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et financement de l’éducation
au Maroc
Claude Tibi
Paris 1976
Institut international de planification de l’éducation
Le financement des systèmes éducatifs :études de cas nationales-7
Dans cette collection (autres titres à paraitre)
--
(ii) des études de cas spécifique: qui portent, d'une part, sur les diffé-
rents modes possibles de financement (centralisé, décentralisé,
public, privé, etc.) et, notamment, sur les modes originaux suscep-
tibles d'apporter des ressources supplémentaires et, d'autre part,
sur les solutions pédagogiques nouvelles qui entraberaient une
réduction des coûts.
Les travaux ainsi entrepris par l'IIPE, avec l'accord des Etats membres
de l'Unesco concernés, sont effectués avec la collaboration étroite de
spécialistes nationaux appartenant aux administrations publiques ou aux
universités ; ils constituent, dans beaucoup de cas, une oeuvre conjointe
de l'Institut et des pays intéressés, menée pour le bénéfice c o m m u n des
deux parties et de la communauté internationale. Les études de cas
seront publiées sous la forme de monographies dans la collection inti-
tulée 'Financement des systèmes éducatifs' et qui comprendra deux
séries, l'une consacrée aux études de cas nationales, l'autre aux études
de cas spécifiques.
L e projet fut élaboré par Raymond Poignant, ancien directeur de
l'Institut, et mené à son terme sous sa direction. Bien que certaines
études de cas aient nécessité plus de temps que prévu, l'Institut consi-
dère que leur publication présente un intérêt considérable pour les admi-
nistrateurs, planificateurs et chercheurs dans le domaine de l'éducation.
L a mise en oeuvre de cette ambitieuse étude requiert des moyens
financiers qui ne pouvaient étre dégagés à partir des ressources de base
de l'Institut fournies par l'Unesco : 1'IIPEexprime sa gratitude aux
Etats et aux organismes divers qui, par leurs généreuses contributions
financières volontaires, lui ont permis d'engager et de poursuivre ce
projet, notamment la SIDA (Organisme suédois d'aide au développement
international), la NORAD (Service norvégien de développement interna-
tional), la DANIDA (Agence danoise d'aide au développement international),
1'ACDI (Agence canadienne de développement international), la République
d'Irlande, et la Fondation Ford, Notre gratitude va également aux Etats
membres et aux spécialistes nationaux qui ont accepté de coopérer avec
1'IIPE à la réalisation de ces études. L'on notera que, pour ce qui
concerne certaines études signées par des consultants non m e m b r e s de
l'IIPE, leur publication par l'Institut international n'implique pas,
nécessairement, que celui-ci souscrive à tous les jugements de valeur
qui y sont exprimés.
Préface
- programmes,
arabisation des programmes et généralisation du recours à l'arabe
- c o m m e langue d'enseignement,
marocanisation du personnel enseignant.
Si l'unification et la marocanisation ont pu effectivement être assurées
depuis déjà de nombreuses années, on peut dire que pour l'arabisation
une voie intermédiaire a été choisie qui laisse à la langue française
une part importante dans les deux dernières années de l'enseignement
primaire ; cette situation s'explique dans une assez large mesure par
les problèmes rencontrés dans la marocanisation du personnel ensei-
gnant du secondaire, laquelle représente une condition nécessaire
(mais non suffisante) de l'arabisation des programmes à ce niveau.
Quant à la généralisation de l'enseignementprimaire, elle apparaît,
après vingt ans d'indépendance, c o m m e un objectif à long terme et
la complexité des problèmes à régler pour y parvenir, est perçue de
plus en plus nettement depuis quelques années.
E n premier lieu, le développement de la scolarisation se heurte à
des difficultés techniques importantes dans les zones d'habitat dispersé
et à réseau de communication insuffisant, l'importance des migrations
internes venant d'autre part compliquer le problème. U n très grand
nombre de filles, notamment en milieu rural, ne sont pas touchées par
la scolarisation ou sont retirées relativement tôt des écoles pour des
raisons socio-religieuses. L a demande d'éducation est faible dans
certaines zones, pour différentes raisons : existence d'un charnage
intellectuel croissant, longueur et issue incertaine des études, coût
d'opportunité et coût monétaire de la scolarisation des jeunes en
milieu rural, motivations et attitudes des parents vis-à-vis de la
scolarisation, etc. Il n'est pas facile enfin d'analyser l'impact réel
sur l'évolution de la scolarisation primaire de la politique poursuivie
par les responsables en matière d'offre d'éducation. Quoi qu'il en
soit, il apparaît nécessaire de procéder à une étude approfondie des
facteurs de blocage de la scolarisation, de clarifier les objectifs
concernant le développement de la scolarisation en milieu rural, de
définir les solutions techniques les plus appropriées pour l'accueil
des enfants dans les zones difficiles et, en définitive et plus générale-
ment, d'envisager une réforme globale de l'enseignementprimaire.
A u niveau de l'enseignementsecondaire, qui a connu de nombreuses
réformes de structure depuis l'indépendance (orientation repoussée à
la fin du ler cycle, disparition de l'enseignement technique 'moyen',
transformation du 2 è m e cycle technique en une filière parallèle au
2 è m e cycle de l'enseignement général, etc. ), l'unificationest pra-
tiquement assurée à présent, mais la marocanisation du personnel
enseignant reste encore un objectif assez lointain en dépit des efforts
accomplis dans ce domaine ; les progrès de l'arabisation, d'autre
part, sont étroitement liés à ceux de la marocanisation.
L e développement rapide des effectifs de l'enseignement secondaire
a créé en effet des besoins très importants en enseignants et diverses
-
solutions, à court et long terme, ont été adoptées pour y faire face :
Un nombre important d'enseignants du primaire, parmi les plus
qualifiés, ont été transférés dans le secondaire pour prendre en
H a n s N. Weiler
Directeur, IIPE
Table des matières
La croissance économique :
analyse de la période 1960-72
et éléments de prospective
1. L'évolution économique du Maroc
depuis 1960
A. LA C R O I S S A N C E GLOBALE ET LE DEVELOPPEMENT DE LA
PRODUCTION
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Politique éducative et financementde 1'éducation
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L'évolution économique du Maroc depuis 1960
moitié, les progrès obtenus de 1960 à 1963 (compte non tenu des
conséqu ences de la m arocanisation ).
C'est à partir de 1968 que des progrès significatifs vont Btre obtenus,
avec un taux moyen de croissance de 5,6 70par an, et une reprise
sensible de l'amélioration du revenu par tete.
L'évolution constatée au cours de ces trois périodes s'expliquepar
le jeu d'un grand nombre de facteurs parmi lesquels on peut isoler les
plus importants :
- la dépendance de l'économie à l'égard de la production agricole qui
constituait, en 1960, près du tiers de la production intérieure brute ;
-- la faiblesse de l'épargne et de l'investissement, privé notamment ;
les structures de financement de la formation de capital fixe ;
- la dépendance de l'économie vis-à-visde l'extérieur.
L e Maroc est caractérisé par un système agricole dualiste : une agri-
culture de subsistance et une agriculture moderne.
L a première, traditionnelle, comprend des terres exploitées par
près de 70 70de la population active, avec des méthodes à faible pro-
ductivité pour la culture des céréales et l'élevage.
L a production de ce type d'agriculture représentait en 1960 environ
le quart de la PIB ; elle est très dépendante des aléas climatiques,
surtout pour la très grande majorité des terres qui ne sont pas
irriguées.
L'autre agriculture, plus dynamique, exploitée selon des méthodes
modernes, est consacrée essentiellement à la culture des agrumes,
de la vigne, de la betterave à sucre, du coton et du tabac. Sa pro-
duction (environ 7 70de la PIB en 1960) était initialement destinée à
l'exportation et ses exploitants ont été en majeure partie, du moins
pendant de nombreuses années après l'indépendance, des colons
européens qui ont ensuite progressivement quitté le pays à la suite de
mesures successives de reprise des terres.
L a colonie européenne comptait environ 500 O00 m e m b r e s en 1956,
à l'époque de l'indépendance; en 1960, elle ne comptait plus que
300 O00 m e m b r e s et ce chiffre tombe à 100 O00 en 1965 lorsque le
Gouvernement marocain nationalise 250 O00 des 750 O00 ha exploités
par des Européens.
L a perspective de ces nationalisations et l'incertitude qui en a
résulté expliquent en grande partie la fuite des capitaux hors du Maroc
et par suite le faible niveau de l'épargne et de l'investissement privé
de 1960 à 1966.
L e niveau de la production s'en est d'autant plus ressenti que le
départ de la partie de la population qui avait le niveau de vie relative-
ment le plus élevé exerçait un effet déprimant sur la demande.
