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Introduction générale
Il n’y a pas de travail plus notable des ingénieurs en électronique et en informatique que le
développement des différents bus. Grâce au développement de ce type d’architecture, nous
pouvons aujourd’hui avoir entre nos mains, des téléphones portables et des ordinateurs
avec de très grandes capacités mémoire et en même temps simples à exécuter avec des
fonctions presque instantanées. Un appareil mobile, sur ses circuits imprimés, présente
vraiment des conceptions de bus extraordinaires, les transformant en de véritables outils
dont nous ne pouvons pas manquer aujourd’hui.
Dans cet article, nous allons expliquer ce que sont les bus en informatique et nous
détaillerons également les différentes classes qui existent pour chacun d’eux et leurs
différentes fonctions. Nous parlerons également de l’évolution de ces bus et qui se reflète
dans leurs différentes générations.
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* Le bus d'adresses indique l'adresse mémoire ou l'adresse d'un autre bus utilisée lors d'un
transfert de données au sein de l'ordinateur. La largeur du bus d'adresses conditionne
également la quantité maximale de RAM que peut adresser le processeur (un bus d'adresses
d'une largeur de 16 bits permet ainsi au processeur d'adresser 2^16 = 65536 adresses en
mémoire).
* Le bus de commandes véhicule tous les signaux utilisés pour synchroniser les différentes
activités qui se déroulent dans les unités fonctionnelles de l'ordinateur : signaux d'horloge,
signaux de lectures/écritures, signaux d'interruptions, etc.
Le bus de données (ou bus d'entrées/sorties) assure la transmission des données à traiter
entre les différents éléments de l'ordinateur ; à ce titre, il est tout comme les bus d'adresses
et de commandes un sous-ensemble des bus processeur et mémoire (rappelez-vous les 64
lignes de données du bus processeur du Pentium). Le bus d'E/S permet non seulement aux
composants figurant sur la carte mère de communiquer des données entre eux, mais
également d'ajouter des périphériques supplémentaires à l'aide de cartes d'extension ; à cet
effet, le bus d'E/S est caractérisé par un certain nombre de connecteurs (ou slots).
L'extension de la capacité d'un ordinateur grâce à l'ajout de périphériques est primordiale
car les systèmes de base sont incapables de satisfaire toutes les attentes des utilisateurs :
des composants indispensables peuvent alors être rattachés aux connecteurs du bus d'E/S,
tels que cartes graphiques, cartes sonores, cartes d'interface réseau ou encore adaptateurs
SCSI.
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jour successivement, avec une raison simple : le besoin croissant de performances toujours
plus importantes des ordinateurs, lié à l'apparition de processeurs plus rapides, de logiciels
plus exigeants et de besoins multimédias grandissants.
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interrupteurs. Mieux encore, il supporte également le bus mastering, c'est à dire la prise de
contrôle du bus par n'importe quel périphérique qui y est connecté pour transférer des
informations vers un autre composant, sans nécessiter l'intervention du processeur central,
ce qui décharge celui d'autant de travail et lui laisse le loisir de s'occuper d'autre chose.
Comme contrepartie, le bus MCA est parfaitement incompatible avec le standard ISA si bien
que les nombreuses cartes d'extension conçues pour le bus ISA ne fonctionnent pas sur les
systèmes MCA. Pour finir, IBM exigeait des royalties de la part des utilisateurs du nouveau
modèle, ce qui a entraîné le rejet du bus MCA par l'ensemble de l'industrie et le
développement du bus concurrent EISA.
Le bus EISA (Extended Industriy Standard Architecture) :
Il est apparu en septembre 1988 comme une réponse à l'introduction du bus MCA par IBM
et la manière dont il comptait s'en servir.
