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CORRECTION : EPREUVE MATHEMATIQUES / Session de JUIN 2019 / BAC MATHS

Exercice N°1 :
1°) a)  AB    AC  ,  ' de diamètre  CM  et H   ' donc  HC    MH  or H   HC 
donc  AC    MH  ainsi  AB    MH 
b) AMA'B est un losange donc  AB    A'M  et  AB    MH  d’où  A'M    MH  ce qui prouve
que H , M et A' sont alignés
c)  dans le triangle ABC on a  AB    MH  , H   AC et M   BC donc d’après te théorème
CM HM CH CM 1 HM 1 1
de Thalès :   et on a  donc  par suite HM  AB
CB AB AC CB 3 AB 3 3
 Le triangle AMH est rectangle en H donc d’après le théorème du Pythagore :
Et puisque AB  AM on aura AB2  AH 2  HM 2  AH 2  AB2  HM 2
   π
2°) a)  Angle de S:  HA , HM     2π 
  2
HM 1
 Rapport de S : k  . On a : HM  AB et AH 2  AB2  HM 2
HA 3
1 8 AB2 9 AB 3
Donc AH 2  AB2  AB2  AB2  2
  
9 9 AH 8 AH 2 2
HM AB 1 2
il en résulte : k    
HA 3HA 2 2 4
 π
b)  Angle de S est    d’où S   AI     AI  et S  A   M  S   AI   d’où S   AI     BC 
 2
 De même S   MH     MH  et S  H   H  S   MH   d’où S   MH     AC 
 A'   MH    AI  d’où S  A'  S   MH    S   AI    S  A'   AC    BC   S  A'  C
3°)  une similitude conserve les milieux
 I est le milieu de  AA' donc S  I  est le milieu de S  AA'   CM  d’où S  I   I'

     π
 S  I   I'   HI , HI'     2π  , H   ' de rayon  I'H  donc  HI  est tangente à  ' en H
  2
4°) a) S AH  : antidéplacement  S AH  est une similitude indirecte de rapport 1
 S' est la composée de trois similitudes dont deux indirectes de rapport 1 et une directe de
2 2
rapport ce qui prouve que S' est une similitude directe de rapport
4 4
 S'  H   S AH   S  S AH   H   S AH   S  H   S AH   H   H  H est le centre de S'
        
b)   A'B , A'A    A'A , A'M   2π  (  A'A  bissectrice de l’angle  A'B , A'M  )
     
         
 A'B , A'A    CB , CA   2π 
  (Deux angles qui interceptent le même arc dans le cercle)
     
 A'A , A'M    CA , CN   2π 
  
 


   
    
          
  CB , CA    CA , CN   2π  ainsi dans le triangle MNC ,  CM , CH    CH , CN   2π 
       
ˆ
Donc  CH  est la bissectrice de l’angle NCM et  CH    MN  d’où  CH  est la
médiatrice de  MN
 CM  CN ce qui prouve que MNC est isocèle en C
c)  S'  A   S AH   S  S AH   A   S AH   S  A   S AH   M   N
   π
 S'  A   N  angle de S' :  HA , HN    2π 
  2
Exercice N°2:
 4   1
      4 0
1°) a) AB  0  , AC  1  et   A , B et C ne sont pas alignés
 0 0 1 1
   
b) zA  1  A  P , zB  1  B  P , zC  1  C  P
et A , B et C déterminent un seul plan P donc il a pour équation z  1
 4   1  0
        
Ou bien : AB  0   AC  1   n  0  vecteur normale de P
 0 0  4 
     
 4 z  d  0 , A  P   4  d  0  d  4 d’où P : 4 z  4  0  P : z  1
2 2 2
2°) a) x 2  y 2  z 2  4 z  1  x 2  y 2   z  2   4  1  x 2  y 2   z  2   5  5
 S est une sphère de rayon R  5 et de centre   0, 0, 2 
z  1
1
b) d   , P     1  5  S et P sont sécants suivant le cercle  de rayon
0  0 1 1
2 2 2

2
5 1  2
0
   
Comme ΩI  0    n   ΩI   P et I  P donc I est le projeté orthogonale de  sur P
 1
 
Ce qui prouve que I est le centre de 
z   1  1
3°) a) d    , P      1
2 2 2
0  0 1 0  02  12
2

