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sultat de l’aggravation du déficit budgétaire.

Il explique, à ce propos, que le


volume de la dette s’est accru de plus du double depuis 2009, pa final d’un
dispositif n’est pas forcément celui qui est visé, ou que la politique peut avoir de multiples effets,
parfois loin du champ initialement ciblé. Plusieurs techniques statistiques permettent de
contourner ces problèmes, la clé étant d’être capable de reconstruire ce qui se serait passé en
l’absence de la politique ssant

rendement et de bonne gouvernance, a indiqué Driss Jettou.

Et d’expliquer que cette recommandation découle du constat selon lequel, en


dépit des efforts consentis dans le domaine des infrastructures publiques, ces
actions n’ont pas permis de réduire les inégalités ion publique : suivi et évaluation
des politiques publiques et des programmes Paris : Economica, 2008. - 180 p. ; 24 cm. 352.35
BAS  Battesti, Jean-Pierre ; Bondaz, Marianne ; Marigeaud, Martine (et al.) Cadrage
méthodologique de l'évaluation des politiques publiques partenariales : guide Paris : IGA :
IGF : IGAS, 2012. -- 54 p. : fig. ; 30 cm. Ce document se veut un véritable guide d'évaluation
des politiques publiques mises en place en partenariat entre différents acteurs (l'État, les
collectivités, les organismes sociaux et les opérateurs). Après avoir défini la finalité et les
écueils de la démarche d'évaluation, le guide en décrit les étapes et fait le point sur le
processus de communication qui doit l’accompagner. Le guide s'accompagne de fiches
pratiques. En ligne sur Internet 352.367 CAD  Braconnier, Patrice ; Cauquil Guy (Dir) ;
préface de Michel Rocard. L'évaluation des politiques publiques : le développement d'une
nouvelle culture Paris : SCEREN : CNDP, 2010. - 199 p. : illustrations en noir et en couleur ;
20 x 14 cm. - (Profession cadre service public, 2105-9691) 352.34 EVA  Conseil
économique, social et environnemental Promouvoir une culture de l'évaluation des politiques
publiques : avis / du Conseil économique, social et environnemental sur le rapport présenté
par Nasser Mansouri-Guilani, au nom de la délégation à la prospective et à l'évaluation des
politiques publiques Paris : Ed. des Journaux officiels, 2015. -- 1 sociales et les disparités
territoriales, ni induit une véritable amées publiques est un exercice difficile
techniquement et institutionnellement.
Techniquement, parce que de nombreux pièges attendent l’évaluateur : corrélation (entre une
politique et ses résultats) ne vaut pas causalité et l’évaluateur doit tenir compte des causalités
inverses et des interactions de la politique considérée avec de multiples autres facteurs ; il doit
aussi être conscient du fait que le bénéficiaire final d’un dispositif n’est pas forcément celui qui
est visé, ou que la politique peut avoir de multiples effets, parfois loin du champ initialement ciblé.
Plusieurs techniques statistiques permettent de contourner ces problèmes, la clé étant d’être
capable de reconstruire ce qui se serait passé en l’absence de la politique considérée.
Lorsqu’une véritable expérimentation n’est pas possible, les chercheurs exploitent les
discontinuités existantes des politiques publiques, soit que la politique soit mise en place par
vagues successives, soit qu’elle s’applique avec des seuils (on compare alors les individus ou
entreprises de part et d’autre du seuil).
L’évaluation est aussi difficile à mettre en œuvre institutionnellement car seul un protocole
rigoureux, défini si possible avant la mise en place de la politique, permet d’obtenir une
évaluation crédible. Ce protocole doit garantir l’indépendance des évaluateurs et leur accès aux
données nécessaires à l’évaluation. Il doit aussi prévoir un temps de discussion contradictoire
des hypothèses et des résultats, dans un cadre interdisciplinaire. Il doit, enfin, laisser les
évaluateurs libres de publier leurs résultats et de les discuter avec d’autres experts, en France
comme à l’étranger.
En pratique, l’évaluation d’une politique ne doit pas être menée par l’administration en charge de
la mettre en œuvre.
L’expertise administrative est un complément indispensable à l’expertise technique, en particulier
pour comprendre les modalités d’application de la politique et les interactions avec d’autres
dispositifs. Elle doit être combinée à l’expertise technique mais ne saurait s’y substituer. Les
évaluateurs extérieurs doivent être nommés selon un processus transparent et extérieur lui aussi
à l’administration en charge, en veillant à éviter toute relation de dépendance avec les
commanditaires et à promouvoir une plu

lioration des indicateurs de développement humain.


Agadir. La 1ère ligne de BHNS impose la restructuration du réseau

S’agissant de l’exécution du Budget 2018, Jettou a rappelé les principales


données: Il s’agit notamment 

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