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LA NEUROPHYSIOLOGIE
PLAN
1
18/03/2017
CHAPITRE 1 :RAPPELS
ANATOMO-FONCTIONNELS DE
L’ORGANISATION DU SYSTÈME
NERVEUX
PLAN
2
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A. Organisation anatomique
B. Organisation Physiologique
5
A. Organisation anatomique
B. Organisation Physiologique
6
3
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I- Introduction
• Le système nerveux est le centre d'intégration et de
traitement des données. C'est le siège des émotions, de
la pensée, de la conscience et participe au maintien de
l'homéostasie.
• La réception de stimuli,
A. Organisation anatomique
2. Système nerveux
B. Organisation Physiologique
8
4
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Système nerveux
Voies afférentes Voies efférentes
périphérique (SNP)
10
5
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A. Organisation anatomique
B. Organisation Physiologique
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Télencéphale
Diencéphale
Mésencéphale
Pont de Varole
(protubérance)
Bulbe
rachidien
Moelle Cervelet 12
= Tronc cérébral épinière
6
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Moelle Encéphale
épinière
(colonne (boîte
vertébrale) crânienne)
Tronc Cervelet
cérébral Cerveau
A. Organisation anatomique
B. Organisation Physiologique
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Nerfs rachidiens
SNP somatique
15
16
8
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Homéostasie 17
A. Organisation anatomique
2. Système nerveux
B. Organisation Physiologique
18
9
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19
10
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PLAN
21
CHAPITRE 2 :
PRINCIPES DE
FONCTIONNEMENT D’UNE
CELLULE NERVEUSE
22
11
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A. Neurones l’influx
P B. Les cellules gliales B- Conduction dans les axones
nerveuses
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A. Neurones
D. Structure de la membrane
plasmique neuronale
24
12
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13
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14
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A. Neurones
B- Excitabilité
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31
16
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A. Neurones
B- Excitabilité
33
dendrite axone
Fig 2:
34
17
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b- neurone multipolaire:
nombreuses dendrites, un seul axone : neurones pyramidaux (cortex cérébral).
axone
dendrites
Fig 3
c- neurone bipolaire:
une dendrite et un axone ex interneurones
dendrite axone
Fig 4 35
myéline
Fig 5
36
18
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Dans le SNC :
La myéline est formée à
partir des oligodendrocytes.
Fig 7
38
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39
-La gaine de myéline forme une paroi à résistance élevée qui empêche le passage
de l’influx. L’influx nerveux ne peut passer que d’un nœud de Ranvier à l’autre :
conduction de type saltatoire (par saut).
20
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Sens du courant
41
Figure 9 : conduction de proche en proche 41
41
SNC.
b- Les motoneurones
c- Les interneurones
21
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vers
L’effecteur
CorneCTantérieure
de la moelle épinière Influx nerveux efférent ou moteur
Neurone efférent ou moteur
Figure 10 43
A. Neurones
P
B. Les cellules gliales
L
C. Classification des neurones
A
D. Structure de la membrane plasmique neuronale
N
II- Propriétés électriques de la fibre nerveuse
A- Polarité
B- Excitabilité 44
22
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45
Fig 11: structure de la mb plasmique
A. Neurones
P
B. Les cellules gliales
L
C. Classification des neurones
A
D. Structure de la membrane plasmique neuronale
N
II- Propriétés électriques de la fibre nerveuse
A- Polarité
B- Excitabilité 46
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A B voltmètre
++ + +
--------------
LIC
LEC axone
mV A
0
B
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A - + +
A - +
gradient électrique
gradient de concentration
A - + +
A - + A -
Explication:
Soit 2 solutions:
* C1, C2 électriquement neutres,
* C1 plus concentré que C2. (C1>C2)
* Suivant le gradient de concentration, les cations vont passer de C1 vers C2 (du
milieu le plus cc vers moins cc).
* Le compartiment 1 devient chargé négativement
* Le compartiment 2, chargé positivement,
* Il s’établit alors une différence de potentiel et un gradient électrique. 50
25
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Les cations du C2, attirés par la charge négative du C1 vont à leur tour migrer
du C2 vers C1. Ceci va se poursuivre jusqu’à un point d’équilibre entre le
gradient chimique de concentration et le gradient électrique.
Le potentiel de membrane pour lequel les 2 flux sont équivalents mais de sens
opposé est appelé potentiel d’équilibre pour un ion donné, noté Eion.
