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ANALYTIQUE.
o| - "'- V '
, ‘GÉOMÉTRIE
ANALYTIQUE
OU
APPLICATION DE L’ALGÈBRE
A LA GÉOMETRIE;
DEUXIÈME ÉDITION.
PARIS,
Mm V° COURCŒR, Imprimeur—Lib._pour les Mathémafiquea
quai des Augustins , n° 57.
1815..
OUVRAGES DU MÊME AUTEUR ,‘
QUI se TROUVENT A LA MÊME ADRESSE.
AVERTISSEMENT.
LA première Édition de cet Ouvrage manque de
méthode , et conséquemment de ce qui fait le
principal mérite d’un livre élémentaire: elle laisse
à desirer plusieurs formules qui, sans être excluî
sivement préférables à d’autres , les remplacent
avantageusement dans la résolution d’un grand
nombre de questions; quelques solutions ne sont
pas complètes ou assez approfondies, d’autres sont
pénibles; les problèmes de l’espace Sont mêlés avec
les problèmes à deux dimensions; enfin la notation
est souvent défectueuse.
Ainsi.regardant ce premier travail comme non—
avenu , j’ai refait un nouveau Traité plus métho—
dique, plus soigné et plus complet, où j’ai;mis'à
profit les précieux matériaux que j’ai trouvés
dans les Annales Mathématiques , rédigés par
M. Gergonne, professeur au Lycée de Nismes;
dans les Élémens d’Analyse géométrique et d’Ana—
lyse algébrique , appliquées à la recherche des
lieux géométriques , par M. Simon Lhuillier ,
professeur à l’Académie de Genève; dans le Re-—
cueil de diverses propositions de Géométrie, par
M. Puissant, recueil qui se recommande par le
choix des questions et l’élégance des solutions;
et enfin dans quelques Mémoires sur difl‘érens
vj AVERTISSEMENT.
points d’analyse, répandus dans les Journaux de
Sciences. ' \
C’est dans la partie de ce Traité qui s’applique
à l’espace, et qui comprend six des vingt—un
chapitres de l’Ouvrage, qu’on trouvera les addi—
tions les plus notables, et, entr’autres, celles d’un
beau Mémoire de M. le professeur Bourdon, ayant
pour titre :.Détermination des axes principaux
dans les surfàæs du second degré, et, en par—
ticulier, dans celles de ces surfaces qui sont de
révolution. . ' ' v
Cette nouvelle rédaction, terminée depuis long
temps, a été soumise à l’épreuve de l’enseignement,
très-propre à‘ dissiper les illusions de l’amour
propre, et à faire ressortir les défauts d’une com—
position. Je pense donc que ce Traité pourra , dans
l’état où il est, se soutenir auprès de ceux de
MM. Lacroix, Biot, Le Français, Poulet -Delille
et Boucharlat , auxquels je me plais à payer le
tribut de reconnaissance que je leur dois pour les
emprunts que je leur ai faits.
' GÉOMÉTRIE
ANALYTIQUE.
l
CHAPITRE I“.
7
x::-——
55 æE-—
a17c __ abcd
33——— etc. ,
c ’ de ’ efg ’
dans lesquelles le nombre des facteurs linéaires du numéra—
teur, excède d'une unité le nombre des facteurs linéaires du
dénominateur ;pensorte que toutes ces fractions représentent une
ligne. *
La première représente une quatrième proportionnelle aux
'lrois lignes données c , a et b , qu'on sait construire. (Géom.)
. . ab
Pour constrmre la seconde, on cherchera une ligne k = Î,
kc . . . .
et on aura .1: = —e—: am31 deux quatnèmes proportionnelles
donneront :5.
La construction de la troisième exige celles de
[2 Id
, ‘ d
ab+cd=a_y, don y:b\-{-%, IJ_
xÜ= î’ï
“.7
On s’y prendrait de la même manière pour construire
_abc +qu“
x — ab+cd '
Passons à la formule
__ abc‘ + Ïtq3 — mjg
x“ q“e‘-: M] + cmd
qui représente toujours une ligne , parcelque le numérateur
at=\/EÊ, æ: Va’ib’.
œ=\/a’i bË; . _’ : r.
PROBLÈMES DÉTERMINËS.‘ '5
en posant _y’= bc , on a ‘
x: Va“i:_y’z
ou =
on porte à angles droits (fig. 2), AB=a, BC: 6, et on a
.ÎCA= a’ + b’=y’,
ensorte que
> æ=Vy’+c’+d’.
A et E , on a
y= c —f—‘;,9; + m rd .
-f + ;
et conséquemment, __
a: = \/ay;
ou bien _on posera ac .2: y“, fg=z‘ , mq: t’ , ni 2 u‘,\ et
6 cœsrnucrrorxa. .
après avoir construit y , z , t, u par des moyennes proportion»
nelles , on aura réduit la proposée à la forme ‘
cr: = Vy’—z’+t’+_I—üz
y’+t’+u’:r’,
et il restera à construire
'
.
7 .
a: = \/i‘*—— z.’.
AF:AC—-—CÏ, AF"mAG+CF;‘
Considérons l’équation
_2 \ .
x’—px=m’, d’où m’=x(æ—p)....(2):
la ligne m étant moyenne proportionnelle entre a: et .r—p ,‘
on décrira (fig. 4) avec un arc de cercle E’AE ,
puis prenant sur la tangente en.ÿA une longueur =m,
la sécante CE’ menée par C et le centre D, donne
x=CE’, x’ä—Œ‘. -*',
8 ,- CONSTRUCTIONS.
. En effet , les deux racines de la propoaée, sont
'__ L’ E 2
_
æ'._ 2E_ E
4+m,.
mais d’ailleurs
AI = \/a2 + x“ ;
donc
x = i: \/ï le.
m .
A'ñ’_DF_m_
AE:‘,—F—Ë—;,
de
on [16—
_‘k.AE_
AD.,
c c“ 2
c .c’ .
æ:DB—AR=;— Z+b’—r‘:
«16:50:th
ontiredelà '
æ’=(y+d)’+(c — \/r“—y“)’;
isolant le, radical dans un seul membre , élevant au carré, et
posant , pour abréger, r’ + c2 + 11’: g“ , on trouve enfin
xl+ (4d_y—-ag’) x“-{—g‘—4b’c’—Ædy + 4 (d’——c’)ytr: o...(n).
y’+ Cy + D = 0, _
les quantités A, B, C, D étant données en a, b , c, d, f.
Ainsi DB est donnée par une équation du quatrième degré ,
et BC par une du second. Nous ne nous arrêterons pas à mon—
trer comment on peut mener la corde BC , connaissant x ou
_y, et nous passerons de suite à une seconde solution de la
question. '
Du point D (fig. 16) menons la tangente DF, et par'B
la tangente BN , qui rencontre en N la droite DE.,Les deux
triangles DAE, DNB sont semblables, à cause de l’angle D
commun, et de l‘angle DNB=CBN -'::BAC : on a donc
I
DE.DA..DB.DN=-T—
. I. . ' DE.
16 CONSTRUCTIONS. ,
Ainsi, en faisant DE=a, DF=f, l’inconnue DN= z , on à
z=IÎ. a
EDZDF21H0uDFth=Ê
DE DE
_—_g
èf A'K = 1Ë°+ ÀÏ’: IÎIÏ+ (h —— 2,- )-,
PROBLÈMES DÉTERMINÉS. 19
d‘ailleurs
fiK’= AH><HE (h—2r)(2n—h+2r)
' ' 11'
H 2R7: — 4rR -—h“ —— 41" + 4rh.
donc Xlï’: 2hR— 4rR ,
et enfin ,
AG :_ 2_" V2hR:ÆR_—î, /
a,
11—27“
‘ '% , . . .
Si l’on prenait pour inconnue le segment AD formé par
la hauteur CD du triangle _ACB , on aurait , pour le déter—
, miner, à résoudre une équation du quatrième degré, ce qui
vient à l’appui de la règle énoncée par Newton , dans son.
.Arithmétique universelle. ‘ , .
Problème IX. Trouver la distance entre les centres des
cercles inscrit et circonscrit à un triangle donné (fig. 19).
Soient C le centre du cercle circonscrit, et C’ celui du
cercle inscrit : soient R le rayon du premier Cercle , et r celui
du second : enfin , soit ce la distance des centres g_C et C’; De
C abaissons une perpendiculaire. CG sur AC’; on aura dans
le triangle ACC’, "
30 ‘ CONSTRUCTIONS.
d'où
AG = R sin(B+%A);
par ces valeurs de AC’ et de AG, la relation (1) devient
PROBLÈMES DÉTERMINÊSJ M
d‘où
3=’I
‘l
Il %(c+c'—c”) (c+c"—c') (b'+e"—c) .
cc’c”
et celle«cî ,
sina % A =
460”
donc
r c-I‘-c"—c f
a --'---(4>=
La substitution des valeurs (5) et (4) dans (a), donne
æs= R’—2rR(c 'Ï,° — C—_l%c—)=R’—arR=BŒ—uñ.
. u. Il l , ’
/
CHAPITRE II.
Elémens de position d’un point dans un plan”; pota
tion algébrique de ces élémens. Equation d’une droite
dans un plan, rapportée rides coordonnées obliques
et rectangulaires. Problèmes. Autre équation de la
ligne droite, au moyen de la perpendiculaire menée
- de l’origine sur sa direction , et de l’angle de cette
perpendiculaire avec l’axe des abscisses. Equation
polaire de la ligne droite.
1‘ : a , .y=ba
énonceront que a et b sont des longueurs données, à porter
_ de l'origine A , la première sur AX, et la seconde sur AY;
ensorte que, menant par les extrémités P et Q les perpendi—
culaires PM et QM , on a , par leur intersection , le point M ',
ou plutôt , par l’extrémité P de a , on prend sur une parallèle
,à AY une longueur 5 dont l’extrémité est encore le point en
question.
9. Mais le point peut être dans l’un des quatre angles droits
.formés autour de A par les axes prolongés : il faut donc encore
. rappeler le sens dans lequel chacune des longueurs a et b
x=‘a, y=b,
inn point M situé dans l’angle YAX , tout point M dans l’angle
y_' a __sïn_“,
æ’ _ sin (C —œ)’
Pour des points M”, M”, etc. dont les coordonnées. seraient .70”,
'ct y”; x”' et y”, etc. , on aurait pareillement
I, n III .
.Y _ 3m 06 sm et
:7 sin(C—a)’ F”=nn(c—a)’ e’°'
Le terme général de ces rapports constans dans toute l'éten—
due de la droite,'sera
_y sin et
;=m...q.(l),
sin a _
y=mx.....(2}.r
et conséquemment, /
1 .
tangœ =
1 + V2 ’
d’où l’on déduira, au moyen des tables, la valeur angulaire
de a, laquelle,'avec b = 1 , servira à tracer la droite.
19. Pour la même longueur b=AR (fig. 2.6) et tous les
angles possibles a:LRX’, la droite R’L prend toutes les po
sitions possibles autour du point B; pour chaque valeur angu-—
laire de a de 0° à 400°, prise avec toutes les valeurs possibles
de b , tant positiVes que négatives , la droite R’L passe par tous
les points de l’axe YY'; il n’existe donc aucune droite dans le
plan des axes, dont l'équation ne soit comprise dans (5) , pour
un système de valeurs convenables de a et I7. ' .
On observera que les variations de l’angle C n’influent passur
la posifion de la droite, mais seulement sur l’inclinaison com*
mune des ordonnées par rapport à. l’axe des abscisses, de ma—
- nière que , pour une même abscisse , l'ordonnée correspond à
un autre point de la droite.
20. Si l’on désigne la droite par 1, ces notations ( l, x) ,‘
(l, y)pseront propres à indiquer les angles de la droite 1- avec
les axes des .r et des _y : ainsi on pourra remplacer sinu par
a x —— x x -— x
ŒII_ ‘1‘J t
y—y=acx—æ/>....s,
52 DE LA LIGNE DROITÉ
et substituant dans cette équation la valeur de a, tirée de"
la différence entre (2) et (5). Il faut observer ici que retran-'
cher (a) de (1) , revient à prendre dans (2) la valeur b , et à
la porter en place de b dans /( 1). _'
Il ne sera pas inutile de résoudre la même question par
la géométrie. Soient (fig. 29)
AP/:xl, P/M/:y’, APII= æ”, PI/MI/=yll’ =y ;
Mm ._ M,m,, .M m ,.
d‘où
PHMII — Pllmll
/ / __
PM—PM __ -———Ap,,_Ap, (AP _ AP),
I ,
qui pour 1::x”, donne y = y”, ce qui doit être. Si l’on sup—
DANS UN PLAN. ' 53
pese y’=y“, et alors les. deux points donnés M’, M” sont à ,
la même distance de l’aXe AX , on trouve , d’après (4) et (G) ,
y=ï:r=fl .
ce qui indique que l’ordonnée générale est constante, ou que
la droite est parallèle à AX, conclusion qu’on tire encore de
l'expression de a qui devient nulle. Pour a:’ = .22”, les deux
points M’, M” sont sur une perpendiculaire à AX par l’ex—
trémité de x’; en même temps a :2 06 , conséquence de l‘hypo—
thèse. Enfin , aux deux hypothèses æ’: ,12”, _y’ :y", correspond
a = —3 , ce qui apprend que la position de la droite est in—
déterminée; et [en effet , elle n’est assujétie qu’à la condition
de passer par un seul point. Sous l’hypothèse _y :0 , l’abscisse
correspondante ,” , I. ‘
' J’ "'J’
a: = ———————x
y,
4 D = \/M"‘n?‘ + M’E‘= _
Si le point M’ està l’origine A , les coordonnées 1’, _y’ deve—
nant nulles , l’expression précédente se réduit à ,
D.= = x" VT-iï‘äî
parce qu’alors l'équation de la droite A
j
. y : a
devant avoir lieu pour x = x”, y :1”, donne
_y" 2 ans”...
Problème HI. Assuje’tir une droite d"pœser‘ par un point
5 ,
_._ 54 DE LA LIGNE DROITE
’ donné,pet à être parallèle dune ligne donnée de position.
’ _ . Soit ' - ' '
-‘ _y=aæ-j—b.....(1), ’.
l’équation de la droite donnée pour laquelle les ’quantités a
et b sont conséquemment connues : soit l’équation de la droite
cherchée
_y = a'a: + b’. ...(2)
où les quantités a’ et b' sont inconnues. Désignons par x’, _y'
les coordonnées du point donné : puisqu’il doit être sur la
seconde droite , on aura la condition
a' = u V , ’
' ' a’ — (1
d'où tan g V = tan g ( "‘' — “) = ——F———.«
1 + aa/ :_
_y—y’= ÎÏflZ(x—æ')....(5).
,æ"_œ' — __ _’_—’_ma_e
"’(_y”—ax'e— b).f
m-(a‘—|—r)
\ vins UN PLAN. 57
Substituant ces valeurs dans la formule de la distance (probl. Il),
qui est '
Lorsque le point a;', _y' est sur la droite dounée’, l‘équation (1)
étant satisfaite par x', _y’, donne '
y’=aæ’fi-b, d’où y’i—ax’-—b=o;
et, d’après cela, D :o : Ce qui doit être, puisqu’alors la
droite menée du point .r', _y’ au point æ”, y”, est nulle.
Lorsque la droite cherchée doit être perpendiculaire à la droite
donnée, on a m::œ, 1 + m’ devient m’, et l'expression
(6) , qui donne alors la plus courte distance (1’un point à
une droite, devient '
'—aæ'—b
D=J-’_v’l—-F—aa—'= M’P’..unn(7)o
"‘
Que la droite doive faire avec celle qui est donnée un angle
de 50°; il faut faire m = 1 , et
L'-,g-ê
a a
D:-—.—_—..—,
1
.. 1+;
38 , DE LA LIÇNE DROI'ÇE
et observons que , pour la droiteB’L (fig. 55) , on a -—É: AR',
ensor‘te que
I
, +qllall(xll_xlb)
+ a”a'(æ"—-x’) = o. ..(1
Si l’on place le côté BC (fig. 55) sur l’axe des abscisses , et le
.DANS UN PLAN; 59
point B à l’origine A , ce qui donne
x”=o, y"::o, y”=o,
y :: 0 ,
J=ÉËËfl“*”%
et celle de la droite AP qui Ini‘est perpendiculaire ,7 étant
de la forme r .
, y : ax,
m II II .
' n x ‘— x x w
.r:œ,( _y ——,,—-æ, y=_——T(œ—æ),
" y ‘ y '
menées par D , A et C, s‘e'coupent enfin point unique. Or
d‘après la première équation, la seconde et la troisième de
viennent identiques. Ainsi les deux perpendiculaires AP, CP’ se
coupent sur la perpendiculaire DP” en K, et on n’a pas eu be
soin de recourir à la condition analogue à (2), Eprobl; V1].
Pour introduire la condition DA:DC, il faudra supposer
œ"=2x”. Le'triangle devenant équilatéral, on aura
yua+ xuz _-__= Â'ñï: æn, : 4ænn, d'où yu : xuV5r
sera. , et l'équation de AM ,
x + a:
Il .
Il PI
. . , a:
Les coordonnées de M’ , imheu de AD,. etant% , Î , la tan—
DANS UN PLAN. 41
' u
gente de M’CA sera m‘y ,,, et conséquemment
Il
y = 2x”__æm
—!——— x — —-—-
2 . . . . . (5) .
Or, comme en substituant dans (9.) et (5') pour y , sa valeur
donnée par (1) , on déduit des résultats la même valeur de x ,
savoir , ' " ' '
œll+ æ II
il?
y:‘%:
Celle de DC est
y y
_% ”:———,,—(x—‘; ac"). .. .(1);.’
_;y=————-‘yu (x—-—2—)uu(2)i
Les équations (1) et (2) donnent, après avoir égalé les va—'
leurs de y , mm
.‘L‘ = Î ,
' 'A’A” + 1 = 0
est satisfaite , puisque le dernier terme de l’équation du second
degré est— 1 , il faut en conclure (probl. IV) que les deux
lignes AM qui résolvent la question, sont à angles droits ; l'une
AM divise l’angle donné, et l’autre AM’ divise le supplément
DAC’ : et, en effet, la division en deux parties égales de l’un
de ces deux angles , emporte celle de l’autre.
On peut supposer, sans altérer la généralité de la solution,
que la, droite 'AC se confonde avec AX , auquel ças a' = o,
et les racines précédentes deviennent
/_—I+Vl+aa II_—l—‘/l+aa
A—-— ——————-, 13——————?—
a
44 DE LA LIGNE DROITE
la première de ces deux tangentes étant pesitive , est celle de
l’angle MAC; la seconde est celle du supplément.
Problème XI. Rechercher s’il existe un point unique de
concours des trois droites qui divisent également les trois angles
d’un triangle (fig. 40).
Nous venons de trouver
y = 41?,
celle de 'AM’,
_y 1: Bac;
Ces équations étant les mêmes que celles ont été employées
dans le problème précédent, sauf le changement de a’ en a ,
_et de A en B, on aura ces deux valeurs deB ,
B, = au — 1 + W+“ao' (‘1'+‘F)
> . a+ et ’
Bu ___ad_ 1 _ V(1 + a2) (1 +'Z)I 0
—— V .a + a _ ‘
c: , c” =
donc
mgä-DCX=.—_I__— _1____J_
tang % DCA '— tangR"CA "‘ C_ '
,,a
. " ' ' ’r .
46 DE LA LIGNE DROITE
d’où l’on conclut
1
m_"î"A_d +CA
"1T"
c
A—c
et B
_ a(A—- c \)v_ (1 + CA)y
_ (A—C)+œ( 1 + CA)”
Pour 1 +CA=o, ce qui a lieu si les droites AR" et CE”
sontperpendicülàires l’une à' l’autre , on trouve B =a , en—«
sorte que DD et CD sont parallèles , et alors le triangle
1 n'existe pas. .
.Si l’on supp03e les angles BAC, DD’C aigus , et l’angle
DCX obtus , et que l’on désigne toujours par x”, y” les coor—
. données du point D, et part”, y": 0 celles de C , on aura
pour l’équation AR”, - '
' : A'x ,
pour celle de DE”,
’ y_yll:Blcx_œfl),
Amsu a: (C — A ) — C :r:
, est la tangente que la droite
_
menée par D et par le point de concours de CR" et AR" fait
avec l’axe AX, et si les trois droites ‘conçourent en R”, cette
tangente doit être =B’. Pour connaître si cette identité a
' DANS UN PLAN. _ 47
lieu, éümiflons y” et 1:” d‘après les relations
DP f’ _ DP z'
" a: A'—P'=æ”, ' 1— -— l‘a—x”)
y” = aæ" , a: =
x=æ,
.7
Les perpendiculaires élevées sur les milieux des côtés AD, AC,
sont [prôbl. 1X], (fig. 58) représentées par ‘
x” ‘ 37'
y -'; y"='——,,
y (' æ—eaÆ"), x: 2 ’
'
ces (L, l)—::
. AM"+AM"‘— MM” = 2—— 2M’M” _
2AMIXÀMH
= 2 — 2U’y” + m’x'9,
en observant que y”+æ":A_Nî’z= 1 , et que y”’ +æ"'
:AMu"___
_.1, onc
60 DE LA nous DROITE
, '«mais d’ailleurs a’x" + .z:"| = 1 , a”x”’ + w“ = 1 ; donc
1 l 1’
Œ’:—;—:=:, x”=—=r,
V 1+a’ . V H—a ‘
et enfin
1 + aa'
905(L, 1):
V1+a’><\/1+a"
_C=o C’=y I
C H 0 C’ y‘. ,- , '
Le premier système qui exprime que le point m est sur l‘axe
des x, et le point m’ sur l'axe des _y, change la seconde
équation dans celle—ci , -
IC’(x'—œ?+ay'=o,
qui énonce que les points m ou D, m' ou e sont en ligne
droite avec M, ce dont on peut s’assurer en remplaçant dans
/
DANS UN PLAN. — -» 55
(3) _y et :c par :c’ et y’, :c’ et _y’ par’ a et o , x” et _y”spar
o et 6’. Ainsi les points cherchés seront les intersections des
deux côtés de l’angle avec une droite menée d‘une manière
quelconque par le point donné.\ . ’
Quant au dernier système qui exprime que les p‘oints cher
chés sont sur des parallèles menés par. le point M au;;,deux
côtés de l’angle , il réduit la seconde équation à
ay’— 60;"; 0 .ou ’y aC'-— Cat' 50,
x’=œ+u‘=o',, ou æ’=o,
5111 d = ,
V(æ —æ ) + (y - J)
603 d = ',
V(uIC —æ')’ + (y —y)“
et, d’après l’une ou l’autre des formules (2) et (5), on trouve
.1 =
distance de l‘origine à une droite passant par deux points 32'
et y’, as” et y'. Reportant ces valeurs de d , sin a et cas a, dam
l’équation‘ (l) ,‘on obtient celle—ci
(y”—y’)æ—(æ"—t’)y=xÎy”—æ"y'. . . .(4) ,
forme à laquelle se réduit, en effet , l’équation d'une droite pas—
sant par les points :c', y’; :6”, y" (probl. I).
25. De l’équation polaire de la: ligne droite (fig. 45 ).
'DANS'UN PLAN. 57
F étant un point donné de position et qu’on nomme pôle,
tout point M d’une droite Il connue de position ,}est donné par
FM 2 z , qu’on nomme rayon vecteur, et par l’angle (p entre
ce rayon et une parallèle FX menée par'F à l’aise des abscisses.
Or ' ,,
' y=PM Il Pf+fM.
a: = AP AP+PP
Sil’dn désigne par p et q les coordonnées connues du pôle F ,
rapportées à l’origine A , on aura donc
(1)....yzq-l-zsinp, œ=p+zcosç,....(2)
par ces valeurs de x et y , l’équation de la droite, qui est
y = ans + 5,
devient - .
z(sinç—acosç)+q—ap—ib=ou
_ J’ “ ‘7 ‘
fans @ ._ x_p.
58 TRANSFORMATION DES coonnomrärs
CHAPITRE 111.
De la transformation des Coordonnées dans un plan.
æ=a+x'- y='b+yz..ico.
DANS'UN PLAN. ' ' 59
qui ont encore lieu dans ‘ le cas où les axes AX, AŸ sont
obliques “pourvu que les axes variés A’X’, A’Y’ leur soient
parallèles. ‘ '
Problème Il. Passer d’un système de coordonnées obliques
à un autre système de coordonnées oûliques, en conservant
l’origine (fig. 47 ).
“F“: sin
mea.’ y" sin aL ,
PP=mx -
Ainsi on a '
__ æ'sin(C—u) +y'sin(Ç.—z
_ . sin.C" . . . .(2)
__ :r'sm a+ X'sma_:
y _ sin€
'æ'sinæ—{-_y’sinu’ '
_y=b—l—
sin *
6“o TRA NSFORMA'I‘ION ces COORDONNÉES
V Problème 1]]. Passer d’un système d’axes rectangulaires
'à un système d’axes obliques (fig. 47 ). r
Lorsque les axes primitifs AX , AY deviennent rectangu—
laires , l'angle 6’ entre ces axes est 2 100°, sinG= 1 , et les
formules (5) deviennent '
æ =a+æ’cos æ+y'cos æ’ , y=b+ x’sin œ +y'sina'2‘.‘ . (4).
.v Problème IV. ‘Passer d’ un système d’axes rectangulaires
à un autre système d’axes aussi rectangulaires.
On a donc a'—œ: 100° ’ et consé uemment
sin a’:cos œ, cos œ’:—sinœ,
et les formules (4) deviennent
œ=a+x’cosu—y sin a, y:b-l—æ’sin a+y'cosa. . .(5).
Problème V. Enfin , passer 11’un système d’aœes obliques
d un système d'axes rectangulaires (fig. 48).
On peut au moyen des formules (4) , évaluer x', y' qui sont
les coordonnées obliques ,'au moyen de x et y qui sontles
coordonnées rectangulaires; ou bien on résout la question di—
rectement, comme on va le voir. Soient AP’: æ’, P’M: y’ les
coordonnées obliques_du point M; AP=z, PM=y, les cobrdon—
nées rectangulaires de ce point, et désignons par œ’, a les angles
des axes AY’, AX’ avec A.X. On a
Afl:AP—;æ’P=x-y°°“ -
sin 4’ "
DANS: UN PLAN. , 61
donc -
- I
, xsrnu— 005;l
1’: ——_——I_-Z._—‘_
sm(œ —4)
Ainsi en changeant en même temps d’origine {ou a ‘ces formules
æ-=“+WKn“
æsin œ’—-ycos 4’ «\
IÏs'>"M
y,=b+yCOSœ—xsma -
. ‘—"’
sm(œ’-—u) ' "
/ L'
27. Nous écrir6ns les formules (3) , (4), (5) et (G) en fài—«
saut entrer sous les signes sin et cos , les axesprir_nitifs et
variés entre lesquels on prend les angles (ne) : ainsi on aura pour
le passage d’un système de coordonnées obliques x, y à un'
autre système de coordonnées obliques 12’, _y’p(probl. Il),
.. CHAPITRE IV. e
Construction et discussion de l’équation générale du
second degré entre deux variables.
29.. NOUS avons reconnu (chap. Il} que toute ligne droite était
représentée par ’équafionyzax+bz réciproquement une équaæ
tion du premier degré à deux variables ne peut convenir qu’à une
série de points en ligne droite; car on en tire E .
’—æ—” =_a;.
or y — b est l’ordonnée rapportée à un axe desabscisses , paral— /
lèle à l'an primitif et à une distance If de celui—ci , et comme le
rapport de cette ordonnée à son abscisse x est une constante a , il
s'ensuit
droite. que le lieu ‘ des extrémités
I des
_ ordonnées , est -une , '
32
=—ŒD—2AE)iVE(BD—2AE>’—<B’—4AŒ<D’-4Am . (4) '=
À B“ — 4AC
la condition de réalité de ces deux racines que'nous désigneroxis
par x’,qx”, est donc
(BD—2AEr— (B*-4AC) (D’- 4AF) >o.
ou bien, en effectuant les opérations ,
4A (AE’+ CD’+ FB’— BDE—- 4ACF) > o. . . .(5).
Pour construire ces abscisses :c', 1:”, on portera , à l’imitation
de ce qu’on a fait plus haut pour construire l’ordonnée y ,
BD — 2A_E
une longueur -— de A en C , si elle est positive ,
B“—4AC ’
et à gauche de A, si elle est négatiVe; puis, àpartir de C ,
on prendra CB’,= + E J et CB :— V[
'B’-—'-4AÎ’ B=—-4AGIl .'Par
et mscussxom . "r 65,
ces points B, B’ on mènera les ordonnées Bu, B’a’, et les
points a, a' qui sont en même temps sur la courbe et sur
le diamètre FH, ont pour ordonnées
__
_..
_Bx’+D
2A ).
_"Bx”+D
y—"_ 2A‘_I
m=-‘är.iä
20
i ;% V[Œ’-4AC)ÿ+ 2<BE—2cn)y+e—4cm. . . .(. 0).
Avant de construire, il sera bon d’observer que pour passer
d_ela formule des racines _y, à‘ celle des racines x, il-suifit de
changer dans la première y en x, et conséquemment x en y ,
puis A. en C , D en E , et réciproquement, c’est—à—dire, en
conservant B et F , de changer dans la {ennuie (2) les‘ coefli-'
c_iens de y en. ceux de J; , et réciproquement. '
On construira d’abord la partie rationnelle de la valeur de
x, représentée par , laquelle donnera la. ligne
droite F’H’, et pour une abscisse y-= AQ, il\faudra alonger
l'Ordonnée correspondante x = QQ’ de Q’N = -;—C V[ ],
' égales, si I
40 (AE’ + CD’+. FB’ -— BDE-,—-. 4ACF) = o. . .(14).
Il est facile de reconnaître que les deux diamètres FII ,
ET DISCUSSION. 67
F'H" se coupent au centre C’ de la courbe; car si, pour
trouver leur intersection , on suppose mêmes coordonnées
dans leurs équations qui sont les parties rationnelles des for—
mules (2) et (10), savoir:
__ BX+D
Y—_T’ _‘ BY+E
X—_T’
-ontrouve
\ BD—‘2AE
X—_—B“—4AC’
qui est l’abscisse déjà trouvée du centre.
Lorsque la courbe rencontre ces deux diamètres, ce qui a
lieu sous les conditions (5) et (12) , on sait trouver quatre de
ses points ;, on peut, dans plusieurs cas , en obtenir quatre
autres. Si, par exemple , on veut trouva les points dans les—
quels la courbe peut couper l’axe des abscisses , il faut faire
y=o dans l’équation (1), hypothèse qui la réduit à " “.
Cxa+ E; + F = 0....(15)3
/
d’où résultent ces deux abscisses , .'
