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LE CONDITIONNEL
Repères

Le conditionnel proprement dit exprime un fait éventuel ou irréel dont la


réalisation est regardée comme la conséquence d’un fait supposé d’une
condition.
‐ Je voudrais venir avec vous au cinéma.
‐ Pour les consultations, Dr Song remplacerait Dr Tong.
‐ Si j’avais des ailes, je compterais les étoiles.
‐ Si elles avaient su, elles ne seraient pas venues.

 Les verbes soulignés dans les phrases précédentes sont conjugués au


conditionnel. C’est le mode de l’éventuel de l’incertain, de l’imaginaire,
de l’irréel.

∗ Un fait possible dans le futur


Ex : Si un jour tu me rendais ce service, je t’en aurais obligation.

∗ Un fait irréel dans le présent ou dans le passé


Ex : Ces maisons nous diraient des choses à pleurer et à rire, si les pierres
parlaient.
Ex : Si tu avais mené la moindre enquête à Paris, tu en aurais appris de
belles.
Le conditionnel n’exprime pas toujours la conséquence d’un fait supposé, d’une
condition. Il s’emploie encore :

∗ Pour marquer un fait douteux dont on ne veut pas se porter garant.


Ex : le séisme du Pérou aurait fait trente mille morts.

∗ Pour indiquer sous la forme exclamative ou interrogative une


hypothèse.
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Ex : Moi, je pourrais trahir le Dieu que j’aime !


∗ Pour indiquer une simple imagination transportant en quelque sorte les
évènements dans la fiction.
Ex : Toi, tu serais marin ; moi, je serais sirène.

∗ Pour marquer l’atténuation pour présenter l’idée comme un simple


souhait ou une volonté affaiblie.
Ex : Je voudrais, qu’à cet âge, on sortît de la vie ainsi que d’un banquet.

∗ Le futur dans le passé.


Ex : Il m’a dit qu’il me téléphonerait.

 On forme le conditionnel présent en ajoutant la terminaison de l’imparfait au


‘R’ du verbe infinitif.

 On forme le conditionnel passé par l’emploi de l’auxiliaire avoir ou être


conjugué au conditionnel présent auquel on ajoute le participe passé du
verbe à conjuguer.
Tableau récapitulatif de la concordance des temps entre la principale et la subordonnée
circonstancielle introduite par SI
Si + Exemples.
Si + présent + présent Si tu décroches ton bac avec une bonne moyenne, tu peux
choisir la branche que tu veux.
Si + présent + futur Si j’ai besoin de toi je t’appellerai.

Si + présent + impératif Si tu peux, passe me voir.

Si + passé composé +présent Si tu as terminé ton travail tu peux sortir.

Si + passé composé+futur Si tu as compris la règle tu pourras l’appliquer facilement.

Si + imparfait+ conditionnel présent Si j’avais du temps, j’apprendrais la musique.

Si + plus que parfait + conditionnel Si j’avais eu du temps j’aurais appris la musique.


passé

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Exercice de langue : Repères


L’expression de l’opinion dans la complétive
Exprimer son opinion c’est formuler ce que l’on pense en revendiquant
clairement son idée, en appuyant ou en épousant l’opinion d’autrui. Ainsi
plusieurs variantes nous permettent de le faire. Dans les phrases complexes ces
formules sont suivies de l’indicatif ou du subjonctif.
Parmi les verbes d’opinion on cite :
Admettre-Affirmer-Annoncer-Assurer-Avouer-Certifier-Comprendre-
Compter-Concevoir-Convaincre-Crier-Croire-Déclarer-Dire-Douter-
Ecrire-Enendre-Estimer-Etre d’avis- Expliquer- Se flatter-Imaginer-Juger-
Nier-Parier-Penser-Présumer-Prétendre-Prévenir-Proclamer-Reconnaitre-
Réfléchir-Songer-Soupçonner-Soutenir-Supposer.
Le discours rapporté : REPÈRES :
Il existe trois manières de rapporter, dans un énoncé, des paroles, des écrits,
ou des pensées émis dans une autre situation d’énonciation.
LE STYLE DIRECT :
Le style direct rapporte, généralement entre guillemets, le discours tel qu’il a été
prononcé ou conçu, afin d’en conserver la vivacité et l’authenticité.
Il m’a dit : « Je viens demain. Personne ne pourra m’en empêcher ».
LE STYLE INDIRECT :
Le style indirect rapporte le discours sous la forme d’une proposition
subordonnée, introduite par un verbe de parole ou de pensée, ce qui permet de
reformuler, de résumer, voire même de transformer les propos rapportés.
Il m’a dit qu’il viendrait le lendemain et que personne ne l’en
empêcherait.
LE STYLE INDIRECT LIBRE :
Les marques de la subordination sont absentes, mais on retrouve les marques de
la personne, du temps (verbes et adverbes) caractéristiques du style indirect. On
peut également observer certaines marques du langage parlé comme les tours
exclamatifs et interrogatifs.
Ses propos avaient été clairs. Il viendrait le lendemain et personne ne
pourrait l’en empêcher !
Le discours indirect libre marque une rupture moins nette que le discours direct
par rapport au récit. Le narrateur a ainsi la possibilité de mêler sa «voix » à celle
d’un personnage, au point qu’il est parfois difficile de déterminer « qui parle ».
Le récit y gagne en légèreté puisque la parole est subtilement intégrée à la
relation des faits.
Souplesse et expressivité font donc l’intérêt du discours indirect libre et
expliquent son usage dans les textes narratifs et les textes argumentatifs.

