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Publications de la FREDON

POINT FEDE 22:POINT FEDE juil2010 26/06/12 11:50 Page 1


I.5
Les charançons de la patate douce N°23

Périodiques
N°22
Les charançons Cylas formicarius et Euscepes postfaciatus sont des
2 ou 3 mois pour C. formicarius et 3 à 6 mois pour E. postfaciatus.
ravageurs importants de la patate douce. Leurs larves creusent des
galeries dans la chair du tubercule. Ces galeries sont des portes ● Une fois écloses, les larves creusent des galeries dans la patate
d’entrée pour des champignons et des bactéries ; les infections qui en douce. Cela la rend amère et impropre à la consommation, même pour
découlent provoquent la pourriture des tubercules. les animaux.
Les adultes font moins de dégâts : des perforations à la surface des 2013
Description JANVIER E 2012
NIQUE •REGIONALE UE • NOVEMBR

nosedu piment
tubercules et des feuilles.
Les larves des deux espèces se ressemblent : elles sont blanchâtres, LETTRE D’INFORMATION DELALAMARTI FEDÉRATION MARTINIQ
DE LA CONTRE
DE DÉFENSE LES ORGANISMES NUISIBLES DE LA MARTINIQUE • JUIN 2012

L’anthrac
mesurent environ 5mm de long, ont des pattes réduites ou absentes et Les adultes de C. formicarius vivent 3 à 7 mois, ceux d’E. postfaciatus LES DE ES NUISIBLES
une tête brune. Les adultes, eux, sont faciles à distinguer l’un de l’autre. jusqu’à 8 mois. La fécondité et la longévité d’E. postfaciatus sont ISMES NUISIB CONTRE LES ORGANISM
plus élevées que celles de C. formicarius. Cependant, sa capacité de LES ORGAN E DE DÉFENSE
CONTRE N REGIONAL
Réduction de la pollution
L’adulte de C. formicarius (5,5 à 8 mm) est plus grand qu’E. postfaciatus
dispersion est moindre préférer: il ne vole pas alors que C. formicarius peut EFEDÉRATIO
DE DÉFENS
DE LA
lelemot
mot du
(3,5 à 4 mm).
les plants
fruits) par aspersion,
se déplacer
(feuilles et C. (goutte-à-goutte
des plants
de 150 m par ou
jour. Cette capacité de dispersion
formicarius plus difficilement maîtrisable. TIOND’INFORM
LETTRE
ATION
REGIONALE rend du Président
Président par les pesticides
: en zones
ue inondative nique ? non agricoles :
d’arroser nt au pied FEDÉRA
● Éviter VousON DE LA
biologiq
directeme

premier
Mesures atteints.RMATI

ectives en bilan
l’arrosage préventives
plants trop à La FREDON a reçu des mains du ministre de l’Agriculture lors
La lutte
s éliminer les sD’INFO
en veillant
ne et plantes
attaquée on, appe- aspersion
localisée).
des piments, les branches Plusieurs LETTRE
desséchée
mesures prophylactiques
alcool à 70°).
contribuent à réduire les pertes Marti
du dernier Salon de l’Agriculture une mention spéciale dans le
identt
champign
due à un es la récolte
quelles persp
diluée oupar les larves des Y
Présiden
entraînées
Agent pathogè est une maladie de nombreus ● Après tailler et
éliminer
(eau de Javel
charançons de la patate douce :
cadre des Trophées de l’Agriculture Durable.
et qui attaque papayer, anthu-
t du
du
OVARBUR
e du piment pouvez aussiles outils de taille - Récolter Teddy Le programme de surveillance des pesticides réalisé par l’Office
en
mot
lemot
ent
les tubercules dès qu’ils atteignent leur maturité.
L’Anthracnos chum gloeosporioides,avocatier, goyavier, saison humide
le
r
sid Départemental
on des de l’Eau (ODE) révèle fréquemment la présence de plu-

• Info Point Fédé (4p.) :


en désinfecte

du Pré
lé Colletotri (igname, manguier, ment est favorisé de pluie. - Eliminer les résidus de culture.
des l’utilisati
sieurs herbicides

mott du
à élaborer de réduire mène dans les rivières et les nappes d’eau souterraines. Une
autres plantes …). Son développe s par temps
FREDON cherche Dans l’objectif FREDON menée en partenariat
itaires, la action
lelemo
- Préférer la rotation à la jachère. la
ses actions, la
important les biolo- entre l’ODE, la Direction de l’Environnement,
rium, orchidées des dégâts tivesde pour
de la patate douce phytosanitaires
travers rencontrés par produits
phytosan sur ladelutte
l’Aconsiste
ménagement et du Logement (DEAL, services de l’Etat) et la FREDON
et il peut
provoquer
dessèche-
- Eliminer les plantes sur lesquelles les charançons
en Au
perspec
possibilités ent un projet
actuellem inondative ». Celle-ci
piment des peuvent vivre (plantes du genre Ipomoea)
s’annon ce riche : belles problèmes
solutionsdeauxnuit, lianes par une étude sur les «
a été miseafinendeplace en 2011. Elle est financée par l’Office National de l’Eau
es ment sur et des taches concen- douces, liserons, lianes 2013 ent des gique dite auxiliaires des cultures et des les Milieux
par- Aquatiques et l’ODE. Son objectif est de sensibiliser les
Symptôm habituelle par de L’année
patate, etc.
de. projets
en
Cela passe le développem sur
provoque
Cette maladie des taches noires
sur lesA feuilles s débutent les - Utiliser des boutures .provenant d’une parcelle non agriculteurs
nombre Martinique ou à lâcher des ravageurs présents acteurs du territoire
- aux impacts des produits phytosanitaires en vue de
année. enJe
gauche, Cylas formicarius et à droite sur bio-agres
les symptôme foncé Euscepes postfaciatus. FREDON infestée (à défaut
un certainde lutte biologique contrôler
les trois
réduire l’usage
tiges, Sur les fruits,jeunes fruits, rouge t, brun noirâ- res ende ces derniers. Limitée aux zones non agricoles, elle vise les
ments des sation cette projet concerne maraîchè
une parcelle jeune) et prélever les boutures
annoncé à l’extrémité des tiges. ion les adventices.
sur fruits. les Biologiefinalemen nous avions de lutte contre plus celles. Le 3 communes pilotes (Case Pilote, Vauclin et Gros Morne) et les jardiniers
triques noires vert sombre sur et, et dégâts
cas, brunes, s’étend graduellem
ent et
En effet,
concrétistratégies
voir leur Caroline d’expér imentat dans une démarche des culturesdu melon (Aphis
petites taches les deux devraient parcelle SYLVANIELO essais en s’intègrent culturales adaptées et seurs majeurs amateurs de l’île.
: le puceron tabac (Bemisia
puis, dans Les deux espèces ont un
e molle, détacher mode
et tomber de vie similaire :
2012 qui sur notre Toutefois, ces stratégies
fruits mûrs, affectée, de consistanc en entier, se et se menons des àréseau fois des pratiques Martinique e du
envahi ● La femellet,pond le fruitsessèche
œufs à l’intérieur de la tige ou de la racine de surtout insister laquelle nous d’un la ires. , l’aleurod Travail avec
gossypii) la pyrale des cucurbit les communes
acées
tre. La zone Le fruit peut être e n’intervien
secondairpatate douce. Elle peut pondre une centaine d’œufs par mois, pendant
voudrais pour cadreassociant
globale des produits phytosanitatropicales soient L’accompagnement des commu-
se déprime.
aucune pourriture de Rivière
Lézarde dans le l’utilisation nos travaux
s deraisonnée tabaci) et hyalinata).
au sol. Si fruitière Les résultat s. usages des cultures
que les mises à (Diaphan
ia nes a commencé
travail a
consistépar le diagnostic