— E .t \/E’ —— 4CF
æ .—.. —-——-—-———— ;
2C
elles seront réelles , égales ou imaginaires , suivant qu’on aura
E’—4CF>o, :0, <0;
dans le second cas, les deux intersections se réduiront à une
seule, ensorte que l’axe des a: n’aura qu’un point commun
avec la courbe à laquelle il'sera tangent , comme on le verra
mieux dans le chapitre des tangentes.
En faisant a: = 0 dans (1) , cette équation se réduit à
Ay’ + Dy + F = o ,
et les ordonnées des intersections de la courbe_avecÿ l’aXe
des y, sont ' ’ V
‘Di D’-—
y=_mËEΗ4Æ. ...(16); '
‘5..
68 CONSTRUCTION '
ces ordonnées sont réelles , égales ou imaginaires; suivant
l'une ou l’autre de ces relations ' ' ' ‘
‘ ‘ (2Ay+Bx+D)‘ '
—[(’B’—4AC) .é’+a (BD—2AE)x+ D‘—4AF] = o;
01‘
‘. ET DISCUSSION; ' - 69
l - partantÿde la formule (10), on serait conduit à cette
«transformée
(Ri—4m (2Cæ+By+E)’— [(B’—4AC)y+(BE-2CD)J‘
, +4CM,=o....@ë)._ '
Du rapprochement de. ces deux transformées, on conclut
que si les coefficiens A et C sont de même signe, et, dans
ce cas ,.on peut toujours les ramener à avoir le signe plus ,
la pœsibilité ou l’impossibilité de la proposée, ne dépendra
plus que des signes des quantités .B’—r 4AC et M. En effet,
B°— 4AC et M étant négatifs , chacun des premiers membres
(17) et (18), qui devient la somme de trois termes de même
signe, ne peut être nul, ensorte qu’alors la proposée ne
représente rien , conclusion enCore vraie pour M = 0: mais
lorsque M est positif, B‘—4AC étant toujours négatif,
les premiers membres (I7) et (18) étant composés de termes
affectés de dilférens signes, peuvent remplir la condition
de l’égalité à zéro , etlla proposée peut être satisfaite par des
coordonnées réelles. La quantité B“— 4AC étant positive, ce
qui arrive nécessairement lorsque les coelficiens A et C
ont des signes contraires, les égalités.(i7) et (18) sont tou—
jours possibles sous les deux signes de M, et lors même que
M 2 o. Il« resterait à supposer B2 —— 4AC := (5 avec M à: 0,
'=0, > 0; mais ces cas qui ne laissént plus de difiicultés ,
seront examinés; dans les numéros suivans. ‘
y=— Bx+]?
2A
122—‘X vc(B’—4Ac) (x—x’) (r—Æ’ÙJH-(ls).
en observant qu’on a dénoté par x', ac” les abscisses des
intersections de la courbe avec le diamètre FH, données par -
la formule (4), lesquelles peuvent être réelles inégales, réelles
\ égales , ou imaginaires ,' circonstances annoncées par les rela
tiens (5), (9)‘et (8).
Supposons d’abord les racines x', :c” réelles inégales : lors—
que la valeur attribuée à a: , sera > 10’ 2 AB et < a:”=AB’
(fig. 50), les facteurs ,z:—[-x’, x—x" prenant des signes contraires,
leur produit sera négatif, et conséquemment la .quantité'
sous le radical/, sera positive, et la double valeur degy sera
réelle.
Pour x=æ'=AB et œ;x”:—.AB’,- le radical s'éva—
nguira , et les ordonnées correspondantes seront‘ celles des
intersections a et a’ de la courbe avec le diamètre FH.
' ET DISCUSSION. 71
Pour x>a:”, et, à plus forteraison, :> 12’», le radical et
les valeurs de y deviennent imaginaires : il en est demême
pour au < x', et conséquemment < a:”, , . »-
La courbe est donc tout entière comprise entre deux limites
Ba, B’a.’ parallèles àl’æœ des _y, limites dont on peut tour
jours assigner la position. . > ' 3 ' V -
Passons au cas des racines réelles et égales: la formule
générale (:9) devient alors '
_ Bœ+D æ-ix'ji J;—————-’ " ' _
__ 2A :2A \/li‘—4AC.Î.(2O)‘,Y .n
P y+x+Ay+A :|-A‘,
’ 1 2 x ‘ E— : O.
(’+n)+(Œ+aä)—'——“‘
D 2 n E =_ D’—{-E’—4AF , V_
x‘2='B’) "
ET DISCUSSION. 75
'ou. R’ D” E“-— A_F_ '
:c’e5t ’équafion d’uncercle dont le
centre est l’origine des coordonnées.‘ '
Il est facile de prouver que, dans l’elliPse , les diamètres
FH et F’H’ ne peuvent être à angles droits , qu'autant que
B est nul; car autrement, les équations de ces diamètres
étant
. , D . 20 E
=-—-—a:—-t—— y:——-x—F,r
B
et la condition de perpendicularité (chap. Il , prob. IV), de—
‘
venant » ,, _
a
Pour 1: > i“ g, les ordonnées ysont constamment imagia
naires. 7
-En résolvant la proposée par rapport à .27, on trouVerait
' —-5Y ’ ’ a
x =._ z i, Z_g_d:_ ,
A 2
et pour équation du second diamètre F’H’,
a
ayant} donc pris ÀÏJ:AÎ2’= ,
et élevé les perpendi—
. bas 2: i bœ’. :
‘ % \/%
a , qu , on prolongera
‘ . ,‘a la renv'
cularres Jusqu
contre de F’H’,» on aura deux nouveaux points a', 4’ de la
courbe , et les limites \Im , b'œ’ de la courbe parallèles à l’axe
‘ des x. Cherchons les intersections, s’il y en a, avec les axes
ET DISCUSSION.
des y et des x : pour a: : o, l’équation donne
'_"Va'.
y———i'—;. ‘
va
ayant donc pris AR 2 AR’ 2 Î, on aura en R et B’ deu
"
nouveaux points de la courbe : à _y :0 répondent
. .« a . “ l
2
qu‘on portera deAen r et 1’. Nous avons donc , en totalité , six
points de la courbe, et il serait facile, en se donnant des
abscisses tant positives que négatives, en progression par
différences égales , et concluant les ordonnées correspon—
dantes , de les multiplier à tel point que 'le trait qui les
joindrait, la représentait avec une exactitude suffisante; mais
elle _sera plus facile à décrire , et même on pourra le faire
par un mouvement continu , lorsqu’on connaîtra ses axes prin—
dpaux , comme on le verra dans la suite.
Supposons que l’équation manque du ternie tout connu , ou ,
en d‘autres termes , que a diminue jusqu’à devenir zéro ; la
formule des racines _y, qui'devient alors '
: J
__Ï+ ‘/—5_“Ë
y— à.- 2'
annonce que, pour toute valeur de x , autre que zéro, les
ordonnées sont imaginaires : pour x: o , on a _y = O. ;. la
courbe est donc réduite à un point qui est le centre de la courbe,
lorsqu’elle existait. -. '> 2' ' 4
Si le terme tout connu devenait -— a , les ordonnées
i-f + _____‘/_ axa-“z ’
y 2 — 2
seraient indéfiniment imaginaires, et ' la ‘ courbe i n’existe
tait plus. _ ‘ Ï
Supposons enfin que le terme‘ du rectangle manque dans
'76 , consrnuèrxou
la proposée , Ce qui revient à l'hypothèse B :: o , c'est»à—dire,
qu’on ait à construire la courbe de l'équation
/
_ 4y’-|-4æ’—a:0; .
on entire ' ' .
,___iz_—_w+z, x=i!:.éfi:fi;
> > 2 > _ 2 . .a
donnée par ’équation (23) , fait voir que les diamètres FH,
F'H’ sont parallèles , puisqu’ils font le même angle avec l'axe
des abscisses. Ce parallélisme s'applique facilement : en effet ,
nous avons démontré (52), sans particulariserl’espèce de courbe,
78 CONSTRUCTION
que lès 'deuX diamètres se coupaiènt au centre , et d’ailleurs
nous avons trouvé pour l'abscisse de ce point,
,’ . Ü. BD—2AE_
‘ B#——4AC '
Or , pour la parabole , Cette expression devenant infinie , les
diamètres ne se rencontrent plus; ils sont donc parallèles.
Le caractère B’—— 4AC :0 a encore lieu si , avec B=o,
on a A ou C::o: or pour B=oet A=o, iln’existeplus
que le diamètre F’H’ parallèle à l’axe des y, puisque son
équation (25) devient
E
X:—-fl—cî
oudéduit
B ‘ pC , ' " _ _'
ñfî,l_doù BE—2CD..0,
' - .-Ç,:-;w
1-:r Discussion.“ ' ' 73
donc l’équation (24) se réduit à ‘
B E ’ , ’._—
æ = —_l;Ë; :—2’Î t/E’—4CF......(2g).
Chacune des formules (27) et (29) donne donc deux droites ,‘
et il s’agit de prouver que ces formules répètent les deux
mêmes droites. Les diamètres donnés par les équations (27)
et (29) sont
_ B D .26 E_
7——aæ—n’y=—ïr*n
mais des deux relations (28), on déduit encore
B __ 2G 2 _E_
2A ‘ B ' 2A " ]Î’ ’
donc d’abord ces deux diamètres n’en font qu’un. Si l’on tire
de (29) la valeur de y , on trouVe
Bx+D 1 D2
y=— 2A Æ—F,
_;2Cx+E+Q_‘{Ë\/Ë_F
or on adéjà
1 __2\/Ë
VK“B"
d’après la caractéristique B“ — 4AC = o; d’ailleurs de
BD — 2AE = o , on déduit
P.*Ë d‘où ËÎ_èË_AE’_ËÎ.
2A‘B’ 4A— B*_4AC"4C’
donc les parties irrationnelles sont les mêmes.
80 consraucnou
Sous ces relations
/
D' -— 4AF
œ'=AB=————
2 (BDÎ2Î)
de l'intersection de la courbe avec le diamètre, ait augmenté
par les diminutions successives du dénominateur décroissant
jusqu’à zéro : alors les deux portions ma, m’a (fig. 55) vont se
raccorder en des points a successivement plus éloignés ; et enfin
ces deux portions dela courbe ne se rencontrant qu’à l’infini ,
se rectifient suivant deux directions RL, R’L’, parallèles au
diamètre FH. Si l’on a, en même temps, D’—4AF= o,
l’abscisse .z’ devenant % par deux hypothèses , indique ( Alg. ,
i" sect.) que tout point de FH est une intersection de la
courbe , telle que a ; donc la courbe se change dans ce
diamètre.
passe par l’oriÊine A, et fait avec l’axe des .1: un angle de 50’;
l’abscisse de l’intersection de la courbe avec ce diamètre,
résulte de
x+1=o, d’où æ:—1::{AB;i .
æ=g:Vä=I—ËQ—L/Ë.
1 i V—4z‘ 1
a: = 2 -——,
y = f;
qu‘aimi elle est une parabole. Son diamètre F'H’ (fig. 55)
a pour équation
a: = I
y=t
Pour avoir l'autre diamètreÿFH, il faudrait résoudre la pro—
posée par rapport à y; mais comme elle n’est que du pre—
mier degré par rapport à cette variable , on en conclut que
ce diamètre est impossible.
Les intersections de la courbe avec l’axe des y, résultent
de x = o , hypothèse pour laquelle on a y=o; ensorte
que la courbe passe par l‘origine A : pour _y = 0, on trouve
a: = o , a: = 1 = AR.
Ces deux exemples serviront à faire mieux entendre la
théorie , et à guider les élèves dans la discussion des équations
des courbes paraboliques.
60.5
84 ' ‘ CONSTRUCTION
y =— Bar
—j;‘—D i g;1 VE(B’—4ACXx—x,) (ac—æ«)] ,
a:', x” désignant les abscisses AB, AB’ (fig. 56) des inter—
sections de la courbe avec le diamètre donné par la partie
" rationnelle, et supposons d’abord ces racines 32’, :L‘" réelles
et inégales. Pour x<æ” et >æ', les ordonnées y seront
imaginaires : la courbe n'aura donc aucun point entre les
limites Ba, B’a’ : pour .1:- >x” et conséquemment > æ', les
ordonnées y seront indéfiniment réelles; il en sera de même
pour x < a:’ et, àfortiori, < æ” : ainsi la courbe sera compo—
sée de deux branches situées l’une à droite de la limite
B’a', l’autre à gauche de la limite Ba. Cette courbe se nomme
hyperbole. -
Les racines æ', x” étant réelles et égales , la formule pré—
cédente devient
_ Bæ+DI x—æ’ _;—
y=——2—A—i 2A VB—4Ac...(52),
B“—4AC=(a-j—a’)’—4aa'=(a—a’)’>o,
et qu'en même temps
4A(AE’+CD‘+FB°—BDE—4ÀCF) =o,
condition sous laquelle les racines 30’, x” deviennent égales (51
et 52).Ainsi l‘équation de l’hyperbole se change alors dans le—
’ ET DISCUSSION. . 85
produit de deux droites non parallèles , que nous allons démon—
trer se couper au Centre. En effet, il résulte de la formule (52)
que pour x: x', I’ordonhéè correspondante qui est celle du
centre, est, en même temps, l’ordohnée de l’intersection des
deux droites; de plus, des deux droitessontplacées symé—
triquement par rapport au diamètre FH.»'
Supposons enfin les racines 30’, x” imaginaires : alors la
courbev ne peut couper le diamètre FH;‘ cependant comme
le trinome facteur de (B’-—4AC) , sous le radical, dans
la formule générale des racines y, ne peut changer de signe
(Alg. , ‘1" sect. , chap. XXVIII) , et qu’il prend alors celui de
B’— 4AC ,le radical reste réel pour toutes les abscisses x;
la courbe existe donc. '
Nous avons‘ reconnu , par rapport à l’ellipse , que les racines
a:’, :L'” devenaient imaginaires en même temps q11e y’, y”; la
même chose n’a pas nécessairement lieu dans l’hyperbole ,
et pour s’en convaincre , qu'on se reporte à ces formules (31
‘et 52 ) ,
4AXM=O, ÂCXM:O,
my—ax—b:o, ny—a’x—b’20,
x_—
_ By+E ' B
20—iE(y-y’) .
_ By+E + B _ 2CD—BE
_—
2C B’ ’ .
qui répond à l’égalité des racines y', _y”.
On observera que pour A: 0 , l’équation générale résolue
par rapport à y, donne
88 CONSTRUCTION"
et que la condition sous laquelle ' cette formule représente
une droite, consiste dans la divisibilité du numérateur par le
dénominateur, ou dans l’égalité à zéro glu-reste indépendant
de a; , égalité qui est ' À
y =. - se + —B-a—
Supposons enfin A = o , C = o : sous ces hypothèses , les
relations ' ' '
‘ 4A><Mv=o, 4C><M*=o
sont bien satisfaites; cependant il ne faut pas conclure qu’il
y ait lieu à deux droites , à moins qu’on ait en même temps
M : o. En effet, les conséquences de A = o , C :: 0 sont
m=o et a’:o, ou n:o et a=o:
dans le premier cas , '
B:—na, D=-—-nb,- E:ab’, F=_bb',
et la relation M devient alors
M : FB'— BDE : n’a’bb'— n’a’bb’ = o ;
ensorte’ qu’on est encore ramené à M : o , comme condition
de l’existenœ de deux droites qui sont représentées par
x __ b __ b’
_ a ’ y— n ’
équations qui, d’après les relations ci—dessus , se transforment
dans celles-ci ,
x_ F . E
_ B ’ vD B'
Dans les hypothèses ci—dessus , l‘équation générale devient
Bx_ÿ+Dy+Ex+r=o;
ET insenssmn. . ' , 89
d'où l’on déduit ‘a, ' " l ‘
_ Ei+ F _ Dy + F ' .
,y'“_ñfia .x——Wo
y’—æ’+ D E
Ky+Xr+ F Il
3 0';
les coordonnées du centre deviennent ‘
v0
__ D _E ' '
y—-2—ÂJ æ‘5Â)
sous la forme
-<y+s>“-<æ-;“=Æ%Æ.
on trouVe , en la rapportant au centre par les substitutions ,
’ E L / D
,/
æËæ+fia
qu’elle devient
, D’— E“ — 4AF
y ’—x ’ = y 4A,_ —;
CHAPITRE V.
Des asymptotes.
b b ’
a’+— l ——s——+etc.;
2aï . .811.î
y = o,
B 'D
'y=— —X æ—X......(2),
-
y ='' —B—VB’—4Ac+ec
2C1:
'______ 12.;
x=—Ë,
Cæ , BE —— CD
y=—Η-—Ëu——.....(6).
x="îyîË' Dy-{-F
elfet
I a: __ B. _._
A BD-—-AE"_
d’où B E B3;.BD 0 ' 'i'
i I ____ . A ;_ ,
yb— hAæ+: . '7 :s'1i
__ —m=tt/4x'+'4næ“‘+mæ
.7 "' _"—2‘_ 9
et comme pour des abscisses tant positives que négatives, les
ordonnées y sont réelles , et restent indéfiniment telles ,
on reconnaît que l’équation peut représenter une hyperbole.‘
L’équation de son diamètre FH (fig. 57) est
y=—-%’ =AC’.
Ce diamètre est donc parallèle à l’axe AX : les abscisses des
intersections de la courbe avec ce diamètre , sont fournies par »
4x2 + 4113 + ma = 01
a°.y= o, dioùlv e
x=o,l x=—.1_= AR.
y=A+B’x+C'œ’+D'x3'-{- etc., ,;
en remplaçant par a:’: il faut entendre par là que toute
autre courbe qui ne sera pas d’un degré plus élevé que cette
dernière, ou qui ne renfermera pas‘plus de constantes , ne
pourra passer entr'elle et la proposée. La courbe de cette
dernière équation est dite asymptote de la, courbe donnée. .
7 mm swmm ;mS
2°. Si ' ’
‘ B] , >’ - I \; ï
j:f(%):’7+A+BL+CÉ+et&,
>
f ' 7
y =f(%) = A +’Bi +Ci‘+ etc.,;
J '! ' . ’ ' ï ".'Ï ' . , r... . p
j ‘|;;
"- r .
B D . .%
y=-n‘-i‘;rià'i[“+b‘+°“ï
devreloppée , donnera \I
i‘
104 m = nns mnoæ'æq: ' _"'
'
. .
‘
B a,î 1 D - 5
y—( 2A_2A ‘æA'-‘ i.
‘ 4a’A
1 v 17‘ ' . .
“la
2a 8a -
y=m-Ë—+n 4
s /'py
"«")(\Z1
kr è.
vy‘ invrnsn ne LA.DJSCUSSIONJ 105
52. Lit solution de cette question , l’inverse de celle qui fait '
le sujet du chapitre quatrième, est due à M. Raymond’,
professeur de mathématiques au collège de Chambéri, qui
l’a consignée dans le n° 6 du tome I" des Annales de Ma—
thématiques. " ' ’
1°. Soit l’ellipse ala’l’ .( fig. 59) , disposée de télle manière
par rapportà ses axes AY_, AX’, que l‘on ait a_ -.: : .>
AF=—-%, -AR=—Q, AB=x’=—4,
AB’=œ"=—8, C'l=C'l“==a, '«. n‘.
en observant que la courbe est tout entière dans la région des
abscisses négatives. On mettra la formule des valeurs de y
sous la forme _\
y=— Bits—1’; D i (x—x’) (x—.q’i)]d..(n)ï
équation ._
- ‘3_ 3 . L . li ;
y __ — 4 x — -.- _ .
' 'v' à. I J .'..'l ". ';
ainsi la formule généraledevient
x=:%x:-%: [Ëïéï’i’cx+4)cèätæ‘]a
.106 INVERSE
mettant sous le radical la valeur de 3:, qui répond au centre
Q de la courbe, et faisant à cet—effet, - 1 -42
x=Ac=n+w,=—4—a=—e.
la partie radicale de l’ordonnée, sera la valeur de C7 ou de
C’I’, qui est a , et on aura '
'ÿy—x—n=o, x-‘—-5=o:*
'. , . :. '. _ u) '
puisque M nest pas nulide plus, commelona
'-WIF‘;‘R)‘ A:.À'.‘ .
r'M=". Læ-5>**:. .
‘ 1 1" 2'
3°. Soit yœ.hypgrbole;{fig.
nécessairement M = %. 61) pour laquelk'on
. t .. aitw 5.:
et
d’où résulte
; cyËr
l’équation s -' 18y+50œ+-54=0.
' 3-.,.. ' ‘ ,-I:5. ' .
\
êùisgâi
'. A. cause’déæ,_Ï3i\/.
s‘y-7:1 , x' —2‘ V-Ei’,‘ _, ""
'. .''..'up
/
DE L‘: meusswn. 1°9
" ‘Faibant ;rfiaihtena“ntsouæ le radical ce: 0, attendu l’abs«
cisse relative-au centœiC’,=_ est nulle, on [aura
ainsi\/
B‘—’ ÏC“"
l’équation
4Aî sera
= ><_4 == 5,'
, ‘
don ,7
B».“—
'
4116
' t -' ' ' '
(4‘) En efi'et, lorsque le teme'tn j" nianque dans l’équation générale , lel
;
asympœtes sont (45) , s .
I.
\
D c: BE—CD ' ’
œ=—Î" r='—Η_ÏÎÏ_—’g
dont le produit est
B:y+Œ=+Dy+Ez+.P—Q%g=o....(m
et l’hÿperbole a pour équation '
Bzy+ C:-+ Dy+Ex+F=o.4...(2);
la premiers membres ne diñ‘étaht que le‘ tèin\e tout 'con'n'u, si on
IIÔ INVERSE "
tenons maintenant compte des données que‘ fournit la "Sima-Ï ‘
tian de la courbe g a l’elfe: de corriger le terme tout connùi"
pouræ=o,pnal . Ï.
5y='Ar'>=‘ÿ,ïl d’où.?5_yi—-8=o; ‘ I i\
mais poux=AP=5,ona
BD— A.E
VLÆTÊ—JXI=PN=QVQ;
,
donc
n(BD—2AE)__8
4A* " '
î)! INVERSE DE LA DISCUSSION;
' '-.."'1
‘.3' "..l
Ainsi l‘équation cherchée sera
'y‘= a: : V8(x—n),
d’où y _ 4 o ,
_y‘-—a.zy+œ’—8x+ 16:0.
On peut supposer des données AB=2 , Ba=x’= 2 , AT :4,
pour y; 0: si l‘on sait de plus que l‘équation du diamètre,
est y: a: , la formule _y sera >
r 2 BD — 2AE .
y=œ i (3—3)?
. o=4:‘:\/ÆÀÇ—ME (4—9),
d‘oùl‘onfire ‘ '
2 (BD — 9AE) __ 8
T— '
ce qui ramèrie à l‘équation précédente.
' Lé_principe sur lequel reposent ces solutions, sera présenté
dans l’un des chapitres suivans, lorsqu’il sera question du
nombre des points nécessaires pour fixer la position d’une
ligne du second degré.
RÉDUCTION DE L'ÉQUATIDN GÉNÉRALE.’ 115
CHAPITRE VIL
I I n ' ‘ ‘
x'=d+x'cosa—y’sinæ, y=b+x’sinx+y’cos z,
'u ,
DE L’éQUATI’0N GÉNÉRALE. 117
et remplaçant dans la proposée .f:"et y par ces trinomes , t‘es
termes en :L‘y , y et x disparaissent, et le résultat est de la.
forme ’
.My= + Næ* + P = s. .
Exemple I". La proposée étant
y’+æy+æ’+y+x’—l=°i
l’équation (7) donne .
a’=i1 , d’où a ou tanga=it , Sins=cosa=—l—fl’;
y=—5+Îl,
. 1"+ x=—.+
. Vj="
-‘È'-”—
qui donneront
I
x/s + y _
V2.._O.
æ=a+æ'cosu—y’sinu, y=b+xËsinm+y’cosu;
cependant on pourra d’abord ne faire que celles qui déplacent
l’origine , savoir, ' ‘
æ=a+f,y=à+ymml
puis passer à/celles-ci 1 I
æ' :32" ces u-—y” sin a, i’, = x” sin'q +_y”cosqz. . . .(1o)î
Si l‘onv‘pose', pour abréger, ‘
"" 3
A’“
. , , ' P .
sont B’ lardonnee y pour 1:39a on aura M 2 É; ; apres\
la.substîtufion de ces valeurs de M et N dans (54) , et -la
multiplication par A’”B”, on est conduit à '
_o
À"y’ + B”x’ = A”B”. . . . .(55>.
Les axes 2A’, 23’ sont particulièrement dits : axes principaux
de la courbe , et on réserve la dénomination de sommets aux
intersections de l’ellipse par le plus grand des deux axes 2A'
et 2B’.
Pour A’ = B’, l’équation de l’ellipse devient celle d’un cercle
dont le rayon est A’.
Pour l’hyperbole , si l’on _désigne, encore par A’ l’abscisse
a: pour y = o , et par B’ I’ordonnée y pour x = o , et qu’on.
fasse ces substitutions dans (25), on aura
P
N=-—— MË—Bl—al \
1 24 RÉDUCTION
\
et conséquemment ,
Pi
MN:W*
mais d‘après la relation (27) , le produit MN devant être
négatif pour l’hyperbole, il faut nécessairement que l’une des
quantités A’ ou B’ soit imaginaire, c‘est—à—dire, de la forme
A’ V— 1 ou B’ 1/— 1 , en observant que P ne peutêtre ima—
ginaire ; on aura donc dans le second cas , '
" r ' ' ' . Î: '
N=A>< l—;052u+gsin2t+cxl+:OS2O’
‘ - ÏVÜ‘I = mp —- n’;
d’où l’on conclut que NI et N sont les racines de l’équation
du second degré , _
z’— (m+p) z. +mp — n’: 0.....(42);
mais des deux angles “qui fixent les positions des axes prin—
cipaux par. rapport aux axes passant par le centre , parallè—
lement aux axes primitifs , l’un est toujours moindre qu’un
droit ;- d’où il suit que 'sin 26 est positif, ‘et qu’ainsi la dilfé—
rence N —,'M aura le vsigne de n , c’est—à-dire que si n est
positif, on prendra pour Nla plus grande racine de l’équation
(42) , et que si p est négatif, on prendra pour N la plus petite
de ces racines. Ces formules (41) et (42) reviennent aux for—
mules (26) et (28).
Lors donc qu’on voudra rappeler au centre et aux axes
principaux, une ellipse ou une hyperbole , on la rapportera
d’abord à son Centre ou‘à la forme
’my"+ 2næy + px“ = P;
et comme les coeliiciens m , on et p ne sont autres que les
trois premiers "coefficiens A, B , C de la proposée , on n’aura
à calculer que P. On résoudra ensuite l’équation (42) dont
les racines sont M et N, et,‘d’après le signe de n on prendra
convenablement les coe’fliciens de y’“ et 1;”.
devient
v-|---- 5 , 5— 5 ' ’
5 av .7“ + v æ" _"" 1 :
2
d‘où
(5+ V5) y”-}- (5 — V5) .12": 2.
Recherchons cette transformée par l’analyse (55): en par—
tant de la première réduite ,
y”—- 2æ’y+ 21:”—- 1 = 0,
nous emploierons les substitutions \
‘
j:æ”sind+_y”cosz, æ'=æ”cosœ—y”sinà,
qui donneront la transformée
(cos’œ + 2 sin’a + zsin aces œ)y”*
+ (sin’æ + 2005'4 — asin aces a) x”’—— 1 :0;
c‘est—à—dire,
(005% + 23in’u + six; 24) y"
+ (sin’u + scos’a — sin 2a)æ”’-.— 1 = o,
.43
sous cette condition de l'évanouiss‘emént du rectangle
-— 2sinucosa — 2(cos’u — sin’s) = 0,.
qui revient à
d’ ailleurs ,
_ » " ' 1 —-cos 2a 1 ces 2:;
sm’a=-————, Cos’z=.—+————,
2 2 -
_ tang 2a _ » .' 1 _II
un 2.: = ——————- ces 2a :: —- ;
V1—l—tæmg’aœ’ V1 +tang’ 2a
9
150 . RÉDUCTION
si l'on prend sin 2e positivement, et cos 2a négativement,
011 au ra
. 2 1
Slfl2fl=V—5, COS2u=+V-Ë’
d’où
1 4- V5 _ cos , a : —-
sin’ u = -—————, 1 + V5
___—, _)
. 2V5 2V5
Ces substitutions des valeurs de sin 21:, ces un, sin‘u, cos“œ,
faites dans la transformée à trois termes , donnent
(3+ V5)y”-’+ (5—V5)x”’- 2 = 0,
qui répète la transformée ci—dessus. '
' Mais si l’on suppose sin 2“ négatif, et conséquemment}
ces fins positif, ce qui s’accorde encore aVec la tangente né—'
gative , on tombera sur ’équation’
(5— 1/5) y”’+ (5+ V5) æ”’— 2 = 0
qui diffère de la précédente. '
Exemple Il]. Soit l’équation
_ y’—2xy+næ’+1=o,
qui, sous le caractère Bt— 4AC <o , ne représente rien; on a
,\ N .——=M-’
et l’équation du second degré
z’—-— 5.2 + 1 = 0
conséquemment ,
Par l’analyse (55),Mon=serait
;‘; , conduit
N : à la transformés
et la réduite est, g .
(l + V5)y”’—(— 1 + V5) x”’=o ,;
d’où l’on tire ' n' __ — 1 + V5 0
y —- i æ .
.d ' . _ 'o‘
Autrement, et en partant de In première réduite ,'
’ yg _‘ 2131 = 0:,
ona "‘
‘ \ __ 2
m=‘1,' n=_1,- p;o, P=0‘, 'binnozm.
_l . I \ zä*l+v5 "’z=-——l_fvs,‘
z’—-z—r.\.o, don ,
2 2
et conséquemment, .»\À'
N=1—V5, M:1+V5_.
2 2
déterminations qui ramènent à la transformée ci-dessus. -
DE L’ÉQUA1‘ION GÉNÉRALE. 155
Lorsqu’on a calculé pour l‘ellipse ou l‘hyperbole , les quan—
tités M et N, il est facile d’en conclure les demi—axes princi—
paux de ces courbes (58). ' "
Exemple VIL ’équafion \
y‘—2aïÿ+x“ex=o,
est celle d’une parabole qu’on veut rapporter au sommet et
à des‘ axes rectangulaires. D‘après l’analyse 'exposée (57) ,
on posera les formules /
y=b+æ’sina+y’cosa, x=a+iæ’cosa—y'sin x,
que nous avons reconnue (57) être celle de‘deux droites paral—
lèles , donne la transformée
(005 a + sin e)“_y” + ( cos a -—'- sinu)’x"
+ 2 (b— a) (sin e+cos a) y’+ 2 (b—a) (sin u—coa n) .1:'
+(Ï7—a)’—1=Jo; t '
et pour condition de l’évam‘misser‘nent du rectangle , '
. .1 , \ Na.
sme:eosæ=—— don et: 3
V2 ’
par ces valeurs , l’équation précédente se réduit à.
