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Texte de l’exposition réalisée par la classe de 2nde SMS année scolaire 2003-2004 sous la

direction de Me Cerny.

L’ ASPIRINE
A pour acétylation : réaction utilisée lors de la synthèse chimique.
SPIR pour spirea, genre des plantes auxquelles appartient la reine des prés.
INE comme c’est la règle pour les suffixes en chimie industrielle.

Formule de l’aspirine:

A découvrir:
- l’histoire de l’aspirine
- la synthèse de l’aspirine
- les propriétés de l’aspirine
- les formes galéniques
- les différents modes d’absorption
- les effets indésirables de l’aspirine
L’aspirine, encore appelée acide acétylsalicylique fut synthétisée en 1897, il y a donc
maintenant plus de 100 ans.
Plus vieux médicament du monde, l’aspirine a traversé les siècles sans prendre une ride et
continue de faire la « une » des journaux scientifiques avec la mise en évidence de nouvelles
indications thérapeutiques.
Comme son nom l’indique, l’acide acétylsalicylique est un dérivé des salicylés dont les vertus
antalgiques étaient connues depuis longtemps mais cela est toute une histoire…

UTILISATION DANS L’ANTIQUITE ET LE MOYEN-AGE


- 500 ans avant J.C : Les Chinois connaissent déjà les propriétés fébrifuges et analgésiques
des feuilles de saules.
- 400 ans avant J .C : Hippocrate, le plus grand médecin grec de l’époque, préconise des
tisanes de feuilles de saule pour soulager les douleurs de l’accouchement et faire baisser la
fièvre ainsi que des tisanes à base de jus d’écorces de peupliers pour soulager les douleurs
oculaires.
Or toutes ces plantes contiennent des salicylés.
- période romaine: l’utilisation de ce type de plantes se développe considérablement, si bien
que l’écorce de saule est recommandée pour toutes les douleurs faibles à modérées.
- au Moyen Age : ces plantes sont proposées pour soigner les plaies et pour d’autres
administrations externes ou internes dans le but de soulager différentes douleurs.
La connaissance de la valeur de ces végétaux s’est répandue à travers le monde. Ainsi
écorces, feuilles, sève, chatons du saule étaient utilisés pour leurs vertus médicinales de par le
monde. Ainsi, des difficultés d’approvisionnement ont poussé les herboristes à se tourner vers
d’autres plantes voisines comme la reine des prés (Spirea ulmaria).

PREMIERS ESSAIS CLINIQUES


- XVIIIèsiècle : Les premiers essais cliniques avec des écorces de saule réduites à l’état de
poudre sont réalisés en Ecosse par le révérend E.Stone sur 50 patients atteints de fièvre.
- 1828 : Büchner extrait du saule une substance jaunâtre qu’il baptise la salicine.
- 1829 : Leroux, pharmacien français, obtient de la salicine plus pure, non colorée.
- 1838 : Piria, chimiste italien, isole l’acide salicylique de la salicine.

L’acide salicylique réduit rapidement la fièvre et soulage les douleurs, non seulement
d’origine rhumatismale, mais aussi les maux de tête, les névralgies, etc… Néanmoins le goût
très amer de l’acide salicylique et sa mauvaise tolérance digestive en rend l’utilisation à long
terme difficile. Il faut donc trouver un autre produit.

NAISSANCE DE L’ASPIRINE
- 1853 : Gerhardt, chimiste français, synthétise à partir de l’acide salicylique, l’acide
acétylsalicylique mais qui n’est encore qu’une substance impure. Faute de soutiens financiers,
ses recherches s’arrêtent à ce stade .

- 1897 : Hoffmann, chimiste allemand employé chez Bayer,


désireux de soulager son père qui souffre de rhumatismes et qui ne supporte plus l’acide
salicylique, trouve le moyen d’obtenir de l’acide acétylsalicylique presque pur.
C’est la naissance de l’aspirine .
- 1er février 1899 : mise de l’aspirine sur le marché.
- 1971 : John Vane, professeur de pharmacologie londonien, découvre le mécanisme d’action
de l’aspirine.

