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NOTIONS GENERALES

1. Conception de la structure

Concevoir un projet c’est trouver la solution qui répond aux différentes


contraintes et exigences posées comme les contraintes architecturales, les
matériaux disponibles, les techniques et matériels utilisés, le budget alloué,
les limites des matériaux. Cette conception doit également répondre au
critère d'une solution la plus économique possible. Il n'y a pas une seule
solution mais la meilleure est celle qui non seulement répond à toutes les
exigences techniques mais aussi qui revient la moins chère (solution
optimale).
D’une manière générale concevoir la structure d’un bâtiment c’est choisir la
structure adéquate qui répond aux différentes contraintes posées. Le
schéma général de conception peut être illustré selon l’organigramme
suivant :

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Concevoir un projet c’est trouver la solution qui répond aux différentes


contraintes et exigences posées. Ces contraintes peuvent être de plusieurs
types parmi lesquelles figure le site du projet qui est un facteur déterminant
dans le choix de la conception.
Influence du site La conception dépend :
- Nature du relief
- Nature du terrain
- Voisinage du site
- Accessibilité du site
- Spécificité du site

Nature du relief :

Un site peut être montagneux, plat, accidenté etc. La conception dépend


fortement de ce facteur. Le tracé d’une route par exemple varie en fonction
de ce facteur puisqu’on doit limiter les pentes à des valeurs maximales à ne
pas dépasser, et réduire au maximum le volume des terrassements pour
réduire le coût du projet. Dans un terrain accidenté, des ouvrages de
soutènement peuvent s’imposer par contre un terrain plat offre plus de
facilité dans la conception d’un projet.

Nature du terrain :

La nature du terrain peut exiger une compagne géotechnique plus au moins


poussée. L’examen détaillé de cette compagne peut écarter ou imposer une
solution bien déterminée. Par exemple dans un sol de résistance médiocre la
solution de fondations profondes peut s’imposer alors que dans un bon sol
où la contrainte admissible du sol est  2 bars, des fondations superficielles
peuvent être adoptées pour des surcharges modérées.

Le voisinage du site :

Le problème de voisinage ne doit pas être négligé car dans un terrain


accidenté par exemple, ouvrir une fouille au-dessous d’une construction
existante peut provoquer un glissement de terrain et par conséquent des
désordres importants voir même la ruine de la construction existante. Dans
ce cas de figure, un ouvrage de soutènement doit être réalisé avant

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d’excaver la fouille. Dans le cas d’ouvrages importants reposant sur des


pieux comme certains ponts ou immeubles, l’existence de construction au
voisinage peut imposer la solution de pieux forés ou moules et non battus
car le battage des pieux peut provoquer des désordres (fissures,
tassements) dans les constructions voisines.

Accessibilité du site :

Selon que le site soit accessible facilement ou pas, on peut opter pour une
conception en éléments préfabriqués en usine puis transportés ou bien
préfabriqué sur place car le coût et la facilité du transport influent beaucoup
sur le coût total du projet.

Spécificité du site :

La conception du projet doit tenir comptes des spécificités du site dans


lequel il va être implanté.

Matériaux utilisés :

Dans certaines zones il existe des tendances à utiliser des matériaux


spécifiques à la région comme les tuiles, pierres ou brique pour façade. Ces
matériaux doivent être utilisés lors de la conception architecturale pour que
l’ouvrage soit en harmonie avec l’ensemble du site. D’autre part les
matériaux disponibles influent parfois sur la conception structurale du fait des
limites de fonctionnement ou de résistance de ces matériaux. En effet un
bâtiment en charpente en bois ne peut avoir des portées semblables qu’un
bâtiment en béton armé ou en charpente métallique. Aspect esthétique du
projet : Une attention particulière doit être accordée à l’esthétique du projet
d’un bâtiment en particulier et des ouvrages d’arts, barrages, château d’eau
en général. Il faut éviter la systématisation des silhouettes et l’uniformité de
construction conduisant à un bâtiment type tout en faisant attention à l’aspect
coût.