Pour pallier l'insuffisance de l'investissement privé, un programme
d'investissementspublics fut élaboré et exécuté durant le premier plan
quinquennal de 1960 à 1964. Mais ce plan comptait sur des investis-
sements d'accompagnement du secteur privé qui ne se produisirent
pas au niveau souhaité. L e secteur public dut financer ses investis-
sements par des avances du Trésor et du système bancaire qui c o m -
blèrent les déficits budgétaires avec pour conséquence des pressions
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Politique éducative et financement de 1'éducation
au Maroc
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L'évolution économique du Maroc depuis 1960
très lent (de l'ordre de 1,5 70à 2 70par an) voilé en grande partie par
les fluctuations annuelles engendrées par les aléas climatiques
(cf. tableau 2). Si l'on se réfère à la croissance démographique, on
comprend alors comment le Maroc est passé de la situation de pays
exportateur net de produits agricoles à celle d'importateur net.
O n peut encore souligner le fait que le taux de croissance du secteur
traditionnel n'a pas dû excéder 1 T0 par an au cours de la m ê m e période.
Les progrès les plus sensibles proviennent donc principalement du
développement des cultures mararchères, des agrumes, de la betterave
à sucre, du coton et des autres cultures industrielles dans le secteur
moderne.
Depuis 1960, des investissements très importants ont été effectués
par 1'Etat dans le domaine de l'irrigation et pour l'accroissement des
rendements agricoles. Bien que l'on ne puisse pas mesurer exacte-
ment leur influence sur la croissance agricole, il semble cependant
qu'ils y ont contribué de manière substantielle, après un délai de
maturation relativement important. Il est certain d'autre part que la
récolte exceptionnelle de 1968 a joué un rôle très important dans la
reconstitution des stocks et des trésoreries et a créé les conditions
d'un nouveau départ pour l'agriculture (cf. tableau 3). L a production
céréalière des années 1969 à 1972 se situe ainsi à un niveau moyen
inférieur à celui de 1968, mais très supérieur à celui des années 1960
à 1967. L a production agricole totale, d'autre part, pourrait dépasser
en 1972 le niveau atteint en 1968.
O n peut analyser les autres secteurs selon la rapidité de leur déve-
loppement.
L'énergie a connu un rythme de croissance rapide de 1960 à 1967
(6,5 70par an) et qui s'est encore accéléré de 1967 à 1972 (8, 5 70par
an). La première période a été celle de grandes réalisations avec
la création d'une industrie de raffinage du pétrole (ce qui a permis
de substituer partiellement des produits locaux aux produits importés)
tandis que pendant la seconde, le secteur de l'énergie a répondu à
l'accroissementdes besoins engendrés notamment par le développe-
ment de l'industrie.
L'industrie de transformation et l'artisanat se sont développés à un
rythme relativement faible de 1960 à 1967 avec un taux d'à peine
3, 7 Y0 par an. O n estime que l'artisanat seul, qui représentait
environ un quart du secteur "Industrie de transformation et artisanat''
vers 1960, a connu, au cours de cette période, un taux de croissance
qui n'excède pas 3 70par an. Après 1967, le rythme de la croissance
du secteur s'accélère et s'élève à 5,4 Y0 par an en moyenne entre
1967 et 1972, ce développement rapide étant essentiellement imputable
aux industries alimentaires, de l'habillement et des matériaux de
construction. L'amélioration de la situation des agriculteurs et la
reprise des investissements publics sont les deux principaux facteurs
responsables de ces progrès.
L e bâtiment et les travaux publics ont connu une progression annuelle
un peu irrégulière mais le taux moyen de croissance a atteint 7, 6 Y0
par an pendant les deux périodes 1960-1967 et 1967-1972. Cette
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Tableau 8. Ventilation des investissements de 1'Etat par secteur
(en millions de DH prix courants)
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Matériel et outillage 106 125 225 203
Bâtiment 107 114 173 184
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32
L'évolution economique du Maroc depuis 1960
- sement s.
L'épargne nationale a été, ces dernières années tout au moins,
sensiblement supérieure à l'épargne intérieure en raison de l'im-
portance croissante des rapatriements de salaires provenant des
travailleurs marocains se trouvant à l'étranger. C'est ainsi que,
dans la balance des paiements, le solde net des revenus du travail
et du capital est passé de DH 100 à 450 millions entre 1960 et
1972. O n voit ainsi apparaître l'une des principales conséquences
positives de l'émigration des travailleurs.
C. LA POPULATION ACTIVE
33
Politique éducative Pt finanre-mentde i'tduca;ioon
au Maroc
qui vont être analysés plus bas, portent sur la population totale du
Maroc, sans distinction de nationalité.
L'examen du tableau 12 montre tout d'abord la jeunesse de la popu-
lation : plus de 46 Y0 de la population a moins de 15 ans et près de
56 70moins de 20 ans.
L'analyse de l'activité de la population demande un rappel préalable
des définitions qui ont été retenues dans le recensement.
Les actifs correspondent à deux catégories de personnes, les actifs
occupés et les chômeurs :
- les actifs occupés sont ceux qui travaillaient au moment du recen-
sement quels que soient leurs revenus ;
- les chômeurs sont ceux qui étaient en âge d'activité (15 ans et plus)
au moment du recensement, ne travaillaient pas et cherchaient un
emploi.
Il s'agit donc des définitions très restrictives, mais usuelles, concer-
nant le chômage et la population active.
L a population active atteint près de 4 millions de personnes, soit un
peu plus de 26 Y0 de la population totale ; elle est à 35 % urbaine et à
65 y0 rurale ; la plus grande partie des actifs enfin sont des h o m m e s
(85 70du total).
L a proportion des chômeurs déclarés est relativement faible puis-
qu'elle ne représente que 8, 7 "I, de la population active (quel que soit
l'âge). Il faut remarquer toutefois que l'importance du chômage est
liée à la définition retenue. D'autre part, le recensement a été effectué
au cours du mois de juillet, période au cours de laquelle l'emploi est
très élevé dans le secteur agricole (moissons) et où certaines activités
spécifiques peuvent résorber partiellement le chômage urbain (conserves,
pêche, commerces divers, etc. ). Plus de la moitié des c'ri8u:eurs
cherchent du travail pour la premiére fois, ce qQi montre bien q:ie le
charnage frappe en premier lieu les j-eunes(56 ?O des chômeurs ont de
15 à 24 ans), et le chômage est beaucoup plus accentué en milieu urbain
(15 70de la population active) qu'en milieu rural (moins de 5 70); dans
ce dernier cas, cependant, la notion de chômage est très difficile à
définir. U n autre aspect du sous-emploi est mis en valeur par l'exploi-
tation des questionnaires du recensement : 700 O00 personnes environ,
soit près de 18 91, de la population active, ont travaillé moins de six mois
au cours de l'année précédant le recensement, trandis que les deux-
tiers seulement de la population active ont été occupés pendant dix mois
ou plus au cours de cette année. L a durée moyenne du chômage semble
enfin très longue, puisqu'elle dépasse six mois pour 55 70des chefs de
ménage qui sont à la recherche d'un travail.
L e tableau II en annexe indique les taux d'activité et de chamage par
sexe et par groupe d'âge en 1971 et permet d'illustrer l'importance
relative du chômage déclaré chez les jeunes. L'évolution des taux
d'activité (actifs occupés + chômeurs) entre 1960 et 1971 est retracée
dans le tableau 13. Les progrès de la scolarisation ont entrahé une
légère baisse de l'activité entre 15 et 19 ans chez les h o m m e s , mais
l'on constate assez curieusement une évolution en sens inverse chez
les femmes. Au total, les taux d'activité ont augmenté assez sensible-
ment dans l'ensemble, sauf pour les personnes âgées de 60 ans et plus.
34
L 2iiolution économique du Maroc depuis 1960
Masculin Féminin T ot al
Nombre Nombre Nombre 70
Groupes ci'âgss
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1960 1971
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15-19 ans 62,O 9, 7 36,5 58, 9 16, 6 38, 3
20-24 ans 82, 1 7,4 40,8 85, 2 13,5 47, 7
25-59 ans 86, 6 8, 8 46, 9 95,O 12, 8 52,4
60-64 ans 80, 7 9,2 42, 5 63, O 7,6 33, 8
65 ans et plus 64,4 6, 3 38, O 33,4 3, 8 19, 3
35
Politique éducative et financementde 1'éducation
au Maroc
1960 1971
Secteurs 70 %
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Agriculture et pêche 1 691,01 67,2 2 025,O 53,4
Industrie et bâtiment 288,2 11,5 617,l 16, 3
Commerce 223, 5 8, 9 271,l 7,2
Administrations, 312, 8 12,4 876,6 23, 1
services et
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36
L'évolution économique du Maroc depuis 1960
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Après 1965, les importatioris s'accroissent trcs wte, cornme suite
au processus d'industrialiuatinr!, Isndis que les exportations ont beau-
coup de mal à se développer en raison de difficultés rencontrées sur
les marchés extérieurs.