Infos
et légume

Lettre d’information de la FREDON avec des articles relatifs aux actions d’actualités de la
ent. ce des
ride profondém
les recomman
- arboriculture ion appelé RITA. eurs fruits donc
suppose
Cela de n nouvellesCette
molécules soient
distinction remise pour le travail conduit étape de auprès
sur les associa-
première
de 23 agri-
pratiques actuelles. Pour cela,
imentat la situatio
et que de La réalisée 44 responsables
par les product mieux
de suivre s sur tions entre volaille et arboriculture fruitière résultatset agents commu-
d’expér vigilantcouverts
enquête
récompense aussi istes. Les
PRATIQUES
il convient en une
Lutte maladie, attendus même très disposition desannée
avec
agriculteurs. Mauricede la FREDON
de touteJ.l’équipe et pépiniér naux de ces trois
rava-
ont été interrogés. De nom-
contre cette issues de
fruits sont très tout de chaque les efforts
Le Président, pour ses actions
culteurs surgestionbreuses grâce àont été identi-
Pour lutter : des semences d’évoluer erons à montrent
que la abri se
pratiques
fait
Nous restons qui ne cesse
sur fruits. les alternatives à l’utilisation des pesticides.
dations suivantes
n de plants,
utiliser Directeur de la publication d’anthracnose nous continu vre serre ou sousfiées comme syn-
s derisquées. Aussi, des
JOSÉ MAURICE Symptômes
s. Enfin, geurs sous à base desessions moléculede formations
. En
● Pour l’obtentio • La FREDON Martinique à La Havane phytosanitaire es maladie et poursui C’est cette même implication du personnel de la FREDON qui naturelle ont été
des produits aussi d’origine
Comité de rédaction présent en Martinique de nouvellpour une nnelles de
traditiomission ires. réaliséeseux pour favo-
estles employés et les
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l’année 2013. nos différen
ts partena la a permis la détection de deux nouveauxthèse
de
bio-agresseurs.
mais Ces d’entre
alitéresponsables inon-
techniques.
DENISE DUFEAL “Mise en place de la lutte biologique contre 3 développer collaborations avec l’année récentes découvertes rappellent l’importance outre,d’éviter la quasi-tot de ces lâchers é des
touteen placeL’accompagnement
TEDDY OVARBURY entes devait être e des fruits introduction non contrôlée de végétaux en à la mise l’efficacit
si mise
se poursuivra
ravageurs des cultures maraîchères”, deux
• Analysed’excell e, 2013 le domain
rableMartinique par la
pour parcelles
leurs en place de plans de
plus général deionchlordécone
pour la recherche
locale dans eurs et à
tous une meilleure préservation datifs sur

Infos TIQUES
VALÉRIE PALLUD

FREDON (3 parutions/an). Document disponible sous format papier à la FREDON ou en télé-


chargés d’études de la FREDON étaient, du 19 de notre agriculture. désherbage communaux. La réali-
cubain
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tous les agricult
desplan
orateu Fuentes au 26 mai, aux neuvièmes rencontres interna- Si vous souhaitez de product onsunà terrain auxiliaire sation d’un de désherbage
Fermín
collab CAROLINE SrYLVANIELO reconquête
ou 2013.
Le Président, J. Maurice comme référence utiles,

PRA
insectes
de notre illera le D 2013. tionales de l’agriculture biologique et dura- une production
s. Nous souhait
végétale pour la recherche te année En prenant nt cessur
repose le recensement
ces trois et le
• Visite 06 avril s du ble, organisées tous les ans à La Havane.
CRÉDIT PHOTOS : FREDON et excellen ises produisa e sur
N accue mars au Ils y de chlordécone, ett légume
nuisiblesla FREDONune bonnepeut assurer d’entrepr classement
lutte biologiqu
des zonesit queà désherber
ique auprè
partenaires d’un échantillon enPrésident, J. Maurice
La FREDO du 23 RÉALISATION : RAPIDO à ont présenté les résultats seulemen
val biolog FAO, il est de l’inventaire des pas
ne sont
l’envoi et le prélèvement
nosporteurs Sommaire le coût d’uneété évalué. (voiries, semblera
Il terrains de sport,
plus cimetiè-
Sando la lutte et FREDON
de la de auxiliaires des cultures martiniquaises
Les rongeurs àIls aussi être
laboratoire puis vous expliquer les résultats Le a re, parcsve et coûte
autres nt, espaces
de verts)
liste de cubain unités
Agricoleurs à Cuba d’un poster scientifique.
l’aide
peuvent
tent des
maladies ravageurs alternati ciblés par l’étude.
de Spécia
la publication nt Route du Lycéeplusie
on de97224 DUCOS es jardinier amateur aux cultures. d’analyse.
transmet Pour plus de renseignements, Réduction de la pollution par les pesticides cette méthode en fonction
actuelle.
Cependa
des risques deLespollu- (photo
trois ravageurs puceron Aphis gossypii et la
Directeur OSÉ rneme créati Croix-Rivail, pour le la de germes qui l’homme la luttetion. ent chiffra- : le
J Mgouve AURICE
e de la des cultur
• Guides le début Cette mission 2018 etadeété mise
s pour
contactez la FREDON au 05 96 73 58 88. en zones non agricoles : 1er bilan . . . .chère . . . . . . que
. . .1 critères, Ce classement
difficilem a étéefait haut en basEssai d’un réciprocateur.
De pour tabaci (photo
CIRAD)
rédaction
l’origin liaires
Tél. : 0596 88 s
73 58depui Ecophyto , à profit
llementpourmortelle Angiostrongylose. x le bourg la lutte
des 3 biologiqu INRA), l’aleurode Bemisia (photo FREDON)
communes
Comité de
ction
d’auxi
Il assure 71 77le42cadre du plan rencontrer amateurs potentie
notre nouveau collaborateur, le D rose et l’
l’affaire nombreu
favorable
s à pourpilotes. Les plans
Diaphania hyalinatade désherbage se poursuivront
uela.Fax : 0596
r
des jardiniers la Leptospi est donc Situation phytosanitaire bles, sont risques des objectifs
par la détermination , chenille d’entretien avec les élus, la préconisa-
Sommaire
MICHEL Aprodu
LCINDOR Dans et la comme pas de
Venez site : www.fredon972.fr ation auprès Ferminavec Fuentes
l’ODE Sandoval. Ce spécialiste les rongeurs
• Poursuite du : tion de la santé humaine
DENISE Det UFEALau iat de
La lutte contre
e programme
et deman- JAFA re des cultures e : florales . ..........1. . . . . . . . . . .inondati . . . . . . . 2 ve ni pour méthodes de désherbage alternatives, tion
Sommai
sensibilis es : l’importa
. Afin de se administrés. un suivi technique et la

chargement sur le site internet de la FREDON (www.fredon927.fr, en bas de la page d’accueil) .