La synthèse de l’aspirine se fait à l’aide de phénol C6H5OH et d’acide salicylique


C7H6O2.

La préparation de l’acide salicylique :


Du phénol pur est mélangé dans une cuve avec une quantité stoechiométrique de soude sous
forme de lessive de soude à 50%. Le phénol est transformé en phénolate de sodium et en eau.

L’eau est soigneusement éliminée par évaporation sous vide puis le phénolate de sodium
solide est introduit dans un broyeur. On injecte dans le broyeur, à une température de 150°C-
160°C, du dioxyde de carbone gazeux sous une pression de 5 bars. Le phénolate de sodium se
transforme en salicylate de sodium.

Passage à l’aspirine :
L’acide salicylique est chauffé à reflux, avec de l’anhydride acétique, dans du toluène à 98°C
pendant 20h. Au bout de 2h de traitement, le mélange est filtré pour éliminer l’acide
salicylique n’ayant pas réagi . La solution obtenue laisse précipiter, par refroidissement vers
0°C, l’ester acétique de l’acide salicylique ou aspirine sous forme d’un solide blanc que l’on
extrait par filtration .

Les principales caractéristiques de l’aspirine :


- Formule brute : C9H8O4
- Masse molaire : 180g.mol-1
- Température de fusion : 135°C
- Solubilité (dans 100mL de solvant) :
· éthanol : 20g à 25°C
· éther : 5g à 18°C
· eau : 0,25g à 15°C
L’aspirine peut être préparée au laboratoire du lycée à partir d’acide salicylique et
d’anhydride acétique. On parle alors d’hémisynthèse de l’aspirine:

* Dans un erlenmeyer sec, on introduit 3,0g d’acide salicylique, 6,0mL d’anhydride acétique
et quelques gouttes d’acide sulfurique.
On adapte un réfrigérant à air et on chauffe 10 minutes.

* On refroidit ensuite l’erlenmeyer sous l’eau froide puis on ajoute ensuite 50mL d’eau
jusqu’à l’apparition des cristaux d’aspirine. On filtre le tout.

La recristallisation a pour but de purifier l’aspirine obtenue précédemment.


Dans un bécher, on ajoute à l’aspirine quelques mL d’éthanol puis on chauffe doucement pour
dissoudre le solide.

On ajoute ensuite un peu d’eau chaude et on laisse refroidir sans agiter. Les cristaux
d’aspirine pure se forment lentement.
Qui d'entre nous n’ a jamais pris un comprimé d'aspirine ?
L'aspirine soulage un nombre impressionnant de maux.
On y a recours dans les états grippaux, les infections, saisonnières, les refroidissements, les
courbatures fébriles, les réactions inflammatoires.
Dans les maux de tête et les migraines, les douleurs dentaires, articulaires et musculaires, les
névralgies, l'aspirine est souvent un remède rapidement efficace.
Dans les affections rhumatismales (arthrites et arthroses), l'aspirine est un élément primordial
du traitement.
L'aspirine est le médicament le plus utilisé en cas de fièvre ou de douleurs banales.
L'aspirine prévient la thrombose (c'est à dire la formation de caillots sanguins dans un
vaisseau), l'infarctus du myocarde et l'accident vasculaire cérébral.
L'aspirine pourrait également prévenir certains cancers.

En effet l'aspirine est :


- Un Antalgique
- Un Anti-inflammatoire
- Un Antipyrétique
- Un Anti-agrégant plaquettaire

L'activité antalgique
L'aspirine est un antalgique c'est à dire qu'elle calme la douleur.

