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Éléments de corrections
Exercices de cours
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Colle 8 Optique + MQ + E1 + E2-cours Le 24/11/17
Exercices d'application
5.
2πD~
∆x ≥
dmV
6. Cette question est dicile sans aucune indication. Regardez le résultat directement si vous
ne trouvez pas.
1. Pour chercher F et F 0 , il faut se rappeler ce que veut dire être foyer objet / image. Puis,
utiliser la relation de conjugaison sur L2a .
2. Utilisez l'expression précédente.
3. (a) Utilisez la dénition.
(b) (I) : Aucun problème ;
(II) : Réechissez à la valeur de e.
4. (a) Loi de Cauchy.
(b) On utilise l'équation (II) de la question 3.b) (on suppose e réglée pour λ0 ).
Simpliez l'expression pour << 1.
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Colle 8 Optique + MQ + E1 + E2-cours Le 24/11/17
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Colle 8 Optique + MQ + E1 + E2-cours Le 24/11/17
Correction détaillées
Exercices de cours
U1 = −5 V ; U2 = U1 − (−5) = 0 V ; U3 = 5 − 10 = −5 V ; U4 = −U3 = 5 V ; U5 = U4 = 5 V .
2 − 1, 2 U − 1, 2
= ⇒ U = 1, 2 + 8I
0, 1 − 0 I
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Exercices d'application
1. (a) Il est dû à la superposition d'ondes synchrones, de paquets d'ondes identiques (car issues
d'une même source) qui s'additionnent et de même amplitude. D'après le théorème de
Pythagore :
d 2
2 !
− 2
d y z
F1 M 2 = D 2 + y − + z 2 = D2 1 + 2
2
+ 2
2 D D
v
d 2 d 2
!
2 2
u
u y − 2 z y − 2 z
⇒ F1 M = Du
t1 + 2
+ 2 =D 1+ 2
+
| D {z D } 2D 2D2
<<1
2
y − d2 z2
⇒ F1 M = D + +
2D 2D
De même,
2
y + d2 z2
F2 M = D + +
2D 2D
(b)
2π 2π yd
∆Φ = (F2 M − F1 M ) =
λ λ D
λD
Pour un interfrange, ∆Φ = 2π ⇒ 2π = 2π id
λ D
⇒ i= .
d
Puis, on prend : λ ≈ 700 nm. A.N : d = 7.10−4 m .
2. On utilise un système avec deux électrodes et possédant une diérence de potentielle (exemple
une de potentiel nul au départ et une de potentiel V0 à l'arrivée). L'énergie mécanique se
conservant : r
1 2 2eV0
Emi = 0 + 0 = Emf = mv − eV0 = 0 ⇒ v =
2 m
3. On utilise la relation de De Broglie :
h h2 h2
p= = mv ⇒ 2 = 2eV0 m ⇒ V0 = 2
λ λ 2λ em
A.N : V0 = 3, 1.10−6 V
ulCe potentiel est totalement incontrolable ; on ne pourra donc pas contrôler ecacement la
vitesse des électrons.
4.
∆− −−→ + ∆−
pplaque p− −−→ → −
electron = 0
− −
→ −−−−−→ −
→ −
→
p−−−−→
Ielectron = mv Ux et pF electron = mv(cos αF 1 Ux + sin αF 1 Uy )
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y−d/2
avec α, l'angle avec lequel l'électron sort de la fente (sin αF 1 ≈ tan αF 1 ≈ D
).
−− − −→ y − d2 −
→
⇒ ∆pelectron ≈ mv Uy
D
car cos α ≈ 1. Donc,
d
∆−
p−−−−→ = mv 2 − y −
→
Uy
plaqueF 1
D
De même,
d
∆−
p−−−−→ = −mv 2 + y −
→
Uy
plaqueF 2
D
5.
2πD~ Dh λD
∆x ≥ = = ⇒ ∆x ≥ i
dmV dp d
Ainsi, pour des milliers d'électrons, ceux-ci se répartissent de telle sorte que leur écart-type
est supérieur à l'interfrange. Celui-ci sera donc totalement recouvert par des électrons et on
n'observera plus de franges destructives
6. Cette question est dicile sans aucune indication. On donne le résultat directement (dans
une colle, l'élève serait bien sûr guider par l'examinateur).
1. Pour chercher F et F 0 , il faut se rappeler ce que veut dire être foyer objet / image :
L
2a L
2b
F −→ F2b −→ ∞
L L
2a
∞ −→ F 0 2b −→
2b
F0
Les deux lentilles étant identiques, on a O2a F = −O2b F 0 .