2y”-F 2Vz (b—-—a)y’-j— (ÿb -— a)’—1 :: o ,
qui ne renferme plus qu'une des variables. Pour déterminer
les coordonnées duysommet, il faudrait poser
(b—a):o, (b—a)’-—q=0;
et comme Ces équations sont en contradiction , les coordon
nées a et b sont infinies (Alg. , 1" sect., chap. 17), et de là
on infère que la parabole dégénéré en deux droites (’56 et 57).
Exemple IX. Pour ’équation ,
y’—2æy +œ’: o,
l’évanouissement du terme du rectangle donnerait encore
. 1
smu = 60312 : —— ,
V2
et on aura pour déterminer les coordonnées a et b du sommet,
a—b=o, (a—b)’=o:
' . . . . 0
de ce que a et b sont indétermmées , c’est—a—dxre , de la forme a ,
ne L’ÉQUATION GÉNÉRALE. 155
on conclut (Alg. , 1" sect., chap. 17) que la proposée représente
une droite (56 et 57). ..‘ , ,
Eæemple X. Soit a
s ‘.
y‘—2æy+x’+l=oz ".
011 Houvera encore
. 1
sm z : cos u : —
1/2,
et pour équations entre les coordonnées du sommet,
b—a=o, (B—a)’+x=o,
dont la seconde est la somme de deux carrés; et comme elle
répète la proposée , on en conclut que celle—ci ne représente
rien. ‘
61. Il importe cependant d’avoir des formules qui l'servent‘
à déterminer directement lagrandwr et la situation des’ams .
principaux dans les trois courbes du premier ordre : tel est
l'objet de l’analyse suivante qui est le complément nécessaire
de ce qui précède. ;
Reprenons les expressions (58),
M=-—B—,z,
P VN=-—*-XE;
P _
011
F! I _. .
hI =I_ -]—3/—2 , N = — JÎfl...c;(43)f '
et substituons dans
F'=Ab’+Bab+Ca“-FDI)+Ea+F,
les vaieurs de a et b , swoir“(55)
__ 2AE—BD b__ 2CD-B_Ë
l
— B’—4AC ’ _ B‘-—-4AC ’
on trouverä , après les réductions ,
__ AE’ + CD‘— BDE + F.y...(44);
F’ __ ————W—_ZAÇ
156 - ‘n‘rînucrrou
ensorte' qu‘après avoir remplacé dans les formules (45), M,‘
N et F' par leurs valeurs (24) et (44), on trouvera
A,= \/[2 [BDE — AE’— CD’— (B“—4AC )F]
(B’—4AC)EA+C— v B*—4Ac+(A+ch
B, = \/[2 [BDE— AE“ _ (3132— (B’— 4A8) F__] (45)g
, ’ . (B°-MÇ)tA+C+vBâ—4AC+(A+CÊ
Ainsi le centre sera donné par les valeurs de a et 'b , les
grandeurs des axes par celles de A’ et B‘, et leurs'direcfioñs
par celle de tang 24 donnée (55). 1 »
Sous les hypothèses B: o , A=C, ces deux valeurs de
A’ et B' deviennent égales , et l’ellipse se change en un cercle;
même conclusion à l’égard de A’ et B’pourB = o et A :— C,
relations sous lesquelles l’hyquole’devient équilatére. D’ail——
leurs , suivant qu’on aura, sous la caractéristique de l’hyper_bole,
BDE —‘AE‘-— CD’-— (B‘—4AC) F>o ou<o,n
A_’ sera imaginaire et B’ réel, ou inversement. On observera que
le premier membre des inégalités ci-dessus, répète le facteur
de 4A ou de 4€ (58).
Considérons le cas de la parabole caractérisée par B’—4AC=0,
courbe pour laquelle on a, d’après les formules (24),
M = A + C, ' = b;
' on a été conduit (57) à ces deux conditions
Ab’+ Bab + Ca’+DIJ + Ea+F=' o,
D’cosœ—E’sinz: o,
sous lesquelles il reste. cette transformée
My"’ + (D’sin a+E' cos a) x” = o. . ..(46)‘ :
on a de plus (57)
B
tang ou = —
«.A—C;
mais d’ailleurs , '
, , ' 2 tang et A s
: tang-2a = -—-— —
15—. tang“a'
m: L’ÉQUATION GÉNÉRALE; ’ 137
l‘égalité de ces deux valeurs donne ’
Btang’œ—»2(A—C)tangœ — B = c,
qui n'est que l’équation (19') : en en tire
008“:
__B__
\ VB"+ 40
Ainsi la transformée (46) de la parabole, devient
2CD — BE ,,
“a = —————-——_-_-__. :L‘ .
3’ (A+ C) VB“+4C“
Si l’on remplace B par 2\/Ë, et qu’on désigne le coeffi
cient de x” par Q, on aura ces formules :
CHAPITRE VIII.
Des diamètres conjugués.
B, _——-_.25.
,
B..—
au,A“B“Bacosz/‘.....(6).
Si l‘on tir'e' de (5) et (G) les dénominateurs, pourïeni porter
les valeurs dans (4), on obtiendra cette équation de la courbe
Alnyln + Blajlz = A/2Bm‘ . ._. . _(7)_ A ‘l‘ i
x = _-_l: _A'_.
\ V2 ’
_ CONJUGUÉS. 345
comme ce résultat est indépendant de B , on voit que, pour
toutes les ellipses décrites sur le même grand axe, les ex—
trémités des diamètres conjugués égaux , ont même abscisse.
68. Les trois équations (9) , (10) et (11) renferment les six
quantités A , B , A’,‘ B', a, u", ensorte que trois d’entr’elles
- étant données, on peut toujours découvrir les trois autres.
Supposons , par exemple , qu’on connaisse les demi-diamètres
conjugués A',‘ B’, et l’angle u’—a qu’ils font entr’eux, et
qu’on demande les demi—axes A et B. En ajoutant à l’équa—
tion (15) le double de l’équation (14), et retranchant
de (15’) le double de (14), puis extrayant la racine carrée des
deux membres des équations résultantes, on trouvera
A + B H m A” + B” + 2A’B’ sin (u’-—a)]h
A -— B V[ A” + B’“ — ‘2A’B’ sin (u’—— 4)];
d’où il est aisé de déduire séparément A et B, qu’on construira
par le triangle obliquangle. Nous donnerons bientôt une autre
solution de cette question.
on obtiendra la transformée ’
(A’sin’a’— ’cos’u’)_y’“+(A’sin’u—B’cos’a)æ'“=—A’B’. . .(1 8) ,
et cette condition de l’évanouissemeut du rectangle,
A”sinusin u’—— Bz cosœcos u' :: 0,
d'où résulte
B!
tang a: tang a.I :: ÂÎ. .. .. (19).
et conséquemment
À le demi—diamètre
. , B' sera
. . imaginaire , . ou de
la forme B’V— 1; ensorte que l'équation (2L) deviendra
A"y'“ — 'B’“x’“ = — A”B”. . . .(22).
Réciproquement , du demi—diamètre B’ supposé réel , on con—
durait A’ imaginaire et l’équation ._ '*
B”x” —- A’’y” z: '— A"É”. . . . .(25) :
ces équations (22) et (23) sont analogues aux équations tion
Vées (58) pour les axesprincîPaux.
O
tangœ’ := —- -Â,
B B
tangœ = + K. . .(51),
,
ou celles—ci
tangœ’ = -Ë; tangue ... — . .(52);
et pour transformée
_4A2B5 , , Aa+Ba . I
A2 + ÿ a: = -— A’B’, d'où æ’y’= 4
fangœ = .. -Â,
_2Ë
tang 0 :: 1__Ëî A’—B“
A.“v
5sin usin 4+ 5 605.: ces œ'+ 55in 4005 u’-}-5sin u'cos u=0,
i54 ‘ DIAMÈTRÈS
qui est le coefficient du rectangle, égale à zéro : on en déduit
après la division par cos a cas a', '
' 5tangntanga’4—5+5tangu+5tange’=’oz
or, d’après l'énoncé ,
. tang œ’—-tangu
tang(‘ / ___g_:
a)” 3 l '
1+tangœtangu”
et de là 7
5tangntangœ’ + 5 —- 5tangu + 5tàngu’ 0;
ces deux équations donnant
tang«=o, tangœ’=—ê;
on a‘donc pour transformée
.g—;y"= + 5x”’ —— s = o.
En employant les formules données (75), on serait conduit à
la transformée '
5y"’ -g—; .12” — 8 =: 0.
L’équation aux axes est
4)" + se“ = 4
Eæemple II. Rapporter immédiatement l’hyperbole de
l’équation
y“—2œ_y—-æï-{-n=o )
à ses asymptotes : comme l’origine est au centre de la courbe ,
il suffira d’employer les formules
y : œ’sine + y’sine’, x = x’cosq + y’cos u’,.
et on trouVera ces conditions d’évanouissement des carrés des.
variables
cos’n — sin’u + 2 sin a cos u : o ,
cos’u’ —- sin’u’ + 2 sin a' ces u’ = o .,
l \
cbmucvés. 155
dont l’une donnera les deux angles et et u', en obserVant que la
première équation est composée au moyen de a , de la même
manière que la seconde l’est au moyen de u’; la première
donne ' ‘ '
tang a :2 1 :‘: V2 ,
donc 4 v
tanga=1+V2, tangœ’::1-av2z
nous prendrons sin 1' négatif (73) et cos œ' positif : de ces
Valeurs des tangentes , on déduit
' ——
sm‘ — —L+_VE__'
V2(2+v2‘)’ sm- ,/ _
" __l:_‘/_î_
V2c2hv2)_’
l ’ __ . ,,t. 1 0
( cosæ _ —=V2(2+V;3, 008x __ V2 (2_V2),
y*—,2xy+æ=—2y—-l =°:
' 156 DIAMÈTRES CONJUGUÉS.
à un système de diamètres conjugués capables d‘un angle
dont la tangente : l. Les coordonnées de l’origine sont
a : — 1 , b : 0;
tangœ=1, tango/:00,
et on obtient pour équatio_n réduite ,
y” — æ'V2 = 0.
On observera qu’à l’équation de condition sous laquelle le
coefficient du rectangle disparaît, et qui est
tang œ(tang e’— 1) -— (tang u’—1) = 0, d’où tang u=1 ,
on doit joindre celle—ci
taug (a’— a) = 1 ,
1
PROBLÈME nus nucrnrns 157
CHAPITRE IX.
Des tangentes, normales, soutangentes, sounormales
aux courbes du premier ordre, théorèmes généraux
sur ces courbes , et problèmes.
77. LA tangente à une ligne du second degré, est une droite qui
n’a qu’un point de commun avec cette courbe , et qui la laisse
toute entière d’un même côté. La première condition seule serait
insuffisante pour caractériser la tangente; car l’axe principal
de la parabole qui n’a qu’un point commun avec la courbe,
n’est pas une tangente, mais une sécante.
d’où a = u ,'
a: —- 12’
x et _y représentant les coordonnées de l’autre intersection M”,
et a la tangente de l’angle M”M'm. Or la portion M’M” de
la sécante, peut être considérée comme un rayon vecteur dont
l'origine fixe est en M’ ". si donc on désigne par r la longueur
variable M’M”, à raison des différentes positions que peut
prendre le point M” sur la courbe, et par <p l’angle dont la
tangente est = a, on trouve ' ' ‘
y—_y":îsinæ, mé—ac'=rcosç,
et delà
(4)....y:y’-Frsincp, x:œ’—f—rcosç....(5).
Si donc on substitue dans (l) les valeurs (4) et (5) et qu’on
réduise d’après (2) le résultat de cette substitution , on n’aura
plus que deux sortes de termes, les uns multipliés par r“, _et
les autres multipliés par r; ensorte que l’équation réduite
pourra être mise sous la forme '
r(rM+N)=io....(5)z
on tire de la seconde
’ N / Il "
r——M_MM.. .A_uq
THÉORÈMES ET PROBLÈMES. 159
Actuellement si l'on veut que la ligne M’M” devienne tangente
en M’, on imaginera qu’elle tourne autour de M’- en sortant
de la courbe, jusqu’à ce que M” coïncide avec M’, et alors
cette ligne n’aura plus qu‘un point commun avec la courbe
qu’elle laissera toute entière d’un même côté : cette condition
sera remplie, en disant que la seconde valeur de r est nulle,
c’est—à—dire, en supposant N : o. ’
On est donc conduit à ce calcul très—simple : on fera
dans (1) les substitutions (.4) et (5), on omettra les termes
indépendans de r, qui répètent l’équation (2), et on ne for—
mera que les coefficiens de la première puissance de r, dont
la somme égalée à zéro donnera pour la détermination de
l’angle «p entre l’axe AX et la tangente tM’T , cette équa—
tion '
2Ay’ sin@ + B(x’ sinç +y' ces 0)
+ 2Cx' case + Dsinç + E 0059 = o
J’ "‘3’ , __
—- "' By’ + 2C1" + E
5Âÿm(1*Œ')w-CŒ,
,_2Ay’+Bx'+D __ ,
y..y _Êÿl—————+2Cæ,+E(æ æ)....(11),
My’-}-Næ’-}-P=o,
Nx’
’ a=—ñÿi............(15).
sont“: %—;............05L
y — y’ = (x—x'.)..-(xs).
sounorm. = —-— . . . . . . .(17). '
y‘.'7'_
‘ 2Nx’+Q (æ—ç’)...(zx),
2Nx’4—Q
so_unorm. :— Wf....,......q...(;m),
.
(’) On peut appliquer ce qui vient d’être dit à la courbe de l’équation ny' + :c%
+_y + :r =,o; le diamètre FH a pour coordonnée _7' = — à, les abscissesdeg
‘, ay’+cx’+ ex H 2’}...‘.(219\): “
(20g-{-e)x + 2ahy eg
l’axe des 1: sera un diamètre dela conrbe,et l"aXe des y;
tangent à la courbe, sera une parallèle à son‘ cnnjugué. Si l’on
Veut maintenant que la droite , lieu des sommets , soit parallèle
à l'axe des _y, il faudra que le terme en x disparais3e de l’équa—
tion (2g) : on devra'donc'av0ir' 'h :0; et réciproquement, '
lorsque Il sera nul, quel que soit d’ailleurs g , la droite devien7
dra p'arallèle à l’aire des _y. De là résultent plusieurs conséÊ-’
quences curieuses que nous laisserons à tirer. ’
, . a: . . . -
equauzm de la seconde , y =— 5 -— g; les çoordonnéez de l’mterœcuoudç
. _. 7 \ r ' A 1 .
ces tangentes, seront x: 4.1"! , _y=C=-— r. Seront h:-:—- 7-, g=—Z les
. _ \ . ' “l ,,
coordonnées du point G qui est l’intersection de la sécanle y=a: avec
le diamètre FH; m. reportant ces valeurs dans l’équation (28), on ohtieni
:r = a. = ! ; d’où l’on conclut que le lieu des points P est uni parallèle 3
l‘axe des _yi i. ' * ' - ' ' . -
.185 ,rnonriäne ces nmentns; \
y’+ary+bx’+cy+dx+f=o,
‘qui ne renferme plus que cinq coefficiens , et que nou‘s.écri.
“tous ainsi, v
bœ’+dæ+f=o=æ’+%x + -ll:‘,
fi’= ”—"3.
pa
X Pa,
nvr __ E.” v B”
Pa >< Pa’ * Ca>< Ca' _ A’“’
/ ‘ I ‘ '
n , —— n
AD: a,_mt/a+l,
‘ AD’ = a,fl_m \/a—-—-—
" +1,
*
'
175 rnonrtnn nts “mantes, '
Enfin pour le point M", .
- bx"’-}-dxf'+f: o. . . (45).} ’
_ On observera que ces équations (59). . . .(45) étant du pre—
inier degré en a, b, c, d, f, les valeurs de ces inconnues
seront réelles et possibles : après les substitutions de Ces va—
leurs dans (58),,1a courbe de cette équation passera par les
cinq points donnés. Si la courbe doit être une parabole, on
aura égard à la condition a’ — 45:,O , qui servira à déter—
miner l’une des cinq constantes.
« V - L ' . . ‘
d: — 1213 . . .(48),
dont la substitution dans (46) et (47) donne
en observant que m = =m
'y = E p,' êtantHF.
_ Si l’on subs—
AH 5’ .
titue cette valeur de y dans '
i ‘ y’+aæy+bx’+cy+dx=o, ;i
l’équation résultante donnera les abscisses _æ. des interseçfiom
5714 PflonrèMn mas mncnnres ,“
de la courbe et de la droite, et on aura, après les réductions;
. (cm+ d) _
æ=0,’ x-=
b + am + m“' ' ’
' "
.. _ ' ' ')
mais la droite deviendra tangente en A, 81 le seCond pomt
d’intersection vient
. se réunir au point A dont l’abscisse a: = o;
,
on posera donc .
d
b—_;Ï%ï—h=o,
.
don cm+d=o,
et de là on déduit ‘
r-_
LTHÉORÈMES ET PROBLÈMEë. ' 17?)
De plus , à cause de :6: AC 2 l et y = 0, on a la condition
1:1a + du = 0, d’où “d: — bl.
{La courbe doit toucher en C la ligne CT qui a pour équation
' )
J=-""2Ï+Jn»
._m désignant la longueur connue AT : écrivant cette valeur
dans _ V
1 y*+axy+bx’+dx=O, .
ion aura , en remplaçant d par — [71, ces deux abscisses des
intersections de la courbe et de la droite CT,
' ‘ __ l(2m°+bl’— aml) i (bF—- aml’ ) .
a'_ 2(m’—aml+bl“) '
ya+‘w’+213+3:0..............(5),
CHAPITRE _ X.
Des équations du cercle, et de quelÿues propriétés
de cette courbe.
’ y] __ y” ‘ _ '
y + y : m (x+æ)..u‘(l).
et l’expression deviendra
w x N (l/lIl+ nZ/)p
l'n— l"m
-m-(4),l
/
DU CERCLE: 185
en observant que AH+CH =p. Mais on a vu, en géométrie ,
_que ‘
, 1m’
,_ ,,__ m" _
l’=AR_r_r,, [mon __r_r,,,
donc l’expression (4) devient
pr’
x = AR 2
r’—-— r" ’
et retranchant p de part et d’autre pour avoir CR; on trouve
en ;;7%....45>,
ce, qui est effectivement la distance du centre C au point de
concours de la ligne des centres AC et de la tangente TT'j
donc, etc. Cette proposition a été“ËiËmontrée dans les Réci—
proques , par le seul secours de la géométrie.
Supposons r'=r”, alors la distance AR est infinie; d’où
l'on conclut que la droite qui joint les centres des cercles
égaux, est parallèle à la droite R’R” qui passe par les points
de concours des tangentes aux cercles inégaux , considérés
deux à deux, proposition curieuse et qu’on peut démontrer
directement. '
. Théorème II. Si aux trois mêmes cercles, pris deux à
deux: , on mène des tangentes alternes, comme tt', ces tan-—
gentes rencontreront les lignes des centres en des points a',
b’, c’, et on a ces propriétés, 1°. les points 0’, a', R; a’, b’,
R’; c’, b’, B" sont en ligne droite ,- 2°. les droites Aa', Bb’,
Cc' se croisent en un point unique (fig. 87).
1°. Il suffira de démontrer la Première proposition à l’égard
des trois points c', a’,B.. . -
Soient x', y' les coordonnées de c', 1‘"; y” celles de a'
rapportées au point A comme origine : on aura pour l’équation
de la droite passant par les points x’ ‘et y’, .22” et _y”., '
” .i
J’ _ y—m(æ
/_y’—y _/
30)
186 pnorn1rîrés’
Pour avoir l’abscisse du point dans lequel cette droite coupe
l’axe A.R , on fera y = o, et on trouvera
a: =-Ï_I__,_”y.......(l);
xll_ 1:, Il
.7 _.7 '
or, dans le triangle Ac’d, on a
Ad = .z:’ = Ac'.cos a, c’d = :: Ac’sin a,
menons les rayons Bk, Ak’ aux points de contact k, k’; les
triangles semblables Ak’c', Bc’k donneront
Ac, __ m7’
— r+r’ ’
en conservant les dénominations du théorème précédent; donc
_ m1’ ,_ mr’
:1;’ _r+r’cos" y'—r+r’ sin a ',
on trouve pareillement
,, m" , ,, nrI! . , , nrIl ,
V x =P + r+rll —cosœ ) y :——s1nœ
r+rll ) Ca=V r ri].
mr’ n Il
=- pair—‘7‘?
(nA' — A’A”) ,
»‘ ,
sin 4
en remplaçant coa a , cos a', s-iïu,, par leurs valeurs trouvées
nu CERCLE. 187
dans le théorème précédent. Qu’on remette dans cette der——
nière expression, pour A' et A" les valeurs que ces lettres re—
présentent, et on aura enfin
' y:—;,_æfl(x—x');
,.
188 . raovnuärés /. .
Désigrtons par C,’ , C, , C3. . . C,l les côtés consécutifs du poly—
gone régulier, par le centre men‘ons au côté C, , par exemple,
une parallèle que nous prendrons pour l'axe des abscis”ses, le
centre étant l’origine des coordonnées; par le point donné conce—
vons des parallèles aux côtés consécutifs Cu C,...C,l , parallèles
que nous indiquerons par c. , c, , 03. . . .c,., et par le centre
des perpendiculaires à ces parallèles que nous désignerons par
P,, P,,‘ P3.. ..P,,. Si l’angle au centre du polygone, est a,
angle qui est le même que celui de deux perpendiculaires
menées du centre à deux côtés consécutifs, les angles entre
les perpendiculaires P, et P,, P, et P3, P, et P4, P, et P,,
seront a, 2a , 5a. . . . : or l'équation d’une droite, étant (24)
d :ysina + .rcosd,
Pn_,=ÿcos(n—1)a—l—xsin(n——1)a
sont les plus courtes distances du centre aux parallèles c,,
0.., etc. Maintenant il est clair qu'en désignant par r la dis»
A ou CERCLE. 189
' tance du centre aux côtés du polygone , les différences r —- P, ,
r—P, , r— P3, etc. seront les distances du point x, _y à
ces Côtés, et, d’après l’énoncé, on doit avoir
(r—P.)’+(r—P,)’+(r—Pg)’+. . . .+(r—-Pn)’ = R“. . . . (1),
R étant une ligne donnée. Or dans le développement du pre—
mier membre, le coefficient de r’ est 71: Celui de 21_'y est ’
Céllli de x” est
sin’a +sin’na +. . . .+ sin’(n— 1)a.
D’abord il est facile de traduire les coefficiens de y’ et de
:c’ en cosinus d’arcs multiples : à cet eii’et, on Partira de ces
formules connues
\/
\
190 mornnära’s
Si l’on pose '
S =sina+sinza+sinäa +....+sinna
S': 1 +cosa+ cosza+cosäa+.... +cœna,
on aura
. (n+ 1 . n . n+1 u
sm a5m — a sm ces - a
S = 2 ) S,_ 2 2
sinàa 5inàa‘
(‘) On a
S = sina[l+cosa+cosna+.....+cos(n—x)a]
+cosa[ sina-f-sinnn+.....+sin(n—x)a]
= sina(S'——cosna)+cosa(S—-sinna}, '
S’ = l.+ cosa[1+cosa+cos 2a+.....+cos (n—1) a]
—sina[ , sîna+ sinua+.....+sîn(n—1)aj,
== 1 + cosa(S’—cosna)—sina(S—sînna),
c’est-à-dire ,
S, (a 8 m
. ’ 21 ..) =.—
. —r 1
assxnnac052a+l
.. ._ cos(n+l)a,-
or,
l—cos(n+l)a=x—cosu-—:Æ=nsiæ (“j“)a;
donc
DU CERCLE. . 191
l
L’équation (1) devient donc,
. n n—I . n . —-1
a 2r
Slfl - 0008
2 2
SII] - a 8113
2 2
)a
71T - i ]' 27 ' l x
sm;a \sm;a
+ n+sinna cos(n-—r)a} 2_+_sinnasin(n— 1)a .
2 2sina y sina 13’
n sinna cos n— 1 a
+{— ) }x’=R°....(2);
2 mura
. r . r 1 . n r
S’sm’-a-ÿ-Ssm—acos-a=sm’( + )a;
2 2 2 2
et enfin, ' '
. n+t
I sm*( 2 ) a
. I 9
S’ sm-a+Scos—a=
2 'À . I
sin-a
, . ' 2
De la première, on tire facilement v ' _/
! ! . n 1 n 1 w
sm(Î)acos(Ï)a
S’cos-a—Ssin -a= 1—....(2).
2 2 . r ,
sin-a
2
. .
Multnplranl . ;1 a, et (2) par ces ;r a , et a;ontant-,
( I ) par sm . .
on obtient
’ . (72+!
mn ,2 ) a cos n
; a
SI
. I
I sin—a
2
C HAPI T R E XI.
ya 2 %(An _ æa)’
Y“ _ A” Y — A Ï
'
‘\
et il n'est tel _qu‘autant que les deux droites selcoupènt},
puisque , dans la multiplication ,' on a regardé les cooxdonnéu
:v et y de chaque droite, comme étant les mêmes, epsprte
qu’elles ne sont plus relatives qu’à leur intersection. Mais ce
‘p‘oiut doit être sur la courbe; donc ses Lcoo’rdonnées doiœiæt
15. .
196 PROPRIÉTÉS ‘
satisfaire à son équation
7 B’ 3‘ __ -Ë !_ I
y’=—P(A —x’)_.— A,(œ A),
. y’ B"
‘1‘“ = ‘ X2;
conséquemment
1 . B3
“G. : — Î....(l),
taigv=____%Æ+___n 1:2
(A B )\/n Ai
2__ 2 ___.
1 — Γ
Cette expression est celle de la tangente entre les deux
diamètres conjugués égaux de l’eilipse (Ïi7) :ïd'où on peut
conclure que les diamètres conjugués égaux de l’ellipse, sont
respectivement parallèles aux cordes menées des Jéux extré—
'mite’s du grand axe dl’extrémite’ du petit. ’ /
2°;,En imitant la. même analyse pour le second axe ’ on
trouve que
AB
tangV' = . . .(2)
.=_t' VA2—B=....(s), , .
ensorte qu’il n’existe de foyers que sur le grand axe. Substi—
tuant cette valeur de c dans les expressions , on_a
, æVm—w‘
A+*“‘Η" 7“: " œVM—P
“’X_?
ces distances z. et 2/ se nomment rayons vecteurs. On obser—
vera que les valeurs de z et z’ sont rationnelles au moyen de
l’abscisse 1:; c’est même d’après cette condition que quelques
auteurs ont déterminé les foyers.
7
103. Problème III. Enoncer l’equation de l.’ellz’pse au moyen
du paramètre, ou de la double ordonnée passant par le
foyer.
Pour trouver l’ordonnée qui répond au foyer, ou sup—
posera
x=A-—c=A— [/A“—B‘
1
(A—B)x
en :*FK ::KP : KM',’ d’où ou = A I
ÈE_1‘Æ 3* ._X
NK‘"MK °“ m*a'
d’où
. a
Y = g—j—a.....(n).
On a aussi ces rapports
KP_AP_Mn X X—x
m—mmnn °“ :— a'_’
d’où
(113
X = a_ü,....(5).
.a+———sztzg:
Si dans cette équation, on fait y=o, on aura l’abscisse a:
du point (l’intersection de la courbe avec l’axe AX , laquelle
sera .
æ=a—a’=B,
'DE' L’ELLIPSE. 205
et pour a: = o , on trouvera
_y = a + a’ = ’A,
parce que nous désignons toujours le demi—grand axe par A,
et le demi—petit ne par B : on observera que , pour la réalité
de B, il faut qu’on ait a,’ < a, ou MN <MK : ona donc
(5)...
A+B
a:-—g—,
. a:
, A—B
2 ....C6),
AG+AI=AF+A’F=AA’:
chaque point M est éloigné du foyer F d’une quantité PD,
et parce qu’il peut encore être déterminé , en coupant chaque '
ligne PD par un'arc de cercle décrit de F', comme centre,
avec le prolongement Pd, comme rayon, on a
MF +MF'=PD + Pd= IG=AA’= 2A.
On remarquera que les lignes BL, rl sont tangentes à
l'ellipse aux extrémités T et t des ordonnées qui passent par
les foyers.
y—y’=%%—;(æ-T—æ') . . . . . ..(2);
I
en remplaçant y” par sa valeur Ë; (A’-— x”) tirée de l’equa«
don de la courbe satisfaite par les coordonnées 1/, 3/. Le demi—
grand axe CA est donc une moyenne proportionnelle entre CP
et CT. ' , ,
5°. La soutangente pour le second axe , est pt qu’on obtien
,dra par la comparaison des triangles semblables tpM’, M’PT
qui donnent
' y’xIa —Bn__ym'
tp— PT _A‘—æ"— '_y’
’Â'V(fl”‘.‘x’)u 4 —— r
DE L'ELLIPSE. 207
Or 33’ diminuant depuis .r’ = A jusqu’à x’: o , le dénomi—
nateur de a augmente, la fraction diminue , l’inclinaison des
élémens correspondflps de l’ellipse sur l'axe des abscisses , va
donc en diminuant depuis le sommet de la courbe jusqu’à
l’extrémité du second axe. On remarquera que la tangente a
est négative pour des abscisses æ' positives, et positÎVe pour
des abscisses x’ négatives : ce qui doit être puisque, dans le
premier cas , les angles de la tangente avec le grand axe, sont
obtus , tandis que, dans le second, ils sont aigus.
On trouwra facilement que les coordonnées du point pour
lequel a : 1 , sont
- A2 B2
z’:i-————_—.,
\/A’+B’ y'=i——-—__._—‘
t/A’+B“
lesquelles, pour le cercle et dans l'hypothèse A: 1, de—.
Viennent
1
( , x
' -—
—
y —- +
— _ --—-:.
,,
qui sont alors le cosinus et le sinus de l'angle de 50°.
De l'expression (5) de la sounormale
B’æ'
PN — — 17;
on déduit (fig.gS)
. ' B“ , A“—B“ ,
1—;1‘ —f—ÂT—Œ..n.(8),.
_
B2
y. : K_2(A.2_Jcn):
y—f=—%ÿu—m.
et, après la réduction , ‘
A”y”+ B’æ" : A’y'y + B’æ’.r = A'B’,
équation de la tangente au point 92’, y’ (105), en observant
de plus que le point 30’, y’ est sur la courbe.
108. Problème VIL Enqncer l’équation de l’ellipse au
moyen des coordonnées polaires (fig. 100).