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Les étapes de la conception :

Les documents indispensables pour l'étude sont les plans d'architecture, le


plan de levés topographique et les résultats de la campagne géotechnique,
les caractéristiques et les conditions des matériaux utiles à la construction
sont des données nécessaires. Les étapes les plus importantes de
conception d'un bâtiment se résument selon l'organigramme suivant :

Examen
Choix des des plans
fondations d'architect
ure

Mise en
Choix des
place des
planchers
joints

Dimension
Implantati
nement
on des
des
poteaux
poutres

Les étapes de conception

2. Calcul et prédimensionnement

Une fois la conception est faite, c'est-à-dire la disposition des éléments


porteurs verticaux et horizontaux étant choisie, il faut fixer des dimensions.
Chaque élément qu’il s’agisse d’un élément « barre » (poutre, poteau) ou
d’un assemblage (liaison entre différents éléments de la structure) doit être
dimensionné, vis-à-vis des conditions de résistance et de déformation. Pour
cela les pré dimensionnements des éléments d’une ossature sont établis à
partir des ratios courants, puis ils sont affinés par des études rapides,
souvent informatisé. Le but de ce pré dimensionnement est donc d’optimiser
les sections afin de réduire le cout. Les ratios de prédimensionnement ne
prennent pas en compte les conditions particulières relatives à l’isolement
acoustique entre les locaux ou les conditions à remplir vis-à-vis de la sécurité
incendie. Pour cela il faut tenir compte de ces conditions dans le calcul.
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a) Les planchers en corps creux

Ce type de plancher est utilisé pour :


- Des charges modérées
- Des formes assez régulières
- Des portées inférieures à 8 m
Les planchers nervurés dépendent de la hauteur de l’hourdis disponible et
existant. En général les planchers nervurés sont d’épaisseur :
- 21 cm  N (16 + 5) : hauteur de l’hourdis = 16 cm et épaisseur de la
dalle de compression = 5 cm
- 25cm  N (19 + 6) : hauteur de l’hourdis = 19 cm et épaisseur de la
dalle de compression = 6 cm
- 30cm  N (19 + 5 + 6) : hauteur de l’hourdis de 19 cm + épaisseur
d’une brique plâtrière + épaisseur de la dalle de compression = 6 cm

Les planchers nervurés à corps creux sont plus légers que les planchers en
béton armé.
Ils présentent également :
- Un avantage d’isolation thermique
- Coûte moins cher que les autres types de planchers.

La hauteur du plancher est déterminée par la condition de flèche suivante :


20 ≤ L/h ≤ 25.

On prend généralement : h = L/22.5


Avec :
L : la portée entre nus
h : hauteur du plancher

b) Les dalles pleines

Ce type de dalle coulé sur un coffrage est utilisé pour :


- Des formes irrégulières
- Des portées importantes
- Pour des soucis de difficultés d’exécution
- Constituer des éléments coupe-feu
- Pour des charges importantes

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Le plancher dalle pleine isole du point de vu acoustique et présente un


élément coupe-feu. La durée coupe feux dépend de la dimension de la dalle.
Une dalle doit avoir une hauteur ho  11 cm pour l’isolation phonique et la
résistance au feu (coupe-feu de 2 heures).

c) Les poteaux

L’implantation des poteaux dans un bâtiment est réalisée en respectant les


recommandations suivantes :

- Implanter les poteaux dans les coins du bâtiment


- Réduire au maximum le nombre de poteau sans que les distances
entre eux soient très importantes.
- Implanter le reste des poteaux en évitant tout risque d’avoir des
poteaux qui gênent la circulation et qui touchent l’esthétique du
bâtiment.
- Superposer les étages et essayer d’avoir des poteaux communs aux
divers niveaux.