Cependant, le solde net des services et transferts qui est resté
positif tout au long de la décennie, a connu une croissance remarquable
à partir de 1966 après avoir fluctué autour d'une moyenne de DH 240 2.
250 millions par an entre 1961 et 1965. Cette croissance est due,
essentiellement aux recettes du tourisme et au rapatriement des
revenus des travailleurs marocains à l'étranger.
E n conséquence, le solde des opérations courantes a connu, après
la brusque détérioration des années 1961 et 1962, une amélioration
progressive jusqu'en 1964 où il est devenu positif. L a situation se
détériore de nouveau en 1967 puis évolue ensuite de façon très irré-
gulière, en liaison avec les variations de la balance commerciale.
b. Les exportations
38
L'évolution économique du Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financementde 1'éducation
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c. Les importations
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L'évolution économique du Maroc depuis 1960
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41
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
42
a permis de les reconstituer petit à petit et avec quelques difficultés,
au début tout au moins ; la variation des avoirs est constamment
positive depuis 1968.
43
Politique éducative et financementde 1'éducation
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Emprunts extérieurs nets -
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267 -
352 -
3i8
A long terme 220 241 188 204 258
A moyen terme 5 3 38 47 40
A court terme -90 -53 41 101 20
Banque centrale -
273 -
202 -
170 -
-89 -
312
Autres ressources extérieures a -
2 78 -
182 -
396 -
376
dont emprunts 216 319 193 182 326
Accroissement des dépôts 269 13 -20 268 50
Autres -161 - 54 10 -54 -
TOTAL 733 672 618 659 1 006
1. Estimations.
46
L'évolution économique du Mar~ri; ,: iï.. :::w
47
II. L'évolution économique du Maroc
après 1973
48
L'évolution économique du Maroc après 1973
49
Politique éducative et financementde 1 'éducation
au Maroc
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L'évolution économique du Maroc après 197.3
51
Politique éducative et financement de l'éducation
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Activités 1969-1973 1973-1977
Activités primaires
Activités secondaires
Activités tertiaires
Production intérieure brute
Importations
Prises sur stocks
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Consommation des touristes 14,7 15,O
Consommation des administrations 6,2 3, 5
Consommation des ménages 4, 5 4, 8
Investissements 5,4 18,O
Augmentation des stocks - -
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Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
58
L'évolution économique du Maroc après 1973
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59
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
60
L’évolution économique du Maroc après 1973
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25 900 36 500
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61
Annexe
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66
DEUXIÈME PARTIE
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analyse de la période 1960-72
et éléments de prospective
1. L'évolution du système d'enseignement
au Maroc depuis 1960
69
Politique éducative et financementde 1 'éducation
au Maroc
70
L'évolution du système d'enseignementau Maroc depuis 1960
révolus' s'est traduit dans tous les plans passés par un objectif à long
terme de généralisation de l'enseignement primaire et par l'élargis -
sement de la base de recrutement pour les degrés secondaire et
supérieur.
Face à la diversité des pouvoirs organisateurs, des structures et
des programmes d'enseignement que connaissait le Maroc avant l'indé-
pendance, l'instauration progressive d'un enseignement national unifié
doit être considérée également c o m m e une constante de la politique
d'éducation.
Cet objectif d'unification s'appuie logiquement sur l'arabisationdes
programmes et, parallèlement à la marocanisation progressive du
personnel enseignant, sur la généralisation du recours à l'arabe c o m m e
langue d'enseignement.
Tandis que les deux plans quadriennaux lancés durant la période du
protectorat français étaient essentiellement consacrés aux travaux
d'infrastructure et de développement agricole, le Plan biennal 1958-
-
1959, considéré c o m m e un plan de transition, mentionne explicitement
le développement de l'éducation parmi les objectifs hautement priori-
taires. L'accent est mis sur la formation des maftres et sur les
formations professionnelles et techniques, tandis que le programme
d'équipement est réduit au strict minimum pour l'enseignement supé-
rieur.
Selon ses auteurs, le Plan quinquennal 1960-1964, s'attache à
dégager une politique cohérente de développement tendant à 'libérer le
pays de la dépendance étrangère pour ce qui est des techniciens, des
capitaux et des marchés' et à réaliser l'équilibre entre le secteur
traditionnel et le secteur moderne.
Ces objectifs déterminent logiquement la priorité accordée à l'édu-
cation et les grandes lignes du programme d'action dans ce domaine.
U n effort intensif de formation doit permettre de porter de 38 à 76 70
le taux global de scolarisation. L a nécessité d'adapter l'enseignement
aux réalités marocaines conduit à un programme d'arabisation pro-
gressive et de marocanisation des cadres. Aux investissements prévus
dans les secteurs agricole et industriel correspondent le lancement
d'une campagne d'alphabétisation, et un plan d'extension des ensei-
gnements technique et professionnel. L e bilan en a été assez encoura-
geant, bien que la campagne d'alphabétisation se soit avérée décevante.
L'arabisation se réalise progressivement, mais doit être limitée, dans
le second degré, aux disciplines littéraires et, dans l'enseignement
supérieur, aux Facultés de Lettres et de Droit.
Si le préambule du Plan triennal d'Education 1965-1967 souligne les
'nécessités d'un équilibre entre le développement économique et celui
de l'éducation (qui) font de l'enseignement du second degré un secteur
stratégique' la 'doctrine'de l'enseignement est essentiellement un
rappel des objectifs fondamentaux des plans antérieurs : poursuite de
la politique de généralisation, d'arabisation et de marocanisation ;
l'effort d'unification comporte une nouvelle orientation : l'enseignement
privé est encouragé en vue de diminuer les charges de 1'Etat. Sans
être un constat d'échec, le bilan du Plan triennal et les difficultés qu'il
71
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
72
L'évolutioii du système d'eriseignement au Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financementde 1'éducation
au Maroc
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74
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
75
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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dont nouv. admis. ... 228 706 ... ...
II Cours élémentaire 1 187 168 209 116 210 704 217 965
Ensemble III Cours élémentaire 2 274 814 199 771 204 940 200 625
IV Cours moyen 1 136 186 179 146 186 254 186 476
V Cours moyen 2 et
fin d'études 89 393 202 107 218 443 216 259
TOTAL 950 389 1 075 300 1 115 745 1 080 048
76
L’evolution du système d’enseignementau Maroc depuis 1960
205 262 214 140 220 247 224 822 228 851 233 691 244 404
1 031 541 1057 951 1 081 258 1 122 134 1 171 307 1 216 00Ï 1283 726
281 244 2’79 313 278 965 290 948 300 OÏ9 316 369 335 951
... ... ... ... ... ... ...
206 861 216 837 222 384 228 425 236 284 251 161 259 596
208 335 205 454 212 761 220 496 226 946 243 806 254 i6Ï
181 098 194 087 195 221 199 519 205 479 218 604 231 912
221 669 228 642 233 479 236 053 236 205 215 91; 255 705
1 105 237 1124 333 I 142 810 1 175 441 1 204 993 1 275 85Ï 1337 931
primaire”.
77
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
78
L’évolution du système d’enseignement au Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financementde 1'éducation
au Maroc
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
84
L'évolution du système d'enseignementau Maroc depuis 1960
Les départs au cours des trois premières années sont encore impor-
tants, ce qui est très préoccupant ; ils représentaient en 1972, 4,4 70
de l'ensemble des effectifs de l'enseignementpublic.
L'enseignement primaire, par son esprit, par ses méthodes, et par
son contenu, représente essentiellement une préparation à l'enseigne-
ment secondaire, et aucune structure scolaire ou non scolaire ne
permet d'accueillir les sortants du cours moyen (4ème et 5ème années)
qui n'ont pas accès au second degré.
L'ensemble des abandons et des sorties a évolué depuis 196411965,
c o m m e le montre le tableau 37.
