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Références bibliographiques
« Guide des procédés épuratoires
intensifs proposés aux petites
collectivités » Agence de l’eau – C.THIERY –
V.HERBERT – J.LESAVRE (AESN), décembre
1998.
www.oieau.fr
www.eaufrance.tm.fr
Europa.eu.int
2
Situation en Europe
Quelques Chiffres
20 % des eaux de surface sont gravement
menacées par la pollution,
50 % des zones humides sont "en danger" en raison
de la surexploitation de l'eau souterraine,
Dans le Sud de l'Europe, la région des terres
irriguées s'est étendue de 20 % depuis 1985,
L'eau souterraine fournit environ 65 % de l'eau
potable,
60% des villes surexploitent leur ressources en eau
souterraine,
Les besoins pour la consommation ne représentent
que 17% de la quantité d'eau utilisée globalement.
Situation en Europe
Situation actuelle et tendance
La qualité de l’eau s’est améliorée au cours de la
dernière décennie (Directive ERU),
Rejets des matières organiques ont chuté de 50 à
60%,
Stagnation de la concentration en nitrates en
rivières,
Dépassement des concentrations maximales
admissibles en nitrates dans les eaux souterraines,
Dépassement des concentrations maximales
admissibles en pesticides dans les eaux
souterraines,
Les mers du Nord, Baltique, Adriatique sont
fortement eutrophisées (Phosphore).
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Situation en Europe
L’eau et l’assainissement
Situation en matière de traitement dans les grandes villes
européennes
Situation en Europe
L’eau et l’agriculture
L’agriculture principale consommatrice d’eau : 30%
en moyenne à 80 % en Espagne et en Grèce,
Eutrophisation excessive des cours d’eau à cause
d’une concentration trop élevée en phosphate,
Teneurs excessives en nitrates dans les eaux
souterraines et de surface.
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France
Traitement dans les villes de plus de 150 000 EH
La France a fourni des informations sur 60 villes de plus de 150 000 EH.
29 villes étaient situées dans des zones sensibles et auraient donc dû être équipées
de traitement plus rigoureux (traitement secondaire avec élimination ultérieure de
l’azote et/ou du phosphore et/ou un autre traitement):
11 villes appliquaient toutes les étapes de traitement requises: Aix-en-Provence,
Angoulême, Besançon, Calais, Colmar, Lagny-sur-Marne, Metz, Orléans, Rennes,
Thonon et Tours.
17 villes assuraient seulement un traitement secondaire et/ou un traitement plus
rigoureux incomplet: Amiens, Boulogne-sur-mer, Caen, Clermont-Ferrand, Dijon,
Dunkerque, Evry, Le Havre, Melun, Montpellier, Mulhouse, Nancy, Reims,
Rodez, StةEtienne, Strasbourg et Troyes.
Arcachon ne disposait que d’un traitement primaire.
8 villes étaient situées dans des zones potentiellement sensibles et donc, de l’avis
de la Commission, auraient dû être équipées d’un traitement plus rigoureux dès
1998.
PARIS : ?
DEMOGRAPHIE
² Sur 36551 communes, 88% ont moins de 2000 habitants (soit
32157 communes)
² Sur 60 millions d’habitants au total, dans les communes de
moins de 2000 habitants :
La population permanent représente 15 millions (soit 26 % du total)
La population saisonnière représente 8 millions
Soit un total de 23 millions (38% du total)
² 6700 communes ont une population comprise entre 100 et 200
habitants
² 25200 communes soit 7 millions ont moins de 700 habitants
(12% de la population)
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Communes inférieures à 2000 hab
LA SITUATION EN FRANCE
Des efforts consentis depuis 20 ans, une évolution
favorable ces dernières années, mais bilan insuffisant.
³Assainissement collectif & traitement:
O parc de 12 000 stations environ avec une capacité de 70,17 M EH soit
96% des besoins, mais une «surcapacité» est nécessaire pour absorber
la pollution par temps de pluie.