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Avant qu’elle se mariât, elle avait cru avoir de l’amour, mais le bonheur
qui aurait dû résulter de cet amour n’étant pas venu il fallait qu’elle se fût
trompée, songeait-elle.

Les figures de style :

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L’énumération

◙ Observons :

« Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une
harmonie qu’il n’y en eut jamais eu en enfer. »

◘ Notons :

Voisine de l’accumulation l’énumération permet d’énoncer successivement les


différentes parties d’un tout et de dresser des inventaires. Ici chaque mot désigne
un objet différent.

◘ Concluons :

L’énumération permet au lecteur d’enter dans l’univers de l’auteur et d’en


évaluer la richesse.

◘ Comparons :

Exemples :

a) Il bondit de son fauteuil, saisit une main et puis caresse un bras.

► L’énumération donne ici un inventaire de gestes qui sont classés selon un


ordre précis.
b) Routez tout : l’herbe, le fruit, l’eau, l’air, l’ombre, le soleil, tout est mortel.

► L’accumulation intensifie un sel sens.

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Rappel des principaux procédés d’écriture


II

I .Les procédés d’insistance ou d’amplification: l’hyperbole,


l’accumulation, l’énumération, la gradation, l’anaphore.

L’hyperbole

Elle est l’une des figures de style qui reste assez fréquente dans différents
discours aussi bien laudatifs que caricaturaux, voire simplement péjoratifs. En
effet on la rencontre souvent aussi bien dans le langage familier que dans les
textes épiques, le discours publicitaires y recourt ainsi que celui de la polémique
ou de la parodie.

L’hyperbole accompagne souvent des métaphores ou des comparaisons. On


parle alors de métaphore ou de comparaison hyperbolique.

L‘hyperbole se révèle par l’emploi de termes excessifs et de mots superlatifs.

Valeur de l’hyperbole
Par son pouvoir d’amplification et d’exagération qu’elle exprime, elle permet de
frapper l’imagination par les images disproportionnées ou les termes excessifs
qu’elle emploie. Elle traduit la subjectivité du locuteur et lui permet ainsi de
nous faire partager sa vision personnelle du phénomène ou de du fait qu’il décrit
que ce soit en vue de nous émouvoir ou dans le but de nous convaincre.

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La gradation

◙ Observons :
« Va, cours, vole et nous venge » Pierre Corneille, Le Cid.

◘ Notons :
Il apparaît d’après cet exemple que la gradation est d’abord une énumération
dont les éléments sont classés par ordre d’intensité. Dans l’exemple extrait de Le
Cid, l’ordre va crescendo, c'est-à-dire du moins intense au plus intense, du
moins rapide : « aller » au plus rapide : « voler » en passant par le
moyennement rapide : « courir ».

◘ Concluons
Lorsque la gradation suit un ordre allant du moins vers le plus, on dit qu’il s’agit
d’une gradation ascendante. Ce type de gradation traduit l’enthousiasme, la
détermination, la hardiesse, l’exaltation, l’excitation ou la verve.

◙ Observons
« On peut, si l’on vit sans famille, ce qui est le cas de beaucoup, être malade,
mourir chez soi, sans que personne le sache. D’où un terrible anonymat dans la
vie, dans la souffrance, dans la mort. »
Louis LEPRINCE RINGUET, L’espoir pour demain ?

◘ Notons :
Cet exemple nous met en garde contre la solitude et ses conséquences
désastreuses sur les individus. L’auteur a l’air de dire que le terrible anonymat
dans la vie peut être malgré tout assez supportable lorsque l’individu se porte
bien moralement ou physiquement. Cependant il devient difficile dans la
souffrance et pire encore dans la mort. C’est comme si l’auteur veut dire que
vivre seul est difficile, souffrir seul est insupportable, mourir seul est
insoutenable.