L'examen de l'évolution des taux d'écoulement à la fin de chaque
année d'études (cf. tableau 38) met en évidence le niveau relativement
peu élevé des taux d'abandon (qui varient entre 4 % et 10 %)et l'im-
portance des redoublements (qui vont de 21 70à 4 9 70). Si l'on examine
d'autre part l'évolution des taux depuis 1964/1965, on constate que les
85
Politique éducative et financement de l’éducation
au Maroc
Tableau 35. Evolution des nouvelles inscriptions dans les écoles urbaines
et rurales de 1966/1967 à 1973/1974
Ecoles Ecoles
urbaines rurales Ensemble
86
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
1966/1967 1972/1973
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1966/1967
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1967/l968
à 1968/1969 55 685 61 314 116 999
1968/1969
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1969/1970
à 1970/1971 53 225 73 863 127 088
1970/1971
à 1971/1972 48 597 68 425 117 022
1971 /1972
à 197211973 51 924 69 832 121 756
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Politique éducative et financementde l'éducation
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
D e 1965/1966 à 1966/1967
Milieu
Promotion 68, 8 74, 6 68, 3 62, 6 -
Redoublement 26, 7 23, 3 28,3 31,4 49,2
urbain
Abandon 4, 5 2, 1 3J 6, 0
Milieu
Promotion
Redoublement
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22, 5
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18,4
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61, 9
23, 3 41,4
-
rural
Abandon 27,O 13, 8 17,s 14,8 -
D e 1971/1972 à 1972/1973
taux d'abandon ont plut6t eu tendance à diminuer, tandis que les taux
de redoublement ont légèrement augmenté. Cette évolution est due, en
partie, à la part croissante des effectifs scolarisés en milieu urbain
dont les caractéristiques, en matière de redoublement et d'abandon,
sont très différentes de celles des élèves du milieu rural.
Si l'on examine en effet le tableau 39 qui fournit les taux d'écoule-
ment selon le milieu pour les années 1966 et 1972, on constate que :
les taux de redoublement sont, en règle générale, plus élevés en
milieu urbain qu'en milieu rural, tandis que l'on peut constater une
situation inverse, et de façon très accusée, pour les taux d'abandon ;
les écarts ont eu cependant tendance à diminuer en partie entre 1966
et 1972, de façon plus nette d'ailleurs pour les redoublements que
pour les abandons. Il faut signaler cependant que ces taux ne sont
connus qu'avec une certaine marge d'incertitude en raison des
transferts d'enfants des écoles rurales vers les écoles urbaines
liés, soit aux migrations, soit au désir de permettre la poursuite
de la scolarisation lorsque celle-ci n'est plus possible dans l'école
rurale.
E n définitive, il apparaît nettement que le rendement interne est peu
satisfaisant et que le système a eu tendance à s'engorger progressivement
89
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
90
L’évolutiondu système d’enseignementau Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financement de 1'éducation
au Maroc
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Tableau 41. Personnel enseignant de l'enseignement primaire
92
L’évolution du système d’enseignementau Maroc drpiris 1960
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1 1 745 8 843 7 997 7 167
26 26 27 28
... ... ... ... ... ... ...
... ... ... ... ... ... ...
2 373 2 444 ... ... ... 2 281 1 683 1 683
74 698 75 241 69 857 63 936 68 859 60 629 59 850 54 205
31 31 ... ... ... 27 36 32
35 35 ... 3-7 36
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Politique éducative et financementde 1'éducation
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94
L'évolution du système d'enseignementau Maroc depuis 1960
1968/1969 1972/1973
-
tation du nombre de salles à double session a permis de maintenir
constant le nombre moyen d'élèves (environ 36 cf. tableau 45).
E n dix ans, sa part, par rapport à l'ensemble des effectifs, est passée
de 9,4 à 4,5 70. L'absence de données sur les nouvelles inscriptions,
les abandons et les redoublements, et la répartition des effectifs par
sexe, limitent les possibilités de comparaison avec le secteur public.
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
97
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Politique éducative et financementde l'éducation
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102
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Politique éducative et financementde l'éducation
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104
L’évolution du système d’enseignementau Maroc depuis 1960
105
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
106
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
-
L a baisse des taux d'admission en 4 è m e AS jusqu'en 197011971 (cf.
tableau 53) alors que le nombre des nouveaux admis avait augmenté
en valeur absolue - doit être interprétée avec prudence :
- Il est peu probable qu'elle corresponde à une baisse générale du
'niveau'des élèves de 3ème AS puisque, pendant la période consi-
dérée, le mouvement des effectifs se traduit par une amélioration,
si légère soit-elle,du rendement scolaire au ler cycle.
- Tandis que les sections hôtelières et agricoles ont disparu dans les
Lycées et Collèges, un nombre croissant de places a été offert aux
élèves sortant de 32me AS dans les écoles professionnelles dépen-
dant d'autres Ministères. Ces élèves ne sont donc plus recensés
dans les effectifs de la 4 è m e AS.
- L a réduction des taux d'admission tient donc essentiellement au fait
que la capacité d'accueil du second cycle n'a pas augmenté propor-
tionnellement à la demande. Elle est liée à la forte réduction des
crédits d'équipements demandés en 1968 par le Ministère pour le
Plan quinquennal 1968-1972, et établis en fonction de la demande
prévisible d'éducation.
107
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L'évolution du système d'enseignementau Maroc depuis 1960
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L'évolution du système d'enseignementau Maroc depuis 1960
113
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
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la fin du ler cycle 8 380 8 158 13 270 14 836 11 386 11 254
Abandons au cours
du 2 è m e cycle 4 230 2 558 6 172 5 295 6 428 5 006
Sorties définitives
à la fin du 2 è m e
cycle 4 279 4 604 5 763 5 980 5 678 3 978
114
L’évolutiondu système d’enseignementau Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
117
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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L'évolution du système d'enseignementau Maroc depuis 1960
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Politique educative et financement de l'éducation
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Politique éducative et financement de Iëducation
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
129
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
Tableau 67. Evolution du nombre des nouvelles inscriptions en lère année dans
l'enseignement supérieur comparée aux ressources en bacheliers
Années universitaires
1968/ 1969/ 1970/ 1971/ 1972/ 1973/
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130
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
Années universitaires
1968/ 1969/ 1970/ 1971/ 1972/ 1973/
Etablissements 1969 1970 1971 1972 1973 1974
Etudiants marocains à
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TOTA4LNOUVEAUX
INSCRITS 5 361 5 867 6 (!65 6 841
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131
Politique éducative et financement de 1'éducation
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financementde l'éducation
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134
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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Ecole Nationale d'Agriculture de Meknès, niveau 2
------
Ecole Nationale Forestière d'Ingénieurs de Salé, niveau 2
Ecole Nationale des Travaux Ruraux et Topographiques, niveau 2
Ecole Nationale de Technologie Alimentaire, niveau 2
- Formation d'adjoints techniques : (niveau 3)
-- Ecole d'Horticulture de Meknès
-- Ecole d'Agriculture de Ellouizia
-- Ecole d'Agriculture de Sonihla
------
Ecole d'Agriculture de Zraib
Ecole Royale d'Elevage de Fouarat
Ecole de Mécanique Agricole de Bouknadel
-- Ecole du Génie Rural et des Travaux Topographiques modernes
Elle comprend :
1. Les centres de formation professionnelle (CFP)industrielle qui
recrutent des jeunes gens du niveau de la lère AS et leur donnent
une formation d'ouvriers semi-qualifiés en 11 mois.
2. Les centres de qualification professionnelle pour l'industrie et le
bâtiment auxquels sont admis les meilleurs stagiaires des CFP.
Après un cours de 11 mois et un examen ils reçoivent un brevet
d 'ouvrier qualifié.
3. Les centres pour employés de bureau du secteur commercial, qui
recrutent des jeunes gens et des jeunes filles au niveau de la
3 è m e AS pour les former en 11 mois (secrétaires, dactylos,
aides-comptables).
4. L e centre de formation des tailleurs qui recrute des jeunes gens
et des jeunes filles au niveau de la lère AS pour les former en
deux ans (travailleurs semi-qualifiés)ou en trois ans (travailleurs
qualifiés).
5. L'Institut national de formation des cadres techniques (INFCT)qui
s'occupe de la formation des instructeurs des centres susvisés et
du perfectionnement d'ouvriers et de cadres en services dans les
entreprises des secteurs privés ou publics.
135
Politique éducative et Bnancement de l'éducation
au Maroc
136
L'évolution d u système d'enseignement au Maroc depuis 1960
137
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
138
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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139
Politique éducative et financementde l'éducation
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Politique éducative et financementde l'éducation
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Politique éducative et financement de I 'éducation
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L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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L'évolution du système d'enseignementau Maroc depuis 1960
14 7
Politique eùucative et financementde l'éducation
au Maroc
O n sait que dans toutes les sections techniques, les coûts en personnel
devraient être plus élevés qu'ailleurs en raison des horaires. Il semble
que sur ce point, le niveau inférieur des rémunérations ait joué un rôle
compensateur .
L'ordre de grandeur des montants indiqués ci-dessus est confirmé
par l'étude de coûts établie en 1969 sous les auspices de 1'IIPE.