ion
publicat e 2012 email : info@fredon972.fr (en partenar auprès la FAO etpour
du gouvernement cubain à la campagn participer. . . . . . .1
r de la l’anné
TEDDY OVARBURY la FREDON pratiques Participez Le programme dégâts . . biologiqu. . . . . . e inondativ e? ... l’environnement communication
récolte… auprès des ont été envisagé semble la et
plus
Directeu JOSÉ MAURICE deuxa guides la mise et
participé à santé en placede tous.
de plusieurs e d’y de SantédeJAFA compt e des La lutte
est reconduit. es . ves Leen Martiniqu
psylle de délai avant s, deux solutions seconde solution
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sa des agrumes ante
de rédacti
on VALÉRIE PALLUD nt de
centres aux jar-
production dez à à Cuba et souhaitent
d’auxiliaires Afin de permettre auxprise en
particuliers quicultur
les
quelles perspecti est2arrivé à la Martinique . . . . . . . . . . . . absence
le Sensibilisation . La n contraign
en de votre de savoir La des solrés dans . . . . . .3 ces auxiliaire
.procurer des jardiniers
par l’élevage amateurs
de la législatio
s.
Comité ALCINDOR RÉMI PICARD jardiner guide destiné
au Venezuela. Il a accepté
au jar- d’assurer mis- vous souhaitez
hez-vous avoirsideleur
vertéb est contaminé . . . . adventice
. . .flore .......2 La locale
on ais au vu
s exotique
MICHEL : “Petit Rapprocune la . . . la
. . . . .de la producti
FREDON a participé à de nombreuses tion d’espèce
manifestations de sensibilisation
DENISE DUFEAL CAROLINE SYLVANIELO l’environnement ” etsion “Trucs et astucesscientifique
d’expertise aider si
par la chlordécone, ent de la FREDON e : assure les ......
? .Inventaire res et vivrières
de la galle de l’érythrine . . .ou
martiniqu
es pour l’importa tester
ont de engendrés
: les fin lapour FREDON la le déroulem
prélèvements ent maraîchè Découverte . . . . 4 au contexte afin d’attirer l’attention des jardinierspermettr sur les dangers par une
TEDDY OVARBURY C RÉDIT PHOTOS
diniers amateurs FREDON disponib
serontà réaliser des essais préliminaires ionsau sur de sol. Le paillag
uoi ? comm des cultures le site
adaptée es nécessair
mauvaise utilisation et d’essais r de futurs
CIRAD, FREDON,
INRA ts
documen développement pratiques informat Pour plus de renseignements, pourq contactez la N sur relatif moyens logistiqu des produits
élevage phytosanitaires.
pour envisage Les jardiniers
e en se sont
VALÉRIE PALLUD din”. Ces des conseils d’une unité de production e. la FREDOperspe ctives sur Les.l’arrêté
.charançons
. .3 de la patate douce . . . . . des . . . . .4 révélés êtrepetit
d’un très demandeurs locaux
d’astuces biologiquleurs jardins
lutteentretenir
RÉALISATION : ont phyto- campagn FREDON Science
effet, il sera de la Fêteaude05la96 73 58 88.02 és de e : desTour d’horizon ...... s agricoles en place s des cultures de lapour sans
RÉMI PICARD 2012 et apporter
d’auxiliaires
des produits
des cultures. A cet . . . . . . condition La mise pesticides. Un “guide du coût réelamateur” et une brochure “trucs
SYLVANIELO RAPIDO, FREDON bonne utilisation de petites astu-
La 21 ème édition
re auLes activit Lézard e fruitiè aux re
bonnes Infos (BCAE) relative
pratiques
4 . . . . . . . . . . . . l’efficacit
é des auxiliaire
ces” e de calculer
le jardinier
- p. 1 ACHARD
, et astu-
CAROLINE la ainsi que • Novemb mentales . . . . . . . . . . . . . . . . . . .4 sont en cours d’élaboration Emilie
CRÉDIT PHOTOS
:
Route du Lycée DUCOS
Agricole pour
au jardin sans pesticide
s.
tiendra
du 28 de Rivière icultur
retenu et environne
.
ts . . l’environn ement
.........
. .3 lâchers et
permettr r 2013 et devraient être édités prochainement.
FREDON
sanitaires ir son jardin Elle se thème national pour l’arbor eurs discren de e ....... - Janvie ingénieur
à la Protectiola Martiniqu on972.fr
CIRAD
FREDON, : Croix-Rivail, 97224 88 p. 4 e 2012. Le : l’“Année de l’énergie prédad à . . . . . . . .4 Martinique. Stagiaire Soline PICARD
Tél. : 0596 73 42
58 - Juin 2012 ces-pourPlusentreten
d’informations sur www.fredon972.fr Décembr un pes, des et des. . sols ...... ..... 4 www.fred
RÉALISATION e cette année est animeraLes chryso . . . ... . . . . ......... sur re 2012 - p. 1
71 77 collectiv pour tous”. La
FREDON ... . . . . Plus d’informations sur www.fredon972.fr
RAPIDO Fax : 0596 e de lutte qui se tiendra pratiques . ose du piment rmations 2.fr - Novemb - Juin 2012 - p. 1
FREDON site : www.fredon97
2.fr
e campagn durable pour des Sciences les L’anthracn . . . . . .4
. . . . . d’info www.fredon97
sur Infos . . . . . . . . .Plus
Lycée Agricole
Route du 97224 DUCOS email : info@fredon9
72.fr • Deuxièm
rongeurs lutte stand
au Village de Madiana ......... ations sur
ail, contre les e 2012 de palais des congrès on de produits Infos pratiques Plus d’inform
88 aux au
ves à l’utilisati
Croix-Riv 73 58 e campagn

B S
Tél. : 0596 71 77 42 nuisibles
La deuxièm rongeurs 30 alternati
Fax : 0596 on972.fr contre les a du 19 au itaires.
collective se dérouler phytosan
site : www.fred don972.fr
cultures (rats, souris)
email : info@fre e.
novembr
2.fr
www.fredon97
ations sur
Plus d’inform
re 2012 - 2.fr

