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Abréviations Significations
Conclusion.................................................................................................................19
Introduction
Le protectionnisme est un outil pratiqué par les pays afin de protéger la production nationale et
les industries naissantes contre la concurrence étrangère en utilisant soit des barrières tarifaires
par exemple les droits de douane et autres taxes, soit des barrières non tarifaires comme les
normes sanitaires, techniques, formalités administratives et les quotas.
Mais après la deuxième guerre mondiale qui a pris fin en 1945, cette phase qui est marquée par
le projet de restructuration des économies dévastées par la guerre, les pays sont devenus de plus
en plus ouverts à l’international, et ils ont dépassé les limites géographiques et physiques
existaient auparavant.
Depuis 1950, le commerce international a cru plus vite que la production mondiale et entre 1950
et 2010 le volume des exportations mondiales a été multiplié par 33, alors sous l’effet de la
mondialisation économique, et l’absence des crises majeurs par exemple les guerres, les crises
diplomatiques et les crises économiques… le commerce international prospère à grand pas.
Le GATT a participé d’une grande part dans cette ouverture, et cette libéralisation a traves ces
cycles de négociation depuis le cycle de Genève en 1947 jusqu’à le cycle d’Uruguay en 1986.
Au début, les négociations d’articulent juste sur les droits de douane et leurs réductions mais à
partir de Tokyo Round à Genève en 1973, les barrières non tarifaires sont devenues parmi les
sujets négociés lors des négociations commerciales, par ailleurs, d’autres domaines et secteurs
ont pris une certaine importance au cours de la dernière négociation à Genève Uruguay Round
qui est la dernière négociation avant la création de l’OMC par exemple l’agriculture, le commerce
des services et le textile…
Ce dernier est un secteur stratégique, il a un poids très imposant pour un grand nombre des pays,
en particulier les pays en voie de développement, les exportations des produits de ce secteur était
soumise à des contingents négociés bilatéralement et régit par l’accord multifibre entre
1974/1994.
Mais depuis le 1er janvier 1995, et avec la création de l’OMC le commerce international des
produits textiles et des vêtements est en pleine mutation sous l'effet du programme de transition
sur dix ans énoncé dans l'Accord de l'OMC sur les textiles et les vêtements (ATV) afin d’éliminer
et supprimer définitivement les quotas aux échanges.
Alors la question qui se pose :
« Quels sont les effets de l’expiration de l’accord sur les textiles et vêtements sur
les échanges mondiaux ? »
Afin de répondre à cette problématique, le présent rapport est subdivisé en deux chapitre, le
premier chapitre a pour objectif de mettre l’action sur le passage de l’AMF à l’ATV, les objectifs
de ce dernier, et son champ d’application. Dans la deuxième section du premier chapitre on va se
concentrer autour de La structure de base de L'ATV, Les principes de l’OMC dans l’ATV et les
conséquences de l’expiration de l’ATV.
Finalement, la troisième partie est consacrée pour l’étude de cas concernant un règlement de
différend entre les Etats-Unis et Costa Rica.
Chapitre I : Généralité sur l’accord sur les textiles et vêtements
Section 1 : le passage de L'AMF à L'AT
1. La définition de L'arrangement multifibres (AMF) 1974-1994
Jusqu'à la fin du Cycle d'Uruguay les contingents relatifs aux textiles et aux vêtements étaient
négociés bilatéralement et régis par l'Arrangement multifibres (AMF). C'est en 1974 que les pays
développés, principalement les Etats-Unis et l'Union européenne, soucieux de protéger leur
industrie, avaient imposé des contingents limitant les exportations des pays en développement.
Connu sous le nom d'Arrangement multifibres (AMF).
Cet instrument prévoyait des règles pour l'imposition de restrictions quantitatives sélectives
lorsque des poussées soudaines des importations portaient, ou menaçaient de porter un
préjudice grave à la branche de production du pays importateur. L'Arrangement multifibres
constituait une dérogation importante aux règles fondamentales du GATT, notamment au
principe de la non-discrimination. Le 1er janvier 1995, il a été remplacé par l'Accord de l'OMC sur
les textiles et les vêtements qui met en place un processus transitoire en vue de la suppression
définitive de ces contingents.
2. La définition de L'accord sur les textiles et vêtements
L'Accord sur le Textile et la Confection (ATC), appelé également « l’Accord sur le Textile et les
Vêtements » (ATV), constitue un accord transitoire. Il a vu le jour au cours des négociations de
l'Uruguay round et a démarré le 1er janvier 1995. Sa finalité était d'abolir au 1er janvier 2005 les
restrictions quantitatives prévu par l'AMF.