A l'origine du bus EISA on trouve neuf constructeurs compétiteurs d'IBM : AST Research,
Compaq, Epson, Hewlett-Packard, NEC, Olivetti, Tandy, WYSE et Zénith Data System. Le bus
EISA est un bus 32 bits tout comme le MCA d'IBM, évoluant à 8,33 MHz et compatible avec
le standard ISA : il ajoute 90 nouvelles connexions à un connecteur classique ISA sans pour
autant en modifier l'aspect ; dans ces conditions, les cartes ISA peuvent encore être utilisées
avec des connecteurs d'extension EISA. Ce nouveau format utilise par ailleurs un système
logiciel analogue à celui du bus MCA pour automatiser la configuration des cartes
d'extension sans faire appel à des jeux de cavaliers ou d'interrupteurs. Fait nouveau, le bus
EISA intègre pour la première fois la possibilité de partage d'une IRQ par plusieurs
périphériques.
LES BUS LOCAUX Les bus d'E/S présentés jusqu'ici ont un point commun :
Ils sont relativement lents. Cette vitesse restreinte est un héritage des premiers PC dans
lesquels bus processeur et bus d'E/S partageaient la même fréquence d'horloge de 8 MHz.
Les premiers problèmes ont réellement fait leur apparition au début des années 1990 avec le
succès des interfaces graphiques telles que Windows : celles-ci nécessitent le traitement
d'un si grand nombre de données vidéo que le bus d'E/S est devenu le goulet d'étranglement
le plus important des systèmes informatiques
- Quel intérêt de posséder un microprocesseur cadencé à 66 MHz si le taux de transfert des
données sur le bus d'E/S ne peut excéder 8 MHz ? La solution à ce dilemme a été trouvée en
déplaçant certains connecteurs d'extension du bus d'E/S à un endroit où ils pourraient
bénéficier de la vitesse élevée du bus processeur, un peu à la manière de la mémoire cache
externe. C'est cette architecture qui porte le nom de bus local (local bus).
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Les premiers problèmes ont réellement fait leur apparition au début des années 1990 avec le
succès des interfaces graphiques telles que Windows : celles-ci nécessitent le traitement
d'un si grand nombre de données vidéo que le bus d'E/S est devenu le goulet d'étranglement
le plus important des systèmes informatiques
– Quel intérêt de posséder un microprocesseur cadencé à 66MHz si le taux de transfert des
données sur le bus d'E/S ne peut excéder 8 MHz ?
La solution à ce dilemme a été trouvée en déplaçant certains connecteurs d'extension du
bus d'E/S à un endroit où ils pourraient bénéficier de la vitesse élevée du bus processeur, un
peu à la manière de la mémoire cache externe. C'est cette architecture qui porte le nom de
bus local (local bus).
Le bus VESA est un bus 32 bits pouvant théoriquement évoluer à la fréquence maximale de
66 MHz. En réalité, les caractéristiques électriques de son connecteur limitent la fréquence
d'exécution à 40 ou 50 MHz et, en pratique, il s'est avéré que l'utilisation d'un VL-Bus à une
vitesse supérieure à 33 MHz est susceptible d'engendrer de nombreux problèmes. Par
conséquent, 33 MHz est devenu la vitesse maximale acceptable pour ce bus. Par ailleurs, la
structure du VL-Bus tel qu'elle a été conçue au départ le rend indissociable du bus
processeur du 486. Bien que le VL-Bus puisse être adapté sur d'autres processeurs (y
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système : la 3D. L'AGP a donc été mis au point et introduit par Intel à partir de 1997 dans le
but de pallier aux déficiences du bus PCI en ce qui concerne la vidéo.
Ceci amène la première constatation suivante : l'AGP n'est pas un "bus" au sens vrai du
terme, car un bus doit être à même de supporter de multiples périphériques d'E/S, ce qui
n'est guère le cas de l'AGP qui n'en supporte qu'un ; en réalité, il s'agit d'un "port", c'est à
dire une connexion indépendante et directe entre le processeur, la mémoire vive et la carte
graphique du système informatique.
l'ordinateur est en général 4 à 6 plus lente que la mémoire vidéo, ce qui ralentit d'autant les
transformations de textures qui y sont effectuées. La technologie DIME est donc surtout
intéressante pour les configurations disposant d'un circuit graphique doté de peu de
mémoire vidéo.