Pour chaque ion, on peut calculer ce potentiel d’équilibre grâce à l’équation
Nernst:
• T = T° absolue
Dans toutes les cellules, la répartition des ions de part de la membrane est
inégale.
ions Cc intracelaire Cc extracelaire
meq/l meq/l
K+ 140** 5
Na+ 14 140**
Cl- 14 147
Ca++ 10-4 1
52
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Au repos :
Le mouvement des ions se fait à travers les canaux de fuite, ouverts en
permanence. Le Na+ a tendance à entrer dans la cellule attirés par le
gradient électrique (charge négative intracellulaire), Le K+ a tendance à
quitter la cellule vue son gradient chimique (plus concentré à l’intérieur qu’à
l’extérieur).
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membrane
cytoplasme liquide extracellulaire
plasmique
Canal de fuite
Na+ Na+
Na+ Na+
Pompe
Na+ K+
K+ K+ Flux passifs
Flux actifs
K+ K+
56
28
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A. Neurones
P
B. Les cellules gliales
L
C. Classification des neurones
A
D. Structure de la membrane plasmique neuronale
N
II- Propriétés électriques de la fibre nerveuse
A- Polarité
B- Excitabilité 57
B- Excitabilité
58
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Intensité suffisante ou
Intensité insuffisante <
efficace atteint le seuil
seuil d’excitation
d’excitation « -55 mV »
PA
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60
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2- Le potentiel d’action PA
a- description du PA:
La dépolarisation:
Phase ascendante apparaissant à partir d’un seuil critique de - 50 mV.
Brusque (durée: 1 ms) et ample avec inversion de polarité de - 50 à + 40 mV
La repolarisation:
Phase descendante du PA, rapide 1 à 2 ms, le potentiel de membrane revient
à son niveau initial.
L’hyperpolarisation tardive:
A la fin de la phase descendante, le potentiel de membrane atteint une
valeur plus négative que celle du PR.
Retour au Potentiel de Repos PR:
Phase relativement lente (quelques ms) .
62
31
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b- caractéristiques du PA
63
32
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65
66
33
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*la dépolarisation:
est due à l'ouverture de canaux Na+ voltage dépendants, ce qui entraîne une
entrée brutale de Na+: l’intérieur de la cellule devient positif et l’extérieur
négatif .
*la repolarisation:
due à l’inactivation graduelle des canaux Na+
puis avec un certain délai, ouverture des canaux K+ voltage dépendants .
68
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*l'hyperpolarisation:
Inactivation lente des canaux K+ : le K+ continue à sortir, l’intérieur devient
encore plus négatif que l’extérieur.
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Pompe Na+/K+
70
35
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71
Vidéo PA
72
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74
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Plus la période réfractaire est longue et plus la fréquence des P.A est
basse.
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rétrogade).
dépolarisation.
79
80
40
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81
82
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Sens du courant
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85
86
43
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CHAPITRE 3 :
PRINCIPES DE LA
COMMUNICATION NERVEUSE:
LES SYNAPSES
88
44
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PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
III. Les synapses du SNA : ganglion sympathique
IV. Les synapses du SNC
V. Jonction neuromusculaire
VI. Les chaînes synaptiques
VII. Les médiateurs chimiques
89
PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
90
45
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92
46
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PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
A. Les synapses électriques
B. Les synapses chimiques
C. schéma général de la transmission synaptique
D. Les synapses excitatrices et inhibitrices
III. Les synapses du SNA : ganglion sympathique
IV. Les synapses du SNC
V. Jonction neuromusculaire
VI. Les chaînes synaptiques
93
VII. Les médiateurs chimiques
94
47
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PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
A. Les synapses électriques
B. Les synapses chimiques : description
C. schéma général de la transmission synaptique
D. Les synapses excitatrices et inhibitrices
III. Les synapses du SNA : ganglion sympathique
IV. Les synapses du SNC
V. Jonction neuromusculaire
VI. Les chaînes synaptiques
95
VII. Les médiateurs chimiques
96
48
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PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
A. Les synapses électriques
B. Les synapses chimiques
C. Mode d’action de la synapse chimique
D. Mode d’action des synapses excitatrices et inhibitrices
III. Les synapses du SNA : ganglion sympathique
IV. Les synapses du SNC
V. Jonction neuromusculaire
VI. Les chaînes synaptiques
97
VII. Les médiateurs chimiques
49
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PA
…
Ca++
... …
…
NT
Na+
PA
Récepteur
Canal Na+
Elément post synaptique
PPSE
Na+
100
50
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101
se propage pas
102
51
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a- Sommation temporelle:
PA
mV