148
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
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1969 336 - - 42 433 O00
1970 378 12 540 15 852 O00
1971 50 1 177 4 020 32 827 O00
1972 305 218 1660 49 970 500
TOTAUX
REALISES 1 801 407 6 220 175 568 500
TOTAUX
PREVUS 1968 3 54 5 400 126 400 O00
C. L'ENSEIGNEMENT S U P E R I E U R
150
L'évolution du sysréme d'enseignementau Maroc depuis 1960
sur les dépenses et les coûts unitaires pour l'année 1970/1971. Les
dépenses ont été calculées directement et grâce au service d'ordon-
nancement mécanographique si bien que l'on dispose des informations
les plus précises qu'il soit possible d'obtenir. Nous les présenterons
parallèlement aux données budgétaires beaucoup moins précises mais
pour lesquelles on dispose de séries chronologiques.
L e tableau 76 indique la ventilation des crédits de fonctionnement
selon les types d'utilisation, avec le pourcentage de chaque catégorie
dans l'ensemble, puis les effectifs rectifiés par exercice budgétaire,
ainsi que tous les indices correspondants sur la base 100 en 1968 (les
données antérieures ne sont pas disponibles ou pas comparables, pour
les raisons déjà évoquées au début du paragraphe précédent). L'examen
du tableau montre que l'évolution des crédits s'est faite au profit des
transferts et aux dépens des trois autres rubriques, la plus défavorisée
étant, là encore, celle du matériel spécifique.
Les crédits relatifs aux transferts ont considérablement augmenté
(+ 92,2 70, contre 91 To d'augmentation des effectifs) en raison de
l'accroissementdu nombre des boursiers.
L'augmentation nominale du total des crédits est nettement inférieure
à celle des effectifs ; il n'estpas possible d'en tirer des conclusions
très précises dans la mesure où les coûts unitaires varient considéra-
blement selon la nature des études, mais il est vraisemblable, compte
tenu de la part croissante prise par les bourses et du maintien de la
proportion des boursiers, que les coûts unitaires ont eu tendance à
diminuer.
L'enquête de pré-investissementa fourni par ailleurs des informa-
tions particulièrement intéressantes sur la structure du financement
des dépenses de l'université et des principales écoles supérieures, sur
la répartition des dépenses par nature et en particulier sur l'importance
relative des salaires versés aux enseignants étrangers (cf. tableau 77).
On peut noter que :
1. L a part du financement international est encore assez importante ;
elle correspond dans une très grande proportion à la part du salaire
des enseignants étrangers qui est supportée par l'organisme d'aide.
2. L'importance des salaires versés aux étrangers et financés sur
ressources nationales est très variable selon les facultés mais
toujours très significative : elle va de 32 70pour la Faculté de
Droit à près de 97 70pour 1'Ecole Mohammadia d'Ingénieurs.
3. Les dépenses de bourses représentent une proportion très impor-
tante des dépenses totales.
L e tableau 78 indique les coûts unitaires et montre leur variabilité
selon les établissements. Cette situation s'explique non seulement
par les différences classiques que l'on retrouve toujours dans l'ensei-
gnement supérieur, mais aussi par le fait que les effectifs de certains
établissements sont très réduits (Ecole Mohammedia d'Ingénieurs,
Institut Agronomique), que la proportion de boursiers est très variable
selon l'établissement et enfin par le fait que 1'EcoleNationale d'Agri-
culture, par exemple, dispose de fermes expérimentales dont le coût
est inclus dans les dépenses de formation.
151
Politique iducative et financement de l'éducation
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Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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158
L 'évolutiondu système d'enseignement au Maroc depuis 1960
159
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
160
L'évolution du système d'enseignement au Maroc depuis 1960
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Sources publiques
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Ministère de 1'Education Nationale
- dépenses courantes 625
- investissements 45
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Autres ministères et organismes
publics
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SOUS-TOTAL 48
3
Sources privées
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- Enseignement privé
Contribution du secteur privé à
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161
II. Les perspectives d'évolution
du système éducatif d'ici 1982
1. L'ENSEIGNEMENTPRIMAIRE
A. L'EVOLUTIONDES E F F E C T I F S
162
Les perspectives d'évolutiori du système éducatifd'ici 1987
163
Politique éducative et financementde 1'éducation
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Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
166
Les perspectives d'évolution du système éducatif d'ici 1982
167
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
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168
Les perspectives d'évolution du système éducatif d 'ici1982
--
1973-1977 à savoir :
un rapport élèves/maftresupposé constant et égal à 36 ;
des besoins annuels de remplacement estimés à 1 70du stock
d'enseignants.
L a première hypothèse suppose implicitement un maintien des tendances
passées avec un développement de la scolarisation principalement
orienté vers le milieu urbain. C o m m e nous l'avons vu en effet, le
rapport élèves/maître était en 1972/1973 de 29, 1 en milieu rural et
de 39, 7 en milieu urbain. Si l'on peut donc admettre l'hypothèse du
plan pour le premier quinquennat, compte tenu du schéma de dévelop-
pement de la scolarisation qui a été examiné plus haut, il pourrait être
nécessaire de réviser en baisse le rapport élèves/maRre pour le
quinquennat suivant au cours duquel le développement des effectifs
devrait être légèrement supérieur dans les campagnes. Nous avons
cependant gardé constant le rapport élèves/maftre d'ici 19821 1983.
Les résultats des projections sont consignés dans les tableaux 90 et 91
selon les hypothèses.
L a croissance des effectifsdes écoles régionales d'instituteurs a
été déterminée de façon à fournir le nombre d'enseignants nécessaires
en tablant sur une déperdition de 5 % entre la première et la deuxième
année d'études et en admettant que tous les élèves/maftre inscrits en
169
Politique éducative et financementde 1'éducation
au Maroc
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173
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
Les besoins ont été calculés sur la base d'un rapport élèves/classes
égal à 36 (valeur moyenne actuelle) et en supposant que 50 70des
classes fonctionneraient selon le système de roulement. Compte tenu
des objectifs fixés par le plan 1973-1977, il a été admis que le système
du roulement devrait être résorbé en 15 ans ce qui correspond à la
construction de 800 classes supplémentaires par an qui viennent
s'ajouter aux besoins nouveaux déterminés précédemment.
D. LES DEPENSES
O n a admis que tous les enseignants sortant des ER1 seraient titularisés
en tant qu'instituteurs. C o m m e on l'a vu plus haut, la production des
ER1 sera insuffisante en 1973, 1974 et 1975 ; on a donc supposé que le
recrutement direct se ferait exclusivement au niveau de moniteur.
L'effectif des moniteurs en 1977/1978 est donc égal à celui de 1972/
1973, diminué des déperditions (1 70du stock par an) et augmenté du
recrutement direct en 1973, 1974 et 1975. O n a donc fait l'hypothèse
qu'il n'y aurait pas de promotion interne (cf. tableau 94).
Sur la base des normes retenues dans le plan 1973-1977, ils ont été
estimés à 10 70de l'effectif des enseignants.
174
Les perspectives d'évolution du système éducatif d 'ici1982
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Les perspectives d'évolution du système éducatif d 'ici1982
Elles ont été calculées sur la base des besoins en salles de classe
déterminés plus haut, et à partir des coûts définis dans le plan pour
les salles de classe, les logements de fonction et les cantines scolaires.
O n a réévalué ces coûts de 5 70pour 1977-1978 et de 15 70pour 1982-
1983 de façon à tenir compte d'une certaine amélioration des normes
et de la hausse vraisemblable du coût réel de la construction. L'en-
semble des dépenses en capital est présenté dans le tableau 98.
177
Politique iducative et financementde l'éducation
au Maroc
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179
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
2. L'ENSEIGNEMENTSECONDAIRE
A. L'EVOLUTIOND E S EFFECTIFS
-
à retenir trois hypothèses d'admission :
H o = poursuite jusqu'en 1979/1980 de la croissance de 12 70par an
des admissions. A cette date, le taux d'admission atteint
environ 55 qo et il est stabilisé à ce niveau jusqu'en 1982/1983.
- Hl = poursuite jusqu'en 1977/1978 de la croissance de 12 70par an
des admissions (objectif explicite du plan 1973-1977). A cette
date le taux d'admission atteint 42, 5 Y0 et il est stabilisé par la
suite à 45 70.
- H2 = fixation d'un taux d'admission objectif de 40 70en 1982/1983 et
détermination de la croissance des admissions au cours de la
-
période 1972/1973 1982/ 1983 permettant d'atteindre graduel-
lement cet objectif.
(Dans tous les cas, les effectifs de C M 2 retenus ont été ceux de l'hypo-
thèse 2 pour l'enseignement primaire. )
180
Les perspectives d'évolution du système éducatif d'ici 1982
181
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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182
Les perspectives d'évolution du système éducatifd'ici 198-
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Politique éducative et fiMncement de l'éducation
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Graphique 9. Evolution de la pyramide de l'enseignement secondaire
186
Les perspectives d'évolution du système éducatif d 'ici1982
B. LA PRODUCTION DE BACHELIERS
Elle a été évaluée, c o m m e dans le plan 1973/1977, sur la base des
taux moyens de réussite au baccalauréat au cours des dernières années.