L'AGP fonctionne bien entendu en bus mastering et, autre fonctionnalité intéressante, peut
transmettre plusieurs requêtes à la suite par la technique de pipelining. Tandis que le
protocole PCI nécessite que chaque requête soit suivie d'un accusé de réception pour
pouvoir expédier la requête suivante, l'AGP n'est pas obligé d'attendre une réponse du
processeur pour envoyer plusieurs requêtes simultanément.
Pour terminer cette liste non exhaustive des capacités de l'AGP, signalons que celui-ci
incorpore la technologie SBS (Sidé Band Signa Ling, ou Bande de Signalisation Latérale), qui
renvoie à l'utilisation d'un ensemble de circuits dédiés s'ajoutant à l'AGP : en plus du 32 bits
du bus, une bande latérale supplémentaire de 8 bits permet à la carte AGP d'envoyer de
nouvelles requêtes tout en recevant les données émises par la carte mère suite aux requêtes
précédemment émises. Le SBS véhicule également un repère de synchronisation qui fait
correspondre les modes de fonctionnement (1X, 2X, 4X, etc.) de l'AGP avec ceux de la carte
graphique.
RECAPITULATIF :
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Remarque :
Il existe une carte de type IV d'épaisseur 15,5 mm, mais elle n'est pas reconnue par le
consortium PCMCIA.
Plusieurs modifications de la norme PC Card ont vu le jour entre 1990 et 1994, laquelle est
restée pendant ce laps de temps une interface 16 bits relativement lente, à la bande
passante limitée (2 Mo/s), incapable de supporter le bus mastering et dont les 26 lignes du
bus d'adresses ne permettaient de gérer que 64 Mo de RAM au maximum ; le principal
avantage du bus PC Card est avant tout la petite taille des connecteurs et des cartes
d'extension ainsi que la possibilité de connexion et déconnexion à chaud des périphériques.
En 1995, une nouvelle version de la norme PC Card a été introduite, sous l'appellation Card
Bus : il s'agit d'une interface 32 bits bien plus performante, fonctionnant à 33 MHz,
supportant le bus m’astreint et dont la tension a été réduite à 3,3V (au lieu de 5V).
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Histoire
Première génération
Les premiers bus informatiques étaient des faisceaux de câbles qui reliaient la
mémoire et les périphériques de l’ordinateur. Appelés de façon anecdotique le
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" tronc numérique ", ils ont été nommés d'après les bus électriques ou les barres
omnibus. Presque toujours, il y avait un bus pour la mémoire et un ou plusieurs bus
séparés pour les périphériques. Celles-ci étaient accessibles par des instructions
séparées, avec des horaires et des protocoles complètement différents.
Les systèmes haut de gamme ont introduit l'idée de contrôleurs de canal , qui étaient
essentiellement de petits ordinateurs dédiés à la gestion de l'entrée et de la sortie
d'un bus donné. IBM les a introduits sur l' IBM 709 en 1958, et ils sont devenus une
caractéristique commune de leurs plates-formes. D'autres fournisseurs de haute
performance comme Control Data Corporation ont mis en œuvre des conceptions
similaires. En général, les contrôleurs de canal feraient de leur mieux pour exécuter
toutes les opérations de bus en interne, en déplaçant les données lorsque le
processeur était connu pour être occupé ailleurs si possible, et en n'utilisant que des
interruptions lorsque cela était nécessaire. Cela a considérablement réduit la charge
du processeur et amélioré les performances globales du système.
Pour assurer la modularité, la mémoire et les bus d'E / S peuvent être combinés en un
bus système unifié . [7] Dans ce cas, un seul système mécanique et électrique peut être
utilisé pour connecter ensemble plusieurs des composants du système, ou dans
certains cas, tous.