2 2 2 2
On sait que pour tout    \ 2 on a :    1     1  4 d’où    1     1 4
2
C’est-à-dire   1     1  4    1  R  S et P sont sécants suivant un cercle 
2 2 2
 de rayon r  R2    1     1  4     1  4  2
 0 
   
 de centre le projeté orthogonale de  sur P ; Ω λ I  0   1    n   Ω λ I   P et I  P
1   
 
 I est le centre de  . Finalement    et par suite S  P  
2 2 2
b) D  S0  0 D  R0   4   02   1  0    0  1 4
 02  20  17  02  20  5  40  12  0  3
c) S0 à pour centre 0  0, 0, 3 et de rayon R0  20  2 5
Soit h l’homothétie de centre M et de rapport k qui envoie S en S0
 
On a : h  S  S0 donne M 0  k M et R0  k R
2 5 k 5  k  2 donc k  2 ou k  2
 xM  2 xM  xM  0
     1
 Pour k  2 on a : M 0  k M   yM  2 yM   yM  0  M  0, 0, 
 3  z  2 2  z  3 z  1  3
 M  M   M

 xM  2 xM  xM  0
   
 Pour k  2 on a : M 0  k M   yM  2 yM   yM  0  M  0, 0, 7 
 3  z  2 2  z
 M  M   zM  7
 1
Conclusion : il existe deux homothéties h1 de centre M  0, 0,  et de rapport 2 , h2 de centre
 3
M  0, 0, 7  et de rapport  2  qui transforment S en S0
Exercice N°3 :
1°) a) 29  2  13  4  58  52  6
b)  29 x  13 y  29  2  13  4  29  x  2   13  y  4 
 13 divise 29  x  2  et 29  13  1 divise 6 donc d’après lemme de Gauss
13 divise  x  2  ainsi x  2  13k ; k   par suite x  2  13k ; k  
 29 13k   13  y  4   29k  y  4  y  4  29k ; k  
Conclusion : S   2  13k , 4  29k  ; k  
2°)  29 est un nombre premier et 29 ne divise pas 2
D’où d’après le petit théorème de Fermat on a : 2291  1 mod 29  228  1 mod 29
228  1 mod 29
  29  228  229  2  mod 29  257  2  mod 29  257  2  mod 29
2  2  mod 29
3 19
57
  2   2  mod 29   2  19
 2  mod 29   8   2  mod 29

 Donc 8 est solution de  E '

0  0  mod 29 donc x0 n’est pas solution de  E ' 


3°) a)  Si x0 est un multiple de 29 alors x19
D’où si x0 est solution de  E ' alors x0 n’est pas multiple de 29
 x028  1 mod 29 (Petit théorème de Fermat)
 x  1 mod 29  
19
0
 29 est un nombre premier
3 3
0  2  mod 29    x0    2   mod 29 
b)  x0 est solution de  E ' alors x19 19

3 3
  x019    2   mod 29  x057  8  mod 29

 x057  8  mod 29  x0  x056  8  mod 29



 
28 2
 x0   1 mod 29  x0  1 mod 29
56

c) x est solution de  E '  x  8  mod 29  x  8  29k ; k  


19
Réciproquement : x  8  29k  x  8  mod 29  x19   8   mod 29
19
et 8 est solution de  E ' c’est-à-dire  8   2  mod 29
Donc x19  2  mod 29  x est solution de  E '
Conclusion : S  8  29k ; k  
19
d)  x  3  2  mod 29  x  3 est solution de  E '  x  3  8  29k ; k  
 x  5  29k ; k    S  5  29k ; k  
19
4°)   x  3  2  mod 29  x  3  8  mod 29
12
 On a 13 ne divise pas x  3 donc  x  3  1 mod13  x  3  2  mod13
 x  3 19  2  mod 29  x  3  8  mod 29
D’où   
 x  3  2  mod13
13
 x  3   2  mod13
 x  3  8  29 p  x  5  29 p
 ,  p, q    2   ,  p, q    2
 x  3  2  13q  x  1  13q
 x  x  5  29 p  1  13q  0  6  29 p  13q  29 p  13q  6 ;  p, q   2
D’où p et q sont solutions de  E  . Ainsi : p  2  13k et q  4  29k ; k  
Par suite x  5  29  2  13k   53  377k ; k    S  53  377k ; k  
Exercice N°4 :
1  e 
x
e x
1°) a) f '  x     0 , f est continue et strictement croissante sur  0, 
2 1  e x 2 1  e x
et f  0,    f  0  , lim f    0,1  f possède une fonction réciproque g définie sur  0,1
  