Les résultats sont récapitulés dans le tableau 104. O n obtient les
m ê m e s effectifs de bacheliers avec Ho et Hi étant donné que les admis-
sions en CO ne se différencient qu'en 19791 1980 dans ces deux hypothèses,
ce qui ne peut entraber de conséquences au niveau du baccalauréat que
sept ans plus tard. D e m ê m e , les résultats sont identiques en 1977/
1978, quelle que soit l'hypothèse retenue étant donné que les étudiants
se présentant au baccalauréat cette année là se trouvaient en CO sept
années plus tôt au minimum. E n 1982/1983, enfin, le nombre de
-
bacheliers dans l'hypothèse H o HI dépasse de 20 celui correspondant
à H2. Cet écart devrait devenir beaucoup plus important au cours des
années suivantes, si les tendances se prolongeaient.
Bacheliers Lettres 3, 6 6J 9, 7
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Ho H1 Bacheliers Sciences 3, 1 11,4 21,3
187
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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188
Les perspectives d'évolution du système éducatif d 'ici1982
été évalués à partir des normes fixées par le plan 1973-1977 qui prévoit
des effectifs moyens de 34 élèves par classe dans le ler cycle et 32
élèves par classe dans le 2 è m e cycle d'ici 1977/1978. L e nombre
d'enseignants nécessaires pour une classe est déterminé dans le plan
sur la base des horaires d'enseignement dans chaque cycle et en
fonction de la charge de travail des enseignants (1,60 enseignant par
classe dans le ler cycle, 1, 88 dans le 2 è m e cycle Lettres et 1, 94 dans
le 2ème cycle Sciences). E n définitive, ces hypothèses correspondent
à des rapports moyens élèves/maître qui sont respectivement de :
21, 3 ; 17, O et 16, 5 dans le ler cycle, le 2ème cycle Lettres et le
2 è m e cycle Sciences.
L e tableau 106 précise, pour le ler cycle de l'enseignement public
moderne et originel, les besoins par matière, en retenant tout parti-
culièrement les matières pour lesquelles les CPR formeront des ensei-
gnants. Ces besoins ont été évalués à partir des horaires actuels
d'enseignement dans le ler cycle. O n a indiqué, d'autre part, dans le
tableau 107, l'évolution attendue de la production des CPR, par matière,
en fonction de l'échéancier actuel de leur mise en service. A partir de
1977 leur production est supposée constante et égale à celle de l'année
1977. Ces hypothèses de formation supposent qu'il sera possible d'ali-
menter les CPR en prélevant les effectifs nécessaires sur la production
de bacheliers et/ou parmi les élèves de 6 è m e année secondaire. Compte
tenu des nombreuses possibilités qui s'offrent actuellement aux bacheliers
scientifiques (et notamment mathématiques) et de leur nombre encore
très restreint, il paraît assez peu probable que l'on puisse alimenter
les CPR scientifiques uniquement avec des bacheliers, tout au moins
au cours des prochaines années. Les rapports entre l'offre et la
demande dépendront aussi, bien entendu, de l'importancerelative des
salaires des enseignants. Les hypothèses de production reprises dans
le tableau 107 supposent d'autre part des déperditions très faibles et
des redoublements très limités. Il est prévu de verser aux élèves/
maître une bourse de DH 360 par mois pendant toute la durée de leur
formation.
L e bilan des besoins et des ressources en enseignants est présenté
dans le tableau 108. O n peut constater que l'on se trouvera encore en
situation de déficit pour toutes les matières en 1977/1978 dans l'hypo-
-
thèse H o HI, tandis que des excédents commenceront à apparaître
dans l'hypothèse H2. Les déficits seront encore particulièrement
importants en français et en mathématiques. Par la suite, en revanche,
et si la production des CPR atteint effectivement le niveau prévu, les
déficits devraient disparaître en un nombre d'années variable selon la
matière et l'hypothèse retenue mais qui sera au m a x i m u m égal à 4.
Au total, la marocanisation des enseignants du ler cycle devrait être
totale en 1982/1983 pour les matières examinées ici, quelle que soit
l'hypothèse de croissance des effectifs.
Pour le 2 è m e cycle du secondaire, il est beaucoup plus difficile de
formuler des prévisions et nous nous s o m m e s basés, d'ici 197711978,
sur la production attendue de l'ENS (au rythme de 300 enseignants par
an) et pour le quinquennat suivant sur une production moyenne de
189
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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192
Les perspectives d'évolution du système éducatifd'ici 1982
800 enseignants par an. Il faut bien noter à cet égard que toute créa-
tion, m ê m e assez rapide, d'institutions nouvelles pour la formation
d'enseignants du 2 è m e cycle pourrait difficilement avoir un impact
avant 1977/1978, à moins que l'on ne recrute des défaillants provenant
des écoles d'ingénieurs, par exemple, pour les former en une période
relativement courte. Encore faut-il remarquer que les effectifs qui
pourraient être recrutés de la sorte seraient vraisemblablement assez
restreints au cours des prochaines années.
D. L E S BESOINS EN S A L L E S DE CLASSE
Ils ont été évalués séparément pour le ler cycle, le 2 è m e cycle lettres
et le 2ème cycle sciences et en distinguant entre salles d'enseignement
général et salles spécialisées, sur la base des normes fixées par le
plan 1973-1977. Les résultats obtenus sont récapitulés dans le
tableau 109 qui indique les besoins de construction pour les années
1977 et 1982 et dans le tableau 110 qui présente les besoins cumulés
sur les périodes correspondant au plan 1973-1977 et au plan 1978-1982.
Les écarts que l'on peut constater quant aux besoins annuels de cons-
truction selon les hypothèses en 1977-1978 et en 1982-1983 sont dûs
pour une part au fait que les rythmes annuels de croissance des effectifs
sont très variables.
E. LES D E P E N S E S
193
Politique éducative et financement de l'éducation
au Maroc
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Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
Elles ont été estimées à partir des coûts retenus par le plan pour les
salles d'enseignement général, spécialisé, les internats, les logements
de fonction et les bibliothèques. O n a réévalué les coûts de 5 70pour
1977/1978 et de 15 % pour 1982/1983. Les besoins en salles de classe
ont été déterminés plus haut à partir de l'évolution des effectifs dans
chaque cycle et selon l'hypothèse retenue. Les crédits nécessaires
sont récapitulés dans le tableau 112. Ils ne comprennent pas les
dépenses à prévoir pour l'entretien et la réparation des bâtiments
existants, qui seront repris dans les tableaux généraux à la fin de
cette étude,
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Les perspectives d’évolution du système éducatif d’ici1982
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Fr Fr Fr h AmCr,
201
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
Les auteurs de l'étude ont estimé les besoins en cadres pour l'économie
sur la base de deux hypothèses : la première prévoit le maintien des
taux d'encadrement actuels et la seconde une amélioration assez signi-
ficative de ces taux. Les besoins ont ensuite été comparés aux res-
sources, telles qu'elles ont été présentées (cf. tableau 114). Les
résultats de ces comparaisons, pour chaque type de formation, par
quinquennat et selon les hypothèses retenues, sont présentés dans les
tableaux XXIII et XXIV en annexe. Il importe de signaler, avant de
procéder à l'analyse des résultats, qu'il s'agit là surtout d'un exercice
de simulation dont les conclusions devraient servir les autorités dans
la définition de la politique de développement de l'enseignement supé-
rieur.
Dans l'hypothèse de maintien des taux d'encadrement dans l'économie,
on constate un très net excédent de la production de diplamés par rap-
port aux besoins dans le domaine du droit et des matières assimilées
(économie, statistiques, administration, commerce) ainsi que dans
celui de la médecine, et cela pour chacune des quatre périodes quin-
quennales étudiées. En revanche, un déficit important apparaît dans
le domaine des lettres (sauf dans l'hypothèse d'amélioration du rende-
ment interne et d'ici 15 ans seulement) en raison des besoins de maro-
canisation du corps enseignant, dans le domaine des sciences (sauf
dans le cas où l'écoulement des effectifs s'améliore) et dans celui de
'laformation des ingénieurs. Il importe enfin de signaler que pour
toutes les formations qui exigent l'envoi d'étudiants à l'étranger
(pharmaciens, dentistes, techniciens, professeurs du technique, etc. ),
des déficits très importants apparaissent au cours des vingt prochaines
années.