seuil critique
tps ms
0 20 40 60
104
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b. La sommation spatiale :
105
PA
PPSE
106
Sommation spatiotemporelle
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2- Synapse inhibitrice
Dans le cas d‘une synapse inhibitrice, le neurotransmetteur provoque une
hyperpolarisation de la membrane post synaptique sous l’effet du PPSI. Le
PPSI résulte de :
L’ouverture des canaux Cl- et K+ chimio dépendants et de
L’augmentation du flux entrant d’ ions Cl- ou de
L’augmentation du flux sortant de K+
On assiste donc à une inhibition de la transmission de l’influx
PPSI
107
PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
III. Intégration du signal au niveau du SNA
A. Description de la synapse du SNA
B. Caractéristiques
54
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109
PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
III. Intégration du signal au niveau du SNA
A. Description de la synapse du SNA
B. Caractéristiques
55
18/03/2017
PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
III. Intégration du signal au niveau du SNA
A. Description de la synapse du SNA
B. Caractéristiques
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La convergence
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114
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117
PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
III. Les synapses du SNA : ganglion sympathique
IV. Intégration du signal au niveau du SNC
A. Synapses excitatrices
B. Synapses inhibitrices
1. inhibition post synaptique
2.inhibition présynaptique
V. Jonction neuromusculaire
VI. Les chaînes synaptiques
VII. Les médiateurs chimiques 118
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PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
III. Les synapses du SNA : ganglion sympathique
IV. Les synapses du SNC
V. Jonction neuromusculaire
VI. Les chaînes synaptiques
VII. Les médiateurs chimiques
121
V- Jonction neuromusculaire
1- description:
• Synapse simple
122
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124
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Pathologie :
La myasthénie est une maladie autoimmune, qui se manifeste par une
fatigabilité anormale à l'effort. Elle se caractérise par une diminution
du nombre de récepteurs post-synaptiques à l'acétylcholine liée à
l’existence d’anticorps anti-récepteurs à l’ACH. La myasthénie
primitive se caractérise, elle, par déficit congénital en Ach
126
63
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PRINCIPES DE LA COMMUNICATION
NERVEUSE: LES SYNAPSES
I. Définition
II. Les différents types de synapses
III. Intégration du signal au niveau du SNA
IV. Intégration du signal au niveau du SNC
V. Jonction neuromusculaire
VI. Les neuromédiateurs
127
128
64
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129
GABAB
Monoamines
Dopamine (DA) D1A, D1B, D2, D3, D4 Contrôle motricité,
motivation, récompense
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CHAPITRE 4
PHYSIOLOGIE DES RÉCEPTEURS
- NOCICEPTEURS
- FUSEAU NEUROMUSCULAIRE
- RÉCEPTEURS VESTIBULAIRES
131
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
1. base anatomique des récepteurs
2. bases fonctionnelles
IV. Le codage de la durée du stimulus
1. les récepteurs à adaptation nulle ou lente
2. les récepteurs à adaptation rapide
3. les récepteurs d'abord phasiques puis toniques
V. Etude des nocicepteurs
VI. Les mécanorécepteurs musculaires
VII- Les récepteurs vestibulaires
132
66
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PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
1. base anatomique des récepteurs
2. bases fonctionnelles
IV. Le codage de la durée du stimulus
1. les récepteurs à adaptation nulle ou lente : R toniques
2. les récepteurs à adaptation rapide : R cinétiques ou phasiques
3. les récepteurs d'abord phasiques puis toniques
I- Généralités:
67
18/03/2017
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
1. base anatomique des récepteurs
2. bases fonctionnelles
IV. Le codage de la durée du stimulus
1. les récepteurs à adaptation nulle ou lente : R toniques
2. les récepteurs à adaptation rapide : R cinétiques ou phasiques
3. les récepteurs d'abord phasiques puis toniques
Les récepteurs sont divisés en cinq groupes principaux , basés sur le type de
stimuli :
136
68
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PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
1. base anatomique des récepteurs
2. bases fonctionnelles
IV. Le codage de la durée du stimulus
1. les récepteurs à adaptation nulle ou lente : R toniques
2. les récepteurs à adaptation rapide : R cinétiques ou phasiques
3. les récepteurs d'abord phasiques puis toniques
138
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épiderme
derme
Mécanorécepteur
de type II ou corpuscule de
Rufini Corpuscule lamellaire
De Pacini
139
Les différents récepteurs cutanés
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
1. base anatomique des récepteurs
2. bases fonctionnelles
IV. Le codage de la durée du stimulus
1. les récepteurs à adaptation nulle ou lente : R toniques
2. les récepteurs à adaptation rapide : R cinétiques ou phasiques
3. les récepteurs d'abord phasiques puis toniques
70
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2- bases fonctionnelles:
Toutes les voies sensorielles commencent avec un stimulus,
énergie physique, qui agit sur le récepteur.
