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2011
Véritable concentré de trésors, la décoration intérieure du Pavillon Henri II offre au visiteur sculptures,
boiseries fines, peintures murales, plafond à caissons, motifs ornementaux à la feuille d’or…
Edifié au XVIème siècle, au cœur du duché de Valois –le plus ancien fief de la monarchie française- le "Pavillon
Henri II" fut agrandi et redécoré par le Duc d'Orléans (1725-1785).
"La maison de Monsieur Deviolaine était un palais très apprécié par moi...", écrit Alexandre Dumas dans ses
Mémoires.
Vendue en tant que bien national en 1795 à Jean-Michel Deviolaine (proche de Dumas et futur père
conservateur des forêts de la couronne), celui-ci en accroît le terrain et en fait ce "palais".
La propriété accueillera ensuite un temps le comte suédois Adolphe Louis Ribbing de Leuven lors de son exil en
France.
Résidence ducale, puis résidence royale : le Roi Louis-Philippe achète le Pavillon Henri II en 1843 en biens
personnels. Il le conserva jusqu’à sa mort.
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(loi 1901)
Depuis la création des Amis du Pavillon Henri II, la recherche de la pluralité et de l’excellence (avec nos
moyens) est au cœur de nos événements et de nos actions.
Concerts, conférences et expositions rassemblent des artistes et intervenants de qualité.
Les concerts classiques organisés dans le salon du Pavillon Henri II, sont devenus pour beaucoup une
référence en matière de musique. Venant parfois des quatre coins de l’Europe (Allemagne, Autriche,
Espagne, France, Italie, Roumanie, Russie…), la renommée et le curriculum vitae des artistes s’y produisant
et l’intimité avec le public, créent un échange apprécié des spectateurs.
En un an seulement, les Amis du Pavillon Henri II ont rejoint La Fédération des sept Sociétés d’Histoire
de l’Aisne (Laon, Soissons, Château-Thierry…)
Les Amis du Pavillon Henri II ont également rejoint le réseau du C.A.S. (Carrefour des Acteurs Sociaux),
et accueilli en décembre dernier des membres de son pôle francophonie lors d’une journée d’étude.
Animée de ses 6 valeurs fondatrices, l’association des Amis du P.H.II s’engage auprès d’autres associations
autour de projets culturels et patrimoniaux communs : l’association Pierre Jourdan (liée au Théâtre
Impérial de Compiègne), le Cercle Hernani (en particulier pour la défense de la Basilique de Saint-
Denis).
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Les événements artistiques et culturels 2011
Février Samedi 12 à 18h30 / VERNISSAGE,
de l’exposition des œuvres d’Annie Lalonde
Juillet Jeudi 14 18h00 / CONCERT CLASSIQUE, FEU D’ARTIFICE et SOIREE JAZZ au CHATEAU
DE VILLERS-HELON.
Anthony C. Tirri, propriétaire du Château de Villers-Hélon organise un événement qui, à n’en
pas douter restera graver dans les mémoires. Cette soirée est orchestrée avec le concours de
l’association Les Amis du Pavillon Henri II.
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Le temps fort historique de l’année
Colloque : Dimanche 17 avril 2011 de 10h00 à 17h00
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ème
350 Anniversaire
1661 – 1851 – 2011
« Les Orléans…
du Frère de Louis XIV au Roi Louis-Philippe
à
Villers-Cotterêts »
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Ils feront le Pavillon Henri II cette année
Annie Lalonde nous parle de l’intérieur de l’être, d’un monde de l’au-dedans. Les
formes sont épurées, les harmonies apaisantes, Les brumes suggestives. Ses tableaux sont une
invitation à la quête. Spirituelle. Intérieure…
« La touche picturale d’Annie…. Est finement passée au trébuchet de l’Orfèvre… Le ciel est
dense d’une atmosphère légère ignorant le CO2, Le sol est en attente d’un vert plus vert après
la froide neige hivernale, offrant un horizon délicieusement tactile. Les arbres et leurs troncs
laissent filtrer une lumière du jour. Le soleil est absent, mais il fait jour ! Souvent les préfaciers
enjolivent en tentant d’évoquer tel ou tel. Les plus grands. Pourquoi pas. Mais, loin du Cac 40,
devant l’original on se tait. On admire… » Jean MONNERET, Peintre- Sculpteur- Ecrivain
d’art- Grand prix des Beaux- Arts de la Ville de paris. Fondateur de la fédération
des Salons Historiques du Grand Palais
Deux œuvres d’Annie Lalonde ont été sélectionnées pour être exposeés à la Biennale
Européenne de Namur en Mai 2011
Jean-Claude Monnier, Docteur en esthétique, art des images et art
contemporain / Plasticien / Enseignant en histoire et sociologie de l’art.
Le Romantisme, une clé pour l’art contemporain
La fin du XVIIIe siècle marque la clôture d'un système de l'art occidental qui avait vu le
jour à la Renaissance. Contemporain de la Révolution française, le Romantisme allemand,
renversait la hiérarchie des genres artistiques et se donnait pour finalité la création
d'oeuvres d'art totales où s'opérait le mixage de pratiques hétérogènes. Parallèlement,
cette nouvelle conception de l'art élaborée à partir d'une pensée esthétique faisait
entrer le spectateur dans l'élaboration du processus de l'œuvre. Ces principes continuent
d’inspirer les pratiques artistiques contemporaines. C’est précisément cette origine et sa
filiation que Le Romantisme, une clé pour l’art contemporain ? se propose d’explorer.
