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LABORATOIRE DE CONSTRUCTION-SOLATEST
Effectué par :
GUEDDAOUI MOUSSA
Fait du 12/06/2023 au 30/07/2023
Maitre du stage :
Madame Houria responsable de
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SOMMAIRE
REMERCIEMENT_________________________________2
INTRODUCTION__________________________________3
Ⅰ.PRÉSENTATION DE SOLA-TEST__________________6
APPROCHE GÉNÉRALE__________________________________________6
HISTORIQUE_________________________________________________6
ACTIVITÉS___________________________________________________6
FICHE SIGNALÉTIQUE__________________________________________7
MOYENS HUMAINS____________________________________________8
ORGANIGRAMME_____________________________________________9
Ⅲ.CONCLUSION_________________________________68
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ِبۡس ِم ٱلَّلِه ٱلَّر ۡح َٰم ِن ٱلَّر ِح ِمي
ٱۡق َر ۡأ ِبٱۡس ِم َر ِّبَك ٱَّلِذ ي َخ َلَق َ ١خ َلَق
ٱِإۡل نَٰس َن ِم ۡن َع َلٍق ٢ٱۡق َر ۡأ َو َر ُّبَك ٱَأۡلۡك َر ُم
٣ٱَّلِذ ي َع َّلَم ِبٱۡل َقَلِم َ ٤ع َّلَم ٱِإۡل نَٰس َن َم ا َلۡم
َيۡع َلۡم ٥
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l'épanouissement professionnel. Je suis immensément reconnaissant de
leur gentillesse au sein du laboratoire
Introduction
Ce rapport de stage est le fruit d'un mois d'observation au laboratoire
Sola-test, effectué dans le cadre de ma formation en filière génie civil
à l'ENSAK. Cette filière met l'accent sur la conception, la construction
et l'entretien des infrastructures essentielles et ouvrages civils tels que
les bâtiments, les ponts, les ouvrages hydrauliques et les
infrastructures de transport.
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Ensuite, j'aborderai les essais effectués à la fois en laboratoire et sur le
terrain. Je détaillerai les différents protocoles utilisés pour ces essais,
mettant en lumière leur importance dans la conception, la construction
et l'entretien des infrastructures. J'évoquerai également mon
implication active dans ces essais, qui m'a permis d'acquérir des
connaissances pratiques et de développer mes compétences
professionnelles.
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Partie Ⅰ
PRESENTATION DE
L’ENTREPRISE
SOLA-TEST
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Ⅰ. Présentation de SOLA-TEST
Approche générale
Le laboratoire SOLA-TEST est un laboratoire de bâtiments
et travaux publics BTP, situé à KENITRA, avec un local
pour le siège social de plus 130m2, a 19, essais situés à 1,
Rue Abdellah chefchaouni – Kenitra, Maroc, s’étalent sur
une superficie de plus 330 m2, soit au total une superficie
de 460 m2
Historique
Crée en 2010, le laboratoire SOLA-TEST est une société à
responsabilité limitée au capital de 1300000 DHS
Activités
Les activités principales du laboratoire comprennent les
suivantes :
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Ⅰ. Présentation de SOLA-TEST
Fiche signalétique
Adresse du siège social 19, Avenue des FAR, N2
Patente 20884008
Kenitra
Ville
Patente 20163951
39653
RC de Kenitra
I.C.E 000077572000077
CNSS 8454100
I.F 03305650
0537372953
N de téléphone
E-mail laboraoire.solatest@gmail.com
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Ⅰ. Présentation de SOLA-TES
Moyens humains
La société bénéficie d'une équipe d'encadrement hautement
compétente et polyvalente, possédant des compétences
reconnues pour assurer la gestion globale de tous projets
ayant relation avec le BTP.
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Ⅰ. Présentation de SOLA-TEST
Organigramme
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Ⅰ. Présentation de SOLA-TES
Moyens matériels
La politique et la stratégie de la société SOLA-TEST
consistent au développement et à l’investissement d’une
manière soutenue en achat du matériel moderne, le B.E.T
dispose actuellement d’un ensemble de matériel d’essais de
laboratoire très important
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Partie Ⅱ
Essais au sein de
SOLA-TEST
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Ⅱ. ESSAIS
Equivalent sable
Objectif principe
L'objectif de cette étude est de déterminer la
proportion de sable dans l'échantillon étudié en vue
d'évaluer la qualité du sable utilisé dans les travaux de
construction.