Le récepteur est un transducteur qui convertit le stimulus en
un signal intracellulaire càd en variation du potentiel de
membrane
141
71
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143
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
1. les récepteurs à adaptation nulle ou lente : R toniques
2. les récepteurs à adaptation rapide : R cinétiques ou phasiques
3. les récepteurs d'abord phasiques puis toniques
V. Etude des nocicepteurs
VI. Les mécanorécepteurs musculaires
VII- Les récepteurs vestibulaires
144
72
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1. Notion d’adaptation:
L’adaptation est un changement (en général une diminution) de
la sensibilité à un stimulus de longue durée: Pour un stimulus
maintenu constant pendant un certain temps, la fréquence des
PA décroît en fonction du temps d'application.
La vitesse de cette adaptation dépend du type de récepteur.
145
146
73
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147
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
V. Etude des nocicepteurs
A. Définitions
B. Mécanisme d’activation des nocicepteurs
C. Voie sensorielle de la nociception
D. Contrôle segmentaire ou Gate Control
E. Contrôle supra-segmentaire de la douleur
VI. Les mécanorécepteurs musculaires
VII- Les récepteurs vestibulaires
148
74
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1. Définition de la Douleur :
"Sensation désagréable et une expérience émotionnelle en réponse à
une atteinte tissulaire réelle ou potentielle, ou décrite dans des termes
évoquant une telle lésion".
D’après l’Association Internationale pour l’Etude de la Douleur
un stimulus est dit nociceptif lorsqu'il est capable de produire une lésion
tissulaire.
2- Nocicepteur
Récepteur préférentiellement sensible à un stimulus nociceptif : Ce sont
en général des terminaisons nerveuses libres.
149
nociception
3.Manifestations nerveuses
liées à une stimulation Cortex sensorielsdouleur
nociceptive primaires
apprentissage
Thalamus
Neurones Contrôles
nocicepteur
Sensoriels descendants
primaires
Moelle épinière
Manifestations
Réflexe d’évitement motrices 150
Végétatives réflexes
75
18/03/2017
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
V. Etude des nocicepteurs
A. Définitions
B. Mécanisme d’activation des nocicepteurs
C. Voie sensorielle de la nociception
D. Contrôle segmentaire ou Gate Control
E. Contrôle supra-segmentaire de la douleur
VI. Les mécanorécepteurs musculaires
VII- Les récepteurs vestibulaires
151
On distingue :
ostéoarticulaire, musculo-tendineuse…)
76
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153
1 : conduction normale
de l’influx nerveux
1
2 : réflexe d’axone
*substance P:
neuropeptide algogène
présent dans le ganglion
rachidien.
77
18/03/2017
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
V. Etude des nocicepteurs
A. Définitions
B. Mécanisme d’activation des nocicepteurs
C. Voie sensorielle de la nociception
D. Contrôle segmentaire ou Gate Control
E. Contrôle supra-segmentaire de la douleur
VI. Les mécanorécepteurs musculaires
VII- Les récepteurs vestibulaires
155
3
2
1
1
156
78
18/03/2017
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
V. Etude des nocicepteurs
A. Définitions
B. Mécanisme d’activation des nocicepteurs
C. Voie sensorielle de la nociception
D. Contrôle segmentaire ou Gate Control
E. Contrôle supra-segmentaire de la douleur
VI. Les mécanorécepteurs musculaires
VII- Les récepteurs vestibulaires
158
79
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l'intensité de la douleur peut être modulée par la balance entre activité des
fibres nociceptives et activité d'autres afférences ex celles du tact.