L'ATV a pour but de ramener le secteur textile et habillement dans le droit commun du commerce
international qui inclut la clause du traitement de la nation la plus favorisée (NPF) et n'autorise
que les tarifs douaniers. L'accord spécifie donc que l'on renonce notamment au système des
quotas de limitation quantitative aux échanges.
3. Les objectifs de L'ATV
L'ATV repose sur les objectifs suivants :
Obtenir la levée des restrictions quantitatives appliquées par certains pays développés
aux importations de textiles et de vêtements.
Mettre en place la palette des produits qui regroupe l'essentiel des filés, des tissus, des
articles confectionnés et des vêtements, qui étaient réglementés par les restrictions de
l'AMF.
Définir des modalités qui permettraient d'intégrer ce secteur dans le cadre du GATT sur la
base de règles et disciplines du GATT renforcées, ce qui contribuerait aussi à la réalisation
de l'objectif de libéralisation accrue du commerce. (L’accord sur les textiles et vêtements).
Ch.50 Soie
Si on met la lumière sur les articles de l’accord sur les textiles et vêtements, on va trouver que les
principes de l’OMC sont présents d’une manière très forte. Parmi les principes que nous avons pu
relever :
a) La transparence :
Ce principe est présent dans l’article 2 paragraphe 21 et qui se manifeste dans un organe de
supervision des textiles « OSpT » qui suivra la mise en œuvre du présent article. A la demande de
tout Membre, il examinera toute question particulière en rapport avec la mise en œuvre des
dispositions du présent article. Il adressera des recommandations ou constatations appropriées
dans les 30 jours au ou aux Membres concernés, après les avoir invités à participer à ses travaux.
L’objectif de présent accord est l’élimination des restrictions quantitatives à l’échange mais ce
principe figure d’une manière très claire dans l’article 2 paragraphe 8 C qui dispose que le premier
jour du 121e mois après que l'Accord sur l'OMC aura pris effet, le secteur des textiles et des
vêtements se trouvera intégré dans le cadre du GATT de 1994, toutes les restrictions appliquées
au titre du présent accord ayant été éliminées.
Elle figure dans l’article 7 de l’ATV," dans le cadre de l’intégration tous les membres prendront
les mesures qui pourraient être nécessaires afin de se conformer des règles du GATT" - 7(b) lutte
contre le dumping et les subventions et les mesures compensatoires.
L'Accord sur les textiles et les vêtements (ATV), ainsi que toutes les restrictions qui en relèvent,
ont été abrogés le 1er janvier 2005. L'expiration de la période de transition de dix ans impartis
pour la mise en œuvre de l'ATV signifie que le commerce des produits textiles et des vêtements
n'est plus soumis à des contingents conformément à un régime spécial en dehors des règles
normales du GATT/de l'OMC mais est désormais régi par les règles et disciplines générales
consacrées par le système commercial multilatéral.
Peu avant l’expiration de l’ATV, de nombreuses études sur l’impact de la fin du contingentement
ont vu le jour. Toutes s’accordaient sur le fait que la Chine et l’Inde gagneraient des parts de
marché et que les fabricants locaux de l’Union européenne et des Etats-Unis en perdraient, mais
elles divergeaient sur l’ampleur de ces gains et de ces pertes et sur l’impact de la suppression des
contingents sur les pays en développement bénéficiaires de préférences. Pour ce qui est de la
Chine, par exemple, les estimations concernant sa part dans les exportations totales de textiles
et de vêtements après l’expiration de cet accord allaient d’un tiers à plus de 50 %. A titre de
comparaison, en 2003, la part de ce pays dans les exportations mondiales totales était de 20 %
pour les textiles et de 28 % pour les vêtements. Si les prédictions donnent la Chine comme
principal gagnant de la suppression des contingents, c’est tout simplement parce qu’elle était le
principal perdant du système des contingents.
1. Fin des quotas d'importation : Les quotas d'importation imposaient des limites quantitatives
sur les importations de textiles et de vêtements, ce qui créait une certaine stabilité et
prévisibilité dans le commerce de ces produits. L'expiration de l'ATV a mis fin à ces restrictions,
2.
3. Permettant ainsi aux pays d'importer et d'exporter librement des textiles et des vêtements
sans contraintes quantitatives.
