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P
Le repérage du point P, dans le
r1 référentiel (R) , utilisera les
coordonnées bipolaires r1
r r2 et r2 .
M1 G M2 x
***************
m2 m1
des cercles autour de G, de rayons respectifs : a1 = a et a2 = a
m 2 + m1 m2 + m1
H
M1 G M2 x
2 2
m2a 2m 2 a m2a
On a : r = y + ( x + a1 ) = y + x + =x +y + x+
2 2 2 2 2 2
m1 + m2 m1 + m2 m1 + m2
1
2m2a
⇒ r12 = r 2 + x + cste (3) (où la constante s’entend vis-à-vis des variables x et y )
m1 + m 2
2m1a
De la même manière, on trouve : r22 = r 2 − x + cste (4)
m1 + m2
En multipliant la relation (3) par m1 , et la relation (4) par m2 , puis en faisant la somme membre
à membre, on obtient m r + m r = ( m1 + m2 ) r 2 + cste , que l’on reporte dans (2) :
11
2
2 2
2
m m m r2 m r 2
EP = −mG 1 + 2 + 1 13 + 2 32 + cste
r1 r2 2a 2a
∂E P ∂E P
b) Les extremums de EP (r1, r2 ) sont donnés par : = 0 et = 0 ; d’où :
∂r1 r2
∂r2 r1
1 mr 1 mr
− m1 × 2 + 2 × 1 31 = 0 et − m2 × 2 + 2 × 2 32 = 0 ⇒ r1 = r2 = a
r1 2a r2 2a
b) Ces maximums correspondent à des positions d’équilibre instables ; encore une fois,
seule une étude dynamique, faisant intervenir les forces de Coriolis, permettrait de savoir si,
compte-tenu des conditions initiales, des « objets » pourraient rester au voisinage des points
L1 , L2 et L3 , ou, au contraire, s’en éloigner indéfiniment.
En ce qui concerne L2 , c’est la dérivée de l’expression (7) qui doit s’annuler ; il vient :
M µM M 1 µ x
+ 2 − 2 × 3 ( a − x2 ) = 0 ⇒ + = 1− 2
( a − x2 ) (1 − x2 / a) ( x2 / a)
2 2 2
x2 2a a
µ
1/3
a
d) Application numérique : on trouve x1 = x2 = = 1,5.106 km
100
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