159
Application clinique:
160
80
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PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
V. Etude des nocicepteurs
A. Définitions
B. Mécanisme d’activation des nocicepteurs
C. Voie sensorielle de la nociception
D. Contrôle segmentaire ou Gate Control
E. Contrôle supra-segmentaire de la douleur
VI. Les mécanorécepteurs musculaires
VII- Les récepteurs vestibulaires
162
81
18/03/2017
enképhalines
163
82
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SGPA
(mésencéphale)
Tronc
cérébral
Noyau du
raphé (bulbe)
sérotonine
Contrôle supra-
segmentaire de la
douleur Moelle épinière
Enképhalines
Analgésie: blocage de la
transmission de la douleur 165
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
V. Etude des nocicepteurs
VI- Les récepteurs vestibulaires
A. Les organes otolithiques
1. structure de l’épithélium sensoriel : la macule
2. mise en jeu des organes otolithiques
VII. Les mécanorécepteurs musculaires
166
83
18/03/2017
167
Ampoule du canal
semi circulaire
84
18/03/2017
169
170
85
18/03/2017
171
Otolithes
Membrane otolithique
Kinocil
Cellules ciliées
Cellule de soutien
Membrane basale
Nerf vestibulaire
Epithélium sensoriel : Organisation des macules sacculaire et utriculaire
172
86
18/03/2017
174
87
18/03/2017
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
88
18/03/2017
Capsule
89
18/03/2017
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
179
180
90
18/03/2017
181
PLAN
I. Généralités
II. Classement des récepteurs selon leur stimulus spécifique
III. Propriétés générales des systèmes sensoriels
IV. Le codage de la durée du stimulus
91
18/03/2017
184
92
18/03/2017
185
CHAPITRE 6
LES REFLEXES SPINAUX OU
MEDULLAIRES
186
93
18/03/2017
94
18/03/2017
189
190
95
18/03/2017
A. Moelle épinière
192
96
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97
18/03/2017
2. Les interneurones
interneurone
Motoneurones
Cellule de Renshaw
(IN)
195
2. Les interneurones
Cellules de petite taille. Leur nombre est 30 fois supérieur à
celui des motoneurones alpha. Ils sont très excitables et
reçoivent les signaux moteurs et sensitifs.
La cellule de Renshaw est un interneurone inhibiteur qui
contrôle la fréquence de décharge des motoneurones alpha.
La strychnine, la toxine du tétanos inhibe cette auto régulation
et entraine des convulsions tonico-cloniques (contractions
musculaires rapides, produisant de grands mouvements).
196
98
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II. Fonctions de la ME
198
99
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100
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201
202
101
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203
102
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205
206
103
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moelle épinière.
207
104
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105
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211
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213
107
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108
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.
FNM et les fibres musculaires
ordinaires sont parallèles :
FNM renseigne sur la
longueur du muscle.
OTG sont en série avec les
fibres musculaires et
renseignent le SN sur la
tension du muscle et sur sa
force de contraction.
217
218
109
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219
110
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221
222
111
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223
112
18/03/2017
226
113
18/03/2017
227
CHAPITRE 5
PHYSIOLOGIE
DU MUSCLE STRIE SQUELETTIQUE:
TISSU EXCITABLE
228
114
18/03/2017
229
230
115
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I. . Structure
231
116
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233
117
18/03/2017
A- la fibre musculaire:
235
236
118
18/03/2017
237
B- Ultra structure
Bande I Bande A Bande I
strie Z strie Z
Bande H
Actine
Myosine
238
119
18/03/2017
B- Ultra structure
Le muscle strié est dit "strié" en raison de son aspect au microscope
optique :
une bande sombre bande A ou anisotrope alterne avec une bande I plus
claire isotrope.
La strie Z :ligne étroite et sombre coupe transversalement chaque bande I
La bande H : zone plus claire, partage la bande A en son milieu.
Cette striation est due à la présence de filaments contractiles d'actine et
de myosine, disposés longitudinalement.
239
240
120
18/03/2017
C- Le sarcomère
le sarcomère = Segment de myofibrilles compris entre 2 stries Z
successives, c’est l’unité de la contraction élémentaire.
- Longueur au repos = 2,5 µm,
- Il est composé de la bande H, A et de la bande I:
La bande H = ne contient que la myosine
La bande A = contient la myosine + l’actine
La bande I = ne contient que l’actine
241
a. Filaments fins :
242
121
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b.Filaments épais :
243
244
122
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Le RS permet:
1) la transmission rapide du PA à l’intérieur de la fibre musculaire grâce à ses
tubules transverses (système T) qui s’invaginent de la surface de la
fibre musculaire vers l’intérieur de la cellule.
2) RS longitudinal forme des citernes servant de réservoirs de Ca2+ qui joue un
rôle important ds la contraction musculaire.
245
246
123
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124
18/03/2017
249
- La rigidité cadavérique
250
125
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251
126
18/03/2017
2. La contraction isotonique :
A. la fibre musculaire
B. l’ultrastructure
C. le sarcomère
D. le système tubulaire
A. Couplage excitation-contraction
127
18/03/2017
128
18/03/2017
257
CHAPITRE 7
LE SYSTEME NERVEUX
AUTONOME
258
129
18/03/2017
I.Introduction
259
I.Introduction
260
130
18/03/2017
261
I.Introduction
131
18/03/2017
263
132
18/03/2017
265
I.Introduction
266
133
18/03/2017
268
134
18/03/2017
269
270
135
18/03/2017
Ach
271
3- Cas de la médullosurrénale :
De part son origine, son organisation anatomique et sa
transmission chimique, la glande surrénale peut être
considérée comme un ganglion sympathique dont les cellules
postganglionnaires ont perdus les axones. Elle sécrète
directement dans la circulation sanguine de l’adrénaline, de la
noradrénaline et de la dopamine. Les neurones
préganglionnaires cholinergique de la médullosurrénale sont
les nerfs sécrétoires de cette glande.