Aux données d’une abscisse et de l’ordonnée correspon—
dante , on peut substituer celles d’un rayon vecteur et de .
l’angle qu’il fait avec une parallèle à l’axe des abscisses ,
menée par le pôle fixe de ces rayons.
on L’ELL1P3E. nu
\
Soient p et q les coordonnées CD, DE du Pôle E des
rayons vecteurs EM, <p l’angle de EM aVec une parallèle Ea
à l’aXe AA’, 1:: CP, _y:: PM, les Coordonnées rectangulaires
du point M : on a trouvé [chap. II] , (25) , ces relati0ns‘
æ=p+zcœç, y=q—l—zsinqa;y
tés valeurs portées dans l’équation de la courbe
A’y" + B’æ’ : A’B‘
donnent
A’sin"’æ M + 2qA’ sin <p z + q’A’ = o.. ...(1).
-+ B‘cos’tP + 2sz2 cos p + p”B’
-— A’B‘
Les hypothèses p :0, q = o portent le pôle E au centre C
de la courbe, et donnent
‘ ÀB
Z —"‘—‘ ,
- y\/A‘l sin2 9 + B’cos’ @
eXpression qu’on peut conclure de celles qui ont été trouvées
(63). Pour A = B _, on trouve 1.): A pour toutes les valeurs
de p , cequi doit arriVer, parce qu’alors l’ellipse se change
dans un cercle.
On Observe qu’en égalant à zéro le terme tout connu de
'équation (1) , on porte le pôle sur l'un des points de l’ellipse ,
puisque ce tenue tout connu n’est que l’équation de l’ellipse,
en y changeant à: en p et y en q. Si de plus on dit que les
deux valeurs correspondantes de 2. sont nulles , le rayon vecteur
sera tangent à la courbe , et‘let valeur correspondante de 9
sera celle d’une tangente avec l'axe , en un-point p , q de la
courbe. On trouve ainsi *
B“ 36’
tang @' = — K; 37 l
' 1 .. ‘
.
‘4.
212 ’ PROPRIÉTÉS
les réductions ,‘ ,
A2. = :1‘. (cz cosç—B’),
d’où l’on tire , 'à cause du double signe , _ l ,
B9 B1
&= - -———
A—ccosç
, z = ——
A+ccos<p
; .)
or comme c est < A , et ces 42 < 1 , la première valeur de z
est toujours négative et se rapporte à la demi—ellipse infé—
rieure A’B’A , tandis que la seconde se rapporte à la demi—
ellipse supérieure. ' ,
On observera que° pour les valeurs de cp,depuis ç=o }usqu’à
9 :‘r, le rayon Vecteur
B“ {
‘z—A+ccoscp )
4 ' C 4
en représentant, pour «abréger , K par &
Corollaire II. Menons par le foyer (fig. 100) et\souslun
angle quelconque 6 avec le grand axe , une droite aa’, et soit u '
l’angle entre_ le rayon vecteur FM et aa’, on aura 0 = u —6;
et par la, substitution de cette valeur de p dans l’expression
-de 'z}(corollaire I) , on trouvera - " '
1-}-ecos(u—O)_I
1
*. Z ê(*—*’)f’
y’. «' ‘ .
DE“L’ELLIPŒ; , 515r »
\
mg. Théorème VI. Le lieu des extrémités des V soutangentesi
.
polaires de l’ellipse, est une ligne droite perpendiculaire au
grand axe (fig. 101). -
F étant un foyer de l'ellipse , si par F on mène une per—
pendiculaire Fr au rayon vecteur FM’, et une tangente en ce
point jusqu’à la rencontre en r , la ligne Fr est la soutangente
polaire de l’ellipse. ‘
' En prenant l’origine au centre C delà courbe, et désignant.
par œ’, _y’ les coordonnées du point de tangence M’,, on a.
pour équation de FM’
y := y, (a: — c) ;
C'-— .’L‘
, ‘=‘x—-c" a_—Â_"ÿ
Àt .V __ a-—u __ A’y"+ B“x”-—— B’cæ' .
e — 1+au—A°c_y’—(A’+Ë’)Œ'y"
et d’ailleurs ,
ce:Aa __Ba;
donc ‘
A’B’——B’cx’ B“ (A’-—- en“) B‘ "
v='Àî,_z,‘7:-‘r—a——j—= -—;.....(1)o
y—cæy cy(A——cx) cy .
Or en passant du foyer F au foyer F’, et cherchant à calculer
la tangente V’ de l’angle F’M’fl‘ , il ne peut y avoir de diffé»
rence que dans le signe de c qui devient — c; ainsi en chan
geant dans (1) c en —c, on .a
- Bu ' .
7 'V’ —-
..__ cy,.y...(l).
_ —-.
' DE L’ELLIPSE. , 215
Ces deux tangentes V et V' étant égales et de signes contraires ,
les angles FM'T, F'M’T sont supplémens l’un de l'autre : on
a donc ‘
FM’T + F’M’T = 5;.
mais d’ailleurs
F'M'T + F'M't : 7r'.
donc FM’T = F’M’t.
Corollaire I". La normale M’N divise en deuxpartics égales
Iangle F’M'F des deux rayons rvecteurs.
.Corollaire II. De cette propriété on déduit une construction
graphique très—simple pour mener une tangente {à l’ellipse,
1°. par un point donné sur cettecourbe‘, 2°. par un point
extérieur.
1°.v On mènera (fig. 105) les rayons vecteurs F’M’, FM’ au
point M’ de tangence, on prolongera le plus grand F‘M’ d’une
quantité M’K:FM’ ; joignant K et F, la ligne M’T perpen—
diculaire à FK , sera la tangente cherchée.
En effet , l’angle FM’T = TM’K = tM'F’ ', on est donc ra—
_mené à l’égalité des angles de chacun des rayons vecteurs avec
les portions M’T , M’t de la droite tT qui est conséquemment
tangente en M’.À ’
On peut encore s’assurer que la droite tT ainsi déterminée
n’a que le point M1 commun aVec la courbe; car pour tout
autre point t de cette ligne, aussi près qu’on vaudra de M', on
a toujours
F’t + tK > F’K > F’M’ + M’F > 2A ;
donc le point I: ne peut être sur l’ellipse, et il ne peut être
intérieur à la courbe. '
2°. Soit 13 fig. 104) le point duquel on doit mener une tan—
gente à l’ellipse. Du point F’, comme centre , avec un rayon
égal au grand axe 2A, on décrira un arc de cercle; du point
donné t, comme centre, avec un rayon égal à tF ,. on décrira
un autre arc de cercle qui coupera le premier en K; menant
F’K, le point M' d’intersection sera celui de. tangence, et
joignant M’ et t, la droite M’t sera la tangente demandée.
216 PROPRIÉTÉS ,
En elfet, d’après la construction, tF= tK; de plus
F’M'+M’K :2 2A, F’M’+ M’F:2A; donc M’K=M’F;
conséquemment les points t et M’ sont à des distances égales.
tF et tK , M'F et M’K des points F et K ', la ligne tM’ est dont:
perpendiculaire sur le milieu' de FK, et les angles FM’T ,
F’M't sont égaux ; donc la droite ’tM’ est tangente. Cette cons—
truction n’exige pas que l’ellipse soit tracée, mais seulement
qu’on ait ses axes. On observera que les arcs décrits des points F’
et tse coupent en un autre'point K’ qui , joint à F’, donne un
second point M” de tangence , et une seconde tangente tM”T‘.
[Voyez les solutions (84)].
Il serait nécessaire et facile de prouver que , pour tout point
situé soit intérieurement, soit extérieurement à l’ellipse , la
, somme des distances aux foyers est plus petite ou plus grande
que le grand axe. .
Corollaire III. On sait qu’un corps élastique qui vient
frapper un plan dans une direction oblique, se réfléchit, en
faisant l'angle de réflexion, égal à celui d’incidence; et que
les rayons lumineux, sonores et calorifiques, sont composés de
corpuscules élastiques. Donc, si l’on suppose que l’un de ces
rayons parte de l’un des foyers de l’ellipse , et vienne frapper
un point de cette courbe, ou la tangente en ce point, il ira.
se réfléchir à l’autre foyer; ensorte que si l’un de ces foyers
est le centre d’un faisceau de rayons lumineux, sonores on
calorifiques, tous ceux qui iront frapper les points de l’ellipse ,
se réuniront à l'a_utre foyer : cÎest de cette belle propriété que
les foyers ont tiré leur nom.
111. Problème VIII. Si l’on mène à tous les points d’une
ellipse des tangentes , et que de l’un des foyers on abaisse une
perpendiculaire sur chacune d’elles , on propose de trouver
le lieu des pieds de ces perpendiculaires,
L’équation de la tangente en un point x', __y’ de l’ellipse 1 est
A’y'y + B‘x'x; :: A“B’5
’15‘Ë L’ELLIPSË.’ . 217
l‘équation de la, perpendiculaire menée du foyer sur la tan—
gente , est '
A”y'x — B’æ’y = A’c_y’ ;
éliminant æ’, _y’ au moyen de ces équations (et de celle de
‘l'ellipse rapportée au point 35’, y’, on obtient cette relation
(y’-*—æ’—oæ)’—A’(æ’— 201: + c“) ——B’y‘= o,
l .
qui revient à la suivante ,
_y4 + (2x’-4 2cæ — B“) 31‘
‘ +(œ‘r—20x3—B’x’+2A’cx—A’c’)io, ' 0
ou à Celle-ci , _ , .
y4+ (2x’— 2cx -—B’) _y’+ (x’— A“) (a: - c)’ : o:
en résolvant cette équation par rapport à _y’, on trouva que
la quantité sous le radical, est le carré de 20x + B’— 2A”;
d’où l’on conclut
__ —2x’+2cx+B“.i(2cx+B’—2A’) ,
y—,i\/ , .]L,
2 .
c’est—à—dire , en tenant compte du double signe sous le radical,
y = :t |/[—— 2x’+ 401: —- 2c“] ,
y = :t ,
Ct=B—l—a—n-'--y':Iï
y’ y’
de là on déduit
a:—
e: x'
A9 yl’
(Ag_Bs)ya+
2B’A 'y=0......(5);
0 (A2__ B2) 3
“> “<—
Ainsi les_ limites de l’angle sont (101) l’angle à l’extrémité du
grand axe et qui s’appuie sur le petit , et l’angle à l’extré—
mité du petit axe , et qui s’appuie sur le grand. D’ailleurs ,
les deux intersections n et n’ résolvent pareillement la 4
‘ question. '
1 1 7. Théorème XII. Si dans l’ellipse , on' mène des extrémités
151: L’ELUPSE. V 225
M' et N de Jeux: diamètres conjugués CM’, CN desperpendi—
culaiæs au grand axe , les triangles CM'P, CNp seront équi—
'valens (fig. 109).
. On sait que le diamètre nN est parallèle à la tangente t'I‘
menée à la courbe par l’extrémité M’ du conjugué : ainsi
les triangles PTM’ et pCN seront semblables et donneront
la proportion ' t ‘
/
donc
1:" = A’i -— v‘ ,
c’est—à-dire ,
Conséquemment , /
CM’ >< M’I :M’T >< M’t = 631” , d’où M’I =ÎW.
' ‘ I
a’ = sin m'
I ' \
au’:=-—KG.....(4),
relation analogue à celle que nous avons trouvée (106) entre les
15
026 PROËRIËTÉS DE L’ELLIPSE.‘
tangentes des angles faits par les mêmes droites avec l’axe 2.1.
Donc encore , si a = si, ce qui suppose w = 7 , on aura
a’=u’, c’est—à—dire o’:y’. On déduira encore de là un procédé
analogue à celui donné (106) pour mener une tangente en un
point d’une ellipse rapportée à des diamètres conjugués.
’121 . Pour avoir un système de diamètres conjugués capables
d’un angle donné , sans connaître les axes , et en ne supposant
que le centre de l’ellipse , il faudra , sur un diamètre quelconque,
décrire un arc capable de l’angle donné , par l’intersection de
l’ellipse par cet arc , on mènera aux extrémités du diamètre ,
deux cordes, et par le centre des parallèles à ces cordes , qui.
formeront le système de diamètres cherchés. Si l’arc de cercle
ne rencontrait pas l’ellipse , on ferait la construction sur le
diamètre conjugué , ou sur le même diamètre , en prenant le
supplément de l’angle donné; et si , dans les deux cas , l’arc de
cercle ne rencontrait pas l’ellipse, le problème serait impos
sible , car l’angle entre les diamètres conjugués n’est pas entiè—
fièrement arbitraire. On a vu (75) une solution analytique de
cette question, qui ne suppose que la donnée du centre de la.
courbe : on peut d’ailleurs la ramener âi celle qui a été résolue
(116), puisque connaissant le centre, on sait trouver les axes.
raormÉrts DE LA PARABOLE 227
CHAPITRE X11. ’
Propriétés de la parabole.
\
a'_2_P
y_2A(2Aæ __ xæ)...2p(x
__ __;‘EÏ
2A , \
on voit que la première courbe n’est que la seconde pour
laquelle A: 00 , puisqu’alors l’équation de l’ellipse se change
dans celle de la parabole. r
15. .
as8 ‘ ** _raormérfis
125. Théorème III. Le seul _fimyer qui reste en passant de
I’ellipse a la parabole, est sur l’axe symétrique de cettç
courbe , à une distance du sommet, égale au. quart du parai
mètre (fig. 11’o). ‘ *
Nous avons trouvé (102) cette expression de l’excentricité de
l’ellipse, ' ,2
c = \/A’ 4 B“;
si l’on veut compter c de l’origine de l’ellipse , la plus voisine
du foyer que l’on considère, il faut écrire
À—-c=A—— VAn—B“,
a: A — \/A(A—p):'
si l’on développe le radical suivant les puissanœs décroisÂ
sautes de A, on trouve
——-——— 1
\/A<A—p> = A -—-%p +( *> ;;+ etc'_
Ainsi , ‘
qc’:èp-—( )â+etc.;
:-
sans radical , au moyen de l’abscisse, propriété qui sert encore '
à définir la position du foyer. ' ’
Corollaire. Si perpendiduldirement à l'axe des abscisses
(fig. 110), et -à_ ,une distance AR): AF: 5 de l’origine ,‘
on mène une droite SQ , il est clair que la distance MN de:
.}chaque point de la courbe à cette droite, est
' ‘
E + a: : FM.’ ',
2
La parabole Ïouit donc de la propriété d'avoir chacun de ces;
points autant éloigné du foyer‘F que d’une droite SQ que
nous nommerons directrice, dont l’équation se déduit encore,
de celle de la directrice, de I’ellipse trouvée (109) , sous
l’hypothèse A:oo; car alors on trouve X=p pour veiÏeur
fle‘l’abscisse comptée du foyer , ce qui revient à l’abscisse ‘
)
FR..AR+AF_2+/2_p,
z’=y’+( —51
et, d‘après l‘énoncé,
z = a: p— :
+ 2
on tire de ces deux équations,
y“ 2 2px ,
équation de la parabole qui jouit exclusivement de la pro—
priété énoncée.
129. Problème III. Énoncer l'équation de la parabole au
moyen des coordonnées polaires (fig. 115).
DE LA PARABOLE. 231
Si, comme nous l’avons fait dans l’ellipse, on pose
æ=m+zcoso, y:n—l—zsinç,
et si l'on substitue ces valeurs de J: et y dans l'équation de la
parabole :
y” = 2px ,
on trouvera pour résultat
_y ‘- y’ = 5, (x—æ’), d’où a = %;
y—- y’ =-—%(x—æ’)s ’.
3°. pour l’express‘lon de la soutangente ,
soutang :: — : -— 2x’;
p ' : ‘
‘4’. pour l'expression de la sounormale ', '
sounotm = E—yî = p.
3’
L‘équation de la. tangente , après la mûltiplication par _y’, et
DE LA massent: 235
la réduction au moyen de _y’2 2 2px’, prend la forme
.ys’=r (æ’+æ).
qui se change dans celle de la courbe pour x=æ’, _y=y’,fi
ce qui doit être. -.
La valeur de a est propre à faire connaître l’inclinaison
sur l’axe des abscisSes des élémens consécutifs de la courbe.‘
Pour y’=o, on trouve a: 00; donc la parabole rencontre
l’axe des abscisses sous un angle droit. L’ordonnée _y’ aug
mentant , a diminue : ainsi les'élémens de la parabole tendent
à devenir parallèles à l‘axe des abscisses , ce qui n’arrive que_
pour x’: 00, d’où _y' = 00 et a:o.
L’expression de la soutangente (fig. 114) savoir:
.‘
PT=—2æ'=—2AP,
doit être portée de P vers T, en sens contraire de l’abscisse .15’,'
portée de A vers P ; ensorte qu’ayant pris AT=' AP, on joint
le point T au point M' de tangence par la droite TM’ qui est
la tangente cherchée.
On conclut de l’exPression de la sonnorrfiale PN , que
cette ligne reste de même longueur et qu’elle est toujours la
moitié du paramètre, quelle que soit la position du point .M’.
dans V, on trouVera
B E
‘ æ:——%—Ë—.....(2),
et des limites parallèles aux _y et aux 1:, données (chap. IV) par
2 (BD—2AE)x + D“ -—- 4AF = 0.3...(5),
2(BE—2CD)y + E“ _ 4CF = 0.....(4).
En effet, ayant construit (fig. 116) les demi—diamètres (1)
et (2) , représentés dans la figure par 1 et 2, et les limites
AB et DC données par les équations (5) et (4) , limites qui
sont des tangentes à la parabole en A et D, ou abaissera
du point A une perpendiculaire AE sur le diamètre 2 , et du
point D une perpendiculaire Df sur le diamètre «1; puis joi—
gnant le point A avec le milieu M de BE, et le point D aVec
le milieu m de Cf, l‘intersection S des droites AM et Dm,
sera le sommet de la parabole. Pour le démontrer, soif menée
par S la parallèle SS’ aux diamètres 1 et 2 , laquelle rencontre
en T et t les tangentes en A et D; comme on a pris BE=2EM ,
on aura TP:2SP, c’est—à—dire, la soutangente double de
l’abscisse du point A; et comme d'ailleurs les coordonnées
356 PROPRIÉTÉS
.SP, PA du point de contact A, sont rectangulaires, le point 8’
est le sommet de la courbe. Pareillement‘, à cause de fC=2fin,"
on aura pt = 2pS.
’ Connaissant ainsi le sommet , et conséquemment la direction.
de l’axe principal 85’, parallèle aux diamètres 1 et à ,. on.
pourra facilement trouver le foyer de la courbe : il suffira fl,-k
à cet effet, de mener le rayon Vecteur du point A, c’est—à—dire ,_
Par le point A une droite AF, faisant avec AT un angle égal
à celui de Af avec AT’ : cette droite , par sa rencontre
a,Vec l’axe de la courbe qui est connu, déterminera le foyer
F cherché. Ayant ainsi le sommet et le foyer, il sera facile
de tracer la courbe soit par points , soit par un mouwmenÿ
continu.
Corollaire IV. Le rectangle MP><AP: aire MTP‘ (fig. 1 17),"
/
puisque l’aire du triangle TMP:MP >< 3;.
CHAPITRE X111.
Propriétés de Hyperbole.
En
y“ = P (x’—2Ax),
Bu
ya = Âî(xa+2Ax)s
et on en tire » , ;
B4
y’=F,
. ‘
don
B’
y=-K=p,et
B* '
par cette substitution, l’équation de l’hyperbole devient
y“= % car—A“);
16 . .;
244 ‘ . ' rnormÉrñs
On a aussi pour l’origine placée à l’un des sommets de la
courbe ,
y“ = % (x’—2Aæ).
I P = A
AB
2 = + 4—:- . ....(2):
|/B" cos’ 0 —A’ sin” 9
246 gnornrñrÉs
cette valeur de 2: n'est réelle que pour
B’cos’ p > A’ sin“ <p ,’ d’où tango < .‘t 31—;
conclusion déjà obtenue (65).\ Pour A’sin’ç :. B’cos‘p, on a.
z :00. En égalant à zéro le terme tout connu, en porte le
pôle E sur l’hyperbole; et si l’on écrit que la seconde valeur
de z est nulle comme la première , le rayon vecteur deviendra
tangent à la combe en E. On trouve ainsi
z=o, z:2qA’sinç—.2pB’cosç=0,
d’où
B“ p B2 .12'
tango—P.ê_—P.ÿ,
'y — y’ = %(æ—x’)...(r);
I DE L’HYPERBOLE.‘ 947
2°. Pour celle de la normale ,
2 I
I A I
5°. Pour_yl’expression
—- y = — de la sontangente ,
soutang. = — . . . . . . . . . ...(5);
4'°.enfin Bzæ,
a: Kîÿ'............(5),
aa’ = % . . . . . . .(5);
pour le produit des tangentes des angles entre les cordes AM; o.
A’M et l’axe des abscisses; donc si u' = a’, nécessairement
a: a; conséquemment la Corde A'M étant parallèle au‘demi—
diamètre CM’, la tangente TM’ sera parallèle à la corde sup—
plémentaire AM.
Cette propriété fournit pour 'mener une tangente à l’hyper—
bole en un point donné sur cette courbe , un procédé exac—
tement analogue à celui que nous avons prescrit (106) à l’égard
de l’ellipse. '
Le point de tangence M’ est sur une hyperbole décrite
sur CT comme grand axe, et dont le rapport des axes estîB
y = -— —— ( m-— e )’
:c'—c
et pour équation de la perpendiculaire Fr à FM’,
y := c ,
— x, (a: — c) ;
. .7
après la substitution de cette Waleur de y dans l’équation de
DE L’HYPERBOLE.‘ ‘249
la tangente à l’hyperbole (142)
\’VA’/_y'y — B”æ'æ = —- A’B’,
ontrouve .
æ=ê—=:t i.—.;
c VAn+BA
.. = :22,,
0—1 .
tans V, }= + cÿ.
B“
ya = B2
E xa __ Bu}
3” = p “7’;
ces deux valeurs de y“ ne\\sont égales que pour au: 00 ,
puisqu’alors on peut négliger le terme B“ dans l’avant—dernière
équation. Il est essentiel d’observer que l’équation des
totes diffère de celle de l’hyperbole, par la suppression du
terme tout connu dans cette demièrel ("‘).
Nous avons reconnu (73) que les diamètres égaux de l’ellipse
étant prolongés;sont des asymptotes de l’hyperbole , et ré—
ciproquement. ' '
(') Si l’on multiplie entre elles les équations (1) des asymptotes trouvées
(41) , on obtient, après les réductions, cette équation
BDÉ—CD*—AE* _
Ay*+Bx_y + Cz’:o;
’ 2(qA’sinç—pB’cœç) M _ _
z + A“sin”ç—B°cos’<p z+A’sin“ç—B’cos’çf°'
Mm : M’m12PM : PT = æ+æ
PT __
-" œx + 2A1:
“li—+7:
comme on le trouée en remplaçant x’ par A + x dans l‘ex—
'a 2
_ æ —
y. = à. (xx+2AŒ)-nu(l)a
où p :22: (159)» devient
y“ = lΑ,;<A+ac>.}Pr;
donc
y=i<A+x>Ux-fil=
ontire.delà
_ pyâ(A+œ) '_py'(A+œ).
y—A(æ+r’)+p(A+æ)_ kA+lx '
après avoir fait x'+p = k , A + p = 1. Cette valeur mise
en place de _y dans (1) donne , après avoir posé
AÏ{
T: A "’
na:—PÎZ“;
77),:
cette équation
114+ 2A 293 + 4Am 1:” + 2Am? æ — A’n‘ = o,
+ 2m + m“ ' —- 2An’
-.—n2
BNZDO::MN:MO,
d’où
DO-'—BN:DO::MO—MN:MO=%-Ê—?.
en observant que
MO—MN:NÇ=NP+PO=C+x.
CHAPITRE XIV.
De la génération des lignes du second degré par l’in
tersection de deux lignes droites; de quelques
propriétés des tangentes, et applications de la
doctrine des projections à la recherche des prin
_cipales propriétés de l’ellipse.
B<A, B>Ai
l’ellips'e sera donc décrite sur son grand axe, dans le premier
cas , et sur son petit axe , dans le second.
La droite A’M s’inclinant de plus en plus , viendra enfin
coïncider avec A”A, et u' devenant zéro , on aura «:00 ,
c’est—à—dire qu’alors AM se confondra avec LL : ainsi A est
in point de la courbe : on en dirait autant de A’.
"I—
..F
et de là
\ -——-n ———1
Cm + Cn = (1 — u')A“;
désignant donc par A’ et B’ les demi—diamètres conjugués
Cm , Cn, et observant que —m’A’= B“, il viendra
A” -l; B’“ = A’ + B“,
propriété démontrée (66).
Le calcul est absolument le même pour l‘hyperbole , sauf
le signe du produit «4’, et, pour cette courbe, on est con—
duit' à la. propriété
Al. __ B’s. : An __ Ba’
démontrée (72). *
Les valeurs (4) et (5) de Cm :: A”, Cn =B'“ donn‘ent
A, = A, /<_1___”+ “—ü
B, = A \/__n+_
'ëgî_',
d—Æ
mai:
"‘Vo+oo-FË’ ,
A,B,=A,X V—(1 + a“) (,1 +‘»’*M’
=—Aflx V( f+‘«o (1_+ u'2)m"’
(u+u') ’
en observant que, pour l’ellipse , la tangente a est négative ;
'
\
ces LIGNES DU SECOND DEGRÉ. 271
donc \
A'B' sin 9 :: A“ \/m’ : AB.
Le calcul est exactement le même pour l’hyperbole. On
retrouve ainsi les propriétés obtenues par une autre voie
(66 et 72).
y:ixVææ’<r—ë
y=iar=i%œ,
et , sous l’hypothèse
, B“ ,\ , ‘2BL
u:—I;, d0u —2“=1—;,
972 Géun'nnxofi
l’équation de l’ellipse sera
‘ 2
y” = 27]:— x + aa’æ’:
”_'+“'P—É
a,_a _a,
“'*“
-1—_Faa,=.a.....(4).
a: r:Ææ;Æ
y<x+p) ’ _
"‘”X W;
ycx+p)
18
5274 GÉNÉRATION
ces valeurs substituées dans (5) donnent, après les réductions ,
Ey’+ (æ—P)“] (y’- 4;”: )= 0:
du premier facteur égalé à zéro , on déduit
y“ + (x—pr = 0,
égalité qui ne peut être satisfaite que par _y = o et a: — p :: o ,
d’où x: p , ce qui donne le foyer F. L'autre facteur égalé
à zéro , c'est—à—dire , ’
y“ = 471720,
représente la parabole.
164. L’inclinaison de la droite Tt étant donnée, il ne
peut y avoir qu’une seule direction de FM pour laquelle la
condition ang. FMT = ang. FTM soit satisfaite : donc la droite
Tt n'a que le seul point M commun avec la courbe , et lui
est conséquemment tangente en ce point; et comme on a ,
par construction ,
ang. FMT = ang. FTM :_ ang. NMT ,
il faut en conclure que, dans la parabole, la tangente en
un point divise en deux parties égales l’angle fbrme’ par le
rayon vecteur et une parallèle à l’axe menée par ce même
point. Enfin de ce que AT:AP, on voit que, dans cette
courbe, la soutangente est double de l’abscisse.
Menons l’ordonnée FM’ par le foyer F , et par M’ la perpen
diculaire M’N’: M’F à QS perpendiculaire à l’axe AX : le
quadrilatère FMNQ se changera dans le carré FM'N'Q‘, et la
tangente en M’, qui en sera la diagonale, viendra passer par
Q , à cause de FM’Q : QM’N’: on aura donc ‘
FM' : F Q : 2AF.
Ainsi, dans la parabole , l'ordonne’e qui répond au foyer,
'est double de la distance de ce foyer au sommet; la tan——
gente à l’extrémité de cette ordonnée , fait avec elle un demi—
angle droit, et passe)par l’intersection de l’axe de la courbe
avec sa direètrlce.
DES LIGNES DU SECOND DEGRÉ. ‘ 275
165. Si l’on désigne par ac’, _y' les coordonnées d’un point
quelconque M , l’équation de la droite TM sera
y - y’= a<r—r,’)i
substituant pour a sa valeur trouvée (165) , on’aura
.e rfiJL—Qp__(Œ'“E_) _ /
y, y— y/(æl+p) (55 x):
an+_fflâc_ +U=o)
Ar_ a Aa_æa
a 2Iy / B’—y“_ .
“ + A“—x’ “ + A’—æ“ '“ °’
d’où l’on voit que les valeurs de a et a’ sont les deux racines
DES LIGNES DU SECOND DEGRÉ. ; 277
de l’une de ces équatiofis : donc
en observant que des deux quantités A' et B', l’une est réelle ,
et l’autre est imaginaire.
278 \ GÉNÉRATION
168. Si l'on conçoit deux tangentes à l’ellipse de l’équation
(2), mobiles comme les premières, et assuje’ties aux mêmes
conditions qu’elles, l’intersection de ces droites décrira une
troisième ellipse de laquelle , par le même procédé, on de’duim
une quatrième ellipse, et ainsi de suite. Cela posé , 1°. toutes
les ellipses construites sur la première , seront semblables entre
elles, concentriques, et leurs axes auront mêmes directions
que les siens; 2°. les aires de ces ellipses formeront une pro—
gression dont le facteur constant sera :2; 5°. les deux
tangentes dont l’intersection décrira l’une quelconque de ces
ellipses , seront continuellement parallèles à deux cordes suppIe’—
mentaires de l’ellipse qui [a précédent immédiatement, dans
1’ordre de ledr génération successive.
Si à l’ellipse de l’équation (2) , et dont les axes sont déter—
' ’ I ' \
mmes par les equatxons (5), on mene deux tangentes , de
manière que le produit aa' soit le même en nombre et en signe ,
la courbe décrite par l’intersection de ces tangentes , sera une
ellipse dont les demi-axes A” et B” seront donnés par
B” +aa'A'“
A"’ : , B”2 :: B" + aa'A”;
(10'
mettant ’ pour B" et A” leurs valeurs (5), il viendra
A”a ._
2 (B’+ aa'A”) _ ’2 ”2._ a I a __ I,
au _2A, B_2(B+aaA)_2B.
’ —— n— n—-— —
Vaa .— Î_Â7,n_ÿ_etc.
.ü,
284 SECTION DU cône
CHAPITRE XV.
Des courbes qui résultent de la section d’un cône
par un plan.
176. LES anciens ont donné aux trois courbes que nous
Venons de considérer , le nom de sections coniques , parce qu’on
obtient ces courbes en coupant un cône par un plan, sous
différentes positions.
et conséquemment, ‘
aP><
__ _ AK >< BK , —-I’).....(l).
( \
Or les lignes AK, BK, EK, DK sont connues et calculabl'es,
puisqu’elles dépendent des dimensions du cône qui est donné ,
et de la position du plan coupant. L’équation (1 )ÿest celle
(1’ dl a rt' ‘ se axe AKX—B—IË e ' t t
une 1pse r ppo ce a s s , —E—K—>—< DK r presen an
le rapport entre les carrés des demi—axes , comme on peut s’en
assurer, en faisant dans (1 ) , ac 2 o, et désignant l’ordonnée
correspondante par B“; d’où il suit, en effet, que
’ ' AK x BK _ ]î
EK >< DK — A”
Si l’on fait v
AK >< BK _ 1
EK ><DK — ’
l’équation ( i) deviendra
f:A°—æ’n""'(z);
_ PAR UN PLAN. ' 287
or de l’hypothèse précédente , résulte la proportion
KA :KEZZKD : KB;
d’où l'on conclut que les deux triangles EKA, DKB ont un
angle égal en K compris entre des côtés proportionnels, et
qu’ainsi ils sont semblables: donc l’angle AEK est égal à
l’angle B; donc aussi l’angle SED est égal à l’angle B : les
droites ABp , ED sont alors dites anti—paralle‘les ; et , sous cette
position , la section est encore un cercle, comme l’annonce
la forme de l’équation (2).