4. Concurrence accrue : Avec la fin des quotas, les pays producteurs de textiles et de vêtements
ont été confrontés à une concurrence plus intense. Les pays qui avaient traditionnellement
bénéficié de quotas préférentiels ont dû faire face à la concurrence des pays à bas coûts de
production, notamment la Chine, l'Inde, le Bangladesh et d'autres pays émergents. Cela a
conduit à une restructuration de l'industrie, avec des entreprises cherchant à améliorer leur
compétitivité en se concentrant sur des facteurs tels que la qualité, l'innovation, la réduction
des coûts de production et l'amélioration de l'efficacité.
5. Délocalisation de la production : L'expiration de l'ATV a favorisé une délocalisation de la
production de textiles et de vêtements vers des pays offrant une main-d'œuvre moins chère.
Les entreprises ont cherché à optimiser leurs coûts de production en déplaçant leurs activités
vers des pays où les salaires étaient plus bas. Cela a entraîné une augmentation de la
production dans des pays comme la Chine, qui est devenue un acteur majeur dans l'industrie
textile et de l'habillement.
6. Pressions sur les pays en développement : Les pays en développement qui bénéficiaient
auparavant de quotas préférentiels dans le cadre de l'ATV ont dû faire face à des défis pour
s'adapter à la nouvelle réalité du commerce sans quotas. Certains de ces pays ont connu des
difficultés pour maintenir leur compétitivité face à la concurrence des pays à bas coûts de
production. Certains ont mis en œuvre des réformes économiques et ont cherché à
développer des avantages comparatifs dans d'autres secteurs pour diversifier leur économie.
7. Avantages pour les consommateurs : L'expiration de l'ATV a permis une plus grande diversité
de produits textiles et de vêtements sur les marchés mondiaux. Les consommateurs ont
bénéficié d'un accès accru à une variété de styles, de marques et de gammes de prix. Les prix
des vêtements ont souvent diminué en raison de la concurrence accrue et de la possibilité
d'importer des produits de différents pays.
Chapitre II : Exemple de différend : Etas-Unis-restrictions à l’importation de
vêtements de dessous de coton et de fibres synthétiques ou artificielles en
provenance du Costa Rica :
1. La présentation de l’affaire :
Le 22 décembre 1995, le Costa Rica a demandé l'ouverture de consultations avec les États-Unis
concernant les restrictions appliquées par ce pays à ses importations de textiles. Le Costa Rica
alléguait que ces restrictions enfreignaient l'Accord sur les textiles et les vêtements (ATV).
Mesure en cause : La restriction quantitative à l'importation imposée par les Etats-Unis en tant
que mesure de sauvegarde transitoire au titre de l'article 6 de l'ATV.
Aux yeux du Costa Rica, l'article 6:2 de l'ATV posait trois conditions à réunir avant de pouvoir
imposer une mesure de sauvegarde spéciale, à savoir: a) un accroissement des importations
totales d'un produit particulier, indépendamment de leur origine; b) un préjudice grave ou une
menace réelle de préjudice grave pour la branche de production nationale produisant des
produits similaires et/ou directement concurrents; enfin, c) un lien de causalité entre
l'accroissement des importations totales et l'existence du préjudice grave ou de la menace réelle
de préjudice grave.
Le Costa Rica a fait valoir que ni le document de mars, ni celui de juillet, pas plus qu'aucune autre
information communiquée par les Etats-Unis, pas même à la suite de l'imposition de la restriction
unilatérale, ne fournissaient d'éléments de preuve ou d'analyse du type requis pour démontrer
l'existence d'une menace réelle. À la demande du Groupe spécial, les Etats-Unis ont dit qu'ils ne
considéraient pas la constatation d'une menace réelle de préjudice grave comme impliquant une
sorte d'analyse prospective parce qu'il n'y avait dans l’ATV aucune disposition de ce genre qui les
aurait guidés pour établir leur détermination. Ils ne divisaient pas la formule "un préjudice grave
ou une menace réelle de préjudice grave" et ils ne demandaient pas au Groupe spécial de le faire.
L'ATV ne prévoyait pas de critère distinct pour la menace. A l'inverse, le Costa Rica était d'avis que
la constatation d'une menace réelle de préjudice grave impliquait une analyse prospective.