De ce fait, l'aspirine est largement utilisée pour les courbatures, douleurs musculaires,
douleurs dentaires, céphalées (= maux de tête), arthrose et les douleurs d'origine traumatique .
L'effet antalgique maximal se développe en 45 min. environ et dure généralement entre 3 et 4
heures.
LES POSOLOGIES MOYENNES SONT:
- chez l'adulte de 300 mg à 1000 mg / 24 heures avec 1 maximum de 4g.
- chez l'enfant de moins de 30 mois: 25 - 50 mg/ kg /jour en plusieurs prises.
- chez l'enfant de plus de 30 mois : 25 - 100 mg/ kg / jour en plusieurs prises.
L'effet antalgique de l'aspirine s'explique par le fait qu'elle empêche la formation des
prostaglandines qui facilitent la transmission nerveuse des influx douloureux sensitifs.
ZOOM:
Les prostaglandines furent découvertes en 1930. Ce sont des molécules qui sont émises en
petite quantité dès qu'une blessure ou une perturbation de l'organisme apparaissent. Ces
prostaglandines sont alors responsables des douleurs, inflammations, fièvre ...

L'activité anti-inflammatoire:
L'aspirine agit contre les inflammations c'est-à-dire contre toutes les réactions
consécutives à une agression traumatique, chimique ou microbienne de l'organisme et se
manifestant par divers signes comme chaleur, rougeur, douleur, oedème...
De ce fait l'aspirine est utilisée pour soulager les douleurs rhumatismales, lombaires, etc...
L'aspirine réduit efficacement le gonflement et les symptômes inflammatoires mais elle est
incapable d'empêcher leur progression vers la chronicité.
De ce fait les traitement anti-inflammatoires sont assez prolongés et à des posologies élevées
mais ils doivent être entrecoupés d'arrêts pour éviter l'apparition des effets indésirables.
LES POSOLOGIES MOYENNES SONT:
- chez l'adulte : 3 à 6g / 24h en 4 prises.
- chez l'enfant de 0 à 30 mois : 50mg/kg/jour en 4 prises.
- chez l'enfant de 30 mois à 15 ans : en 4 prises 50mg/kg/jour.
L'aspirine agit ici en bloquant la production des prostaglandines et des hormones qui
transmettent au cerveau le message de la douleur.

L’activité antipyrétique :
L'aspirine est antipyrétique (ou fébrifuge) c'est-à-dire qu'elle fait tomber la fièvre.

La température de notre corps est constamment maintenue aux environs de 37°C. Or la fièvre
est due à une perturbation de cette régulation thermique.
Elle est l'une des manifestations de l'inflammation ou de l'infection. En effet, sur le site
infectieux, des globules blancs, au cours de leur combat contre les bactéries, sécrètent une
molécule qui est véhiculée par le sang jusqu'à l'hypothalamus (dans le cerveau) et y provoque
la production de prostaglandines à l'origine de la fièvre.
L'aspirine a une action rapide et efficace sur la fièvre car elle agit en augmentant les pertes de
chaleur par vasodilatation périphérique et sudation.
Par ce mécanisme, elle abaisse la température du corps et bloque la synthèse des
prostaglandines hypothalamiques. Les traitements antipyrétiques sont de courte durée.
LES POSOLOGIES MOYENNES SONT :
- chez l'adulte : 300 à 1 000mg / 24h avec un maximum de 4g.
- chez l'enfant de moins de 30 mois : 25-50mg / kg /jour en ne dépassant pas 80mg / kg /jour.
- chez l'enfant de plus de 30 mois: 25-80mg / kg /jour.

L’activité anti-agrégante plaquettaire :


L’aspirine est un puissant inhibiteur de l’agrégation des plaquettes sanguines, c’est-à-
dire qu’elle empêche la formation de caillots sanguins.

