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M JIMHEHHOK AJirEBPE
H3flATEJIbCTBO «HAYHA»
MOCKBA
L. BEK.LËMICHËVA, A. PËTROVITCH,
I. TCHOUBAROV
RECUEIL DE PROBLÈMES
DE GÉOMÉTRIE ANALYTIQUE
ET D’ALGÈBRE LINÉAIRE
VECTEURS ET COORDONNÉES
§ 1. Relations linéaires
1.1. Démontrer les assertions:
1) un système fini de vecteurs contenant un vecteur nul est lié;
2) un système fini de vecteurs contenant deux vecteurs égaux
est lié.
1.2. Est-ce qu’un système composé d’un seul vecteur peut
être lié î
1.3. Démontrer que les vecteurs a a — pb, yb — ac, Pc — ya
sont linéairement dépendants quels que soient les vecteurs a, b, ç
et les nombres a, P, y.
1.4. Etant donné trois vecteurs a (1, 2), b (—5, —1), c (—1, 3),
trouver les coordonnées des vecteurs 2a + 3b — c, 16a + 5b — 9c.
1.5. Soient trois vecteurs a (1, 3), b (2, —1), c (—4, 1). Trouver
les nombres a et p tels que aa + pb + c = 0.
1.6. Vérifier que les vecteurs a (—5, —1) et b (—1, 3) consti
tuent une base dans le plan. Déterminer les coordonnées des vecteurs
c (—1, 2) et d (2, —6) par rapport à cette base.
1.7. Soient quatre vecteurs a (3, 0, —2), b (1, 2, —5), c (—1,
1, 1), d (8, 4, 1). Déterminer les coordonnées des vecteurs —5a +
+ b — 6c + d, 3a — b — c — d.
1.8. Soient quatre vecteurs a (4, 1, —1), b (3, —1, 0), c (—1,
1, 1), d (—1, 3, 4). Trouver les nombres a, P, y tels que aa +
~j- Pb -|- yc -f- d = 0.
1.9. Vérifier que les vecteurs a (4, 1, —1), b (1, 2, —5) et
c (.—1, 1, 1) constituent une base dans l’espace. Trouverles coor
données des vecteurs 1 (4, 4, —5), m (1, 4, —10), n (0, 3, —4)
dans cette base.
1.10. Vérifier si les vecteurs 1, m et n sont coplanaires; en cas
de réponse positive indiquer la dépendance linéaire qui les relie
(les vecteurs a, b, c sont ici trois vecteurs non coplanaires):
, 1) 1 = 2a — b — c, m = 2b — c — a, n = 2c — a — b;
2) 1 = a+ b + c, m = b + c* . n = —a + c;
3) 1 = c, m = a — b — c, n = a — b -f c.
42 VECTEURS ET COORDONNEES [CH. I
1) 1 a | — 3, | b | = l, ( C b ) = 4 5 ';
2) 1 a | = 6, 1 b | = 7, ( O ) = 120° ;
3) 1 a | = 4, 1 b | = 2, ( C b ) = 9 0 °;
4) 1 a | = 5, 1 b | = 1, a et b sont colinéaires de même sens ;
5) 1 a | = 2, 1 b | = 3, a et b sont colinéaires de sens opposés.
2.2. Calculer l’expression | a |* - 1/3 (a , b) + 5 | b |2 si :
1) 1 a | = 2, 1 b | = 1, ( * b ) = 30°;
2) I a | = 3, 1 b | = 2, (a, b) = 150°.
2.3. Trouver le produit scalaire des vecteurs a et b définis par
leurs coordonnées:
1) a (4, —1), b (—1, —7);
2) a (2 ,1 ), b (1, —3);
3) a ( l , 2), b ( - 4 , 2).
*16 VECTEURS ET COORDONNEES [CH. I
= (®2i e3) = 45°, (ej, e3) = 60°. Calculer les longueurs des côtés
et les angles du parallélogramme construit sur les vecteurs dont les
coordonnées dans cette base sont (1, —3, 0) et (—1, 2, 1).
2.22. Les longueurs des vecteurs de base elt e2, e3 sont respective
ment égales à 1, 1, 2; les angles de ces vecteurs sont: (e^ e2) = 90°;
(ei, e3) = (e2, e3) = 60°. Calculer l’aire du parallélogramme cons
truit sur les vecteurs a (—1, 0, 2) et b (2, —1, 1).
2.23. On porte à partir d’un point trois vecteurs a (0, —3, A)r
b (4, 1, —8) et c. Le vecteur c est de longueur 1 et partage l’angle
de a et b en deux angles égaux. Calculer les coordonnées du vec
teur c.
2.24 (s). Soient deux vecteurs a et b, avec a ^ 0. Exprimer en
fonction de a et b la projection orthogonale du vecteur b sur la
droite dont la direction est définie par le vecteur a.
2.25. Trouver la somme des projections orthogonales du vecteur a
sur les côtés d’un triangle équilatéral.
2.26. Soit le vecteur a (1, 1). Calculer la projection orthogonale
du vecteur b sur la droite dont la direction est définie par le vec
teur a, ainsi que la composante orthogonale du vecteur b par rapport
à cette droite, si le vecteur b possède les coordonnées :
1) (1, - 3 ) ; 2) (1, —1) ; 3) (3, 3); 4) ( - 2 , - 2 ) .
2.27. Soit le vecteur a (1, —1, 2). Calculer la projection ortho
gonale du vecteur b sur la droite dont la direction est définie par le
vecteur a, ainsi que la composante orthogonale du vecteur b par
rapport à cette droite, si le vecteur b a les coordonnées:
1) (2, —2, 4); 2) (1, 1, 2); 3) (4, 0, - 2 ) .
2.28. Soient deux vecteurs a (3, —1) et b (—1, 1). Trouver
le vecteur x qui vérifie le système des équations (x, a) = 13, (x, b) =
= -3 .
2.29. Soient trois vecteurs a (4, 1, 5), b (0, 5, 2) et c (—6, 2, 3).
Trouver le vecteur x qui vérifie le système des équations (x, a) =
= 18, (x, b) = 1, (x c) = 1.
2.30. Soient un vecteur a non nul et un scalaire p . Exprimer en
fonction de a et p un vecteur x qui vérifie l’équation (x, a) = p.
2.31. Donner une interprétation géométrique de toutes les solu
tions de l ’équation vectorielle (x, a) = p, ainsi que de sa solution
particulière qui est colinéaire au vecteur a:
1) dans le cas du plan;
2) dans le cas de l’espace.
2.32. Donner une interprétation géométrique:
1) de la solution du système des équations vectorielles (x, a) =
= p, (x, b) = q dans le plan (les vecteurs a et b ne sont pas coli
néaires) ;
§ 2) PRODUIT SCALAIRE DES VECTEURS 19
DROITES ET PLANS
Changement de repère
(problèmes 5.53 à 5.57)
5.53. Soient deux repères {Ô, ex, e2} et {<?', e', e*}. L’origine
du second repère a, dans le premier repère, les coordonnées a10, a2o»
et les vecteurs de base du second repère ont, dans le premier, les;
$ C] PLAN ET DROITE DANS L’ESPACE 35
Si l'équation (1) est écrite dans un repère cartésien quelconque, on obtient les
équations paramétriques du plan
x = x0 + a xu + a*v, y = y Q+ fau + P*v, z = z0 + ytu + yxv.
L'équation (4) présentée sous la forme analytique est équivalente à l'équation
x —x0 y — y o z — *o
ai Pi Yi = 0.
a* P2 Yt
L'équation du plan passant par trois points non alignés peut être écrite sous
la forme vectorielle
(r — r0, rx — r0, r2 — r0) = 0
ou bien sous la forme analytique
x —x0 y — y0 2 — 20
Xi —x0 y i — yo Zl — 2o
x 2—x0 y 2 — yo Z2 — Z0
où xit ylt ziy i = 0, 1, 2, sont les coordonnées cartésiennes des points donnés et
r* les rayons vecteurs correspondants.
Tout vecteur a (a. B, y) coplanaire a un plan défini dans le repère cartésien
par l ’équation (3) satisfait à réquation A a + Bp + Cy = 0. Si le repère est
orthonormé, le vecteur de coordonnées A y B y C par exemple est un vecteur nor
mal au plan (3).
Si le plan est défini par l'équation (3), les coordonnées de tous les points
situés d’un côté du plan (dans le « demi-espace positif ») vérifient l'inéquation
Ax + By + Cz + D > 0, et les coordonnées de tous les points situés de l'autre
côté (dans le t demi-espace négatif *) l'inéquation i4x + By + Cz + D < 0.
La distance d’un point de rayon vecteur rx à un plan défini par l’équation (2)
vaut | (r2 — r0, n) |/| n |. La distance d’un point M fo , yly zt) à un plan dé
fini dans un repère orthonormé par l ’équation (3) est
I A Xl + Bÿl + Czl + D \IV A* + B* + C*.
La droite peut être définie dans l ’espace:
1) par une équation paramétrique vectorielle
r = r0 + af (a ^ 0), (5)
où a est un vecteur directeur de la droite, r0 le rayon vecteur du point fixé de
la droite ;
2) par des équations vectorielles
[r — r0, a] = 0 (a ^ 0)
ou
[r, a] = b ( a ^ 0 , (a, b) = 0).
Si l ’équation (5) est écrite dans un repère cartésien, on obtient les équations
paramétriques de la droite
x = x0 + af, y = y Q+ P*, z = z0 + yt.
§ C] PLAN ET DROITE DANS L'ESPACE 37
3) X = 2, y = 3;
4) x = 0, z = 0;
5) y = - 1 , 2 = 2.
6.19. Ecrire l’équation de la droite passant par deux points
donnés :
1) A (1, 3, - 1 ) et B ( 4, 2, 1);
2) A (3, 2, 5) et B ( 4, 1, 5);
3) ^ ( - 1 , 1, 2) et B (5, 1, 2).
6.20. Etablir l’équation du plan passant par trois points donnés
(si ces points définissent un plan)
1) A (2, 1, 3), B ( - 1, 2, 5), C (3, 0, 1);
2) A (1, - 1 , 3), B ( 2, 3, 4), C ( - 1 , 1, 2);
3) A (3, 0, 0), 5 (0 , - 1 , 0 ) , C(0, 0, 4);
4) A (2, 1, 1), B (2, 0, - 1 ) , C (2, 4, 3);
5) A (1, 1, 2), B (2, 3, 3), C ( - 1 , - 3 , 0).
6.21. Soient deux plans. Etablir s’ils sont sécants, parallèles
ou confondus. Si les plans sont sécants, établir les équations cano
niques de la droite d’intersection. Les plans sont définis par les
équations :
1 )3 x + y — 2 + 1 = 0 et 5x + 3y + z + 2 = 0 ;
-2) x + y — 2z + 1 = 0 et 6z — 3x — 3y — 3 = 0;
3) —x + y + 2 = 1 et x — y — 2 = 2;
4) x = 3 + u + v, y = 2 — u + v, z = 3u — 2v et x =
= 5 — u, y — 3 + v, z = u + 2v.
6.22. Pour quelles valeurs de a les plans x + a y + z —1 = 0 et
ax + 9y + - |- z + 3 = 0 :
1) se coupent-ils; 2) sont-ils parallèles; 3) coïncident-ils?
6.23. Vérifier si la droite donnée appartient au plan x — 3y +
+ 2 + 1 = 0 , est parallèle à ce dernier ou le coupe en un seul point ;
dans le dernier cas déterminer les coordonnées du point d’inter
section. La droite est définie par les équations:
i\ f —L— ,J~ l z~ l ■
5 ~ 4 ~ 7 ’
2) x = 2 + 3f, y = 7 + t, z = l + t;
3) x — y + 2z = 0, x + y — 3z + 2 = 0 ;
4) 3x — 2y — 1 = 0, 7 y - 3 2 - 4 = 0 ;
5) x = 2, y = 5 + t, z = 4 + 3t.
x u z 2
6.24. Pour quelles valeurs de a la droite y — t :123
1) coupe-t-elle le plan 3arx + ay -f z — 4a = 0 ;
2) est-elle parallèle à ce plan ;
3) appartient-elle à ce plan ?
6.25. Soient deux droites. Etablir si elles sont concourantcst
parallèles, confondues ou non coplanaires. Si les droites se coupent
ou sont parallèles, établir l’équation du plan auquel elles appattien-
« 0) PLAN ET DROITE DANS L'ESPACE 4f
1) X = 5 + *, y = 3 — t , z = 13 + *, et j; = 6 + t, y =
= 1 + 2 f, z = 10 — t;
2) 2x + 7y — 13 = 0, 3y - 2z - 1 = 0, et x + y — 8 = 0*
2* + y — z = 0 ;
s+4 1/—3 2—4
- 7 “ 2 ' 3 •
6.72. Les points A (—1, —3, 1), B (5, 3, 8), C (—1, —3, 5),.
D (2, 1, —4) sont les sommets d’un tétraèdre. Calculer:
1) la longueur de la hauteur du tétraèdre, qui est abaissée du
sommet D sur la face A B C ;
2) la longueur de la hauteur de la base ABC , qui est abaissée*
du sommet C sur le côté A B \
3) la distance entre les arêtes non coplanaires AD et BC\
4) l’angle des arêtes non coplanaires AD et BC ;
5) l’angle entre l’arête AD et la face ABC.
6.73. La longueur de l’arête d’un cube ABCDAXBXCXDX vaut 1.
Déterminer :
1) la distance du sommet A au plan B1CD1;
2) la distance de la diagonale ACX du cube à la diagonale CDX
de la face latérale, les deux diagonales étant non coplanaires;
3) les rapports dans lesquels les points d’intersection de chacune-
des droites ACXet CDXavec leur perpendiculaire commune partagent
les segments ACX et CDX.
6.74. Trois faces ABCD, A B B XA X et ADDXA X d’un parallélé
pipède ABCDAXB XCXDX appartiennent respectivement aux plans
2x + Sy + 4z + 8 = 0, x + 3y — 6 = 0, z + 5 = 0 ; le sommet
Cx possède les coordonnées 6, —5, 1. Calculer:
1) la distance du sommet A x au plan BXBD\
2) la distance du sommet Z) à la droite A B ;
3) la distance entre les droites AC et A XCX;
4) la distance entre les droites A A X et BC ;
5) l’angle des droites AC et CXDX;
6) l’angle des plans BDDX et ACCX\
7) l’angle entre Ja droite CAX et le plan DCCX.
6.75. Trouver les conditions nécessaires et suffisantes pour que
celui des quatre dièdres formés par deux plans sécants non perpen
diculaires A xx + B }y + Cxz + Z), = 0 et A 2x + B2y + C2z +
+ Z?2 = 0, qui contient le point M n (x0, y Q, z0) soit:
1) aigu ; 2) obtus.
6.76 (s). Soient deux plans x + 2y + 2z = 0 et 7x + Ay + 4z =
= 0. Un troisième plan (jx) passe par l’origine des coordonnées O
de telle manière que l’extrémité de son vecteur normal issu de O
appartient au dièdre obtus formé par les plans donnés. Les cosinus
des dièdres aigus formés par (ji) et chacun des plans donnés sont 2/15-
et 4/45 respectivement. Former l’équation du plan (ji).
6.77. On considère le dièdre formé par les plans x — 2y + z +-
•48 DROITES ET PLANS [CH. II
6.88. Soient deux repères {O, ex, e2, e3} et { 0 \ e2, e2, e^}.
L’origine du second repère a, dans le premier, les coordonnées aU),
a20, a30, tandis que les vecteurs de base du second repère possèdent,
dans la base du premier repère, les coordonnées (au , a21, a31), (al2,
a22, £32)1 (^131 023* 033) respectivement. On donne dans le premier
repère un plan d’équation Ax + By + Cz -f D = 0. Ecrire son
équation dans le second repère.
6.89. Soient dans l’espace quatre points A (1, 2, 1), B (—1, 3, 0),
C (2, 5, 3), D (—2, 3, 4) et le plan 2x + y — 3z + 2 = 0. Ecrire
l’équation de ce plan dans le nouveau repère {A, A B , AC, AD).
6.90. Les plans x — 2y + 3z — 6 = 0, 2x + y — z = 0, 4x (-
+ z — 5 = 0 sont respectivement les plans 0 ' y ' z \ O'z’x , O’x y
du nouveau repère, et le point A (2, 0, 1) a dans ce repère les coor
données 1, 1, 1.
1) Exprimer les coordonnées x, y, z d’un point dans le repère
initial à l’aide de ses coordonnées x', y \ z dans le nouveau repère.
2) Etablir, dans le nouveau repère, les équations canoniques de
la droite qui, dans le repère initial, est définie par les équations
x — 1 __ y + 1 _ s — 2
1 — —4 ~~ —t •
6.91. Soit 3x + 5y + j / 2 z - f l ^ 2 = = 0 l’équation d’un plan
dans un repère orthonormé {O, elT e2, e3}. On sait que l’origine
du nouveau repère orthonormé se trouve au point O’ (1, 1, —1),
le vecteur de base e3 est opposé au vecteur e3, et les vecteurs de base
et e2 s’obtiennent respectivement des vecteurs e! et e2 par une
rotation de 45° effectuée dans le plan de ex et e2 et dirigée dans le
sens de la plus courte rotation appliquant et sur e2.
1) Calculer les coordonnées d’un point donné dans le repère
initial si sont connues ses coordonnées x', y \ z9 dans le nouveau
repère.
2) Ecrire l’équation du plan donné dans le nouveau repère.
6.9*. Trois plans définis dans un repère orthonormé par
les équations x + 2 y — 2 z + 3 = 0, 2 x + y + 2z = 0, 2x — 2y —
— z -j- 3 = 0 (vérifier qu’ils sont perpendiculaires deux à deux)
sont respectivement les plans Ofyfz9. O'z'x', 0 9xry9 du nouveau repère
4-340
50 DROITES ET PLANS [CH. II
CONIQUES
où a > 0, b > 0 ; le demi-axe focal vaut a, le demi-axe non focal, b. Les points
± a , 0) sont appelés sommets de Vhyperbole. Les points Fx (c, 0) et Fa (—cf 0), où
c= a2 + sont les foyers de Vhyperbole. Les droites y = ± — x sont les
a
asymptotes de l'hyperbole. L'hyperbole —1 est l'hyperbole conju-
a* 0“
guée de l ’hyperbole î ___iC = 1, elle admet les mêmes asymptotes.
a2 b2
La parabole (fig. 3) a Yéquation canonique
y2 — 2px, (5)
où p > 0. Le nombre p est appelé paramètre de la parabole. Le sommet de la
parabole est à l'origine des coordonnées, son foyer est au point F (pl2, 0).
L'excentricité de l ’ellipse ou de l’hyperbole vaut e = c!a\ pour l ’ellipse
0 < e < 1, pour l ’hyperbole e > 1. L'excentricité de la parabole vaut 1.
Les droites x = ± a /e sont appelées directrices de l rellipse (3) et de l ’hy
perbole (4) (voir fig. 1 et 2). On appelle directrice de la parabole (5) la droite
x = —p/2 (voir fig. 3). Les cordes passant par le foyer d’une conique sont appe
lées cordes locales.
ch. un CONIQUES 53
= 1 pour l ’ellipse i l
à2 <z3 = i;
x2 u2
Ellipse - s r + ir = 1 ’ a> b> °
x2 . y2
« Ellipse imaginaire » (ensemble vide)
X2 II2
« Couple de droites concourantes imaginaires » 1 — lJ L = o
(point) a2 ^ b2
y2
Hyperbole a2 b2
De toutes les valeurs possibles de <p le choix est libre. Si A = C, on peut poser
<p = ti/4. Ensuite, il faut calculer sin (p, cos <p, les substituer dans les formu
les (7) et réaliser dans l'équation (1) le changement de coordonnées.
3. Si l'équation (1) ne contient pas le produit des variables, il faut tâcher,
si possible, de se débarrasser des termes linéaires. On y parvient par transport
de l'origine des coordonnées. Plus précisément, si l'équation contient une va
riable et son carré, on complète ce couple jusqu'au carré parfait et on trans
porte l'origine des coordonnées le long de l ’axe de telle sorte que le terme li
néaire soit absent de l'équation transformée.
Exempl e:
F
La substitution de / à ÿ+
2E donne Ax2+ 2 E y ' = 0.
Après avoir suivi les indications des points 1 à 4 on aboutit à une équation
oui peut différer de la forme canonique par un facteur numérique, par l'ordre
des coordonnées et la place des termes dans l'équation ou bien par le signe du
coefficient du terme linéaire. Il est commode de dire à propos de cette équation
qu'elle est « quasi canonique ». Pour la réduire définitivement à la forme cano-
$ 7] PROPRIÉTÉS GÉOMÉTRIQUES ET ÉQUATIONS CANONIQUES 55
2E
S i — > 0 , il faut de plus procéder au changement x = — Après quoi on
A
obtient l'équation canonique de la parabole
(#-> »)•
Pour obtenir le repère canonique, on écrit chacune des formules de passage
en les substituant Tune dans l'autre, ce qui donne l'expression définitive des
coordonnées initiales au moyen des coordonnées canoniques
x = a i X + a t Y + a 0, y = Pi JC + PaK + P0.
Les coefficients de ces formules fournissent les coordonnées de l'origine O* (a0, po)
et des vecteurs de base Ex (ai, Pi), E2 (a2, P2) du repère canonique par rapport
au repère initial.
Si le système d'équations (6) est compatible (en particulier, si 6 = AC —
— B2 # 0, cas d'une courbe à centre), il est commode de procéder à la simpli
fication par transport de l'origine des coordonnées au centre de la courbe:
x = x« + x \ y = y 0 + y', auquel cas les coefficients de x9 et y' s’annulent
•dans l'équation transformée (voir problèmes 9.18, 9.20). Après quoi on envisage
la seconde étape.
La classe ae la courbe d'ordre 2 peut être définie, en première approxima
tion, d'après le signe de 6 avant la simplification de son équation.
Une courbe est de type elliptique (ellipse, ellipse imaginaire, couple de
•droites concourantes imaginaires) si 6 > 0; elle est de type nyperbolique (hy
perbole, couple de droites concourantes) si 5 < 0, et de type parabolique (autres
-classes du tableau) pour 6 = 0.
6> x + t - > 1 ’
7) l < - j - + ÿ2< 9 ; 8) 4s2—4x + 9ÿ2+ 6y + l < 0 ;
9) V (x — l)2+ ÿ2+ |^ ( x 4 -l)2+ ÿ 2< 6;
10) V x 2+ (y — l)2+ K * 2+ (!/ + l)2> 4 ;
1
3) r 2 —cos q> ’ ^ r 9O
Lsin2
7.20. On fixe dans le plan deux points A et B . Trouver l'en
semble des points M tels que l ’angle au sommet A du triangle A B M
soit deux fois plus grand que l ’angle au sommet M .
Ellipse
(problèmes 7.21 à 7.34)
7.21. Le cercle peut être assimilé à une ellipse dont les demi-
axes ont même longueur. A quoi est égale l’excentricité de cette
ellipse? Possède-t-elle des foyers et des directrices?
7.22. Calculer les longueurs des demi-axes, l ’excentricité, les
coordonnées des foyers, établir les équations des directrices de l’el
lipse :
1) ^ + - ^ = 1. * > b > 0 ;
2> - ÿ + -!r = 1’ b > a > 0 ;
3) 9s2 + 25y2 = 225; 4) 4x2 + y2 = 1.
7.23. Soit l ’ellipse 25x2 + 144y2 = 1. Déterminer si le point A
se trouve sur l’ellipse, à l’intérieur ou à l’extérieur de celle-ci:
1) A (1, 1/6); 2) A (1/13, 1/13); 3) A (1/6, -1/24).
7.24. Calculer la longueur de la corde focale de l ’ellipse
x2 V2
-g—1-"^“ = 1* perpendiculaire au grand axe.
7.25. Dans le repère donné, l ’ellipse possède une équation cano
nique. Etablir cette équation si :
1) la distance entre les sommets appartenant au grand axe vaut
16 et la distance entre les foyers est égale à 10;
2) la corde joignant deux sommets de l’ellipse est de longueur 5
3
et est inclinée par rapport à son grand axe de l ’angle Arcsin -y- ;
3) les foyers de l’ellipse se trouvent aux points (± 1 , 0) et le
point (V^3, 3/2) appartient à l’ellipse;
4) les foyers de l ’ellipse sont aux points (± 2 , 0) et les directrices
sont les droites x = ± 1 8 ;
5) la distance de la directrice au sommet le plus proche vaut 4
et celle à un sommet situé sur l’axe Oy est égale à 8 ;
6) le triangle de sommets situés aux foyers et à l ’extrémité du
petit axe est équilatéral et si le diamètre du cercle passant par le
centre et les deux sommets de l ’ellipse vaut 7 ;
7) le segment de l ’axe 0x, limité par le foyer F1 et le sommet
le moins proche A du grand axe, est partagé par le second foyer F 2
$ 7] PROPRIÉTÉS GÉOMÉTRIQUES ET ÉQUATIONS CANONIQUES 59
Hyperbole
(problèmes 7.35 à 7.50)
7.35. Calculer les demi-axes, l ’excentricité, les coordonnées
des foyers, établir les équations des directrices et des asymptotes de
l ’hyperbole:
1-
1’
2) —a2__ b2
21 — — 1 »
3) ^ - JT = i > 4 ) j / 2- x * = 1 ;
5) xy = 1 ; 6) xy = —2.
7.36. Soit l ’hyperbole 100x2 — 36y2 = 1. Déterminer si le
point A appartient à l’hyperbole, se trouve à l’intérieur de l’une
de ses branches ou entre les branches:
1) A (1/8, -1 /8 ); 2) A (1, 1);
3) A (1, 7); 4) A (-1 /2 , 0).
7.37. Calculer la longueur de la corde focale de l ’hyperbole
---- —1 si cette corde est perpendiculaire à l ’axe focal.