S
p. 4 - Novemb .fredon97
sur www
rmations

• Participation à la rédaction du BSV (Bulletin de Santé du Végétal) :


d’info

B
- Plus
r 2013
p. 4 - Janvie

Bulletin d’épidémiosurveillance présentant régulièrement l’évolution des maladies des principales


cultures de la Martinique. Il apporte également des informations agronomiques et réglementaires.
Format papier (2p., 1 parution/mois) : disponible à la Chambre d’Agriculture et à la FREDON. Format
électronique (5-20p., 2 parutions/mois) : document plus complet disponible sur le site internet de la
chambre d’agriculture (www.martinique.chambagri.fr).
Rénovation àdeCroix-Rivail
la plateforme fourragère

Dans le cadre du projet SYSFOU, relatif à conduites de la fertilisation azotée sur

Matinée dede petit matériel agrico


tion
démonstra le
l’optimisation des systèmes fourragers, les trois principales graminées tropi-
animé par l’équipe IKARE et réalisé cales rencontrées en Martinique (Digi-

• Agro-ecologie en Martinique (Bulletin d’informations


au sein du RITA Martinique, la collec- taria decumbens, Bracharia decumbens
tion fourragère située ment au lycée agricole et Bracharia humidicola) et de nouvelles
de Croix-Rivail
matériel, essentielle - à l’origine créée par cultures fourragères (sorghos prin-
. ES
sur le petit le petits maraîchers
une charge desCEMAGREF - a été réhabilitée. La cipalement). Le suivi agronomique AGRO-ÉCOLOGIQU
inadapté et à destination nouvelle de présenter
un échan- PRATIQUES
Du matériel importante L’objectif était mercredi
plateformepour
(outils
a été inaugurée le de cette plateforme par l’équipe
MATION S SUR LES

sommaire
de travail trop
existant16 janvier 2013. technique d’IKARE va permettre
ns tillon de matériels pour le travail
du N D’INFOR Sept. 2013 - N° 01 BULLETIN D’INFORMATIONS SUR LES PRATIQUES AGRO-ÉCOLOGIQUES
des exploitatio outilsplateforme
,Cette fourragère est un outil d’acquérir des références sur la
s) et de le - N° 00 BULLETI
Une part importante concer- le désherbage pédagogique, et porte-outilsupport Nov. 2012
sommaire
en Martinique sol, semoirs s, deafin transfert à des- pousse de l’herbe, le comporte-
agrobiologistes exploitations familiales. les agriculteur
gie ?
Quelles
tination
par des élèves et qui des éleveurs de ment et l’associabilité des espèces ? P.1-2
-écologie ? est ce que Qu’
des faire tester du matériel
l’agro-écologie
nent de petites certaine similarité
l’agro-écolo
existe de
ruminants Martinique. et leElle comporte fourragères présentes et de vali-
Qu’est ce que
qu’il
associations
Qu’est ce que l’agro-écologie
s sur de montrer une collection
que l’agro
une
est ce
la pénibilité P.2

?
On constate économique fourragère répertoriant une der des modes de conduite des
techniques et : permet de diminuer les années Quelles associations de cultures P.1-2
et al, 2009)

sur les pratiques agro-écologiques) :


jusque dans Cuba…
Formation à
contraintes trentaine d’espèces fourragères tropicales fourrages en milieu tropical. Les
les points suivants
(Fernandes
absence totale
temps de travail.
(sorghos,
e d’acteurs du monde
millets,
agri-
graminées et légumi- résultats obtenus seront diffusés logie” désigne de cultures
plantes culti-? pour la Martinique P.3 pour la Martinique ?
• Dans 9 cas
sur 11 il y a des Une cinquantain neuses fourragères),
s, techniciens
, stagiaires
mise à disposition de aux la éleveurs
découverte
à l’évalua-
lorsetde visites ponc- Le terme “agro-écointeractions entre les nt. du “kamanio
c”
agricole et
le matériel participé. C’est justement à effet, au-delà via des environna
On appelle associationLa culture de cultures la pratique qui consiste à cultiver
de matériel le travail du cole
(agriculteur
l’enseignement
Lorrain,…)
y ontagricole, des conseillers tuelles et plus
la journée. En régulièrement 1960 l’étude physique et biologique
qualifier lesespèces nnelle P.3 Culture : Le topinambour P.3
de services pour du CFPPA du des fournis- tion que visait on du
vées et leur
milieu pour plusieurs végétales sur une même parcelle.
professio En Martinique,
souvent utilisé
inadapté ; démonstrati
et lahabituels
prestataires techniques et des éleveurs. La
l’absence les relais : techniciens
ure Biolo-évoqueEtudes : Licence Rénovation P.4
sol en billons
est souvent On peut regretter La plateformepourtant est sollicités.
également de la présentation
: un lieu il de aussi d’initier
coopérative,
une dyna-
conseillers de la Depuis peu, il est de l’Agricult ce thème inévitablement celui du jardin créole. En effet, P.4ce
capacités d’investis- seurs de matériels, troisoùétapes matériel,
s’agit
matériels adaptés Pour plus de renseignements, ture proches à la réglemen tation
système traditionnel peut réunir ration…
un très grand nombre d’espèces et de la plateforme fourragère…
• Les très faibles s se traduisent déroulée en
d’expérimentation sontdutestées des Chambre ded’Agriculture, profes-
sur l’île formesROBIN,
contactez Clémentine d’agriculIKARE pas e est sur une de démonst
exploitation matinée s’est associations démonstration mique àde recherche de travailde au 06 96 39 09 16 ou sur ne se référant Biologiqu
de variétés Matinée
surface généralement modeste. Les jardins tra-
sement des en termes n en salle, graminées-légumineuses seurs et intervenant
conditions l’ensei-
gique, mais l’Agriculture Le PRAM devenu Campus… P.4
importants présentatiofort intérêteur (50cv) du CIRADdifférentes
agro-écologique, aux différentes gnement sol, climat,
pratiques
. En effet, nationaledes Petites Antilles ont gardé le profil étagé de “l’ichali”,
par des handicaps et de perfor- , type deagricole, .... clementine.robin@ikare.asso.fr ditionnels
é du travail travail du micro-tract
rotobêche et
utilisation de (topographie sur une exploi- en vigueur.. nt dans la législation le système agroforestier de subsistance bien-être animal,
P.4
de productivit ; équipé d’une ou non (sarcloir culturales)
: un outil efficace sur une autre.
définie très préciséme l’environn ement et du Mais l’agro- mais des Voyage de formation à Cuba
des amérindiens,
mances techniques
par le dés- manuel, motorisé “combi- tation ne le sera pas forcément
ne. ux de
cultures d’origine les africaine publics.
et asiatique, introduites
de travail induite il est le matériel désherbeur thermique, n’ont pas tous et européen production
respectue
agréés par
pouvoirs e ? dès le début de la
• La charge e, car oscillant, à la journée
Les participants les outils manuels. Pour un mode de ion
colonisation, ure Biologiqu
ont été très tôt naturalisées et intégrées au fonds amé-
considérabl Elle garantit es de certificat label deestl’Agricult