Principe
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Ⅱ. ESSAIS
Equivalent sable
Appareillage
Tamis avec une ouverture de mailles de 5 mm.
Spatule ou cuillère.
Récipients.
Chronomètre.
Règle.
Goupillon pour le nettoyage des éprouvettes.
Bacs pour le tamisage
Éprouvette cylindrique avec un diamètre intérieur de 32
mm +/- 0,5, une hauteur de 430 mm +/- 1, des repères à
100 mm et 380 mm - 0,25, et des bouchons en
caoutchouc.
Piston taré avec une tige de 440 mm +/- 0,25 de
longueur, une embase de 25 mm +/- 0,1 de diamètre, une
surface perpendiculaire à l'axe de la tige, un manchon
pour guider et fixer la tige de diamètre 10 mm, et un
poids total de 1 kg +/- 5 g.
Flacon avec un siphon (le fond doit être élevé de 1 m par
rapport à la table d'essai).
Tube laveur avec un diamètre intérieur de 6 mm +/-
0,25, un diamètre extérieur de 4 mm +/- 0,25, une partie
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haute avec un robinet et une partie basse formant un
dièdre avec chaque façade percée d'un trou de 1 mm +/-
0,1.
Un tube en caoutchouc ou en plastique reliant le tube
laveur au flacon.
Un entonnoir.
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Ⅱ. ESSAIS
Equivalent sable
PRODUIT UTILISEES
Solution concentrée :
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Ⅱ. ESSAIS
Equivalent sable
Mode opératoire
Prendre une fraction tamisée avec un tamis de 5 mm et
d'une masse comprise entre 500 et 700 g.
Humidifier l'échantillon s'il est sec pour éviter la
ségrégation.
Prendre un sous-échantillon pesant entre 100 et 200 g et
mesurer sa teneur en eau à l'aide d'un chauffe-eau à gaz.
Prendre une masse humidifiée contenant 120 g de masse
sèche en utilisant la relation m = 120 * (1 + w/100), où w
est la teneur en eau mesurée.
Siphonner 100 ml de solution lavante jusqu'au premier trait
de repérage dans l'éprouvette.
Ajouter la masse humidifiée à l'aide de l'entonnoir.
Frapper le bas de l'éprouvette fortement avec la paume de
la main pour éliminer les bulles d'air.
Laisser reposer pendant 10 minutes.
Agiter l'éprouvette en effectuant 90 cycles de 30 secondes
chacun.
Rincer le bouchon au-dessus de l'éprouvette ainsi que les
parois avec la solution lavante du tube laveur, qui est
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enfoncé jusqu'au fond puis remonté doucement avec un
mouvement de rotation pour remonter le floculat et arrêter
Lorsque le liquide atteint 380 ml
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Ⅱ. ESSAIS
Equivalent sable
Mesure
Mesurer la hauteur supérieure du floculat par rapport au
fond de l'éprouvette (h1). H1 = 15,1 cm (essai 1), 15,6 cm
(essai 2).
Mesurer la hauteur supérieure du sédiment (h2') par
rapport au fond de l'éprouvette.
Descendre lentement le piston taré jusqu'à ce qu'il
atteigne le sédiment et bloquer le manchon.
Mesurer la distance entre la surface supérieure du
manchon et la tête de la tige (h2).
Calculer le rapport équivalent sable visuel (Es') en utilisant
h2 '
la formule Es '= h1 ×100.
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Figure 1: mesure de h1 et h2’
Figure 2: mesure de h1 et h2
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Ⅱ. ESSAIS
Equivalent sable
Interprétation
ES Nature et qualité du sable
Sable argileux - Risque de retrait ou de gonflement,
ES<60 à rejeter pour des bétons de qualité
Ⅱ. ESSAIS
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Equivalent sable
Hauteur h1 11 ,4 10,7
Hauteur h2 8 ,9 8,5
Rapport h2÷h1 78 79
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Figure 3:exemple sable d’oued
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Ⅱ. ESSAIS
Masse volumique apparente
Définition
La masse volumique apparente d'un matériau est la masse
volumique d'un mètre cube du matériau pris en tas,
comprenant à la fois les vides perméables et
imperméables des particules ainsi que les vides entre les
particules.