On prend le côté des poteaux carrées : a ≥ L/20 ;


Avec :
L : longueur du poteau.
(On part généralement des poteaux de section carré de 22 cm de côté)

d) Les poutres

En premier lieu il faut faire passer un réseau de poutre entre les poteaux.
Ensuite, il faut affecter les poutres après le choix des planchers. Dans les
cas des planchers nervurés, dans la mesure du possible, les poutres sont
choisies selon des files perpendiculaires aux nervures et de manière qu'elles
soient entièrement cachées par les doubles cloisons ou camouflées par les
cloisons intérieures.
En général, quand c’est possible la largeur b d’une poutre doit être inférieure
ou égale à la largeur du poteau sur lequel cette poutre s’appuie.

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Poutre Schéma

Poutre plate

Poutre plate noyée dans la dalle

Poutre en allège

Pour éviter les retombées de poutres, on pourrait adopter les solutions de :


Poutre hyperstatique ou continue à fin d'optimiser les sections des travées.

Les poutres périphériques supportant une double cloison de l'étage supérieur


seront, dans le cas nécessaire, conçues avec un nez du côté extérieur du
mur.
Le calcul de prédimensionnement des poutres est comme suivant :

Poutre isostatique Poutre continue


Hauteur total h L/15 ≤ h ≤ L/10 L/18 ≤ h ≤ L/14
Section rectangulaire : b 0,3 h < b < 0,6 h
Section en T : bo 0,2 < bo < 0,4h

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Avec :
L : distance entre nus des poteaux
b : la largeur
h : la hauteur

e) Les fondations

Les fondations sont des ouvrages de transition destinés à transmettre au sol,


dans de bonnes conditions, les charges permanentes et les charges
variables d’une ossature. La consultation du rapport géotechnique établi en
vue de connaître la capacité portante du sol de fondation et des tassements
admissibles permet d'orienter le choix du type de fondation qui peut être
superficielle, profonde ou semi profonde. Parmi les fondations superficielles :
- Les semelles isolées (sous poteaux ou piles)
- Les semelles continues (sous murs ou files de poteaux)
- Les radiers (sous l’ensemble de l’ossature) Un des critères de choix
des fondations profondes est traduit dans le tableau suivant :

- Les longrines
Ce sont des poutres en béton armé reposants sur un sol bien compact ou
sur des fondations pour transmettre des efforts de la structure aux semelles.
Les longrines assurent la stabilité des poteaux vis-à-vis du déversement et
de l’enfoncement. Elles œuvrent pour la rigidité de la structure.
Lorsqu'un mur ou pilier est fondé contre un mur résistant ou lorsqu'il s'agit de
mur de soutènement ou lorsque la fondation ne peut empiéter sur le terrain
mitoyen, il est nécessaire d'excentrer la semelle sous le porteur et d'utiliser
des longrines de redressement.
Longrines sur semelles à efforts centrés Une longrine est une poutre
isostatique au niveau du sol. En fonction du type de la chape utilisée on peut
évaluer les charges sur la longrine.

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En effet, il existe deux catégories de dallages : la dalle accrochée et la dalle


flottante. La dalle accrochée est un dallage reposant sur les longrines, de ce
fait les charges de la dalle sont comptabilisées. La dalle flottante est une
dalle qui repose sur du sol bien compact, cette dalle n’admet théoriquement
pas des charges sur la longrine. Dans ce cas cet élément ne reçoit que les
charges des éléments qu’il supporte.

- Les prépoteaux
Dans le cas où la semelle est profonde par rapport au niveau du bâtiment, on
assure la liaison entre la semelle et le bâtiment par des poteaux de faible
hauteur  Prépoteaux.

