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FORMATION SG

PREVENTION

INTRODUCTION

APS - Agent de Prévention et de Sécurité :

Le mot prévention passe avant le mot sécurité pour mettre en exergue que la prévention doit se tenir
obligatoirement avant la sécurisation, comme le slogan dans la médecine « vaut mieux prévenir que
guérir ». La prévention engendre un coût minime voire néant par rapport à la guérison.

L’APS est par définition un homme ou femme bien formé pour assurer la protection de vie et de
biens d’un lieu bien défini

Afin d’assurer cette protection, ce sont la prévention et les techniques de prévention qu’il faut
renforcer.

Mais la question se pose, prévenir à quoi ?

 Aux risques et dangers

Le travail des APS ne se limitent pas seulement aux risques de vol, de tentative de vol, de braquage
mais il doit intervenir à toute situation qui corrompe la protection de vie et des biens du client.

Pour se faire, il doit, avant tout, savoir les risques qui se présentent au site d’intervention.

ETUDE DES RISQUES :

L'analyse des risques consiste en une identification systématique et permanente et en une analyse
de la présence de dangers et de facteurs de risque dans des processus de travail et des situations de
travail concrètes dans une entreprise, sur un chantier ou dans une institution.

Si les clients engagent des APS qu’ils jugent professionnels et non des simples gardiens, ils savent que
le site leur est valeureux et présente de risques.

Plus le lieu à assurer est valeureux, plus le risque augmente

- Les risques peuvent être réduits voire éliminés


 Comme exemple, un site qui n’a pas d’éclairage présente un risque surtout pendant la nuit
pendant les rondes. Proposer seulement au client l’achat de lampe.
 Si la clôture est très basse, proposer au client de rehausser les murs ou d’ajouter des barbelé
 Si derrière la clôture existe une montagne d’ordure, l’intrusion devient facile. Proposer le
débarras des ordures sera la solution idéale
- Mais dans les cas où les risques ne peuvent être ni réduits ni éliminés
 Lors d’une construction, à part la sécurisation des biens, il est primordial d’assurer zéro accident.
Mais les risques de chute, de dénivellation, de glissement ne peuvent pas être prévus pour être
éliminés.
 Les bruits de machine des grandes usines
 Les courants à haute tension dans les centrales thermiques
 Des éparpillements de verre de bouteille cassée dans les brasseries
 Des larves coulantes de l’ordure brulée dans les savonneries
 Les hydrocarbures se trainant à la surface d’une station-service

Comment préserver la vie et les biens par rapport à ces risques permanents ?

 La signalisation est établie


CHAPITRE I – LES SIGNALISATIONS 
1) Définition

La signalisation de sécurité est la signalisation qui fournit une indication à propos d’un objet, d’une
activité ou d’une situation déterminée, ou qui rappelle une obligation relative à la sécurité ou à la
santé au travail. L’emploi d’une signalisation adéquate nous aide dans notre travail de prévention
des risques mais n’est qu’un complément des mesures de sécurité adoptées puisqu’elles ne
peuvent – par elles-mêmes- éliminer le risque existant.

2) Utilité

Lorsqu’il existe, sur les lieux de travail, des risques qui ne peuvent être éliminés ou protégés par des
systèmes de protection collective, ceux-ci doivent être signalés de manière à attirer l’attention avec
suffisamment d’anticipation pour pouvoir les éviter.

En général, dès que cela s’avère nécessaire, la signalisation suivante doit être mise en œuvre pour:

 Attirer l’attention sur l’existence de certains risques, interdictions ou obligations: interdiction


de fumer par exemple près des produits inflammables utilisés pour vernir; protection
obligatoire de la tête des opérateurs du fait d’éventuels risques de chute de matériel depuis
les hauteurs, etc.

 Alerter sur les situations d’urgence requérant l’adoption de mesures d’urgence de protection
ou évacuation.

 Faciliter l’installation et identification de moyens ou de matériel de protection, d’évacuation,


d’urgence ou de premiers secours: emplacement de l’armoire à pharmacie par exemple,
emplacement où trouver un extincteur portable d’incendies, etc.

 Orienter les travailleurs devant réaliser certaines tâches dangereuses.