b) y   0,  , x   0,1 , g  x   y  f  y   x  1  e  y  x  1  e y  x 2
 e  y  1  x 2   y  ln 1  x 2   y   ln 1  x 2   g  x    ln 1  x 2 
c) g  x   x  g  x   x  0 , on pose h  x   g  x   x , x   0,1 , h est continue sur  0,1
et h  0, 7   h  0,8    0, 0267   0, 222  0, 0059  0
Donc h  x   0  g  x   x  admet une solution    0.7;0.8
d) Voir figure annexe
2°) a) f est continue sur  0,  , g est dérivable sur  0,1
et g  0,1    0,  d’où  est dérivable sur  0,1
et  '  x   g '  x  f  g  x  
2x 2 x2
  ' x   x 
1  x2 1  x2
b c a 1  x 1  x   b 1  x   c 1  x 
b) a   
1 x 1 x 1  x 1  x 
ax 2  x  c  b   a  b  c
=
1  x 1  x 

 a  2
2 x2 b c  a  2
2
a   c  b  0  
1 x 1 x 1 x a  b  c  0 c  b  1

1 1
c)  '  x   2      x   2 x  ln 1  x   ln 1  x   cte
1 x 1 x
g  0 0  1 x 
  0   f  x  dx   f  x  dx  cte  0 donc   x   2 x  ln   , x   0,1
0 0
 1 x 

d) A   f  x   g  x  dx (unité d’aire)
0
 Par raison de symétrie
  
 f  x   g  x  dx  2  f  x   x  dx  2   f  x  dx  aire  OAB  ; B  , 0 
0 0 0

  f  x  dx  l’aire de la partie du plan limitée par  C  , l’axe des abscisses et les droites
0

OB  AB  2
d’équations x  0 et x   et aire  OAB   
2 2
 g    2 
 On sait que g     d’où 0 f  x  dx  
f  x  dx      il résulte A  2       
0
 2 
3 3 n  3 
 n 
3°) a)  3 Sn  t  dt   3 2   t 2 k 1  dt    2 3 t 2 k 1dt 
0 0
 k 1   0
k 1 


2k k
 3  1  k
3
   2  1
3
 t 2k  3 3    1 3 n
1
 3  3
et 2 t 3 2 k 1
dt  2          3
Sn  t  dt    un
0
 2k  0 k k k k .3k 0
k 1 k .3
k

n
n
2 n k
n
2 k
1  t 2 
b) S n  t   2 t
k 1
2 k 1
   t 2  et
t k 1
 t 
k 1
t 2

1 t2
Somme de n termes d’une suite

géométrique de premier terme t 2 de raison t 2


2 1  t 2n 2t
Par suite Sn  t    t 2  2
 1  t 2 n  2
 1  t 2 n  g '  t  , n  1 et t   0,1
t 1 t 1 t
3 1 1  1
c) 0  t   0  t 2 n  n  1  n  1  t 2 n  1  1  n  g '  t   1  t 2 n  g '  t   g '  t 
3 3 3  3 
car g '  x   0
3  1
on a : 1  n  g '  t   S n  t   g '  t  (*)
D’où pour 0  t 
3  3 
d) On intégrant membre à membre l’inégalité (*) on aura :
 1  33 3 3
 1 3 3

 1  n 
g ' 
t dt  0 n   0  
3
S t dt  3
g ' t dt   1  n     0
 g t    0
3  u  g t  3
n
 3  0  3 
 1   3    3  1   3  3
D’où 1  n   g   g  0 
    un  g  g  0   1  n  g 
     un  g  
 3    3  0

  3  0
 3   3   3 
 
 1   3  3  1
4°) 1  n  g    un  g   et n lim 1  n   1
 3   3   3    3 
 0 

1   3  3   3 2 

 lim 1  n  g    g     ln 1       ln 1  1    ln 2  ln 3
 3   3      3   
 3   3 3 2
n 
 
3  3
Donc la suite  un  converge vers ln et lim un  g  
2 n 
 3 

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