Puisque l'ATV exigeait que la menace fût "réelle", cela signifiait que le Membre qui souhaitait se
prévaloir de ce motif ne pouvait pas le faire à partir de conjectures ou de spéculations, mais devait
démontrer effectivement qu'il y avait sur la branche de production un impact préjudiciable
imminent qui était sur le point de se produire.
Le Costa Rica a fait valoir que parmi les conditions dont les Etats-Unis auraient dû démontrer
l'existence pour pouvoir recourir à une mesure de sauvegarde transitoire était l'existence d'un
lien de causalité entre l'accroissement présumé des importations et le préjudice grave ou la
menace réelle de préjudice grave présumé causé à la branche de production nationale d'un
produit similaire et/ou directement concurrent. Les Etats-Unis ne l'ayant pas fait, ils avaient violé
l'article 6 :2 de l'ATV. Pour le Costa Rica, la meilleure preuve de l'inexistence de ce lien de causalité
résidait dans les niveaux de limitation que les Etats-Unis avaient arrêtés en accord avec les autres
pays auxquels ils avaient demandé des consultations sur les produits de la catégorie 352/652 -
Colombie, El Salvador, Honduras, République dominicaine et Turquie. Les Etats-Unis ont noté que
le Costa Rica avait abondamment utilisé des renseignements sur les règlements négociés avec
des pays qui n'étaient pas parties au présent différend dans sa première communication et à la
première réunion du Groupe spécial sur le fond de l'affaire. Ces renseignements, à leurs yeux, ne
convenaient pas à la tâche du Groupe spécial, et celui-ci ne devait pas en autoriser l'utilisation
pour porter atteinte aux droits des Etats-Unis dans la présente espèce.
Article X:2 du GATT (règlements relatifs au commerce-application): Bien qu'en désaccord avec le
Groupe spécial quant à l'application de l'article X :2 à la question de l'application rétroactive au
titre de l'article 6:10 de l’ATV, l’Organe d'appel a souscrit à l'interprétation générale donnée par
le Groupe spécial de l’article X-2 selon laquelle certaines mesures par pays pouvaient être des
mesures d'application générale au titre de l'article X ;2, bien qu'une mesure par société ou par
expédition puisse ne pas l’être. Il a également noté importance fondamentale de l’article X :2, qui
rendait compte du principe de transparences et avait un rapport avec le respect des formes
régulières.
6. Les recommandations :
Le Groupe spécial rappelle ses conclusions suivant lesquelles les Etats-Unis ont violé leurs
obligations au titre de l'article 6:2 et 6:4 de l'ATV en imposant une restriction aux importations
en provenance du Costa Rica sans avoir démontré que ces importations avaient porté ou
réellement menacé de porter un préjudice grave à la branche de production américaine et leurs
obligations au titre de l'article 6:6 d) de l'ATV en n'accordant pas aux réimportations en
provenance du Costa Rica un traitement plus favorable. Le Groupe spécial, par conséquent,
recommande à l'Organe de règlement des différends de demander aux Etats-Unis de mettre la
mesure contestée par le Costa Rica en conformité avec leurs obligations au titre de l'ATV. Le
Groupe spécial estime que la meilleure manière de réaliser cette mise en conformité et d'éviter
que des avantages résultant pour le Costa Rica de l'ATV ne soient encore annulés ou compromis
consiste à abroger dans les moindres délais la mesure incompatible avec les obligations des Etats-
Unis. Le Groupe spécial suggère en outre que les Etats-Unis mettent la mesure contestée par le
Costa Rica en conformité avec leurs obligations au titre de l'ATV en supprimant immédiatement
la restriction imposée par cette mesure. À la réunion de l'ORD du 10 avril 1997, les États-Unis ont
indiqué que la mesure contestée était arrivée à échéance le 27 mars 1997 et n'avait pas été
prorogée, ce qui signifiait que les États-Unis s'étaient immédiatement conformés aux
recommandations de l'ORD.
Conclusion
Le commerce mondial du textile et vêtement a connu une évolution majeure en janvier 2005.
L'Accord Multifibres (AMF), caractérisé par l'imposition de restrictions quantitatives à l'entrée aux
marchés de la plupart des pays développés, a été complètement démantelé. Les tarifs douaniers
persistent, mais les quotas sont éliminés.