PREVENTION Nous devons tous être informés et consultés sur les aspects qui
concernent la prévention.

RESPONSABILITE Nous devons tous connaître nos droits et nos obligations en


matière de prévention.

PARTICIPATION Nous devons acquérir une mentalité préventive: mieux vaut


prévenir que guérir.
La mise en place des signalisations suit une norme internationale et se distingue selon la couleur de
sécurité
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3) Types de signalisations

LES PLAQUES SIGNALETIQUES - LES COULEURS DE SECURITE

COULEUR DE FOND
ROUGE JAUNE VERT BLEU
SIGNIFICATION Signal d’interdiction, de danger ou Signal d’avertissement Signal de sauvetage ou Signal d’obligation
d’alarme (risque ou danger) moyen de secours
Matériel de lutte contre l’incendie
FORME ET COULEUR
X X X X X X X X
DU PANNEAU X
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CHAPITRE II – LA VIGILANCE 

1) Définition

Un poste de vigilance est un poste de travail qui consiste en une surveillance permanente du
fonctionnement et des mouvements d’un site où un défaut de vigilance lors de cette surveillance du
fonctionnement et de mouvement peut mettre en danger la sécurité des biens et de vie des
personnes

La vigilance est l'un des comportements-clé pour la survie de l'individu, notamment vis-à-vis des
prédateurs et d'autres sources de danger

En psychologie, la vigilance est une forme d'attention soutenue de la part d'un individu (ou d'un
groupe) occupé à accomplir une tâche particulière. Dans le cerveau humain, l'amygdale joue un rôle
central dans l'attention vigilante, l'émotion et de l'apprentissage des réponses apportées à la peur.

2) Caractéristiques

La vigilance s’agit avant tout du comportement. Quand on parle comportement, on sous-entend la


concentration et l’observation. La vigilance chapote alors le sens d’observation.

a) Sens de l’observation

Avoir un bon sens de l’observation, c’est remarquer les changements qui se produisent dans son
entourage d’une journée à l’autre et pouvoir repérer, retenir et interpréter des détails que d’autres
personnes ne voient pas. Avoir un bon œil pour les détails.

Autres façons de l’exprimer : être observateur, être minutieux, remarquer les changements, noter les
détails, examiner attentivement, faire des constatations, observer avec attention, avoir l’œil pour les
détails, savoir relever les éléments importants, analyser, scruter

Le sens d’observation fait appel à l’ouverture plus grande du sens de la vue, de l’ouïe et de l’odorat,
du toucher

Dans une clôture bien fermée, assis sur une chaise les yeux bien ouverts mais avec un écouteur à
l’oreille ; malgré que tout semble être en situation normale, le complot derrière les murs sont doutés
alors que le site court un très grand risque.

Des odeurs de fils court-circuités ne peuvent être perçus ni par la vue ni par l’ouïe que par l’odorat
Un objet brûlant peut être raté par la vue, ou l’odorat mais perçu par le toucher

EXERCICE POUR AMELIORER LE SENS DE L’OBSERVATION DE L’ORGANE DE LA VUE

- Trouver quelque chose de nouveau dans un lieu déjà familier


- Trouver quelque chose de familier dans un lieu nouveau
- Définir au préalable une couleur ou une forme, chercher cette couleur/ forme le long du
trajet
- Mémoriser les détails d’une chambre, inventorier selon la mémoire, comparer avec la réalité

ANNEXE AUX EXERCICES

1. Observer des objets familiers avec un œil nouveau

Observe les objets familiers qui se trouvent dans ton milieu. Concentre-toi sur un ou deux objets et
observe-les de façon à remarquer des choses que tu n’avais pas vues auparavant. Par exemple, en
observant une horloge dans le salon, tu peux voir une étiquette que tu n’avais pas remarquée
auparavant; en regardant une plante que tu aimes, tu peux remarquer des bourgeons qui
s’apprêtent à éclore; en regardant le mur de la salle de bain, tu peux observer des marques que tu ne
voyais pas auparavant. Répète l’exercice avec divers objets, de façon régulière.