Ce bulletin a été édité par la FREDON dans le cadre du projet de développement de l’Agri-
herbage est main et dans était par
par des organism qu’une imitation sansL’igname
souvent réalisé à la topo-
system”…).
le moins connu été convaincus
la FREDON met à disposition contrôlé
rindien. souvent devenu la culture dominante : on plante
matériel
n’est-elle vraiment
plus difficiles (climat, De tous, le d’un appareil cette raison, ratis-
adaptés ou tem”. Il s’agit (sarcloir oscillant, trois Caraïbe écologie(CAEC) ion
d’abord des lignes ou rangs d’ignames tuteurés, puis on intercale ues entre les fosses des cultures secondaires à cycles
agro-environnemental caraïbescologiq
des conditions sur du petit le
devenu matériel Campus
faute d’outils paillage ou le “combi-sys à une débroussai Le PRAM lleuse est à roue, griffe
et deest née
de l’opposit échelonnés, le plus souvent des ues chouxagro-é ou des dachines, du giraumon, des gombos, du maïs et des hari-
graphie…),
pour l’achat
de t
ressemblan Le Groupement outils peuvent
être montés soiredeàRecherche tirer, cultivateur
Agro-environ- agriculteurs dans le domaine de la recherche, du développement
à bêcher) aux du groupement L’agro-é cologie Quelqu le Nordes techniql’association igname/dachine la plantation
de trésorerie d’Intérêt Scientifique “Pôle
fourche le la Recherche et à la e… cots. Dans Atlantique, désigne reste
la courante. D’après les chercheurs de l’INRA qui
et intensiv
différents Déléguée à
main d’œuvre. brosse,…). dents, qu’ils lapuissent
coopération régionale. Agnès LEZIN, sterie
l’agriculture
lequel site des Outre
pâturages. danssys-
nementale de leuse, (PRAM), qui fédère sur un même afin
en dehors du
la Martinique” : L’agrofore
l’emploi de existe pour- débroussail était
il l’IRSTEA, le souhaitent, travail. La
Technologie (DRRT) de la Martinique, a salué à la naissance du CAEC le ont travaillé sur des associations
Agroforesterie des cultures ou des
de culture rencontrées le jardin créole, en les prenant deux à deux 70 % des
et la houe, il (sarcleuse, équipes ion, de
Cirad, de l’IRD, qui
est devenu le “Campus agro-en- de
Campus gie” est utilisé dans les
mi- de dudémonstrat d’un leurs conditions parcouru depuis la création du PRAM, il y a 12 ans. “Le 1970 par des ion d’arbres
Entre le tracteur matériels : Pour la journée C’est un(CAEC)
vironnemental Caraïbe” matériel tester dans
avec l’intégration partenaire privi- chemin
est de donner Le terme “agro-écolo
mais aussi dansà partir des années
associations
d’arbres dans affichent des rendements
culturales r
supérieurs aux cultures pures ! Autrement dit, la somme des rende-
panoplie de s et sarcleuse. demandée devrait se faire connaître et “reconnaître” en Martinique, verte”, rendue
l’introduct l’érosion, d’améliore
tant toute une
(UAG). L’intégration
et de la Guyanecontrepartie de fruitière,
motoculteur équipé d’unelégié : l’Université dessols
des meubles
Antilles
seule
à étape importante dans l’évolution du groupement. emprunté ! avait pu monde
imprimer sa scientifique
marque au tra- “révolution ments des deux
production cultures associées sur
de un espace
limiter donné dépasse
de culturesle rendement que l’on aurait obtenu en ne mettant en
hostiles à la
adaptéune Elle la grande Région Caraïbe où le PRAM permet
s, chenillards, toutmarque sur le matériel rendement, au système
euses et “combi- lesquels il doit les synergies partenairess scienti-
l’UAG
cro-tracteur qui est avanttémoigne de lasur son avis entre ents,vers des collaborations établies
avec ses nombreux mouvement variétés à haut tèmesseule
culture qu’une agricoles
espèce. Ce résultatde l’azote
s’explique parpermet aussi utilisation des ressources du milieu lorsque les
une meilleure
(engrais, pro-
l’enseignement
motobineuses,
débroussaill
aucun acteur finementsupérieurtravaillés, volonté de renforcer . Les de renseignem possible par
fiques”, a-t-elle souligné lors de la cérémonie de présentation de nouvelles
officielle du
les sols, voire de fournir légumineuses). Elle (haies

culture Biologique et des pratiques agro-écologiques qu’elle conduit avec le LEGTA de Croix-
manuels. Mais maraîchers ou l’inter-rang
de organismes de recherche.Pour Cetteplus
évolution a également de synthèse espèces mises en association des des caractéristiques
system”, outils l’entretien et les : LAVIGNE des intrants n, l’irrigation. la famille ont complémentaires
des animaux r
que ce soit au niveau du système racinaire,
matériel pour
les permettre permis à sondeefficacité
changement
tunquant
nom afin de mieux rendre compteAnaïsdes objectifs CAEC le 14 décembre 2012. l’utilisation ires), la mécanisatio (arbres devégétatif, de lade
quedulesdéveloppement
divagation d’héberge
n’importe de par contactez (05 96 73 58
88). les problèmes durée de cycles,vent,
grand etc. Dans une certaine mesure, il est possible d’influencer cette
et le présenter. avis divergeaienou pas assez puissant à la FREDON duits phytosanita certes plus productive escomplémentarité
sur de limiter cultures du nuisibles
s desdes
jouant surlesles paramètres
formation à Cuba
afin de le tester en protéger techniques associations (voir encadré p.2).
jugé trop léger pour d’autres… Mais cette agriculture, lles, a des conséquenccapaci- vives), de urs et les prédateur
Une matinée
pour découvrir à tester Voyage de traditionne demande une les insectes
pollinisate
a organisé le certains, agricultures De plus, elle à la portée deLes tous associations rencontrées en: Le Martinique
maintien d’animaux
la FREDON Dans le cadre du projet DEVAG, financé par le l’environne programmement. INTERREG pas des cultures. e - élevage maïs, : production de
Face à ce constat, un moment d’échanges iaire ment qui n’est
interméd d’investisse de la plusieurs pays d’Amérique En zone tropicale, l’association
n agricultur entre leavantages
participants

0696 28 20 12
de matériels reconduite.
IV Caraïbes, du 24 Février au 9 Mars 2013, 14 té professionnels uits
23 octobre dernier . Dans mouve- Intégratio
L’avis des l’absence ce type soitMartinique, nt alors des leagri- haricot et unel’exploitat
cucurbitacée a plusieurs
ion est un grand n des sous-prod des
représentants de la FREDON, de l’enseignementles agriculteurs agricole
nts ont regretté journée de
valorisatio on
Inde apparaisse
en Antilles,
etdes d’uneclassique. Lesurmaïs profi te de animale,
l’azote améliorati
, les participa

12
t qu’une (CFPPA du Lorrain), d’associations de producteurs Latine (Bio
faisant la
promotion
ont stimulé fumure organiquealimenter les animaux,fourragères.
de la FREDONCertains souhaiten 4 guadelou-. Ces mouvements