7.38. Dans le repère donné, l ’hyperbole a une équation canoni
que. Etablir cette équation si :
1) la distance entre les sommets vaut 10 et la distance entre
les foyers est 12;
2) la longueur de l ’axe focal vaut 1, et le point (1, 3) appartient
à l’hyperbole ;
3) les droites x = ± 1 ^5 /6 sont les directrices de l ’hyperbole,
et le point ( —9, 4) appartient à l’hyperbole;
4) la longueur du demi-axe non focal est 1, et le sommet de l ’hy
perbole partage la distance entre les foyers dans le rapport 4 : 1 ;
$ 7] PROPRIÉTÉS GÉOMÉTRIQUES ET ÉQUATIONS CANONIQUES G1
Parabole
(problèmes 7.51 à 7.64)
7.51. Calculer les coordonnées du foyer et écrire l’équation de
la directrice de la parabole :
1) y2 = 2px, p > 0; 2) y 2 = —px, p > 0;
3) y2 = 6x; 4) y2 = -3 x ; 5) y = x2; 6) y = - j/3 x * .
7.52. Comment sont disposés par rapport à la parabole y2 =
= lOx les points suivants: 1) (5, —7); 2) (8, 9); 3) (5/2, —5)?
7.53. Etant donné la parabole y2 = x/5, calculer la longueur
de la corde focale perpendiculaire à l ’axe de la parabole.
7.54. Dans le repère proposé, la parabole possède une équation
canonique. Ecrire cette équation si :
1) le point (5, —5) appartient à la parabole;
2) la distance du foyer à la directrice vaut 12;
3) la longueur de la corde passant par le foyer sous un angle de
45° par rapport à l’axe de la parabole vaut 18.
7.55. Etant donné la parabole y2 = 3x et ses cordes parallèles
à la droite 2x -f 3y — 5 = 0, trouver l’équation de l ’ensemble des
points qui sont milieux de ces cordes.
7.56. On considère les cordes de la parabole, qui sont parallèles
à une droite donnée. Démontrer que leurs milieux appartiennent
à une droite parallèle à l’axe de la parabole.
7.57. Mener par le point A (5, 3) une corde de la parabole y2 =
= 6x, qui se partage en A en deux parties égales.
7.58. Trouver sur la parabole y2 = lOx un point M tel que:
§ 8] TANGENTES AUX CONIQUES 63
3) -ÿ- — j j = l au point ( —3 ,0 );
4) — £ = 1 au point (6,1);
5) xy = 8 au point (4, 2) ;
6) y2 = 6x au point (3/2, 3).
8.2. Ecrire l ’équation de la tangente à la courbe :
JX < * -« )* , (ÿ -P )* 4.
l > a* ~r 6* ’
ox (»-a)» (ÿ-P)8 „.
a* 6S 1’
3) xy = k; 4) (y — P)2 = 2p (x — a) au point (x0, y0) apparte
nant à la courbe proposée.
8.3. Quelle est la condition nécessaire et suffisante pour que la
•droite Ax + By + C = 0 soit tangente à :
1) l ’ellipse + -ÿ- = 1 ; 2) l’hyperbole = i ;
3) l ’hyperbole —-Jy-=—1; 4) l ’hyperbole xy = k;
5) la parabole y2 = 2px?
8.4. Quelle est la condition nécessaire et suffisante pour que le
vecteur 1 (a, P) soit le vecteur directeur d’une tangente à l’hyperbole
4) 3 — y2-= 1 et y2= 2x 1
y2 =
5 ) y2 - 2 x i 2 - i.;
-
■U2
x* x2
6) = 1 et 25 —•
II
6) x~ — 2xy + y2 — lOx — 6y + 25 = 0 ;
7) 5x2 + 12xy + 10y2 — 6x + 4y — 1 = 0 ;
8) 8x2 + 34xy + 8y2 + 18x - 18y - 17 = 0;
9) 25x2 - 30xy + 9y2 + 68x + 19 = 0;
10) 8x2 + 6xy + 6x + 3y + 1 = 0 ;
11) 4x2 + 12xy + 9y2 — 8x — 12y — 5 = 0 ;
12) 225X2 — 240xy + 64y2 + 30x — 16y + 1 = 0 ;
13) x2 + 2xy + y2 — 5x — 5y + 4 = 0 ;
14) 5x2 — 6xy + 5y2 + 2x — 14y + 1 3 = 0 ;
15) x2 — 2xy + y2 + 8x - 8 y + 22 = 0;
16) 15x2 + 24xy + 15y2 + 30x — 24y + 20 = 0;
17) 15x2 — 16xy — 15y2 — 62x — 44y — 13 = 0.
9.5. Démontrer que la conique définie par l’équation 34x2 +
+ 24xy + 41 y2 — 44x + 58y + 1 = 0 est une ellipse. Calculer les
longueurs des demi-axes et l’excentricité de cette ellipse, déterminer
les coordonnées de son centre et des foyers, écrire les équations des
axes et des directrices.
9.6. Démontrer que la conique définie par l’équation 7x2 +
+ 48xy — 7y2 — 62x — 34y + 98 = 0 est une hyperbole. Calculer
les longueurs des demi-axes et l’excentricité de cette hyperbole,
déterminer les coordonnées du centre et des foyers, écrire les équa
tions des axes, des directrices et des asymptotes.
9.7. Démontrer que la conique définie par l’équation x2 +
+ 2xy + y2 + x = 0 est une parabole. Calculer le paramètre de cette
parabole, les coordonnées du sommet et du foyer, écrire les équations
de l’axe et de la directrice.
9.8. L ’expression
M (x, y) = Axr + 2Bxy + Cy2 + 2Dx + 2Ey + F
(polynôme du second degré) dépend des coordonnées x, y du point
dans un repère orthonormé du plan. En passant à un autre repère
orthonormé, on obtient
M (x, y) = M' (x', y') =
= 4 ' x ' 2 + 2B'x'y' + C 'y'2 + 2D'x' + 2E'y' + F'.
Démontrer qu’on a les égalités :
A' B' A B
1M '+ C ' = 4 + C; 2)
B' C' B C
Af B' D' A B D
3) B' C' E' B C E
D' E ' F' D E F
A B D
A B
(c’est-à-dire que les grandeurs S = A + C, 6 = A= B C E
B C
D E F
70 CONIQUES [CH. III
(i: î M '
72 CONIQUES [CH. I II
QUADRIQUES
£ + £ - ■ < * >
hyperboloïde à deux nappes
** i y* (fi«- 6);
a* "r 6*
cône
il4 .il (fig- 7) ;
a* T- 6*
74 QUADRIQUES [CH. IV
Fig. 7
paraboloïde elliptique
fl* 6* (fis- 8) ;
paraboloïde hyperbolique
il— 2z (fig. 9) ; (2)
a* 6*
cylindre elliptique
= 1 (fig. 1 0 );
§ 10] THÉORIE ÉLÉMENTAIRE DES QUADRIQUES 75
•cylindre parabolique
- î i = 2z (fig. 12).
H i + f )-»(«+ *). ,
W t -* )-■ (•-+ ) ’
•où a, P sont des paramètres arbitraires tels que a 2 + P2 ^ 0. Deux familles de
.génératrices rectilignes du paraboloïde hyperbolique (2) sont décrites par les
76 QUADR1QUES [CH. IV
systèmes d'équations
Tableau 2
« E l l i p s o ï d e im a g in a ir e » 6* . tl* , C* . 4 4 3 3
■ sr + T S T T -^ r -— 1
( e n s e m b le v id e )
E llip s o ïd e ü - + J ü + J L = i 4 2 3 3
a * 1 p> r v*
H y p e r b o lo ïd e à u n e n a p p e _ J ? ___ ! 4 0 3 1
a* ' p* y*
H y p e r b o lo ïd e à d e u x n a p i l + J ü _ J L _____ ! 4 2 3 1
a* ^ ps y t —
pes
« C ôn e im a g in a ir e » -É L + _ a i + I L = , o 3 3 3 3
( p o in t ) a » ~ P* ~ y
C ône i L + ü l _ i L _ o 3 1 3 1
a * ^ p* y*
P a r a b o lo ïd e e l l i p t i q u e i L j - J Î Î ___ 2C 4 2 2 2
a * ^ P* —
P a r a b o lo id e h y p e r b o liq u e Ü _ _ ü l= 2 r 4 0 2 0
a* P* ^
« C y lin d r e e l l i p t i a u e im a J L + J Ü _____ i 3 3 2 2
g i n a i r e » (e n se m b le v id e ) a * ^ P*
ls _ * - * 3 1 2 0
C y lin d r e h y p e r b o liq u e
a* p* — 1
ü _ J î i = o 2 0 2 0
C o u p le de p la n s s é c a n t s
a* p*
2 2 2 2
« C o u p le d e p la n s s é c a n t s i aU2 1- p2
t-o
im a g in a ir e s » (d r o ite )
C o u p le d e p la n s c o n fo n Ê2 = 0 1 1 1 4
d u s (p la n )
§ 11] THÉORIE GÉNÉRALE DES QUADRIQUES 85
OÙ
X aii «12 «13
1= y , A= «12 «22 «23
Z «13 «23 «33
Etant donné la matrice S de passage d’un repère à l ’autre, les formules de chan
gement de coordonnées se présentent sous la forme matricielle suivante
l= S % '. (3)
La substitution de (3) dans (2) donne l ’équation
' l ' A ' l ' + 2 a ' £ ' + * = 0.
La constante k ne varie pas par changement de coordonnées (3)
a' = a<S, A' = fSAS.
On recherche une base orthonormée par rapport à laquelle la matrice A' est
diagonale. A cette fin: 1) on calcule les racines de l’équation caractéristique
| A — kE | = 0 ; 2) on écrit pour chaque racine le système d’équations
(A — £) J = o et on détermine la famille fondamentale de solutions ; 3) en
appliquant le processus d’orthogonalisation et en normant les vecteurs obtenus,
on trouve la base recherchée ; 4) on compose la matrice de passage S à partir des
colonnes principales. Dans la nouvelle base, la matrice A ' est diagonale, sa^ dia
gonale principale porte, compte tenu de leur multiplicité, les racines de l ’équa
tion caractéristique prises dans le même ordre que les colonnes correspondantes
de la matrice S. Les coefficients des termes linéaires de l ’équation transformée
sont calculés suivant la formule a' = a<?.
Si la matrice A est diagonale: A = diag (A*, X2, A,3), l ’équation de la sur
face ne contient pas de produits des variables et est de la forme
A^x2 + k2y2 + k2z2 -j- 2a.yx + 2a2y + 2a3z + k = 0. (4)
La simplification complète de l ’équation (1) s’effectue en plusieurs étapes.
I. Si réquation contient les produits des variables, on change de base au
moyen de la matrice orthogonale de passage S comme il a été décrit plus haut.
L’équation transformée prend la forme (4).
II. Si l ’équation ne contient plus de produits des variables mais possède
les carrés et les termes linéaires des mêmes variables, on complète ces couples do
termes jusqu’aux « carrés parfaits » et on transporte l ’origine des coordonnées de
sorte qu’il n’y ait plus de termes linéaires correspondants dans l ’équation
transformée.
III. Si l ’éouation contient le carré d’une variable et les termes linéaires en
d’autres variables et s’il n’y a aucun autre terme renfermant x, y, z, on procède
au changement de coordonnées dans le plan qui correspond aux termes linéaires.
Ce changement se fait de telle sorte que l ’équation transformée ne contienne
plus de terme constant et que les termes linéaires se réduisent à un seul. Illus
trons sur un exemple comment on effectue ce changement de coordonnées. Soit
l ’équation à simplifier
Ax2 + ay + bz + c = 0. (5)
On pose
y' = H- + *>z + c), z' = p, (—by + az), (6)
où fi = (a2 + 6 2)-1/2. Les formules (6 ) définissent le changement de repère
orthonormé. L’équation (5) se transforme donc en
kx2 + jx y ' = 0. (7)
86 QUADRIQUES [CH. IV
18) 8y2 4" 4xy -)- 2xz -f- 4yz 4~ 8x -f- 6y -|- 4z -j- k = 0 ; Ac = 6.
19) 4x2 -j- y8 4- 9z® + 4xy — 12xz — 6yz 4- llx + 3y — z +
-)- k = 0; k = 1.
20) 4x2 + y2 + 9z2 + 4xy — 12xz — 6yz + 6x — 2y — 6z +
-|- A: = 0 ; ft = 11.
21) 4x2 H- y2 + 9z2 + 4xy — 12xz — 6yz + 4x + 2y — 6z +
+ k = 0; a) k = 1; b) A: = - 1 3 .
22) —x2 + 10y2 — z2 — 8xy H- 6xz + 8yz + 24x — 8y — 16z -f-
+ k = 0 ; a) k = —26 ; b) A: = —14 ; c) A: = —2.
23) 2x2 — y2 + 2z2 + 4xy — 2xz + 4yz + lOx — 2y— 2z +
+ A; = 0 ; a) k = 2 ; b) k = 5 ; c) k = 8.
24) x2 -j- y* — 2z2 -(- lOxy -)- 4xz — 4yz -|- 13x Hÿ "}■ 2z -|-
4- A: = 0; Ac = 6.
25) x2 + y2 — 2z2 4- lOxy 4- 4xz — 4yz + 24x — 12z + k = 0 ;
a) A- - - 1 2 ; b) k = —6.
CHAPITRE V
Objet Définition
7-340
98 TRANSFORMATIONS DU PLAN. GROUPES |CH. V
12.45. Les points A , B, C ont dans le repère {O, e,, e2} les
coordonnées (1, 0), (0, 1), (1, 1) respectivement et dans le repère
{O*, e*, e*} les coordonnées respectives (1, —1), ( —3, 2), (0, 1).
Ecrire les formules définissant, dans le repère {O, elt e2}, la trans
formation affine / telle que / (O) = O*, / (ex) = e*, / (e.) = e*.
12.46. Soient les formules de passage du repère {O, e,, c,}
au repère {O' , e', e2}. Ecrire les formules définissant, dans le repère
{O, ej, e2}, la transformation affine / telle que f (O) — O', f (e,) =
= e',. 1 (e2) = e;:
1) x = x' + y' — 2, y = 2x — y' + 3 ;
2) x = 3x' — 4y ’ — 5, y = 4x' + 3y' + 1.
12.47. Ecrire les formules de la transformation affine qui associe :
1) les droites 3x + 2y — 3 = 0, 2x + 3y + 1 = 0 aux droites
respectives x — y 1 = 0 , x + y — 1 = 0 e tle point B (—1, —2)
au point A (1, 1) ;
2) l ’axe des ordonnées et l’axe des abscisses aux droites res
pectives A xx + B xy + Cx = 0 et A~t + B«y -f- C2 = 0 et le point
B (1, 1) au point A (x0, y0) (le point A n’appartient pas aux droites
proposées).
12.48. Soit la transformation affine x* = 2x + 3y, y* = 3x +
-f 5y. Ecrire l’équation de l ’image de la courbe:
1) x2 + y2 = 1 ; 2) x2 — y2 = 1 ; 3) xy = 2 ; 4) y2 = 6x;
5) (3x + 4y - 1) (4x - 3y + 1) = 0;
6) (x + y — 1) (x + y + 1) = 2.
12.49. Soit la transformation affine x* = —x + 5y -f 1, y* =
= 3x — 2y — 1. Ecrire l’équation de l’antécédent de la courbe:
l ) x 2+ y2= 4; 2 )-f-y » = l; 3) (y + l)2= 8 ( x - l ) ;
4) (x -f y — 1) (x — y — 1) = 1 ;
5) (x -f 2y — 2) (x -f 2y + 2) = 0.
12.50. 1) Ecrire les formules de la transformation affine de pre-
x2
mière espèce qui applique l’ellipse + y2 = 1 sur elle-même de
telle sorte qu’au point A (1,1^3/2) corresponde le point B ( —2, 0).
2) Résoudre le même problème pour la transformation affine de
deuxième espèce.
12.51. Ecrire les formules de la transformation affine qui appli
que l’hyperbole ^ — Ç = 1 sur elle-même de telle sorte qu’au
point A (5, 4) corresponde le point B (]/ 5, 0).
12.52. Trouver la transformation affine qui applique la parabole
x2 = 4y sur elle-même et :
1) qui envoie le point A x (2, 1) au point Bx (4, 4), et le point
A 2 (1, 1/4) en B s (3, 9/4);
2) dont le déterminant vaut 1.
102 TRANSFORMATIONS DU PLAN. GROUPES [CH. V
9) x* = y = -(x + y )’ y * = y = - (* -« /);
10) x* = 3x — 6, y* = 3y + 2 ;
11) x* = ^ x — ^Q-y — 1, ÿ* = - y - i + j ! / + 1;
12) x* = - x - \ - ^ Q - y — i, y* = J ^ - x — j y + Y Z ' ,
13) x* = —x —2, y* = — y + 2;
14) x* = -^-(21x + 12y), i/* = -L(12x + 14ÿ);
15) x* = i . ( 2 x + y - 2 ) , ÿ* = i ( x + 2y + 2);
16) du problème 12.40, 3);
17) du problème 12.41, 2).
Dans 16) et 17) le repère est également orthonormé.
12.56. On tourne le plan d’un angle égal à 3n/4 autour du point
A (0, 1). Trouver:
1) les images des points O (0, 0) et B (1, 0) ;
2) les antécédents des points O et B;
3) les images des droites x = 0 et y = x;
4) les antécédents des droites y = 0 et y = —x.
$ 12] TRANSFORMATIONS LINÉAIRES ET AFFINES 103
4) x* = 3x + 5y — 4, y* = 5x +■9y + 6 ;
5) x* = 3x — 24, y* = —x + 4y + 12 ;
6) x* = 2x — y, y* = —4x + 2y ;
7) x* = 4x — 3y, y* = 3x + 4y;
8) x* = 4x + 3y, y* = 3x — 4y ;
9) x* = r (x cos <p — y sin tp), y* = r (x sin <p + y cos (p)
(r > 0) ;
10) x* = r (x cos <p + y sin <p), y* = r (x sin (p — y cos <p)
(r > 0).
12.66. Ecrire les formules définissant la puissance n-ième de la
transformation donnée (n est un entier naturel) :
1) x* = x cos a — y sin a, y* = x sin a + y cos a ;
0. * 1 . V"S * 1/3.1
2) x * = y l + - y ! / ' ï = “ ■T I + I ï :
3) x* = x + y, y* = y; 4) x* = 3x, y* = x + 2y.
12.67. Ecrire les formules du produit fg des transformations
affines données f et g;
1) / est l’homothétie de centre M (0, 1) et de rapport 5; g la
symétrie par rapport à la droite x — 2y — 3 = 0 ;
2) / est la contraction de rapport 3 vers la droite y = x; g la
contraction de rapport 1/3 vers la droite x + y + 1 = 0 ;
3) / est l ’homothétie de centre M (2, —1) et de rapport 4;
g la rotation d’angle ji/6 autour du point A (1, 1);
4) / est la contraction de rapport 1/2 vers la droite 2x + 3y = 0,
g l ’homothétie de centre M (1, 0) et de rapport —3/2.
12.68. Ecrire les formules et caractériser du point de vue géo
métrique les transformations réciproques des transformations du
problème 12.55, 1) à 15).
12.69. Ecrire les formules des produits fg et g/, où / et g sont
les transformations orthogonales suivantes :
1) / est la rotation d’angle jt/2 autour du point A (1, 1). g la
translation de vecteur a ( —1, —1);
2) / est la symétrie par rapport à la droite x — 2y — 5 = 0,
g la translation de vecteur a (2, 1);
3) / est la rotation d’angle 2ji/3 autour de l ’origine des coordon
nées, g la symétrie par rapport à la droite y = 2 ;
§ 12] TRANSFORMATIONS LINÉAIRES ET AFFINES 105*
*>(î *G
g a î h î :
2 3 4\ /I 2 3 2 3 4\
<> g s : : m ; 3 2 l j Ct U 3 2 3 4 lj'
13.32. Trouver:
1) tous les sous-groupes de
2) tous les sous-groupes distingués de
13.33. Démontrer que toutes les permutations paires constituent
un sous-groupe distingué ,An de <^n et déterminer son ordre.
13.34. Démontrer que le groupe des permutations paires de
degré 4 ne possède pas de sous-groupes d’ordre 6 (et par suite, le
théorème réciproque du théorème de Lagrange n’est pas vrai, voir
problème 13.21, 1)).
13.35. Soit j un sous-groupe non cyclique d’ordre 4 dans &4-
Démontrer que :
1) y cz J 2) y ’ est distingué dans 4;
3) cï j f ~ <^3.
CHAPITRE VI
MATRICES
§ 14. Déterminants
Dans ce paragraphe on utilise les notions fondamentales suivantes : matrice,
ligne et colonne aune matrice, permutation, permutation paire (Impaire), déter
minant d'une matrice carrée, mineur d'une matrice, transformations élémentaires
d'une matrice, transposition d'une matrice. Dans les problèmes 14.33 à 14.44 on
utilise d’autres opérations sur les matrices, ainsi que des matrices d'autres formes
spéciales ; les notations et les définitions qui y correspondent sont données dans
Vintroduction au § 15.
La matrice carrée d'ordre n
«11 a 12 «171
A= a2l «22 ••• «2 n
«ni « n2 . . . «nn
est également notée ||a ^ || ou (a^). Les éléments ailt . . ., aln forment la f-ème
ligne, les éléments aXj, . . ., anj, la /-ième colonne de la matrice A . On dit que
l'élément atj se trouve à l'intersection de la J-ème ligne et de la /-ième colonne.
On admet partout dans ce chapitre, à l'exception de quelques cas spécialement
mentionnés, que les éléments de la matrice sont des nombres réels ou complexes.
Le déterminant de la matrice A est noté detA, \A \ ou
«il «12 ... aln
«711 «n 2 • • • «nn
Les formules fondamentales pour le calcul des déterminants sont:
a b
= ad—bc ; (D
c d
bi
\b 2
*2 +
1*3 *3
*3 b3
+ ci — f l i r t s — «1&3C2 “I“ « 3 ^ 1 C2 — «1&1C3 “)"«2& 3C1 — « 3^ 2C1* (2 )
«3 *3
Les formules de récurrence sont:
n
det A = 2 ( - l ) i + * a ikM lh (3)
8*
H6 MATRICES [CH. VI
auh aiü8
L
V» “ • “ Va
Désignons par A/)! le mineur associé au mineur c’est-à-dire
le déterminant de la matrice d'ordre n — s obtenue de A en éliminant les s li
gnes et s colonnes données. Dans ce cas, pour tout entier naturel s (s ^ n) et tout
ensemble des numéros ilt . . ., i8 tels que < . . . < /a, on a
deM = S Ujlf'' ( 6)
J* >1
(ii -IV
où la somme est calculée sur tous les s-uples des indices ;lt . . ., j 8 tels que
1 < ;’i < ; 2 < . . . < / , < n. La formule (6 ) peut être appelée formule de dé
veloppement du déterminant suivant les s lignes données. La formule analogue de
développement du déterminant suivant les s colonnes données s'écrit :
Cette fois-ci, les indices ;*x, . . ., j 8 sont fixés, et la somme est calculée sur tous
les s-uples des indices ilv . . ., i8 tels que 1 < ii < . . . < i8 < n.
§ 141 DÉTERMINANTS 117
Permutations
(problèmes 14.1 à 113)
14.1. 1) Démontrer qu’en changeant successivement de places
deux nombres voisins, on peut permuter deux éléments quelconques
et conserver la position des autres.
2) Démontrer que la parité d’une permutation change si l’on per
mute deux quelconques de ses éléments.
14.2. 1) Démontrer qu’en permutant k fois deux nombres voi
sins, on peut disposer les éléments d’une permutation dans l’ordre
des valeurs croissantes. Est-ce que k est défini de façon unique?
2) Soit 5 le nombre des dérangements de l’ordre dans une per
mutation. Démontrer que les nombres k et s ont la même parité.
3) Indiquer exactement s permutations successives qu’il faut
faire dans les couples d’éléments voisins pour que tous les éléments
d’une permutation soient ordonnés de façon croissante.
14.3. En permutant successivement deux nombres voisins, dis
poser les éléments des permutations suivantes dans l’ordre des va
leurs croissantes. Déterminer le nombre des dérangements et la parité
des permutations.
1) (5 4 3 2 1); 2) (6 4 5 2 3 1);
3) (1 2 4 5 6 3) ; 4)(1 2 4 3 5 9 8 7 6);
5) (9 8 7 6 5 4 3 2 1) ; 6) (4 3 2 1 5 9 8 7 6) ;
7) (n, n — 1, . . ., 1);
8) (1, 3, 5, . . ., 2n — 1, 2, 4, 6, . . ., 2/z);
9) (2, 4, 6, . . ., 2it, 1, 3, 5, . . ., 2rc + 1).
1— S*?
i —« A 1— anbn
9) 1 + x , 1+X?
1+ x 2 1+X?
1 + x n • • • 1 + Xn
10) (s) 2a 1 0 ... 0 0
1 2a 1 . . . 0 0
0 1 2a . . . 0 0 »
0 0 0 . . . 1 2a
11) 2cos<p 1 0 ... 0 0
1 2cos<p 1 ... 0 0
0 1 2coscp 0 0
0 0 0 ••• 1 2 COS (p
120 MATRICES [CH. VI
•contient m lignes et n colonnes. On dit qu'elle est de type (m, n). Examinons les
matrices A , B, C d'éléments a*y, fyy, ctj respectivement.
La matrice B est appelée produit de la matrice A par le nombre a si tous les
•éléments de ces matrices vérifient les égalités b^ = aatj (les matrices A , B sont
de même type). Notation: B = aA .
Soient A , B, C des matrices de même type. La matrice C s'appelle somme
des matrices A et B et se note C — A + B siTpour toutes les valeurs des indi
ces i, y, sont vérifiées les égalités c*y = a*# + 6 /y.
Posons que le nombre des colonnes de la matrice A est égal à celui des li
gnes de la matrice B. La matrice C est appelée produit de A par B (à droite),
C = A B , si, pour toutes les valeurs des indices i, /, sont vérifiées les égalités
n
eu — 2 aikbkj• Si A est de type (m, n) et B de type (n, p), la matrice C = AB
A=-l
est de type (m, p). Les matrices A et B commutent si AB = BA.