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Ⅱ. ESSAIS
Masse volumique apparente
Appareillage
Une jauge
Une balance
Etuve
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Figure 4:mesure masse volumique sable conchacé
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Ⅱ. ESSAIS
Masse volumique absolue
Définition
La masse volumique absolue est la masse par unité de
volume de la matière qui constitue le granulat sans tenir
compte des vides pouvant exister dans ou entre des grains
Appareillage
Un ballon
Une balance
Etuve
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Rotation pour éliminer les bulles d’air et Attendre ensuite
que les vides du matériau soient remplis d'eau.
Remplissage complet du ballon avec de l'eau à nouveau
Mesure de la masse totale du Mt
Ms
Mvolumique ≡
M s+ M b−M t
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Ⅱ. ESSAIS
Masse volumique apparente
Exemple sable d’Oued
Volume de la jauge 1266
Masse de la jauge 3378
Masse de la jauge + agrégat 5470
Masse volumique apparente 1,65
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Ⅱ. ESSAIS
Essais d’affaissement
Objectif
L'objectif est de déterminer l'indice de
plasticité du matériau pour le classer en
fonction de sa plasticité. L'indice de plasticité
(Ip) est calculé en utilisant les valeurs de la
limite de liquidité (Wl) et de la limite de
plasticité (Wp) du matériau
Principe
Pour déterminer l'affaissement du béton, on réalise
un test standardisé appelé essai au cône d'Abrams.
Ce test implique de remplir un cône métallique
spécifique de béton frais, puis de retirer le cône
délicatement. La différence entre la hauteur initiale
du cône et la hauteur finale du béton affaissé donne
l'affaissement en centimètres,
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Ⅱ. ESSAIS
Essais d’affaissement
Appareillage
Une moule spéciale ayant une forme tronconique
Une tige en acier de diamètre 16 mm et de longueur 600
mm à extrémités hémisphériques
Protique de mesure constituée de deux montants distants
de 300 mm. Sur la partie supérieure, une règle de lecture
coulisse librement. Cette règle est immobilisée par une
vis de pression, ce qui permet de mesurer précisément
l'affaissement du béton.
Pelle creuse
Une surface d'appui plane, horizontale, rigide et non
absorbante est préparée pour placer le dispositif de
mesure.
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Ⅱ. ESSAIS
Essais d’affaissement
Mode opératoire
Humidifier la surface d'appui et y fixer le moule. La
paroi intérieure du moule doit être propre et légèrement
huilée pour faciliter le retrait du béton par la suite ainsi il
est essentiel que la surface d'appui ne subisse pas de
vibrations ou de chocs pendant l'essai, car cela pourrait
fausser les mesures.
Utiliser une pelle creuse pour introduire le béton dans le
moule. Le remplissage doit se faire en trois couches
égales, chacune ayant une hauteur équivalente au tiers
de la hauteur du cône d'affaissement. Commencer
l'introduction du béton une à deux minutes après le
prélèvement du béton.
Piquer uniformément chaque couche du béton à l'aide
d'une tige piquante, en effectuant 25 piquages par
couche. Essayer de faire pénétrer la tige sur la couche
sous-jacente si nécessaire. Pour la dernière couche,
ajouter le béton nécessaire pour remplir le moule à ras
bord
Passer la tige de piquage sur le bord supérieur du moule
en roulant doucement pour araser le béton. Veiller à
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éviter tout compactage supplémentaire du béton pendant
cette étape.
Démouler immédiatement en soulevant le moule
lentement et verticalement, sans secousses.
Lire l'affaissement du béton une minute après avoir
retiré le moule, en mesurant le point le plus haut du
béton à partir de la surface d'appui.
Si un éboulement ou un cisaillement partiel est observé,
recommencer l'essai avec une nouvelle préparation du
moule et du béton.
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Ⅱ. ESSAIS
Essais d’affaissement
Résultats
À partir d'une seule mesure : On prend le nombre de
centimètres le plus proche de l'affaissement observé lors de
l'essai. Par exemple, si l'affaissement mesuré est de 5,3
centimètres, on exprime le résultat simplement comme "5
cm".