272
136
18/03/2017
3- Cas de la médullosurrénale
273
B. Le système parasympathique :
Dans l’innervation parasympathique, le ganglion relais est
situé à proximité du viscère ou même dans la paroi du viscère.
Par conséquent, le premier neurone est myélinisé et très long,
alors que le deuxième neurone est amyélinique et très court.
274
137
18/03/2017
I.Introduction
275
138
18/03/2017
277
139
18/03/2017
279
280
140
18/03/2017
I.Introduction
281
1. Nature du neurotransmetteur :
sont cholinergiques.
282
141
18/03/2017
2. Nature du récepteur :
- Système parasympathique :
283
•Système sympathique :
142
18/03/2017
285
I.Introduction
286
143
18/03/2017
144
18/03/2017
289
I.Introduction
290
145
18/03/2017
291
292
146
18/03/2017
R R R R
Inspiration Expiration
PHYSIOLOGIE DU SYSTEME
NERVEUX CENTRAL
294
147
18/03/2017
PLAN
PLAN
Chapitre 1 : Le tronc cérébral et la formation réticulée
cérébelleuses
148
18/03/2017
A. Le système dopaminergique
B. Le système adrénergique
C. Le système sérotoninergique
297
A. Le système dopaminergique
B. Le système adrenergique
C. Le système sérotoninergique
298
149
18/03/2017
Mésencéphale
Pont de Varole
(protubérance)
Bulbe rachidien
300
150
18/03/2017
301
302
151
18/03/2017
cardiovasculaires et respiratoires
303
* Substance blanche:
* Substance grise:
304
152
18/03/2017
A. Le système dopaminergique
B. Le système adrenergique
C. Le système sérotoninergique
305
interviennent dans:
sérotonine et à adrénaline)
153
18/03/2017
1- Le Système Dopaminergique.
307
Le Système Noradrénergique
du locus coeruleus.
- L’attention,
- l’excitation et
- l’anxiété
308
154
18/03/2017
Le Système Sérotoninergique
la sérotonine est libérée à
partir du noyau du Raphé.
Elle est impliquée dans:
- L’attention,
- L’excitation
- Le contrôle spinal de la
douleur en coopération avec
les morphines endogènes et
- Contrôle de la prise
alimentaire
309
A. Le système dopaminergique
B. Le système adrenergique
C. Le système sérotoninergique
A. Organisation de la FR
B. Actions intégratrices de la FR
310
C. Neurochimie de la FR
155
18/03/2017
A. Organisation de la FR
311
*FR médiane:
surtout efférente (motrice)
* soit ascendante du TC vers le thalamus,
* soit descendante du TC vers la moelle épinière
= voie extra-
pyramidale réticulo spinale.
312
156
18/03/2017
B. Actions intégratrices de la FR
cervelet
mésencéphale
TC pont
-
bulbe
FR
157
18/03/2017
158
18/03/2017
318
159
18/03/2017
Sommeil lent:
• ↓ activité du cerveau ( ↓ consommation O2 et glucose)
319
Sommeil paradoxal:
• Intense activité du cerveau (parfois plus qu’à l ’éveil)
• Durée: 5 à 50 minutes
320
160
18/03/2017
PLAN
I. Introduction
V. Le liquide céphalorachidien
161
18/03/2017
I. Introduction
V. Le liquide céphalorachidien
I. Introduction
La barrière hémato-encéphalique (BHE) : barrière plus
physiologique qu’anatomique, qui filtre et contrôle le passage
des substances sanguines et les empêche de passer librement
du sang au liquide extra-cellulaire de la substance grise du
Système Nerveux Central (SNC).
324
162
18/03/2017
I. Introduction
V. Le liquide céphalorachidien
326
163
18/03/2017
I. Introduction
V. Le liquide céphalorachidien
328
164
18/03/2017
2 = Granulations de Pacchioni
au niveau de l'arachnoide
3 = épithélium épendymaire
du quatrième ventricule,
plexus choroïde
329
cérébral.
165
18/03/2017
* un endothélium vasculaire
continu et étanche : joue un rôle de
filtre dans les échanges. Les
capillaires cérébraux ont une
structure particulière : il n’y a pas de
pores, il y a des jonctions serrées,
332
166
18/03/2017
niveau de l’hypothalamus.