O 9200 stations de capacité inférieure à 2000 eq.hab. soit 77%
O 62% de la pollution émise est raccordée
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LA SITUATION EN FRANCE
³ 51% environ de taux de collecte
³ Rendement des stations inférieure à 70% pour les MOX et 35% pour
les MA et MP (1% et 1,5% du nombre de stations traitent N et P)
³ Taux de dépollution de 42% sur les MOX et 48% sur les Mes
³ Les objectif de qualité sont respectés à 35% en moyenne
³ Production de boue :
³ La production sera multipliée par 3 à 4 dans les 10 ans à venir
LA SITUATION EN FRANCE
³Assainissement autonome :
O La part de l’assainissement autonome représente 13M d’hab (dont
2M d’hab au titre des communes périphériques urbaines)
O On estime à 40 - 45% le nombre d’installation non conforme à la
réglementation
O Le nombre annuel d’installations individuelles de 65.000 à 150.000
(selon les sources)
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LA SITUATION EN FRANCE
³ Les communes rurales représentent 44% de la population
permanente (26,5M
26,5M d’hab permanents et 13,4M d’hab
saisonniers).
³ Assainissement collectif : 18,4 millions
³ Assainissement non-collectif : 7,2 million
³ Assainissement groupé : 0,91 millions
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Consommation en eau
Volume moyen d’eau en litre nécessaire pour :
une chasse d’eau 10-12
Une douche 30 - 80
Un bain 150 - 200
Une lessive 80 - 120
Une vaisselle 5 - 15
Un cycle de lave vaisselle 13 - 21
Consommation en eau
Volume d’eau en litre consommé pour fabriquer un kg de :
Acier 300 - 600
Papier 500
Sucre 300 - 400
Carton 60 – 400
Ciment 35
Savon 1 - 35
Matière plastique 1-2
Bière 25
Alcool 100
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Chronologie des principales sources de pollution
des eaux continentales dans les pays industrialisés
TYPES DE
NATURE SOURCES
POLLUTION
Physique
pollution thermique rejets d'eau chaude centrales thermiques
pollution
radio-isotopes installations nucléaires
radioactive
Chimique
fertilisants nitrates, phosphates agriculture, lessives
métaux et mercure, cadmium, plomb, industries, agriculture, pluies
métalloïdes aluminium, arsenic... acides, combustion
insecticides, herbicides,
pesticides agriculture, industries
fongicides
organochlorés PCB, solvants industries
composées
organiques de nombreuses molécules industries
synthèse
détersifs agents tensio-actifs effluents domestiques
hydrocarbures pétrole et dérivés industrie pétrolière, transports
bactéries, virus,
Microbiologique effluents urbains et d'élevage
champignons
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LES EAUX RESIDUAIRES
Origines :
· Eaux vannes
· Eaux ménagères
· Eaux claires parasites (E.C.P)
· Eaux pluviales
Autres origines :
· Eaux industrielles
· Matières de vidange
· Boues de curage
Eaux résiduaires urbaines (ERU)
Mélange d’eaux usées domestiques avec des eaux
industrielles et/ou des eaux de ruissellement.
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Fractionnement de la pollution
en entrée de station
- Les MES dect, DBO5ad2h, DCOad2h; les fractions décantables permettent de
définir les performances des décanteurs primaires et des boues primaires
produites.
Fractionnement de la pollution
en entrée de station
Pour un inffluent à dominante domestique – nous avons pour la DCO et le NTK
:
- DCO totale = DCO rapidement biodégradable (DCO soluble+ fraction colloïdale) +DCO
lentement biodégradable ( DCO particulaire+ fraction colloïdale) + DCO réfractaire
(DCOsoluble + particulaire)
- NTK = azote Kjeldahl = Azote organique ammonifiable + Azote ammoniacal +
Azote réfractaire non ammonifiable (soluble et particulaire)
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Fractionnement de la pollution
en sortie de station
- En sortie de station, nous avons pour la pollution carbonée et azotée, le résiduel
non dégradé dans le réacteur biologique (la fraction soluble et les fractions
particulaire et colloïdale devenues solubles par voie enzymatique), du réfractaire et
de la pollution due aux particules de MES en sortie.
