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Diagramme de causes et effets
Le diagramme de causes et effets, ou diagramme d'Ishikawa, ou diagramme en arêtes de
poisson ou encore 5M, est un outil développé par Kaoru Ishikawa en 19621 et servant dans
la gestion de la qualité.
1. Matière : les matières et matériaux utilisés et entrant en jeu, et plus généralement les
entrées du processus.
2. Matériel : l'équipement, les machines, le matériel informatique, les logiciels et les
technologies.
3. Méthode : le mode opératoire, la logique du processus et la recherche et développement.
4. Main-d'œuvre : les interventions humaines.
5. Milieu : l'environnement, le positionnement, le contexte.
Chaque branche reçoit d'autres causes ou catégories hiérarchisées selon leur niveau de détail.
Le positionnement des causes met en évidence les causes les plus directes en les plaçant les
plus proches de l'arête centrale.
Flowcharts
Diagramme de PARETO
se présente sous la forme d'une série de colonnes triées par ordre décroissant. Elles sont généralement accompagnées d'une
courbe des valeurs cumulées de toutes les colonnes.
Ce diagramme est construit en plusieurs étapes1 :
Vilfredo Pareto, économiste italien, avait fait une étude sur la répartition des richesses en Italie
mettant en évidence que 80 % des richesses étaient détenues par 20 % de la population. Cette
observation est aujourd'hui connue sous le nom de loi des 80/20 ou principe de Pareto.
Juran en tire l'idée que, pour un phénomène, 20 % des causes produisent 80 % des effets. Par
exemple, pour un stock de produits en vente, 80 % du chiffre d'affaires est généré par 20 % des
produits. Il utilisa ce modèle, en le détournant de sa première finalité, mais lui gardera le nom de
son auteur initial.
Histogram
In short, A histogram is a bar chart that show the frequency of a cause of a problem occurring using the height of the bar as an
indicator.
Control Charts
The scatter diagram graphs pairs of numerical data, with one variable on each axis, to look for a relationship between them. If
the variables are correlated, the points will fall along a line or curve. The better the correlation, the tighter the points will hug the
line.
The ZZ-400 manufacturing team suspects a relationship between product purity (percent purity) and the amount of iron
(measured in parts per million or ppm). Purity and iron are plotted against each other as a scatter diagram, as shown in the
figure below.
There are 24 data points. Median lines are drawn so that 12 points fall on each side for both percent purity and ppm iron.
Then they look up the limit for N on the trend test table. For N = 24, the limit is 6.
Q is equal to the limit. Therefore, the pattern could have occurred from random chance, and no relationship is demonstrated.
Scatter Diagram Example
Here are some examples of situations in which might you use a scatter diagram:
o Variable A is the temperature of a reaction after 15 minutes. Variable B measures the color of the product. You suspect higher
temperature makes the product darker. Plot temperature and color on a scatter diagram.
o Variable A is the number of employees trained on new software, and variable B is the number of calls to the computer help
line. You suspect that more training reduces the number of calls. Plot number of people trained versus number of calls.
o To test for autocorrelation of a measurement being monitored on a control chart, plot this pair of variables: Variable A is the
measurement at a given time. Variable B is the same measurement, but at the previous time. If the scatter diagram shows
correlation, do another diagram where variable B is the measurement two times previously. Keep increasing the separation
between the two times until the scatter diagram shows no correlation.
Even if the scatter diagram shows a relationship, do not assume that one variable caused the other. Both may be influenced by
a third variable.
When the data are plotted, the more the diagram resembles a straight line, the stronger the relationship.
If a line is not clear, statistics (N and Q) determine whether there is reasonable certainty that a relationship exists. If the
statistics say that no relationship exists, the pattern could have occurred by random chance.
If the scatter diagram shows no relationship between the variables, consider whether the data might be stratified.