2°. Si le point K se confond avec le point I (fig. 146 ) ,
le plan coupant , toujours perpendiculaire au plan SAB par
l’axe , est parallèle à l’arête ASA’; il ne traverse pas le Cône
SAB, et il ne rencontre pas son opposé; ainsi la section est
une courbe limitée dans un sens , et indéfinie dans l’autre.
Si l'on fait la même construction que dans le cas précé—
dent, on aura de même
fi’=anpb=Anbe-,
prenant l’origine des coordonnées en D, et faisant DP:J;,
MP: y, les triangles semplables DPB, DKB donneront
bP:DP:ZBK:DK,
d’où
bP __ BK
DK >< DP,
et _ yn:
AK.BK ' ‘
a: . . . . ..(5) ,
et conséquemment,
y“ = X; (se—A“),
B2
il
CHAPITPÆ XVI. «
Élémens de position d’un point dans l’espace ; nota—
tation algébrique de ces élémens.. Équations de la
' ligne droite dans l’espace. Problèmes.
MN =
186. Nous avons vu que de deux des trois projections d‘une
droite , on pouvait conclure la position de la droite dans
l’espace : ainsi l’équation d’une droite dans l’espace , sera le
système des équations de deux de ses projections. Soient
donc (fig. 152) BL, R’L’ les projections d’une droite sur les
plans ZAX , ZAY’ ou ZAY, en position vraie , et considé—
rons un point quelconque de cette droite, projeté en M’ et
M”: on observera que’ les perpendiculaires menées de M’ et
M” sur l’axe AZ , doivent\le rencontrer en un même point P,
ensorte que le second plan vertical étant rabattu enÆZAY'
sur le prolongement de ZAX , les perpendiculaires M’P , M”P
ne forment plus qu’une droite perpendiculaire en P à l’axe AZ.
Imaginons par R et B.’ des parallèles à l’axe AZ, et dési—
gnons par a et b les tangentes trigonométriques des angles
M’Rp , M”R’p’, et par t et C les distances AR, AR’. La
droite de l’espace étant donnée, on connaît ses élémens de
position a , C , a et b , lesquels doivent entrer dans son équa’
fion. Or on a
MI lM/I}
Efi’:at Pñl_7=b)
d’où
pM’ _ iz.Rp, p’M” : b. R’p’.
296 ÉQUATIONS D’UNE DROITE
Mais ‘
pM': PM’ -— Pp = PM’ — AR,
p’M" = PM" —- Pp’ PM” — AR’;
donc
, I\
_ mus L’ESPACE: ' - 297
zontal sera un point dont
a: = a, y = C
seront les coordonnées, et sa projection dans le plan (æz);
sera À -
. a: = a. .
et désignons par a’, C', 7’ les angles de cette droite avec les
axes des x , y et z : si l’on prend sur cette-droite, à partir
de l’origine , une longueur 1 de l’extrémité de laquelle on
abaisse des perpendiculaires sur ces axes, on aura ces pro—
portions , ' '
.cosœ'thîœîl, x:lcosœ’,
cosC':1::y:l, d’où y=lcosC’,
èosy':1::z:l, z=lcosÿ,
et conséquemment ,
:L‘ cosœ’ y_cosC’_b l__cosC’_b
z cesy ’ z cosy’ ’ x _cosœ'_a’
donc les équations
b
x,=_az+a, y=bz+ë, y—C:;(æ—a),
deviennent
(x— a) ces 7’ = 2. ces 41’, (y—G) ces 3/ :z ces C’,
(x—œ) ces 6’ :: (y— C) cos a'. . . . .(4);
c‘est sous cette forme qu’on écrit souvent en mécanique ,
les équations d’une droite de l’espace.
. \DANS L’ESPACE. 299
189. Avant de résoudre quelques questions sur les lignes
droites considérées dans l’espace, nous observerom que lors—
qu’une telle droite est donnée, les élémens de sa position
a ,- b, a, C sont connus , et qu’au contraire , si la droite est
assujétie à certaine; conditions , ces quantités sont des incon—
nues à évaluer. ’
Problème I“. Trouver la condition sous laquelle deux
droites données dans l’espace se rencontrent.
Soient .
œ=az+«, y:bz—|—G,
a = 1:3.
2: _le 9
1, = 1:11.
z, _z,, ;
MIImI 2 Z” _ z] ; _—__—__
Mlml : V(yn _ yI)g+ (xll __ æ')n;
P P P P
.r”, y", 1.”, sa projection horizontale passe Par les points
37’, y’; as”, y”; et on a trouvé (24) pour équation de cette *
projection, c
Q
æX1"_—_y'_yXi—_Ë_æy -xy
Il] ‘LIHII “__'
I Il
‘AI ‘LII
Il I
)
- ee
en observant que n’a” = M’m’ = \/(y”_y’)fl) + (1;”..x')=_
L’équation de la projection sur le plan des ( yz) , est
n r u I Il! ru
y>< Il] —zX—y ruy""—y‘ luy"_)
V’ ’I Il
=
enfin, la projection de la même droite sur le plan des
(zx) , est
X z” _ z’ X x” _ æ, ællz'l_ xlz'll
æ zjæ_ll —- Z -———
q!fl_ll = ——
7’_I7'_ll ,
y æ” _ æ,
ainsi , .
ces MAN = (aa’ + 56’ + 1) n’a” ;
mais à cause de
on obtiendra
z' = -—————l———_.-- z” = '
Va’+b’+i ’ _Va”+b”+l'
et enfin: en désignant par L et l les droites AL , Al,
aa'+ bb’ + 1
cos(L,l) — Vaa+b_+l Vala+ ba+ 1....i..(i).
cos(l, z) = W——ÉZI—Î\_fi.un(G),
b’
cos(l,y) = m.....(7),
90
506 ÉQUATIONS ‘D’UNE DROITE DANS L'ESPACE.
on tire de ces formules ,
aa’ =' ces (L, 1‘) ces (1, ac) \/a“+ b’+ 1 Va”+ b”+ 1 l,
CHAPITRE XVII..
‘Équation du plan et problèmes.
y=cx +y...._...(8),
Ax B): + Cz = D,
en aura les trois conditions suivantes ,
aire m’ n’n” m”
- "—*2—““» . \
(_x"—œ”) (z"’+z”) .
aire m”n”n"m" =
2 ‘ ’
m m,n,num,. : g_
.
'I
J: — a:
I
)( + ); Z
I' I
Z
, '
2
de la somme des deux premières surfaces, retranchant la der—,
nière , il viendra , en désignant par t la différence ,
t:—‘
2 I \
"— 1+A2+Bn 5
y
II_ y —‘—1_+Kn+Bn—.—a
I __
æ” _'æ,.__ —A (D+Aœ”+By'—zv.
'_ 1 +An+B: :
‘æ—x'=az+u-—x',
y—j:bz—f—C—y’_;
z,,__ a(x'—a)+b(y’élä)+z'
l+aa+b2 1
,,
œ=u+ aa(æ’-—a)+b
[ '-—-C+'
1+a2g‘_ybz ) ”
2']:-as-|-az..
A! ’, . B]
—a’::—(—:—,. —b=—ë—,, ,
:
{ "*)
c‘est à-dxre ,
(In— Ir),+ (yu_‘71).+(zll_ zl), : 112+]r,+z12 + Il/2+Arfln+ Zn’;
I . V . -l' 00 1 . r . r
1‘ . y - * " "‘
a . _'
b .“‘v
c
On aura pareillement, . .
u. 11. __u.. 1 .-__.__ 1
35-] .«.._.7.b,.c,,
,, B \
003 V = '—_———-r_—_ ,
V»+e+0
ces V". := A
_VN+P+O’
et conséquemment , '
I + I I _
au, bb, +ccl _. 0.....(2),
entre relation remarquable entre les coordonnées des intersections des trois
axes rectangulaires par les deux plans.
Ou peut traduire l’expression (3) du ces V au moyen des mêmes quan—
tités’ a , b , c , a’, b', c'- '
Nous supposerons , pour plus de facilité, que les deux plans se soient
mus parallèlement à eux—mêmes, jusqu’à devenir également distans de
l’origine A , hypothèse sous laquelle les perpendiculaires p :AM,p’ = AI\«[’
menées de l’origine sur ces plans, deviendront égales. Représentons par
par, pf,pz; p’.æ:, pfy, p’z les projections de ces perpendiculaires sur les
axes des x , y et z; prolongeous la perpendiculaire MA d’une longueur
_Am: AM-: alors les trois points M , M' et m seront sur la circonférence
d’un cercle ayant son centre en A, et le triangle MM’m sera rectangle
en M’. En abaissant de M’ sur AM la perpendiculaire M’q, en aura
m lel’2
(I -nÎM_
CI ‘
mM" . zÎNŸ’— 2KI\Îz IAÎVÏ1 fifiï”
A" = îs’m‘ ‘ AM = 2AM = 2AM 5
l * DU PLAN. 07 01
to
aura de même , C,
cos U’ =
ces U” Il B!
cos U'” =
VA’2+B’2+ C’z’
ä__“
I
et conséquemment,
Ilzll+ylyll+ zlzll .
A‘l __ l ._
AMI "_ CO5 (PI p )“‘ x AMI
01' des proportions trouvées dans la première partie de cette note, on tire
;+n+nme+m+fi
Lorsque les deux perpendiculaires p et p’ sont à angles droits, on retombe
sur la relation (a). _
826 ÉQUATION a
Remarque. On parviendra immédiatement à, une formulq
équivalente à la formule (5), en partant de l’équation du
plan trouvée (191)
œcosœ+ycosC+zcosyzp,
, 73'
Et Pour“ (Pi? ):55
c ’ y C "’ .
et conséquemment [chap. XVI , probl. V, form. (1)], le
sinus cherché sera v -
0 sin : aA + bB+ C
V 1 +a“+b2 VA"+B’+C’
Théorènie. 1°. L’aire d‘un triangle quelconque situé dans
1’espace , est à celle de sa projection sur l’un des plans coor—
donnés, dans le rapport du rayon au cosinus de l’angle que
fait le plan du triangle avec le plan coordonné sur lequel
on le projette. 2°. Une figure plane quelconque étant projetée
sur trois plans rectangulaires, le carré de l’aire de cette
figure , est égal à la somme des carrés des aires de ses trois
projections.
\. l
328 ’ Ëqu.mos _ _
1°. En désignant part, t', t” les projections de l’aire d’un
triangle sur les plans (æz) , (_yz) ,- (.ry) , et l’équation du plan
qui contient le triangle, étant - 4
Aæ+By+Cz—l-D::o, "
nous avons trouvé (probl. Il) -
’t=%B, t’:â—Ag t”=%C;
or T étant l’aire du triangle de l’espace , et P une perpen—
diculaire menée de l’origine sur le plan de ce triangle ,
nous démontrerons bientôt qu’on a
D_ P
Î — _5_ ><T,
D ayant l’acception énoncée (probl. Il) : d’ailleurs nous avons
trouvé (probl. VI) ’ '
__ ____D__ .
y. + A“ + PI”
. A B
remplaçant dans cette expression A par —E , B par —— ,
' D par _DC, pour qu’elle convienne au plan de l’équation
ci-dessus , on obtient ‘
. D
P = —;—_—__——= ,
VAa+Ba+C2
donc
I_) _ D >< T .
6 svfifia“‘”+c2"
d’où
T”: 2[ [A2 + B*+ 0] = z*+ r=+ w,
et T=_‘; VA?+B’+Î; >
et conséquemment ,
T___ 1 T__ 1 T 1 de
-
r‘
._ B ’ 7_ 'A ,7: c,
\/A2+Bn+cï 1/À’+B’+Ôï \/A’+B’+(Γ
nu PLAN. 529‘
mais nous avons vu (probl. IX., cor. Il) que ces expressions
étaient celles des rapports du rayon aux cosinus des angles
que fait le plan de T avec chacun des trois plans rectangu—
laires de projection : ainsi la première partie de la: proposition
se trouve démontrée.
2°. Supposons un polygone plan dans l’espace , décomposé
en triangles T , S, R , etc. 'par des diagonales ;_et nommons
s, s’, s" les aires des projections de l’aire S : on a aussi,
d’après le théorème (1°), '
S’=P+s'.’+s”’, <.
etc.
or
‘ __t t', t",
T_Tt+Tt+Ît,
/. __S_ 5.
S_Ss+'ss+ss,
etc.
Mais, d‘après le premier théorème, et parce que,Ies aires
T
T, S, R, etc. sont dans un même plan , les rapports -t— , etc.
, S
sont egaux aux rapports 8—, etc. , donc
|
u. 8 t/ s, t” S”
r.
b s, r=s’ r= s, °‘°-’
égalités qui donnent celles—ci '
St 2 Ts, St' = Ts’ , St” = Ts” , etc. ,
ou
sSt = T3“, s’St’ 2 T5”, s”St" = Ts”’, etc.
et conséquemment en les ajoutant et tenant compte de
S2 : s’ + s”+s”’, on a
TS = st + s't’ + s"t”;
ainsi '
(T+S)’= T’+QST+S’
:: t’ + t" + t”’ + 2st+ 2.9’t' + 23”t”+ s’ + s” + s”’,
550 ÉQUATION?
çt de là M ' A " " 't
s=w+w+w5
donc
M+W+M:m+m+m
résultat qui apprend que quelle que soit la position des trois
plans rectangulaires de projection , qui forment le second sys—
tème, la somme B2 + B'“+ 3"“ sera toujours constante pour
une même valeur de S. On tire de là
: VA, + A/,+Auz__B/z __ Bus.)
on aurait de même
4
A’ = B ces C + B’ cos C( + B” cos C”....(5),; V
A” = B cosy + B'-cos)/ + B”cos 7”....(6), 7’
- /
552 A ËQUATION
en observant que a et C désignant les inclinaisons sur le plan
B des plans (m‘y) , (12.); u' et C' Celles des mêmes plans sur.
le plan B’; et‘enfin a” et C” celles des mêmes plans sur B”:
or, sous les hypothèses B’ = o, B"=o, ces expressions
deviennent
A: Béosa, A": BcosC, A": Bcosy.
Soit. _
s=Mx + Ny+P.....(7),
l’équation du plan de B , rapporté aux plans de A, A’, A”
rectangulaires entr’eux , et représentant les plans (æy) , (xz),
(yz) : on a (probl.' IX , coroll. II) .
1
00313 :—
VM’+N*+ 1 ’
N
008 C : ——:_———__—-,
VM’+ N“+ 1
cos -- M ——
7 — VM’+ N2+1Î
Pour avoir l’angle ça de la trace de B dans le plan A avec
l’axe des ou, on fera z :0 dans (7) , ce qui.donnera
_' P
y—_Îæ _ fi)
d’où ’
A”
Î
et d’ailleurs ,
A
B VAfl+ A’*+A”'
605 a = —- = —__——..:. ......(9).
Ainsi lorsqu’on connaîtra les projections A”, A’, A” sur trois
plans rectangulaires pris arbitrairement, la position du plan
de la plus grande projection, se déterminera immédiatement
DU PLAN. 555
à l’aide des formules (8) et (g) , et on observera que les
déterminations de a et de e conviennent à une série de plans
parallèles sur lesquels les projections de S seraient égales.
Problème XI. Trouver l’expression de la solidité d’une
pyramide triangulaire, au moyen des coordonnées des sommets
des angles trièdres. À'
Nous supposerons que l’un des quatre angles trièdres , soit à
l’origine même des coordonnées , et nous désignerens par
x’, _y', 2/; an”, y”, z”; ac”, y'”, z’” les coordonnées des angles
solides M’, M”, M” de l’espace.
D‘abord si l’on forme les neuf quantités
ë =ynzm_ znyu ” =znæu_ æI/zm t = æuym_ næm
on aura de même
En + ,,n (a : “ Eläfl+ "la/1+ (tu: c -
a - '
comme on peut sen assurer par la substitution des valeurs.
I I I I /
de E, à....,q, n....,C, Ç....,u,a....,Ê,C.... en
r / / _ Il Il Il, (II I// (Il
x)yaz:x)y:zrz :yzz'
' 554 ÉQUAT10N'
Pesant encore '
A: xl(y IlzI' zll)+æll(ymzl_ylzm) + æm(ylzfi_y”zl) . l . 1
on trouverait
7:: + x'e + y’»: A > "
zlt+æläl+ylvl: 0
:....(s).
zlë”+ æ/äll+ y]fl”= 0
B _
_ i__ æ,
d'(æ”—Æf’)
(yü_yfll) + z” (æ”'-—
+ mu a:") +
(ym_ y!) + æ/H
z'” (æ'—x")
(y/_yll)‘
A_
__E+E’+à”
C+C’+Ë”
B__z+»'+à"x
-_ Ë+Ç+Ë" . ' ' ' "(9),
_
ensuite l'équation
z' :: Ax’ + By’ + D
donnera
D = z.’ -— Aœ'— By’
P: -—;——P__—.——=î
\/1+A2+B’
substituant pour A, I}, _D leurs valeurs trouvées (9) et
l
556 ÉQUATION
(10) , il viendra
A
P = I Il / Il I Il
(œ—1’)’+(y—)’)=n’,
d‘ où l'on‘tire ' }
k: + bn__ÿ nu
æx’+yy’= —=bkcos(b, k)
2
=bccos(b, k).cos(c,k),
à cause de le ; c cos (c , l< ). Si de l’extrémité M de l'arête 0
dont la projection horizontale est l: , on abaisse sur b une per
pendiculaire , et que la'portiou de 6 entre A et le pied de cette
perpendiculaire soit 12’, on aura
‘ CHAPITRE XVHI.
on trouve
0
(*) Ces égalités se déduiront de cette propriété. Soit (fig. 160) une ligne
droite MM‘ située d’une manière quelconque dans l’epace , et qui ne soit
pas dans un même plan avec 'l’axe AX : si par M , on mène une parallèle
Nm à AX , AX et Mm seront dans un même plan : du point M' abaissons
une perpendiculaire M'N’,sur ce plan, et de N’ sur Mm une perpendiculaire
1\”m qui , prolongée , le sera en n’ sur AX : on sait qu’en joignant M', avec
m et 71’; les lignes M'm et,M’n' seront perpendiculaires sur Mm et AX: ainsi
un’ étant la projection de MM' sur AX , on aura
1.
‘ Mm = nn' :: MM’ ces M’Mm.
546 mmsroam unes nrs coonnonnÉrs
Remarque. Les formules (16) servent encore à pas!set d’un
système de coordonnées .12, y, z rectangulaires à un autre
système de coordonnées æ’, y’ z’ pareillement rectangulaires;
mais alors dans les équations de condition (:8), on a
603 (y’, z') :0, cos (æ’, z'): o , _cos (r’, _y’)= c.
Dans les formules (16), on peut remplacer les neuf
Iangles (.r’, ac), (0/, y) , etc. par trois angles seulement,
saVOir, 1°. l’angle entre l'axe des r' et‘sa projection sur le
plan (1:, y) '; 2°. l’angle entre cette projection et l'axe des 1:;
5°. l’angle d’inclinaison du plan (x’_y’) sur le plan (xy) , don—
nées qui suffisent en supposant les trois nouvelles coordonnées
1', y', z.’ rectangulaires.
Soient (fig. 161) AX’, AY', AZ’ les nouwaux axes rec—
tangulaires enfl’eux, et AR la trace du plan (r’y’) dans le plan
(1:, y); concevons une sphère dont le centre soit en A, et dont le
rayon AT 2 l; et imaginons des arcs de grands cercles TQ,
QRS, T3, T3 : les côtés TR , TQ , BQ du triangle sphé—«
rique TRQ seront respectivement 4«, (1’, x) et Q, et l'angle
en R dans le triangle sphérique TRQ , lequel est celui des deux)
tangentes en R aux arcs RT, BQ , sera l’angle 6 d’inclinaison
du plan TAB sur QAR, ou du plan (œîÿ’) sur le plan (æy) ',
ainsi le triangle sphérique TRQ fournira une relation entr
(r’, x), «la 45 et 9- - '
Le triingle sphérique STB. dans lequel l’arc ST = (æ’, _y),
TR:+, sa =’_; .. QB. =î-—ç, et l’angle TBS=r—O_
fournira une relation entre (33’, y) , «Il, cp et O.
Si par l'axe des 2. et par celui des æ‘, on fait passer un arc
de grand cercle ZTP = 9—; , le triangle sphérique PRT rec—
(z',æ>=g+NQ, '
d’où ‘ A"
NQ=(z',x>—g, QR=o, NBQ=9,
et on a la proportion : _
sin NQ : sin QR :: sin. NRQ Z 1‘;
donc ' l '
—- ces (z’, x) :2 sin cp sin 6.....(25).
2°. Dans le triangle KRS, l’arc TRK décrit dans le plan
(13"), est rencontré à< angles droits en K , au—dessous de (xy)ü,_
par l‘arc VSK décrit dans le plan (z’y) par le rayon AV,
perpendiculaire à (æîy’); donc
/ _ _ 7: __ «
(z,y)_VK 5K...” bK,
d’où
KS = E— (z’,y), 115 = î—cp, KRS = NRQ=8;
donc .
sin KS : sin SR :: sin KRS: 1,
_ d‘où
ces (15’, y) : ces <p sin 6.. ...(26). >
Enfin l’angle (z’, z) est l’angle entre les plans (a:’_y’) et (xy)
quenous avons appelé 6; donc
ces (z’, z) = ces 9.‘...h.... (27).
La substitution de ces cosinus dans les formules (16), donne.
les suivantes,
x: æ’(cesôsinçsîn++cosçcosqz)
+y' (cesüsinçcowÿ -- cesçsin-ÿ)
—-z'sinâsinç, /
y = æ’(sin ecosdz -—> ces 6 cosçsin-ÿ) ---(“8)n
-—y’ (ces 9 ces 9 00341 + sin 4) sin-«H
+ z' sin 6 ces 4?,
z '= æ’sÏnûsin \I/+y' sin0 ces 4«+z’ ces 8, »‘
550 TRANSFORMATION DES COORDONNÉES
desquelles on déduit
—\_ _ë _
æ'= x(çosÜsinq>sinxÿ-Fcosçcosÿ)
4a.-. I+_y(sinçcesxÿ — ces 9 ces <p sindæ)
+ z sin 6 sin 41 ,
_y’ = et (ces 9 sinç ces 4/ —- ces <p Sin+),...(29).
-—y (cesâcosç>cosdz + sin çsinælr)
+ z sin 0 ces 9,
z.’ = — æsin6sinc+y sin6cosc+zcos 9,
Pour faire coïncider _les formules (28) avec celles de
M. Laplaœ , il faut changer 44 'en «p , et réciproquement,
faire sin 6 négatif, et prendre la valeur de _y en moins , chan—
gemens qui résultent de la disposition des axes. Si de plus on
fait tp = 0 pour faire rentrer l’axe des 12’ dans le plan (m‘y),
on aura ‘ /
x: æ'cosælæ +_y' ces 9 sin -.ÿ+ 2,' sin 6 sin 4,
y :— æ’sinæb +_y’ ces 6c0s4/+ z.’ sinecosxÿ} . . . (5e),
z:—'«y’sin9 + z'cosô
formules dans lesquelles 6 représente toujours l’angle entre
les plans (.r’y’) ,- (xy) , et «L l’angle de l’axe .r' dans le plan (æ_y)
avec l’axe des x. _ ' ‘
. Sirentrer
fait dans les formules
l’axe des se (28), on plan
dans le fait 4/20,
(13‘), ethypothèse
si, en même ‘
temps , on fait z’: o , onv retombe sur des formules que nous
trouverons immédiatement dans le problème suivant.
Problème IV. Une surface étant rapportée à trois axes rec-«
tangulaires x , y, z ,> trouver les formules propres à donner
l’équation de la courbe d’intersection de cette surface par un
plan donné position par l’angle de sa trace dans le plan
'(X, y) avec l’axe des x, et par son inclinaison sur le
Nous
Plan (‘x prendrons
7 Y pour axe des .r’ la trace du plan de la
+ “’2‘, °03 (90’: 7‘4’) + 2_}"Z' cos (3’; 21).. . . (52). '
DES\SURFAGES DU seconu DEGRÉ. 653
CHAPITRE XIX.
Discussion des surfaces représentées par l’équation la
plus générale du second degré entre trois variables.
20 _ )
_ alr+ez+h _ ' li
Î.v —. _Y ' ‘..
qui sont à trois plans, dont chacun divise également les cordes
comprises dans la surface , respectivement parallèles aux axes.
des z, y, 1:. Ces plans symétriques se coupent en un point
qu’on noinme centre de la surface, et dont on trouve les coprdoæ
nées, en notant z et Z par 47 , et Y par C, a: et X par a,
«et évaluant 3/, G, a au moyen e'ces trois équations "
àcy+eC+fi‘+i=0,
sab€ +du+ey+h=ov, '
‘.
2au+dC+h+g=o. ‘
5
. _ 23..
:856 uns SURFACES
L’équation (5) donne
sin0__t 6_ esinl—fcosæb _
cosû" ang M2(a—b)sinælæ cosæi—d(sin’d—cosfli)'
2(asinälz+bcos’xÿ+dsindæèos-l—c)
fsmxÿ+ecos+
__ esinÿ—fcosdz
—2(a—b) sinÿcœÿ—dsh1’ÿ—cos’æÿ)
2 (a— b) sinæjzcosdz—d(sin’l—cos’dæ) _
— ' esii1-Jæ—fcosdæ '
c’est—à—dire ,
(fsin4/+e ces ul«){(e sin—dw—f ces-40a }
-— [a (a—b) sin «la ces d—d(sin’ÿ—cos’ù}]’
:: 2 (esin æl«—fcos 11/) [2 (11—17) sin dicos 4/— d (sin’ÿ—cos’äÿfl
[asù1’é—f-bc03’é +d sin 4/ ces 4’ — c] ,
ou ’
(fsin 4x + ecos (e sin «lz—f ces 4z)’
—[ 2 (a—b) sin '4/ ces riz—d (sin’œi—cos’æifl
2(a—b) sin4zcos 4«—d (sin’4æ—Cosäb) (fsin 4/+ e cosÿ) __ _ ’
+n(esindz—fces 11/) (asin’dz+b cos”«lz+dsindzcosæÿ—c} _°'
divisant cette équation par cos34/ , on trouve ’ '
° = Cîl“+’+e) (8 ä-‘Ë-ô‘ .
'[semestre—tien<fzïi.+e)
—-cos’4æ[2(a—-b) Ë%È_
—1 -
+2(eï—s’,—f><aëät+eæezztmæ
DU SECOND DEGRÉ; . ' ' 557
Faisant
sin 4; ' 1
cosl ..tang‘i’—u,
— _
don
’ ‘
cos 41——
2 -—
1+u"
cette dernière équation devient, après les réductions,
(fa +.e) (eu—f)‘—- [nu(a—b) —du’-‘f- d]
[de+2cf—2bf+u(2ae—2ce—df)] =o........(7):
comme elle est du troisième degré , c’est—à—dire, d’un degré
impair, elle fournira au moins une valeur réelle de u , ou.
de tang 41 (Alg. , 1'° sect. , chap. 28 ). , et l‘angle «1, étant dé
terminé, l’équation (5) qui n’est que du premier degré par
rapport à taug 8 , donnera aussi une valeur réelle de cette
tangente. Ainsi, par cette première transformation, l’équation
(a) est réduite à la forme
ç'æ’=+W«+aæ+aæy+gæ+z:y+i'z' = 1. . .(8).’
Il sera facile de faire disparaître le rectangle a:’y’, et pour
“la , il suffira de changer‘ la direction des axes m’y’ dans leur
plan, ce qui se fera au moyen des formules connues qui
font passer dans un plan d'un système a un autre, système
d’axes rectangulaires; ensorte qu'on aura pour transformée
allællg+ bib,llg+ cllzlln+gflxfl+ hlÏyll+ illzll= l . . .'. ;
' qui ne sont que les formules (17) et (18) [chap. XVIII}7
sens les désignations ci—dessus , et sous les hypothèses
I
cas (y’, 2.’) a: 0 , cos (2’, x') = o , cos (_y’, x’) = o,
+ F (m/pll+ P/ml’)
+ D (m'n"+ n’m”) = o ,
2Cpp” + 2Bnn”+ gÀmm" + E ( np" + pn” )
+F(mp”+pm”)
+D(mn”+ nm”): o ,
p _.. 1
_ Vx+t“+u" 'm.____L'__
— V1+t’+u“’
u .
n:——=—_—_—- . . . . . . . . . . ...-....-20,
l/_l+t’+u’ ( )
et _les équations (16), (17), (18)se changeront dans
celles-ci ’ . '
Eu=+rut +z(C—B)u—Dt— E H
Il o..'....(m)x
Ft“ +Em +n(C,—-A)t—Du—-F oÿ.....(m),
Dt“—Du’+2(B—A)ut+Et—Fu:o . . . . ..(25),
\
_ 562 ‘ 'DEs saumons
fités m’, n', p’, m”, n”, p”; donc elle doit les donner toutes
trois. Et comme nous Venons de démontrer l’existence de trois"
axes dil’i’érens par rapport auxquels l’équation de la surface
perd les termes des trois rectangles, il s’ensuit que les trois'
racines de l’équation en u doivent être réelles; 2°. que chacune‘
d’elles substituée en même temps que la valeur cmreapmdante
de t dans les expressions (se) , donnerait la première les valeurs
de m , n, p qui répondent à l’axe des x , par exemple , ]a*
v seconde, Celles de m’, n', p’ qui répondent à l’axe des y , et
enfin la troisième , celles de m”, n”, p” qui fixent l’axe. des z ,
et tels sont les trois axes principaux de la surface.
Pour former l’équation en u, soient
(QE—PF)u’+[PD+2Q(C-—B)]u— QE=o;
et, en tenant compte de la relation (25) d’où l’on tire ,_
dans l’hypothèse actuelle, '
nu secoue DEGRÉ. 565“
cette équation devient ' À
., nE(C—B)—-FD _._ _ n __
“ + E’+F’ “ E’+F“"°’
d’où on tirera les deux autres valeurs de u.
2°. Soit Q = o: l’équation (26) donnera, 1°. u :0; 2‘.