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Dégradation de la pollution par
cultures libres (boues activées)
CHARGE POLLUANTE
émise par habitant
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Un équivalent-habitant représente journellement
Paramètres Valeur
Débit 80 à 250 l/j (à boucler avec la consommation
AEP avec 20 à 30 % de pertes dans le réseau)
DCO 130 – 145 g
DBO5 60 g
MOX* 57 g
MES 55 – 70 g
55 g en réseau séparatif
60 – 70 g en réseau unitaire
NTK 15 g
Ptot 3–4g
Lipides 15 – 20 g
Equitox 0,2 de matières inhibitrices
Métox 0,23
AOX 0,05 g (composés organohalogénés sur charbon
actif)
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Caractérisation d’un effluent
domestique
Rapports USUEL
DCO / DBO 2,2 à 2,5
MES / DBO 1 à 1,3
DBO / NTK 4à5
N-NH4 / NTK 0,65 à 0,75
%MVS 67 à 75%
DCO / P 28 à 60
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Historique
Historique
Logique qui s'est maintenue jusqu'à la deuxième moitié du XXème,
où apparaît alors une autre préoccupation; celle de la protection du
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Les filières de traitement pour petites
collectivités
Disques Milieux
Boues activées Lagunage Lits bactériens
biologiques granulaires
fins
- faible charge - naturel
- moyenne charge - artificiel
- forte charge
Remplissage Remplissage Lits Lits
minéral plastique fixes turbulents
Infiltration
percolation
Massifs filtrants
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Principe simplifié du traitement
biologique aérobie
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Critères pour le choix d’une filière de
traitement biologique
1 - Niveau de traitement requis (rendement, concentration, percentile)
2 - Capacité de l'installation
3 - Destination des boues
4 - Surface au sol disponible
5 - Variation saisonnière de la charge polluante
6 - Contraintes environnementales
7 - Coût d'investissement
8 - Contrainte d'exploitation
9 - Coût d'exploitation
10 - Qualité du terrain (lagune notamment)
10 - Fiabilité de la filière (sensibilité du milieu et traitement tertiaire spécifique)
TERMINOLOGIE DU LAGUNAGE
³ Lagune anaérobie (bassin profond 4 à 5m)
³ lagune de décantation (2m de He et 4 jours de tsh)
³ Lagunage naturel (1m de profondeur et 3 bassins)
³ Lagune à microphytes (algues microscopiques)
³ Lagune à macrophytes (végétaux supérieurs)
³ Lagune mixte (micro & macrophytes)
³ Lagune facultatif ( 1er bassin)
³ Lagune de maturation ( les 2 suivants)
³ Lagunage tertiaire ou de finition
³ Lagunage aéré (mécaniquement) ou artificiel
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DIFFERENTS PROCEDES
DE CULTURES FIXEES EXTENSIVES
21
STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USEES
PROCEDE BIOLOGIQUE INTENSIF
PAR BOUES ACTIVEES
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FILIERE EAU
1 2 3
23
Filière complète
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Turbine lente
25
Dissociation des fonctions d’aération et de brassage
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Clarificateur circulaire
de type horizontal
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Boue activée à fonctionnement séquentiel
SBR
31
STATION DE TRAITEMENT DES EAUX USEES
PROCEDE BIOLOGIQUE EXTENSIF
EN CULTURES LIBRES
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Lagunage naturel
Le lagunage naturel
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COUPE D’UN PROCEDE PAR LAGUNAGE
NATUREL
34
COUPE D’UN PROCEDE PAR LAGUNAGE
ARTIFICIEL
35
Une filière classique Lit Bactérien
36
Filière de traitement par biofiltration
37
Filière par Infiltration-percolation
38
Massifs filtrants plantés de roseaux
(écoulement vertical)
39
Coupe transversale schématique d’un filtre à
écoulement vertical
40
DISPOSITIF DE TRAITEMENT
PAR MASSIF FILTRANT PLANTE
Infiltration-Percolation
Filtres enterrés
41
SYSTEMES D’ASSAINISSEMENT
NON - COLLECTIFS
42
Ventilation
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La fosse septique toutes eaux [FSTE] + préfiltre
Prétraitement uniquement utilisable jusqu’à
environ 100 E-H avant des cultures fixées
(le plus souvent sur supports fins)
44
Coupe d’une filière complète
45
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Lit filtrant drainé à flux vertical
48
49
Synthèses des procédés
cultures fixées
extensifs
Non drainé
2è étage
1er étage
Epandage A l’air Billons dans sol en place selon sol en Non drainé
superficiel libre place Epandage en billons
(> 5 m2/EH)
Les mentions en caractères gras correspondent à la mise en œuvre retenue dans les filières types présentées dans un document à paraître
50
TERMES ALIM. MATERIAU SUPPORT DE BASES DE DRAINAGE SCHEMA AUTRES APPELLATIONS
GENERIQUES BIOMASSE DIM.