Les deux types suivants de transformations sont appelés transformations
élémentaires principales de la matrice. Ce sont : 1 ) la multiplication d'une ligne
de la matrice par un nombre différent de zéro ; 2 ) l'addition d'une ligne de la
matrice à une autre ligne. Parmi les transformations élémentaires on peut encore
citer: 3) la permutation de deux lignes de la matrice; 4) l'addition d'une ligne
multipliée par un nombre à une autre ligne de la matrice. On définit de façon
analogue les transformations élémentaires des colonnes de la matrice.
La matrice B est dite transposée de la matrice A et est notée B = lA si
les lignes de B sont les colonnes respectives de i4, c'est-à-dire si 6 *y = a^ pour
tous les i, y. L'opération permettant de passer de A à lA est appelée transposition
4e la matrice A . Si A est de type (m, n), la matrice lA est de type («, m).
La matrice B est dite conjuguée de la matrice complexe A et est notée B =
= A si, pour tous les i, ;, on a l'égalité = a/y. La matrice B est dite adjointe
de la matrice A et est notée B = A* si B = tA , c'est-à-dire si 6 *y = <zy; pour
tous les i, y.
La matrice A est dite nulle, A = O, si tous ses éléments sont nuis. La matri
ce A est l'unité matricielle d’indices i0, ; 0 et est notée A = EiqJ0 si tous ses élé
ments sont nuis, sauf aiQ]Q — 1 .
Les éléments au , aa«, . . ., ann forment la diagonale principale de la ma-
trice carrée A = || a*y || d'ordre n et sont appelés éléments diagonaux. La somme
des éléments diagonaux est appelée trace de la matrice A et est notée tr A . Donc,
n
tr A = 2 «/<•
i= l
Une matrice carrée est dite diagonale quand tous ses éléments non diago
naux sont nuis, c'est-à-dire que a*y = 0 pour i ^ y. La matrice diagonale d’or
dre n est notée diag (an , . . ., ann). Une matrice diagonale d'ordre n dont tous
les éléments diagonaux sont égaux à 1 s'appelle matrice unité et se note E ou
OPÉRATIONS SUR LES MATRICES 123
pour i = 1 , . . ., n ;
nilpotente: A h = 0 pour un entier naturel k (le plus petit de ces k est appe
lé indice de nilpotence de la matrice A ) ;
périodique: A h = E pour un entier naturel k (k est la période de la matri
ce A).
La matrice B est dite composée de blocs (ou de sous-matrices) si ses éléments
sont des matrices B y à mt lignes et nj colonnes. De plus, toutes les matrices
B y appartenant à une même ligne de Ô ont même hauteur, et toutes les matri
ces B y appartenant à une même colonne de B ont même largeur. On opère sur
les matrices composées de blocs d'après les mêmes règles que sur les matrices
numériques ordinaires. Si une matrice numérique A est partagée par des droites
horizontales et verticales en blocs B y numérotés de façon naturelle, on dit que
la matrice B = || B y || est obtenue de A par décomposition en blocs. Récipro
quement, étant donné une matrice B = || B y ||, on peut former avec les élé
ments des blocs B y une matrice numérique A à 2 lignes et 2 nj colonnes.
i T
On dit alors que la matrice A est obtenue par réunion des blocs de la matrice B
et on écrit A = BP. Lorsqu'aucune confusion n’est à craindre, on omet le si-
124 MATRICES [CH. VI
gne^ et on désigne la matrice numérique par la même lettre que la matrice dé
composée en blocs.
Soient A = || || et B des matrices numériques, et soit C = || Cij || une
matrice décomposée en blocs, définie par les égalités Ctj = a^B pour tous le 9
I, /. La matrice numérique obtenue par réunion des blocs de la matrice C s'ap
pelle p r o d u it k ro n ec k e rien à droite (ou p r o d u i t d ir e c t à d r o ite ) des matrices A et
B et se note A ® B .
1) | | 2 - 3 OU ; 2)
1 1
1 1
3) II3 5 4) AiAi2 ; 5) 4 44 305 ;
1 1 Il 5 9
6) 4 442c168; 7) 4 1104 12; 8) -434 205 ; 9) 4 43flc16fl;
10) 4 6014 fl02 ; 11) 4 6014 606 ; 12) 4 6ofr4601;
13) (<420i)2; 14) (4 200)2; 15) (4 617)2; 16) (4 646)2 pour e = e*»</».
15.6. Quelles conditions doivent remplir les matrices A et B
pour que:j
§ 15] OPÉRATIONS SUR LES MATRICES 125
1) le produit AB existe;
2) le produit B A existe;
3) les produits AB et B A existent?
15.7. Exprimer les dimensions de la matrice AB en fonction
des dimensions de A et B .
15.8. Les matrices A, C sont de types (m, n) et (/;, q) respective
ment et le produit ABC existe. De quels types sont les matrices B ,
ABC?
15.9. Vérifier les identités (/l, B, C sont des matrices, a est un
nombre) :
1) a (AB) = (olA) B;
2) (AB) C = A (BC);
3) A (B + C) = AB + AC;
4) (A + B) C = AC + BC ;
5) A (B + C + D) = AB + AC + AD.
15.10. Vérifier si le produit existe et, s’il existe, le calculer:
1 2 2 2 2
Il 1 2 || ; 2) Il 1 2 ||
3 4 1 4 1
3) || 1 2 1| || 2 4 || ; 4) A.AscaAt
15.11. Calculer:
n 0 1 0 0
n 1 1 î
1 1 0 0 1 0
1) ; 2) 0 0 0 ; 3)
1 1 0 0 0 1
0 0 0
0 0 0 0
4 )W î 5)04,3)"; 6 ) ( 4 14)"; 7 ) 0 W ;
8) 046u)n ; 9) 0461s)n (dans les problèmes 7), 8), 9) l’ordre
de la matrice est n).
15.12. Transposer la matrice:
7 -4 0 Xi
1) 2) 3) U1 2 3 1| ;
—5 3
K 0
1
2
4) 5) A ; 6) A,390 i 7) A 544 ’ 8) ^4j3».
3
4
15. 3. Vérifier les identités :
1) ‘ (aA) = a ('4) ; 2) *{AB) = W A ;
3) t(ABC) = iCtB tA \ 4) \ A + B) = tA + lB.
15.14. Calculer la matrice P = E — '(«, —eh) (e, —eh) (et désigne
la i-ème ligne de la matrice unité E).
126 MATRICES [CH. VI
Matrice inverse
(problèmes 15.39 à 15.65)
15.39. Donner des exemples des matrices singulières et régu
lières.
15.40. Soient A une matrice singulière d’ordre 2, m un entier
naturel. Démontrer qu’il existe un nombre X tel que Am =
pour tous les m.
15.41. Est-ce qu’une matrice rectangulaire est inversible?
15.42. Démontrer que det A 0, det B ^ 0, det B = (det A)"1
si B est la matrice inverse de A.
15.43. 1) Etant donné des matrices carrées A , B , C telles que
A B = E , AC = E, démontrer que B = C.
2) Est-il possible que .45 = E pour les matrices rectangulaires?
L’assertion 1) est-elle vraie pour les matrices rectangulaires?
15.44. Soit une matrice carrée A = || au ||. Ecrire le système
♦des équations que vérifient les éléments de la /-ième colonne de la
matrice A~l.
15.45. Calculer :
2 - 1 0 -1 0 Kl
3 5 -1
1) 5 9 ; 2) 0 2 — 1 ; 3)
-1 —1 1 K 0
4)(i4s*)-‘ ; 5 ) ( 4 „ ) - ‘ ; 6) (4»)"1; 7)(X 207)-«;
8) (Aos)'1; 9) (Anoî)-1 ; 10)(■4227)"‘.
15.46. Démontrer que l’inverse de la matrice élémentaire est
<une matrice élémentaire.
15.47. Calculer la matrice inverse de la matrice élémentaire
<donnée :
-2 0
2 0 0 1 1 0
l) ; 2) » 3) ; 4) 1 0 ;
0 1 1 0 3 1
0 1
3 0 0 1 0 0 1 0 0
5) 0 1 0 ; 6) 0 1 0 » 7) 0 —î î
0 0 1 2 0 1 0 0 1
1 0 0
S) 0 0 1 *» 9) -^13 Î 10) Akz » 11) A^qq.
0 1 0
15.48. Vérifier les identités:
1) = '(/l-i); 2) M )-> = a - M - 1;
3) (AB)-1 - B~xA 4) (ABC)~l =
5) (j4-1)* = (>lk)-1; 6) (A + £ ) “l = A~l -f B~l .
15.49. 1) Démontrer que la matrice carrée peut être réduite à la
$ 15] OPÉRATIONS SUR I.KS MATR1CKS 129
9 1
■
2 0 1 0 oi
10 II1
3) X= » 5 -- 2 X = 0 1 1
1 1 17 4M 2
|| 0 — 2 5 0 1 o|
«
2 2 -1 2
5 5
5) X 2 -1 2 =
5 8 —1
—1 2 2
1 1 1 -1 1 1 1 1
6) X y 7) X=X
1 1 1 -1 0 1 0 1
8) A l2X = A h\ 9) X A 12 = A 12; 10) X " M 12X = ^ 21;
1 1 ) ^ 1 1 1 -^ = ^ 228 y 1 2 ) *^229^ = ^ ll® » 13) i 4 2 03*^ = C 5Z r
14) A w X = A 230 î 15) A U2X — ^213» 15) *X^227 ^ *^229-
i i!>) OPÉRATIONS SUR LES MATRICES 131
S Y S T È M E S D ’E Q U A T I O N S L I N E A I R E S
Dans ce chapitre on utilise les notions et les termes suivants : système d'équa
tions linéaires homogènes et non homogènes, matrice principale du système (matrice
des coefficients)y déterminant d'un système de n équations linéaires h n inconnues,
matrice complète du système, colonne des termes constants, systèmes compatible et
incompatible d'équations, systèmes équivalents d'équations, solution particulière
e t solution générale d'un système d'équations linéaires, famille fondamentale de
solutions et matrice fondamentale d'un système d'équations linéaires homogènes,
inconnues principales et Inconnues paramétriques (non principales) y système ho
mogène adjoint au système donné d'équations linéaires.
Principaux théorèmes: théorème d'existence et d'unicité de la solution
d'un système de n équations linéaires a n inconnues (théorème de Cramer), deux
conditions de compatibilité d'un système de m équations à n inconnues (théo
rème de Kronecker-Capelli et théorème de Freaholm).
Donnons quelques formules et notations.
Le système de m équations linéaires à n inconnues
« ll^ t “t“ • • • alnxn ~ ^1»
....................................................................................... (1 )
am ix l + amnxn ~~ • • • H"*
peut être écrit sous la forme matricielle:
A js = 6,
où x et 6 désignent les matrices-colonnes f|| x1 . . . xn || et *|| bt . . . bm ||
respectivement. Les matrices
«n •• • «m «11 «in bi
A= et || il | » || =
«mi • • • «mu «mi «mn èm
s'appellent respectivement matrice principale et matrice complète du système
d'équations. On appelle solution du système (1) tout ensemble ordonné de n
nombres, pour lesquels les deux membres de chaque équation du système pren
nent des valeurs égalés. Ces nombres sont appelés composantes de la solution.
On écrit la solution du système sous la forme de matrice-colonne. L'ensemble
de toutes les solutions du système homogène d'équations linéaires à n inconnues
est défini par la formule
X = h iXl + . . . + hn_rXn_ry (2)
où Xlf . . ., Xn_r sont des solutions particulières linéairement indépendantes
du système homogène donné, h}, . . ., hn_r des constantes arbitraires (para
mètres), r = Rg A est le rang du système. L'ensemble {Xt, . . ., A"n_r} est ap-
142 SYSTÈMES D’ÉQUATIONS LINÉAIRES [GH. V II
- a ri ... a r< n_ r
1 0
(9>
0 1
La matrice d> définie par la formule (9) est appelée matrice fondamentale norma
le. Ses colonnes constituent une famille fondamentale normale de solutions du
système d'équations homogènes
Xj CLnXr+i - f - . . . “|“ Ctj f n-rxn —0»
( 10)
xrm
\r&r\ x r + i 4 * • • • "1“ a r* n - r xn —
qui correspond aux inconnues principales xj, xr. La matrice fondamen
tale normale peut être écrite directement dfaprès la matrice complète (6). Si
l'on écrit la matrice complète simplifiée sous la forme Er D . \ t \ la matrice
O o\o\
fondamentale normale s'écrit sous la forme
—D Et , En- r sont ici les
£n-r
matrices unités d'ordre r et n — r respectivement, tandis que p est la matrice-
colonne des nombres P « , . . Pr-
La solution générale du système d'équations peut être obtenue sous les
formes (4) et (5) a partir des systèmes d'équations (7), (10) sans recourir à la
formule (8). La solution particulière peut être obtenue du système (7) en choisis
sant de façon arbitraire les valeurs des inconnues non principales (si on les
rend toutes milles, on obtient la solution particulière définie par la formule (9)).
Les colonnes de la matrice fondamentale peuvent être obtenues comme solu
tions du système (10) à condition de donner, aux inconnues paramétriques, des^
valeurs qui forment une matrice régulière. En particulier, si l'on prend pour
*11 £ r + i • • • xn II ^ s colonnes de la matrice unité, les solutions du système (10)
forment la matrice fondamentale (9).
R e m a r q u e. Si le système donné d'équations est compatible, mais les r
premières colonnes de la matrice principale ne sont pas des colonnes principales,.
144 SYSTÈMES D’ÉQUATIONS LINÉAIRES [CH. VII
on peut adopter l'un des deux procédés pour résoudre le système des équations
simplifiées.
Procédé 1. On écrit le système simplifié et on prend pour inconnues prin
cipales les inconnues qui correspondent aux colonnes principales de la matrice
du système. On exprime les inconnues principales en fonction des autres incon
nues (non principales) et on met la solution générale sous la forme (4) ou (5).
Procédé 2. On désigne par yu . . ., vr les inconnues correspondant aux co
lonnes principales de la matrice du système, les autres inconnues étant notées
?r+v * * •» Un* Après ce changement d'inconnues, on obtient un système simpli
fié d'équations de la forme (7), on le résout et procède à la substitution inverse.
Il existe donc plusieurs façons pour obtenir la solution générale du système
•d'équations linéaires, et beaucoup de formes pour présenter cette solution.
Faisons encore quelques remarques sur la présentation de la matière dans
•ce chapitre. Tous les systèmes d'équations intervenant dans les exercices et
•dans les réponses correspondantes ne sont pas donnés sous les formes développées
(1) et (8). Une partie des systèmes d'équations est définie au moyen de la matri-
•ce complète. Dans les réponses à ces exercices, on indique la matrice fondamen
tale de solutions du système d'équations homogènes et la matrice-colonne de
l'une des solutions particulières du système non homogène. Les matrices ne fi-
•gurent pas explicitement dans les problèmes et les réponses, mais leurs numéros
permettent de les trouver dans la liste jointe à la fin du livre.
10-340
146 SYSTÈMES D'ÉQUATIONS LINÉAIRES [CH. V il
n
CO
Cl
4) || A 23D | c 67 | | ; 5) Il A 241 1 CB8 II » 0 ) Il A 233 ! C70 II î
*0 Il A 206 1 c 55 II ; 8) Il A 208 1 c M | | ; 9) Il ^ 2 0 6 M 70 II;
10) || A , 00 1 C 1B2 II ; H ) | M 408 1 C243 II î
0
Cl
= 1.
Annexe
(problèmes 19.30 à 19.49)
ESPACES VECTORIELS
*) Ces matrices peuvent être ordonnées d’une autre manière (voir introduc
tion au chapitre XII).
156 ESPACES VECTORIELS [CH. V III
sont appelés vecteurs, leurs coordonnées sont écrites sous la forme de matrices-
colonnes.
Soit l = *(£lf . . ., çn) la matrice-colonne des coordonnées du vecteur x
dans la base e = (eu . . en). On a
n
x= S = (0
*=1
où e est interprété comme matrice-ligne des vecteurs e1% . . ., cn. La formu
le (1) est appelée formule de décomposition du vecteur x suivant la base e.
Soient e'tl . . ., e’n les vecteurs de la base e' dont on connaît les coordonnées
par rapport a la base e = . . . » *n):
n
* i= S a 9tie*' i= l , . . . , n . (2)
La matrice S dont les colonnes sont les colonnes des coordonnées des nouveaux
vecteurs de base e\, . . ., eû par rapport à F ancienne base e est appelée matrictr
de passage de la base e à la base e '. L'égalité (2) s'écrit encore:
e’ = eS. (3)
Cette égalité se conserve si au lieu des matrices-lignes des vecteurs de e et de
on considère les matrices engendrées par les colonnes des coordonnées des vec
teurs elt . . . , en et e't, . . ., c’n dans une base fixée.
Si un vecteur x est défini par les matrices-colonnes \ et de ses coordon
nées dans les bases respectives e et e' et si S est la matrice de passage de la base
e à la base c!, on a
%=Sl'. <4>
Etant donné une base de l'espace, il existe une correspondance biunivoque-
entre les combinaisons linéaires des vecteurs et les combinaisons linéaires des
matrices-colonnes des coordonnées de ces vecteurs.
On donne ci-dessous les schémas de résolution de quelques importants ty
pes de problèmes.
1) Les vecteurs fu . . fn de la base / et le vecteur x sont définis par les
matrices-colonnes de leurs coordonnées rapportées à la base e. Trouver la matrice-
colonne des coordonnées du vecteur x par rapport à la base / .
S o l u t i o n . La matrice-colonne £' s'obtient à partir de l'équation ma
tricielle (4), où | est la matrice-colonne des coordonnées du vecteur x dans la
base e , et S est la matrice engendrée par les colonnes des coordonnées des vec
teurs fu . . fn rapportés à la base e. Pour calculer g', on simplifie la matrice
|| S | £ || par des transformations élémentaires des lignes de telle sorte que S
devienne une matrice unité. On trouve alors la matrice recherchée £' à la place
de la colonne g.
2) Les vecteurs des bases / = (A, . . ., fn) et g = (glf . . ., gn) sont dé
finis par les matrices-colonnes de leurs coordonnées par rapport à la troisième
base e — (e2, . . en). Trouver la matrice de passage S de la base / à la base g.
S o l u t i o n . Soient F et G les matrices engendrées par les colonnes des
coordonnées des vecteurs A» . . . , / „ et gly . . ., gn . En utilisant l'équation*
matricielle (3) on obtient G = FS.
La matrice S = F~lG peut être calculée à l ’aide des transformations élé
mentaires des lignes de la matrice || F | G ||. Si, après les transformations élé
mentaires des lignes, on obtient la matrice unité à la place de la matrice F, la
matrice recherchée S apparaît à la place de G.
3) Les vecteurs a1y . . ., ah sont définis par les matrices-colonnes de leurs
coordonnées rapportées à une base e. Vérifier si les vecteurs donnés engendrent
ÜH. VIII] ESPACES VECTORIELS 157
une base de l'espace, établir les dépendances linéaires entre ces vecteurs et trou
ver une base de l'enveloppe linéaire du système {alv . . ., aft}.
S o l u t i o n . Soit A la matrice formée par les colonnes des coordonnées
des vecteurs proposés. La transformation élémentaire des lignes de A est équi
valente à la multiplication de A à gauche par la matrice régulière T. Dans ce
cas, toutes les colonnes de A sont également multipliées à gauche par 7*, et les
dépendances linéaires entre les colonnes de la matrice ne varient pas.
Les vecteurs donnés constituent une base de X n si et seulement si k = n
et det A 0. Désignons l'enveloppe linéaire de at, . . ah par La base de
.fi est composée des vecteurs dont les colonnes de coordonnées sont les colon
nes principales de la matrice A . Les autres vecteurs se décomposent suivant ces
derniers avec les coefficients qui figurent dans les décompositions des colonnes
de coordonnées correspondantes suivant les colonnes principales de A . Pour trou
ver ces coefficients, on doit réduire la matrice A à la forme simplifiée par les
transformations élémentaires des lignes.
Soient, par exemple,
1 1 2
—1 1 0
1 ’ 0 1
0 1 1
les matrices-colonnes des coordonnées des vecteurs aly a2, a3 d’un espace quad-
ridimensionnel rapporté à une base e. La matrice
1 1 2[
—1 1 0
1 0 1
0 1 1
se réduit par les transformations élémentaires des lignes à la forme
1 0 1
0 1 1
0 0 0
0 0 o|
Il va de soi que la troisième colonne de la matrice A est égale à la somme des
deux premières. Il en est donc de même pour la matrice A t d’où a* = at +
L'ensemble des solutions d’un système d’équations linéaires homogènes a
n inconnues peut être assimilé à un ensemble de matrices-colonnes des coordon
nées des vecteurs d’un sous-espace vectoriel de X n. En ce sens, chaque système
d’équations linéaires homogènes à n inconnues définit un sous-espace vectoriel
de La base de ce sous-espace est un ensemble de vecteurs dont les colon
nes de coordonnées constituent une famille fondamentale de solutions du sys
tème donné d’équations linéaires homogènes.
4) Les vecteurs alt . . ak sont définis par les matrices-colonnes de leurs
coordonnées rapportées à la base e de l ’espace X n . Trouver le système d'équa
tions linéaires qui définit l'enveloppe linéaire fi des vecteurs proposés.
S o l u t i o n . Soit A la matrice formée des colonnes des coordonnées de
«i, . . ., et soit Rgi4 = r. Pour qué le vecteur de matrice-colonne | =
= <(xlt . . ., xn) appartienne au sous-espace ./>, il faut et il suffit que le rang
de la matrice A = || A | £ || soit aussi égal à r. Par des transformations élémen
taires des lignes de la matrice A on peut la réduire%à la forme en escalier et donc
faire annuler ses n —r dernières lignes. Si l ’on fait les mêtnes transformations
158 ESPACES VECTORIELS [CH. VIII
2) cp est surjective;
3) cp est injective si et seulement si cp est injective ;
/V /s/
et que, par suite, tous les espaces vectoriels de même dimension (sur
un même corps) sont isomorphes.
23.33. Soit a = *(a0, ax, . . an). Montrer que l'application
/ (a) = a0 + axt + - • • + an*n est un isomorphisme de l’espace
arithmétique (n + l)-dimensionnel sur l'espace vectoriel des poly
nômes de degré
23.34. L’application de l’espace arithmétique réel bidimension
nel dans l’espace vectoriel des matrices carrées réelles d’ordre 2 est
x —y
définie par la formule Démontrer que <p est
C D -
................... y *
une injection linéaire. Calculer sa matrice dans le couple des bases
canoniques de ces espaces.
23.35. L’application de l’espace arithmétique réel tridimen
sionnel dans l’espace des matrices d’ordre 2 fait correspondre au
vecteur i(xl, x2, x3) la matrice *3 Démontrer que cette ap
—x„ x t
plication est une injection linéaire. Calculer sa matrice dans le couple
de bases canoniques de ces espaces.
23.36. Soit e^(2.2) l’ensemble des matrices complexes d’ordre 2t
qui a une structure d’espace vectoriel réel et soit (2?n , 2?ai, Œ2lt
È l2, Œ12j E 227 iE2«) la base canonique de cet espace (voir problème
22.12). L’application cp: ffî3 ->■ <*//(2f2) fait correspondre au vecteur
x* x, + ix2
i(x1, x2, x3) la matrice 3 1 . Démontrer que l’ap-
x1 — ix2 —x3
plication cp est linéaire et injective. Trouver sa matrice dans le couple
de bases canoniques de ces espaces.
23.37. L’application cp: ,$?4 (voir problème 23.36)
a b
fait correspondre au vecteur f(xlT x2y x3, x4) la matrice
où a = xx ix2, a = x1 — ix2, b = x3 -f- îx4. Démontrer que cp
est linéaire et injective. trouver sa matrice dans le couple de bases
canoniques de ces espaces.
23.38. Démontrer que l’ensemble donné des matrices carrées est
un espace vectoriel réel isomorphe à l’espace arithmétique .# 3:
1) l’ensemble de toutes les matrices réelles d’ordre 2 ayant la
trace nulle;
2) l’ensemble de toutes les matrices réelles symétriques gauches
d’ordre 3;
3) l ’ensemble de toutes les matrices complexes de la forme
ix3 x t + ix2
, où xt, x2, x2 sont des nombres réels.
—xt + ix2 — ix3
176 APPLICATIONS ET TRANSFORMATIONS LINEAIRES [CH. IX
1) A — A g7, S — *^94»
2) A = A 19, S = A se (e= e*«*/3); ;
3) i4 = A 2B3i & ==: A 375 ÿ .i
4) A = <<4o59i 5 = ^303 ((0 = 0-«i/3) ■
5) A = i44721 *5 = A 473 ; 6) A = *^474» ~ ^475* 'm*
23.64. L'application linéaire de l'espace arithmétique n-dimen-
sionnel dans l'espace arithmétique m-dimensionnel est définie dans
les bases canoniques par la matrice A. Les colonnes des nouvèaux
vecteurs de base f u . . . , / „ et glt . . ., gm composent les matrices
S et T respectivement. Calculer la matrice de l’application dans les
bases / et g. b
1) w = 3. tri = 2, A — A 392, S = A 28q, T — >1 4 2 »
2) n = 4, m = 2, ^4 = &02, S = -<4476, T = -410 î, f
3) n = 2, m = 3, .4 = 4 117t 5 = ^49, T = .4227;
4) /i = 3, /n = 4, i4 — i4 403f 5 = i42 8r>f ^ = *4495*'
23.65. Calculer la matrice associée à la transformation linéaire cp
de l’ensemble des vecteurs du plan dans une base donnée si q) est:
1) la symétrie plane par rapport à la droite x + 2y = 0 parallè^
lement à la droite x + Sy = 0;
2) la projection du plan sur la droite x + y = 0 parallèlement
à la droite 4x -j- 5y = 0;
3) la contraction de rapport X = 2 vers la droite 3x — 2i/ = 0
parallèlement à la droite x — y = 0.
