(g)
Volume de l’échantillon
V (p M ' p) / *w (Mp M ) / *p
(cm3
Masse volumique de l’échantillon humide
M
h
V
Kg/m3
50°C
Echantillon N° 1 2 3
N° tare
Masse de la tare :M1
(g)
Masse sol humide + tare : M2
(g)
Masse sol sec + tare : M3
(g)
Masse de l’eau M4 =M2-M3
(g)
Masse du sol sec M5 =M3-M1
(g)
57
Teneur en eau : M4/M5 (W%)
4. Résultats moyens
58
LIMITE D’ATTERBERG
AU PENETROMETRE A CÔNE
NF P 94 – 052
30
25
20
15
10
0 W%
Observations : Nom et visa du responsable de l’essai
59
ESSAIS PROCTOR
NF P 94 – 093
60
61
62