If the diagram shows no relationship, consider whether the independent (x-axis) variable has been varied widely. Sometimes a
relationship is not apparent because the data don’t cover a wide enough range.
Think creatively about how to use scatter diagrams to discover a root cause.
Drawing a scatter diagram is the first step in looking for a relationship between variables.
La roue de Deming (de l'anglais Deming wheel) est une transposition graphique de la méthode de gestion de la qualité dite
PDCA (plan-do-check-act). Si la paternité de cette méthode revient à Walter A. Shewhart, c'est le statisticien William
Edwards Deming qui l'a fait connaître aux industriels japonais dans les années 1950 en la présentant sous l'appellation de cycle
de Shewhart (the Shewhart cycle), lors d'une conférence1 devant 45 membres du Nippon Keidanren, l'organisation
patronale japonaise. En 1980, Deming a modifié partiellement ce titre qui est devenu PDSA (plan-do-study-act).
En réalité, Deming a rejeté2 cette appellation de "roue de Deming" et même l'appellation japonaise "PDCA", lui préférant le
"Cycle de Shewhart" ou "PDSA".
La méthode comporte quatre étapes, chacune entraînant l'autre, et vise à établir un cercle
vertueux. Sa mise en place doit permettre d'améliorer sans cesse la qualité d'un produit, d'une
œuvre, d'un service, etc.
Roue de Deming
Selon son modèle appelé « Forming - storming - norming - performing - Adjourning » le processus se déroule comme suit :
Rôle du leader
Le leader a un rôle décisif dans la mise en place d’une dynamique de groupe : il s’agit de fédérer des personnalités
parfois très différentes, en s’inspirant des techniques de team building. Le leader a un impact déterminant sur la
cohésion de l’équipe dès sa création, il lui appartient de créer un climat de confiance le plus tôt possible.
2. Deuxième phase – Tension
Se confronter aux autres
Cette deuxième phase correspond à la confrontation des opinions de chacun. Les divergences de points de vue
apparaissent, les tensions se font sentir, chacun cherche à se faire entendre… souvent au détriment des autres.
C’est une phase très délicate, qui peut, si elle est mal négociée, aboutir à l’éclatement de l’équipe, voire à un
changement de main du leadership au sein du groupe.
Rôle du leader
Lors de cette étape, le leader a pour rôle de réduire les tensions et de réguler les échanges – en permettant
notamment à chacun de s’exprimer. Il peut éventuellement être amené à gérer les conflits, si les discussions
s’enveniment. Dans tous les cas, il doit être assertif, c’est-à-dire s’affirmer en tant que leader, tout en respectant
et en écoutant les différents membres du groupe.
3. Troisième phase – Normalisation
Travailler avec les autres
Cette troisième phase correspond à la structuration de l’équipe, avec la mise en place de règles de
fonctionnement acceptées par tous. La recherche d’un consensus autour d’un certain nombre de principe permet
de cadrer le travail du groupe.
Rôle du leader
Le leader a désormais pour rôle de permettre au groupe de trouver un consensus autour d’un cadre commun de
travail. C’est dans ce cadre qu’il sera possible de travailler efficacement.
4. Quatrième phase – Production
Travailler ensemble
Cette quatrième phase correspond au travail effectif du groupe, sur les bases de fonctionnement qui ont été
mises en place lors de la phase précédente. L’équipe est désormais efficace, elle coopère pour atteindre les
objectifs du groupe.
Rôle du leader
Le rôle du leader consiste dans cette étape à motiver son équipe à effectuer l’activité pour laquelle elle est réunie,
si c’est nécessaire.
5. Cinquième phase – Dissolution
Dissoudre l’équipe
Cette cinquième phase correspond à la dissolution du groupe, lorsque les raisons qui ont amené sa création ont
disparu (la fin d’un projet par exemple).
Rôle du leader
Il appartient au leader de reconnaître le travail effectué par les membres du groupe, et de valoriser l’apport de
chacun à l’atteinte des objectifs