On utilise aussi les prépoteaux lorsque les semelles ne se situent pas sur le
même niveau d’assise, alors on compense cette différence de niveau par
l’emploi de ces éléments verticaux de la fondation. Le dimensionnement de
ces éléments est analogue à celui des poteaux ordinaires. Lors de
l’exécution des prépoteaux, il faut prévoir au niveau des semelles l’attente
des aciers qui va servir pour le ferraillage des poteaux.
3. Méthode de calcul

Pour réaliser le calcul pour un bâtiment, on distingue :


1) Les charges permanentes qui s’appliquent à toutes les constructions :
poids propre des ouvrages et équipements fixes.
2) Les charges variables comme les charges d’exploitation dont la valeur
minimale est fixée pour les charges uniformément réparties en fonction du

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type d’utilisation des locaux : habitation, bureaux, hospitaliers, scolaires, etc.


(Tableau en annexe).
3) Les charges accidentelles comme les séismes, les chocs…

L’évaluation des charges (permanentes, exploitations) :


Surface d’influence Pour évaluer les charges verticales, il faut déterminer le
cheminement des efforts dans la structure depuis leur point d’application
jusqu’aux fondations. En général, les charges se distribuent en fonction des
surfaces de planchers SP attribuées à chaque élément porteur (voile, poutre,
poteaux…) et appelées surface d’influence. Pour calculer SP on admet :
- Une distribution uniforme des charges sur toute la surface susceptible
d’être chargée,
- La discontinuité des éléments de poutres et des planchers et on considère
des travées indépendantes reposant sur des appuis simples.
Principe de discontinuité : Ce principe se base sur le fait de considérer les
travées indépendantes. Pour prendre en compte la continuité, des
majorations forfaitaires des charges seront appliquées.

4. Descente de charges DDC

La descente des charges est obtenue en déterminant le cheminement des


efforts dans la structure, depuis leur point d’application jusqu’aux fondations.
Les charges se distribuent en fonction des surfaces de planchers attribuées
à chaque élément porteur. Sur un élément porteur agit :

- Les charges qui lui sont directement appliqués.


- Les charges transmises par les éléments qu’il supporte.

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• Charge provenant de la dalle


D

• Poutres et raidisseurs
P

• Poteaux et voiles
P

• Fondations
F

• Sol
S

Le calcul des sollicitations se fait sur la base des chargements obtenus suite
à la descente des charges sur les éléments de la structure. Les sollicitations
(efforts normal N, effort tranchant V, moments de flexion M) sont calculées à
partir des combinaisons d’actions relatives au B.A.E.L selon les procédés de
la résistance des matériaux dans la mesure où ils sont applicables ou selon
des méthodes simplifiées (méthode forfaitaire, Caquot) déjà étudiées.

5. Les charges permanentes

Les charges se divisent en deux catégories : les charges


permanentes (ou charges mortes) et les charges d'exploitation.
Les charges permanentes sont celles qui sont toujours présentes sur
l'ouvrage et, bien souvent, correspondent au poids propre de l'ouvrage. Par
exemple, un pont suspendu est un ensemble de charges permanentes
composées de poutres d’acier, de câbles et d’asphalte qui supporte son
poids propre. Pour un bâtiment, les charges permanentes incluent le poids
du béton, des revêtements de sol, de la toiture, des balcons et tous autres
éléments fixes. Les étages supérieurs sont une charge permanente pour un
étage inférieur. En fait, c’est l’ossature d’un ouvrage qui reprend tous les
efforts qui lui sont soumis et qui lui garantisse sa géométrie globale quel que
soit l’effort. En fonction, des charges à supporter on donne des dimensions
plus ou moins grandes aux éléments de l’ossature de l’ouvrage.
La charge permanente, notées « G », comprend le poids propre des
éléments porteurs, et les poids des éléments incorporés tels que : plafond,
sol, enduits et revêtement.
Les cloisons légères sont prises en compte comme une charge permanente
uniformément répartie de 1 KN/m2.
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a) Poids volumiques des matériaux de construction

Selon la norme AFNOR NFP 06-004, les poids volumiques des matériaux de
construction sont :

Matériaux Poids volumique (KN/m3)


Béton armé 25
Béton non armé 22
Mortier en liants hydrauliques 20
Sable 18
Gravier 17
Briques pleines 19
Briques creuses 9

b) Poids des éléments constitutifs d'une construction :