Quand on se coupe, le sang s’écoule par la plaie, puis le saignement, s’il n’est pas trop
important, s’arrête de lui-même : c’est l’hémostase. Les plaquettes du sang s’accolent aux
bords de la plaie pour former le caillot. Mais la formation de caillot peut aussi se faire de
façon anormale au cœur des vaisseaux : c’est la thrombose qui bouche les vaisseaux et qui est
à l’origine de graves maladies cardio-vasculaires.
Ainsi, l’aspirine, parce qu’elle fluidifie le sang et allonge le temps de saignement, joue un rôle
protecteur dans les maladies à thromboses comme l’infarctus du myocarde et les accidents
vasculaires cérébraux.
Mais pour ces mêmes raisons, elle ne doit pas être prise avant une opération, pendant les
règles, en présence d’une plaie importante ou dès lors qu’un risque hémorragique existe.
Une forme galénique est l’état d’un médicament prêt à être utilisé par un malade.
Une forme galénique rassemble :
- Le principe actif : c’est-à-dire la molécule chimique qui soigne (ici l’aspirine ou acide
acétylsalicylique)
- Un excipient c’est-à-dire une (ou des) substance(s) inoffensives pour l’organisme
comme l’amidon, le lactose, le carbonate de sodium…dont le rôle est de donner une
forme au médicament (gélule, comprimé, etc.) et qui joue un rôle essentiel dans le
processus de libération des molécules de principe actif. C’est un agent de délitement.
Peuvent y être ajoutés un ou des additifs comme des colorants, des correcteurs de goût, des
conservateurs…
- Un conditionnement pour protéger et conserver correctement le médicament.

Pour l’aspirine, on distingue :

- les comprimés
Ex:Aspirine du Rhône®, comprimés.
Aspirine Bayer®, comprimés.

Le comprimé est constitué de particules d’aspirine mélangées à l’excipient.


Ce comprimé est à désagréger dans un verre d’eau. Son principal inconvénient est que les
grains d’aspirine restent longtemps au niveau de la paroi de l’estomac avant d’être dissous et
absorbés et de ce fait ce comprimé peut provoquer des brûlures et des ulcères au niveau de
l’estomac.

- les comprimés à action retardée


Ex :Aspirine pH8®, comprimés enrobés.
A avaler avec un grand verre d’eau.

C’est un comprimé d’aspirine, enrobé d’un produit gastro-résistant qui l’empêche de se


dissoudre dans le suc gastrique. Il traverse donc l’estomac (milieu très acide) sans être
absorbé. Il passe ensuite dans l’intestin (moins acide) où son enrobage se désintègre. L’action
de l'aspirine commence à ce moment ce qui constitue son principal inconvénient pour les
indications où les effets recherchés doivent être rapides.
Autre ex: Rhonal®, comprimés: ce sont des comprimés où les grains d’aspirine sont
micro-encapsulés.

- les comprimés effervescents (tamponnés)


Ex:Aspirine Upsa® (avec ou sans vitamine C), comprimés effervescents.
Ex:Aspro®, comprimés effervescents.

C’est un mélange comprenant de l’aspirine et de l’hydrogénocarbonate de sodium. L’avantage


de l’effervescence est que le comprimé se dissout bien dans l’eau, le médicament est facile à
avaler et il agit plus rapidement. L’effervescence est due à un dégagement gazeux de CO2
(dioxyde de carbone) qui assure la dispersion d’une multitude de grains d’aspirine qui se
dissolvent rapidement et complètement et qui sont alors prêts à être absorbés.
L’inconvénient est que l’aspirine effervescente apporte beaucoup d’ions sodium Na+ ce qui
est dangereux pour les personnes atteintes d’hypertension artérielle et suivant un régime sans
sel.
L’association de la vitamine C à l’aspirine est un avantage pour les raisons suivantes :
- il existe un besoin accru en vitamine C lors de certains phénomènes infectieux (grippe…)
- l’action tonique, bien connue de la vitamine C, permet aux patients de passer plus facilement
le cap, parfois difficile, de toutes les infections pseudo-grippales rencontrées en période
hivernale.