◘ Concluons
La gradation ascendante sert aussi à exprimer la solennité ou la gravité d’une
situation ou autre.
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L’accumulation

◙ Observons :
« Déballez-moi ça de gogos, ce méli-mélo de bronzes d’art, de géraniums, de
filles, de soldats, de bourgeois, de gosses, d’étrangers, frais débarqués et de
voyous. »

◘ Notons :
La première impression qui se dégage de cette description est l’entassement
d’objets divers et de personnes différentes en tout. C’est une vision de foire, de
chaos, bref, où les personnes et les choses sont présentées dans le désordre le
plus total.

◘ Concluons
L’accumulation permet dans une phrase un foisonnement de détails qui
développent l’idée principale par touches successives, elle enrichit le décor et
permet au locuteur de nous livrer ses impressions sur l’environnement qui
encadre la narration. L’accumulation rassemble une série de mots de même
nature grammaticale et les associe pour qualifier un seul objet.

◘ Autre effet :
L’accumulation est une source de précision et de richesse et permet d’exprimer
toutes les variétés et les nuances d’un fait observé. Elle peut créer une
impression de confusion, de dispersion, d’abondances ou de lourdeur selon le
sens du texte.

Étude d’un exemple

« Déballez-moi ça, ce méli-mélo de bronzes d’art, de géraniums, de filles, de


soldats, de bourgeois, de gosses, d’étrangers, frais débarqués et de voyous. »

Identification du procédé :

L’auteur recourt dans cet exemple à l’accumulation.


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L’anaphore

◙ Observons :
« Jours de lenteur, jours de pluie,
Jours de miroirs brisés et d’aiguilles perdues,
Jours de paupières closes à l’horizon des mers,
D’heures toutes semblables, jours de captivité… »

◘ Notons :
La séquence phrastique « jours de » se répète plusieurs fois dans ce quatrain et
débute chaque vers.

◘ Concluons :

L’anaphore est un procédé qui consiste à commencer plusieurs vers, dans


un poème, ou phrases successives dans un texte, par un même mot ou un
même groupe de mots.

◘ Valeur :
L’anaphore, par la reprise d’un mot ou d’un groupe de mots, souligne une
obsession ou une idée fixe. Elle permet aussi, selon le sens du texte, de
mettre en valeur un thème particulier.
Par sa propriété répétitive, elle a un pouvoir persuasif et peut ainsi traduire
des sentiments puissants.
En poésie comme en prose, elle donne au texte un effet de symétrie
rythmique qui met en valeur la musicalité du texte en y créant une autre
source d’écho.

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Repères
LA CONCORDANCE DES TEMPS
HIER-AUJOURD’HUI-DEMAIN
PASSE-PRESENT-FUTUR

Texte : Le jeune berger : « Le petit Joseph n’ira plus à l’école, parce qu’il en
sait assez long, et il a profité hier de la grande Louée de Lormes pour se louer. Il
gardera les moutons du fermier Corneille… » (J.RENARD)
Nous remarquons, dans ce texte, des faits qui concernent l’avenir du jeune
homme : Il n’ira plus à l’école, il gardera les moutons ; un fait qui s’est produit
la veille, il a profité hier de la louée ; un fait actuel : il en sait (nous pourrions
ajouter maintenant) assez long.
Nous avons là les emplois fondamentaux des temps les plus employés. Il est
indispensable d’exprimer au présent ce que l’on est en train de faire, de voir, ce
qui se passe en ce moment ; au passé, ce qui a déjà eu lieu ; au futur, ce qui se
passera plus tard.
I) A l’indicatif
a) Il faut respecter la valeur chronologique des temps de l’indicatif.
Je crois qu’il travaille en ce moment.
Je crois qu’il a travaillé hier.
Je crois qu’il travaillera demain.

On transposera facilement les deux premières phrases au passé :


Je croyais (ou : j’ai cru) qu’il travaillait à ce moment là.
Je croyais (ou : j’ai cru) qu’il avait travaillé hier.
Comment exprimer le futur dans le passé ?
b) Le conditionnel présent sert à exprimer le futur dans la subordonnée
lorsque le verbe principal est au passé.
Je croyais ce jour-là qu’il travaillerait le lendemain.
« Ogul dés le premier jour fut tout essoufflé et crut qu’il mourrait. »

Dans ces deux phrases, « travaillerait » et « mourrait » expriment deux faits


futurs par rapport à deux passés, « je croyais », « il crut ».
Au Subjonctif
a) Quand le verbe principal est au présent :
Je ne crois pas qu’il sache sa leçon en ce moment.
Je ne crois pas qu’il sache sa leçon demain.
Je ne crois pas qu’il ait su sa leçon hier.

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b) Dans la langue littéraire, la langue soignée, ces phrases se transcrivent


ainsi quand le verbe principal est à un temps passé :
Je ne croyais pas qu’il sût sa leçon à ce moment là.
Je ne croyais pas qu’il sût sa leçon le lendemain.
Je ne croyais pas qu’il eût su la leçon la veille.