Dans l'hypothèse de l'amélioration des taux d'encadrement, on
constate le maintien d'un excédent de diplamés dans le domaine du
droit, dans le cas où le rendement interne s'améliorerait, mais un
certain équilibre si la situation actuelle se maintenait. Pour la for-
mation en lettres, en sciences et en ingéniérie, le déficit aurait
tendance à augmenter sensiblement (sauf pour les sciences, en cas
d'amélioration des écoulements). L'excédent de médecins se main-
tiendrait, tandis que le déficit correspondant aux formations non dis-
pensées sur le territoire national s'accroftrait sensiblement.
C e court examen montre l'importance et la nécessité d'une réorien-
tation de l'enseignement supérieur, ainsi que d'une diversification de
la formation dispensée au Maroc.
D. LES DEPENSES
(i) Les dépenses courantes
2 02
Les perspectives d'évolution du système éùucatifd'ici 1987
-
selon les besoins de l'économie, on obtient les résultats suivants
(calculés sur la base des coûts unitaires de 1970/1971 cf. tableau 116).
2 03
Politique éducative et financement de 1’éducation
au MiZroc
1. Institut Agronomique Hassan II 4 844 673 8 193 642’ 20 428 8004 20 428 8 0 0 ~
2. Ecole Nationale d’Agriculture
4 4
de Meknès 3 058 878 1 598 960’ 5 779 zoo4 5 779 zoo4
3. Ecole Nationale Forestière 717 851 1 127 995’ 1 709 573 1 789 573
4. Ecole Nationale des Travaux
Publics 752 828’ 3 615 0103 4 695 9iû4
5. Ecole Nationale des Postes et
Télécommunications 58 651‘ 327 8403 409 8003
6. Ecole Nationale de l’Industrie
2
Minérale 3 809 443’ 6 178 9532
7. 1.N. S. E.A. 911 440 820 296 1560 841’ 2 027 954
8. Institut Supérieur de C o m -
merce et d’Adm. Entreprises non estimé 5 826 016’ 7 540 932’
9. Ecole Nationale d’Adminis-
2
tration Publique 1914 O22 1-914O22 2 581 150’ 3 343 582’
10. Centre de Formation de Jour-
nalistes 663 355’ 985 556 3 335 728’ 4 397 096’
SOUS-TOTAL 3 20 777 965 24 553 554 59 059 243 111 983 818
7 233 5782
2 2 2
2ème Hypothèse : Faculté de Droit 17 494 0062 35 506 7312
Fac. des Sciences 7 803 216 43 696 260 83 849 580
Fac. des Lettres 9 516 760’ 12 290 905’ 20 864 030’
SOUS-TOTAL4 20 777 965 24 553 554 73 481 171 140 220 341
TOTAL GENERAL 1 44 308 082 52 121 505 155 291 945 253 532 531
1970/1971 = 100 100 118 350 572
TOTAL GENERAL 2 44 308 082 52 121 505 169 713 873 281 769 054
1970/1971 = 100 100 118 383 636
2 04
Les perspectives d'évolution du système éducatif d'ici 1982
2 05
Politique éducative et financement de 1'éducation
au Maroc
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206
Les perspectives d'évolution du système éducatif d'ici 1982
A. LA FORMATION AGRICOLE
Les effectifs à former sont recensés dans le tableau 118. Il est prévu
de parvenir en 1977 au plus tard, au rythme de formation suivant :
- Ingénieurs d'Etats ; sorties annuelles 75
- Ingénieurs d'Application ; sorties annuelles 145
- Adjoints Techniques ; sorties annuelles 442
- Agents Techniques ; sorties annuelles 595
Les dépenses de fonctionnement ont été évaluées à DH 177,6 millions
pour les cinq années du plan ; elles comprennent les dépenses en per-
sonnel des écoles à gestion autonome (Institut Agronomique Hassan II,
Ecole Nationale d'Agriculture de Meknès, Ecole Nationale Forestière
d'Ingénieurs de Salé, Ecole d'El Louizia) mais non celles des autres
écoles, ni de la Direction. En conséquence, il ne s'agit ici que d'une
partie des dépenses réelles de formation. L a ventilation annuelle des
crédits de fonctionnement et d'équipement est précisée dans le
tableau 119.
207
Politique éducative et financementde 1'éducation
au Maroc
Université M o h a m m e d V
Faculté de Médecine-
extension
Faculté des Sciences :
9 O00 9 610 - - - 18 610
extension
Service physique du
2 O00 7 320 - - - 9 320
Globe
Ecole Mohammedia
1 O00 1 255 - - - 2 255
Nouvel ensemble
universitaire
Faculté de Médecine - 5 O00 15 O00 15 O00 15 O00 50 O00
Faculté des Sciences
(2 unités) - 20 O00 20 O00 20 O00 20 O00 80 O00
Faculté de Droit et des
Sciences Economiques - - 500 2 O00 2 730 5 230
Faculté de Droit
(nouvelle) - 2 O00 3 O00 - - 5 O00
Faculté des Lettres
(nouvelle) - - 1 O00 4 O00 5 O00 10 O00
Université Quaraouyine
Charia-Fès
Marrakech
200
200
2 300
2 170
835
1 O00
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3 370
Oussoul E d Dine Tétouan 200 2 300 835 - - 3 335
208
Les perspectives d'évolution du système éducatif d'ici1982
Encadrement technique
global 2 750 5 047 10 103 2O0
CREDITS
d'équipement de fonctionnement
209
Politique éducative et financement de 1'éducation
au Maroc
2 10
Les perspectives d'évolution du système éducatif d'ici 1982
institut Agronomique
Hassan 11 5 277 3 343 2423 1273 1270 13 586
Ecole Nationale
d'Agriculture de
Meknès 920 1040 430 465 365 3 220
Ecole Nationale
Forestière d 'Ingé
nieurs de Salé
- 630 630 - - - 1260
Autres établisse-
rnents 5 136 4 596 2 164 845 490 13 231
Effectif
Niveau de formation formé 70
Cadres 1 853 6, 3
Agents de maîtrise 5 804 19, 8
Agents qualifiés 1 1 324 38, 7
Agents spécialisés 10 326 35, 2
211
Politique éducative et financementde l’éducation
au Maroc
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Les perspectives d'évolution du système éducatif d 'ici1 Y82
Cadres 17 700
Taux
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Estimés sance Estimés sement
Niveaux de formation en 1973 70 en 1977 absolu
Cadres 44 O00 11,l 67 O00 23 O00
Agents de maîtrise 164 O00 6,O 207 O00 43 O00
Agents qualifiés 245 O00 J' 346 O00 101 O00
Agents spécialisés 1426 O00 1,6 1517 O00 91 O00
Agents d'exécution 1 981 O00 7,2 2 618 O00 637 O00
213
Politique éducative et financementde l'éducation
au Maroc
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2 14
Les perspectives d'évolution du système éducatifd 'ici1982
Crédits
Recru- d'inves-
Places tements Agents tisse-
Niveaux de formation créées prévus formés ments
Niveau 4
(Agents de maftrise) 2 600 3 620 740 35 200 O00
Niveau 3
(Agents qualifiés) 5 300 8 290 2 040 53 O00 O00
Niveau 2
(Agents spécialis6s) 5 300 14 480 8 160 31 800 O00
Il faut noter enfin que des crédits importants ont été réservés dans le
plan pour la formation professionnelle et technique des jeunes issus de
l'enseignement général. Les programmes correspondants n'ont pas
été précisés dans le cadre du plan mais seront définis ultérieurement.
Cette action correspond au souci de 'récupérer'les 'défaillants'de
l'enseignement général dans des structures d'accueil qui leur permettent
de s'intégrer à la vie active dans des conditions satisfaisantes. Les
principales caractéristiques de ces programmes sont récapitulées dans
le tableau 128.
Au total, la capacité d'accueil des établissements spécialisés passera,
au cours du plan, de 14 O00 à 39 300 places, tandis que la capacité de
production annuelle s'élèvera de 6 900 personnes en 1973 à 17 900 en
1977.
Il est prévu, pour l'ensemble de la période quinquennale, des crédits
d'investissementd'un montant de DH 292,l millions et des crédits de
fonctionnement de DH 652, 3 millions.
5. BILAN GENERAL
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Les perspectives d'évolution du système éducatif d 'ici1982
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1965/1966 68 68 67 59 54
1966/1967 68 47 67 64 60
1967/1968 90 51 46 72 65
1968/1969 92 55 54 45 40
1969/1970 82 64 49 59 53
1970/1971 (72) 57 65 51 47
1971/1972 (58)l (21) 59 67
247
Annexe
Cycles
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Redoublants 8 14 11 6 O
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1er
2e année
Nouveaux 14 22 40 48 54
Redoublants O 2 2 3 2
TOTAL(4) 14 24 42 51 56
3e année
Nouveaux - 12 17 37 42
Redoublants - O O O 4
TOTAL - 12 17 37 46
2ème
4e année
Nouveaux - - 12 17 33
Redoublants - - O 1 O
TOTAL - - 12 18 33
5e année
Nouveaux - .