Sandrine Coquard. Après des études musicales couronnées par des prix de piano et de musique
de chambre au Conservatoire de Corbeil-Essonnes, elle obtient un premier prix au concours des Jeunes
Virtuoses de l’Essonne en 1987.
Elle entre en 1990 au Conservatoire National de Région de Rueil-Malmaison dans la classe de Lucette
Descaves et y obtient une Médaille d’Or à l’unanimité. Parallèlement, elle poursuit ses études pianistiques
avec Eliane Richepin et Roger Muraro. Sandrine donne ensuite des récitals dans diverses villes européennes.
Elle se produit au Festival Estival d’Annecy de 1991 à 1995 et au Festival de Pornic en 2009.
En 1997, une croisière musicale à bord du Mermoz la conduit en Inde, au Sultanat d’Oman, au Yémen et à
Djibouti où elle joue à quatre mains avec David Braslawsky. Passionnée de musique de chambre, elle se
produit actuellement avec deux formations : en duo avec la violoncelliste Marie-Claude Bantigny et en trio
avec la violoniste Nathanaëlle Marie et le violoncelliste Yan Garac. Elle continue également à jouer en
récital. En 2008, Sandrine COQUARD a exhumé de la Bibliothèque Nationale de France les œuvres
du compositeur Samuel ROUSSEAU (1853 – 1904), élève oublié de César Franck.
Hélène Guicharnaud est Conservateur en chef chargée des Arts graphiques au Musée
du Louvre. et Docteur en Histoire de l’Art. Ses travaux qui portent, entre autres sur la peinture
et le dessin français -tout particulièrement des XVIIe et XVIIIe siècles- ont donné lieu à de
nombreuses publications.
Elle a été commissaire ou a collaboré à de nombreuses expositions et enseigné aussi bien dans le
cadre de l’école du Louvre, à l’Université de Paris-X, à l’Université de Limoges qu’à l’IFROA
(Institut français de Restauration des Œuvres d’Art) et l’IESA (Institut d’Etudes Supérieures
des Arts).
Elle est commissaire d’une exposition, actuellement en cours au Louvre, sur les dessins de Louis de
Boullogne et qui est la première consacrée à cet artiste.
Christiane Riboulleau. Ancienne élève de l’Ecole du Louvre, titulaire du diplôme de muséologie. Titulaire d’un DEA
d’Histoire de l’Art. Chercheur dans le Service régional de l’Inventaire du Patrimoine culturel, région Picardie. Une brève
sélection de ses principaux articles et publications :
- Villers-Cotterêts, un château royal en forêt de Retz. Cahiers de l’inventaire n° 24, Amiens : AGIR Pic, 1991.
-Villers-Cotterêts. Trois promenades avec Alexandre Dumas. Itinéraires du Patrimoine n° 66, Amiens : AGIR Pic, 1994 (en
collaboration).
-"Deux chartreuses dans l'Aisne : Le Val Saint-Pierre et Bourgfontaine", dans Graines d'Histoire. La mémoire de l'Aisne, n° 14,
décembre 2001, p. 2-10 (en collaboration).
- Les richesses artistiques de la cathédrale Saint-Gervais-Saint-Protais de Soissons. Images du Patrimoine n° 215, Amiens : AGIR-Pic,
2004 (en collaboration).
Alban Duparc, conservateur du Château d’Eu. Après des études d'histoire de l'art à
l'université Lille III et Rennes, Alban Duparc s'est dirigé vers le monde des musées. Ses premières
expériences professionnelles l'ont mené à travailler au sein du Musée International de la
Parfumerie de Grasse et de l'Ecomusée de la Roudoule, également dans les Alpes Maritimes.
Il a, par la suite, été recruté comme adjoint du conservateur du Musée Louis-Philippe du château
d'Eu. Il en est aujourd'hui le responsable.
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Gérard Hurpin, agrégé de l’Université, maître de conférences à l’Université de
Picardie, s’est surtout intéressé à l’histoire de l’administration ou « comment les décisions
politiques s’appliquent et se modifient au contact des résistances sociales et des exigences de
l’économie ». Il a fait porter ses recherches sur les grands agents de l’autorité publique :
intendants, représentants en mision pendant la Révolution, commissaires du Directoire,
diplomates du Consulat. Il a édité L’intendance de Rouen à la fin du XVIIe siècle puis ,tout
récemment, en 2010, L’intendance de Soissons à la fin du XVIIe siècle dans le cadre de la
publication des mémoires des intendants « pour l’instruction du duc de Bourgogne ». dirigée par
le Cmité des travaux historiques et scientifiques dont il vient d’être élu membre. Il appartient
aussi à la Société de l’Histoire de France.
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Devenir Ami du Pavillon Henri II
Nom :……………………………………………Prénom :………………………………………….
Adresse :……………………………………………………………………………….Ville et Code Postal :……………………………………………………………………..
Téléphone :………………………………………………Portable :…..…………………………………………Courriel :……………………………………………………….
Directions
En voiture
- De Paris : Porte de la Chapelle, ou Porte de Bagnolet, prendre l’A1
ou l’A3 (Lille), puis la A104 (Soissons), puis la N2 (Soissons),
puis la D231 (Villers-Cotterêts).Durée : compter 1 h.
- De Strasbourg-Reims : prendre la A4 (Paris), puis la N31 (
Soissons), puis la N2 (Villers). Durée : compter 1 h.
- De Bruxelles-Lille : à Lille, prendre l’A1 (Paris) ; à la sortie 10,
prendre la N31 jusqu’à Compiègne, puis la D973 (Pierrefonds,
Villers-Cotterêts). Durée : compter 2 h au départ de Lille.
En train
Depuis Paris-Gare du Nord (Ligne Paris-Laon)