2
Filtres Enterrée Matériau rapporté 3 m /EH Drainé Lit filtrant drainé
(1)
enterrés (1)
Tertre drainé
(2)
Lit filtrant drainé à flux vertical
Epandage par massif sableux drainé
Filtres à sable
Epandage Enterrée Epandage souterrain par tranchées selon sol en Non drainé
souterrain d'infiltration dans sol en place place Tranchées filtrantes
2
(> 5 m /EH)
Les mentions en caractères gras correspondent à la mise en œuvre retenue dans les filières types présentées dans un document à paraître
(1)
. Formulation reprise dans Etude Inter Agences, N° Hors série 1992 “ Entretien en assainissement semi-collectif sous pression ”.
(2)
. Formulation reprise dans l’arrêté du 6 mai 1996 fixant les prescriptions techniques applicables aux systèmes d’assainissement
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Les " +++++ ", " +++ " et le " - " doivent être considérés respectivement comme appréciation "franchement positive",
"positive" et "plutôt négative".
Les "cases vides" reflètent une "relative indifférence" vis à vis du caractère visé.
Les mentions spéciales et appréciations franchement négatives figurent "en toutes lettres".
Procédés pouvant fonctionner sans électricité
Filières B. A. Lagunage Lit Disques Décanteur- Lagunage Lits Filtres Filtres Epandage Epandage
(1) (1) (2)
Critères aér. prol. aéré bactérien biologiques digesteur naturel d'infiltration plantés enterrés souterrain superficiel
-1 -1 -1 -1 -1 -1 -1
≤ ≤ ≤ ≤ 35 mg l ≤ ≤ 25 mg l ≤ 25 mg l
-1 -1
DBO5 25 mg l 35 mg l 35 mg l 30 % 25 mg l << 25 mg l << 25 mg l
-1 -1 -1 -1 -1 -1 -1
≤ 90 mg l ≤ 125 mg l ≤ 125 mg l ≤ 125 mg l ≈ 70 % ≤ 90 mg l ≤ 90 mg l ≤ 90 mg l
-1 -1
per DCO 30 % << 90 mg l << 90 mg l
-1 -1 -1 -1 -1 -1 -1 -1
≤ 25 mg l ≤ 30 mg l ≤ 30 mg l ≤ 30 mg l ≤ 25 mg l ≤ 25 mg l ≤ 25 mg l
-1 -1
for MES 50 % < 150 mg l << 30 mg l << 30 mg l
-1 (3) (3) -1 -1 -1 -1 -1
man NK ≤ 10 mg l 30 % 40 % 40 % ≈ 10 % ≈ 70 % < 10 mg l < 10 mg l < 10mg l << 10 mg l << 10 mg l
(3) (4) (4) (4) (4) (4)
ces NGL > 80 % ≈ 25 % ≈ 50 % ≈ 25 % négligeable ≈ 70 %
(3)
P ≈ 20 % ≈ 20 % ≈ 20 % ≈ 20 % ≈ 5% ≈ 60 % très faible très faible très faible ≈ 100 % ≈ 100 %
Influent
DBO5 ≤ 150 - +++ +++ +++ +++++
DBO5 ≥ 350 +++++ +++++ Mauvais +++ +++
Surcharge
hydraulique Mauvais +++ +++++
passagère
Qualité cf. Déterminant Déterminant Déterminant
sous-sol et sol comment.
Emprise globale 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2 2
pour 4OO EH 500 m 2 000 m 550 m 550 m 200 m 6 000 m 1 800 m 2 600 m 3 000 m 8 000 m 7 000 m
Intégration
- +++ - - - +++++ - +++++ +++++ +++++ Mauvaise
paysagère
Pas de bruit - - +++ +++ +++++ +++++ +++++ +++++ +++++ +++++ +++++
Adaptation aux
Mauvaise +++ Mauvaise +++ +++
climats froids
Variation
de pop. > 3 +++ +++ +++ +++++ +++++ +++++ +++
Coût d’expl.
(F HT hab./an)
100 EH 300 120 200 280 240 180 115 100
400 EH 120 65 75 75 30 50 70 60 50 30 25
1 000 EH 75 40 45 45 15 30 40 35
(1) : Rendements exprimés en flux, sauf MES en concentrations.
(2) : Performances supérieures à celles des autres procédés à cultures fixées sur supports fins mais difficilement mesurables.
(3) : Meilleures performances possibles si adaptations spécifiques (cf. fiche correspondante).
(4) : Rendements variables dans le temps (Boutin C. 1998)
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