0696 28 20
sociaux fixé part les haricots et sert
pourde tu-
de l’initiative uses. Orgapéyi et Paysan Bio Matinik) et du CIRAD, mais ments aussi de cultures ion de cultures Le
pement s, maintenan te (SCV) :
ou les motobine
ent satisfaits cultureàalternative teurs à ces derniers. Lapar l’introduct
cucur-

Rivail. Document disponible sous format papier à la FREDON ou en téléchargement sur le site
en agro-équi péens et 3acteurs
jeunes ingénieurs Haïtiens se sont rendus la Havane à alternative permanen
Globalem motoculteurs VILNA, conseiller de pratiques qui ont éga- rotations
bitacéeepermet d’obtenir couvertur une e végétale un sol maintenu cou-
tel que les M. ture. et aux autres
Cuba pour suivre deux semaines de formation auprès
la recherche
de l’Instituto de iques, sur
:
du Lorrainest im- de la Chambre
d’Agricul aux agriculteursla lutte chimique. Cette agro-écolog
ent de l’agricultur Semis sur du sans labour ion avec
Quelques
réactions
e au CFPPA Il
de montrer
bonne initiativepour une lutte alternative
à Investigación Horticola Liliana Dimítrova (IIHLD). appelées pratiques le développem
couverture complète
est effectué de mulch et/ou d’associat végé-
formatric de la part de la FREDON. semis aussi n
Mme BEREAU,
J’ai “C’est une très matériel La formation bou-
et de faire s’est étalée sur 2 semaines, alternant courspermis
lement théoriques, sol ; on rencontre
par l’utilisatio L’importante
biomasse
Les
de l’acheter. agricole du vertrôle couverture. à la fertilité des sols. des
initiative ls.
très bonne matériel avant léger, pratique du monde professionne faire connaître le matériel : cela parfois dans ce la
“C’est une et tester un : il est parler offre est mal
connue des façon de matériel aux
vidéos de démonstration,
agriculteurs tables rondes et visitesbiologique.
de terrain sur des
s plantes de
des Cette ou
pouvoir voir le sarcloir oscillant sert de moteur
aux
portant de déjà entendu on est la bonne idée de prêter le égalementpilotes dans l’adoption de ces techniques.
exploitations
mais cela permettra étape est de t ses principe patate eur
douce.
tale produite souvent des
graminées et
…D’où découlen mie du productassociation
ent apprécié ix. J’avais que j’ai pu
en La démonstrati bonne à lade couverture sont
C’est une assure les adventices
rapport efficacité/pr la première fois plus vite que
particulièrem conditions La prochaine
ger les choses. de le tester dans leurs ces outils.
ls.
et il a un excellentthermiques mais c’est fois un gain duplantes organique
visant à l’autono nement
locales sur des professionneque temps ses qui poussent
forte émanant s et de carbone
tion de l’environ
leur permettra références : je pense légumineu t sa
des désherbeurs d’avoir des à une demande en démonstration
ent.” de travail (tuteurage t plus de nutriment et amélioren
Ce bulletin a étéconseillers
édité parleslafournisseurs
FREDON grâce dans le cadre du projet de développement de l’Agriculture Biologique
et à la préserva pourduobjectifs de l’érosion
fonctionnem
voir un en alée pas eu un chenillard de pente.” fournissen
à Rivière-S et desse- pratiques agro-écologiques qu’elle conduit avec et surtout
le LEGTA de Croix-Rivail. Il a été financé par iques ont haricot, maîtrise Elles le protègent
.
que vous n’ayez intrants de
sensibiliser de sol biologique
agro-écolog au sol.
t agricole pratique. Les semoirsinté- C’est dommage idéal dans nos conditions Les pratiques producteur vis-à-vis des de un physique et son activité

internet de la FREDON.
exploitan très le Conseil Régional etle rédigé en collaboration avec la Chambre d’Agriculture (Jean-Marc JUSTINE), le CIRAD l’enherbement),
M. ALMA,la journée intéressante etLes outils de sarclage sont c’est porte-outil du naturelles
n des ressourcesmoindre destructure
“J’ai trouvé pour le soja.
(Paula FERNANDES) et la Station d’Essais en Cultures Irriguées Conseil Général (Geneviève GERME). l’autonomie
la préservatio terme besoin
de fertili-
du type de
sol.”
synthèse et à long 1
de l’Agriculture - N°00 - P.
raient très
intéressants Crédit photos : Samuel Boulai ent(agriculteur), Chambre d’Agriculture, FREDON. les au maintien sation et un échelonnage
mais cela dépend des savoirs
ressants également de développem
du projetgraphique
Création : Autrevue. Imprimé
Croix-Rivai l. en 1000 ex. par Caraïb Ediprint. qui sont indispensab souvent inspiréesde la production. OGIE EN MARTINIQUE
FREDON dans le cadre avec le LEGTA de CIRAD-PRAM l’agricultur e. Elles sont AGRO-ECOL
la conduit le
n est édité par iques qu’elle e (Jean-MarcJUSTINE), GERME)
Ce bulletin d’informatio agro-écolog P.4 - N°d’Agricultur
01 - AGRO-ECOLOGIE EN MARTINIQUE (Geneviève Ce bulletin peut-être téléchargé depuis www.fredon972.fr AGRO-ECOLOGIE EN MARTINIQUE - N°01 - P. 1
et des pratiques Conseil Général
Biologique n avec la Chambre Cultures Irriguées
Régional.
par le Conseil Caraib ediprint.
en collaboratio d’Essais en est financé par
Il est rédigé Z), la Station ce SERVIER). Il en 1000 exemplaires fr
(Paula FERNANDE ltiservices (Marie-Fran: FREDON. Imprimé www.fredon972.
et Ruralité-Mu
: Autrevue. Crédit
photos téléchargé depuis
Création graphique Ce bulletin peut-être
OGIE EN MARTINIQUE
- AGRO-ECOL
P.4 - N° 00

Ouvrages et guides techniques


• Adventilles : les adventices des Antilles françaises (195 p., 2013) :
Ouvrage permettant d’identifier les principales espèces constituant la flore adventice des
cultures de Guadeloupe et de Martinique (banane, canne à sucre, diversification végétale).
Il expose également les moyens permettant une gestion durable de l’enherbement par une
présentation de l’intérêt écologique et agronomique de certaines espèces ainsi que l’effi-
cacité des différentes techniques de désherbage. Disponible en format papier à la FREDON
(réservé aux professionnels agricoles) complété par une plateforme web collaborative : adventilles.plantnet-project.org.
• Associer production fruitière et élevage de volailles : une méthode innovante
pour contrôler l’enherbement (16 p., 2013) :
Ce guide technique, rédigé avec la collaboration du CIRAD,  fournit des conseils pratiques ainsi que des Une méthode innovante
pour contrôler l’enherbem
ent

données économiques pour réussir à mettre en place un élevage de volailles sur son verger dans le but de
contrôler l’enherbement. Disponible en format papier à la FREDON (réservé aux professionnels agricoles)
et téléchargeable sur le site Internet de la FREDON.  