333
334
167
18/03/2017
BHE
vraie
335
168
18/03/2017
2 = Granulations de Pacchioni
au niveau de l'arachnoide
3 = épithélium épendymaire
du quatrième ventricule,
plexus choroïde
337
169
18/03/2017
I. Introduction
V. Le liquide céphalorachidien
170
18/03/2017
cetirizine (antihistaminique)...
E: Endocytose médiée par des récepteurs
342
Transferrine, insuline, lipoprotéine, etc.
171
18/03/2017
I. Introduction
V. Le liquide céphalorachidien
172
18/03/2017
A ce niveau, l'épithelium
épendymaire, composé de cellules
cubiques, change de propriétés :
les cellules y sont reliées par des
jonctions étanches.
Il prend alors le nom d'épithélium
choroïdal.
A l'intérieur des plexus, c'est
l'épithelium choroïdal qui va
constituer la véritable barrière
entre le sang et le LCR 345
173
18/03/2017
174
18/03/2017
Production, circulation et
résorption du LCR
349
Les granulations de
Pacchioni sont des
expansions du tissu sous
arachnoïdien dans les sinus
veineux.
175
18/03/2017
I. Introduction
V. Le liquide céphalorachidien
352
176
18/03/2017
PLAN
PLAN
I. Introduction
V. Application en pathologie
354
177
18/03/2017
I. Introduction
• Le cervelet est un centre nerveux régulateur de la fonction
motrice
• Il reçoit des informations de tous les segments du névraxe
(cerveau, TC et moelle épinière)
• Il traite ces informations pour donner aux programmes moteurs
du mouvement une organisation chronologique et
somatotopique
• Il assure ainsi la régulation :
* des activités musculaires volontaires globales
* des activités musculaires toniques de la posture
* des activités musculaires toniques du maintien de l’équilibre
355
Cf cours de neuroanatomie
356
178
18/03/2017
3. Structure intérieure
Le tissu nerveux du cervelet
comporte :
a)l’écorce du cervelet : formée
de grandes cellules en forme de
poire : cellules de Purkinje (CP).
Elles sont en relation synaptique
avec les fibres nerveuses
afférentes au cervelet et avec des
cellules d’association.
Le couple CP/cellules des
noyaux profonds = unite
fonctionnelle de base du cervelet
357
179
18/03/2017
359
180
18/03/2017
361
faisceaux vestibulo-spinal
cortex du lobe
direct et croisé
flocculo-nodulaire
noyau vestibulaire
noyau du toit
moelle épinière 362
181
18/03/2017
363
Archéocerebellum : fonction
la modulation des activités musculaires impliquées dans le
maintien de l’équilibre (muscles axiaux)
364
182
18/03/2017
2. Paléocerebellum
faisceau spino-cérébelleux PC inférieur cortex cérébelleux
direct (MI et tronc) vermien
Informations proprioceptives
noyau rouge
paléoencéphale
faisceau rubro-spinal
Moelle épinière
365
366
183
18/03/2017
• Il existe :
* Une voie motrice automatique dont le système initiateur
est le paléoencéphale (NGC du cerveau)
* Un système de régulation cérébelleuse : paléocervelet
• Paléocérébelleum : fonction
Il permet la modulation du tonus musculaire pour l’exécution
normale du mouvement (support postural du mouvement)
3. Néocerebellum
PC moyens Neocervelet
Pont (Cortex)
1
2
3
1 : faisceau fronto-pontique
2 : faisceau parieto-pontique
2 boucles de
3 : faisceau termporo-pontique
rétroaction
368
184
18/03/2017
Elles font relai dans les noyaux moteurs du thalamus (noyaux latéro -
ventraux antérieur et intermédiaire).
370
185
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372
186
18/03/2017
373
374
187
18/03/2017
188
18/03/2017
CONCLUSION
• Le cervelet est subdivisé en 3 systèmes : archéo, paleo et neocervelet.
• les fibres à destinée cérébelleuse décrivent pour chaque système une
boucle particulière qui fait retour au névraxe.
• Il existe ainsi une boucle de régulation cérébelleuse archéo - motrice, paléo
- motrice et néo - motrice.
• Ces boucles assurent la régulation temporo-spatiale du mouvement, c’est à
dire la programmation somatotopique et chronologique du recrutement des
muscles nécessaires au mouvement, et la régulation de leur tonus ainsi que
le maintien de l’équilibre.