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Redoublants - O O
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3ème
6e année
Nouveaux
Redoublants
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26 7
Annexe
1
Emissions' Emissions' Emissionsl Emissions
Nomenclature en 1968 en 1969 en 1970 en 1971
Enseignement primaire 6 550 152,14 17 469 060,20 22 871 686,19 18 566 143,96
Enseignement secondaire 12 C52 401,17 22 642 386,04 31 216 703,43 44 273 625,034
Enseignement supérieur
et Cités Universitaires 1 484 591,88 800 622,49 7 414 992,63 20 255 957,654
Formation des Cadres
(ERI, Formation spéci-
fique, CPR, ENS, IPN) 562 874,35 351 391,58 261 487,79 135 717,34
Affaires culturelles et
enieignement originel 56 202,OO 474 530,61 774 601,73 240 510,21
SOUS - TOTAL 20 706 221,54 41 737 990,92 62 539 741,47 83 471 954,19
Services C o m m u n s 135 000,OO - 258 527,64
1. TOTAL D E S EMISSIONS 20 841 221,54 41 737 990,92 62 539 771,Ï7 83 730 481,834
II. Prévisions du Plan 55 994 000,OO 54 200 000,OO 49 827 000,OO 39 890 000,OO
Différe.nce I/ II en
valeur relative -63 70 -23 70 +26 70 +110 70
III. Dotations' 74 638 858,82 119 022 63i,28 135 106 646,3€i3146 481 874,5g4
Pourcentages
émissions/ dotations 28 70 35 70 46 70 57 70
IV.Engagements de
crédits' 50 937 790,71 82 014 269, 15 108 756 188,41 124 834 643,49
Pourcentages
engagements/dotations
1. Sources : Enseignement primaire et ER1 ; Ministère de l'EnseignementPrimaire,
Service de 1'Equipement ; autres établissements : situations annuelles aux
31.12. contresignées par le Trésorier Général.
2. Sources : Enseignement primaire et ER1 ; Ministère de l'EnseignementPrimaire,
Service de 1'Equipement ; autres établissements : situations annuelles aux
31. 12. établiés par le Service du Budget du Ministère compétent.
3. Montant "réel", incluant les 13 millions de DH. accordés en 1970 sur avance du Trésor,
opération régularisée en 1971 par remboursement au Trésor, après ouverture et
engagement du crédit correspondant.
268
Annexe
21 854 500,OO 51 810 664,654 1 1 636 000,O0 445 6 2 574 943,8Z5 83 538
500 000,OO 2 045 844,55 2 O00 000.00 102 3 O11 260,70 68 151
97 231 300,oo 305 687 238,42 239 O00 000,OO 128 379 573 658,82 81 159
600 000,OO 993 527,64 1 O00 000,OO 99 1 135 000,006 88 114
97 831 300,OO 306 680 466,064 240 O00 000,OO 128 380 408 658,8Z7 81 159
40 086 000.00 240 O00 000.00
+144 70
169 779 192,76
83 qo
4. Montants "réels", consacrés uniquement aux dépenses d'équipement et n'incluant donc
pas les 13 millions de DH. additionnels ouverts, engagés, puis émis en 1941, pour r e m -
boursement de l'avance du Trésor accordée en 19ÏO.
5. Y compris le report additionnel de DH.ll 530,08 transféré des services communs.
6. Non compris les DH. 1 1 530,08 transférés en 1969 sur les reports de l'Enseignement
Supérieur.
7. Vérification : La différence des totaux C-A, soit DH.Ï.2 O24 892,76 est égale au total
"Reports prévus sur 1973" + "Annulation de crédits" ; soit DH.'il 944 892,76 +
DH.2 080 000,OO.
269
Annexe
Periodes Quinquennales
Faculté de Droit et
Etablissements
Assimiles
-----------
Ressources
Facultd
- - de- Droit
~
HYP. 1 2.675 5.145 9.167 15.606 32.593
HYP. 2 2.675 9.719 20.358 34.722 67.474
-___
Etablissement s A s s. 485 778 1.012 1.085 3.360
-~
B e soins 2.935 3.786 5.001 6.017 17.739
------
Ecarts
HYP. 1 +225 +2.137 +5.178 +10.674 +18.214
HYP. 2 +225 +6.711 +16.369 +29.790 +53.095
-----------
Ressources
------
Ecarts
HYP. 1 -358 -775 -1.115 -695 -2.943
HYP. 2 -207 -204 -362 +906 +133
2 70
Tableau XXIII. (suite) - (sans amélioration de l'Encadrement)
Periodes Quinquennales
Faculté de
Medecine :
-----------
R e ssources
Précisions :
1. Faculté de Droit : hypothèse 1 : maintien des rendements internes
hypothèse 2 : amélioration des rendements internes
Etablissements assimilés à la Faculté de Droit : E.N.A. P.
1. N. S. E.A., Institut supérieur de C o m m e r c e et
d'administration des entreprises
2. Etablissements assimilés à 1'Ecole Mohammadia d'Ingénie=: Ecole
Nationale des Travaux Publics, Ecole Nationale
de l'Industrie minérale, Ecole des Postes et
Télécommunications
3. Faculté des Lettres : hypothèse 1 et 2., cf. Faculté de Droit
Etablissement assimilé à la Faculté des Lettre2 : Centre de Formation
de Journalistes
4. Faculté des Sciences : hypothèse 1 et 2., cf. Faculté de Droit
271
Annexe
Tableau XXIII. -
(suite) (sans amélioration de l'Encadrement)
Periodes Quinquennales
~~
Ecole Mohammadia
d'ingénieurs et
Etablissements
Assimilés :
-----------
Ressources
Ecole Mohammadia
d'Ingénieurs 171 322 491 540 1.524
Etablissements Ass. 172 560 814 850 2.396
Besoins 1.274 1.623 2.122 2.457 7.476
------
Ecarts -931 -741 -817 -1.067 -3.556
Faculté des
Sciences :
----------
Ressources
------
Ecarts
HYP. 1 -968 -1.002 -1.432 -1.768 -5.170
HYP. 2 -896 +505 +1.657 +3.630 +4.896
2 72
Annexe
Periodes Quinquennales
Etablissements à
Caractère
Agronomique !
Ressources
-------..-- 596 1.085 1.100 1.100 3.881
Ecarts
--"---
+187 +580 +465 +408 +1.640
-
Précisions : Etablissements B caractère agronomique : Institut
Agronomique Hassan II + Ecole Nationale d'Agriculture
+ Ecole Nationale Forestière d'Ingénieurs.
2 73
Annexe
Tableau XXIII. Balance des Besoins non satisfaits sur le territoire national1
(sans amélioration de l'Encadrement)
(suite)
Periodes Quinquennales
______-____________
Formation Hôtelière
1. A 1' exception de 1'Ecole de Tanger dont les futurs outputs sont inconnus
(cf. lère partie du Rapport)
2 74
Annexe
Periodes Quinquennales
Faculté de Droit et
Etablis sements
As similés
Ressources
--------"--
Faculté de Droit
HYP. 1 2.675 5.145 9.167 15.606 32.593
HYP. 2 2.675 9.719 20.358 34.722 67.474
Etablissements Ass. 485 778 1.012 1.085 3.360
B e soins 4.081 6.097 9.447 14.356 33.981
----------_
R essOurces
-
Faculté des Lettres
HYP. 1 2.258 2.810 4.042 6.426 15.536
Hyp. 2 2.409 3.381 4.795 8.027 18.612
Etablissement A s s. 70 182 251 265 768
B e soins 3.070 4.532 6.854 10.033 24.489
275
Annexe
Periodes Quinquennales
-~_ _ _ _ _ _ _ ~
1973-77 1978-82 1983-87 1988-92 1973-92
Ecole Mohammadia
d'Ingénieurs et
Etablissements
Assimilés :
Ressources
--------c--
Faculté des
Sciences :
Ressources
--..--------
Faculté des Sciences
HYP. 1 196 722 1215 2 106 4 239
HYP. 2 268 2 229 4 304 7 504 14 305
Besoins 1276 1983 3 204 5 016 11 479
------
Ecarts
HYP. 1 -1 080 -1 261 -1 989 -2 910 -7 240
HYP. 2 -1 008 + 246 +1 100 +2 488 +2 826
2 76
Antzexe
__-
Periodes Quinquennales
-
1973-77 1978-82 1983-87 1988-92 1973-92
Faculté de
Medecine :
277
L'Institut international
de planification de l'éducation
Pour obtenir des renseignements sur l'Institut et sur ses publications, s'adresser à :
M. le Directeur, Institut international de planification de l'éducation.
7-9, rue Eugène-Delacroix, 75016 Paris
L’ouvrage
L’au t e Ur