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Minis et micros
Dans certains cas, notamment dans le PC IBM, bien qu'une architecture physique
similaire puisse être employée, les instructions d'accès aux périphériques ( in et out)
et à la mémoire ( mov et d'autres) n'ont pas du tout été uniformisées et génèrent
toujours des signaux CPU distincts, qui pourraient être utilisé pour implémenter un
bus d'E / S séparé.
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Bien que acceptable dans les systèmes embarqués, ce problème n'a pas été toléré
pendant longtemps dans les ordinateurs polyvalents et extensibles par l'utilisateur.
Deuxième génération
Les systèmes de bus de «deuxième génération» comme NuBus ont résolu certains de
ces problèmes. Ils séparaient généralement l'ordinateur en deux «mondes», le
processeur et la mémoire d'un côté, et les divers périphériques de l'autre.
Un contrôleur de bus a accepté que les données du côté de la CPU soient déplacées
vers le côté des périphériques, déplaçant ainsi la charge du protocole de
communication de la CPU elle-même. Cela a permis au CPU et à la mémoire
d'évoluer séparément du bus de l'appareil, ou simplement du «bus». Les
périphériques sur le bus peuvent se parler sans intervention du processeur. Cela a
conduit à de bien meilleures performances "dans le monde réel", mais a également
exigé que les cartes soient beaucoup plus complexes. Ces bus ont également souvent
résolu les problèmes de vitesse en étant «plus gros» en termes de taille du chemin de
données, passant de bus parallèles 8 bits dans la première génération à 16 ou 32 bits
dans la seconde, ainsi qu'en ajoutant une configuration logicielle. (désormais
standardisé en Plug-n-play ) pour remplacer ou remplacer les cavaliers.
Cependant, ces nouveaux systèmes partageaient une qualité avec leurs cousins
précédents, en ce que tout le monde dans le bus devait parler à la même vitesse.
Alors que le processeur était maintenant isolé et pouvait augmenter la vitesse, les
processeurs et la mémoire ont continué à augmenter en vitesse beaucoup plus
rapidement que les bus avec lesquels ils parlaient. Le résultat était que les vitesses de
bus étaient maintenant beaucoup plus lentes que ce dont un système moderne avait
besoin, et les machines étaient privées de données. Un exemple particulièrement
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courant de ce problème est que les cartes vidéo dépassent rapidement même les
systèmes de bus les plus récents comme PCI, et les ordinateurs ont commencé à
inclure AGP juste pour piloter la carte vidéo. En 2004, AGP était à nouveau dépassé
par les cartes vidéo haut de gamme et autres périphériques et a été remplacé par le
nouveau bus PCI Express.
De plus en plus d'appareils externes ont également commencé à utiliser leurs propres
systèmes de bus. Lorsque les lecteurs de disque ont été introduits pour la première
fois, ils étaient ajoutés à la machine avec une carte branchée sur le bus, ce qui
explique pourquoi les ordinateurs ont autant d'emplacements sur le bus. Mais dans
les années 80 et 90, de nouveaux systèmes tels que SCSI et IDE ont été introduits
pour répondre à ce besoin, laissant la plupart des emplacements des systèmes
modernes vides. Aujourd'hui, il y a probablement environ cinq bus différents dans la
machine typique, prenant en charge divers appareils.
Troisième génération
Les bus de «troisième génération» font leur apparition sur le marché depuis 2001
environ, notamment Hyper Transport et Infini Band. Ils ont également tendance à être
très flexibles en termes de connexions physiques, ce qui leur permet d'être utilisés à
la fois comme bus internes et de connecter différentes machines entre elles. Cela
peut entraîner des problèmes complexes lorsque vous essayez de répondre à
différentes demandes, une grande partie du travail sur ces systèmes concerne la
conception de logiciels, par opposition au matériel lui-même. En général, ces bus de
troisième génération ont tendance à ressembler davantage à un réseau qu'au
concept original d'un bus, avec une surcharge de protocole plus élevée que les
premiers systèmes, tout en permettant également à plusieurs périphériques d'utiliser
le bus à la fois.