REu’ + [2R (C—B)—PF] u4—PD—RE20,
' BD
ou,àcausedeP=—Î, _ '- «
ou, à cause de
EFu3+[2F (C—B)'—ED] u’ . »
—[2D(C—B) +EF] u-I—ED=O,y
équation qui peut être mise sous la forme
Eu“ (Fu—D)+2 (C—B) u(Fu-—D) —E(Fu —D)=o;
d’où
Fu——D=o, u‘+2(C_E‘—B—)u—li=io.
Ft+2(C—B)
u := — ——————
2E
t’+
ED+nF(C—ê)
F3
t_F’+D’
F2
_
... o,
FDt +EF
" ED ’ \
m = 0,
F
n. = — —-—__:_—:—_ ,
. p‘ = D
--=—_—.;.‘
- t/F“+D’ . VF*+D‘
Si dans l’équation qui vient de donner la troisième valeur'de t,‘
on suppose nul le coefficient de 1, c’est—à—dire '
2ED(A—C) + F(E“—D“) = 0,
ce qui revient à la seconde des équations (24) ou à Q = o,
la valeur de t reste indéterminée , ce qui annonce que le
nombre des systèmes d’axes principaux , est infini. En effet,
la condition précédente étant satisfaite , l’équation (22) est
aussi décqmposable en deux facteurs du premier degré, et
peutêtre 'mise sous la forme )\ v '
mfl+m.+Pw=o, m#'+m'+pw'=os \
et, en mettant pour m ,.n , p les valeurs ci-dessus , .
FD.u +EDv + EFw: o , FDp’ + ED.’ + EFx’=O....(SO) ';
et si, pour déterminer ;a, v, w, (5’, v’, r’, on fait encore
p=wt, r:mz;( l,u'=w’t, Ir’=à’u,’
4K’ab _ 2K _EF
2Kab(K-—1)ËK—r—Ü_'
d’où ’
EF 2CD
K‘EF—2CD’ K7—I=EF—2CD’
_E(K——i)_D
b* ‘ 2CK î’ __D
““1?
EFD” F2
KD’—- F” __ EF— 2GB—
' 2(3DF“
‘ EF‘ _ 2CD
_E(D2'_Fn)+'chD _
—‘_wm--Œ4»
d’où résulte la première équation de condition
2FD(C—B) + E (Dz—I") = 0......(55),
qui n’est autre chose que P: o; et, 2°. ‘
EFD’ _E,
A _äKD= —E’ _ EF—2CD
îî * (K—x)E* “ MpC_D_E’
‘ EF—2Œ
: -F4—4...
D“—E’ 20ED .... ..(56),,
2CED
;
d’où résulte la seconde équation de condition
2ED(C—A) + F(D°—E’) = o. .(37),
qui répète Q: 0. '
Donc pour qu’une équation du second degré entre trois
Variables , appartienne à une surface de révolution , il faut
24
57d .DES SURFACES
que les conditions P=o, Q:o, soient satisfaites. Rêciprol
quement, toutes les fois que ces conditions auront lieu , la
surface sera de révolution, ,et on pourra même déterminer
la position de l‘axe de révolution. '
En effet, des conditions (35) et (57) , on tirera
" -B E (D’——FÛ + 2CFD __ Kb’— 1
î 2CFD “ K—1 ’
â _ F (n’a—E2) + 2CED _ Ka’—; 1
‘ c” 2CED — Iç_1 '
en posant ‘
EF D D
EF——‘nCD—K’ F“’” E‘“’.
et de, celles—ci on déduit facilement
,Ë__ 2K1) ï_ 2Ka D'_2Kab_
Gï—K—1"_C—K—i’ Ù—K—l.
"I H 'G—
+Üz+Ëy+(ÿx=on
’ d’où ,
‘ (K_1)z’+ (Kb’—I) y’+ (Kif—1) x“+, 2Kb_yz + ,2Kaæz
‘ ' — I\ H K— V__
+2Kabxy+0{cl)' z+ (C l)x=
0)
c’est—à—dire , _ .
[" 'Ï(K—I) = +D‘T
Hua—1) à +l:’”_—(ËC_Û
2_C
' c _. .
J
, ’ œK(z+ax+by)a+ (K‘Ü’ÉË:+H’+I’) __ 4 (K?) =O’
\
D“——4(C—B) (C—A) = 0
est nécessaire pour que la surface soit de révolution; 5°. que
si les trois rectangles manquent , la_surfaœ ne peut être de
révolution qu’autan'r que deux des trois cneilic’iens C, B, A
sont égaux et de même signe : et lorsque{cette condition est
satisfaite , l'équation appartient à une surface de révolution
dont l’axe est parallèle à l’un des trois axes rectangulaires ,
celui suivant lequel se compte la variable dont le carré est
affecté d’un coefficient différent des deux autres.
n n2 n n“ _
—.;nî+ —P' ‘îÆ‘ \/Æ"P'
donc l’ordonnée Z’ du milieu de la droite qui joint les deux
n . . n
pornts d’intersection , est —— Nommant X’, Y’ les deux
11 .
autres coordonnées du même point , on aura par les équa—
tions (2) , ‘
r n r n
X’:M’+s, Y’:œ'Z’—l—C’, A’=—r....(ä).
m
Regardant X', Y’, Z’ comme des coordonnées variables dont
la valeur dépend des quantités C , 5’, si entre ces trois équa—
tions on élimine C, C’, l’équation résultante en X’, Y’, Z'
qu’on peut désigner par au , y , z, appartiendra à la surface
qui passe par les milieux de toutes les cordes parallèles à la
ou seconn nncmâ. 575
droite des équations (a). Les équations (5) donnent
C:x—:—az, C’=y—-a’z,
_ 2mz. = C(2au +dæ'—|—f) +C’(2ba’+ du+e) + ga+hœ’+ i;
substituant dans cette dernière pour C , C’, m leurs valeurs , on
trouve , après les réductions , ' '
œ(2aœ +d«.’+fi +y(zbæ'+ da+e) +z(eu’+fæ + 20)
+gæ+hæ'+ i:0; ...
équation d’un plan qui passe par le milieu des cordes paral—
lèles à celle des équations (2).
Pour que ce plan soit perpendiculaire aux cordes , il faut qu’il
soit parallèle au plan passant par l’origine , qui a pour équation
z+ax+a’y=o.....(5) \\
(chap. XVII,probl. V) : comparant (5) avec (4) , on a
a_&zu+du'+f ,_25a'+ dm+e/ (6
— eu’+fa+ac’ “ _eul+fu+ 2c' )’
équations linéaires l’une par rapport à u’, l’autre par rapport
à a : on en tire
u,___f+2u(a—c)—fw“
eu——-d ’
} (7)
eu"+ (fa: + 20 -— 217) u'— (du+c) = 0
mettant dans cette dernière pour a' sa valeur déduite de la
première , on aura une équation du troisième degré en a , qui,
comme l’on sait , admettra , au moins , une racine réelle a à la
quelle correspond une valeur réelle de u' donnée par la première
des équations (7). Substituant ces valeurs dans l’équation (4) ,
gn obtiendra l'équation du plan diamétral perpendiculaire à
toutes les cordes parallèles à la droite des équations (2). La sur—
face du second degré étant rapportée à ce plan diamétral comme
l‘un des plans coordormés , son équation sera de la forme
aræ!g+ blyla+ clz/s+ d/æÎyl + g/x’+h’y' —- 1 :0,
\
374 ms SURFACES
puisque, pour chaque couple de valeurs de x et y, on doit avoir *
deux valeurs de z, égales et de signes contraires. On fera dis—
paraître le rectangle et les premières puissances des variables ,
comme on l’a dit (196), ensorte que la proposée sera réduite '
à la forme (10) trouvée (196).
193. Nous allons rechercher les systèmes d’axes obliques
qui peuvent faire prendre à l’équation générale la forme par—:
ticulière
ua:‘+ C_y’+ 72.“ + d‘2. + s: o,
de laquelle il est aisé de passer à celles—ci ,
ur’+Cy’+yz’=A, ou aæ’ + 63” + à: 0'.
Soit la droite
æ:mz-{-y, y=nz+v:
on déterminera les points de rencontre de cette droite et de‘
la surface '
ax’+ by“+ cz’+dx_y+ qz+fzz+gæ+ hy+ iz. = 1 ,
par l‘équation "
1.” (am’ + Im’+ c+ dmn + en'+fm)
+z (2amn + 2bm—{—dny + dm: -‘» ev +fp+gm+hn+ i)
+ap“+bv’+dpy+gp+hr—I:o:
la demieomme des ordonnées des deux extrémités de la:
corde, est l'ordonnée z.’ du milieu de leur distance; les coor'—l
données de ce point seront donc données par les équations
æ'=mz’-«' ,u, y'=nz'+r, .
z, __(2am+dn+f) y+ (zbn+dm-}-e) 1+gm+hn+ i_'
_ 2(am’+bn’+c+dmn+en+fm)
On obtiendra l'équation du plan diaméttal qui divise égale—
ment les cordes parallèles à celle—qu’on a choisie, plan que
nous dirons cmijuguéà ce système de cordes, parll’élimination
DU SECOND DEGRÉ. 575
'des quantités y, rentre Ces trois équations; etl’équation ré—
sultante sera de la forme '
SxÇ-l— Ty’ + Uz' +V: 0 ,
S , T, U et V étant des fonctions de m , n et des coefficien‘s
de la proposée. Ainsi, étant donné un plan de position, on
pourra toujours assigner un plan conjugué parallèle , puisqu’on
pourra toujours déterminer les quantités m et n d’après la.
,condition que les coefficiens S, T, U soient égaux à ceux du
plan donné. '
. ‘Si l’on rapporte la surface à de nouveaux axes coord0nnés
dont l’un , celui des a: , par example , soit parallèle au système
des cordes,.et les deux autres soient dans le plan diamétral
'conjugué à ce système, il est évident que l’équation de la
.surface prendra nécessairement la forme
a'x’+ + c'z’+ e'yz + h'y + i’z + k’ = o ,
puisque, pour chaque couple de valeurs de y et Z, ou doit
avoir deux valeurs de x égales et de signes contraires.
L’intersection de la surface par le plan des (yz) , qu’on
obtient en faisant x: 0 dans ’équation précédente , a pour
équation ,
bÿ+ c’z’ + e(_yz + h’y + i’z + k’=o;
or on a prouvé qu’ilexiste une infinité de systèmes d’axes
coordonnés par rapport auxquels l’équation précédente peut
prendre la forme plus simple '
C’y’+7z’+Jz+s=o;
donc l’équation de la surface rapportée toujours au même axe
des x, et à des axes des y et z, choisis d’après la condition
précédente , prendra la forme
*r’+Ëy’+vz’+d‘z+ 2:0,
qui est celle que nous avons annoncée,
- On peut encore la simplifier , en déplaçant le plan’des (zy)
576 mas SURFACES
parallèlement à lui—même; et, pour cela, il ne faut que substià
tuer pour 2., dans cette équation , 2. + a , ce qui donnera
‘ux’+ Cyt+yz’ + (nyu +J‘)z+rya“+âw+ 5:0:
. lorsque , - ‘ _ æ
y n est pas. nul , on peut prendre a: : — -2-; , et
l’équation de la surface devient ‘
. æx’+Cy’+yz’=à.
Si 7 est nul, comme a deviendrait infini, on en disposera de
manière à faire disparaître le terme du + e , et l’équation
‘deviendra '
< au:’ + Çy’ + J’z = 0.
On observera que 0) étant infini, la courbe n’a pas de centre (196).
Il est clair qu’il existe aussi trois axes perpendiculaires
entr’eux , par rapport auxquels l’équation de la surface peut
prendre la forme '
“’23“ + G’y’ +y’z’+ J"z+a’=o,
-—'1Z. 7;.
1 1
2—{1—cos’u—cos’Ê—cos’y-F2 005 a cos Ccos 7}-— o;
DU sncom DEGRÉ. 575
d’où l’on conclut, d'après la composition connue des coelficiens
en racines de l’équation , 1°. que la somme
1 - l l
:+r+:
I
1 . —sm’y
-— 1 . 1 . ——sm%
-— 1‘ . a 1 . —-sm’u
—— 1 .
b c + c a + a b
,' : r’r" + r’r”2 + r'”r”’;
’Lx’+ My“—Ne’= 1,
on prenait celle-ci ' ’
L12" +Nz’—Mf= 1;
on voit que tout ce qu’on dirait de la première relativement
à z , s’appliquerait à l’axe des y dans la seconde : c’est pour«
(1‘) On pourra toujours compter les x, y et ésuivaut les axes sa, 212 , 2e.'
\
,5 _ ___‘É°._ .
-—' \/b”c°z’—Q— c’a’ê"+ a‘mÎä .
0|‘îw
Læ‘+My’: 1 —Ny“= 1 -— D
Ces sections sont donc encore des ellipses pour u < a, C< b,
c<»y. Pour «:211, C : b , c = y , chacune de ces sections
se réduit à un point, ce qu’on savait.
toutes les génératrices font donc des angles égaux aVec l’aire ,
l’équation résultante
".,l 'Z‘IÂ'x‘V—r’(M cos.’ç+Nsin’ }p)_ = 1Jk
\
qui passe par l’axe moyen 2b , et qui fait avec le plan (æy) ,
c a’—- b’
un angle dont la tangente.— E 772:; ,
2°. Que l'hyperboloïde à une nappe est coupé suivant un
cercle par un plan passant par le grand axe 2a , et faisant avec
a’— Il“ .
le plan (m‘y) un angle dont la tangente: \/ \
227. Toutes les sections faites par des plans suivant l’axe
des .r , sont des paraboles dont on obtient l’équation en
faisant, dans la proposée
z=rsingp, y=rcos9,
594 Des suurscrs
ce qui donne '
Na: = r'(Lsin’q> + Mcos’ç),
et la surface est de révolution autour de l’axe des x pour
L = M , auquel cas les sections par des plans perpendicu—
laires à l’axe des a: , sont des cercles.
'z’:ËXAP=ΑΟF;
0
Næ = r“(Mcos’ <p—Lsin’ç),'
en posant toujoæs
z=rsinç, y:rcoeç,
['] Voyez , sur cette figure , ce qui est dit (232) relativement au parnbolb’idc
hyperbolique.
Â,596 . . vars. svnmcrs
elle. représente une parabole qui Îa son sommet à l’origine
OÏ1 r est nul. Cette parabole se prolongeant à»l’infini, doit reficon—
' fier le plan parallèle à (zy), mené par PM, (fig. 168) : or
tout point de cette parabole appartenant à la surface ,, et
l‘hyperbole qui passe par M , contenant tous les points de cette
surface , qui sont dans le plan parallèle à_ (yz) mené par PM.
-'il‘s‘ensuit que la parabole doit passer par deux points de
l'hyperhole , qu'on trouvera en faisant 1: 4.: AP dans l’équa—
tion précédente-, ce qui donnera
Ï_ l . .r_+' 53'»N><AP
_ .Mcos’cp—«L‘sin’ç ’
r _ 1 _ N><AP V
’ z. : on: , y = C122
y‘=z\/ä, y=—z\/ä,
Elh'psoïde.
ijer‘bol’oïde à unefiappe.
Paraboloïde elliptique.
Pamboloïde hyperbolique.
[*] Les sections parallèles au plan (22) sont (226) représentées par
Lz= = Nx —- MC’, C’ étant la distance comptée sur'l’axe des f, du plan
de la section parallèle à celui des|(xz) :,or, pour NJÇ— MÇ‘ = 0, on a
z = o ; donc le sommet de toute parabole dont le plan est parallèle à (xz) ,
V . C'
est sur'la parabole de la section (1) : en faisant z = ÆN— + X, on ,.
Lz= = NX. ' '
‘4œ ' ' ne’s sunracu‘
sommet À”dela section (2) étant réuni au sotntuèt‘A de là
section '(1), et l’axe principal de la section (22) étant le pro—
longement de celui de la section (1) , à gauche de l'origine A ,
le plan de la première section soit perpendiculaire à celui
de la seconde. Toutes les seCtions faites dans la surface, par
des plans parallèles à celui des (yz) , sont dès hyperboles
dont les sommets sont sur la parabole (2). Les droites ts ,
t's', t”s”, etc. sont les traces des plans parallèles à celui des
(æz), qui coupent la surface suivant la parabole (a): les som
mets de ces sections paraboliques, sont A, s, s', s”, etc. Les
droites tt', tt’ représentent les intersections de la surface par
. le plan des (yz). Il faut encore se représenter les deux plans
asymptotes de la surface, conduits suivant l'axe des x, et
qui contiennent les asymptotes des hypetboles dont les som—
mets sont sur la parabole (2). ' ‘
(Ë>'-W—:ä)+ (i::’)‘—m’a/(:55?)
= "‘ " U” + 22’“) ..... ..(e),
Transportons maintenant l'origine des coordonnées du point
A qui représente l'origine, au point S ou au sommet du cône
(fig. 170), en laissant les nouveaux axes parallèles aux axes
primitifs , et désignons par X, Y, Z les points de la surface
rapportée à la nouvelle origine, celles du centre A rapporté
DU SECOND pagne. . 405
à l‘origine S, étant æ’, _y’, z': nous aurons ces relations
tan 0 EF __ z.’ __ n
g _ ED — æ’+ r — m ’
. l _
406 _ ‘ ces s'unr.äéÈs
Supposons qu‘à partir de la position s‘amuse à 53 , iè plan
coupant s’incline vèrs le plan horizontal , de manière à rencontrer
les deux cônes opposés 2 il résultera de cette pôsifiofi du plan
une courbe indéfinie dans les sens, formée de deux
branches tracées sur les deux cônes , et qui est l’hyperbole;
mais alors ’
I
c’est—à—dire, ’
’ V n’x'? — 2mnæ’z,’ + m9z'n __ Tan: < Q,
et de là ,
("ix""”m”x’z'+Wz"-'— en“) = B’—4AG> o...(i z).
caractéristique de l’hyperLole_
Supposons enfin que le plan coupant tfâvetsë le cône BSÛ ,
position qui sera donnée par l’hypothèse
' n ' z”
p 77 Y tugïOï,..;> æ,—-——__Ï,
on. en déduira '
—4z.” (n’x”—2mnx’z’—l—m’z"—fÿ‘) -'.:.è BÂ-'—‘ 4ÀC<O . . .(1J5) ,
7 56— . z'
Ïang D =D-——G = ';
donc ' I
tang(3_D) =.. _,aïs__ _ _ ,
x”— z” -— r“ _ p—z
.. 08 pas SURFACES
et conséquemment,
,_ tang0={—tang(B—D);
donc si l'on mène la ligne R’BR' de manière que l'angle
SBR=D , on aura
2 («m2. ’— r’yn)
nu seconn DEGRÉ. 409
si l’on prend NA = X(fig. 174) , on aura
_ _ NP‘ = NA + AP,
011 ' " \
raya __ ‘ez/2
æ:X+æi=a+
;q+ CN,
et remplacer à: par cette Valeur dans (14) i pour abréger
le calcul , nou‘s. Poserons
r’yn —— amz.” = N , -— r’n’ + m‘a” = D ,
ensorte que le résultat de la substitution sera
" / ,
._'Zfly ,, r’y’
+ #2” «— 9N = o ,N’ ’ N
Bu __ (en
— m“z’”—r‘n’ ’
B’ __ (un -— 7m) r
__ z, .
ensorte que l’équation (18), divisée par z", devient par le
fait de ces substitutions , '
A°_y’ + B’x’ = A’B° . . . . . . .(ao) ',
et l’équation (19) , divisée par z”, se change dans la suivante ,
A‘y’ + 3219 = 2AB’x .... ..(‘21).
Si l’on suppose l'angle au centre du cône, =' 100‘, on a
r = z.’, et après la division par 2.”, les équations (18) et (19)
deviennent ' ' ' .
CHAPITRE
Du plan tangent aux surfaces du second A
.
256.St l'on imagine un plan tangent à une surface courbe
quelconque , et une suite de plans qui passent parle point de
contact, et qui coupent la surface et le plan tangent l, sera
tiens faites sur la surface courbe, auront respectivement pour
tangentes ces droites intersections du plan coupant et du plan
tangent. .'
Réciproquement, si tant de droites qu‘on voudra sont tan—
gentes à une surface courbe, et ne forment qu’un seul et
même contact, elles seront situées dans le plan tangent à
cette surface , et elles détermineront ce plan , puisque chacune
des courbes passant par le point de contact, ne comporte
qu'une tangente. .
Pour obtenir ’équation du plan tangent, il ne s’agit donc
que d’exprimer algébriquement qu’une droite est assujétie à
passer par un point d’une surface, et à lui être tangente
dans toutes les positions. Lah1étbode que nous allons expo—
ser, et qui est analogue à celle dont on a fait usage (chap. 1X),
s’applique aux surfaces en général.
Nous représenterons par
Mz’+ Ny’+Px"+ M'z—l— N’y—F P’x+K=o. . . . ,
l’équation des surfaces du second degré, qui comprend en
effet, celles qui ont un centre et celles qui en sont dépour—
vues. Si 35’, y', 2/ sont les coordonnées du point de contact ,
on aura '
y - y" il — % (z\-—z’>
Pour l'ellipsoïde , par exemple, représenté (204) par
Læ*.+ My' + Nz.’ = 1 ,
l‘équation (5) du plan tangent devient
'Lx’æ + My’y + Nz’z = 1;
’
My’
xz’=x’z, y—y'= (z-— zÂ').
Nz’
'Aæ“+By‘+Cz’=l,
x+n+î ‘
a" I)” ' c"
Î+Î+î 1 ‘°"(4)i ,,
un, bug cflg
X+ï+î—l
.‘ \' aa' + bb’ +65 Il
ll 0
au" + bb” + ce” .....(5),
du” + b'b” +c'c”
et si, pour abréger, on suppose
a’+b’+c’::R2 ,
,a” + èr/;
au, + b" + c" = B'“
+ .cun= RI]; .
(*) Les formules (1), (a) , (3) trouvées (probl. Il, chap. XVIII) sup
posent, comme on le suit, et comme on peut d’ailleurs le conclure des
relations (17) et (18) , (probl. III) , dans le cas des axes 1’, y’, 3' rec—
tangulaires , ces relations , ‘
ms + n! + p2 = l
Ê : 0 .....(7).
[Je b’c' ' b”c"
Ê+F+W:°
a“a" a”2
Ë+F+W‘l
ba bIfl blln
1 .....(8)a
en clg Cl],
'n+ÿ+m=l
Maintenant il est aisé d’obtenir une équation unique entre
mn + m'n' + m”n" = o
nw+wr+ww=a}mnn
np + n’p’ + n”p" = 0
qui, conséquemment, ont lieu en même temps que les précédentes; mais
les équations (6) et (5) reviennent à celles-ci ,
a“ I;2 e”
nT+îr+îî=”
AUX SURFACES.. 4er
a: , y, z , et indépendante des coordonnées des points de
contact : en effet, élevant au carré les équations (a) des plans
tangens , après avoir divisé la première par R , la seconde par
R’, la troisième par R”, et ajoutant ensuite ces carrés , on aura ,
en'vertu des équations (7) et (8) , , '
I” I I
œ’+y?+za=Rî+Ïîa+'Ëîîïî
X+î+î"ÏF+PT=+ÏÏ"—=‘
donc ‘ .
æ+‘+r—‘
y _î+Bi+i
G
et elles sont identiques avec les équations (a) sous les hypothèses
__ a b c
”"‘R" ”=î’ P=TV
m, a’ n, b’ ,, c‘
=-—
fi/! u fi;i P :—
R”
Il II Il
n a L b u 0
’"—w "—pîw P=re*
dom: on en peut conclure '
e+e+e=u
%ä+%+%îä=r,
ä+%+%=tç
â—î+%+%=o,
Inc 1M I;”a"
x + tu»: + r”? = °»
422 PLAN TANGENT
C’est ainsi que M. Poisson a démontré ce théorème dû à
M. Mange , dans le n° 7 de la Correspondance sur 1’École
Polytechnique. #
Si par un point x', _y', z’, pris sur cette surface , on lui mène
un plan tangent (T), l’équation de ce plan sera (236)
(2Px’-F P“) a: + (2Ny'+ N') y + (an’+ M‘) 2.
y + P’x'+ N'y’+ M’a”: O. . . . .(5).
Supposons, en second lieu, que l’on propose de mener à la
surfaCe (S) , un plan tangent par un point extérieur P ayant
a, C, 7 pour ses coordonnées : on changera dans (5) x, _y, a
en on, C, 7 , pour dire que le point P est sur le plan tangent
(T), et on aura '
(2Pac'+ P") en + (2Ny'+ N') C + (‘2Mz'+ M’) 7.
+ P'x'+ N'y‘4—M'z' = 0,
ou '
(nPœ-FP”) x"+ (nNC+N’) _y'+ (2My + M”) 2.”
+P'æ+ N'Ë+VM'y=o.u..(4),_
CHAPITRE
Étant donnée d’espèce et de position dans l’espace,
une suzface du premier ou du second ordre , placée
comme on «voudra par rapport aux plans coor—
donnés , établir l’équation numérique de cette sur—
face, relativement à sa situation actuelle.
D D D
—X=5, —-É=2, —è-=5.;
d’où l’on tire ces relations ,
5A=2B:5C=—D;
faisant , par exemple , D = 1 , on aura
A=-'—_âs B=—%» C=-%i
ce qui donnera
1030 + 15_y +‘6æ — 50 = 0’
pour l’équation du plan.
DE LA mscvssms uns SURFACES. 427
2°. L’équation générale des surfaces du second ordre est
Aæ+ By’+ Cz.‘*‘d— Dæy+Eyz+Frz+Gx-i— Hy+Iz+L ;—_—o;
résolue par rapport à z, , elle donne
z=-—{ E_y+Fæ+l}
2C
-+— E°—-4BC 2 2___________
(EF—2CD) F’—4AC
______
_ 4Ce +_ 1_‘}’ + E2_4BC x’
E—=—4Bc __
‘/—4Î;—' X - 1 -— 1:
d’où
E’— 4BC __
T__I’
Ez+Fæ+l _
— 2€
pour æ=o,y=o,ona
ZI—‘I lb
—2C_ ’
d’ailleurs F =i et -—=
-—— E 0 donc
20 ’ 20 ’
_ z=-}x+i;
ensorte que
z =+% ac+ i =,— \/{Ea—ZZÊËËEy’—zy+âæ’—5x+sj}ï
de plus, pour a: = 5, y = % , l’ordonnée verticale 7., comptée
du centre de la surface , est = 1 ; donc
ET—'4BC , \ E’— 4130 __ .
\/-———4€1 >< — 1 , clou ———4Ca __ — 1 .
0—
__ËLÏ_I—_îË
2€ _ 20+1’
n
de“
E=l
2€ “
z=—%y—x+xi\/{Ë’-ËÂC Ey’—5xy+%x‘-4œ+41}.
Substituant dans le polynome en xy, sous le radical, pour :c
et y les valeurs AC 2 2, CO’= 5 , et observant que le
radical est nul, parce que l’ellipsoïde est concentré en 0’, il
viendra '
' E’—4BC _ o
Α4F“ - 5»
résultat_ indéterminé qu’on pourra supposer, pour plus de
simplicité , =— 1 , ensorte que
Supposons que le plan diamètre qui est parallèle à l’axe des en,
fasse aVec le plan des (æy) , un angle dont la tangente trigono
métrique soit égale à à , qu’il coupe l'aXe des z en un point
z: 1 et l‘axe négatif des _y: ’équation du plan diamètre
sera
z = — % y + 1 )
et celle de la surface
C z =4— '; y + 1
En— 0 u
i\/{-4—CÎà Ey‘+næy+%æ’- 8y—%y+—sfi]}
Faisant dans le polynome en œy , x: A0 :4, _y = o, et
observant que la valeur correspondante du radical, suppo—
452 INVÉRSE
sée :4, doit être imaginaire , on aura
E“—4ÎD __ ,\ E‘—4BC_
\/——4—CT—X4—flV—l, dou C3 _..—1,
/
*Ÿ'E’Î"
‘
E“ — 4BC
————=——1’
FIN.
28
434 ADDITIONS.
ADDITIONS.)
.r = .t \/ñlî"i a.DL.»
-——-—a
Or a.DL étant PM , on aura à construire les racmes
x = + \/ñä’+ m“,
et qu’à cette ligne on ajoute la , on aura la longueur CF telle
qu’en décrivant de C , comme centre , avec CF comme rayon ,
un arc, il coupera XX’ en F. Les deux racines
3 ———2
x = i DK -—- PM ,
sont imaginaires , en observant que PM > DK. La quatrième
racine '
. __2 __
a: : — \/DK + PM’,
donne une seconde solution. . .'
En prenant CE pour inconnue , faisant toujours CD =‘ a , et
posant EF = b , on a
BF = vm:æ =
et, après les réductions , ’
AB sont y=‘ï—rx;
CR.ÿ-.....J=“(Œ—æ’))
BC . . . . .
AB'..Ç...y:a'r, '
. , V
x’ et y’ étant les coordonnées du point A , et .13” étant AC.
On cherchera l’ordonnée du point B d'intersection des droites
AB et CR , puis l’ordonnée du point ‘R’ d‘intersection des
droites CB et AR’; on égalera ces deux ordonnées fonctions
> de a et a', et par là on dira que la droite 33’ est paral—
lèle à la base AC du triangle, ou, en d’autres termes, que
' les droites BR’, CR coupent proportionnellement les côtés du
triangle :‘ àl’eifet de rendre l'équation indépendante de a et‘a’,
on remplacera a et a' par leurs valeurs tirées des équations
des droites CR et AR’, ce qui donnera une relation entre les
coordonnées de l’intersection de ces droites dans toutes leurs \
— I Il , v
y _‘y
remplaçant æ’, x”, y', y” par leurs valeurs, et réduisant,
on trouVe '
/, , A2
a: :—,
a
44e ADDITIONS.
comme rayon , on décrit un cercle, il sera , en même temps,
tangent au petit cercle ; soient encore ME:z , AA’ :1; : on a
a
Les coordonnées du! centre , sont y = o , x = 5 ; r—- 1’ est
l'axe réel, le demi— second axe est “22— —(r
2 'J )a , et
c’ = A” B" = 1
+ 4.
' les. foyers sont les centres' des cercles” donnés. 'L'uné’ydes
'branches de l'hyperbole , es't le lieu des centres' des cercles
Tangens envdoppans’; l‘autre est le lieu des centres des cercles
intérieurs; On observera que ‘
AM:2—r, A'M=z—r’, d'où A'M—AM:r—r’.
‘On discutera lès cas où les deux Cercles sont égaux et celui
'de r + 1’ = a. .Ù
on n’a que trois équations et les quatre inconnues x', y', A.’
et B' à évaluer. Mais si l’ellipse doit toucher le côté TH en
son milieu, on a de plus l’équation
442 ADDITIONS.
m
Puis qne .7’=——
à , on a
Il
.r' = — — A', 1 A
2
valeurs qui, reportées dans les équations (1) et (5), les
changent en celles-ci ' .