rations
en lysine
e dans les
aliments croissance
et méthioninélevés pour les pintades.
t plus
• Alimentation animale à partir de ressources locales (52p., 2013) :
Établir ses
aliments sont légèremen
Pintades elles des
en tiques nutritionn mais les besoins
Les caractérisde celles du poulet,

Synthèse bibliographique sur l’utilisation des plantes locales pour l’alimentation des princi-
plus riche
semaines,
, de 2 à 5 de fini- sont voisines
un aliment
croissance puis un aliment lpes)
protéines, (3200 Kcal/kg). ; CA Rhônes-A
moins en
énergie et en énergie Canards que le poulet. (IEMVT, 1983 ES
s plus riche des exigences exigeants des canards APRÈS 4
SEMAIN
les besoin tion encore respect rigoureux e” : ainsi une Ils sont moins
Identifier Il faudra
veiller au
poulet “démarragjeunes, n’est pas
Besoins nutritifs
0-4 SEMAIN
ES
2600-300
0
chair recomman
de elles du les animaux %
Poulets de de chair on nutritionn 0
démar- lysine, chez CANARD 12,6-14,5
ion des poulets : un aliment carence en AGE DU 2600-300
0,8%
Pour l’alimentattrois types d’aliments vitamines e plus tard. 16,5-20 %
ent protéines, compensé ble (Kcal/kg) 0,45 %
généralem 2 semaines, riche en e (3000 Kcal/kg), Energie métabolisa(% maxi) 1%
rage jusqu’à et faiblement énergétiqu (ITAB, 2009) FINITION brutes 0,7 à 0,8
%
du poulet ITION (abattage
tardif) Protéines 0,5 %
et minéraux Besoins nutritifs CROISSA
NCE-FIN

paux animaux d’élevage. Cet ouvrage est divisé en quatre parties : des informations générales
(9-16 semaines) %
AGE (abattage
précoce) Lysine 0,8 à 0,9 s
0 e
DÉMARR (5-12 semaines) 2700-280 Méthionin poules pondeuse
(1-4 semaines) 2800-290
0 16 Rations pour s, 2011)
POULET Calcium bananes,
AGE DU 0 (Tapia Argüelle (racine), 1 kg de
rations
2750-285 19 0,65
de - 2 kg de manioc kg de pâturages
ble (kcal EMA)
Energie métabolisamaxi (%)
21 0,74 0,25 Exemples de moins
de 30 jours d’angole, ½
1 kg de pois kg
½
0,90 0,30 1 poussins
brutes Ration pour secs broyés,
Protéines 1 s, 2011) é par
(%) min. 0,35 0,35 (Tapia Argüelle es peut être
consomm
Lysine digestible (%) min. 1,1 portions énergétiqu % du fourrage
e digestible 0,35 0,15 - 60 % de Plus de 20
Méthionin
min. 0,42 0,15 - 30% de protéines et vitamines pâturage.
Calcium (%) (%) min. de coquilles
disponible 0,15 - 10% de minéraux 2 kg d’os2 , ½ kg et broyées

(rappels sur la nutrition animale, l’élaboration de rations et la réglementation) et trois parties


Phosphore
min. pond
érée (ITAB, 2010) ES : 1kg de sel, de manioc sèches
Sodium (%) Exemple
nne ires de la poulette 7-20/23 SEMAIN de feuilles
d’œuf, 1 kg de fourrage.
- moye 0
s iques alimenta= 132%
Besoins SEMAIN
ES 2600-280 pour 100
kg
Argüelle
s, 2011)
Poulette proté 44% 0-6
t: ents 3x 0 18 finition (Tapia taro et banane
suivan > Alim POULETTE------------
LA
65%
= 2750-285 Ration de de manioc,
le calcul AGE DE e de soja EMA) -- 1 x 65%
-------------
0,62 et haricots
21 - 6 kg de feuilles coco, pois d’angole
Volailles

Vous aurez érée Farin ble (kcal on ------------- 65 49,3% 0,24 de


pond métabolisa 132 + 4 = 0,85 - 3 kg de noix
moyenne = Energie
16% de poiss
maxi (%) de minéraux
ales - - 2
x 8% Protéines brutes Farine -------
0,32
7
- 1 kg de mélange
min érée iques canne
> Céré 10% digestible (%) nne pond 1 mélasse de
= Lysine nts proté - 200 g de
-------------
(%) min 5
1 x 10% Moye
-------------

-------------
-------------
10 = Méthionin les alime
e digestible 1; 0,35
8,7% pour max e 1) :
--------
Maïs 16 + du carré partie
brute (%)
-------------
0,12
on (Figur let au centre
-------------
3 la
de0,4

spécifiques à l’alimentation des volailles, des ruminants et des porcs. Téléchargeable sur le site
o ------------- --- Cellulose
Sorgh les minde Pears coins 0,15
Calciumdu(%) e comp
-------------
érée céréa carré min les deux
nne pond ines des de disponible
dans le (%)
régim nt sur grand
Moye métho
Phosphore alime plus
les proté nt la (16,5%)min chaque re du ient est
Pour en utilisa nes requis Sodium (%) ne de petit nomb e ingréd 2009)
e la ration de protéi r en protéi ait le de chaqu l moyen (ITAB,
à potentie (>42 sem.)
3 On
calcul
le niveau
teneu
e de la ; , on soustr rtion pondeuse PONTE
• on place le pourcentag 49,3 %) Pondeus es nt requis bas. La propoires d’une (>42 sem.) 0
et e éléme éBesoinsplus alimenta S DE EN PONTE 2650-275
• on placedu carré (8,7 rtion de chaqu e indiqu ENTRÉE
PART
ALES 0 18
e comm CÉRÉ 2700-290
gauch er la propo du carré, ALES 18 ntage 0,55
calcul nale carré. ble CÉRÉ(kcal EMA) 32,8 Pource es
• pour t la diago droite du 0,25
Energie métabolisamaxi (%) % de protéin
0,60
en suivansur la partie brutes 8,7 requis
dans
0,14
0,28l’aliment

Internet de la FREDON.
e Protéines min
donné (%)
de 16,5
%
7
Lysine digestible
ntages (%) min 0,14 23
Pourcee digestible
es calculé 7,8 7
3,5
Méthionin
protéin es Interdit en
Europe
les lesne (%) min
matièr % 0,31 2

