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Prénom : Kawtar
2ECO 6
1- Ressources :
-La part la plus importante des ressources budgétaires provient des recettes fiscales, cette part a
augmenté en 2011 par rapport à 2011 .Elle représente environ 70,5 % des recettes budgétaires.
-Les recettes non fiscales ne dépassent pas 6% des ressources budgétaires, cette part a augmenté en
2011 (absence de privatisation).
-Les recettes d’emprunt représentent environ 24% des ressources budgétaires .Cette part a connu une
léger augmentation passant de 23,21% en 2010 à 23.92% en 2011.
-Les ressources budgétaires ont augmenté de 4.48% en raison de l’augmentation des recettes
fiscales de 6,38% et des recettes d’emprunt de 8.07%. (Diversification des ressources de l’Etat).
Droits
d’enregistremen 11.692.300 7,79 12.283.000 7,69 +5,05
t et de timbres
Les recettes 150.080.300 100 159.666.000 100 +6,38
fiscales
-Les impôts directs représentent environ 43,5% des recettes fiscales .Cette part a diminué en 2011.
-Les droits de douane représentent 8% des recettes fiscales .Cette part a connu une stabilité pendant
les années 2010-2011 (en faveur du libre échange).
-Les impôts indirects représentent environ 41% des recettes fiscales. Cette part a augmenté en 2011.
-Les recettes fiscales ont augmenté de 6,38% en 2011 :
+Baisse de 10% des impôts sur les revenus.
+Réduction d'impôts (IR et IS) accordées au titre de la souscription au capital de PME
(fusion).
2- Les dépenses :
-Les dépenses de fonctionnement représentent la part la plus grande des dépenses budgétaires. Cette
part a connu une augmentation en 2011 par rapport à 2010, passant de 59,80% à 62,70%.
Le montant des dépenses de fonctionnement s’établit à 151.993.796 Dhs contre 136.912.629 Dhs
pour l’année 2010, soit une augmentation de 11.01%.Cette augmentation est due à :
+L’augmentation des dépenses de personnel de 6,83%.
+L’augmentation des charges communes de 37,04% en 2011 par rapport à 2010 : augmentation des
charges de compensation des prix des denrées de bases (produit de première nécessité).
-Les dépenses d’investissement ont connu une importante augmentation de 50.50% en 2011 par
rapport à 2010. Il s’agit, bien entendu, d’une augmentation de l’investissement public qui s’appuie
sur les ministères, les entreprises publiques et les collectivités locales. Au ministère des finances, il
est expliqué que malgré les perturbations économiques du moment, l’Etat marocain a fait le choix de
maintenir l’effort d’investissement particulièrement dans les grandes infrastructures et les secteurs
sociaux comme la santé et l’éducation.
On peut bien remarquer que l’investissement public est considéré comme le moteur de la croissance
économique pour l’année 2011 (l’accélération du rythme de croissance à travers la poursuite des
efforts d’investissement du secteur public).
-Les dépenses de la dette ont diminué de 4,45% en 2011 par rapport à 2010 ce qui montre le
maintient de l’endettement au Maroc.
-Les dépenses budgétaires ont augmenté de 5,87% en 2011 .Cette augmentation est justifiée par
l’augmentation des dépenses de fonctionnement mais en grande partie par l’augmentation
remarquable des dépenses d’investissement (+50,50%).Tandis que les dépenses de la dette ont
connu une diminution.
-Solde ordinaire positif, c’est une épargne publique qui finance une partie des dépenses de
l’investissement.
Solde ordinaire en 2011
-C’est un déficit.
-Le déficit budgétaire a connu une augmentation en 2011. Cette augmentation est due en
grande partie à l’augmentation des dépenses budgétaire :
+ L’augmentation des charges communes : augmentation des charges de compensation des
prix des denrées de bases (produit de première nécessité).
+ L’augmentation des dépenses d’investissement.
+ La diminution des recettes non fiscales.