23.66. Calculer la matrice de la transformation linéaire <p de
l’espace géométrique tridimensionnel (rapporté à une base orthomjf1
mée donnée) en faisant le changement de base approprié, si <p est:
1) la projection sur le plan 3x — y = 0 parallèlement à la droite
x + z = 0, x + y + 2z = 0; ’1
2) la symétrie dans l'espace par rapport à la droite x = y = —2z
parallèlement au plan x + y + 3z = 0;
3) la contraction de rapport X = 2 vers le plan x — 2z = 0 pa-*
rallèlement à la droite x = y = z;
4) la rotation autour de la droite x — y =,.—z d'angle ji/2;
5) la rotation autour de la droite x + y = 0, y — z = O^ qui
applique le premier des deux plans donnés sur le second. r
23.67. Soit D la dérivation dans l’espace des polynômes de degré
au plus égal à m. Calculer la matrice de la transformation D si la
base est composée des polynômes:
1) 1 + t, t + 2f2, 3*2 — 1 (m = 2) ;
2) t* + 1, 1 — 1 — t + t2, 1 - | + | 2 _ | 3 ( W = 3);
3) 1, 1 + t, 4 + T 7 TT ’ • • ^ T T # * ’ ^—^ T ^771 ^ »
4) 1» 1 + ^ 4 + * + *2» • • •* 1 + t + . . . + tm {m ^ 1) ;
5) 1, t - 1, t2 - t, . . ., tm - t”1"1 (m > 1).
182 APPLICATIONS ET TRANSFORMATIONS LINÉAIRES [CH. IX
23.74. L'application linéaire <p est définie dans les bases cano
niques des espaces arithmétiques J?n et .5?m par la matrice A. Trou
ver deux bases dans lesquelles la matrice de 9 est de la forme la
plus simple (voir problème 23.73):
1) A = Ai2j 2) A = A 3 2 I 3) A = ^233î
4) A = Aoggi 5) A = Agig\ 6) A = ^420*
23.75. Soit A la matrice de la transformation linéaire dans une
certaine base. Démontrer que la matrice obtenue de A par symétrie
centrale est une matrice de la même transformation dans une autre
base.
23.76. Démontrer que les matrices suivantes sont semblables:
1) A 17 et son inverse; 2) ;4259 et <4260.
23.77. Trouver toutes les matrices semblables à elles-mêmes.
/»(*) - = A8 1 2 *
1
0
X
réelle dont l’un au moins des nombres caractéristique n'est pas réel»
Démontrer que cp est diagonalisable.
24.25. Soit x un vecteur propre de la transformation linéaire,
associé à la valeur propre X et soit p (t) un polynôme. Démontrer
que x est un vecteur propre de la transformation p ((p) et qu’il est
associé à la valeur propre p (X).
24.26. Soient X^ . . X„ les nombres caractéristiques de la
transformation linéaire (p d’un espace vectoriel n-dimensionnel. A
quoi sont égaux les nombres caractéristiques (compte tenu de leur
multiplicité) de la transformation :
1) (s) (p2; 2) (s) <pm (m est un entier naturel);
3) cp"1 (à condition que cp soit inversible);
4) p (cp), où p {t) est un polynôme arbitraire (à condition que
XlT . . ., Xn soient distincts)?
24.27. On sait que les polynômes caractéristiques des matrices
carrées A et B possèdent des racines simples Xlt . . , Xm et plt . . .
. . ., pn respectivement. Trouver les nombres caractéristiques du
produit kroneckerien A ® B des matrices A y B.
24.28. On suppose que la transformation linéaire cp d’un espace
vectoriel X est diagonalisable. Démontrer les assertions:
1) Im cp est l’enveloppe linéaire de tous les vecteurs propres as
sociées aux valeurs propres non nulles;
2) X = Im cp © Ker cp.
24.29. Donner un exemple de la transformation linéaire cp de
l’espace M n pour laquelle Jftn Im cp ® Ker cp.
24.30. La transformation linéaire d’un espace vectoriel réel
n-dimensionnel est définie par sa matrice. Calculer les valeurs pro
pres et trouver un système maximal libre de vecteurs propres de la
transformation. Si le système trouvé est une base, écrire dans cette
dernière la matrice de la transformation et donner une interpréta
tion géométrique de celle-ci.
n = 2:
1) ^48» 2) A ia ; 3) A 36; 4) A 47; 5) -44g;
0 ) ^4i 3 » 7 ) A \ 2 ; 8 ) A h \ 9 ) A 3 0 ; A
n = 3:
Il) ^426i ; 1 2 ) ^4243 ; 13) ^42 0 0 » 14) A 201 ; 15) A 2 9 2 *
16) ^4283 ; 17) ■^4294 » 18) A 205 1 19) A 2 2 1 ; 20) A 2 0 7 ;
2 1 ) ^4296 Î 2 2 ) A 2 07 ; 23) •^4298 i 24) A 2 7 3 ; 25) A 236 ;
26) ^4230 » 27) ^237 28) *^4299 * 29) A 287 ; 30) A 2 0 3 ;
n —
st - 4-
t•
31) ^4477 ; 32) ^44 7 0 ; 33) ^4480 ? 34) A 4Si ; 35) j4 4 02 ;
36) ^44 4 0 î 37) ^4483 ; 38) ^4484 1; 39) j44 8 6 ; 40) ^446fl.
24.31. La transformation linéaire d’un espace vectoriel comple
xe n-dimensionnel est définie par sa matrice. Trouver une base
formée des vecteurs propres et écrire la matrice de la transformation
dans cette base.
192 APPLICATIONS ET TRANSFORMATIONS LINÉAIRES [CH. IX
n = 2:
1) 4 20; 2) 4 60; 3) A 92 ; 4) 4 79 (e = e2îl*/3);
5) j4 94 ; 6) A 77; 7) 4 78 (e = e2jIi/3); 8) 4 87;
n = 3:
9) ^ 239 ï 19) 4 262 ', 11) 4263 » 12) 4 300; 13) 4 3 0 l;
14) 4 200; 15) A 303 (o) = e2?l^ 3) ; 16) 4 376; 1/) 4 377;
n = 4:
13) ^4432 î 19) 4 447; 20) A 499 \ 21) 4 472.
24.32. Trouver les valeurs propres et un système maximal libre
•de vecteurs propres de la transformation linéaire définie par sa ma
trice. Expliquer pourquoi la transformation n'est pas diagonalisable.
1) 4 M; 2) •4B2; 3) 4 286; 4) -4303*7 5) 4 289;
6) -4236î 7) 4 457; 8) 4 487; 9) 4 648.
24.33. Déterminer les nombres caractéristiques de la transforma
tion linéaire définie par sa matrice. Etablir si la transformation est
•diagonalisable: a) dans l'espace réel, b) dans l'espace complexe. Si
elle l’est, trouver une base formée de vecteurs propres et écrire dans
cette dernière la matrice de la transformation ; si elle ne l'est pas, en
expliquer la cause.
1) 4 46; 2) 4 77; 3) 4 2B9; 4) 4 44; 5) 4 2&3;
6) 4 98; 7) 4 438; 8) 4 430; 9) 4 478; 10) 4 474.
24.34. Résoudre le problème aux valeurs propres et aux vecteurs
propres et écrire la forme diagonale de la matrice d’une transforma
tion linéaire définie dans la base canonique de l'espace arithmétique
réel rc-dimensionnel :
I) 4 604 ; 2) 4 821 (n = 2/n); 3) 4 825; 4) 4 827;
5) 4 840; 6) 4 839; 7) 4 834; 8) 4 820;
9) 4 608 (X^ — • • • — Xm = 1» ^m+i = • • • = Xn = 2 ;
m = [(n + l)/2]) ;
10) A 0O6 (^1 = • • • = Xm = 1» ^m+1 = • • ■ = = 0î
m = [(ti + 1)/21) ;
même question lorsque l’espace arithmétique 71-dimensionnel est
complexe:
II) 4 88B (X^ = . . . = Xm = 1, Xm = . . . = Xn = —1 î
771 = [(71 + 1)/21) ;
12) 4 814; 13) 4 83B.
24.35. Calculer les nombres caractéristiques de la matrice:
1) 4 490; 2) A 491 ; 3) 4 492; 4) 4 B49; 5) ^4550 ;
6) 4 838; 7) 4 843; 8) 4 849; 9) 4 84B (n est impair).
24.36. Calculer:
*>2"*‘ n 2>
n- 1
3) 2 &*’» °ù e = e2n</n, n = 2 m + l ;
ft*=0
§ 241 SOUS-ESPACES INVARIANTS, VECTEURS ET VALEURS PROPRES 193
(*. 11)= 2
i, j= i
où • • •» £n) et tin) s0111 ^es matrices-colonnes des coor
données des vecteurs x et y dans la base e = (ely . . •, en), gtj = (e/, ej), et
F = || gu || est la matrice de Gram associée à la base e.
Soient T et F les matrices de Gram associées respectivement aux bases e
et e \ et soit S la matrice de passage de e à e', de sorte que e' = eS. On a alors
r = *srs (1^
si l'espace est euclidien, et
r = *srs ( 2)
si l'espace est hermitien.
On appelle longueur (ou norme) du vecteur x d'un espace vectoriel muni
du produit scalaire le nombre | x | = j/"(x, x). Le vecteur x est dit normé si
| x | = 1. Tous vecteurs x et y de £ vérifient l'inégalité de Cauchy-Bounia-
kovski
I (*, y) I < I * I -I y I-
Vangle de deux vecteurs x et y d’un espace euclidien est défini par la formule
(x, y)
cp= Arc cos
\x\-\y\ '
Deux vecteurs x et y sont dits orthogonaux si (x, y) = 0. Le système des
vecteurs elt . . ., em est dit orthogonal si (e/, ej) = 0 pour tous i ^ j ; i, / =
= 1, . . ., m. Le système orthogonal de vecteurs normés est dit orthonormé.
Le processus d'orthogonalisation permet de construire le système orthogonal
des vecteurs non nuis glt . . gm à partir d'un système arbitraire des vecteurs.
25J PRODUIT SCALAIRE. MATRICE DE GRAM 205
On dit que le vecteur x est orthogonal au sous-espace vectoriel s'il est orthogonal
à tout vecteur de ce sous-espace. On appelle supplémentaire orthogonal X 1 du
sous-espace vectoriel X d'un espace euclidien (ou hermitien) % l'ensemble de
tous les vecteurs de $ orthogonaux à X . Le supplémentaire orthogonal X 1 est
un sous-espace vectoriel. Si un vecteur x est représenté sous la forme d'une somme
x = x' + x % où x £ X , xm€ X 1 , on dit que le vecteur x* est le projeté orthogo
nal du vecteur x sur X , et que le vecteur x” est la composante orthogonale du
vecteur x par rapport à X .
Les sous-espaces vectoriels X \ et X 2 de l'espace euclidien (ou hermitien)
sont dits orthogonaux si chacun des vecteurs de X \ est orthogonal à tout vecteur
de X 2.
La somme d'une famille finie de sous-espaces orthogonaux deux à deux
• • •» X k est dénommée somme orthogonale et est notée
i l 1
Xi © X 2 © . . . © X h-
On appelle angle du vecteur non nul x et du sous-espace vectoriel non nul X
de l'espace euclidien la borne inférieure des valeurs des angles que le vecteur x
forme avec les vecteurs non nuis de X .
L'angle des sous-espaces vectoriels non nuis X \ et X 2 de l'espace euclidien
se définit de la façon suivante. Soit X l'intersection X \ fl X 2 et soient X i et
X% les supplémentaires orthogonaux de X dans les sous-espaces X \ et X 2 respec
tivement. Si X \ ^ X 2 ou X 2 S X \ , on pose que l'angle de X \ et X 2 est égal
à zéro. Dans le cas contraire, les sous-espaces X 0t et X 2 sont tous deux non
nuis et l'angle de X \ et X 2 est égal à la borne inférieure des valeurs des angles
que forment les vecteurs non nuis x de X°t et y de
(A g ) = \
a
2) dans l’espace vectoriel complexe des fonctions complexes
•d’une variable réelle, continues sur [a, 6], le produit scalaire peut
«être défini par la formule
$ 251 PRODUIT SCALAIRE. MATRICE DE GRAM 209
2 3 II 1 0
17=
3 6 II’ ^= 0 . *1= —1
2) /j —2et -j- e2, fi —ej -j* e2,
3 2 l 0
2 2 y £— . n=
£
i i
I
C2, fi '■
~ei+ e2l
5 3 l i
r ,= 3 5 , $= l » *i= 3 ;
4) fi = e, + ie2, U = —3iet + 4e2,
CO
>-*
r*.
1 1 i
17= - l i t 41 » l=, i . »1= 2
5) fi — Ci, fi —e,-]-e2, fi —e2-\-e3,
3 1 —1 1 1
17= 1 2 1 , 1= 2 , q== 1
—1 1 2 1 —1
6) fi = et + e2, fz = et + e3, fs = e2+ e3,
5 2 3 1 1
17 = 2 3 1 , S= -2 » *1= 1
3 1 4 1 1
7) fi = et, fi = — ie, + 2e. + ie3, f3 — —ic2+ e 3,
1 3t —1 0 1
Tf = — 3t 22 lOi , S= 1 > n= — 2i
-1 — lOi 5 0 1
25.25. Calculer la longueur du vecteur x d’un espace arithmé-
§ 20J PRODUIT SCALAIRE. MATRICE DE GRAM 211
1) I 2 ah^h
l/2 /n \ 1/2 / n \l/2
2) ( v ) ^ laft|2) + ( 2 ^ l^ftl2)
où aly . . . , an, b1, . ., bn sont des nombres réels ou complexes
i
2) i, i, i)), - 1- -i));
3) y = - ( ‘ (0, 1, 0, 1)), y = - ( '( l . 1, 2, - 1 ) ) .
26.19. Le sous-espace X d’un espace euclidien est défini dans
une base orthonormée par le système d’équations linéaires. Trouver
l’une quelconque des bases orthonormées de X.
1) Xj — x2 — x3 = 0;
2) x4 + x3 + x3 + x4 = 0 ;
3) Xj — X2 — x3 — x4 —
Xj — 2xj -f- x3 + 4x4 = 0,
Xj 3x3 — 6x4 -— 0 î
4) X! — 2xs — x3 + 2x4 -f 14x6 = 0,
3x! -f- x3 — 3x3 — 8x4 — 7xs = 0 ;
216 ESPACES EUCLIDIENS ET HERM ITIENS [CH. X
(p , q ) = J p ( t ) q ( t ) d t
-1
construire une base orthogonale à partir du système des polynômes
1, f, «*, t3.
26.24. Dans l ’espace des fonctions continues sur [0, + oo[ et
telles que / (t) = O (t -1) pour t -*■ + oo, on introduit la multipli
cation scalaire euclidienne définie par
+oo
(/, g ) = s f ( t ) g ( t ) d t .
0
Ortiiogonaliser le système des fonctions e '1, e-2t, e '11.
« 2G] SYSTÈMES ORTHOGONAUX DE VECTEURS 217
i) / i = h=
S 1g\h*k (* = 1, n) ;
2) S ë k i ï i , (* = 1,
V i= n);
h=l
3) les matrices || gih || et || g\k || sont inverses l’une de l’autre.
26.34. Trouver la base biorthogonale pour chacune des bases
•données d’un espace arithmétique muni du produit scalaire standard :
1) ‘(1, 0), ‘(100, 1); 2) ‘(1, 0), '(0, 3); 3) '(1, 3), ‘(1, 5);
4) ‘(1, 0, 0), '(3, 1, 0), '( - 2 , - 5 , 1);
5) '(1, 1, 1), ‘(1, 2, 3), '(1, 4, 9);
6) ‘(1 , 0 , 1/ 10), ‘(1/ 10, 1 , 0), '(0 , 1/ 10, 1);
7) '(1, 0, i), '(1, i, 0), '(0, 1, 1 + i);
8) ‘( 1, 0 , 0 , 0), ‘( - 1, 1, 0 , 0 ), '( 1, - 1, 1, 0 ), ' ( - 1, 1, - 1, 1);
9) ‘( - 2 , 1, 1, 1), ‘(1, - 2 , 1, 1), ‘(1, 1, - 2 , 1), ‘(1,1, 1, -2 ) .
26.35. Construire dans un espace arithmétique muni du produit
scalaire standard un système de vecteurs biorthogonal au système
des vecteurs donnés, qui soit contenu dans l’enveloppe linéaire de
ces vecteurs :
1) ‘(1, - 3 , 2), '(1, - 1 , 0);
•§ 26] SYSTÈMES ORTHOGONAUX DE VECTEURS 219
*>‘ ' - S
A=1
m
2) 2 < |x |2 (inégalité de Bessel) ;
m
3) l ’égalité 2 ^ lx l2 est Pour tous ^es vec‘
k=\
teurs de X si et seulement si X=Œ-
27.2. Le sous-espace X d’un espace euclidien est l’enveloppe
linéaire des vecteurs définis dans une base orthonormée de l’espace
par les matrices-colonnes de coordonnées a l9 . . a m. Déterminer
le projeté orthogonal sur X et la composante orthogonale par rap
port à ,2 d’un vecteur x défini dans la même base par la matrice-
colonne | :
1) = *(10, - 2 0 , 10), l = *(0, 1, 0);
2) a x = *(1, 1, 1), a 2 = ‘(4, 0, 5), | = *(7, - 3 , - 1 ) ;
3) «, = '(4, 3, 2, 1), 6 = ‘(1, - 1 , 1, - 1 ) ;
4) Oj = '(1, - 1 , 1, 0), a 2 = '(2, - 1 , 0, 1), % = ‘(1,0, 2r
-2 );
5) a 1 = ‘(1, - 1 , 1, 1), a . = '(1, 4, - 1 , 0), | = '(2, 1,1, 0);
6) a, = '(1 ,0 , - 1 , 1 ) , a 2 = '(3 ,3 , - 2 , 1 ) , a 3 = ‘( - 1 , 6, 3, - 5 ) .
6 = ‘d , 4, 0, 2);
7) a, - '(2, 0, —1, —1), a 2 = *(1, —1, 1, —1), a 3 =
= ‘(1, 1, - 1 , - 1 ) , l = ‘(1, 2, 0, - 1 ) ;
8) o, = ‘(1, 1, 1, 1), a 2 = '(5, 1, 1, 3), a a = '(3, - 1 , 1, 0),
| = '(5, 4, - 3 , - 2 ) ;
9) % — C2 2 0 ï a ) a l — c 2 0 1 i a 2 — c 224 » ®1 — c 22&» ® 2 — c 22« »
. 1 1 1 1
C) a i — ~2 Cl8 6’ a 2 — “2 C2 2 7 Î a l — ^ = C228* a 2 “ y ÿ C229*
§ 27] PROJECTION ORTHOGONALE 223
1) si x = o, on a (p = Jt/2;
2) si x =£ o, l'angle cp est égal à l’angle de x et x ;
3) si x o,tout vecteur y £ X faisant un angle q> avec x vérifie
l’égalité y — a x \ où a > 0 ;
4) cos (p = | x' | / | x |.
27.20. Le sous-espace vectoriel X d’un espace arithmétique
muni du produit scalaire standard est engendré par les vecteurs
/,, . . / m. Calculer l’angle que le vecteur x fait avec X si :
1) x - *(0, 1, 1), /, = ‘(1, 0, 1), U = ‘(0, 1, 0);
2) x = '(5, 1, - 2 ) , /, = ‘(1, - 1 , 2), U = ‘(1, 1, 3);
3) x = '(1, - 1 , 0),U = '(0, 2, 1), U = '(1, 3, 0);
4) x = '( - 1 , 1, 2),/, = '(1, 2, 1), U = '(2, 1, - 1 ) ;
5) x - '( - 2 . 2, 1, 0), U = ‘(1, 2, 3, 0), U = '(1, 0, 1.- 2
6) x - '(1, 0, 2, 1),U = '(3, 3, - 1 , - 1 ) , U = '(2, 1, 0,- 2 ) ;
7) x - '(1, 1, 0, 1), U - '(1, - U 1, - 1 ) , h = ‘(1, U 3, 3)r
/» = '(3, - 2 , 4 , - 1 ) ;
8) x = '(1, 1, 1, 3), U = (L - 1 , i, - 2 ) , U = (L 0, 1, - 1 ) .
U - '(3, 1, 2, - 1 ) ;
9) x - '(1, 2. 3, - 1 ) , /, = '( i, 1, - 1 , - 1 ) , h = '(1. - u
5, - 3 ) , h =■- '(0, 1, 2, - 4 ) .
27.21. Le sous-espace X de l’espace euclidien est défini dans une
base orthonormée de cet espace par le système d’équations linéaires.
Calculer l’angle de X avec le vecteur x défini dans la même base
par la matrice-colonne de coordonnées
1) % - '(1, - 2 , 1), X : q, - 2t|2 + 5t|3 = 0;
2) t '(1, 3, 5), X: ri, + 3q2 + 5q3 = 0;
3) l '(1, 0, 0, 0), X: i], — q 2 + t]3 — x|4 — 0;
4) £ *(1, 0, 1. 0, —1), X : q, + q 3 + *13 + t|4 + 2r|5 = 0 ;
5) | - '(3. 1, - 1 . - 1 ) , X : 2ti, + q , - 2q3 = 0.
’ii + ^2 + Ti4 — 0;
6) 5 '(0, 2, 1, 1), X : q, -f q2 -f q3 -f q 4 = 0,
3ï|i + t|2 — q 3 + q 4 = 0,
5qj -f 3q2 + 2q4 = 0 ;
7) § = '(1, 1, 2, 1, 1), X : q, + q2 + q3 — q5 = 0
2q2 + 3q3 + q 4 = 0,
+ *1* + 2q4 — q 5 = 0.
27.22. Soient x un vecteur non nul d’un espace euclidien de di
mension finie, a et p les angles de x avec les sous-espaces X et
X 1 . Démontrer que a + P = jt/2.
27.23. Le sous-espace vectoriel X d’un espace euclidien de
dimension finie est la somme orthogonale des sous-espaces X x, . . .
. . X m. Notons a, a 1? . . a m les angles du vecteur x avec les
sous-espaces X , X x, . . X m respectivement. Démontrer que
cos- a = cos2 ax + • • • + cos2 a m.
27.24. Soient X x et X 2 des sous-espaces vectoriels d’un espace
euclidien de dimension finie, (^, . . e h) une base orthonormée
§ 27] PROJECTION ORTHOGONALE 227
TRANSFORMATIONS LINÉAIRES
DES ESPACES EUCLIDIENS ET HERMITIENS
Tï
où K (J, s) = 2
i=*o
1) Ecrire la formule de la transformation adjointe cp* dans le
cas où tous les kj (s) sont des polynômes de degré ^ n.
2) Démontrer que, si les fonctions (s) sont continues sur [a, 61,
la transformation adjointe cp* est définie par la formule
b
«p* (p) = \ K* (*. *) p (*)d*.
232 TRANSFORMATIONS DES ESPACES EUCLIDIENS ET HERMITIENS (CH. XI
n
où K* (t, s) = S (t), k* (*) étant les projetées orthogonales
des fonctions kj (t) sur \a, b] (voir problème 27.6).
28.20. La transformation linéaire cp de l'espace euclidien
<9&(w) ft] (voir problème 28.19) fait correspondre au polynôme
p (t) sa dérivée p (J). Démontrer que la transformation adjointe cp*
agit suivant la formule cp* (p) (t) = —p' (/) + h (J), où h (t) est
un polynôme de degré n défini univoquement à partir des relations
b
^ h (J) tk dt = b,lp (b) — ahp (a), k = 0, 1, . . . , n.
3 4 2 3
3) A = y r = *
—2 — 3 3 5
0 i 2 i
4) A — y r\ y
— 2t 0 -i 1
1 0 0 2 1 0
5) A = 1 2 0 1 1 2 1 l
— 1 3 1 0 1 1
1 0 0 1 1 1
1 2
6) A = 0 - •1 0 i r -1 •2 y
0 0 0 1 -2 3
1 0 2 1 — 1 — 1
7) A = 1 - 1 ■1 y r = 1 2 0
0 0 0 1 0 3
1 0 0 2 i 0
i __ 2
8) A — — 2i -1 0 y i -i - i .
2 3i 2 0 i 1
= 3 — + 4e. + e3);
“ IT T
9) «p(e,)='g-p=-(5«i + 4e2—3e3), cp(e.) = j y r - ( 5 e 1- 4 e . + 3e3),
F O N C T I O N S S U R L ’E S P A C E V E C T O R I E L
Base biorthogonale
(problèmes 31.33 à 31.42)
31.33. Les polynômes 1, t, . . ., tn forment une base dans l’es
pace Trouver la base biorthogonale correspondante.
31.34. Les polynômes 1, t — t 0 , . . ., (t — t0)n forment une base-
dans l’espace .5û(n). Trouver la base biorthogonale correspondante.
31.35. La base (elt e2, e3) de l’espace X 3 est biorthogonale à
la base (fXj / 2, / 3) de l’espace X\. Trouver la base biorthogonale a
la base (e[, e2J e'a) si e[ = ex -f- e2, e2 = e2 -f e3, ez — e3.
31.36. Construire une base de l’espace qui soit biorthogona
le à la base des fonctions cpa, (p2, q>3 définies dans le problème 31.23.
31.37. Trouver une base de l’espace qui soit biorthogonale
à la base des fonctions q>2, cp2, . . ., cpn+i construites dans les problè
mes 31.21, 31.22. Calculer les coordonnées d’un polynôme arbitraire
dans la base trouvée.
31.38. Construire une base de l’espace ^ (2) qui soit biorthogo
nale à la base des fonctions ô0, ôlT ô2 définies dans le problème 31.32.
31.39. Soient (eu . . ., en) une base dans l’espace X n, et
(fx, . . ., fn) la base qui lui est biorthogonale dans X*- Démontrer
que tout x £ X n vérifie l’égalité
X — fj (x) 61 -f- • • • H" f n OO C71 * d>
256 FONCTIONS SUR L’ESPACE VECTORIEL [CH. XII
k = 2 (2)
«. j=l
On appelle f o r m e de degré m en . . ., le polynôme homogène de degré
m en . . ., £n. Par suite, les expressions (1) et (2) des fonctions bilinéaire et
quadratique sont respectivement appelées f o r m e s b i l i n é a i r e et q u a d r a t i q u e . La
matrice de coefficients B = || bjj || est aussi appelée matrice associée à la forme
bilinéaire (quadratique).