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Ⅱ. ESSAIS
Essais d’affaissement
Classe Affaissement Propriété du béton Utilisations
en mm frais
10-40 Ferme, très secs et Fabrication de
S1 peu maniable routes,
fondations à
armature légère
60-90 Plastique, à humidité Béton armé
S2 moyenne et à normal placé
maniabilité avec vibration
moyenne
100-150 Très plastique, très
S3 humide et à
maniabilité élevée
160-210 Fluide, très humide
S4 et à maniabilité
élevée
Interprétation
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Ⅱ. ESSAIS
Limites d'Atterberg
Objectif
L'objectif est de déterminer l'indice de
plasticité du matériau pour le classer en
fonction de sa plasticité. L'indice de plasticité
(Ip) est calculé en utilisant les valeurs de la
limite de liquidité (Wl) et de la limite de
plasticité (Wp) du matériau
Principe
Rechercher la teneur en eau pour laquelle une
rainure pratiquée dans un sol place dans une
coupelle se ferme lorsque la coupelle et son
contenue sont soumis à des chocs successive
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Ⅱ. ESSAIS
Limites d'Atterberg
Appareillage
Un appareil Casagrande composé des éléments
suivants :
Un socle : Ou repose la coupelle pendant l'essai.
Quatre pieds en caoutchouc : Ils assurent la
stabilité de l'appareil pendant l'essai.
Un support métallique : Il porte la coupelle et est
équipé d'une came actionnée par une manivelle
pour soulever la coupelle au-dessus du socle, soit
manuellement soit par un moteur.
Une coupelle : là ou l’échantillon préparé est placé
Un outil à rainurer avec un calibre de 10 mm : Utilisé
pour tracer une rainure dans l'échantillon de sol.
Une étuve
Une balance
Des boîtes de Petri
Une spatule
. Un récipient
Un bac
Un tamis d'ouverture de 0,4 mm
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Une plaque lisse en marbre pour le malaxage et la
confection des rouleaux de sol
Une plaque de verre 5cm*10,5cm graduée afin de
mesurer le diamètre du rouleau qui doit avoir un
diamètre de 3mm+-0,5
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Ⅱ. ESSAIS
Limites d'Atterberg
Mode opératoire
Etape de préparation du sol
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Etape de calcul de la limite de liquidité
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Ⅱ. ESSAIS
Limites d'Atterberg
Résultat
L’indice de plasticité est obtenu en appliquant la
formule suivante
Ip¿ Wl-Wp
Interprétation
Plastique
15<ip<40
Ⅱ. ESSAIS
Los Angels
Objectif
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L'essai Los Angeles permet de mesurer
les résistances combinées aux chocs et à la
détérioration progressive par frottement réciproques
des éléments d'un granulat
Principe
Il consiste à mesurer la quantité d'éléments
inférieurs à 1,6 mm produite en soumettant le
matériau aux chocs de boulets et aux frottements
réciproques de la machine
Ⅱ. ESSAIS
Los Angels
Appareillage
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Jeu de tamis de différentes mailles [1,6 mm - 4 mm - 6,3
mm - 10 mm - 14 mm - 16 mm - 20 mm - 25 mm - 31,5
mm - 40 mm - 50 mm].
Machine Los Angeles formée de :
Cylindre creux de diamètre interne de 711 mm
et de longueur interne de 508 mm Le cylindre
est équipé d'une ouverture de 150 mm.
La machine est dotée d'un moteur qui fait
tourner le cylindre à une vitesse de 33 tours par
minute.
Une tablette de longueur 480 mm et de largeur
90 mm est utilisée pour faciliter le chargement
et le déchargement des granulats et des boulets
dans le cylindre de la machine Los Angeles.
Ⅱ. ESSAIS
Los Angels
Appareillage
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Figure 10: Machine Los Angeles
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Ⅱ. ESSAIS
Los Angels
Mode opératoire
Avant de commencer l'essai, il est essentiel de connaître
la distribution granulométrique de l'échantillon de
granulats et choisir la bonne classe a l’aide d’une
analyse granulométrique
Prélever un échantillon M (5 kg) en utilisant les tamis
de protection et les limites inférieures et supérieures
appropriées en fonction de l'analyse granulométrique
Placez l'échantillon prélevé dans le cylindre de la
machine Los Angeles et ajoutez le nombre approprié de
boulets en fonction de la classe granulaire. Programmez
ensuite la machine pour le nombre de tours associé à
chaque classe.