2. Observer des objets et être curieux de leur origine, leur fabrication, etc.

Observe des objets en te demandant de quoi ils sont faits, comment ils ont été fabriqués, etc.
Examine, par exemple, une statuette de bronze qui se trouve sur la table; elle est faite d’un alliage de
différents métaux. A-t-elle été fabriquée à la main ou en usine? De quelle origine est la personne
représentée par la statuette? Quel genre de vêtements porte cette personne? Est-ce qu’il y a de la
peinture sur la statuette pour en souligner des aspects particuliers? Est-ce qu’on peut déterminer la
période de l’histoire que celle-ci représente? Répète l’exercice avec divers objets, de façon régulière.

3. Jouer à «Devine ce que je vois» (I spy with my little eye)

Cet exercice peut se faire seul ou avec une autre personne. Il est basé sur un jeu d’enfant

Devine ce que je vois. Choisis un aspect particulier de ton environnement que tu vas observer. Par
exemple, les personnes qui portent quelque chose de rouge, les personnes qui parlent au téléphone
cellulaire, les personnes qui fument, les automobiles blanches, les poubelles sur la rue ou encore les
bicyclettes qui passent durant une période donnée. Exerce-toi à faire cet exercice de façon régulière,
lorsque tu n’as rien à faire, que ce soit dans l’autobus ou en attendant en file pour passer à la caisse.
4. Observer méthodiquement

Lorsque tu regardes une image, une photo ou une affiche, pratique-toi à le faire avec méthode. Tu
peux observer les détails de gauche à droite, de droite à gauche, de haut en bas ou de bas en haut,
en divisant l’image en quadrants ou en demies. Fais la même chose en observant une scène. Essaie
de retenir davantage de détails en utilisant cette technique.

5. Reconstituer un environnement

Lorsque tu es assis dans une pièce, observe ton environnement pendant quelques minutes. Ensuite,
ferme les yeux et tente de le reconstituer. Imagine les objets dans la pièce et vois-les où ils se
trouvent. Ouvre ensuite les yeux et vérifie ce que tu as manqué. Refais cet exercice à plusieurs
reprises. Tu peux le faire n’importe quand.

6. Observer avec tous les sens

L’observation n’engage pas seulement la vue, mais bien tout ce qui stimule l’ouïe, l’odorat, le toucher
et le goût. Pour maximiser tous tes sens, ferme les yeux et concentre toi sur les odeurs, les bruits et
autres stimuli sensoriels autour de toi, comme la température, le degré d’humidité ou ce que tu peux
goûter. Cela te permettra de capter la scène et d’aiguiser ton sens de l’observation. Pratique-toi à
reconstruire une scène en y ajoutant les stimuli captés par tes sens autres que la vue.

7. Se concentrer sur les détails tout en gardant l’attention divisée

Quand on se concentre sur un objet, on ne voit pas tout ce qui se trouve dans son champ visuel. Il est
bon, lorsque l’on se concentre de la sorte, de tenter de garder son attention divisée de façon à voir
ce qui se passe autour de cet objet. Ceci peut être accompli en balayant le champ visuel en même
temps que tu observes l’objet. Pratique-toi à regarder un objet avec beaucoup d’attention tout en
gardant un œil sur ce qui se passe autour. Décris l’objet et ce qui l’entoure.

8. Développer sa vision périphérique

Lorsqu’on observe une scène, notre cerveau complète ce que notre œil voit. De plus, nos yeux
deviennent en quelque sorte paresseux, de sorte qu’ils ne s’exercent pas à distinguer les objets en
périphérie. Voir un objet qui se trouve en périphérie peut être avantageux lorsque tu conduis une
automobile. De plus, la pratique d’exercices pour développer ta vision périphérique peut te
permettre d’améliorer tes compétences en lecture. Pour exercer ta vision périphérique, regarde droit
devant toi en gardant les yeux fixes, puis essaie de «voir» ce qui se passe autour sans déplacer le
regard.

b) Code Couleur de Vigilance


 Signification des couleurs
- VIGILANCE VERTE: "situation normale"
- VIGILANCE JAUNE : "Soyez attentifs !" : ouvrez tous les sens : vue, ouïe, odorat, toucher
- VIGILANCE ORANGE : "Préparez-vous !"
- VIGILANCE ROUGE : "Protégez-vous !"