Dans la langue parlée, on ne change généralement pas le temps du subjonctif,


quand on a le passé dans la principale au lieu du présent.
Souvent les écrivains modernes pour rendre le langage parlé de leurs
personnages, ne changent pas le temps du subjonctif quand le verbe principal est
au passé :
« Quand elle avait 12 ans ou 13 ans, il fallait que j’aille lui enlever les livre des
mains à onze heures du soir. » (N.SARRAUTE

L’INTRODUCTION :
REPÈRES :
• Un essai doit obligatoirement débuter par une introduction.
• Une introduction doit être de longueur acceptable : une introduction
expéditive aussi bien qu’une introduction trop détaillée sont à éviter.
• Une introduction doit comprendre trois étapes :
a) Une introduction générale : c’est une ouverture qui place le sujet
dans un thème plus général
b) Une introduction spécifique : c’est une présentation du problème
soulevé, elle peut se faire en reprenant intégralement la citation proposée ou en
la reformulant.
c) L’annonce du plan : appelée souvent la problématique. Elle peut se
faire sous forme de questions ou de phrases assertives formulées sur un mode
hypothétiques.
LA CONCLUSION :
REPÈRES :
La conclusion est une partie essentielle de la rédaction, c’est l’aboutissement de
la réflexion ; il est donc impératif qu’elle figure à la fin du développement sinon
le travail est considéré comme inachevé.
La conclusion comprend deux parties :
• Un bilan qui récapitule les idées essentielles du développement.
• Un élargissement vers un autre domaine de la réflexion.
Elaborer un plan
REPÈRES :
Dans un essai on est toujours appelé à exprimer un point de vue personnel ; le
point de vue choisi déterminera le type de plan.

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On peut opter pour une prise de position catégorique ou un point de vue nuancé.
• Le plan catégorique : le point de vue exprimé peut être favorable ou
défavorable.
• Le plan nuancé : il se fait obligatoirement en deux parties
1ère partie : on présente des arguments et des exemples permettant de
justifier la thèse du sujet.
2ème partie : on développe son point de vue qui consiste à critiquer et à
montrer les limites de la thèse du sujet.
Il est impératif de relier les deux parties du développement au moyen d’une
transition.

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On exprime la conséquence explicitement au moyen de certaines


prépositions comme : À, pour, au point de, etc.

Exemples :
Elle a des yeux à faire crier au loup !
Il est trop intelligent pour croire aux balivernes.
Il est fatigué au point de dormir debout.

Dans la phrase complexe, on introduit la conséquence au moyen de


locutions conjonctives :
Si…que, si bien que, en sorte que, de (telle) sorte que, de telle manière que,
à tel point que, au point que, tellement… que, etc.

Exemple :
Ils ont travaillé jour et nuit si bien que le jour de l’examen l’épreuve leur a
paru si facile.

En général le mode de la subordonnée de conséquence est l’indicatif.


Cependant on emploie le subjonctif lorsqu’elle est introduite par : trop…
pour que, assez… pour que, sans que, en sorte que, de façon que, de
manière que.

Exemple :
Ils m’ont rendu trop de services pour que je ne leur sois pas reconnaissant.

☻ Il est à noter que ces repères ne sont donnés qu’à titre indicatif pour
vous rappeler des notions que vous connaissez déjà.

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Exprimer la cause c’est exprimer la ou les raisons c’est à dire le pourquoi


de l’action exprimée par le verbe.

Dans la phrase simple, la cause est introduite par une préposition ou une
locution prépositive : de, par, pour,
Il saute de joie.
Je l’ai rencontré par hasard.
Il est estimé pour ses services rendus.

À cause de+ une cause négative : il n’est pas arrivé à l’heure à cause d’une
panne de moteur. Vous comprenez bien qu’un retard n’est jamais
appréciable !! ☺☺

Grâce à+ cause positive


Il a réussi grâce à son assiduité. Quoi de plus beau qu’une assiduité dont le
résultat inéluctable est la réussite !!☺☺

On emploie aussi :
Faute de+ absence d’une condition nécessaire à la réalisation de l’action
exprimée par le verbe.
Exemple :
Je n’ai pas vu ce film faute de temps.

Sous le prétexte de+ une fausse cause.


Exemple :
Il est n’est pas venu sous le prétexte qu’il était occupé. ( On ne le croit pas.)

On peut également employer le gérondif pour exprimer la cause :


En travaillant mieux, la réussite sera à ta portée.

Dans la phrase complexe, on exprime la cause au moyen d’une subordonnée


circonstancielle de cause. Celle-ci est introduite par une conjonction ou une
locution conjonctive de subordination du genre :
Parce que, car, puisque, comme, étant donné que, vu que, attendu que, sous
(le) prétexte que, etc.
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