Tamiser l’échantillon dans un tamis de 1,6 mm de
diamètre pour éliminer les éléments fins et les particules
désagrégées.
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Ⅱ. ESSAIS
Los Angels
Mode opératoire
Classe Nbr de Masse Nbr de Observation
granulaire boulets totale de rotation
la charge
Contient
10-25 11 4840 500 60% de 10-
16 mm
Contient
16-31,5 12 5280 500 60%
de classe
16-25
Contient
25-50 12 5280 1000 60%
de class
25-40
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Ⅱ. ESSAIS
Los Angels LA
Résultat
Le coefficient du Los Angeles est obtenu en
M −m
L A= ×100
M
Interprétation
Plus le coefficient Los Angeles est faible, plus le
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Ⅱ. ESSAIS
Micro-Deval
Objectif
Le but de cet essai est d’évaluer la résistance à
l'usure d’un granulat.
Principe
L'essai consiste à placer un échantillon de granulats
dans un cylindre en rotation, en compagnie de
charge abrasive. Pendant l'essai, le cylindre tourne,
entraînant un frottement réciproque entre les
éléments du granulat, le cylindre en rotation et la
charge abrasive. Ce frottement simule les contraintes
mécaniques et les frottements que le granulat subira
dans des conditions réelles. L’essai micro-Deval
permet donc de quantifier la résistance à l'usure du
granulat en termes de perte de masse, une faible
perte de masse indique une plus grande résistance à
l'usure et réciproquement
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Ⅱ. ESSAIS
Micro-Deval
Appareillage
Jeu de tamis de différentes mailles [1,6 mm - 4 mm - 6,3
mm - 10 mm - 14 mm - 16 mm - 20 mm - 25 mm - 31,5
mm - 40 mm - 50 mm]
Une machine Micro-Deval composée de :
Cylindres : ayant une longueur de 154 mm pour les
gravillons compris entre 4 et 14 mm et de 400mm
pour les 25-50mm et un diamètre intérieur de
20 cm
Billes abrasives : Des billes d'acier sphériques de
10mm diamètre utiliser pour simuler les
contraintes de frottement et d'usure.
Moteur : capable de tourner les cylindres à une
vitesse de 100 tr/min pour simuler le frottement
réciproque des granulats avec les billes abrasives.
Compteurs : Des compteurs sont utilisés pour
enregistrer le nombre de révolutions effectuées par
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Ⅱ. ESSAIS
Micro-Deval
Appareillage
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Ⅱ. ESSAIS
Micro-Deval
Mode opératoire
Laver l’échantillon dans un tamis de diamètre 1,6 mm
Sécher à l’étuve jusqu’à masse constante
Tamiser de échantillons de granulats de masse M
correspondante à la classe granulaire
Ajouter une charge abrasive correspondante à chaque
classe granulaire dans les cylindres de l'appareil micro-
Deval.
Ajouter une quantité d'eau spécifiée pour chaque classe
granulaire dans les cylindres.
Mettre en marche la machine micro-Deval pour une
durée spécifique, en effectuant un nombre de tours
défini pour chaque classe granulaire.
Laver les granulats avec un tamis de 1,6 mm de diamètre
pour éliminer les fines et les particules désagrégées.
Sécher des échantillons jusqu’à masse constante
Peser le refus m
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Ⅱ. ESSAIS
Micro-Deval
Mode opératoire
Classe Poids de Poids de la Quantité de
granulaire l’échantillon charge l’eau
Tamiser abrasive (l)
M(g) (g)
4-6,3 500 2000 2,5
6 ,3-10 500 4000 2,5
10-14 500 5000 2,5
14-25 10000 ----------------- 2
Résultat
Le coefficient de micro-Deval est obtenu en
appliquant la formule suivante
M −m
C md= ×100
M
Ⅱ. ESSAIS
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Micro-Deval
Interprétation
Ⅱ. ESSAIS
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Granulométrie
Objectif
L'objectif de cette étude est de déterminer la
distribution dimensionnelle des granulats, c'est-à-
dire la répartition des différentes tailles de particules
dans l’échantillon, de calculer le module de finesse et
d'étudier la quantité et la discontinuité dans les
différentes classes à partir de la courbe de refus en
fonction du diamètre de tamis
Principe
Le principe de l'analyse granulométrique consiste à
fractionner un matériau en plusieurs classes
granulaires de tailles décroissantes en utilisant
différents jeux de tamis
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Ⅱ. ESSAIS
Granulométrie
Appareillage
Un jeu de tamis de différentes mailles
Brosses
Balance.