Des bus tels que Wishbone ont été développés par le mouvement de la matérielle
open source dans le but de supprimer davantage les contraintes juridiques et de
brevet de la conception informatique.
Quatrième génération
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Parallèle
Propriétaire ASUS Media Bus , utilisé sur certaines cartes mères ASUS Socket 7
Mesure et contrôle automatisés par ordinateur (CAMAC) pour les systèmes
d'instrumentation
Extended ISA ou EISA
Architecture standard de l'industrie ou ISA
Faible nombre de broches ou LPC
MBus
MicroChannel ou MCA
Multibus pour systèmes industriels
NuBus ou IEEE 1196
Bus local OPTi utilisé sur les premières cartes mères Intel 80486 .
PCI conventionnel
Parallèle ATA (également appelé Advanced Technology Attachment, ATA,
PATA, IDE, EIDE, ATAPI, etc.), lecteur de disque dur, lecteur de disque optique,
bus de connexion de périphérique de lecteur de bande
Bus S-100 ou IEEE 696, utilisé dans l' Altair et les micro-ordinateurs similaires
SBus ou IEEE 1496
Autobus SS-50
Runway bus , un bus CPU exclusif à l'avant développé par Hewlett-Packard
pour être utilisé par sa famille de microprocesseurs PA-RISC
GSC / HSC , un bus périphérique propriétaire développé par Hewlett-Packard
pour être utilisé par sa famille de microprocesseurs PA-RISC
Precision Bus , un bus propriétaire développé par Hewlett-Packard pour une
utilisation par sa famille d'ordinateurs HP3000
STEbus
Bus STD (pour STD-80 [8 bits] et STD32 [16/32 bits]), FAQ
Unibus , un bus propriétaire développé par Digital Equipment Corporation
pour leurs PDP-11 et les premiers ordinateurs VAX .
Q-Bus , un bus propriétaire développé par Digital Equipment Corporation pour
leurs PDP et plus tard les ordinateurs VAX .
Bus local VESA ou bus VLB ou VL
VMEbus , le bus VERSAmodule Eurocard
PC / 104
PC / 104-Plus
PCI-104
PCI / 104-Express
PCI / 104
Zorro II et Zorro III , utilisés dans les systèmes informatiques Amiga
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En série
1 fil
HyperTransport
I²C
PCI Express ou PCIe
Serial ATA (SATA), lecteur de disque dur , lecteur SSD , lecteur de disque
optique , bus de connexion de périphérique de lecteur de bande
Bus SPI ( Serial Peripheral Interface )
UNI / O
SMBus
En série
Lien caméra
Bus CAN ("Controller Area Network")
eSATA
Express Card
Bus de terrain
Interface IEEE 1394 (FireWire)
RS-232
RS-485
Coup de tonnerre
USB
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Future bus
Infini Band
Câblage externe PCI Express
Quick Ring
Interface cohérente évolutive (SCI)
Small Computer System Interface (SCSI), bus de connexion de périphérique
pour lecteur de disque dur et lecteur de bande
Serial Attached SCSI (SAS) et autres bus série SCSI
Coup de tonnerre
Yap bus, un bus propriétaire développé pour le Pixar Image Computer
Liens externes
Voir également
Portail électronique
Décodeur d'adresse
Conflit de bus
Erreur de bus
Maîtrise du bus
Point de terminaison de communication
Bus de contrôle
Commutateur de barre transversale
Adresse mémoire
Bus mémoire (bus de données)
Bus frontal (FSB)
Interface de bus externe (EBI)
L'architecture de Harvard
Maître / esclave (technologie)
Réseau sur puce
Liste des bandes passantes des appareils
Liste des bus réseau
Bus logiciel
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Les références
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communications de données. CRC Press. p. 27. ISBN 9780824775667. Archivé de
l'original le 17/01/2018. Le bus informatique interne est un schéma de
transmission parallèle; dans l'ordinateur ...
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Université de Nottingham, 15-19 septembre 1958 (document de conférence).
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