En effet, l'AMF constitué une dérogation flagrante aux règles fondamentales du GATT tel que la
« non-discrimination ». Pour éliminer cette discrimination d'une part et pour ne pas secouer les
marchés des pays développés d'autre part, l’AMF a cédé la place à l’ATV qui n’est pas un
prolongement de ce dernier mais c’est un régime transitoire entre ces derniers avec l’intégration
complète des produits textiles et vêtements dans le système d’échange multilatéral au
01/01/2005. L’article 2 de l'ATV à prévus l'intégration progressive des produits textiles et
vêtements sur une période de dix ans.
Ce changement dans les conditions d'accès aux marchés d'exportation constitue un choc majeur,
car il accroît considérablement le degré de compétitivité des pays comme la Chine autrefois
contrainte par les quotas et réduit la marge préférentielle dont bénéficient les pays non soumis à
des quotas d'importation, comme la Tunisie.
L’expiration de l’ATV favorise la mainmise de la Chine sur le secteur du textile à l’échelle mondiale
source d’une véritable menace à l’organisation des échanges au niveau régional, causant un
impact inévitable sur les économies nationales. L'ouverture aux échanges du secteur textile et
habillement a eu des effets positifs sur un petit nombre de grands pays en développement mais
elle a des effets plutôt négatifs sur les pays petits et très pauvres. Cette évolution remet en
question les conséquences de l’expiration de l’ATV sur le système d’échange multilatéral.
Références
www.two.org
L’accord sur les textiles et vêtements
Rapport sur la fin des arrangements multifibres sur le site www.ethique-sur-
etiquette.org
Site de l’OMC, le règlement des différends dans le cadre de l’OMC : une
affaire, une page
Rapport du groupe spécial site de l’OMC
Table de matière
LISTE DES ABREVIATIONS ....................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
Sommaire : ............................................................................................................ Erreur ! Signet non défini.
Introduction........................................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
Chapitre I : Généralité sur l’accord sur les textiles et vêtements ......................... Erreur ! Signet non défini.
Section 1 : le passage de L'AMF à L'AT .............................................................. Erreur ! Signet non défini.
1. La définition de L'arrangement multifibres (AMF) 1974-1994.............. Erreur ! Signet non défini.
2. La définition de L'accord sur les textiles et vêtements ......................... Erreur ! Signet non défini.
3. Les objectifs de L'ATV ............................................................................ Erreur ! Signet non défini.
4. Le champ d’application de L'ATV .......................................................... Erreur ! Signet non défini.
Section 2 : le contenu de L'ATV et les conséquences de son expiration............... Erreur ! Signet non défini.
1) La structure de base de L'ATV ................................................................... Erreur ! Signet non défini.
a) Article 2 ................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
b) Article 3 ................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
c) Article 4 ................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
d) Article 5 ................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
e) Article 6 ................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
f) Article 7 ................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
2) Les principes de l’OMC dans l’ATV : .......................................................... Erreur ! Signet non défini.
a. La transparence : ................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
b. L’interdiction des restrictions quantitatives :........................................ Erreur ! Signet non défini.
c. Les mesures de sauvegarde :................................................................. Erreur ! Signet non défini.
d. La concurrence loyale (les mesures antidumping et antisubventions) : .......... Erreur ! Signet non
défini.
3) Les conséquences de l’expiration de l’ATV : ............................................. Erreur ! Signet non défini.
Chapitre II : Exemple de différend : Etas-Unis-restrictions à l’importation de vêtements de dessous de
coton et de fibres synthétiques ou artificielles en provenance du Costa Rica : ... Erreur ! Signet non défini.
1) La présentation de l’affaire : ..................................................................... Erreur ! Signet non défini.
2) Mesures de produits en cause : ................................................................ Erreur ! Signet non défini.
3) La procédure de groupe spécial et procédure d'appel : ........................... Erreur ! Signet non défini.
4) Le déroulement de la procédure du différend : ........................................ Erreur ! Signet non défini.
a) .................................................... Accroissement des importations :
Erreur ! Signet non défini.
b) L’existence d’un préjudice grave ou une menace réelle de préjudice grave pour la branche de
production nationale : ................................................................................... Erreur ! Signet non défini.
c) Le lien de causalité entre l'accroissement des importations totales et l'existence du préjudice
grave ou de la menace réelle de préjudice grave : ....................................... Erreur ! Signet non défini.
5) Résumé des principales constatations du groupe spécial/de l'organe d'appel : . Erreur ! Signet non
défini.
6) Les recommandations : ............................................................................. Erreur ! Signet non défini.
Conclusion ............................................................................................................. Erreur ! Signet non défini.
Références ................................................................................................................................................... 19