 Action à faire pour le renforcement de Vigilance


- Lorsque la situation est jugée normale et que les APS confirment le « RAS », il faut toujours
rappeler que si le client a fait appel au service professionnel, c’est qu’il existe toujours de
risques.
- Rappeler toujours ainsi le renforcement de vigilance :
. Si couleur verte, passer au jaune,
. Si jaune passer à l’orange,
. Si orange, passer au rouge
- Un APS doit toujours être au niveau orange à chaque prise de service
La capacité à être vigilant est liée au sommeil et au régime alimentaire

3) Techniques pour avoir un bon sommeil chez soi (à la maison)


 Préparer un environnement de détente :
- Assurer que le lit est bien propre
- Assurer que la chambre et l’entourage est bien en ordre
- Bien aérer la chambre
- Réduire la lumière du jour en utilisant des rideaux épais
 Dormir réellement
- Essayer de trouver un vrai sommeil, ne pas se laisser distrait dans les pensées
- Ne pas trainer longtemps au lit quand on s’est réveillé
- Ne pas se mettre instantanément debout dès ouverture des yeux
 Conditions de sommeil :
- Trouver l’endroit le plus calme et le plus isolé possible des bruits
- Equiper de cache yeux et coton oreille
 Au réveil :
- Garder un rythme physique pour en faire une routine
- Faire des exercices d’étirement
- Faire de musculation et de sport
- Faire le jardinage ou travailler la terre
 Avant départ pour le service NUIT :
- Une sieste de 10 à 15 mn est très relaxante avant d’aller travailler mais il faut bien gérer le
temps. L’utilisation d’un réveil est très recommandée
- Si l’entrée est à 17h30 et qu’il faut quitter la maison à 17h00 pour ne pas être en retard, la
sieste peut se tenir de 16h30 à 16h45
- 16h45 à 17h00 sera le temps de se préparer : se laver surtout le visage, brosser les dents,

4) Technique pour avoir une bonne alimentation :


 Eviter les stimulants : pour que le corps n’en soit pas dépendant
- café,
- cigarette,
- alcool,
- drogue
 boire de l’eau suivant le poids
- 65 kg = 1.5 litres
- + de 65 kg = + de 1.5 litres
- Pendant les heures d’activités mais non avant le sommeil
 Manger correctement
- Il est toujours préférable dans la mesure du possible de manger du riz local de couleur rouge
aux heures de repas : petit déjeuner, déjeuner et diner (maina ou sosoa) mais bien chaud
- Manger 5 fruits et légumes variés chaque jour : les mettre dans le menu :
. Exemple : pour mets : tomate, carotte, pomme de terre et pour dessert : banane et mangue
- Privilégier les légumes dans les repas :
. Aliments rouge : prévention de certains cancers : tomates, betteraves, pastèque…
. Aliments verts : santé cardiovasculaire et santé de l’œil (Fer et Vit B9) cresson, choux,
salade, petits pois, courgette, avocat, persil…
. Aliments violets et bleus : protection des cellules contre le vieillissement, fortifiant,
stabilisateur de muscle : raisin, voroy hazo, aubergine,…
. Aliments jaunes et orange : filtre naturel contre les rayons UV et stimulateur du système
immunitaire (Pro Vit A) : abricot, ananas, carotte, orange, mangue, citrouille,…
. Aliments blanc et gris : éloignement des cellules cancéreuses et régularise la tension
artérielle (++Potassium) : ail, champignon, banane, choux fleur, oignon, pomme de terre,
poire, navet,…
- Les légumineux remplacent la viande selon leurs apports nutritionnels : haricot rouge, maïs,
soja, lentilles, riz rouge
- Manger moins de sel, moins de sucre et moins de viande : ne pas dépasser un verre sucré par
jour

 Les aliments antifatigues :


- Eau minérale : eau de source naturelle
- Chocolat noir
- Fruits de mer  (huitres)
- Légumes verts
- Agrumes et jus de citron
- Fruits secs : raisin sec, pomme sec, banane, ananas
CHAPITRE III – LA PROCEDURE, LES CONSIGNES ET LE RAPPORT

A) DEFINITION
1) PROCEDURE (dingana arahina)

Une procédure de sécurité est une succession imposée de tâches à réaliser. Elle répond en général à
des impératifs qui ne sont pas discutables par l’opérateur qui les applique.