Soit S la matrice de passage de la base e à la base ë , et soient B et B ’ les
matrices de la fonction bilinéaire dans ces bases. Il vient alors
B ’ = tS B S . (3)
La forme bilinéaire
n
f« l
17-310
258 FONCTIONS SUR L’ESPACE VECTORIEL [CH. X II
et la forme quadratique
2 ■*!
sont dites d i a g o n a l e s . Si les coefficients elt . . ., en de la forme diagonale
sont égaux à ± 1 ou a 0, elle est dite c a n o n i q u e .
Pour chaque fonction bilinéaire symétrique (quadratique) dans un espace
vectoriel réel n-dimensionnel il existe une base dans laquelle la forme bilinéaire
(quadratique) correspondante est canonique. Le nombre des coefficients non
nuis de la forme quadratique canonique est égal au rang r, et le nombre q des
coefficients égaux a —1, à Vindice négatif de la fonction quadratique (loi d'iner
tie des formes quadratiques). La forme canonique se définit également de fa
çon unique par les indices positif p et négatif q ou par le rang r et la signature
p — q-
Réduire une fonction bilinéaire (quadratique) à la forme diagonale ou ca
nonique c'est trouver la forme bilinéaire (quadratique) qui est diagonale ou
canonique et la base qui correspond à cette forme (ou les formules de changement
des coordonnées). On utilise également l'expression « réduire la forme bili
néaire (quadratique) à la forme diagonale ou canonique ».
Pour réduire la forme quadratique ou bilinéaire a la forme canonique, on
utilise la méthode de décomposition en carrés (méthode de Lagrange). On peut
de même utiliser les transformations élémentaires de la matrice associée à la
forme quadratique. Dans ce cas, chaque transformation élémentaire des lignes
de la matrice doit être suivie par la même transformation des colonnes.
La fonction quadratique k (r) est dite d é f i n i e p o s i t i v e (ou d é f i n i e n é g a t iv e )
si k (x) > 0 (resp. k (x) < 0) pour tous les x 6 X différents de o. Si k (x) > 6
(ou k (x) ^ 0) pour tous les x é la fonction k (x) est dite s e m i - d é f i n i e p o s i t i v e
(resp. s e m i - d é f i n i e n é g a t i v e ) . On applique les mêmes termes à la forme quadra
tique qui est l'expression analytique de la fonction quadratique. Pour que la
fonction (forme) quadratique de matrice B = || bij || soit definie positive il
faut et il suffit que tous les mineurs principaux Àh de B soient strictement posi
tifs:
bn ... b lk
A* = > 0, k= 1, . . . , n (4)
bin • • • bkh
(loi de Sylvester).
Soit b (x, y ) une fonction bilinéaire symétrique dans l'espace euclidien <£.
La transformation linéaire cp de l ’espace «£ est dite ass ociée à b (x, y ) si pour tous
x, y 6 % on a b (x, y ) — (x, (p (y)). La transformation associée est auto-adjoin
te. La transformation associée à la fonction bilinéaire est aussi associée à la
fonction quadratique k (x) = b (x, x).
Toute fonction bilinéaire symétrique b (x, y ) (et quadratique k (x)) dans
l'espace euclidien $ n possède une base orthonormée dans laquelle elle a une
forme diagonale:
b ( * . .V )= 2 X iS iili (k (x )= S
1= 1 ' T=1 '
Les vecteurs d'une telle base sont des vecteurs propres de la transformation
associée, et les coefficients Xj sont ses valeurs propres.
La matrice orthogonale de passage d'une base à l'autre permet de réduire
à la forme diagonale toute fonction bilinéaire ou quadratique définie dans un
espace vectoriel X quelconque de dimension finie. A cette fin, il faut introduire
dans X le produit scalaire par rapport auquel la base initiale e devient ortho-
$ 32] PONCTIONS BILINÉAIRES ET QUADRATIQUES 259
n
hermitienne se réduit à la forme canonique 2 I I3» où ej est égal à 1, —1
;=i
ou 0. La loi d'inertie et la loi de Sylvester pour la forme quadratique hermitien
ne se formulent de la même façon que pour la forme quadratique réelle. La forme
quadratique hermitienne k (x) dans l'espace hermitien possède une base ortho-
n
normée dans laquelle elle est diagonale : k (x) = 2 I I2* & est la niatri-
j=i
ce de k (x) dans une base orthonormée, les coefficients kj sont les nombres carac
téristiques de la matrice B .
3 ) 4 x J — 1 2 x ,x 2 4 9 x J, < = j e , — j e 2, e2 = j e , + - £ C 2 ;
(i) 5 x î H- 5 x * + 3 x J - 1- 2 x ,x 2 4 2 ]/ 2 x ,x 3 4 2 K 2 x 2 x 3, e, = e, 4
23) 2 4“ 2 xixj i
i= l
mun unique. Dans ce cas, est définie la notion de projeté du point A 6 A sur
l ’un de ces plans parallèlement a Tautre. A savoir, on appelle projeté du point A
sur le plan (ji') parallèlement au plan (71) (ou parallèlement à r,/f) le point d'in
tersection du plan (ji/) avec le plan de sous-espace directeur tv//, qui contient A .
On appelle segment AB joignant les points A et B de l’espace affine l ’en
semble de tous les points de la forme P (A, t AB) y t Ç [0, 1]. Bien que la distance
entre les points de l’espace affine ne soit pas définie, on peut introduire la no
tion de division d’un segment dans le rapport donné. Si p et q sont des nom
bres tels que p + <7 =£ 0, on dit que le point C divise le segment AB dans le
rapport p : q si qAC = pCB. Si le rapport p : q est négatif, le point C se trouve
a l ’extérieur du segment AB.
On appelle milieu du segment le point qui partage le segment dans le rap
port 1 : 1 .
L’ensemble & de points de l ’espace affine est dit co n v ex e si le segment joi
gnant deux points quelconques de À est contenu dans &.
On appelle enveloppe convexe d’un ensemble cv// de l'espace affine l’inter
section de tous les ensembles convexes contenant çf(.
L’enveloppe convexe d’un système indépendant de points A 0, Alt . . ., Ak
est appelée simplexe Adimensionnel de sommets A 0, A ly . . A h. Le simplexe
0 -dimensionnel est un point, le simplexe unidimensionnel est un segment; le
simplexe bidimensionnel de sommets A oy A ly A t est appelé triangle, le simplexe
tridimensionnel de sommets A oy A ly A -, A 3 est appelé tétraèdre. Tout simplexe
p-dimensionnel dont les sommets sont aes points B 0, B ly . . .. B p de l ’ensemble
des sommets du simplexe fc-dimensionnel donné est appelé face p-dimcnsionnel-
le du simplexe ^-dimensionnel donné (0 < k < p). Les faces unidimensionnel
les du simplexe portent le nom d'arêtes.
Etant donné un point A 0 de l’espace affine A muni de l’espace de vecteurs
X et un système {/x, . . . , / * } de vecteurs de X linéairement indépendants, on
appelle parallélépipède Adimensionnel U (A 0 ; fXy . . fh) de sommet A 0y cons
truit sur les vecteurs fly . . ., fh l’ensemble de tous les points de la forme
P Mo» *1/1 + • ■ • + tkfh)* 0 < tj < 1» ; = (-)
Le parallélépipède 0-dimensionnel est un point, le parallélépipède unidimension
nel est un segment ; le parallélépipède bidimensionnel est appelé parallélogram
me. On appelle frontière du parallélépipède n (A0; fly . . ., fh) le sous-ensemble
de ses points pour lesquels les valeurs d’un au moins des paramètres U dans (2 )
sont égales a 0 ou 1 . L’ensemble des points de la frontière du parallélépipède
pour lesquels p paramètres fixés arbitraires prennent des valeurs quelconques
et k — p paramètres restent constants et égaux a Oou 1 est appelé face p-dimen-
sionnelle du parallélépipède (k = 0, 1, . . ., p — 1). On appelle sommet du
parallélépipède toute face 0 -dimensionnelle de ce parallélépipède (c’est-à-dire
Je point frontière pour lequel chacun des paramètres tj prend la valeur 0 ou 1).
Les faces unidimensionnelles du parallélépipède sont ses arêtes. Le segment joi
gnant deux sommets quelconques du parallélépipède et n’appartenant à aucune
ae ses faces est appelé diagonale du parallélépipède.
^ j i * ) : X , = 0 , x = 1 *f*
2 £2, x = 3 2 j 2, x
3 — 2tx, X = 1 -f- tx —
4 5
TENSEURS
i ) Ê ‘ + 5 2; 2 ) |‘+ V ; 3)
l 2 r\2
Comment se transforment ces nombres avec le changement de base ?
Vérifier si chacune de ces grandeurs est un tenseur, un invariant.
35.2. Faisons correspondre à chaque base de l ’espace X n :
1) le nombre 1 ; 2) un ensemble ordonné des nombres 1
Est-ce que cette correspondance est un tenseur? Un invariant?
(i0 est un nombre entier fixé, 1 ^ x0^ n). Déterminer les composantes
du tenseur proposé dans la base e' = eS.
35.17. Le tenseur de type (0, 1) possède dans une base les compo
santes
11 si i = i0 ;
<— 10 si i # i 0
(i0 est un nombre entier fixé, 1 ^ n). Déterminer les composan
tes de ce tenseur dans la base e' = eS.
35.18. A chaque base de l'espace X n (n > 2) on associe les nom
bres
{ 1 si i = k =#=j = l ;
-1 si i = l =£j = k;
Contraction
(problèmes 36.21 à 36.29)
36.21. En se basant sur la loi de transformation des tenseurs
a]*, aj, b), at, b{i, àhim, \ k, vérifier la loi de transformation des com
posantes des produits contractés:
1) aj{ ; 2) a'jbi ; 3) afi» ; 4)
36.22. En partant du sens géométrique des tenseurs ah aJ, ft/y,
expliquer le sens géométrique des produits contractés:
lJfliP ; 2) a % ; 3 ) 6 , ^ .
36.23. Peut-on contracter:
1) un vecteur et un covecteur? 2) un couple de vecteurs? 3) un
couple de covecteurs?
36.24. Comment sont liés le produit de transformations linéai
res et les tenseurs correspondants?
36.25. Les tenseurs aj, sont définis par les matrices:
A 232’ cio4* *ci04- Calculer les produits contractés:
1) a%i ; 2) a}xt ; 3) à $ x t.
294 TENSEURS ICH. x r v
1) x{yh\ 2) ^ y k) ; 4 )2 ^ ;
5)*<alfc; 6)x*a{; 7) a ^ a ? ; 8) *!*«? ;
9) a*a£; 10) a^a*] ; 11) 12) ôjfli;
13) ôjaj; 14) Ôjaî; 15) ôja?; 16) a ^ .
36.36. Le tenseur ai; est défini par la matrice: 1) A l 0 ; 2) 4 77;
■3) AoA; 4) 4 * 3o. Déterminer les'composantes des tenseurs: a)
b) alW.
36.37. Le tenseur alJk est défini par la matrice : 1) 4 850 ; 2) 4 851 ;
3) 4 720. Déterminer les composantes des tenseurs: a) a^jyk ;
b) alu*)"» c)
36.38. Le tenseur aÿi est défini par la matrice: 1) 4 894 ; 2) 4 884.
Déterminer les composantes des tenseurs: a) afëp; b) aÿoî c)
36.39. Le tenseur atjk est défini par la matrice: 1) 4 850 ; 2)
4 flsi; 3) 4 720. Déterminer les composantes des tenseurs: a) auj]k ]
b) ai[}h]y <0 0[iU\k]-
36.40. Le tenseur a# est défini par la matrice: 1) 4 894 ; 2) 4 884.
Déterminer les composantes des tenseurs: a) a**/1; b) apuj ; c)
36.41. Le tenseur aiJh est défini par la matrice: 1) 4 726 ; 2)
4 72l. Déterminer les composantes des tenseurs: a) b) aUJh).
36.42. Le tenseur de type (0, 3) est défini par la matrice: 1)
4 723; 2) 4 725 ; 3) 4 720 ; 4) 4 650 ; 5) 4 722. Etablir si le tenseur est
.symétrique (antisymétrique) et s’il l’est, établir par rapport à quel
indice.
36.43. Le tenseur a) est défini par la matrice: 1) 4 r,8; 2) 4 207.
•Calculer les invariants: a) a\ ; b) ; c) a\ia)a\y Comparer les in
variants trouvés avec les coefficients du polynôme caractéristique
<ie la matrice considérée.
36.44. 1) Démontrer que le tenseur (voir problème 35.21)
est symétrique gauche par rapport à tout couple d’indices.
2) Démontrer^que le tenseur eit...in est symétrique gauche par rap
port à tout sous-ensemble de l’ensemble des indices.
3) Démontrer que le tenseur ôV'*’V» (voir problème 35.20) est sy
métrique gauche par rapport à tout couple d’indices supérieurs.
4) Démontrer que le tenseur est symétrique gauche par
rapport à tout sous-ensemble de l’ensemble des indices supérieurs.
5) Démontrer l’assertion 4) pour les indices inférieurs.
36.45. Soient atj et bhl les composantes des tenseurs symétrique
et antisymétrique respectivement. Calculer le produit contracté
1) = BIi,- 1‘I ;
cessa ire, modifier Tordre des indices dans le tenseur obtenu (transposer sa ma
trice). De façon analogue, les produits tensoriels a 0 g* et g* 0 a permettent
«de réaliser Télévation d'un indice.
Considérons quelques exemples.
1. Soit à abaisser l'indice du tenseur aj. Il doit y résulter un tenseur de
•type (0, 2). L'ordre ordinaire des indices des tenseurs aj et a t j étant le même,
l'abaissement de l'indice du tenseur a j aboutit au tenseur a = g ^ ta k .
2. Pour élever le premier indice du tenseur a t j , on doit procéder de façon
.analogue :
aj = g i k a kJ = a hJg M .
ÂAf = A B + B M = b + [ i ( a — | - b ) = p a + ( l — g - p ) b.
3 5
on peut égaler les coefficients de a et b. Il vient 1 — =- k = u, k = 1 — =?• p, d'où
O o
3 16
k = — , fi = — . Finalement,
4.11. On = - | ( i £ — ÂB), ÊC = Ë b + DC = j M ) +
^-~AB. Par suite, les vecteurs de base du second repère s'expriment en Tonc-
O
tion des vecteurs de base du premier repère de la façon suivante: e j= -i-ex +
o
x — e2. ei = — % ej + e2. On a par ailleurs : AE = AB + BE = AB +
13 ** w o
l-L (Âd — AB), de sorte que l’origine du second repère a, dans le premier repè-
9 J\ 2 o
( 1
ÿ . -J J . Il ne reste qu’à écrire: x = — x' — — j,' 4 - ^ . ,
9 9 J
»= + T 11' + T '
5.19. Si les trois points .4, B, C se trouvaient d'un même côté de la droite
recherchée, ils appartiendraient à une même droite parallèle à celle-ci. Or les
points A y B, C ne sont pas alignés; donc, deux d’entre eux se trouvent d’un côté
de la droite recherchée, et le troisième, de l’autre côté.
Si A et B se trouvent d’un côté de la droite, et C de l’autre côté, la droite
recherchée passe par les points L (2, 3) et M (—1, 2), milieux respectifs des seg-
j _ 2 y _ 3
ments BC et AC; son équation est = •>—!$ ' c est"à“dire * — 3y +
4“ / —o.
On étudie de façon analogue les deux autres cas de disposition des points
A, B, C par rapport à la droite.
SOLUTIONS 307
\1A+AB+AC\ _ A
9 \rA*+B-+C- 45 '
Divisons (1) par (2)
2 | A + 2B + 2C | = \7A + AB + 46’ |. (3)
Si l ’origine du vecteur normal du plan recherché est à l’origine des coor
données, son extrémité possède les coordonnées KA, X£, XC, où X=£0. La condi
tion d’appartenance de cette extrémité au dièdre obtus formé par les plans don
nés est de la forme
(1 -7 + 2-4 + 2-4) (X/i + 2 XB + 2XC) (7X4 + 4XB + 4XC) > 0
(voir problème 6.75), c’est-à-dire (/I + 2 B + 2C) (7A + 4B + 4C) > 0. Donc
l’égalité (3) se met sous la forme: 2 (A + 2B + 2C) = 7A + AB + 4C, c’est-
20*
308 SOLUTIONS
est quasi canonique. Il est facile de se convaincre que pour k = 1 cette équation
se réduit à la forme canonique
ü?______ ü _ =1
Jfc-t ^ k — i 6 (A:— 1)
qui correspond à l’hyperboloïde à une nappe, et pour A: < 1, à la forme canoni
que correspondant à l ’hyperboloïde à deux nappes.
2e p r o c é d é . Ecrivons la matrice de la forme quadratique majeure de la
surface et réduisons-la à la forme diagonale en nous servant de transformations
élémentaires des lignes (suivant la méthode de Gauss) et en effectuant les mêmes
transformations de ses colonnes. Ce faisant, si on ne multiplie pas la dernière co
lonne et la dernière ligne par des nombres différents de l'unité et qu'on ne les
ajoute pas aux autres lignes et colonnes, les transformations élémentaires cor
respondent à la matrice de passage T du problème 11.17, 2). Ces transformations
simplifient également la matrice associée à la forme quadratique mineure de la
surface sans modifier les rangs et les signatures. Dans le cas concerné
310 SOLUTIONS
1 — 2 -3 —1 1 0 0 0 1 0 0 0
- 2 —2 0 2 0 - 6 - 6 0 0 - 6 0 0
/N/
05
O
—3 —3 3 —6 — 1 2
1
0 0 0 0 0
—1 2 3 k 0 0 0 * —1 0 0 0 k— 1
W
—1
et (pour X= 2 )
—1
5=/*(t ( - l , d ). (5)
Aux différentes valeurs propres k = 0 et k = 2 correspondent des vecteurs pro
pres orthogonaux, de sorte que pour trouver la base orthonormée engendrée par
les vecteurs propres il suffit de normer les matrices-colonnes (4) et (5). On ob-
^ 2, 1
* = tT+1, y=
V* / 2 /2
2e p r o c é d é. On se base sur les résultats obtenus dans le problème 11.15»
Au début, comme d'habitude, on écrit la matrice de la forme quadratique de la
surface et la matrice-ligne des coefficients des termes linéaires:
- 1 0 0
A= 0 1 —1 a — (1, 3/2, - 5 / 2 )
0 - 1 1
(on ne s'attarde pas ici sur les simplifications dues à la nature des coefficients de
l'éauation donnée, comme on l'a fait en exposant le premier procédé). On trou
ve les valeurs propres et la base orthonormée des vecteurs propres et on écrit
la matrice de pacage S à cette base
1 0 0
k = - 1 , 2, 0; S= 0 -1 //2 1 //2 .
0 1 //2 1 //2
Puis on trouve les projections p et q du vecteur *a sur les sous-espaces & et fl.
Dans le cas considéré, le sous-espace & est unidimensionnel et est engendré par
le vecteur e3 = *(0, 1 /^ 2 , l / j / 2 ). Donc, q = (*a, e3) e^_= <(0, —1/2, —1/2),
p = *a — q = *(1,2, —2). Le nombre (*a, e9) = —1/}^2 définit le coefficient
du terme linéaire de l'équation quasi canonique (les valeurs propres —1 , 2 , 0 sont
les coefficients des carrés des inconnues). Par suite, l'équation quasi canonique
peut déjà être écrite à cette étape
- l s + 2vp - V ü = o.
Les coordonnées de l'origine du repère quasi canonique s'obtiennent à partir du
système d'équations (H) du § i l si on calcule au préalable le vecteur *a + q =
= *(1, 1, —3) :
- x + 2 = 0, y - z + 4 = 0, - y + s - 4 = 0, x + y - 3r + 1 = 0.
Le système est compatible, et sa solution unique définit les coordonnées du point
O: x = 1 , y = —2 , z — 0 . Ce procédé a un faible avantage sur le premier de
permettre le calcul direct des coordonnées de l'origine du repère canonique.
11.22. 17) Fournissons une solution s'appuyant sur les résultats obtenus
dans le problème 11.15. On écrit d'abord la matrice de la forme quadratique de
la surface et la ligne des coefficients des termes linéaires:
0 0 0
A= 0 9 12 , a = (5/2, 5, 5/2).
0 12 16
SOLUTIONS 313
Sa solution normée est, par exemple, e2 = (*(5, —4, 3)). On peut mainte
nant écrire la matrice orthogonale à partir des vecteurs elt e2t e3
0 1 / / 2 1 / / 2
5= 3/5 •- 4 / ( 5 y l ) 4/(5 ÿ l )
4/5 3/(5 y % - 3 / ( 5 Y %
qui est la matrice de passage à un repère quasi canonique. Les nombres caracté
ristiques trouvés 25, 0, 0 et la valeur de 2 (*a, e3) = 2 | q | sont les coefficients
de l'équation quasi canonique de la surface donnée
25g* + 5 /2 Ç = 0.
La surface donnée est donc un cylindre parabolique. Il ne reste qu'à trouver les
coordonnées de l'origine O du repère quasi canonique. Elles sont définies par le
système d'équations (11) du § i l . On calcule le vecteur q + *a = *(5, 7, 1 )
et on écrit ce système:
9y + 12z + 3 = 0, 12y + 16z + 4 = 0, 5z + 7y + 2 + H = 0. (10)
Le système d'équations (10) a une infinité de solutions. Toute solution convient r
par exemple, O (—26/15, —1/3, 0).
12.60. 2) Désignons l'aire cherchée par S. La transformation
x* = a xx + 6, y + clf y* = a^x + b*y + c2 ( 11>
fait correspondre aux deux premières droites les axes Oy et Ox. Trouvons l'image
(D*) de la troisième droite en substituant les solutions du système (1 1 )
OU
fli bx x*—ei
a2 b2 y*-~c2 = 0,
«3 b2 —c.
c’est-à-dire
ax bx x* al
a2 b2 y* = O* 6. c. = A.
a, 6, 0 «3 *3 «3
1 X 1 ... 0 0
0 0 0 ... 1 x
Par suite, le problème se réduit à 14.24,10), ce qui fournit, après substitutions
adéquates des notations, la première des formules indiquées dans la réponse.
-Cette formule reste encore vraie dans le cas trivial de b = 0. Pour obtenir la ré
ponse sous une autre forme, on considère que x est une variable. A peut alors être
traité comme un polynôme en x de degré n à coefficient dominant 6 n. D'après
.le théorème de Bézout
A = A (*) = 6 n I | ( x - a „ ) ,
A = *n ï ï ( T - 2c0S T T r ) = n (« —26COS -
Il va de soi que cette formule est encore vraie dans le cas trivial de b = 0.
15.50. Chaque transformation élémentaire des lignes de la matrice A est
>équivalente à la multiplication de A à gauche par une matrice élémentaire obte
nue de la matrice unité par la même transformation élémentaire. Toute matrice
régulière peut être réduite par des transformations élémentaires en matrice unité.
•On obtient donc dans ce cas Sh . . . StA = E , d’où Sk . . . St = A*1, A =
= S 7 1 . . . Sj*. Les matrices Sj*1, . . ., Sj* sont élémentaires tout comme
S i, . . ., Sh ; elles s'obtiennent de la matrice unité par des transformations élé
mentaires « inverses » des lignes. ^
15.51. 1 ) Considérations générales: en vertu de la solution du problème
15.50, A = S i 1 . . . Sj*t où les matrices £ 1? . . ., Sk correspondent aux trans
formations élémentaires des lignes de la matrice A , qui la font passer en matrice
unité. Après avoir trouvé St9 . . ., Shl on obtient S f 1, . . ., Sj*. L’exemple
•ci-dessous montre que le processus peut être raccourci d'une étape. Soit à sim-
316 SOLUTIONS
plifier la matrice A =
Il q1 11 • Multiplions la deuxième ligne par —1/2,.
0 1 - 1 /2 - 1 /2
A=
0 0
En supprimant les lignes nulles, simplifions les autres lignes de A (les transfor
mations élémentaires des lignes de la matrice remplacent le système d’équations
homogènes par un système équivalent)
1 1 0 - 1 0 1 1 0 - 1 0 1 0 - 1 0
1 0 1 — 1/2 — 1/ 2 | 0 —2 1 1 1 - 2 0 1
A la dernière matrice correspond le système d’équations donné dans la réponse :
•x — s = 0, x — 2y + t = 0.
19.6. 42) Le système d’équations est défini par la matrice complète
Il A 5 0 i | c 68 || . On trouve dans la liste des matrices:
1 3 5 7 9
11^581 IC5bII— 1 — 2 3 - 4 5
2 11 12 25 2 2
Cette matrice complète correspond au système d’équations
Xi -f* 3xj + 5x 3 + 7x4 + 9x3 = 20,
xl — 2xs + 3x3 — 4x4 + 5x5 = — 5, (15)
2xt + l l x a + 12x3 + 25x4 + 22x6 = 65.
En appliquant l ’algorithme de Gauss, on réduit la matrice complète à la forme
simplifiée
1 0 19/5 2/5 33/5 5
0 1 2/5 11/5 4/5 5
0 0 0 0 0 0
Notons que le système est compatible car les deux premières colonnes de la ma
trice complète (16) sont principales. La matrice complète (16) correspond au sys-
*) Dans l’introduction au chapitre VIII on a indiqué un autre procédé de
résolution de ce problème (en termes d’espaces vectoriels).
318 SOLUTIONS
tème d'équations
,1 9 ,2 ,3 3 _
*l + ~ X3+*5“ **+— *6=5’
(17>
, 2 ,1 1 ,4 _
X2+"Tp *3H-- g“ *4H—tp *6—5,
qui est équivalent à (15). Les inconnues principales sont xlf x2, les inconnues non»
principales, xa, x4, x5. Désignons ces dernières par fc2, On obtient la solu
tion générale :
Xi= — 19 5 a - 4 * 2“ ^t *3+5’
11 4
r2-------- g- hi ----- g - h2---- g" A j+5» (18>
l = * l. *« = **. **=^s-
La solution générale du système d’équations (17) peut être obtenue par un autre
procédé. D’abord, en posant x 3 = x 4 = xt = 0 dans (17), on trouve sa solution
particulière :
A-„= (19>
0 1 0
0 0 1
0 0 1 0
Il est évident que (20) est une autre écriture de la formule (18).