189
18/03/2017
PLAN
I. Introduction
V. Exemples en pathologie
380
190
18/03/2017
I. Introduction
PLAN
I. Introduction
V. Exemples en pathologie
382
191
18/03/2017
383
2-2/ Le thalamus
384
192
18/03/2017
385
386
193
18/03/2017
387
388
194
18/03/2017
389
195
18/03/2017
PLAN
I. Introduction
V. Exemples en pathologie
391
196
18/03/2017
393
Organisation
somatotopique du
circuit moteur Noyaux
Gris Centraux –
thalamo cortical
SMA – Aire Motrice
Supplémentaire ; PMC
– Cortex Pré Moteur ;
MC – Cortex Moteur ;
GPe – Globus Pallidus
externe ; GPi – Globus
394
Pallidus
197
18/03/2017
395
PLAN
I. Introduction
V. Exemples en pathologie
396
198
18/03/2017
199
18/03/2017
200
18/03/2017
402
201
18/03/2017
202
18/03/2017
PLAN
I. Introduction
V. Exemples en pathologie
405
V. Exemples en pathologie
L’altération du fonctionnement du circuit CSPTC moteur
Squelettique :
• donne naissance à des pathologies du mouvement
• dans le sens d’un ralentissement (akinésie de la maladie de
Parkinson par exemple)
• ou des mouvements involontaires (chorée, balisme par
exemple)
203
18/03/2017
407
Normalement
PLAN
204
18/03/2017
PLAN
I. Introduction
I. Introduction
205
18/03/2017
Introduction
rappel ultérieur.
situations dangereuses
411
Mémorisation : 3 étapes
206
18/03/2017
Information
Oubli
Encodage
Oubli
Trace mnésique
Stockage
Reconstruction
Récupération
Souvenir
La remise ds contexte
facilite la récupération
Oubli
413
I. Introduction
207
18/03/2017
415
208
18/03/2017
et en quantité
417
d’années
418
209
18/03/2017
2-2-1/ L’encodage
récupération
rôle important
419
2-2-2/ Le stockage
420
210
18/03/2017
421
la capitale de France)
422
211
18/03/2017
M. Sémantique
(concepts, mots)
M. Épisodique
(événements)
423
Spécialisation hémisphérique
424
212
18/03/2017
I. Introduction
* Néocortex
* Système cortico-striatal
426
213
18/03/2017
• Bilatéral et symétrique
Système limbique :
l’hippocampe
La région septale
le fornix
le complexe amygdalien
428
les cortex insulaire et fronto-orbitaire postérieur
214
18/03/2017
429
430
215
18/03/2017
431
I. Introduction
216
18/03/2017
mécanismes neurophysiologiques :
433
217
18/03/2017
218
18/03/2017
438
219
18/03/2017
I. Introduction
220
18/03/2017
I. Introduction
221
18/03/2017
444
222
18/03/2017
PLAN
PLAN
I- Introduction
II- Les centres moteurs et voies descendantes
III- Hiérarchie de la commande motrice
IV- Station debout et la marche
446
223
18/03/2017
I- Introduction
• Dans tout le SNC, les neurones intervenant dans le contrôle
des muscles squelettiques ont une organisation
« hiérarchisée » : chaque niveau de cette hiérarchie assure
une tâche donnée dans le contrôle moteur
447
224
18/03/2017
Enjeux de la motricité:
• Il existe globalement deux enjeux majeurs de la motricité :
– lutter contre la pesanteur et en même temps assurer la
posture
– assurer le mouvement
• Remarques :
1) tout ceci ne peut avoir lieu que s’il existe un tonus
musculaire
2) un ensemble de processus assure l’EQUILIBRATION
3) il convient de distinguer : posture / mouvement / équilibre
le mouvement recouvrant également la motricité oculaire, l’acte
de la parole, etc…
449
PLAN
I- Introduction
II- Les centres moteurs et voies descendantes
III- Hiérarchie de la commande motrice
IV- Station debout et la marche
450
225
18/03/2017
Ils comportent :
* Le cortex cérébral
* Les noyaux sous-corticaux (NGC) et du TC (noyau
rouge, la FR)
* Le cervelet
* les voies descendantes : la voie pyramidale et
extrapyramidale
451
226
18/03/2017
453
227
18/03/2017
456
228
18/03/2017
PLAN
I- Introduction
II- Les centres moteurs et voies descendantes
III- Hiérarchie de la commande motrice
IV- Station debout et la marche
457
229
18/03/2017
459
230
18/03/2017
Cortex sensitivomoteur
Noyaux de la base
Thalamus
231
18/03/2017
PLAN
I- Introduction
II- Les centres moteurs et voies descendantes
III- Hiérarchie de la commande motrice
IV- Station debout et la marche
463
232
18/03/2017
4-2/ La marche
466
233