C’est un descriptif organisationnel détaillé pour réaliser un processus. Si la procédure n’est pas
respectée, les données de sortie du processus ne seront pas conformes aux exigences attendues. Elle
décrit simplement le « qui fait quoi » pour un processus donné.

Une procédure désigne une manière spécifiée d'effectuer un ensemble de tâches. Elle représente la
mise en œuvre des consignes. Elle décrit ainsi étape par étape l'enchainement des tâches à réaliser,
et les rôles et responsabilités associées.

2) CONSIGNES (toromarika)

Les consignes sont l’ensemble des ordres et instructions données à quelqu’un en charge d’une
mission.

Ce sont des mesures de prévention des risques qui ont été identifiés dans le site d’intervention après
l'évaluation ou l’étude des risques  et qui sont à respecter, à appliquer et à faire appliquer

- Les consignes représentent le « Quoi »,


- la procédure représente le « Qui fait Quoi, Quand et comment »

B) MODELES

Exemple 1:

- consigne : contrôle d'accès obligatoire


- procédure :
1- accueillir le visiteur en le saluant
2- demander poliment son nom, le nom de la personne qu’il cherche et le motif de sa visite
3- demander à la personne à visiter l’accord d’entrée du visiteur
4- - si oui : demander poliment une pièce d’identité du visiteur pour enregistrer les données
nécessaires dans le cahier visiteur ou cahier de mouvement
- donner au visiteur un badge visiteur en échange de la pièce pour qu’il puisse circuler
dans le site
- orienter le visiteur vers la personne à visiter
5- - si l’entrée du visiteur n’est pas accordée : présenter poliment des excuses pour
l’indisponibilité de la personne à visiter

Exemple 2 :

- Consigne : fouillage des sacs


- Procédure :
1- A l’entrée : demander au concerné d’ouvrir son sac et de déclarer les objets
2- A la sortie : Demander au concerné d’ouvrir son sac/ Demander au concerné de faire
sortir ses affaires/ Observer, vérifier et confronter selon la déclaration d’objets à l’entrée:
sac et affaires, sans toucher
- Si anomalie : ordonner la personne de ne pas bouger
- aviser immédiatement le responsable
- enregistrer l’événement au cahier de mouvement
- faire un rapport écrit
- S’il n’y a pas d’anomalie : la personne peut sortir
C) LE RAPPORT

A chaque événement requiert un rapport suivant une procédure bien adaptée à la situation.

Le rapport est un exposé dans lequel on relate ce qu'on a vu ou entendu d’une manière fiable, claire
et concise; c’est un compte-rendu souvent de caractère officiel

1) Procédure de rapport
 CLIENT
- Rapport immédiat verbal ou téléphonique vers client local
- Rapport téléphonique immédiat vers client siège (si autorisé)
- Rapport écrit
 SOCIETE
- Rapport immédiat par téléphone au responsable local
- Rapport téléphonique immédiat vers service permanent au siège
- Rapport écrit
2) Contenu d’un rapport
A chaque événement, un rapport doit contenir au minimum les informations ci-dessous :

- Qui : qui sont les concernés par l’incident ? Sui sont les responsables ? Qui sont les victimes ?
- Quoi : qu’est ce qui s’est passé ? Quelle sorte d’incident ?
- Quand : quand est ce que l’incident a eu lieu : jour, heure, minute à préciser
- Où : où est ce que l’incident a eu lieu exactement ?
- Pourquoi : quels sont les causes de l’incident ?
- Comment : comment l’incident a eu lieu ?
- Informations complémentaires obligatoires : les heures de rondes, les heures de contrôles,
l’emplacement des APS lors de l’incident, les mesures prises par les APS et l’antenne,
l’information passée au client (qui a été le client que l’APS a informé  ? quel a été
l’information donnée ? quelle mesure le client a pris ?)

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