- les comprimés à croquer


Ex: Aspirisucre ®, comprimés à croquer.
Sargépirine ®, comprimés à croquer.
Ce sont des comprimés auxquels on a ajouté certains arômes (pêche, abricot, orange) et du
sucre pour les rendre plus agréables. Ces comprimés doivent être croqués puis avalés de
préférence avec un grand verre d’eau.

- les gélules
Ex : Aspirine UPSA® 325 mg, gélules.
Les gélules sont composées de gélatine qui se délite dans l’estomac et libère le principe actif.
- les sachets
Ex : Aspégic®, sachet (cette forme convient aux enfants pour son dosage à 100mg).

Le médicament est sous forme de poudre à dissoudre dans l’eau.


Le principe actif est ici un sel d’aspirine: l’acétylsalicylate de lysine.
Dans l’estomac, très acide, l’acétylsalicylate de lysine se scinde en lysine et en acide
acétylsalicylique (=aspirine). L’aspirine est ici libérée sous forme de grains microscopiques
rapidement assimilables.

- les flacons injectables.


Ex : Aspégic®, flacon injectable.
C’est de l’aspirine en poudre que l’on dissout au moment de l’emploi à l’aide d’EPPI (Eau
Pour Préparation Injectable) pour être injectée par voie intramusculaire ou par voie
intraveineuse.

La première qualité d’un médicament est son efficacité thérapeutique. Son principe actif ( ici
l’aspirine ) doit donc arriver dans le sang et être ainsi disponible pour l’organisme.
Il existe deux voies différentes d’administration :
· la voie orale : pour les comprimés à croquer ou à désagréger dans de l’eau, les comprimés
effervescents, les gélules, les poudres solubles en sachets;
· la voie intraveineuse ou la voie intramusculaire : pour les solutions injectables.
LES EFFETS INDESIRABLES DE L’ASPIRINE

Si l’utilisation de l’aspirine est bénéfique pour traiter la fièvre, la douleur,


l’inflammation et les maladies à thromboses, elle a en revanche de sérieux inconvénients
:

· LES TROUBLES DIGESTIFS :


L’aspirine favorise les hémorragies digestives en créant des ulcérations aiguës ou des
gastrites, ou en faisant saigner des lésions préexistantes. Consommée en excès c’est un
toxique gastrique qui chez certains sujets provoque des douleurs, des vomissements ou des
nausées.
· L’OTOTOXICITE :
C’est l’apparition de bourdonnements d’oreille et d’hypoacousie (baisse de l’acuité auditive).
L’ototoxicité est le signe habituel et le plus précoce du surdosage, mais disparaît avec la
diminution des doses.
· LES ACCIDENTS ALLERGIQUES :
Ils sont une contre-indication définitive à l’emploi de l’aspirine. Crises d’asthme, toxidermie,
œdème de Quincke, urticaire, rhinite, choc ana-phylactique sont parmi les plus fréquents.
· L’INTOXICATION :
Elle est dangereuse chez le nourrisson et l’enfant. Elle se manifeste par des troubles
neurologiques (agitation, troubles de la conscience) et respiratoires (hyperpnée). Pour éviter
l’intoxication, il faut respecter les règles de posologie et l’espacement des prises.
· LES RISQUES EN CAS DE GROSSESSE :
L’aspirine peut retarder la date de l’accouchement et prolonger le travail, elle peut entraîner
des hémorragies chez le fœtus et le nouveau-né. Ce risque fœtal existe tout au long de la
grossesse. On soupçonne l’aspirine d’être à l’origine de malformations sur le plan vasculaire
et rénal chez le fœtus. Il est donc interdit de prendre de l’aspirine pendant toute la grossesse
(sauf dans des cas très particuliers que seuls les médecins peuvent apprécier et la dose
prescrite sera dans ce cas très faible).
L’intérêt de la prise d’aspirine doit être décidé au cas par cas en fonction des risques de
chacun. L’aspirine est un produit très efficace mais à manier avec précaution.

L’automédication à l’aspirine est dangereuse. Suivez


toujours les conseils de votre médecin et de votre
pharmacien.

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