A"m’ + B”n’. = 4A’B”n , n = 5A' ,
d‘où '
I __ _ __ l
A __ v5.
AP:’PÎ-Î-, PM = €75,
'A,,___ecÇ—:Ë-_I>, pm=m%æ2;
444 ADDITIONS.
on trouve de la même manière,
AM’ : (z+‘l)a, M’B = (n—z—1)a,
Am’ = (n—z)b, m'C :=\pbz,
Ap' =P_(_Îi_g, P'M' = Œ_fl,
n 'n
I_P(n_z) ‘r ,_q(n—'z)
AP—‘îr"Pm*—î7“
L’équation de Mm sera
.7
_Ë_uiflii_x_Œ)
n —p(2z—n—1) n
celle de M’m’ sera
qe+o__q(m+o
7“7“*fi;::fi3x _pu+u),
’7TÔ»
éliminant z. entre ces deux équations, on obtient une relation
entre les coordonnées 1: et _y du point de rencontre, qui
parce qu’elle est indépendante de z, a lieu entre les coor—
données des intersections de toutes les droites menées comme
celles que nous venons de considérer : cette relation est
' pny“—2q’(n+rr)x+Pq’(n+2)=°
Pesant ‘ .
' __ , p(n+2) '
‘ x‘œ+2m+u’
on trouve la reduite _
a __ 21;“ (n + ‘1 )
.7 — "—'—‘_“
pn ’
qui est ’équation d’une parabole rapp0rtée à un système de
diamètres conjugués. ' ' '
Problème X.À Trouver le lieu du sommet d’un triangle
dont la base AB est donnée (fig. 189) , et dont les deux;
angles DAB , DBA sur cette base, ont une difi’ë’rence donnée
et constante. >
ADDÎTIONS. 445
Soient AB :20, A l'origine , AB l’Axe des abscisses, et
les antes rectangulaires , k la différence des angles , et t sa
tangente. D’après l’énoncé , on a '
.I 1\ _a+al I__'t—a
AVERTISSEMENT , page iv
CHAPITRE I”. Constructions géométriques et problèmes déter
minés , ‘ 1
CHAP. Il. Élémens de position d'un point dans un plan;
notation algébrique de ces élémens. Équation d'une droite
dans un plan ,_ rapportée à des coordonnées obliques et
rectangulaires. Problèmes. Autre équation de la ligne
droite, au moyen de la perpendiculaire menée de l’origine
sur sa direction , et de l’angle de cette perpendiculaire
aVec l'aXe des abscisses. Équation polaire de la ligne
droite , ‘ ‘ _ 22
CHAP. III. De la transformation des coordonnées dans un
plan , ' ‘ 58
CHAP. IV. Construction et discussion de l’équation générale
du second degré entre deux vàriables , 62
Courbes caractérisées par B’— 4AC < 0, , 70
. 'Courbes 'caractérisées par B"—— 4AC : o , ‘ 76
Courbes caraCtérisées par B’—4AC >o , 84
CHAP. V. Des asymptotes, 91
CHAP. VI. Étant donnée d'espèce et de position une ligne
quelconque du second degré, placée comme on voudra
par rapport aux axes rectangulaires des coordonnées, éta—
'blir l'équation numérique de cette ligne, 105
CHAP. VII. Réduction de l'équation générale à l’une ou à
l'autre de ces deux formes \
My’+Nx’+P=o, My’4—Næ’—l—Qx=o, i13
FIN DE LA TABLE.
" sires!
NOTICE
DES
PARIS.
Mai 1817.
AVIS. Indépendamment des Ouvrages portés sur le présent Catalogue , on trouve
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les Mathématiques élémentaires et lr_anscendantes, l’Astronomie, la Marine,
la Mécanique, l’O tique, l’Horlowzne. l’Ardtiteclure civile et h draulique,
l’Art Militaire , :1 Physique, a Chimie, la Teinture, la Ilä'néralogie,
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Ces Ouvrages sont en partie détaillés sur mon Catalogue général, quj’gnpc”ai
gratis aux personnes qui m’en firent la demande,
( Les Lettres nonÎfi’ranchies ne me parviennent pas. )
Nora.Tous les prix marqués surle présent Catalogue sont ceux deParis et broché; ;
les personnes qui désireront recevoir les Livres francs de port par la poste, ajou
teront un tiers en sus. ( Les Ouvrages reliés et cartonnés ne peuvent être
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. anal tiques sur le même sujet, in-8., 1809. 2 In 50 c.
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nouvelle édition , entièr'emcnt refondue et augmentée, grand in-4., cart. ‘ 10 lr.
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à l’usage civil, à l’Astronomie et à la Naviganon , avec 38 pl. , 2 vol. i -4. 36 fr.
3°. HISTOIRE DE LA MESURE DU TEMS PAR LES HO LOGES.
Paris, 180,2, 2 vol. in— ., avec 23 l. gravées. 36 fi-_
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tion, la main—d’œuvre de ces machines, et la manière de les éprouver, un
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5°. ECLAIR(ÂISSEME S SUR L’INVENTION , la théorie, la construction
et les 6 reuvcs des nouvelles machines proposées en France pour la détermi
nation es longitudes en mer par la mesure du tems, Servant de suite à l’Essai
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Notes , et d’une Section supplémentaire où l’on donne la manière de faire les
Calculs des Observations, avec des nouvelles Tablès qui les facilitent; par M. de
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degré uelconqne, «l’a rès laquelle tout le calcul exige pour cette réso itiion se
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in-8. , nouvelle édition. _ , 4 fr. 50 c.
BUQUOY. Exposition d’un nouveau princzpe de Dynamique, in4}., g815.
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Non. Chaque million se vend séparément, savon : le 1" million 15 fr. , et les 20
a! 3‘ million, chacun 12 . 0
——TABLES DE LA LUNE, Ouvrage faisant partie des Tablcs astronomiques
tiblées ar le Bureau des L011 itudes,,in-4. , 1 12 . 8 fr .
CXGNOL . TRAITE DE TRIO. NOMETRIE, trad. de l’italien par M. Chompr_ä,
deu;ième édition, revue et amidérablement augmentée, 111—4. , 1808., 18 1;.
r Î4)
CANARD. Traité élémentaire du Calcul des iné italiens, in-8. , 1,808. 6 M
CARNOT , Membre de l’Institut et de la Légion—d’ anneur. GÊOMETRIE DE
POSITION, in-4., papier vélin, 1803. ' 18 fr.
Idem, grand papier vélin. 36 fr.
-—- [Mémoire sur la relation ui existe entre les distances respectives de cin
points quelconques pris dans espace, suivi d’un Essai sur la théorie des Trans—
versales, in-4., 1806. 5 11‘
v—- DE LA DEFENSE DES PLACES FORTES, Ouvrage composé par ordrè
du Gouvernement, pour l’instruction des Elèves du Corps du Gémc , a“ édition ,
1811, in-8. 6 fr;
-—Le même Ouvrage, troisième édition , considérablement augmentée, un vol.
in—’. avec 11 lancb,es très bien -avées, 18m. , , 1’. fr.
LA OBRELATION DES FIGURES DE GEOMETRIE. Paris;
, au 9,, in-8., grand papier. , 3 fr.
—.REFLEXIONS SUR LA METAPHYSIQUE DU CALCUL INFINI
TESIMAL seconde édit., 1813. _ 3 fr. 50 c.
——Exposé d,e sa conduite politique, depuis le ter uillet18i4,in—S., 1815. 1 fr. 256.
CARTE BOTANIQUE de la Méthode naturelle c Jussieu, in—S. , et 4 tableaux,
_ format adanti e. ' 6 fr.
CHAMBON-DIËMONTÀUX. Traité de la Fièvre malignesimpk, etdcs Fièvre;
- com li uécs de malignité, 1ïvol. in—12. ' 10 fr.
CHA T U. Histoire de ’rance abrégée et chronologique, depuis la première
expédition des Gaulois jusqu’en se tembre 1808,etc., 1808, 2 vol. in-8. 16 lr.
-—- Tablettes chronologiques cht&cumentaires pour servir à l’étude de l’Hîstoitè
civile et militaire'de la France, depuis l‘arrivée de JulesCésat‘ dans lès Gauleç
ills( u’à nos ’ours, etc., in-3. 4 fr.
CHLlÂDNI, l)octeur en Philosophie et en Droit, Membre de la Société goyale
d’Harlem , de la Soeie’té des Scrutateurs de la Nature de Berlin , Carres ion.
'dant de l’Acade’mie de Saint—Pétetsbourg, etc. TRAITE D’ACOUSTI E,
avec 8 l., in-3. , 1809. . ï]fr. o c.
CHÉ)IËIPËE. Méthode la plus naturelle et la plus’simple d’enseigner à 'rfç, iris—8.,
1 1 . , , , 1 r. n c.
CHORON, Correspondant de l’Institut. MÉTHODE ELEME "PAIRE D COM
POSITION. où les préceptes sont soutenus d’un grand nombre d’exemples très
clairs et fort étendus, et àl’uide de la uelle on peut apprendre Soi-même à compose:
toute espèce de Musique; traduite ilc l'allemand de Albrccbtsberger (J. Georg.) ,
Organiste de la Cour de Vienne, etc. ,‘ct enrichie d’une Introduction et d’un
gêntäd nombre de Notes, par A. Ch0l’0n , 2 vol. in-8. , dont un de Musique,
1 1 . :2 l'r.
CHRISTIAN. DES IMPOSITIONS et de leur influence sur l’Iudustrie agricole
manufacturière et commerciale, et surda prospérité publique, iu—8., 1814.
- ' 2 fr. 50 c.
CLAIRAUT. ÉLÉMENS D’ALGÈBRE, sixiènie édition, avec des Notes et des
Additions très étendues , par M. Gantier , précédé d’un Traité d‘Aritlxmét_iquc
par Théreuew , et une Instruction sur les nouveaux poids et mesures , 2 vol. in-8.,
1801. , () l1'.
‘— THEORIE DE LA FIGURE DE LA TERRE , tirée des principes de l"Hx
drostati ue , in-8. , deuxième édition , 1808. m tr.
COND AC. Langue des Calculs, in-8. 5 fr.
;——Le même ouvrage, 2 vol. in-12. 4 fr.
— Grammaire française, 1 vol. in-12. 2 fr.
CONDORCE’I‘. Essai sur l’application de l’Analyse aux probabilités des décisions
rendues à la luralité des voix , 1 vol. in—4. ' 15 fr.
s—- ]l’1qyen d apprendre à compter sûrement et avec facilité; Ouvrage posthume,
, deuxième édition, in-m. ‘ 1 fr. 50 c.
CONNAISSANCE DES TEMS à l’usage des Astronomes et des Navigateurs,
publiée par le Bureau des Lougitudes de France, pour l’année 1817 , avec Addi—
tions, broché. 4 6 fr.
—-v-— Il]. , pour l’année 181g , sans Additions. é fr.
—— Id. , pour l’année 181 , avec Additions. ir.
——-ltl. , pour l’année 1818 , sans Additions. 4 fr
-——1d. , pour l’année 1819, avec Additions. 6 fr.
q-—— 1d. , p0ur l’année 1819, sans Additions. . 4 in.
On peut se procurer la Collection complète ou des années séparées de cet
Ûuvmge, depuis 1760 jusqu’à cejour.
_ COIŒlER (Ed1uond) , Imtitutcuæ. L'Abcülflfrdflçaiæ, 2 vol. in<8. 6 fr.
I /
(5) .
, CORDIER. Ilh’m0n’al de TÏzéodnre, in—8. ' 1 l’r. 15 c.
-— Pré arntinn z‘t l’étude de la 7l]ytholo€ie, in-S. , 1810. 3 fi-,
COUSI .T-RAI’I‘É ELEMENTAIBE de ‘Analyse mathématique ou d’.?lgèbre ,
in-8. r. 50 c.
—— TRAITÊ DU CALCUL Dl FFÉRENTIEL et intégral, 2 vol. in-4. , 6 pl. 31 fr.
D’ABREU . PRINCIPES MA'I’IIEMATIQU ES de feu Joseph—Anastase da Cunha ,
Professeur à l’Université de Coimbre (comprenant ceux de l’Arithmétiqne, de
la Géométrie , de l‘Algèbrè , de son application à la Géométrie, et du Calcul
difl‘c’reutiel et intégral), traités d’une manière entièrement nouvelle , traduit litté—
_' ralemcnt du port nia, in-8. , 1816. 5 fi.
D’ALEMBEB . (Ëolleetion complète de ses ouvrages sur les Mathématiques. )
D’A}tÇOIË. De la force militaire considérée dans ses rapports conservateurss, I;n
v0 . 1n- - r.
DAUBE. Essai d’Idt‘ologie , in-8. 4 fr.
D'AUBUISSON. [Mémoire sur les Basalte: de la d’axe, accompagné d‘obser—
‘vations sur l’origine des Basaltes en général lu à la Classe des Sciences physiques
et mathémati ucs de l’Institut national, 'an '1, in-8. ‘ 3 t}.
DAULNOY. alcul des Intérdts de toutes les sommes à tous les taux, et pour
tous les ’ours de l’année, etc. ‘ _ 1 fr. bo e.
DEFENS 1 D’ANCONE et des Départemens romains, le Tronto,‘ le Musonc et le
Mctaurn , ar le général Monnier, aux annôes 7 et 35, 2 vol. in-8. 10 fr.
DELAISTR’iË, ancien Professeur à l’Ecole Militnire (le Paris. Encyclopédie de
Ph: c'nicur, ou Dictionnaire des Ponts et Chaussées, 3 vol. in-8. , avec un vol.
de p . , in- . 48 fr.
DELAMBHI‘. , Secrétaire perpétuel de l’Institut , Membre de la Le' ion-d’Honneur,
Trésorier de l’Université royale de France, etc. TRAITE CO PLET D’AS
ÏèRÈJNOMIE THEORIQÎJE ET PMTIQUE, 3 Vol. in-4. , avec agplnnch.,
1 1 . . (in fr.
NOTA. Cet ouvrage est sans contredit le meilleur Traité d'Âstronomie et le
plus complet qui ait encore paru ; il remplace celui,de,Lalamle qui est e' nise'.
—Abrét:é du ,même Ouvrage, ou L ÇONS ELEMEN'Ï’AIIiES )’ASTRO- ‘
NOMIE THEOBIQUE ET PRATIQUE données au Collège de France,
' un v . in-8., avec 14 ilaneh., 1813. 10 fr.
M "l’HODES ANA&ÆTIQU ES pour la détermination d’un arc du Méridien
Paris, au 7 in-4. \ 6 fr.
—-—— TABLES ASTRONOMI UES publiées par le Bureau des Lori itudes de
de France. Première partie, ables 1:. Soleil par M. Delambre; Ta les de la
Lune par M. Biir , in«/., 1806. r8 fn
—T.ABLES AS RON‘OMI UES ubliées par le Bureau des Longitudes de
France; nouvelles Tables de npiter t de Saturne calculées d’après la théorie
de M. Laplace, et suivant la division décimale de l’angle droit, par M. Bouvard,
'
1n—’. fr .
-——î’ABLES ASTRONOMIQUES du Bureau des Longitudes; Tables 'tiélip
tiques des Satellites de Jupiter, d’après la théorie de M. Laplncc cela totalité
des observations faites depuis 1662 jusqu’à l’an 1802, par M. D‘elnmbre, in
181 . fr.
——-— TABLES DE LA LUNE (voyez BURCKHÀRDT. ) 9
Easçs du S stème métrique, 3 vol. in-’p {FI/ayez BORDA.) 66Tr.
DELAME’I’HER E, Professeur au Collé e de rance Rédacteur du Journal de
Ëlnysique, etc. CONSIDÉRATIONS SË'R.LES E'I’ËES ORGANISÉS , a vpl.
In . la r;
—-v-DE LA PERFECTIBILI'I’É et de la dégénérescence des Êtrcs.organisés ,
formant le tome 39 des Considérations sur les litres organisés , 1 vol. in—8. 6 fr.
— DE LA NATURE DES ETRES EXISTANS , 1 vol. in-8. ,6 fi;;
-a.— LEÇONS DE MINERALOGIE données au Collège de France , 2 vol. in-8.,
. 1812. 14 li“.
—-—8[éEÇONS DE GÉOLOGIE données au Collège de France, 3 vol. in-8. ,
1 1 '. ‘ , 18 fr:
DELAU. DÉCOUVERTE DE L’UNITE et généralité de principe, d‘idée et.
d‘exposition de la Science des Nombres, son ap lication positive et régulière à
' l’Algèbre , à la Géométrie , et surtout à la pratique, aux développemens et à '
l’extension du r,e'ei,equ stème décimal, etc. 3 fr.
DELUC. TRAI’ 'E ELE ENT'AIRE DE GÉOLOGIE , in-8.., 18,09. ‘ 5 fr.
IÀE’SII’UTT-TflACY, Pair de France, Membre de l’Institut. ELEMENS D’I—
DEOLOGIE, 4 vol. in-8. 3') f1‘.*
Chaque volume se vend séparément, savoir:
w1uænoam proprement dite, in-8.,,ae édition, 5 tel
( 6) *
DESTU'I‘T-TRACY. GRAMMAIRE, me. , s a.
—— GlQËJE , in-8. 6 fr.
-—;I‘R:äl'ä DE LA VOLONTÉ ET DE SES EFFETS, 4‘ et 5' Parèies,
in—. ., 1 1 . f ,
—PRINCIPES LOGIQUES, ou Recueil de faits relatifs à l‘intelligence humainé, '
in—8. , 181 ., , , 2 fr .
DEÆËLEYFELÊMENS DE GEOMETRIE, avec figures , seconde édition , in-8.,
1 1 . 6 fr
—— Physique d’Emile , in-8. 4 1}.
Et autres ouvrafes du mc’me Auteur.
DIEUDONNÊ—' HIÊBAULT , Proviseur du Lycée de Versaillcs. GRAMMAIRE
PHILOSOPHIQUE , ou la Métaphysique , la Logique en un seul corps de doc«
trine, 9 vol. in-8. 7 fr.
—Traité du StyÉe , 2 vol. in-8. , fr.
DIONIS-DU-S JOUR. TRAITE DES MOUVEMENS APPARENSÆËIËËS
CORPS CELESTES, 2 Vol. in-4. l"
—Essai sur les Phénomènes , etc., in—8. 6 fr.v
DRÉJET. Mémoire sur différentes questions relatives à la Physique généra}e , ir15-8.,
1 11. 1 r. a c._
DUBOURGUET- Traité de Navigation, Ouvrage approuvé par l‘Institut de
France , et mis à la portée de tous les Navigateurs, 1808 , in-4. , avec figures et
tableaux. 22 fr
-— Traités élémentaires de Calcul dife’rentiel et de Calcul intégral , indépen—
dans de toutes notions de quantités infinitésimales et de limites; Ouvrage mis à
la portée des Commençans, et où se troment plusieurs nouvelles théories et mé— 4
thodes fort simplifiées d’intégration, avec des applications utiles aux progrès des
. Sciences exactes, 2 vol. in—8. 16 fr&
DUCHATELE'I‘. Principes mathématiques de la Philosophie naturelle, a/vol.
m- . - > -
DU REST. Vues nouvelles sur les Courans d'eau, la Navigation intérieure et
la Marine , in-8. , 1803. 4 fr..
DUFèRESNE. .b’ar‘ré'me, ou Comptes faits, pour les achats et ventes d’eau-de-vie,
in— . , 2, fr. 59 c.
DUPIN, Capitaine du Génie maritime, etc. DEVELOPPÊMENS DE GEO
MÉTRIE , avec des applications à la stabilité des vaisseaux , aux déblais et rem
blais , nu défilement, l‘optique, etc. , äour faire suite à la Géomrtrie descri .
rive et à la Géométrie
- ——ESSAIS SUR DEMO anal T
'ti ENES
\e de M.et sur
ongc,
sonin-î., avec planch.,
e‘ oquenee, 1813.une15tra—
contenant
duction des Huraugues pour Olynthe, avec le texte en regard; des considérations,
sur les heaules des pensées et du style de l’0rnleur athénien ,_ in-8. , 1814. 4 fr.
-— Du rétablissement de l’Acade’miede Marine, in-8. , 1815. 1 fr. 50 c
-——Tableau de l’Architecture navale militaire, analyse, etc., in-4., 1815.
1 fr. 50 c.
DUPUIS MÉMOIRE EXPLICATIF DU ZODIAQUE chronolagi 11.6 et my—
tholo ique, Ouvrage contenant le tableau comparatif des maisons 2 la Lune
chez
s’ lient,
es diΎrens
d’après peuples
les Égyptiens,
de l’Orient,
les Chinois,
et celui des
lesplus
Perses,
anciennes
les Arabes
observations
les Châl—.
Y , . ;
décris et les Calendriers grecs , m- .,, 1806. ' 6 fr.
DU PUIS. ANALYSE RAISON EE DE L’ORIGINE DE TOUS LB
CULTES, ou Religion universelle ; sur l‘ouvœgepuhlie’ en l’an 111, vol. in-8. 3 fr.
DURAND. Statique élémentaire, ou Ess:ü sur létat géographique , physique et
politique de la Suisse; Ouvrage consacré à l’instruction de la jeunesse, 4 vql.
m- . 12 r.
DUEENS. Analyse raisonnée des principes fondamentaux de l‘Economie politique ,
in . ‘ fr.
DUVILLARD. RECHERCHES SUR LES RENTES, les Emprunts , etc. , i1à-4. ,
l'r..
-— ANALYSE ET TABLEAU de l’influence de la petite ve’r0le sur la mortalité
a chaque âge, et de celle ’uu préservatif tel que la vaccine peut avoir sur la
,population et la longévité , 1 , in-4. 10 fr.
If oge de l’lWesse, nouv. édit. , fig., in«l:. 1 fr. 50 c.
Eln e de I(nltaire. rLahar e. in-8. _ ' . 1 fr. 50 c.
EU ElL ELEMEN D’AL BRE, nouv. édll., 18o7, avol. in-8. 12 fr.
Cette édit. est la meilleure et la plus complète qui au maire paru. La première
partie contient l’Analyse déterminée, revue et augmentée de Notes par M. Garuicr.
a deuxième partie contient l‘AnaIyse indéterminée, revue et augmentée de Note\
par M. Lagrangc, Sénateur, Membre de l‘Institut, en.
I
(7 ) '
' EULÊR. LETTRES A UNE PRINCESSE D’ALLEÏWAGNE, sur divers sujets de
Physi ne et de Philosophie, nom. e'rlit., conforme z. l’édition originale de Saint
Péters ourg , revue et augmentée de l’Eloge d’Euler par Condorcet, et de diverses
Notes par M. Labey , Docteur èsSciencxs à l’Université, ex-Instituteur à l’École
Polytechnique, etc., a forts vol. in-8. de 1180 pag., imprimés en caractère neuf
dit Cice‘ro gros—œil, et sur pap. carré fin, avec le portrait de l’Auteur, 18m,
brochc's. fr.
—— Et pa ier vc’lin‘, dont on a tiré quelques exemplaires. 30 fr.
——Intro uctio in Analysin infinimer , 2 vol. in-4. 24 fr.
7 Et' tous les autres Ouvrages de cet Auteur.
FISCHER. PHYSIQUE MECANIQUE, traduite de‘l’allemand, avec des Notes
de M. Biot, in 8., seconde edir., 1813. 6 fr.
FLEURIEU, Membre dcl’_'nstitutnatinnal des Sciences et desArts, et du Bureau des
Longitudes , etc. VOYAGE AUTOUR DU MONDE, pendant les années 1790,
rçgr et V;92,fpar E'I‘IENNE MARCHAND, Yl‘éCédé d une Introduction histo
rique; truque on a joint des Recherches sur es Terres australes de Drake, et
un Examen critique du|Voya e de Roggeweeu, avec Cartes et Figures; par
P. C. CLARET FLanrEU, MemËre de l’Institut national des Sciences et des Arts,
et du Bureau des Longitudes, etc. , 4 vol. in—4. , 1809. 40 fr.
-— Le même Ouvrage, 5 vol. in-8. , avec Atlas in-4. 25 fr.
Application .du ùÿstèmc métrique et décimal à l’Hydrographie et aux Colcr;ls
de Navigation, m-’. . 5 r-
FLORE 1\AT UREËLE ET ÉCONOMIQUE DES PLANTES QUI CROIS
SISNT AUX ENVIRONS DE PARIS , au nombre de plus de 400 genres et de
1400 espèces , contenant l’énumération de ces Plantes , ran c'cs suivant le système
de Juas1eu, et par ordre alphabétique , leurs noms triviaux , eurs synonymies fran—
çaises, leurs descriptions, les endroits où se trouvent les plus rares, leurs pro—
Friétés pour les alimens, les médicamcns , l"art vétérinaire, les arts et métiers et
’omement des jardins : ne édit. , augmentée de la Flore naturelle et de 2 planches
soigneusement gravées; par une Société deNatllralistes, 2 vol. in-8. a plus Je
880Æages. 10 fr.
F U CROY. TABLEAUX SYNOPTIQUE DE CHIMIE, in-fol., cart. 9 fr.
-— Analyse chimique de l‘Eau sulfureuse d’Enghieu, pour servir à l’histoire des
eaux sulfureuses en général, in—8. 5 fr.
FRANÇAIS, Professeur à Metz. Mémoire sur le mouvement de rotation d’un
cor vs solide autour de son centre de masse, m-4., 1813. _ 2 fr 50 c.
FRA CHINI. Mémoires sur l’intégration des Equations dtlférentxelles, 1n-4.
1 fr. 50 c.
FRANCCEUR, Professeur de la Faculté des Sciences de Paris, Examinateur des V
Candidats de l’École Polytechnique, etc.
1°. COURS COMPLET DE MATHEMATIQUES PURES, dédié à S. M.
Alexandre I", Empereur de toutes les Rnssies; Ouvrage destiné aux Elèves des
Écoles Normale et Polytechnique, et aux Candidats qui se préparent à y être
admis, n Vol.,in-8. , avec planches. V , 15 fr.
2°à TË_AITÉ 8ELEMEN'BAIRE DE MÉCANIQLE, à l’usage des'Lycées, clef. ,
. e,e’ tt., in- . ' r.
3°. ELÉMENS DE STATIOUE, in,—8., . _ a.
4°. URANOGRAPHIE, ou "l‘RAIT'I ELÉMENTAIRE D’ASTBONOMIE, à
l’usage des personnes peu versées dans les Mathématiques, accompagné de Pla—
nisphères, 1 vol. in-8. 7 fr.
FÜLTON. (Robert) Recherches sur les mo cns de perfectionner les Canaux de
navigation , et sur les nombreux avantages tics petits Canaux, etc., avec le Sup«
älëment. 7 fr. 50 c.
F RGENSEN. (Urbain) Horloger. Principes généraux de l’exacte mesure du.
temps par les Horloges, etc. Copeuhaguc, 1805, 1 vol. in-4., avec atlas de
r9 lanchcs. . 30 fr.
GAR ’IER, ex-Professenr à l’École Polytechnique , Docteur de la Faculté des
Sciences de l‘Université, Professeur de Matllémati ues à l’École royale militaire.
COURS COMPLET DE MA'l'HEMATIQUE ', com tenant:
r'. TRAITE D’ABITHMÉTIQUE a l’usage des Elèves c tout âge, deuxième
édition, in—8., 1818. ‘ 2 fr. 50 c.
n°. ELEMENS D’ALGEBRE à l‘usage des Aspirant; à l’École Polytechni ne,
troisième édition , in«8. , 18r1 , revue corrigée et augmentée. fr.
3°. Suite de ces Eic‘mens, ne partie. ANALYSE ALGEBRIQUE, nouvelle édit.
considérablement augmentée , in-‘8. , 18 . 6 fr.
4°. GEOMÉ’I‘RIE ANALYTIQUE, ou Application de l'Alïèbre à la Géométrie,
seconde éùtron,rcwe etaugmmtéc,un robin—8. avec 14 p ., 18r3. 5 fr. 50 c.
\\ / .
<8) '
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cueïldeProblèmes et de Théorèmes , et de la construction des Tables trigonoméw
tri, nc,s , in-8., ne édition , considérablement au montée, 1310. 5 fr.
6°. E EMENS DE GEOMETRIE, contenant les deux Trigonométries, les Élé—
mcns de la Polygonométrie et du levé des Plans, et l’Introductiun à la Géomé
trie descriptive, uu vol. in-3., avec pl., 1812. 5 fr
.70. LECONS DE STATIQUE à l’usage des Aspirans à l’École Polyteclrnigue,
un vo . im8., avec 12 i. , 1811. . fr.
8°. LEÇONS DE CAL(ÊUL DIFFÉRENTIEL, 3e édition, un vol. in—8. , av;œl
l. , 1811. , 7 1'.
9°.4 EÉÇONS DE CALCUL INTEGRAL, un vol. in-8., avec pi. , 1812. 7 fr.
10°. Discussion des Racines des Équations déterminées du premier degré à
plusieurs inconnues , et élimination entre deux équations de degrés quelconques à
deux inconnues, deuxième édition., 1 fr. 80 c.
GAUSS. RECHERCHES ARITHMETIQUES, traduites par M. PouletDelisle ,
Elève de l’École Polytechnique , et Professeur de Mathématiques à Orléans , 18vfol.
in-’. 180 . ‘ 1 r.
CIBÂIiD, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées, irecteur du Canal de
1’0urc et des eaux de Paris. RECHERCHES EXP RIMENTÀLÊS SUR.
L’EA' ET LE VENT considérés comme forces motrices, applicables aux
moulins et autres machines à mouvement circulaire, traduit de l’anglais de
Smeaton, in—4. , avec planches, 18m. 9 fr.
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tance, in- . . v 13 fr.
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suivie d’un nouveau Traité de l’achat et de la vente des matières d’or et d’argent 1
avec l’Art de tenir les Livres en parties doubles, 1793, in-4. 15 fr.
-——Le Flambeau des Comptoirs, contenant toutes les écritures et opérations de
Commerce de terre, de mer et de Banque, nouvelle édition, corrigee et au .,
1*_ 7, in- . fr.
GIËDD-CÂANTRÀNS. ESSAI SUR LA GÉOGRAPHIE PHYSIQUE , le
climat et l’histoire naturelle du département du Doubs, 2 vol. in-8. 10 fr.
GOUDLN (Œuvres de M: B. ), contenant un Traité sur les ropriétés communes à
touÆles les Courbes, un Mémoire sur les éclipses de So eil, nouvelle qdit5ion,
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rique et pittoresque de tout ce ni concerne le peuple romain , dans ses costumes
civils , militaires et religieux, ans ses mœurs publiques et privées, depuis Ro—
mains jus u’à Auguste; Ouvrage orné de 50 portraits, 1 vol. in—4. 12 fr.