Selon la norme AFNOR NFP 06-004, Poids des éléments constitutifs d'une
construction sont :

Charges des cloisons et des murs :

Type de mur (Avec enduit) Charge surfacique (KN/m2)


Cloison de 10 cm 1.20
Cloison de 15 cm 1.50
Cloison de 20 cm 1.95
Cloison de 25 cm 2.40
Double cloison de 30 cm 2.75
Double cloison de 35 cm 3.10
Cloisons en carreaux de plâtre à parement 0.10
lisses par cm
Mur en maçonnerie en pierre de taille 40 cm 10.80

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Le poids propre des planchers seuls :

Type de plancher Epaisseur (cm) Poids surfaciques Poids volumiques


(KN/m2) (KN/m3)
Dalles pleines en Par cm 0.25 25
béton-armé
Plancher en corps 21 2.85 13.75
creux 16+5
Plancher en corps 25 3.30 13
creux 19+6
Plancher en corps 31.5 4.0 12.70
creux 19+6.5+6
Plancher en corps 35 4.35 12.42
creux 19+10+6

Charges des couches de revêtement :

Couches Epaisseur (cm) Charge (KN/m2)


Carrelage 2.5 0.5
Faux plafond en plâtre 3 0.3
Etanchéité multicouche SP2 - 0.15
Etanchéité multicouche SP4 - 0.20
Revêtements attachés en 3 0.80
pierre de taille
Chape en mortier de ciment par cm 0.20

6. Les surcharges d’exploitations

a) Définition

Les charges d'exploitation (notées Q dans la règlementation) sont celles qui


résultent de l'usage des locaux par opposition au poids des ouvrages qui
constituent ces locaux, ou à celui des équipements fixes. Elles correspondent
au mobilier, au matériel, aux matières en dépôt et aux personnes et pour un
mode normal d'occupation. En pratique, toutefois, certains équipements fixes
légers peuvent être inclus dans les valeurs fixées pour les charges
d'exploitation.
Les charges données dans les tableaux suivants sont celles qui sont le plus
couramment rencontrées dans la construction.
Elles ne tiennent pas compte des équipements lourds spécifiques pouvant
être mis en place dans certains locaux.
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Ces valeurs peuvent, dans certains cas (notamment en fonction du nombre


d’étages), être corrigées par l’application d’un coefficient de régression
verticale. De même, pour les grandes surfaces, une régression horizontale
peut être appliquée. La référence est prise de la norme NF P 06-001.

b) Valeurs des charges d’exploitation

Selon la norme AFNOR NFP 06-001, les charges d’exploitation sont :

Bâtiments à usage d'habitation Valeur en daN/m2


Logements y compris combles aménageables 150
Balcons 350
Escaliers à l'exclusion des marches isolées, halls d'entrée 250
Combles non aménageables, dont l'utilisation n'est pas prévue à 100
priori, non accessible normalement
Greniers proprement dits 250
Etages des caves 250

Bâtiments de bureaux
Bureaux 250
Bureaux paysagers 350
Circulations et escaliers 250
Halls de réception 250
Halls à guichet 400
Salles de projection et de conférence à nombre de places limité 350
(<50m2)
Cantines 250 à 350
Salles de réunion avec tables 350
Zone de dépôts 350
Salles d'ordinateurs et de reprographie 250 + équipement lourd

Bâtiments scolaires et universitaires

Dépôts de cuisines collectives 600


Salles avec assistance debout : circulations, escaliers, surfaces de 400
regroupement, d'abri, de détente, polyvalente
Cuisines collectives 500
Salles de réunions, salles polyvalentes avec sièges, bibliothèques, 400
dépôts, lingerie
Amphithéâtres, salles de classes remodelables et locaux équivalents, 350
cantines, réfectoires
Salles de classes, salles à manger de petites dimensions, 250
laboratoires, ateliers, dortoirs, sanitaires, locaux médicaux
Hébergement individuel 150

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