Tryptopha res max 49,3 S DE 3,5


de céréa brute (%)
premiè PART 0,13
- Parts 16,5 = 32,78 Cellulose disponibles PROT
ÉINES 0,31
49,3 - iques de
min NTS
ents proté Calcium (%) ALIME
(%) minÉIQU
ES 0,13 parts
d’alim PROT disponible ger 32,8
- Parts 8,7 = 7,8 Phosphore
faut mélan
16,5 - Sodium (%)
min nes, il
de protéi
16,5%
nant 2013
e conte locales •
FREDON
Martinique
régim
ir un ques. animale à partir :
de ressources
e suit
obten
, pour 22 protéi
ents L’alimentation
ose comm = 81%
quent d’alim
Par conséet 7,8 parts e se comp x 100%
es, le
régim + 7,8) = 19%
céréales entag ÷ (32,8 x 100% o
32,8 + 7,8)
é en pourc (32,8 de sorgh
Exprim 7,8 ÷ 3 = 27% de maïs
81% ÷ 27 = 54 %
Céré
ales
éiqu es 81 - de poisson
prot t o
ents isten de farine de sorgh
Alim
ales cons o 4 = 5% 5 = 14 % 11
19% ÷ 19 -
Les céré et en sorgh
en maïs e es
mêm éiqu

Fiche créée en octobre 2013


est de ents prot ifs.
Il en s nutrit
les alim s besoin
pour les autre
it aussi
e satisfa
régim
ler si ce
contrô
il faut
ment,
Finale

e 2013
Martiniqu
• FREDON
s locales
de ressource
à partir
animale
ation
L’aliment
10

Fédération Régionale de Défense contre les Organismes Nuisibles


Route du lycée agricole, Croix-Rivail, 97224 DUCOS
Tél. : 0596 73 58 88 – Fax. : 0596 71 77 42 - Email : info@fredon972.fr www.fredon972.fr
www.fredon972.fr

• Petit guide à l’attention des jardiniers amateurs (20p., 2012) 4 //

et Trucs et astuces du jardin (28p., 2012) :


Le jardin age
en
l attention
ierpl
s a isirs
et risqtruee
Petit guide
de s jar din
am ateurs s
Deux guides pour jardiner en préservant sa santé et l’environnement apportant des
conseils pratiques pour la bonne utilisation des produits phytosanitaires ainsi que de P rès de 50%
des martin
d’un jardin iquais* dispos
potager,
aromatique fruitier, médic ent
Le jardin ou même inal,
créole fait ornemental.
patrimoine partie
des petites intégrante du

I.5
végétale Antilles.
et culture Par sa richess
familial et lle, il

petites astuces pour entretenir son jardin sans pesticides. Format papier disponible à la
intergénératioconstitue un lien e
une fonctio nnel tout social,
n paysag
quement ère qui rattachen possédant
l’Homm e symbo
Attenant e à la terre. li-
aux maison
créole est s individ
un uelles,
Il sert à l’autochéritage des généra le jardin
moyen écono onsommation tions passées.
mique de et représe
amateur se nourrir nte un

FREDON et format électronique sur le site de la FREDON (www.fredon972.fr ) et de l’ODE


y trouve . Le jardinie Pourtant,
pratiquer ra égalem r beaucoup
une activité ent un moyen
Véritable de trop souven de jardinie
anti-stress, physique réguliè
Les pesticides,
t rs
valorisation le jardina re. être dange recours à des produiamateurs ont
de l’homm ge particip reux pour ts qui peuven
pour lutter les

en passer !
cultivant
son terrain e qui le travaille. à la
e contre les jardins. Ceux utilisés t
apprenons à nous l’estime , le jardinie En combattre pucerons
qu’il r augme les maladi ou pour
nou !
traçabilité a de lui-même et nte anodins es ne sont
Protéjé jaden-nou, sé protéjé lanati épi santé-
: ce pas des
* Enquête
des produi maîtris
ts ainsi consom e la bants, quant sont des pesticides. produi
Les désher ts
Ipsos pour
les pentes à eux, sont utilisés

(www.eaumartinique.fr)
07/07 au ODE auprès més. -
03/08/2 de 500 de garage sur les allées
011 personn dans les par exemp
es du eaux de
surface le, se retrouv ou
Le saviez entraînent
une polluti ou souterraines, ent

78 000
tonnes
vous ? infiltration
ment (cours
(eaux souterr
on des eaux
aines) soit
soit par
et

utilisées de pestic d’eau). par ruissell


en 2008 ides e-
agrico
les en France ont été
Sans le
Notre payset non agrico , usage savoir, beauc
est ainsi les confo s amateurs oup de
mateur le premie ndus. sont donc jardiniers
europé r conso impor
et le quatriè en de pestici m- tante de respon sables
des la polluti
on des sols d’une part
me au
Source niveau
: Union
des plantes des mondial. et des eaux.
(UIPP) industries de la protect
ion

Itinéraire techn ique du soja


- famille des Fabacées)
(Glycine max
•Itinéraire technique du soja (16p., 2011) :
Livret technique complet qui permet de débuter dans cette culture de diversification à la
Martinique. Le document présente l’intérêt du développement de cette culture avec toutes les
Le soja est une plante proche
du haricot. Originaire
étapes de l’itinéraire technique du soja jusqu’à sa transformation et les débouchés potentiels.
Disponible à la FREDON.
sud-est de l’Asie. il est
des régions chaudes du nt sous climat
aujourd’hui cultivé majoritaireme
est particulièrement
tempéré mais sa culture
Riche en protéine
adaptée aux zones tropicales.
un aliment de grande
et en huile, le soja est il constitue un
. En outre,
valeur nutritionnelle
des cultures et
excellent élément de rotation du système
renforce la durabilité agronomique
d’exploitation.

Avec le soutien de

•Carnet de dératisation (24p., 2009) :


Livret offrant des conseils destinés à lutter efficacement contre les rongeurs (rats et/ou souris).
Des informations sur les espèces de rongeurs et leur comportement, sur les nuisances causés
ainsi que sur les différentes stratégies de lutte y sont apportés. Disponible à la FREDON.

•La flore adventice des cultures fruitières à la Martinique (66p., 2008) :


Guide de reconnaissance des plantes indésirables pour l’arboriculteur fruitier. Il s’agit
d’un outil aidant à la gestion raisonnée de l’enherbement dans les vergers martiniquais.
Disponible à la FREDON.

• Guide phytosanitaire de la Martinique (492p., 2006) :


Guide regroupant des informations relatives sur les pesticides pour un meilleur respect
de la réglementation et une contribution au respect de l’environnement et la santé humaine.
Les règles de bonnes pratiques ainsi que des informations sur certaines maladies, ravageurs
et insectes utiles des plantes y sont répertoriés. Prix de vente à la FREDON : 10€.

• Les ravageurs et auxiliaires de la Martinique en cultures d’agrumes (24p., 2004) :


Fiches techniques d’identification des ravageurs et auxiliaires entomophages pour la protection
phytosanitaire raisonnée des agrumes. Consultable à la FREDON.

En fonction des actions menées, la FREDON édite des rapports et des notes techniques sur
différents thèmes. N’hésitez pas à consulter les agents de la FREDON pour toutes demandes
d’informations complémentaires s’inscrivant dans les missions de notre organisme.

Fiche créée en octobre 2013


Création : Autrevue Fédération Régionale de Défense contre les Organismes Nuisibles
Crédit photos : FREDON
Route du lycée agricole, Croix-Rivail, 97224 DUCOS
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