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Arts; Ouvrage orné de gravures coloriées, re résentant ce qu’il y a de lus in—
téressant sur l’Astronomie, la Géologie, la 'létéorologic, la Géograp ie , les
trois règnes de la Nature, les Mathématiques, la Mécanique, la Physique, etc. ,
un gros vol. in-4. , renfermant 94 livraisons, 1812. . ' 80 fr.
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. HACH TTE, (ex-Professeur à l’École Polytechnique. PROGRAMME D’UN
COURS DE PHYSIQUE, ou Précis des Leçons sur les principaux phénomènes ‘
tige la nature, et sur quelques applications des Mathématiques à la Physique, in-8.,
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HATCHETT. Membre de la Société royale de Londres. EXPÉRIENCES NOU
VELLES ET OBSERVATIONS SUR LES DIFFERENS ALLIAGES DE
L’OR, leur pesanteur spécifique, etc. , traduites de l’anglais par Lerat, Contrôleur
du monuoyage à Paris, avec des Notes par Guyton-Morveau , etc. , in-4. 9 fr.
HAUY, Membre de l’Institut et de la Légion-d’Honneur. Traité élémentaire de
Physi ne, 2 vol. in-8. , pap. vélin (le pa ier ordinaire est épuisé). 33 fr.
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CRAPHIE et de l’Analyse chimique, relativement à la classification des Miné—
raux, vol. 111—8. ' 5 fr. 50 c.
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"HAUY. Traité deMinémzoîie, 4 vol. an_4. et.atlas.v _ V 66 n.
-—-Essai d’une théorie sur a structure des Cristaux, 111—8. . 4 f,._
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» les nuisibles et de multi lier les utiles, cinquième edit., 2 vol. in-12. 4 fr.
HISTOIRE DES PRIS NS DE PARIS et des Deygartemens,_contçnant des Mé_
moires rares et précieux; le tout pour servir àl’H15ton'e de la Revolntxoq française ,
Ouvrage dédié à tous ceux qui ont été détenus comme suspects, 4’ vol. in-m
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avec les ex ériences faites sur les végétaux colorans ,. revu et augmenté parBoui]]o"_
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JANTET? Traité élémentaire de Mécanique, in-S. ’ _ 6 f,._
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-— Et leIl 169
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n’e’xiste pas de 9e Cahier; on prend la Théorie des Fonctions anlzily—
JOuURNAL
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LACAILLE. LE .ONS ELEMENTAIRES DE MATHEMATI UE8, aug—
‘ mente’es par MA IE, avec des Notes par M. LABEY, Professeur e Ma!héma- r
ti lies, et ex-Examinateur des Candidats pour l‘Ecole Polytechnique; 0uvrage’
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LACROIX , Membre de l’Institut et de la Légion-d7Honneur, Professeur au Col 'ége
royal de France, etc. COURS COMPLET DE MATHÉMATIQUES àl’usage
de l’École centrale des QuatraNations/g Ouvrage ado té par le Gouvernement ou:
les Lycées, Écoles Secondaires, Collèges, etc., 9 vo . in-8. 38 {r. o c.
-——'
Cha IRAITE ÉLÉMENTAIRE
ue volume D’ARITHMÉTIQUE,
se vend séparément, savoir : 139 éilit., 1813. 2 fr.
——FLFMENS D’ALGÈBRE, 11e édition, 1815 ‘ fr.
—ËLËMFËVS D GÉOMETRIE, 109 édit., 1814. - âär,,
—TBAIT . EL IMENTAIRE DE TRIGONOMETRIE RECTILIGNE T
SPHERIQUE, et d’Ap licatiou d’Algèbre à la Géométrie, 63 édit, 1813. 4 fr.
-——COMP]Ï.EMENT D ‘s ÉLÉMENS D’ALGEBBE,, 3e édition. , 4n
——COMPLEMENT DES ELÉMENS DE GEOMETRIE ,‘ ou Elémens de
Géométrie desçri _tivc . 4e édit., 1812. ' , 3 fr.
—— TRAITE EL%MEN'ÏMŒ DE CALCUL DIFFERENTIEL et de Calcul
intégral, 29 édit. , 1816. '1 fr. 50 c.
-——ESSAIS SUR L’ENSEIGNEMENT en général, et sur celui des Mathéma
tiques en particulier, ou Manière d’étudier et d’enseigner les Mathématiques )
1 vol. in-8. , € églit., 1816. , 5 fi.
' -—;Tâ{AITÊ LEMENTAIRÊ DU CALCUL DES PROBABILITES, irg8.,
1 1 fr
Ce Cours de Mathématiques , le plus complet qui existe, est généralement adopté
flans l’instruqlion publiq “(‘- p
-——TRAITE COMPLET DU CALCUL DIFFÉRENTŒL ET INTÉGRAL,‘
( m>
3° édition, revue et considérablement augmentée, tome I et Il, în-Æ. 40 fr.
Le tome II, qui vient de paraître , se vend séparément, no frq
NOTA. Il reste encore des exem laires du troisième volume de la première édition
de ce! Ouvrage, contenant un raité (les Difi’érences et des Séries, et qui peut
compléter ledit Ouvrage, en attendant quela seconde édition de ce troisième volume
soit tmprimée; il se vend séparément, 15 l'r.
LAGRANGE , Membre de l’Institut et du Bureau des Longitude; de France, etc.
MECANIQ]UE ANALYTIQUE, nouv. édit. , revue et considérablement aug
mentée, par 'Auteur, 2 vol. in—4. , 1811 et 18t5. 361r.
-—-THEORIE DES FONCTIONS ANALYTIQUES, contenant les principes
du Calcul _tlifl’érentiel, dégagés de toute considération d’infiniment petits, d’éva—
nouissans, de limites et de fluxions, et réduite à l’Analyse algébriques (les quan
tités finies, nouv. édit., revue et augmentée ar l’Autenr, in-.’g., 1613. 1
—LEÇONS SUR. LE CALCUL DES F8NCTIONS, nouv. édition, revue,
Corrigée et a," montée, in-8., 1806,. , 6fr. 50 c.
——DE LA RE ‘OLU'l‘ION DÈS EQUATIONS NUMÉRIQUES de tous les
degrés, avec des Notes sur plusieurs points de la théorie des E( nations algébriques ,
1n-4., 1808, nouvelle édition, revue, corrigée et considérablement augmentée;
0uvra e ado 1té ar l’Université pour l’enseignement dans les L nées. 12 (r.
LAGRI 7E. l\« A UEL DE TRIGONOMETRIE PRATIQ E , revu par les
Professeurs du Cadastre, MM. Reynaud, Haros, Plausol et Bozon , et augmenté
des Tables des Logarithmes à l‘usage des Ingénieurs du Cadastre, 1 v. in— . fr.
LA HARPE. flIèlant‘e, ou la Reli‘ icuse, in-18. 1 fr. go c.
LALANDE. TABLES DES LOG RITHMES pour les nombres elles sinus, etc. ,
revues par M. RFIYl\\ÀUD, Exam'inateur des Candidats de l’École Polytechni ne ,
-—-.4bre’gé
precédees dede Navi ation historique
la Trigonométrie [théorique
analytique, et pratique,
par le même avec des
, 1 vol. in—18. 2 fr.Tables
0
horaires pour connartre le temps vrai par la hauteur du soleil et des étoiles dans
tous les tem s de L’année, etc., in—Î. 2% fr
—-HISTOI E CELESTE FRAN _ÎAISE, in-4. 1 fr.
-—BIÛLIOGRAPHŒ ASTRONOMIQUE, in-.’,. 30 fr.
LANGLET-DU FRESNOY. Principes de l’Histou‘e, pour l‘éducation de la jeu
nesse, etc. Amsterdam, 1760, 6 vol. petit in-8. 32 fr.
LANS et BETANCOURT. Essai sur la composition des ]IIachines , in—4. , avec
n lanch., 1808. ‘ 12'Tr.
LAP ACE, Pair de France, Grand-Officier de la Légion-d'Hœnqur, Membre de
l’Institut et.du Bureau des Longitudes de France, etc. TRAITE DE MÉCA—
NIQUE CELESTE, 4vol. in-4., avec trois Supplémens. 66 fr.
-—Le quatrième volume de cet Ouvrage, qui contient de plus la Théorie de
l’Action capillaire et un Supplément fa1sant suite au dixième livre de la Méca—
ni ne céleste, se vend séparément. 21 .
— ‘hat OSITFON
——-EX ne Su plc'meut
DU séSPYSTEME
arémgant.' DU MONDE, quatrième édition, 3 fr. revue
50 c.
et augment. , in—4. , 1813 , avec le portrait de l’Autcur. 15 fr.
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—'I'HEORIE ANALYTIQUE DES P OBABILITES, în—4., seconde édit.,
18t ‘, avec un Su 1plément im rime’ en 1816. , 20 fr.
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LAROCHEFOUCAULT- LIANCOURT. Voyage dans les États-Unis d’Amé—
figue, faits en 1'95, R6, _ , 8 vol. in-8. _ 30 .
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du pilotage,
chande, lit—8. à l’usage des Elèves
i ou Aspirants de a urine militaire ou mar—
6 fr.
LASUITE. Ële‘mens d’Arithme’tique , in—8. 2 fr. 50 c.
LAVIROTTE. Découvertes philosophiques de Newton, inv4. . . 1al'r.
LEFEVRE. Ingénieur—Géom tre en chef du département d’Ille-et-thlatne. NOU
‘ VEAU TRAITE GEOM TRIQUE DE LARPENTAGE, à l'usage des per
sonnes qui se destinent à la mesure des terrains et au levé des plans et nivellement,
troisième édit. , revue et augmentée, 2 vol. in-8. , 1811 , avec 25 plane. 12 fr.
C’est sans contredit le meilleur Traité d’Arpentage et le plus complet qui ait. en
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LEFiËANÇOIS. ESSAIS DE GÉOMETRIE ANALYTIQUE , seconde édit. ,
revue et augmentée, 1 vol. in—8. 2 fr. 50 c.
LEGENDRE , Membre de l’Institut et de la Légion—d’flonneur. ESSAI SUR LA
THEORIE DES NOMBRES, deuxième èdit., revue et considérablement au -
mente’e , 1 vol in—4. , avec le Supplément imprimé en 1816. 21 r.
' -——- Le Supplément se vend séparément. 3 fr.
. ( 11 3
LEGENDRE. Nouvelle méthode pour la détermination des Orbites des Comètas,
-. avec un Supplément contenant divers perfectionnemem de ces méthodes, et
leur application aux deux Comètes de 1805 , 1806, in-4. 6fr.
-— Exercices de Calcul intégral sur divers ordres de Transcendames et sur les
Quadratures, aVec uatre Supplémens, M4. 6 fr
—-——Les quatre Supplemens, imprimés en 1815 et 1816, se vendent séparément, 26 fr.
r-— Élément de Genmétrie, in-8. 6 fr.
LEGENDRE (Arithméticien). L’Arithmétique en sa perfection , mise en pratique
selon l‘usage des Financiers, Banquiers, etc., 1 vol. in-19, 1806. . 3 fr.
NOTA. Cet Ouvrage n’est pas du même auteur que les précédens.
LEIBNITZ, Opem, 6 vol. in-4. 72 ,fr.
L1’æ MIERRE. Les Fastcs, on les Usages de l’année, Poëme en 16 chants. inS. 4 fr.
LÉONARD DE VINCI. Essai sur ses Ouvrages Pluysico—h‘lathématiques, avec
des fragmcns tirés de ses manuscrits apportés d’Italie, par J.-B. Venturi, Pro—
fesseur de Physique 21 Modène, in«4. , 2 fr. 50 c.
LEPAUTE, Horloger du, Roi. TRAITE D’HORLOGERIE, contenant tout ce
qui est nécessaire pour bien connaître et pour régler les Pendules et les ’Montrcs,
la descri tion des pièces d’Horlogerie les plus utiles, etc., volume m-4 , avfec
Iglplanc cs, 176 . ’ r'
LE LEUR—D’AIÏLIGNY. L’Art de la Teinture des fils et étoffes de coton,
in-m. ,l . 80 c.
LIBES, Professeur de thsique au L cée Charlemagnc. à Paris , etc. HISTOIRE
PHILOSOPHIQUE DES PRO RES DE LA PHYSIQUE, 4 vol. in-8.,.
181! et 1814. noir.
—-—Le quatrième volume, qui vient de maître, se vend séparément. 5 fr.
——TRAITE COMPLET ET ELE ENTAIBE DE PHYSIQUE, seconde ’
édition, revue, corrigée et considérablement augmentée, 3 vol. in-8. avec fig.,
18 . \ / r.
NOTA. Tous les Journaux et les Savans en général ont fait le plus grand éloge de
ces deux Ouvra es. , _
LIDONNE. Tables de tous les Diviseurs des nombres calculés depuis un jusqu’à
cent deux mille, in—8., oS. . 0 fr.
MAINE-BIRAN. INFLUENCE DE L’HABITUDE sur la faculté de penser;
ouvrage qui a remporté le prix sur cette question proposée parla Classe des Sciences
morales et politiques de l‘Institut national : Dctcrmincr quelle est l’influence de
l’habitude sur la faculté de user, ou, en d’autres termes , faire voir l’effet ne
produit, sur chacune de nos facultés intellectuelles, la fréquente répétition (es
mêmes opérations 1 vol. iu-& . 5 f"
MAIRE et BOSCO IS(IH. Voyage astronomique et géographique, 1n-4. 19 fr.
MANILIUS. Astronomicon, libri qnin ne, édit, Pingre, 2' vol. in-8. 12 fr.
MARCHAND. Voyage , etc. (Voyez FËEURIEU ).
MARÉCHAL (le) de oche, ni apprend comment il faut traiter un Cheval en
voyage, et quuls sont es acci ens ordinaircs qui peuvent lui arriver en route, ctc.,
in-18 , avec figures. 2 fr. 50 c.
MASCHERQM. Géométrie du Cam as, in-8.« 7 fr
PROBLEMES DE GEOMETR E résolus de différentes manières, traduit
de l’italien ,,vol.
MAUDRU. ELEMENSms. RAISONNÉS DE LA LANGUE RUSSE, ou puni—
3 "r
cipes généraux de la Grammaire appliqués à la Langue russe , 2 vol. in-8. 12 fr.
. Nouveau Système de Lecture , 2 vol. in-8. et, 81135- . 9 f"
——-—- Elemens raisonnés de Lecture , a l’usage desEcoles primaires , 1n-8., figurcs,
r . ou,
I' L.
.
MAUDUIT. Introduction aux é‘ections coniques , pour servir de suite aux Élé—
mens de Géométrie deM. Rivard, in—8. (et autres Ouvrages du même Auteur.) 3 fr.
DIEMOIRE sur la Tri on\métrie sphérique, et son ap lication à la confection des
%;ptes marines et geogrnphiques, par un 0fli<:ier de Etat major de l’Armée du
, , n. 1 fi..
MEMOIRES de l’Institut de France. (Collection complète).
MIL_LOT.TabIeau de l’Histoire romaine; Ouvrage posthume , orné de 48 figures
un en représentent les traits les plus intéressans, un- Vol. in-folio, papier vélin,
ures avant la lettre, cartonné. 36 fr.
Ml SIESSY , Vice—Amiral. Installation des Vaisseaux, in—4., figures 111 fr.
'.',— Arrima e des Vaissedux, in-4Ë, fi . hl fr.
MQLLET. NOMONI UE GRA HIËUE , ou Méthode éIc’mentnire de TRA
LER LES CADRANS OLAIRES sur toutes sortes de plans , sans aucun calcul,
et en ne faisant usage que dc_la règle et du compas, in—8., 1815. avec lunch. ,
‘ 1 r. 80 c.
-—-—Etudes du Ciel, ou Connaiumœ des Phénomènes astronomiques , iu.-8. 6. in
/
( 19 ) “ .
MONGE , Sénateur. TRAIT ÉLÉMENTAIRE DE STATIQUE, à l’usage
des Ecples de la Marine , in-8., cin nième édition , revue par M. Hachette, Ins—
tituteur de l’Ecolc Polytechnique, 1%10; Ouvrage adopté par l’Université, pour
' l’enseignement dans les L cées. _ , 3 fr. 25 c.
-'—-APPLICATION DE l.’ANA LYSE A LA GEOMETRIE, à l’usage de PE—
cole l’olyteçhni ne, in-4., uatrième édition, 1809. 16 fr. 50 c.
— GEOA‘IETRÏE DES,(.R TlVE, Lccons données aux Écoles Normales, nouv.
édit. , avec'un SL PPLEME1\T par M. Hachette, in- . , 1811 , 35 pl. I5 fr.
—— Le Supplément 21 la Géométrie descriptive, par M. achette , 1 vol. in-4. , avec
Il lanehes, se vend séparément, , 6 fr
--— escri )linn de l’Art de fabri uer les Canons , in-4. fig. . 24 fr.
MÛNRO.‘ ' l‘aité d’Osléologie, traduit de l’anglais, 2 vol. grand in-folto , car
tonnés. 40 fr. 4
.MONRÛY. Architecture italique, ms. 5 fr.
MONTEIRO-DA-ROCH , Commandeur de l’Ordre du Christ , Directeur de
l’Ohsarvatoire de l‘Université de Coimbre , etc. MÉMOIRES SUR L’ASTRO
NOMIE PRATI UE, trad. du portugais, par M. de Malle, in—4., 1808. 7 fr. 50 c.
MORT UCLA. HlS CIRE DES MATHÉMATHIQUES , dans laq]nelle on rend
compte de leurs progrès depuis leur ori ine 'usqu'à nos jours; où ’on expose le
tableau et le développement des principa es écouvertes dans toutes les parties des
Mathématiques; les contestations qui se sont élevées entre les Mathématiciens, et
les principaux traits de la vie des plus célèbres. Nouvelle édition, considérable
ment augmentée, et prolongée jusqu’à l’époque actuelle, achevée et publiée par
Jerôme de Lalande, 4 vol. 1n- ., avec fig. 60 fr
NOTA. Cet Ouvrage est ce qui enste dc.plus complet jusqu’à présentmr cette_partie.
MOROGUE. '.’['aetique navale, ou Traité des Evolunon_s et des Signaux, in—’.,
avec fig. / 15 r.
NOUS’I'ALON. Morale des Poètes, où Pensées extraites des plus célèbres
oètcs latins et français, etc. ; in-12, 1816. 3 fr. 50 c.
ECEssamI-2 , (le) ou Recueil _complet de modèles de Lettres, à l’usage des per—
sonnes des deux sexes; suivi de la Relation d‘un Voyage instructif et 1nterc5sant
dans toutes les parties de lÏ'Europc, 2 vol. in-12. 4 fl‘
NEVEU. Çours théorique et pratique des Opérations de Banque, et des nou
veaux pouls et mesures, in-8. 5 f“
NEWTUN. Arithmétique universelle , traduite en français par M. Beaudeux,
avec des Notes explicatives, 2 vol. in-É., 14 pl. 1811“.
—— Opuseula mathematica, 3 vol. in- . - 36.fr.
NIEUPORT. [Mélanges Mathématiques , 2 vol. in-î. 24 fr.
Il’ouvel/e théorie des Parallèles, avec un A 1cm ice contenant la manière de
perfectionner la Théorie des Parallèles , de A. . Legendre, in-8. r 2 fr.
ŒUVRES DE FRÈRET, de "Académie des Inscriptions et Belles—Lettres, nou
velle édit., où l’on a réuni tous ses Ouvrages, 20 vol. petit in-la. ' 20 fr.
ŒUVRES DE PLUTARQUE, traduites par M. Amiot, avec des Notes de
MM. Brolticr et Vauvilliers; nouvelle édition,revue, corrigée et au mentée
de la version de divers fragmcns de Plutarque, ar E. Clavier, 25 vo. in-9. ,
ornés de figures en ,mille-douce, et de 136 médail uns d’après l‘antique. 120 fr.
PARISOT. TRAITE DU CALCUL CONJECTURÀL, ou l’Art de raisonner
sur les choses futures et inconnues , in—4. , 181 o. 15 fr.
?AJOT—DES-CHARMES. L’Art du Blanchiment des toiles, fils et cotons de tous
genres , 1 vol. in—8., avec 8 lqnches. 5 fr.
PERSON. RECUEIL DE ECANIQUE et descri tion des Machines relatives
. à l’Agriculture et aux Arts, etc., 1 vol. in—4. , avec 1tl)planelics. , 10 fr.
POISSON , Membre de l’Institut, Professeur de Mathématiques à l"Ecole Poly
technique ct à la Faculté des Sciences de Paris , et Membre ad]oint du Bureau des
Longitudes. TRAITE DE MECANIQUE, 9 vol. in-8. de plus de 500 pages
chacun , avec 8 planches, 181 1. 12 (‘1‘.
Ce Traité de Mécanique , le plus complet qui existe, a été adopté par l’École Poly
technique pour l’instruction des Elèves. Il renferme, en outre , les notions,de Sta
tique elé‘mentaire qu’on exige des Candidats qui se destinent pour ladite Ecole on
our l’Ecole Normale .
OMMIÉS. MANUEL DE L’INGÉNIEUR DU CADASTRE, contenant les
connaissances théoriques et ratiques utiles aux Géomètres en chefs et à leurs colla
borateurs , pour exeeuter e levé général du plan des communes du Royaume ,
conformément aux Instructions du Ministre des Finances , sur le Cadastre de
IÎranee, précédé d'un Traité de Trigonométrie recriligne , par A. A. Rcynand,
1. vol. 1n-4., 1808. 12 fr.
PQBTAL}S (ils. Du devoir de l'Ifistorien, de bien considérer le caractère et le génie
de çhaquc siècle , en lugeant les grands hommes qui y ont vécu. 3 fr.
» ( 15)
POULET-DELISLE, Professeur de Mathémqti ues au L cée à Orléans. APPLL
' CATION DE L’ALGEBRE A LA GÉOME'I IE , in— ., 1806. 4 fr. 50 c.
——RECHERCHES ARITHMÉTIQUES , trad. du latin de Gauss, in— . 18 fr;.
PU ISSANT, Chefde Bataillon au Corps 1fiyal des Ingénieurs-Géographes. ' ‘RAITE
DE GEOÊ)ESIE , on Exposition des éthodes astronomiques et trigonométrF
ques , appliquées soit à la mesure de la Terre , soit à la confection du canevas des
Cartes et‘des Plans, 1 vol. in-.’g. , avec 8 planches . 1805. ' 18 fr.
-— TRAITE DE TOPOGRAPHIE, D’ARPENTAGE ET DE NIVELLE—
MENT . avec deux Su plémens contenant la théorie de la Projection des Cartes ,
in-4.; Ouvrage adopte par l’Université, pour l’enseignement dans les Lycées,
Écoles secondaires , etc. 18 fr.
—-— Les deux Su plémens au Traité de Topographie, contenant la Théorie de la
Projection (les L:irtes . se vendent sé arément, ’ 6 fr.
-— RECUEIL DE DIVERSES PR POSITIONS DE GÉOMÉTRIE, résolues
ou démontrées par l’Analysc, pour servir de suite au Traité élémentaire de l’Ap—
' plication de l’Algèbre à la Géométrie de Lacroix , in-8. 2 lr.
e même ouvrage , ne, édition , considérablement augmentée, et précédé d’un
PRECIS S E LE LEVE DES PLANS, in—8., 18 . 6 fr. 50 c.
-——- TRAIT ‘ DE LA SPHERE ET DU CALEND ER de Rivard, 7° édition,
au mentée des Notes de M. Puissant, in-8. , 1816. fr.
PUJ ULX. Leeons de Ph sique de l’École Pol technique , in—8. 5 fr. 50 c.
QUARTIER DE REDU 'TION ( nouveau) ä l’usage des Marins , augmenté
d’une Instruction abrégée sur la manière de s’en servir 5 grand Tableau in—4. , très
bien gravé, 181 ’. Prix de la douzaine en feuilles, ‘ 6 fr.
BAMATUEL. astique navale , in—4. , avec plomb. 30 fr.
RAMOND, Membre de l’Institut , etc. Mémoire sur la formule barométrique de
la Mécanique céleste, et les dispositions de l’atmosphère qui en modifient les pro
riétés , etc. , in- ., H. 12 fr.
RAYMOND. LETTRE A M. VILLOTEAU , touchant sas vues sur la possibilité
et l’utilité d’une théorie exacte des rinci es naturels de la Musique, etc. fr.
ESSAI SUR LA DETER AT ON des bases physico—mathématiques de
I’Art musical, etc. , in-8. / 2 fr.
REBOUL. 1Votes et Additions aux trois premières sections du Traité de Navigation
de Beznut, in-8. 3 fr.
Recueil de Tables utiles à la. Navigation, traduit de l’anglais de Norie, par
Violaine, in-8,’1815. gfr.
Renrcton la) chrétienne méditée, 6 vol. in-12. 18 fr.
RESTAU' . Principes généraux et raisonnés de la Grammaire française, nouvelle
- édition, 1 gros vol. in-12. , 3 fr. 50 c.
REYNAUD, Examinatem des Candidats de l’Ecole Polytechnique. COURS DE
MATHEMATI
1°. ARITHMET UES
QUE, ,comprenant
66 edition , :in-S. I 2 fr. 50 c.
2°. ALGEBRE, 1" section, 3e édition, iu-8-, 1810. 5 fr
3°. ALGEBRE , 29 section , in-8. , 1810. 5 fi‘
4°. TRIGONOMETRIE ANALYTIQUE, précédée de la Théorie des L0 a:—
rithmes, et suivie des TABLES DES LOGARI"HMES des Nombres et 03
Lignes trigonométriques de Lalande; etc. , in-18. 2 fr. 50 c.
5°. Arithméli tu à l’usage des Ingénieurs du Cadastre, in-8. 5 fr.
A 6°: i‘ŸIanuel e l’Inge’nieur du. Cadastre, par MM. Pommie’s et Reynaurïi,
m- . 12 1‘.
7°. Αraite’ d’Arpentage de Lagrive , avec les Notes de Reynaud, in—8. 7 fr.
Notes sur Bezout, par Reynaud.
8°. Arithmétique de Bezout, avec les Notes , 8e édition , in—8., 181G. 3 fr.
9°. Géométrie de Bezout, avec les Notes , ne édition , in-8. , 181m 5 fr.
1 o_‘. gilgèbæ et application de l’Algèbre a la Géométrie deBezout, avec les N051efs ,
m- ., 1 a. , \ r.
JÏ(lVARD. TRAITE DE LA SPHERE ET DU CALENDRIER, septième édi
tion (faite sur la sixième donnée ar M. de Lalande ) , revue et augmentée de Notes
et Additions, par M. Puissant, Blficier supérieur du Génie , 1 vol. in—8. , avec 3
lanches bien gravées, 1816. 4 .
<R85AZ. Élémens théoriques et pratiques du Calcul des Changes étran
ers, etc. , 1 vol. grand in-8. , 1809. 6 fr.
BäSSEL. (DE) Calcul des Observations que l’onfait en mer; Ouvrage faisant
' artie _de la Navigation de Bezont, le tout formant un vol. in-8. , 1814. 6 fr. Y
R Y. 1:'le’mens d’Is‘quitation utilitaire, nouvelle édition, in—m. _2 fr. 50 c.
REELLE. Opérations du. Changes des principales places de l‘Europe, m-8. 6 fr.
( 14 ) -
RUCHE PYRAMIDALE (la ) , on Méthode de conduire les Abeilles de manièreà en
retirer chath année un panier plein de cire ou de miel , outre au moins un es—
saim. etc. , ,ar ucouédic, in«8., ne édit. , revue et considérablement aug . 3 fr.
SACUMBE. ï:‘.L ‘MENS DE LA SCIENCE DES ACCOUCHEMENS, avec un
Traité sur les Maladies des Femmes et des Enfans , un fort vol. in—8, avec
portrait. 5 fr_
— LA LUCINIADE, poème en dix chants, sur l’Art des Accouchemem,
in-la. . 1 fr. 50 c.
SAINT-MARTIN. EC‘C’E HOIWO, vol. in-m. 1 fr, 50 c,
—LE NOUVEL HOMME. (Nous ne pouvons nous lire que dans Dieu lui—
même, (ât nous comprendre que dans sa propre splendeur. Ecoe Homo, page 1 ) ,
vol. in- . _ ‘ fr.
— LE CROCODILE, ou la guerre du Bien et du Mal, arrivée sous le rè e
de Louis XV , vol. in_8.‘ y - . 4
SCOPPA, Em loyé extraordinaire à l’Université, Membre de l’Académie des Ar—
cades, de col e de! Bon Gusto de Palerme, etc. LES VRAIS PRINCIPES DE
LA VERSIFICATION, développés par un Examen comparatif entre la Langue
italienne et la française. v
On y examine et l’on y compare l’accent,qui est la source de l’harmonie des vers;
la nature, la versification et la musique de ces deux laugues.—On y fait voir l‘a
nnlogie qui existe cntr’elles. -— On propose les règles pour composer des vers ly
riques , et les moyens d’accélérer les progrès de la Musique en France, etc.
Trois gros vol. in-8. , avec 56 planches de Musique gravée. a .
— Le tome III , qui vient de paraître , contenant les 56 planches de Musique , se
vend séparément, 10 .
Tous lesjoumaux , ainsi que l’Institut de France, ontfait le plusgrand éloge
de cet, Ouvrage.
-—,Ele’mens de la Grammaire italienne , mis à la portée des Enfans de 5 h_6 ans ;
Ouvrage en Dialogues , divisé en 36 Leçons , etc., etc. , in-n. 1 fr. 80 c
Jeunes: des Ecoles A’ormales, nouv. edit. , 13 v. in-8. et I v. de planches. 5 fr.
SERVOIS. Essai sur un nouveau mode d’expositipn des Principes du Calcul r il'fe
rentiel, etc. , in-4., 1814. 2 fr. 50 c.
SHAKSPEAR’S (Will.) Plays with the corrections and illustrations ot‘various
commenta tors. T0 wich a re addcd notes by Saur. Jonhson and G. Sleevens;
a new editon , with a glçssarial index, 23 vol. lll-8- , Basil. , 1800—1802. fr.
SIWPSON. (Thomas) Elc'mens d’Anaiyse pratique, augmentés d‘un Aæémi
d’Arithméti ne, in-8. 5 fi.
SMITH. Tratte’ d'0ptigue, traduit de l'anglais ar Duval—Leroy, in-4. 24 fr.
— Supplément audit raité , par le même, in—X 10 fr.
—-— Cours complet d’0ptique, traduit par Pezcnas , 2 vol. in—4. , reliés. 24 fr.
SOULAS. La levée des Plans et l’Arpentage rendus faciles, à l’usage des Ar—
penteurs , 1 vol. in-18., avec planch. 3 fr.
SOULET. Barré‘me des Ârbilrnges et des Changes, in-8. 6 fr.
SPŒSS ESSAI DE RECHERCHES ELEMhRTAIRES SUR LES PRE
MIERS PRINCIPES DE LA RAISON , in—8., 1809. léfr.
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