Étuve ventilée
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Ⅱ. ESSAIS
Granulométrie
Mode opératoire
Calculer la teneur en eau de l'échantillon pour connaître
sa masse sèche. Cela implique de sécher une partie de
l'échantillon à une température spécifique (par exemple,
dans une étuve à 105°C) jusqu'à ce qu'il atteigne une
masse constante.
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Ⅱ. ESSAIS
Granulométrie
Fiche de résultat
Tamis Masse refus Pourcentage Pourcentage
en mm cumulés de refus tamisât
Ri en g cumulés cumulés
Ri Ri
100× Ms 100×(1− Ms )
5 3 0 100
4 34 3 97
3,15 223 18 82
2,5 270 22 78
2 274 22 78
1,6 344 28 72
1,25 456 37 63
1 507 41 59
0,8 570 47 53
0,63 622 51 49
0,5 663 52 48
0,4 699 57 43
0,315 755 62 38
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0,250 780 64 36
0,2 801 66 34
0,16 836 68 32
0,125 853 70 30
0,1 884 72 28
0,08 908 74 26
Données utilisées
Masse en l’état de l’échantillon soumise à
l’essai est Mh=1267 g
Teneur en eau est W¿ 3 , 68 %
Masse sèche soumise à l’essai est
M s=1222 g
Masse sèche après lavage est M s' =912 g
Tamisât passant au dernier tamis Tn¿ 4 g
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Ⅱ. ESSAIS
Granulométrie
Courbe granulométrique
COURBE GRANULOMETRIQUE
80
70
POURCENTAGE REFUS CUMULES
60
50
40
30
20
10
0
5 4 3.15 2.5 2 1.6 1.25 1 0.8 0.63 0.5 0.4 0.315 0.25 0.2 0.16 0.125 0.1 0.08
DIAMETRE DE TAMIS
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Ⅱ. ESSAIS
Propreté superficielle
Objectif
L’objectif de l'essai de propreté superficielle est de
déterminer le pourcentage des particules de taille
inférieure à 0,5 mm (ou 1,6 mm pour les ballasts) qui
sont mélangées ou adhérentes à la surface des
granulats supérieurs à 2 mm utilisé généralement
pour les graviers
Principe
Le principe de séparation des agrégats des éléments
fins à partir d’un tamisage
Appareillage
Tamis de 0,5mm de diamètre
Balance
Étuve
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Ⅱ. ESSAIS
Propreté superficielle
Mode opératoire
Calculer la teneur en eau de l'échantillon pour connaître
sa masse sèche. Cela implique de sécher une partie de
l'échantillon à une température de 105°C jusqu'à ce qu'il
atteigne une masse constante.
Prendre un échantillon de granulats dont la masse M est
supérieure à 0,2 fois le diamètre maximal (mm)des
granulats
Laver l’échantillon à l’aide d’un tamis de diamètre 0,5
mm
Sécher à l’étuve a une température de 105°C jusqu’à
masse constant
Déduire la masse sèche de l’échantillon M à partir de la
M
formule suivante Ms= W +1
Résultat
Le coefficient de propreté superficielle est obtenu
par la formule suivant
Ms−M
P= × 100
Ms
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Ⅱ. ESSAIS
Propreté superficielle
Interprétation
Un gravier est dit propre si le résultat obtenu est
Inferieur a 5%
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Ⅱ. ESSAIS
Compression de béton
Objectif
L’essai de rupture par compression a pour but de
déterminer une caractéristique du béton nommée la
résistance à la compression
Principe
Le principe de test de compression du béton est
d’utiliser une machine de compression pour
appliquer une force croissante sur un échantillon de
béton jusqu'à ce qu'il se fissure ou se rompt en
atteignant sa limite de résistance maximale
Appareillage
Une presse de compression composée de deux plateaux
de section légèrement supérieure à celle des cylindres
Moule cylindrique de diametre16 mm et de hauteur 32
mm
Balance.