SOLUTIONS 319
- 1 9 /5 -2 /5 - 3 3 /5
-2 /5 - 11/5 -4 /5
o= 1 0 0
0 1 0
0 0 1
0 0 1 0
0 0 *+ 0
II
h2
0 -5 0 0 /V
L
*3
0 0 —5 0
0 —5 0 0
0 0 — 5 0
19.34. Cherchons la droite A x + B y -f- C = 0 qui passe par ces trois points.
Considérons les égalités
A ai + Bbi -f- C = 0,
A a 2 -f- Bb2 “h C = 0,
i4a3 -)- -(- C = 0
tcomme système d’équations en A, B, C dont la matrice des coefficients est
«i bi 1
M= «2 b. 1
«3 b, 1
19.42. 1) Cherchons tous les plans qui contiennent trois points donnés.
Ce problème se ramène à l'étude du système d'équations
Aax + Bbi + Ccx + D = 0,
Aat + Bbs + Ccs + D = 0,
Aa3 + Bbz + Cc3 + D = 0
en A y B, C, D . Vu que le dernier coefficient dans chaque équation vaut 1, cha
que solution non triviale du système vérifie la condition A1 + B* + C* ^ 0
et définit en effet un plan contenant les trois points donnés. On s'intéresse au
cas où la famille fondamentale de solutions contient une solution unique et il
existe alors un plan unique contenant les trois points donnés. Il faut et il suffit
pour cela que
fli b i C\ 1
Rg a2 b. Crt 1
«3 b. «3 1
20.21. L'espace des polynômes impairs de degré au plus égal à 5 est de di
mension 3; représentons les polynômes donnés par les matrices-colonnes de leurs
coordonnées dans la base (t, f3, fft). Réduisons la matrice complète correspon
dante à la forme triangulaire:
2 0 1 - 1 — 1 0 2
0 1 1 — 1 0 1 1 —1
1 —1 0 2 0 0 1 —3
Tl est maintenant clair aue les polynômes 21 -h *3 — t + t* forment une
base dans l'espace des polynômes impairs de degré < 5. Continuons les transfor
mations élémentaires de la matrice complète:
1 0 0 4
0 1 0 2
0 0 1 -3
Le polynôme 5* — t3 + 2ts possède dans la base (2t + t3, t3 — t3y t + *3) la
matrice-colonne de coordonnées *(4, 2. —3).
20.26. L'espace des matrices symétriques gauches d'ordre 3 est de dimen
sion 3 ; les matrices
0 1 0 0 0 1 0 0 0
1 0 0 , 0 0 0 * 0 0 1
0 0 0 — 1 0 0 0 —1 0
0 a 6
- 1 2 3
= 13 =£ 0, le second système est une base. Le fait que le premier système
est une base peut ne pas être spécialement vérifié car il résultera des calculs
ultérieurs. La matrice de passage S est recherchée à partir de l ’équation G = FSy
21-340
322 SOLUTIONS
c ’est-à-dire de
1 3 1 1 0 —1
1 5 0 = —2 - 1 2
2 3 3 4 -2
Pour résoudre cette équation matricielle, écrivons la matrice || F | G || . Par
des transformations élémentaires de ses lignes, réduisons la partie gauche à la
matrice unité (on vérifie ainsi automatiquement que le premier système est
une base) ; dans ce cas la partie droite se transforme en matrice recherchée S .
On a
1 0 —1 1 3 1 1 0 0 9 40 9
_2 — 1 2 1 5 0 0 1 0 — 3 — 11 —2
3 4 _2 — 1 2 3 0 0 1 8 37 8
-i
21*
324 SOLUTIONS
la matrice-colonne de coordonnées *(—1, —1, —1). Les vecteurs blf bs, a3 forment
une base orthogonale propre delà transformation associée; en normant ces vec
teurs, on obtient la base propre orthonormée recherchée. Pour plus de commodité,
on change le signe de toutes les coordonnées du vecteur b2. Les matrices-colonnes
de coordonnées des vecteurs obtenus forment la matrice de passage de la base or
thonormée donnée à la base (blt —b2, a3), c'est-à-dire la matrice S = A 322.
Dans la base trouvée, la forme (juadratique s’écrit 3x't 2 + 3xi2 — 3xJ2. En se
servant de la matrice 5 , on peut écrire le changement de coordonnées réduisan
SOLUTIONS 325
*! = • 1 1
/2 V3 V*
1
x2= —T=-
|/ 3 |/6 *3.
*3=* *i + / 6
1/2 /3
32.36. 11) Indiquons deux procédés de résolution du problème.
1er p r o c é d é . Les deux formes seront étudiées dans l'espace arithmétique
tridimensionnel des matrices-colonnes. Ecrivons les matrices associées aux for
mes données dans la base initiale :
6 0 3 2 0 1
F= 0 1 —3 , G= 0 1 - 1
3 —3 6 1 - 1 2
sont strictement positifs, donc d'après la loi de Sylvester, la forme g est définie
positive. Considérons la forme bilinéaire
txGy = 2x,yt + xjy, + x,yx + — xay3 — x,ys + 2x,y,
ui lui correspond et traitons-la comme produit scalaire, de sorte que l'espace
3§onné devient un espace, euclidien. La méthode exposée dans l'introduction au
32 permet de trouver une base orthonormée de vecteurs propres de la transfor
mation linéaire auto-adjointe <p associée à la forme f. Les valeurs propres et les
vecteurs propres se calculent d'après les formules (6 ) et (7) du § 32:
6 -2 X 0 3 —X
d e t(F — XG) = 0 1 -1 -3 + X
3 —k — 3+7t 6 -2 X
2 0 1
= (3 - k )2 0 i-k -3 + X = —(3 —X)2 (3+X) ; *.= ± 3 .
1 —1 2
12 0 6 0 0 0
F+3G = 0 4 - 6 , F —3G = 0 _2 0
6 —6 12 0 0 0
vecteur on peut prendre toute solution non nulle de l'équation x2 —0 , par exem
ple, b = M l , 0, 0). Pour obtenir le deuxième vecteur propre c = *(xlf x2, x3),
joignons à l'équation x2 = 0 la condition d'orthogonalité des vecteurs 6 "et c;
soit i bGc = 2x x+ x 9 = 0. Des deux éauations x2 = 0 et 2xi + x3 = 0 on tire
que c = *(1, 0, —2) à un facteur numérique près. Normons maintenant les vec
teurs trouvés 6 et c en calculant le carré de leurs longueurs g (6 ) = 2 et
g ( c ) = 6 . Notons que les vecteurs b et c sont orthogonaux à a , vu que les va
leurs propres associées sont distinctes et la transformation <p est auto-adjointe.
On a obtenu la base orthonormée des vecteurs propres de la transformation q>,
soit e ; = ' ( - 1 / / 3 , y T , 2 / / 3 ) , e’s = ' ( 1 / / 7 , 0, 0), * ( l / / 6 , 0. - 2 / V I ) .
Dans cette base, la matrice F' de f est diagonale, par suite, f est de la forme dia
gonale :
F’ = diag ( - 3 , 3, 3) ; f (x) = - 3x? + 3x? + 3*;2.
Vu que la base (<e\ , e 2 ,ej) est orthonormée par rapport au produit scalaire intro
duit, le carré scalaire du vecteur (valeur de la fonction g sur le vecteur) s'y ex
prime sous la forme canonique
g (x) = x\- -f
Il reste à écrire avec e|, e2, e3 la matrice de passage
-1 //3 mV ï i/y ë
s= 0 0
2/ Ÿ ï 0 -2 //Ô
et d'après cette dernière les formules de changement des coordonnées
1 x« — ~\f 3 xx ;
*1 1 T' 1 ,- J3 i
K3 Y * |/ü
2 9
/ 3 ** / s ' * -
Rappelons-nous maintenant que dans un espace vectoriel arbitraire (et, par sui
te, dans l'espace des tenseurs de type (0 , 2 )) les anciennes composantes du vecteur
s'expriment en fonction des nouvelles par la formule | = S \ ' . Cela signifie
que la matrice des produits T*Tj dans la formule (25) est justement la matrice
de passage recherchée. On vérifie aisément qu'elle est égale à i T ® l T.
37.15. En se servant du résultat obtenu dans le problème 37.7, 1), on
obtient les composantes du tenseur associé au produit cjxp* :
c,h = gm,aT e ÜBihaj =
Si l'on introduit les notations bkj = g ^ à 1- — **i» il vient
eah = gljb 8lbkji eks ~ gl*bklb8j-
En utilisant la symétrie du tenseur on est en mesure de vérifier que les ex
pressions de cka et csk ne diffèrent que par la notation des indices de sommation
et par l'ordre des facteurs numériques.
REPONSES ET CONSEILS
I AC | I4 0 |
|4 0 |+ |4 C | | 4 B | + | 4 C | )■
1.20. 4 (0 , 0), B (2/3, - 1 / 3 ) , C (l, 0), 0 (2 /3 , 2/3), E( 0, 1 ), f ( - l / 3 , 2/3).
0 (1 /3 , 1/3); O est le centre de l'hexagone. 1.21. 4 (0 , 0), B( 0, 1), C (1/4, 1).
0 ( 1 , 0), A f(1/5, 4/5), S(0, 4/3). 1.22. C (l, 1, 0), B j(l, 0, 1 ), Cl (l, 1 , 1 ).
K (1/2, 0, 1), 0 (1 , 1, 1/2), JJ* (1/2, 1/2, 1), JV(1/2, 0, 1/2), 0 ( 1 /2 , 1/2, 1/2).
1.23. 0 ( * j —x2-\-x3, ÿ!—y3 + y 3). 1.24. 1) M ( ,
+ o v „ / n x 1 - m JrI ny%- m y t \ C o n s e il: se
-m n—m n —m /
servir du problème 1.18. 1.25. 1) ( — 3, 16); 2) (9, —20). 1.26. |/ * l + * î + *3
3
yi+yg+y» *l + ^+^3
g-------y • 1.27. Tq —r 2 “H r3 —r l î * R X — r24“r4 — ri*i.
l» rrn
Dt =
3
= r j+ r«—rlt rCj = rs+ r 3+ r 4—2r,. 1.28. r D = r i+ — (ra—rt), r.v =
n m 'n m
— m . n
_ r l I "m-\~n
_ T T r 3» r s ---- n
- ----
—m -- r l T ”m----
—n “ r 2*
, M I r , —rt | r3+ | rt — r3 | rt+ | r3—rt | r3
1.31. O est le point d’in-
‘ I ri — Ti I+ I r3 —r3 | + | r3 —r3 |
REPONSES ET CONSEILS 329»
L (i, 5, 2); 3) (0, 0, 0) et (4, 0, —2). 2.28. (5, 2). 2.29. (1, — 1, 3).
1 , , 1 _ 1 , , 2 , 1 , , 1 _ 1 , 1 ,
3 * + 3 .y 3 X ^ * 3 y 3 * **" 3 ’ * 3 * 3 y
— 5- * ' + T - *•**• * = 2 r' + 2y ' + * \ y = x' + 2y' + *',*=* - x ' - / -
— z' + 1. 4.22. x = — z' + 1, y = y' + 2z' — 1, z = —x' — y' — 3z' +
+ 2. 4.23. «îi + «îi = lt flîa+ a 5 j = l , 011 ^1 * + «aiûa*= 0. 4.24. 1) a j ,+
+ «îi + a§, = 4, a?* + + «w = 1 * « ? 3 + «fc + «w = « n « ia + « 3 i«**+
+ «31«32 = 0* «11«13 + «21«23 + «31«33 = «12«13 + «23«23 + «32«33 =
«11 «12 «13
2) « 2 1 « 2 2 « 2 3 > 0 . 4.25. 1) x = x' coscp — y' sincp + x0, y = x sin<p+
«31 «32 *33
+ y ' cos q> + y0; 2 ) x ' = (x—x0) cos q> + (y— y 0) sin <p, y' = (y — yo) cos<p—
— (x —x 0) sin <p; 3 ) 0 ( —x0coscp— y 0 sin q>, x0 sin <p— y0 cos <p). 4.26. 1) x =
1 , y! . , . v l , , I , , „ „ 1 , 1
—— * — hÿ-y + ! > v = ^ . * ' + 42 y' + 3 ; 2) * = —/ 7s
2 **— / W
2 j'+
î
—=■ *'
i
H- —rrs- y’ -+■ 3 ; 3) * = — y’ + 1, y = x ' + 3 ; 4) x =
+ 1’ ÿl * Yl
= —x' -j- 1, y = —y' -f- 3. 4.27, l ) x = x ' cos <p+y' sin <p+x0, y = x' sin 9 —
— y' cos 9 -f-y 0 ; 2 ) x' = (x — x0) cos 9 + (y — y.) sin 9 , y' = (x—x0) sin 9 —
— (y— y0) cos 9 ; 3) O (—x 0 co s 9 —y , sin 9 , —x ,s in 9 + y 0 cos 9 ). 4.28. x =
3 , 4 , , 48 4 , 3 , . 36 . „ 1 ,
y = -c - x -----=- y + - ^ - . 4.29. x = — x —
= “ T * “ F* 25 25
1 1 y= T1 x ' + —1 ^ - T - + 3 , r = — z'H- — z' +
---- 7=“ y — ô“ * — 1* ir=
/2
+5. 4 .3 0 . x = 4 * ' - - » ' - T * ' + T ’ y = - T x' + T ÿ' “ T * ' +
.2 2 , 2 , , 1 , , 2
""** 3 ’ 3 x 3 y 3 * "*" 3 *
5 .1 . 1 ) a2 et a2 ne sont pas colinéaires; 2) at et a. sont colinéaires, a ,
et r2 — r, ne le sont pas; 3) a„ a ,, r2 —r2 sont colinéaires. S .2. 1 )-
3) x = 1 , ÿ = 3; 4) x = 1, z= 1 ; 5) y = 3 , s = l . 6.19. 1) x+
+ 3ÿ — 1 0 = 0 . 2 y + s — 5 = 0; 2) x + y - 5 = 0, z = 5; 3) y = l, s = 2. 6.20. 1>
2y—s + l = 0 ; 2) 6 x + y — 1 0 i+ 2 5 = 0 ; 3) 4 x - 1 2 y + 3 z - 1 2 = 0; 4) x = 2 ;
5) trois points donnés sont alignés et ne définissent pas un plan. 6.21. Les
x
plans se coupent suivant la droite 2) coïncident ;
T
3) sont parallèles; 4) se coupent suivant la droite
x+3 y_ z—2
3 1 —1 ’
6.22. 1 ) a ^ ± 3 ; 2) a = 3; 3) a = —3. 6.23. 1) La droite appartient au
plan; 2) l'intersection est au point (53, 24, 18) ; 3) l'intersection est au point
(—3/4, 1/4, 1/2); 4) la droite appartient au plan; 5) la droite est parallèle
au plan. 6.24. 1) a ^ ± 1/2 ; 2) a = —1/2; 3) a = 1/2. 6.25. Les droites
se coupent au point (—3, 0, 4) et appartiennent au plan 2 x — y + 6 z — 18 =
= 0; 2) sont non coplanaires; 3) sont parallèles et appartiennent au plan
5x — 22y + 19 z + 9 = 0 , 4) coïncident; 5) se coupent au point (—3, 5, —5)
et appartiennent au plan 9x + \0y — 7z — 58 = 0. 6.26. 1) a = 3 ; 2) a ^
# ± 1 , a =£ 3 ; 3) a = —1 ; 4) a = 1. 6.27. 1) Les plans ont un seul point
commun (1 , 1 , 1 ); 2 ) les plans n'ont pas de points communs : sont parallèles
deux a deux; 3) les plans coïncident (l'ensemble des points communs
est le plan x + 2y — z — 1 = 0) ; 4) les plans forment un prisme (l’in
tersection de chaque couple de plans est une droite, trois droites d'in
tersection sont parallèles deux à deux) ; il n'existe aucun point appartenant
aux trois plans; 5) les plans se coupent suivant la droite commune -rp—
= 0 ; 2) 2 x - y + * = 0, 2 5 x + 1 2 y -2 0 z = 0. 6.36. 1) 1 3 x - 1 2 y + llz + 3 6 = 0 ,.
x - 2 y + * + 4 = 0 ; 2) x — y — * + 1 = 0 , 8 x + 14y + 19* + 13 = 0.
6.37. 2x — 3y + 5* + 21 = 0, x — y — * — 17 = 0. 6.38. Deux plans:
H z — 13y + 8 * + 18 = 0 , 2 0 x — 8 y — 5* — 2 2 = 0 . 6.39. Quatre plans:
x + 4y + * — 5 = 0, x — lOy — 6 z + 23 = 0, 2x + y + 2z — 10 = 0, 2x +
+ y + 9* — 38 = 0. 6.40. Sept plans : 5x + y — 7* + 13 = 0, 3x — y —
— 5* + 15 = 0 , * — 4 = 0, x + y + 2 — 7 = 0, x — * + 1 = 0, x + y —
— 3* + 5 = 0. x — 2 * + 6 = 0. 6.41. 1) a) P (11/3, 0, 0), Q (0,11/2, 0),.
R (0, 0, 11/4), S (—5, 13,0) ; (Lt) :3x + 2y + 4* — 11 = 0, * = 0 ; (L2]1 :3z +
+ 2y + 4* - 11 = 0, y = 0 ; (Z,,) : 3x + 2y + 4* - 11 = 0, x = 0 ; b)
P (7/2, 0, 0), Q (0, 7, 0), R (0, 0, 7/2), S ( - 2 , 7, 2) ; (£,) :2x + y + 2* — 7 =
= 0, * = 0 ; (Ls) :2 x + y + 2 * - 7 = 0, y = 0; (£,,) :2x + y + 2 z - 7 = 0,
x = 0 ; c) P (2/3, 0, 0,), Q (0, 2, 0), R (0, 0, 2), S ( - 3 , 10,1) ; (L,) :3 x + y +
+ * — 2 = 0, s = 0; (Lt) :3x + y + z — 2 = 0, y = 0 ; (L,) :3x + y + z —
— 2 = 0, x = 0; 2) a) P ( - 4 /3 , - 1 /3 ) , Q (1/2, 3/2), R (1/2, —5/4), (Lt):u —
— v + 1 = 0, (Lt):u + 2v + 2 = 0, (La):u = 1/2; b) P (—1/2, - 3 /2 ) ,Q (3,.
2), R ( - 1 /2 , 2), (Li) : u - v - 1 = 0, (Lt):u = - 1 /2 , (£,):» = 2; c) P (1/3,
1/3), Q (1, 1), R (—1. 1). ( L \) : u — v = 0, ( L t ) : u + 2v — 1 = 0 , (£,): i> = 1.
6.42. 18: 125. 6.43. 1) (A, B, C) ; 2) [n„ n,], où D{ (a,, 6 ,, c,), i = 1, 2, 3.
6.44. 1) - î = l = l ± l = J ^ i ; 2 ) y = —l , z = 2 ; 3 ) x = l , * = 2 ; 4 ) x = l ,
y = - l ; 5 ) - ^ = 4 ± i - ^ T ^ -- 6*45- D 4 x - 3 y + * + 4 = 0; 2) 3 x + 4 y +
+ 21* - 36 = 0 ; 3)* = 1 ; 4) y = 3; 5) x = 1. 6.46. 5 x — 1 0 y -3 * - 3 =
= 0. 6.47. 1) 5x - 2 y - s — 2 = 0 ; 2 ) 7x — y + 4* — 3 = 0. 6.48. x —
— y + 2 * = 0, 13x + 5y - 4* + 30 = 0. 6.49. (1, - 3 , 2 ). 6.50. 1) V ÿ ,
2) 1 ; 3 ) 2 ; 4) 1/3 ; 5) 0; 6 ) 2 ; 7) 4 ; 8 ) 1. 6.51. 1) 2; 2) 5; 3)3/10. 6.52 1) 6 x —
— 3 y + 2 * + 2 6 = 0 et 6 x —3y + 2 * - 1 6 = 0 ; 2 ) x + 3y — * + 4 / ï ï = 0'
et x + 3y — * — 2 = 0; 3 ) 2 x + 2y — * + 2 = 0 e t 2 x + 2 y — *—
— 16 = 0; 4) 3 x + 4* ± 15 = 0. 6.53. (1, 0, —1) ou (—1, —3, —2).
6.54. (0, 0, 1) ou (-6 /9 7 , -1 8 /9 7 , 127/97). 6.55. 2 x - 2y — * - 2 = 0,
x + 2y — 2* + 5 = 0, 2x + y + 2* — 5 = 0, 2x - 2y - * - 11 = 0, x +
+ 2 y — 2 * + 14 = 0 , 2 x + y + 2* — 14 = 0. 6.56. x / 2 + * - 3 y l =
= 0 , x / 2 - * + 3 Y l = 0, y y/2 ± * = 0. 6.57. 1) (3, - 1 , 0), (3, - 1 , - 1 ) ,
(3, 0, 1 ), (3, 1, 1), (0, - 1 , 1), ( - 3 , - 1 , 1); 2) (2, - 3 , - 1 ) , (1, - 5 , - 3 ) ; 3)
(1, - 4 , - 5 ) , ( - 1 , - 7 , - 1 1 ) . 6.58. 6.59. 1) x +
+ 5y - * - 25 = 0, 17x — 7y - 18* + 35 = 0 ; 2) x + 5y - * - 25 =
= 0, Ix — y + 2z + 8 = 0; 3) un point unique (0, 5, 0).
6.60. 1) Arc cos ( v'6/3) ; 2) Arc cos ; 3) Arc cos ; 4) 90° ; 5) 90° ; 6 ) 0.
y—5 2 -5
6.67. 90°, 45°, 45°; 4 :r+ 3 i/-2 'i = 0 . 6 .6 8 . 1) 3,
7 + 3 / 3 —7 —6 / 3 *
x —2 _ y + 1
<4, -3, 1), (6 , —5, 2),
2 “ —2
16\ /44 1 32 \ x— 2
9/ ’ \ 9 ’ 9 ’ 9) ’ 13
73 15 ___2 \ _23 4\ i-2 y+i
A7 ’ 7 1 7 / (-*• 7 ’ 7J ’ Il 8 2'
<6.69. (3, 0, 0) ou (2, - 1 , 2). 6.70. 1) / 2 6 / 7 ; 2) y l Ë ; 3) 1 / / 5 9 . 6.71. 1) 5 x +
+ — z — 24 = 0, 4* — y + 2* — 43 = 0; (5, 3, 13) et (6 , 1, 10); /1 4 ',
2 )2 * — 5 y + 8 2 — 9 = 0 , i — 2 + 8 = 0; (—4 ,3 ,4 ) et (—1 ,9 ,7 ); 3 / 6 ; 3 ) 3 x —
— 2y — z — 6 = 0, 5* + 34y - i l z — 38 = 0 ; (7, 3, 9) et (3,1, 1) ; 2 / 2 1 -
- f 202'
RÉPONSES ET CONSEILS 337
/ 2 .
7.1. 1) 2 ; (0, - 2 ); 2) - L ; ( - 2 , 5 , 2,5); 3) 11/4; (3, -1 /4 ); 4) 0/14;
1 2
(1/7, 1/2). 7.2. ;4 = fl= £ 0 , C*-\-Di > A E . Le rayon est égal à
/C ^ + Z ?2 — A E l\ A I, les coordonnées du centre sont (—CIA, —DlA)
7.3. (*—2)9+ ( y —2)* = 10.7.4. 1) | A a + B b + C | > R y rA * + B t; 2) | Aa+Bb-\-
+ C \ < R / i l * + B * ; 3 ) | A j + £ 6 + C | = iî J/i4 2 + B *. 7.5. 1) 4 * - 3 y + 1 5 = 0 ;
2) 4 x + 3 y —16 —0, 4x—3 y + 8 = 0. 7.6. 5x—1 2 y + 2 9 = 0 , 5x—12y —23 = 0 .
7.7. 1) x + ÿ —0 = 0; 2) x + 2 ÿ —16 = 0. 7.8. x - 5 = 0, y —2 = 0 , 3x—4 y +
+ 5 = 0, 4 x + 3 y - 2 0 = 0 . 7.11. ■ |. 7.12. «, AB | 9.
/--î---------------
7.13. a, j / — |j4 £ | 2 — a-, 7.15. 1) Disque fermé de rayon 2
et de centre au point (0 , —2 ); 2 ) extérieur du disque fermé de rayon
5 et de centre au point (—1/2, 3/2) ; 3) partie du disque de rayon
3 / 2 et de centre au point (—3 / 2 , 0 ), située dans le demi-plan inférieur (sans
points frontières) ; 4) partie du plan, comprise entre deux cercles concentriques
de rayons 1 et 3 et de centre au point (1, —1) (avec les points de ces cercles) ;
5) intérieur de l'ellipse de demi-axes 4 et 3, dont le centre est le point (0, 0) et
dont les foyers se trouvent sur Taxe Ox (avec les points de la frontière) ; 6 ) exté
rieur de l'ellipse de demi-axes 3 et 2, dont le centre est le point (0, 0) et dont les
foyers appartiennent à l’axe Oy (sans points frontières) ; 7) partie au plan, compri
se entre deux ellipses de centre commun (0 , 0 ) et de foyers situés sur l ’axe Ox ;
l ’une des ellipses a pour demi-axes 9 et 3, et l ’autre 3 et 1 (avec les points de la
frontière) ; 8 ) intérieur de l ’ellipse de demi-axes 1/2 et 1/3 et de centre au point
(1/2, —1/3), dont le grand axe est parallèle à l ’axe Ox (sans points frontières) ;
cette ellipse est inscrite dans le quatrième quadrant ; 9) intérieur de l’ellipse de
foyers aux points (1, 0) et (—1, 0) et de demi-grand axe égal à 3 (sans points
frontières) ; son demi-petit axe vaut 2 |^ 2 ; 1 0 ) extérieur de l’ellipse de foyers
(0, 1) et (0, —1) situes sur l ’axe Oy et de demi-grand axe égal a 2 (sans points
frontières) ; son demi-petit axe vaut 1 1 ) partie du plan, comprise entre les
branches de l ’hyperbole de centre au point (0 , 0 ) et de foyers situes sur Taxe Ox
(avec les points ae la frontière) ; le demi-axe focal vaut 4 et le demi-axe non focal
est 3 ; 12) parties du plan se trouvant à droite de la branche droite et à gauche de
la branche gauche de l ’hyperbole de centre au point (0 , 0 ) et de foyers situés sur
l ’axe Ox (avec les points de la frontière) ; le demi-axe focal de l ’hyperbole vaut
2 et le demi-axe non focal est 3;13) partie du plan se trouvant au-dessus de la
branche supérieure et au-dessous de la branche inférieure de l ’hyperbole de cen
tre au point (0, 0) et de foyers situés sur l ’axe Oy (avec les points de la frontière) ;
le demi-axe focal de l ’hyperbole est égal à 3 et son demi-axe non focal à 2 ; 14)
partie du plan, comprise entre les quatre branches de deux hyperboles de centre
commun au point (0 , 0 ) (sans points frontières) ; les foyers de la première hyper
bole appartiennent à l ’axe Oxy le demi-axe focal vaut 2 et le demi-axe non focal
est 6 ; les foyers de la seconde hyperbole appartiennent à l’axe Oy, son demi-axe
focal est égal à 6 et le demi-axe non focal a 2 ; 15) extérieur du domaine compris
2 2 -3 4 0
338 •RÉPONSES ET CONSEILS
(x + 2 2 )2 , (y - 2 )2 4 ox # , *2 , (y - l)2 . (x - 1 2 )2 ,
576 + 320 ^
= 1; 3) quatre so lu t.o n sc ^ -i-lg -g — = 1, j6 2 +
, (y - 7)* = , (x - 3 ) 1 , ( y - 4)* (X + 3)» (y + 8 )» .
