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Frédéric Lenoir
Le Christ philosophe
Remerciements
Prologue
L'histoire de Jésus
et le Jésus de l'Histoire
Quand l'exégèse
devient une science
Flavius Josèphe
Le Talmud de Babylone
Le prédicateur itinérant
Un sacré caractère
La philosophie du Christ
Jésus est né juif, il est mort juif, et il est évident que de son
vivant, il s'est toujours considéré comme un juif prêchant
essentiellement à des juifs. Ni ses adversaires ni même ses
disciples n'ont remis en cause cette appartenance à un peuple,
à une religion. Pour les Romains, même s'il a toujours refusé ce
titre, il est celui qui se proclame « le roi des Juifs » : c'est
d'ailleurs le motif « officiel » de sa condamnation à mort par
Pilate, inscrit sur le titulus posé sur la croix (Marc, 15,26).
Pour les Juifs, il est un réformateur parmi la multitude
apparue depuis l'époque des Maccabées, au IIe siècle avant
notre ère, quand le judaïsme a été mis devant l'obligation de se
rénover pour contrer les avancées et le succès de la pensée
grecque, arrivée en Orient vers 330 avant notre ère avec les
armées d'Alexandre le Grand, déployée à partir d'Alexandrie
par les Ptolémée, puis par Rome qui conquiert la région au ne
siècle. Des Juifs qui tentent de renouveler leur tradition, mais
restent fascinés par la pensée des Grecs dont ils apprennent la
langue et fréquentent les écoles.
À l'époque du Christ, il n'existe pas une orthodoxie juive,
La spiritualité du Christ
Viens et suis-moi
L'éthique du Christ
L'égalité
La liberté de l'individu
L'émancipation de la femme
La justice sociale
La non-violence et le pardon
L'amour du prochain
La personne humaine
Naissance du christianisme
Jésus et le judaïsme
La première Église
Paul de Tarse
Les martyrs
La religion officielle
La contre-offensive chrétienne
Le monachisme: sauvegarde de
l'idéal évangélique et de la culture
L'Église et le pouvoir
L'Europe chrétienne
La Trêve de Dieu
Pauvreté et charité
Essor de la culture
et fondation des universités
Réforme cistercienne et
naissance des ordres mendiants
Les croisades
Raison et foi
L'Inquisition
La controverse de Valladolid
De l'humanisme chrétien
à l'humanisme athée
L'humanisme de la
Renaissance et la Réforme
Liberté et connaissance
La Réforme protestante
La morale kantienne
Feuerbach : la religion
comme aliénation anthropologique
Marx : la religion
comme aliénation économique
Freud : la religion
comme aliénation psychique
Histoire et progrès
Naissance de l'idée
moderne de progrès
La raison
Nietzsche et les
meurtriers de Dieu
La raison interrogative
La condamnation
des idées modernes
Le concile Vatican II
Pluralisme et scepticisme
Croire
Pratiquer
Après Jésus-Christ
Parler chrétien
L'art chrétien
Le christianisme invisible
Epilogue
De la religion extérieure
à la spiritualité intérieure
Difficile liberté
http:/ / www.fredericlenoir.com
N° d’éditeur : 52 9 57
I mprimé en I talie
[1]
Texte écrit par Freud en 1928, traduit et publié en français par J.-B. Pontalis dans
l'édition Folio (Gallimard) des Frères Karamazov. Les extraits du roman qui suivent sont
tirés de la même édition traduite par Henri M ongault.
[2]
Vingt et un articles, in Œuvres complètes, tome 19, éditions de l'Orante, Paris, 1982, p.
41.
[3]
Ibid., p. 55.
[4]
Ibid., p. 78.
[5]
L’Instant, ibid., p. 294.
[6]
Ibid., p. 210.
[7]
Vingt et un articles, op. cit., p. 45.
[8]
Ibid., p. 199.
[9]
Ibid., p. 179.
[10]
Ibid., p. 145.