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1/ Loi de probabilité :
a. Définitions :
Remarque :
b. Exemple :
L’expérience est la suivante : On choisit au hasard un élève et on regarde si c’est une fille ou un
garçon.
c. Equiprobabilité :
On dit que tous les résultats d’une expérience aléatoire sont équiprobables, s’ils ont tous la même
probabilité.
On a Ω = { 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6}
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Probabilité 1/6 1/6 1/6 1/6 1/6 1/6
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Probabilités
Chapitre Probabilités
On a 0.1 + 0.15 +0.2 +0.2 +0.15 + p(6) = 1 0.8 + p(6) = 1 p(6) = 0.2
Ex 3 : Réponse C
• Un évènement A est un sous ensemble de Ω. On note A ⊂ Ω (se lit A est inclus dans Ω ).
• La probabilité p(A) est la somme des probabilités des éléments de A.
Remarque : On a : 0 ≤ ( ) ≤ 1 et p(Ω) = 1
On a Ω = {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; ……. ; 23 ; 24}.
B = « Obtenir un multiple de 3 »
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Probabilités
Chapitre Probabilités
Ex 24 : Il y a 1000 fiches, 517 hommes, 483 femmes, 866 personnes de moins de 65 ans.
A ∪ B : partie hachurée
b. Exemple : Dans un lycée, les élèves de premières sont répartis de la manière suivante :
L’élève a choisi Spé maths L’élève n’a pas choisi Spé maths Total
Filles 95 65 160
Garçons 102 48 150
Total 197 113 310
On note M = « L’élève a choisi Spé maths » et F = L’élève choisi est une fille »
Dans ce cas : M ∩ = « L’élève choisi est une fille qui a pris spé maths »
Et M ∪ = « L’élève choisi est soit une fille, soit un élève qui a pris spé maths, soit
les deux à la fois »
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Probabilités
On a p( M ∩ ) = 95/310 = 19/62.
Ce qui signifie que A et n’ont aucun élément en commun et que si on les réunit, cela
forme tout l’univers.
Exemple :
On a A = {3 ; 4 ; 5 ; 6} et = {1 ; 2 }
d. Formules :
Soit A et B deux évènements de Ω.
• P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B).
• P( ) = 1 – P(A)
e. Applications :
o Soit A et B deux évènements de Ω, tels que :
P(A) = 0.4 ; P(B) = 0.2 et P(A ∪ B) = 0.55
Calculer P(A ∩ B).
On a P(A ∪ B) = P(A) + P(B) – P(A ∩ B) 0.55 = 0.4 + 0.2 - P(A ∩ B).
P(A ∩ B) = 0.4 + 0.2 – 0.55 = 0.05
Donc P(A ∩ B) = 0.05.
o Soit A un évènement de Ω, tel que P(A) = 1/5, calculer P( )
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Probabilités
Correction : Ex 29 – 30 – 31 -37 p.254
Ex 29 : Ω = {1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6} ; I = {1 ; 3 ; 5} et J = {1 ; 2 ; 3 ; 4}
Ex 30 :
Ex 31 :
A ∪ C = « La carte tirée est soit un as, soit un cœur, éventuellement les deux »
P(C ) = 24 / 32 =3/4
P(A ∩ C) = 1/32
Ex 37 :
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Probabilités
4 / Arbre de probabilité : (Nous allons voir les arbres sur des exemples)
G2
F3
G1 G3
F2
F3
G3
G2
F3
F1
G3
F2
F3
b. Ex 39 p. 255 :
1. On suppose que Mona tire d’abord une pièce dans la poche gauche, puis une pièce
dans la droite. On note 2 = « Obtenir une pièce de 2 € » ; 1 = « Obtenir une pièce de
1€ »
et 50 = « Obtenir une pièce de 50 centimes »
Dans la poche gauche, on 1 chance sur 5 d’avoir la pièce de 2€, ….
On a donc l’arbre suivant :
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Probabilités
1 En tout 3€
3/7
3/7 1 En tout 2€
4/5 1
Donc Vrai
On a l’arbre suivant :
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Probabilités
1/3 1 B l’emporte
1 1/2 2 B l’emporte
1/3 1 A l’emporte
1/6 3 B l’emporte
3 1/2 2 A l’emporte
1/6 3 B l’emporte
1. B semble avantagé car B l’emporte dans six chemins sur neuf. Est-ce vrai ? On passe aux
calculs :
2. On calcule la probabilité que A l’emporte :
P(A) = 1/2 × 1/3 + 1/3 × 1/3 + 1/3 × 1/2 (On ajoute tous les chemins où A l’emporte)
Auto Test
1. Si on tire une carte d’un jeu de 32 cartes, alors p(« Obtenir un roi ») = 1/8.
2. Si on lance 2 dés non truqués à 6 faces, alors P(« Obtenir 2 six ») = 1/3.
3. Si on lance 2 fois une pièce de monnaie, alors P(« Obtenir 2 fois pile ») = 1/4.
4. On donne p(A) = 0.6 ; p(B) = 0.8 et p(A∩B) = 0.5, alors p(A∪B) = 0.9
5. Si p(A) = 0.2, alors p( ̅) = 1.2.
Ex 2 :
On lance 5 dés non truqués à 6 faces portant les numéros de 1 à6. On donnera les résultats
sous forme de fraction simplifiée.
Barème :
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Probabilités