“r 81 ’ 9 "r 18 ’ 81 162
7.34. I) ; 2) max AB = V ^ T T * , min AB =
2flb
, _____ •. 7.35. 1) a et b; y 1 + (MO1 ; ( / « * + 6», 0) et ( - - / a * + 6 * ,
y a a+ 6 * ________
0); x = ± a1! Y a1 + 6 2 ; 6 x ± ay = 0 ; 2 ) 6 et a ; j A + (a/6 ) 2 ; (0 ,
/ a * + 6 ») et ( 0 , — / « * + 6 *); y = ± fcV^a* + 6 2; 6 x ± ay = 0
3) 4 et 3 ; 5/4 ; (5, 0 ) et (—5, 0 ) ; x = ± 16/5 ; 3 x ± 4y = 0 ; 4) 1 et 1 ; ÿ !
(0, Ÿ~2) et ( 0 , - / 2 ) ; y = ± 1 / / 2 ; y ± x = 0 ; 5) / 2 et ] / 2 ; / 2
( V 2 , Ÿ~2) et (—1 ^ 2 , - / 2 ); x + y ± / 2 = 0 ;x = 0 et y = 0 ; 6 ) 2 et 2
1 / 2 ; (—2, 2) et (2, —2) ; y — x ± 2 = 0 ; x = 0 e t y = 0 . 7.36. 1) Le point
A appartient à l ’hyperbole; 2) A est situé à T intérieur (à droite) de la branche
droite; 3) A se trouve entre les branches; 4) A est situé a l'intérieur (à gauche)
de la branche gauche. 7.37. 24,5. 7.38. 1) f j = 1; 2 ) ^ — 11 = 1;
9 = 4 . / \ — _______ - 2 _ — 1 • 5} — 1 •
3> ** “ 77ë
1/5 = 1
* ou 485/6 7760 ' V 9/64 1/4 ’ D) 25 24 ’
6) — •£• = 1 ; 7) - y — £■ = 1 ; 8 ) x* — - Ç = 1 ; 9) pas de solutions.
<*> M l ; 3) - ,- , ^
Ata,5 -= ±
= i. . 7.48. 1) 2 (x — 4)* — 2 (y + 2)* = 1 ;
(X + 2)* (y - 3)* _ „ ... (X + 14)* (y — 3)* _ , . (x + 2)* y* _
l) ----- 4------------- 5--------- 1 0u ÏÏ55---------- 125--------1 • J) 2 2
= 7*49* U aS,a^ 1fca; 2) . 7.50. o. 7.51.1) (p/2, 0), x = —p/2 ; 2) (—p/4,
0), x = p/4 ; 3) (3/2, 0), x = - 3 / 2 ; 4) ( - 3 /4 , 0), x = 3/4 ; 5) (0, 1/4), y =
8.1. 1 )* + y = 4 ; 2 )* — 3y — 12 = 0 ; 3) * = - 3 ; 4) 3* - 2y - 16 =
= 0 ; 5) * + 2y — 8 = 0; 6) 2x - 2y + 3 = 0. 8.2. 1) (* ~ « ) ( * , - « ) +
. (ÿ — P) (y»~P) _ j . .» (j — «) (x0 — g) (y — P) (ÿ0 — P) _ J .
I 5* 1’ *) a* 6* 1 ’A’
3 / 2 ± 1. 2) / 3 . 8.11. 1) 16x* 9y 2
225 + 100 = 1; 2) S + T =
= 1 OU
1/34
8 . 12. x2- + - = l . 8.13. 4 -
« i — f - 1 “ Ü s - S - 1; 2>
---- £=- = 1. 8.14. 1) y = 2** H— s - ;
1 2 ) y2 = 4 x. 8.15. Quatre droites
6/ —
x ± y ± |/ r|- = 0 . 8.16. x -(- y — 2 = 0 ou x — y — 2 = 0 . 8.18. 2 ) ab.
8.21. x ± y ± 3 = 0. 8.22. 1) x = —3, x ± / 3 y — 2 / 3 = 0 ou x = 3,
* ± / 3 ÿ + 2 / 3 = 0; 2 ) y = — 1, ± x / 3 + y - 2 / 7 = 0 ou y = 1,
±x /§ + y + 2 /? = 0 . 8.23. 1) > 1 (le point est situé à l’exté-
*2 I/3
rieur de l'ellipse) ; 2 ) —§-----j-J- < 1 (le point est situé entre les branches de
a* bm
l'hyperbole, mais n'appartient pas aux asymptotes); 3) y j > 2 p * 0 (le point est
situe à l'extérieur de la parabole).__8.24. 1) 2* ± 3y + 12 = Oj 2) 10* +
+ 3 Y l y — 48 = 0 et 10* + 5 1 ^ 7 y — 384 = 0 ; 3) 8 * + 3 / 2 y + 36 = 0
(le point est sur l'ellipse) ; 4 ) le point est à l ’intérieur de l'ellipse, il n'existe au
cune solution. 8.25. 1) * + 2 = 0 et 5* + 8 y — 6 = 0; 2) 5* ± 6 y — 8 =
= 0; 3) * — y — 1 = 0 (le point est sur l'hyperbole) ; 4) le point se trouve
à droite de la branche de l'hyperbole, les solutions n'existent pas; 5) 17* —
— 30y — 16 = 0 (le point est sur l ’asymptote); 6 ) le point coïncide avec le
centre de l'hyperbole, il n’y a pas de solutions. 8.26. 1) Le point est à l'inté
rieur de la parabole, il n’y a pas de solutions ; 2 ) 2 * — y + 2 = 0 (le point est
sur la parabole) ; 3 ) * — y + 4 = 0 e t 4 * — y + l = 0 ; l ’aire du triangle vaut
37,5. 8.28. 1 ) Quatre tangentes * ± 4y dt 1 0 = 0 ; 2 ) quatre tangentes
x :fc y =fc 1 = 0 ; 3) deux tangentes * ± V^y + 3 = 0; 4) deux tangentes
* ± V^2y + 1 = 0 ; 5) quatre tangentes * ± V ^ 2 y + l = 0, x ± y + 3 = 0;
RÉPONSES ET CONSEILS 341
lipso = Ex 5) parabole
L - ) ; 8 ) hyperbole -* 1 = - 2 1 .= 1 ; 0 *( 1 , - 1 ),
E* ( y 13 ’ y 13
El ( “ T T T f ) ’ E î( ~ 7 T “ T 2 ) ; 9) parabole y's = W X:
13) cylindre elliptique pour X > 0, droite pour X = 0, ensemble vide pour X <
< 0 ; 14) cylinare hyperbolique pour X # 0, couple de plans sécants pour X = 0.
10.5. 1) x2 + y2 + *2- 2 x — 2y - 2i = 0; 2) x2+ y2 + 2 x - 4y - 6 : +
+ 13 = 0 .1 0 .6 .1 ) C (2, 2, 2), R = 2 / 3 ; 2) C ( - 1 , - 2 , - 3 ) , * = 5 / / ^ 10.7.
1) Ellipsoïde ; centre C(—1, —1, —1), demi-axes / 6 , / 3 , / 2 , plans de symé
trie x = —1, y = —1, z = —1 ; 2) ellipsoïde; centre C (—1, —1,—1), demi-
axes 2, / 6 , 2 / 3 , plans de symétrie x = —1, y = —1, 2 = —1. Les ellipsoïdes
sont semblables. 10.8. 1) Hyperboloïde à deux nappes; centre de symétrie
C (—3, 1, 1), sommets A (—5, 1, 1), B (—1, 1, 1), axe de symétrie y = 2 = 1,
plans de symétrie x = — 3, y = 1, 2 = 1 ; 2) hyperboloïde à deux nappes ;
centre de symétrie C (—1, 0, —1), sommets A (—1, 0, —1 — / 3 ) , B (—1, 0,
— 1 + / 3 ), axe de symétrie x = — 1 , y = 0 , plans de symétrie x = — 1 ,
y — 0, 2 = — 1. 10.9. 1) Hyperboloïde a une nappe ; 2) cône ; 3) hyperboloïde
a deux nappes; 4) paraboloïde elliptique; 5) paraboloïde hyperbolique; 6 ) cy
lindre elliptique. 10.10. 1) Plans ae coordonnées Oxz et Oyz ; 2), 3) cylindre hy
perbolique dont les génératrices sont parallèles à l ’axe Oz et la directrice est
l ’hyperbole donnée dans le plan Oxy ; 4) paraboloïde hyperbolique dont les plans
de symétrie sont x = ± y. 10.11. Cylindre de rayon 1/2 et d’axe x = — 1/2»
2 = 0. 10.12. 1) Paraboloïde de révolution d’axe Oy et de sommet C (0t 1/2,
0 ) ; 2 ) cône de sommet à l ’origine des coordonnées, dont l ’axe de révolution est
la droite x = y, z = 0. 10.13. Hyperboloïde à une nappe de centre à l ’origi
ne des coordonnées et d’axe de révolution x = 0 , y + 2 = 0 ; son cercle de gorge
de rayon 1 se trouve dans le plan y = 2 et a pour équation x2 + 2 yz — 1 = 0 ,
y = 2 . 10.14. 1) (0, 0, 0) et (2, 2, 8 ); 2) aucun point d’intersection; 3) (3, 1,
10). 10.16. A l ’extérieur. 10.17. Au-dessous. 10.26. | [r — r0, a] | =
= R | a | . 10.27. | r - r0 | = /?. 10.28. | (r — r0, a) | = | r — r0 | x
X | a || cos a | . 10.29. | r — ^ | + | r — r2 | = 2a. 10.30. 1) x2 + y2 — z* =
= 0; 2) x = y2 + z2. 10.31. 1) Hyperboloïde à deux nappes x 2 — y2 — z2 = 2;
2 ) hyperboloïde à une nappe x 2 — y2 + r2 = 2. 10.32. Tore (x2 + y2 + r2 +
+ 3 ) 2 = 16 (x2 + 2 2). 10.33. x2 (y2 + 2 2) = 1 et y2 (x2 + z2) = 1. 10.34.
1 ) x = t cos 0 , y = t sin 0 , 2 = / ( * ) ( * > 0 , 0 ^ 0 < 2 ji) ; 2 ) x = 9 (t) cos 0 ,
y — ^ (0 sin 0» 2 = x (0 ( 0 < 0 < 2 n). 10.37. x 2 + y2 + z2 — xy — xz —
— yz + 3x — 32 = 0. 10.38. x 2 + y2 + 2 * — xy — xz — yz + 3x — 32 +
+ 2 = 0 . 10.39. xy + xz + yz = 0. 10.40. Hyperboloïde à une nappe
J*2 + y2 — 2 2 2 + 42 — 4 = 0. C o n s e i l : voir problème 10.34, 2). 10.41.
Cône x 2 + y2 — (2 — l ) 2 = 0 . C o n s e i 1 : la droite coupe l ’axe Oz. 10.42.
Cône xy + xz + yz = 0. C o ns e i 1 : voir problème 10.28. 10.43. xy + xz +
+ yz — 2x — 2y — 2z + 3 = 0. 10.44. x = u + 2 cos y, y = u + 2 sin y,
2 = 4 + u — 2 cos y — 2 sin y. C o n s e i l : voir problème 10.35. 10.45.
Cylindre (2 x — y — z)2 + (2y — x — z)2 = 9. 10.49. Cercle x = 2 cos 1 ,
y = 2 sin t, r = 2. 10.52.Ellipse x 2 + 2y2 + 2 x + 4y - 2 = 0. 10.54.
x = — 1 + 2 cos t, y ~ — 1 + 2 sin l t r = 3 — 2 cos t — 2 sin 1 . C o n s e i 1 :
en éliminant 2 des équations données, on obtient l ’équation de la projection de
l ’ellipse sur le plan Oxy, c’est-à-dire l ’équation du cercle (x + l ) 2 + (y + l ) 2 =
= 4. En guise de paramètre on choisit le paramètre angulaire du cercle. 10.55.
Suivant l ’hyperbole. C o n s e i l : trouver l ’équation de la projection de la ligne
d’intersection sur le plan Oxy. 10.56. C (10/3, —14/3, 5/3), R = 3. 10.57. x =
= u ( — 1 + 2 cos y), y — u ( — 1+ 2 sin y), 2 = u (3 — 2 cos y — 2 sin y).
Conseil: utiliser le problème 10.54. 10.58. x 2 + y2 = 2. 10.59. x2 +
+ y2 = 4.10.60. x 2 + y2 + 2x + 2y — 2 = 0. Axe x = y = —1, /? = 2.
Conseil: voir problème 10.54.10.61. (x — 2 + 2) 2 + (y — 2 + 2 ) 2 = 4.
10.62 xy + yz + x2 = 0. 10.63. 3x2 + 4y2 + 522 = 36. 10.65. 1) (2, 1 , 1) ;
+ y = 7 + /, z = 20 + 2t ; * = 5 — 3*, y = 7 + f, z = 20 + /. 10.68..
pie de plans sécants imaginaires >► ; 17) ellipsoïde ; 18), 19) cylindre elliptique;
2 0 ) « cylindre elliptique imaginaire *. 1 1 . 2 0 . (x + y + z) (x — y + z) =
= (2x — y + 2z)2. 11.21. 1) Hyperboloïde à deux nappes pour k > 7/4,
cône pour k = 7/4, hyperboloïde a une nappe pour k < 7/4 ; 2) hyperboloïde à
deux nappes pour A: < 0, cylindre hyperbolique pour k = 0, hyperboloïde à une
nappe pour k > 0 ; 3) « ellipsoïde imaginaire » pour k > 6 , « cône imaginaire »
pour k = 6 , ellipsoïde pour Ac < 6 ; 4) ellipsoïde pour Ac > 8 ; cylindre elliptique
pour k = 8 , hyperboloïde à une nappe pour Ac < 8 ; 5) paraboloïde hyperbolique
pour k ^ 3, cylindre hyperbolique pour A = 3 ; 6 ) hyperboloïde à une nappe pour
.Ac > 1, cône pour k = 1, hyperboloïde à deux nappes pour k < 1. 11.22.
D a n s le s ré p o n s e s d e ce n u m éro on d o n n e : la m a tr ic e fo rm é e p a r les c o lo n n e s d es coor
d o n n ée s d e s v e c te u r s d e la b a se q u a s i c a n o n iq u e (d a n s le cas où il y a ra iso n d e p ro c é
d e r a u c h a n g e m e n t d e b a se d a n s l'u n q u e lc o n q u e d e s p l a n s d e c o o rd o n n ée s, on f o u r
n i t , d a n s la r é p o n s e , la m a tr ic e c o r r e s p o n d a n te d 'o r d r e d e u x ), le s c o o rd o n n ées d e
l 'o r ig i n e O d u re p è re c a n o n iq u e , l'é q u a tio n q u a s i c a n o n iq u e d e la su rfa c e d o n n é e ,
é c r i t e en c o o rd o n n ée s g, T), g, la c la sse d e la su rfa c e d o n n é e . P o u r la ré s o lu tio n c o m p
lè te d u p r o b lè m e , c 'e s t- à - d ir e p o u r la d é f in itio n d u r e p è r e c a n o n iq u e e t d e l'é q u a tio n
-c a n o n iq u e d e la su rfa c e , i l e st q u e lq u e f o is n é c essa ire d e f a i r e u n e ou p lu s ie u r s tr a n s
f o r m a tio n s p e u c o m p liq u é e s d e l'é q u a tio n e t d u r e p è r e . L e p a s s a g e d e l'é q u a tio n q u a s i
c a n o n iq u e à l'é q u a tio n c a n o n iq u e est d é c r it en d é t a i l d a n s l 'i n tr o d u c tio n a u p r é s e n t
p a r a g r a p h e . V o ir é g a le m e n t le s s o lu tio n s d e s p r o b lè m e s 16) e t 17). 1) y43 t3 ; O (0, 0,
•0 ) ; g2 + 2 ri* + 1 0 g2 = 1 ; ellipsoïde ; 2 ) A au ; O (0 , 0 . 0 ) ; g2 + 6 q 2 - 6 g2 =
= 0; cône; 3) A 3l i ; O (0, 0, 0); >/1îg2 = g; cylindre parabolique; 4) A3l9;
O (0, 0, 0) ; g2 + q2 + 2 y^Sg = 0 ; paraboloïde elliptique ; 5) i4„0 ; O (0, 2, —1) ;
g2 — 4q 2 + g2 = 0; cône; 6 ) j46, ; O (1, —1, 0 ) ; 2q2 + g2 — 1 ; cylindre ellip
tique; 7 ) j4*t ; O (—1 , 0 , —1 ) ; g2 + q2 — g2 = 1 ; hyperboloïde à une nappe;
8 ) A 90; O (0, - 5 , 0); g2 + 6 q 2 + g2 = 60; ellipsoïde; 9) A9l; O (1, 2, - 4 ) ;
g2 — 9q2 — g2 = 1 ; hyperboloïde à deux nappes; 10) A9l; O (—1, —1, —1);
'6 * + 4q2 + g2 = 4 ; ellipsoïde ; 11) A tl ; O (3, 3, - 7 ) ; 2g2 + 6 q 2 = 5g2 ;
paraboloïde elliptique ; 12) A91 ; O (0, 2, —3) ; 2g2 + g2 = — 8 q Y 2 ; parabolo
ïde elliptique ; 13) i4* 3 ; O (2/13, —3/13, 0) ; Y T z q2 = 2g ; cylindre parabolique ;
14) i4e4; O (—10, 0, 1); g2 — 9q2 — g2 — —90; hyperboloïde à une nappe;
15) i4M; 0 ( 1 , —3 , 0 ) ; 9g2 + 4q 2 = 36g; paraboloïde elliptique; 16) A9l;
0 ( 1 , —2, 0); —g2 + 2g2 = y^2q ; paraboloïde hyperbolique; 17) A3l7;
O (—26/15, —1/3, 0) ; 5g2 = — J^2g ; cylindre parabolique ; 18) A€2 ; O (3, 4, 2) ;
25g2 — g2 = 15q ; paraboloïde hyperbolique ; 19) i46i ; O (0, 2, 0) ; 3g2 — 7q2 —
— g2 = 21 ; hyperboloïde à deux nappes; 20) A92; O (1 . 0 , 5); g2 — 16q2 +
+ 9g2 = 1 ; hyperboloïde à une nappe; 21) A9X; O (—1, —1. —1); g2 + q 2 —
— 9g2 = 0 ; cône ; 22) A^ ; O (1, —2, —1) ; 4g2 — q2 ~ 4g ; paraboloïde hyper
bolique; 23)i43aa; 0 ( 1 , —3, 0); 2q2 — 7g; cylindre parabolique; 11.23.
Les réponses de ce numéro contiennent : la matrice formée par les colonnes
-des coordonnées des vecteurs du repère quasi canonique, les coordonnées de l'ori
gine O du repère canonique, les équations quasi canoniques des surfaces pour les
valeurs données du paramètre k, la description de la classe des coniques données pour
toutes les valeurs possibles du paramètre. Voir également les remarques se rapportant
aux réponses du problème 11.22. 1) i4 3 i 8 ; O (—2, —3, 0) ; 2g2 + 4q2 + 7g2 = 28 ;
ellipsoïde pour k < 7 7 , point O pour k = 77, ensemble vide pour Ac > 77 ;
2) ^ 3 1 3 ; O (—2, —1, 2) ; g2 + 2q2 + 10g2 = 10; ellipsoïde pour Ac < 9, point
O pour Ac = 9 ; ensemble vide pour Ac > 9 ; 3) j4314 ; O (—2, 0, 1) ; a) g2 + 6 q2 —
— 6 g2 = 6 ; b) g2 + 6 q2 - 6 g2 = 0 , c) g2 + 6 q2 - 6 g2 = - 6 ; hyperboloïde
à une nappe pour Ac < 5, cône pour Ac = 5, hyperboloïde à deux nappes pour
Ac > 5 ; 4) j4319; O (—2, 2, 0) ; g2 + q2 + 4g2 = 4 ; ellipsoïde pour k < 8 ;
point O pour k = 8 , ensemble vide pour A c > 8 ; 5) >1319; 0 ( 1 , —1, 0);
.a) 4ga + 4q2 + g2 = 4 ; b) g = q = g = 0 ; ellipsoïde pour k < 8 , point O
pour Ac = 8 , ensemble vide pour Ac > 8 ; 6 ) 4 3î0; O (1, —1, 2); g2 = 5;
RÉPONSES ET CONSEILS 347
16 . 44 33 , 1 41 , 32. . . . ._
= - j ï + j ï — 5 . y * = — 5 I — 5' i' + 5' : 2) x = ( Aix+ Biy + C i )l(A1xlt-\~
+ ^ 1 » * + ^ ) , y* = ( A * + B , y + Ct)/(A^ct + S 2y 0 + Ct). 12.48. 1) 3 4 * * -
— 42*y + 13y* = 1 ; 2) 16** - 18*y + 5y* = 1 ; 3) 15** - 19*y + 6 y* +
+ 2 = 0; 4) 9** — 12*y + 4y* + 30* — 18y = 0; 5)(3* — y — 1) (29* —
— 18y + 1) = 0 ; 6 ) (2* — y — 1) (2* - y + 1) = 2. 12.49. 1) 10** -
— 22*y + 29y* - 8* + 14y - 2 = 0; 2) 35** - 38*y- 9y* - 22* + 6 y +
+ 7 = 0; 3) 9** - 12*y + 4y* + 8 * - 40y = 0; 4)(2* + 3y - 1) (7y -
— 4* + 1) = 1 ; 5) (5* + y - 3) (5* + y + 1) = 0. 12.50. 1) *• =
= — 4 - 1 — / 3 ÿ , ÿ* = _LiLr —-Ly ; 2 ) * * = - - - * — y, y* / 3 - ,
+ l y . 1 2 .5 1 . ** = / 5 (* - y), y* = ± / 5 ( y * - y ) • 1 2 .5 2 . 1) * * =
= * + 2 , y* = * + y + l ; 2) ** = * + C , y* = - y * + y + - ^ - . 12.53. 1)** =
= x cos <p — y sin <p, y* = x sin <p + y cos q>; 2 ) x* = x 0 + (x — x0) cos <p —
— (y — i/o) sin SP» i/* = i/o + (x — * 0) sin SP + (y — i/o) c,os 9 ; 3) x* = x,
y* = 0; 4) x* = (9x + 3y — 1)/10, y* = (3x + y + 3)/10; 5) x* = — x,
y* = y ; 6 ) x* = (7x - 24y + 6)/25, y* = ( - 2 4 x - 7 y + 8)/25; 7) x* =
= *, i/* = *i/î 8 ) x* = (2 x - y) + 2)/3, y* = ( - x + 2y + 2/3) ; 9) x* =
= (9 x — 2y + 10)/5, y* = (—2 x + 6 y —5)/5. C o n s e i l : se servir du prob
lème 12.25. 12.54. 1) Les transformations 1), 2), 5), 6 ), 7), 8 ), 9) sont affines;
2 ) les transformations 1), 2 ), 5), 6 ) sont orthogonales. 12.55. 1 ) Contraction vers
Taxe des abscisses de rapport 3 ; 2) homothétie de centre à l'origine des coordon
nées et de rapport 2 ; 3) translation de vecteur a (—1, 1) ; 4) symétrie par rap
port à l'axe des abscisses ; 5) symétrie par rapport au point O ; 6 ) rotation d'angle
n/2 autour du point O ; 7) symétrie par rapport à la droite y = x ; 8 ) rotation
d'angle ni4 autour du point O; 9) symétrie par rapport à la droite y = (ÿ~2—
— l) x ; 10) homothétie de centre au point P (3, —1) et de rapport 3 ; 11) rota-
1 + /3 1- y
tion d'angle jx/3 autour du point M — ) ; 1 2 ) symétrie par
2
rapport à la droite x —- 1^3 y + 2 = 0 ; 13) symétrie par rapport au point
K (—1, 1) ; 14) contraction vers la droite 3x — 4y = 0 de rapport 1/2 ; 15) cont
raction vers la droite x — y + 2 = 0 de rapport 1/3 ; 16) rotation d'angle
2n/3 autour de l'origine des coordonnées ; 17) projection orthogonale sur la droi
te y = 1. C o n s e i l s : 9) déterminer les images des vecteurs de base; 10) à
13) déplacer l'origine des coordonnées au point immobile. 12.56. 1) ( ,
VYy 22
et (0. 1 + / 2 ) ; 2) ( —y = . i + - ÿ = ) et ( ~ / 2 , 1); 3) y = * + l
Y 2>
et y = 1 • ; 4) y = * + l + Y ? et y = l- ,
1 . 12.57. 1) tg 9 = - 3 / 4 ;
ÿl Y2
2) —5n/12, —n/12, 7n/12, lln /1 2 , . . . 12.58. * + 2y — 6 = 0, 2* — y +
+ 1 = 0, 2 x —y + 7 = 0. C o n s e i l : utiliser la rotation autour du point P.