Appareille de surfaçage.
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Ⅱ. ESSAIS
Compression de béton
Mode opératoire
Prélever six cylindres d'échantillons de béton prépare
sur chantier 24 avant qu’elles soient prisent au
laboratoire pour être testés.
Conserver les échantillons dans des caisses isothermes
remplies d'eau à une température normalisée de 20°C.
Trois des échantillons seront testés après une période de
conservation de 7 jours, tandis que les trois autres seront
testés après 28 jours.
Surfacer les échantillons avant le test en rectifiant les
extrémités des éprouvettes pour s'assurer qu'ils sont plats
et parallèles, garantissant ainsi une application uniforme
de la charge.
Mesurer de la masse de chaque échantillon pour
connaître la quantité de matériau utilisée.
Centrer des deux contre-plateaux dans la machine de
compression pour assurer une répartition uniforme de la
charge.
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Nettoyer des contre-plateaux de la machine de
compression pour éviter toute interférence ou
contamination des échantillons.
Appliquer d’une vitesse de chargement constante de 0,5
MPa par seconde sur chaque échantillon jusqu'à ce qu'il
se fissure ou se rompe et noter la charge maximale
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Ⅱ. ESSAIS
Compression de béton
Résultat
La résistance de l’éprouvette du béton en MPa est
obtenue par :
10 × P
fc=
S
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Ⅱ. ESSAIS
Proctor
Objectif
Cet essai vise à déterminer la teneur en eau optimale
du matériau, celle qui permet d'atteindre une masse
volumique sèche maximale, garantissant ainsi une
compactation maximale du matériau
Principe
Le principe de l'essai Proctor consiste à humidifier un
matériau à plusieurs teneurs en eau, puis à le compacter
pour chacune de ces teneurs en eau. Ensuite, on
détermine la masse volumique sèche équivalente à
chaque teneur en eau, et on trace ensuite la courbe des
masses volumiques en fonction de la teneur en eau. Enfin,
on détermine la masse volumique maximale et la teneur
en eau correspondante, notées caractéristiques optimales.
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Ⅱ. ESSAIS
Proctor
Appareillage
Moule CBR.
Moule Proctor.
Règle à araser.
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Ⅲ.Conclusion
En conclusion de mon rapport de stage, je peux affirmer avec
satisfaction que mes attentes initiales ont été largement comblées par
l'expérience enrichissante que j'ai vécue au cours de cette période. Mon
premier objectif était de comprendre le rôle essentiel des laboratoires
dans le processus de construction en génie civil, et j'ai pu approfondir mes
connaissances dans ce domaine spécifique. J'ai également eu
l'opportunité de développer mes compétences techniques en matière
d'essais techniques en laboratoire, ce qui s'est avéré extrêmement
bénéfique pour mon parcours professionnel.
Une autre attente primordiale était d'acquérir une expérience
professionnelle significative, et je suis heureux de constater que ce stage
m'a permis de m'épanouir professionnellement. J'ai été exposé à des
situations concrètes du monde du travail, ce qui m'a permis de développer
mes compétences pratiques et de mieux appréhender les enjeux du
secteur du génie civil.
Ce stage a également profondément impacté ma vision de l'avenir.
Avant cette expérience, je considérais le travail en laboratoire comme
monotone et peu attrayant. Toutefois, aujourd'hui, je suis convaincu(e)
que c'est une voie que je souhaite explorer davantage, voire même
envisager d'ouvrir mon propre laboratoire dans le futur. Cette perspective
est une véritable révélation pour moi, car elle diverge de mes idées
préconçues, qui étaient de me lancer dans la création d'un bureau
d'études.
Néanmoins, bien que mes attentes aient été satisfaites et que j'aie
découvert de nouvelles ambitions, je suis conscient que je peux encore
progresser. L'un des aspects que je souhaite améliorer en moi-même est
ma capacité à travailler en équipe. Durant le stage, j'ai pu constater que le
travail collaboratif est essentiel dans le domaine du génie civil, et je
reconnais que je dois renforcer cette compétence afin de devenir un
professionnel plus complet et efficace.
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