On applique la relation de conjugaison à la lentille L2a :
1 1 1 1 1 1 f 0 O2a F2b
− = 0 ⇒ = − 0 ⇒ O2a F = 0 2
O2a F2b O2a F f2 O2a F O2a F2b f 2 f 2 − O2a F2b
f 0 2 (e − f 0 2 )
Or, O2a F2b = O2a O2b + O2b F2b = e − f 0 2 . Donc, O2a F = −O2b F 0 = .
2f 0 2 − e
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3. (a)
Vue la prolongation des rayons, l'intersection d'un rayon parallèle et de son rayon
émergent se fait sur L2a et l'intersection d'un rayon passant par F et de son rayon
émergent se fait sur L2b .
Donc, H 0 = O2a et H = O2b .
(b)
(I) : HF = −f 0 2 et H 0 F 0 = f 0 2 . Donc, −HF = H 0 F 0
1 1 1 1 1
(II) : 0 0
= 0
= 0
+ 0
− 0
. Or, f 0 2 = e, f 0 2 = f 0 2a = f 0 2b
HF f 2 f 2 f 2 f 2
1 1 1 e 1 1 1 e
Donc, 0 0
= 0 + 0 − 0 2 ⇒ 0 0
= 0 + 0 − 0 0
HF f2 f2 f2 HF f 2a f 2b f 2a f 2b
4. (a) La vergence d'une lentille dépend de l'indice du verre qui dépend lui-même de la longueur
d'onde (loi de Cauchy).
La vergence d'une lentille mince dépend donc de sa longueur d'onde : c'est l'aberration
chromatique.
(b) On suppose que la distance e est réglée de telle sorte qu'elle soit égale à la distance
focale pour la longueur d'onde λ0 .
Puis, on utilise l'équation (II) de la question 3.b).
1 1 V2 2 1
V = 0
= = V2 +V2 + = 2V20 (1+)− V20 2 (1+)2 = V20 (2(1+)−(1+)2 )
f2 H 0F 0 V20 V20
D'où, V = V20 (1 − 2 ) .
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1.
d[S]
= −k1 [E][S] + k−1 [ES]
dt
d[E]
= −k1 [E][S] + (k−1 + k2 )[ES] − k−2 [E][P ]
dt
d[ES]
= k1 [E][S] − (k−1 + k2 )[ES] + k−2 [E][P ]
dt
d[P ]
= k2 [ES] − k−2 [E][P ]
dt
2.
d[P ]
[P ]i ≈ 0 ⇒ vi = = k2 [ES]
dt
3. Alors,
d[ES] k1 [E][S]
≈ 0 ⇒ k1 [E][S] − (k−1 + k2 )[ES] = 0 ⇒ [ES] =
dt k−1 + k2
4. La concentration totale (insérée au début) des enzymes et substrat est la somme de la forme
seule et du complexe. Donc,
k2 [E]t
⇒ vi = k−1 +k2
1+ k1 [S]
On montre que la vitesse initiale est maximale pour [S] inni (plutÃt logique) et, dans ce
cas, vmax = k2 [E]t . Donc,
vmax
vi =
1 + k−1 +k2
k1 [S]
k−1 +k2
6. Cf graphique suivant (kM = k1
) :
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7. Cf graphique suivant :
R1 + R2 E
E = (R1 + R2 )i1 = (R3 + R4 )i2 ⇒ i2 = i1 et i1 =
R3 + R4 R1 + R2
R1 + R2 R1 + R2 E
UCD = UR3 − UR1 = R3 i2 − R1 i1 = R3 − R1 i1 = R3 − R1
R3 + R4 R3 + R4 R1 + R2
R2 R3 R1 R4 E R2 R3 − R1 R4
= − ⇒ UCD = E
R3 + R4 R3 + R4 R1 + R2 (R1 + R2 )(R3 + R4 )
2.
iCD = 0 ⇒ UCD = 0 ⇒ R1 R4 = R2 R3
3. L'intérêt du pont de Wheastone est de pouvoir déterminer une variation de résistance faible,
disons quelques ohms, sur une résistance qui est grande, de l'ordre des Mégaohms, ce qui
serait autrement impossible. Ainsi la mesure d'une jauge de contrainte , qui est une résistance
variable, s'eectue en étudiant le "déséquilibre" du pont.