12.59. / 3 x + y - 3 = 0, u = 3/4, / 3 x - y - 3 = 0, / 3 x + y - 6 = 0,
y = 9/4. C o n s e i l : utiliser la rotation autour du point P. 12.60. 1 ) l ( ^ i -
A*
Mî 2) où A = *2 «i=
2 | 6x6,63 |
«3
350 RÉPONSES ET CONSEILS
= \Z S l - H î SI - “ *»*+’» + « - • -
12.62. 1) * * + y * - 2 0 x - 6 y + 8 4 = 0; 2) x * + y * —10x = 0; 3) x » + y * + 1 2 x +
-|-32y —108 = 0 . 12.63. 1 ) f g : x* = - 7 x + 5 y - 2 , y* = 3 x + 4 y + l ; gf : x* =
= 4 x + 3 y + l , y* = 5x — 7 y —2; 2 ) fg: x* = —4x—6 y + 4 , y * = x + 4 y + l £
gf: x* = 7x —3 y + 6 , y * = 1 3 x - 7 y + 2 5 . 12.64. 1) x* = 3x—3, y* = 3y—3
(homothétie de centre A (3/2, 3/2) et de rapport 3) ; 2) x* = -^-x, y* = -i- y — -|-
(homothétie de centre fi (0, —5) et de rapport 1/2). 12.65. 1) x* = 3x —
- y - 1 0 , y* = x — 3 ; 2) x* = 7x - 4y - 32, y* = - 5 x + 3y + 22 ;
- 2 / 3 , y* = i ( / 3 x + y ) - 2 , g/: x* = - i ( - x - / 3 y ) , y* = y ( - / 3 x +
+ s) + 4 ; 4) fg = gf : x* = 2 — x, y* = y ; 5) fg : x* = x + 1, 2, y* = y —
— 0,4, gf: x* = x — 1,2, y* = y + 0,4; 6 ) fg: x* — —y — 0,2, y* = x —
— 0,6, gf: x* = - y + 0,6, y* = x + 0,2; 7) fg : x» = x + (1 - / 3 ) / 2 ,
y* = y + ( / 3 - 3)/2, g/: x* = x + ( y l - 3)/2, y* = y + (l - / 3 ) / 2 .
12.70. 2) y ( x 0 — y 0 c o t g - |- ) , ( y 0 + x * c o t g - |- ) ; 3) fg est une rotation
RÉPONSES ET CONSEILS 35f
d'angle ji/2 autour du point P (2, 1) ; gf est une rotation d'angle ji/2 autour du*
point Q (1, 0). 12.71. 1) xsin<p/2 —ycos<p/2 = 0; 2) x0cos ((p/2) + y 0 sin (cp/2) =
= 0, (2 x — x0) sin (cp/2) — (2y — y0) cos (<p/2) = 0. 12.72. 3) a (k cos (yl2)r
k sin (<p/2)), où k — x0 cos (<p/2) + y 0 sin (q>/2). 12.73. 1) produit d'une sy
métrie par rapport à l'axe Ox par une translation de vecteur a (1 , 0 ) ; 2 ) produit
d'une symétrie par rapport à l ’axe y = 1 par une translation de vecteur a (1 , 0 ) ;
3 ) symétrie par rapport à l ’axe y = 1. 12.74. 1 ) Toutes les transformations
sont de première espèce ; 2 ) la transformation g est de première espèce, les autres
sont de deuxième espèce ; 3) la transformation / est de première espèce, les autres
sont de deuxième espèce; fg est le produit d'une symétrie par rapport à la droite
x 1^3 — y + 2 = 0 par une translation de vecteur ( — J^3, —3), gf est le produit
d'une symétrie par rapport à la droite x ÿ 3 + y — 2 = 0 par une translation de
vecteur ( — ]^3, 3) ; 4), 5) /, g sont de deuxième espèce, fg et gf de première espè
ce ; 6 ) toutes les transformations sont de première espèce, fg est une rotation d'an
gle j i / 2 autour du point P (1/5, —2/5), gf est une rotation d'angle j i / 2 autour du
point Q (1/5,2/5) ; 7) toutes les transformations sont de première espèce.
12.75. x* = (x -f y) + 1 — j / 2 , c’est une rotation d'angle
•coordonnées, hx une contraction de rapport 15 vers la droite T i-p ÿ-O , h2 une con
traction de rapport 5 vers la droite 7x — y = 0; 8 ) g = g\g2i où g 2 est une rotation
S a n g le — Arc cos (3/ Y 10) autour de l'origine des coordonnées, gx une symétrie
,par rapport à la droite y = x; hx est une contraction de rapport 3 ^ 1 0 vers la
•droite y = x, h2une contraction de rapport 2 ÿ i Q vers la droite y = —x ; 9) g est
une rotation d1angle —3ji/4 autour de l'origine des coordonnées, hx une contrac
tion de rapport 5 \ f 2 vers la droite 2x + y = 0 , h2 une contraction de rapport
10*1^2 vers la droite x — 2y + 5 = 0; 10) g est une rotation d'angle — Jt/3
-autour du point M (—1/9, —2/J^3), ht une contraction de rapport 6 vers la droi
te y = —2 / 1^3, /t2 une contraction de rapport 2 vers la droite x = — 1/9.
12.83. h est une homothétie de centre à l'origine des coordonnées et de rapport
Jfc; 1 ) k = 5, g est une rotation d'angle Arc sin (3/5) autour de l'origine des coor
données; 2) fc = 5, g est une symétrie par rapport à la droite x = 3y ; 3) k =
= r, g est une rotation d'angle <p autour de l'origine des coordonnées; 4) k =
= r, g est une symétrie par rapport à la droite x sin (q>/2 ) = y cos (<p/2 ).
.12.85. a est partout un nombre arbitraire non nul ; 1) Xt = 7, a (2 , —1) ; Xs =
= 5 , a (0, 1) ; 2 ) Xx = 1, a (1, - 1 ) ; X2 = 4, a (1, 2) ; 3) ^ = 3, a (2, 1) ;
X* = —3, a (1, 2 ) ; 5) tous les vecteurs non nuis sont propres, X = 2 ; 6 ) Xt = 1 ,
a (—1, 1); X2 = 0 , a (1, 1); 7) il n’y a pas de vecteurs propres; 8 ) X = 3,
a (1,2). 12.89. 1) Produit d'une rotation d'angle 9 autour de l'origine des co
ordonnées et d'une homothétie de centre (0 , 0 ) et de rapport r ; 2 ) produit d'une
•rotation d'angle 9 , d'une homothétie de rapport r si a = r (cos cp + i sin 9 ),
et d'une translation de vecteur représenté par le rayon vecteur du point 6 , ou
produit d'une translation de vecteur représenté par le rayon vecteur du point
•6 a”1, d'une homothétie de rapport r et d o n e rotation d'angle 9 .
13.1. 1) Oui ; 2) oui ; 3) non; 4) oui si A £ (D) ; non si A g (D) ; 5) non;
6 ) oui ; 7) oui ; 8 ) oui ; 9) non ; 10) oui ; 11) oui ; 12) oui ; 13) non ; 14) non ; 15) oui ;
16) oui ; 17) oui ; 18) non ; 19) oui. 13.2. 1) Non ; 2) oui ; 3) oui ; 4) non ; 5) oui ;
6 ) non; 7) oui; 8 ) oui; 9) non; 10) oui; 11) non; 12) oui; 13) oui; 14) oui.
13.3. 1) Non; 2) oui; 3) oui; 4) non; 5) oui; 6 ) non; 7) oui; 8 ) non; 9) oui;
10) non ; 11) oui ; 12) oui. 13.4. 1) Oui ; 2) non ; 3) non ; 4) oui ; 5) oui ; 6 ) non ;
7) oui; 8 ) non; 9) oui; 10) oui; 11) oui; 12) oui. 13.5. 1) Oui; 2) oui; 3) non;
4) non. 13.10. Groupe des rotations du plan autour du centre du carre, oui
font coïncider ce carre avec lui-même (ou le groupe, qui lui est isomorphe, aes
racines complexes 4-ièmes de 1 pour la multiplication) ; groupe contenant quatre
transformations du plan : transformation identique, symétrie par rapport à l'ori-
-gine des coordonnées, symétrie par rapport à l'axe des abscisses et symétrie par
rapport à l'axe des ordonnées. 13.11. 1) ± 1 ; 2) db n ; 3) e 2,ll*/n, où 1 <
2 ji
— 1, k et n sont premiers entre aux ; 4) rotations de — k, où k et n sont pre-
n
miers entre eux. 13.12. 1) nZ, où n est un nombre entier; 2) mZ, où m est
un multiple de n ; 3) racines m-ièmes de 1, où m est un diviseur de n ; 4) rotations
d'angle 2jiklm, où m est un diviseur de n. 13.13. 1) C o n s e i l : soient a
nn élément générateur de ÿ , &€ un sous-groupe dans % et m le plus petit entier
naturel tel que b = am £ &€, alors b est l’élement générateur de 13.16.
C o n s e i l : montrer que b^ab est une rotation si a est une rotation et b une sy
métrie axiale. 13.19. C o n s e i l : trouver un élément inverse de a parmi les
puissances positives de a. 13.20. C o n s e i l : 1 ) 6 £ a&£ si et seulement si
*&€ = bZW ; 2 ) si e Ç aZH) Q a>3€ = cd€ = b3€ ; chaque élément a £ £ ap
partient à la classe «<50, puis appliquer le point 1) ; 3) l'application/: bofC — adC
•définie par la formule / (bh) = ah est bijective. 13.21. 1) C 0 n s e i 1 : se ser
vir des assertions du problème 13.20. 13.22. Soient a la rotation du triangle
•d'angle 2n/3 autour de son centre, b la symétrie par rapport à l'une des hauteurs.
RÉPONSES ET CONSEILS 353
= R 3) «I ( 2 + T + T + • • - + t ) • C 0 n 8 e 1 1 : * » = " * » -» +
+ (n — 1)!. 4) [1 + (—l ) n]/2. C o n s e i l : Ari = l — An -l. 5) 0 si n est
impair, et (—l ) n/* si n est pair. C o n s e i l : An = — An_2. 6 ) [1 + (—l ) n]/2.
C o n s e i l : Aa = A„-S- 7) n (*1 - *k)‘ C o n s e i l : notons An =
1 ... 1 1 . 1 1
X1 . . . xn xi ... x n-l x
= . P (*) = Vu que p(x/) = 0, i =
. . . xR-> r-n-t j.n-1
*?- x
•• ■ x n - 1
= 1, 2, ...» n— l, on a p(x) = C (x—xt) . . . (x—arn-i)- Le coefficient C du
terme dominant du polynôme p (x) vaut An -l, d’où Aa = An_| (xn —• xx) . . .
2 3 -3 4 0
354 •RÉPONSES ET CONSEILS
une ligne composée de zéros, puis à gauche par une colonne d'unités. 10 )
[n/2]
a n i (0 • • • ann (f)
«;. w • • • atn (0 « n (0 • • • « m W
— «SI W • • • a2n (0 + .. . + «si W • •• «s n ( 0 C onseil: en
lignes de la matrice B, dont les coefficients sont les éléments de la A-ième ligne
de A . 15.29. C o n s e i l : voir problème 15.26. 15.30. 1) Si on permute deux
colonnes de la matrice B , les colonnes correspondantes de AB sont également per
mutées ; 2) si on multiplie la A-ième colonne de la matrice B par le nombre A,
la A-ième colonne de AB est également multipliée par A; 3) si à la A-ième colonne
de B on ajoute la /-ième colonne, la matrice AB subit la même transformation
élémentaire. 15.31. C o n s e i l : pour une colonne composée de deux élé
a I I a+ b a+b
ments, les transformations sont les suivantes :
b i l b b - ( a + b)
fl + b b b
1~ 15.32. alk si A = \ \ a l h \\. 15.33. 1) Matrice
—a — a 1~
dont toutes les lignes sont nulles à l'exception delà Même à la place de laquelle
se trouve la /-ième ligne de A ; 2) matrice dont toutes les colonnes sont nulles à
l'exception de la /-ième à la place de laquelle se trouve la Même colonne de A .
15.34. C o n s e i l : prendre en guise de g, r\ toutes les colonnes possibles de la
matrice unité. 15.36. 1) Multiplier A à droite par la colonne *|| 1 0 0 . . . 0|| ;
2) multiplier A à gauche par la ligne || 1 0 . . . 0 ||. 15.37, ^ 15.38. La
matrice K s'obtient à partir de E par une même transformation élémentaire.
b I
15.40. C o n s e i l : [si A = , A m = (a + tb)m~l A. 15.43. L'asser-
k ta tb
tion 1) n'est pas en général vraie pour les matrices rectangulaires
Exemple: >i393 -i4 1S8 = E (a, 6, sont des nombres quelconques). 15.44
al i xl + • • • + ® l n I n = 0»
f l n i x i + • • • ~\~annxn = 0 ,
1 1 1
4 1 9 —5
/-ième colonne de E. 15.45. 1) — ; 2) 1 2 2
I-5 3
2 3 4
^n1
3) ; 4) Au ; 5) M7- ; 6) A2i ; 7) A2A5 ; 8) — /l*^ ; 9) g A2Q2 ;
Al* 0
120
— 1/2 0 1 , 1 0
10) A22q* 15.47. 1) ; 2) ; 3) ; 4) 010
0 1 0 -3 1
001
1/3 0 0 1 0 0 1 0 0 1 0 0
5) 0 1 0 ; 6) 0 1 0 ; 7) 0 - 1 0 ; 8) 0 0 1
0 0 1 -2 0 1 0 0 1 0 1 0
1 -1 1 —n
9) ; io ) î 11) ^ 2oo* 15.48. L’assertion C) est en général
0 1 0 1
1 111 0
fausse. 15.51. On fournit l ’une des réponses possibles 1)
o il0 -2
1 -2 0 1 1 0 | 0 1
î oo
2) • I 1 ° l * 3) J 1• ; 4) 0 1 0
i - .t iî : Il 11 0 1 3 1 i 1 0
011
RÉPONSES ET CONSEILS 357
1 0 0 1 0 0
X 1 1 0 • 0 1 2 15.52. V ) E ~ A ~ 1\ B ~ A ; 2 )E ~ A '
0 0 1 0 0 1
0 0 0 - 1 v 1 _ 2 0 2 0
trouve la matrice A ^.j 15.54. 1) ; 2) G
—1 0 0 0 6 3 —3 0
0 1 0 0 0 0 0 2
1 —1 0 .. . 0
0 1 — 1 .. . 0
3) ; 4) —A430 ; 5) —A432 ; 6 ) ^ 4 3 0 » ~) 8) A4I0;
0 0 0 .. . 1
02; 10). U 614; I D ^ i t î 12M * 19 ; 13) A«37. 15.55. A - ' = - ( / l + £ ) .
15.62. 1) On effectue avec les lignes de la matrice \\A B || les transformations
élémentaires qui réduisent la matrice A en E . 11 en résulte qu'à la place de A
on trouve E et à la place de B on obtient la matrice A ~XB. 2) On effectue avec les
colonnes de la matrice les transformations élémentaires qui réduisent
B en E. De ce fait,à la place de A on trouve la matrice A B *1. 15.63. 1) A M;
2), 3) - j AIW; 4) - 5 -^so*; 5) 6) Aw ,5 W- D 2) A~lB \ 3) BA~' ;
1 — 2 15 - 8 1
4) 5) A - ' B - C . 15.65. 1) ; 2) ; 3)- Il - 7
Il U
0 1 12 —3 1 '•|| 24
21 - 1 4 — 10
i|| 2 1 1
4) — 10 7 5 ; 5) Il ’ ‘ * I; 6) pas de solutions. Dans les
—4 3 2 II 3 0 1
I a b II
réponses aux problèmes 7) à 11 ), a, 6, c sont des nombres quelconques : 7) I
» l , : . « | : ï = î l * «> U t l * ^ . , 1 .1
12) A12- ; 13) -g-ce2; 14) A392; 15) pas de solutions; 16) A ua. 15.70. C o n
s e i l : poser B = Ekk, puis calculer AB et BA, et appliquer le résultat du problème
15.67. 15.71. C o n s e i l : utiliser le problème 15.70. 15.72. Voir le problème
15.71. 15.73. Matrices scalaires. 15.74. 1) —A82; 2)AM;3) A83; 4) AM.
15.76. 1) Antihermitienne; 2), 9) symétriques, 3), 4) hermitiennes; 5). 10),
11) orthogonales ; 6 ) diagonale ; 7) triangulaire ; 8 ) symétrique gauche ; 9) unitaire.
a b + ic la è + ic
10) matrice de permutation. 15.79. 1) ; 2)
à — ic d — b + ic id
01 15.87. La
(a, 5, c, d sont des nombres réels quelconques) ; 3) || J J || ,
10
358 •RÉPONSES ET CONSEILS
» 15.133. 1) Si A = B= il faut,
O PG | A*i A«« | B2
outre les conditions qui découlent de la définition d'une matrice composée de
blocs, que la largeur de la matrice A n soit égale à la hauteur de Bx et la largeur
de A 12 soit égale à la hauteur de B 2. 3) A ^ bP = | 1^ •
15.134. 1) à 3) Les nombres des blocs sur les diagonales des matrices A , B coïn
cident, de même que les ordres des blocs diagonaux ayant les numéros identiques.
4) Pour que AB — B A , il faut et il suffit que soit remplie la condition 1) et que
les blocs diagonaux de numéros identiques soient permutables. 15.136.1) —AA22 ;
RÉPONSES ET CONSEILS 35 9
2) v - ^ c' T - « ir ? ir * = » i- ,T - + i: r
(E est la matrice unité d'ordre s, o est la matrice-colonne nulle de hauteur s,
h est une matrice-colonne arbitraire de hauteur s). 15.139. 1) A*eo; 2) "j4«61;
W "MO* M it
3 ) ^ l « a > 4 ) ^ 163 t 5 ) i 4 4 e s ; 6 ) ^ 4 6 3 * 7 ) A 4 15.140. a O b = b 0 a = 6a.
16.3. Oui, si la matrice est nulle. 16.4. 1) Il n'y a pas de mineur princi
pal ; 2) tout élément de la matrice peut être un mineur principal ; 3) à 5) les mi
neurs principaux sont respectivement égaux à I1 0 1, J J |; 6), 7) le
10 1
mineur I ^ \ par exemple est un mineur principal. Les rangs sont: 1) 0; 2) 1 ;
3) 2 ; 4) 1 ; 5) 2 ; 6) 2 ; 7) 2. 16.5. 1) Aucune ligne principale; 2) toute ligne;
3) toutes les lignes; 4) la première ligne; 5) la deuxieme et la troisième lignes;
6) deux lignes quelconques ; 7) tout couple de lignes distinctes, par exemple la
première et la deuxième (mais non pas la première et la quatrième). 16.6. 1) Au
cune colonne principale ; 2) toute colonne; 3) toutes les colonnes; 4) la deu
xième colonne; 5) la première et la deuxième colonnes; 6) deux colonnes quel
conques; 7) tout couple de colonnes dont l'une a un numéro supérieur à 3, par
exemple, la première et la quatrième (mais non pas la première et la deuxième).
16.7. Le mineur principal est égal au déterminant de la matrice. Toutes les li
gnes comme toutes les colonnes de la matrice sont principales. Le rang est égal à
l'ordre de la matrice. 16.14. Rg || A B |P < Rg A + Rg B. 16.18. 1) 1;
2) 1 ; 3) 1 ; 4) 2; 5) 2; 6) 1 ; 7) 1 ; 8) 1 ; 9) 1 ; 10) 3; 11) 2; 12) 1 ; 13) 3; 14) 2 ;
15) 2; 16) 2; 17) 2; 18) 2; 19) 3; 20) 4; 21)3; 22) 2; 23) 3 ; 24) 4 ; 25) 4 ; 26) 4 ;
27) 3; 28), 29) n si n est pair, et n — 1 si n est impair. 16.19. 1) 1 pour e =
= ± i, 2 pour les autres e ; 2) 2 pour tous les X; 3) 1 pour a = 1, 2 pour les au
tres a ; 4) 1 pour o> = 1, 2 pour o> = 0 et <t>= — 2, 3 pour les autres valeurs de
<d ; 5) 2 pour X — 3, 3 pour les autres valeurs de X; 6) 1 pour X = 0, n — 1 pour
X= -^-/i (n + 1), n pour les autres valeurs de X; 7) 2 pour 2 = 0 , k si e est une
racine primitive Ar-ième de 1 et k < w, n pour les autres valeurs de e.
16.20. 1) 1 pourX = 4 et X= 9, 2 pour les autres valeurs de X2) 1 pourX = 3, 2 pour
X = 2, 3 pour les autres X; 3) 2 pour X = ± i, 4 pour les autres valeurs de X.
16.22. 0 < Rg A ^ 2; les estimations sont exactes pour n > 2. 16.23. 0 <
^ Rg A ^ 2 (n — s); les estimations sont exactes pour 2s. 16.24. 1 ^
^ R g A ^ 3 ; les estimations sont exactes pour 3. 16.25. 1) Rg AB ^
^ min (Rg A, Rg B). 16.26. 1) 1 si a ^ o et b =£ o ; dans les autres cas, 0.
16.27. Les deux égalités se vérifient pour A — B = C = O par exemple.
16.28. C o n s e i l : simplifier la matrice par les transformations élémen
taires des lignes et des colonnes en considérant comme principales les lignes et
les colonnes choisies. Le rang de la matrice obtenue par leur intersection ne varie
as et la matrice-même se transforme en matrice unité. 16.29. r. C o n s e i l :
S ans le cas considéré, le mineur principal de AB est le produit des mineurs prin
cipaux des matrices A et B. 16.30. Rg A = Rg B = r. 16.31. 1) C o n -
s e i 1 : la ligne de la matrice K est composée des coefficients du développement
des lignes de la matrice A suivant les lignes de M. 2) Toute matrice A peut
être représentée comme produit de la matrice M formée des colonnes principales
de A par une matrice À', soit: A — M K , les colonnes de K étant formées par
les coefficients du développement des colonnes de A suivant les colonnes de M .
3) Pour deux décompositions squelettiques quelconques KM = K'M' de A on a les
égalités K' = KS~l , M' = $Af, où S est une matrice régulière d’ordre r= R g A .
360 RÉPONSES ET CONSEILS
16.32. 1) Il 01 2) 12 —3 01
1 0
0 —1 , 0 —1
-4 0 0 4
—4
3) -4 0 0
0 1 1 0
2 3 1 0
2 3 — 11 4 7 111 0 - 1 1 0 1
1 —2 —31 t ; 5)
—1 —2 l|0 1 7 —4 5
2 5 0 1
1
11 III 2 3 0
16.33. C o n s e i l : représenter la matrice simplifiée
—3 1 ’||o 0 0 1
1 1
correspondante sous la forme de la somme de r matrices de rang 1. 16.34. 1) à
5) ne sont pas toujours possibles, les exemples sont fournis par les sommes
1 0 I, 0 011 III 0 III ,110 0 11
6) est toujours possible.
o or 0 l l j ’ H0 1 1H 1 H0 0 1 I
16.36. C o n s e i l : représenter la matrice donnée sous la forme du produit
d'une matrice de deux lignes par une matrice de deux colonnes. 16.38. Exemple
d'inégalité stricte: Rg
0 11 > 0. 16.40. C o n s e i l : les lignes de la matrice
0 o|.
..A B ||u sont des combinaisons linéaires des lignes^ de || E B ||-j.
16.41. C o n s e i l : réduire le problème donné au problème 16.37 par des
transformations élémentaires.
17.1. i ) X l = —7, x2 = 24 ; 2) z = — 1, y = 1 ; 3) z, = 2, z , = - 1 , * 3 =
= 1 î 4) x = 1, y = 2, z = —1 ; 5) xx = 1, x2 = 3, z 3 = 0, x4 = 1 ; 6) x =
= 4, y = 3, z = 2, t — 1 ; 7) xx = —5, x2 = 4, z 3 = 3, x4 = —2, x&= 1 ;
8) Xi = iy x2 = 2y z 3 = 3, z 4 = —3, z a = —2, z 8 = - -1. 17.2. 1) c10; 2) c2i*
3) c93; 4) c94; 5) cM; 6 ) -~c9a; 7) o. 17.4. Les composantes des solutions
subissent les mêmes transformations élémentaires. C o n s e i l : écrire le système
d'équations sous la forme matricielle et exprimer les transformations élémen
taires au moyen de la multiplication des matrices. 17.5. La matrice principale du
système se réduit à la matrice unité et on obtient la solution dans la partie droite.
17.6. 1) c 22; 2) "jqq c8 » 3) c24 ; 4) 5) cal ; 6) ce3; 7) — ^-c99; 8) caa-r
9) ci74 » 10) c n i * 11) “g* ci®4 ï 12) » 12) » 14) Cj74 ; 15) c177 ; 16) c248 *
17) ; 18) c240 ; 19) c^ q; 20) Cjm » 21) 22) 23) c270.
18.1. Dans les réponses on désigne par A, hly hiy . . . les constantes arbi
traires (paramètres). 1 ) x — b, y — h; 2 ) xx = hx — 2 b2t x2 = blt x2 = b2;
3) xi = — hj — b2 — h2 — b4t *2 —b,,x3= h2y x4 = b3 ,x 5 = b4 ;4 )z = y= b,
2 = — 2 / i ; 5 ) z = y = 2 = b ; 6 ) z = 2 = b, y = — 2 b ; 7 ) z x = b | + 10b2t
= Ai + 7b2, x 2 = blt z 4 = 2 h t ;8) Zj = 0, z 2 = z 4 = b, z 3 = — h ;
9) Zj = —2bj — 3 b2, z2 /ij, / j = b2, Z4 — 0 j 10) Zj = bj, z 2 = b2,b3>
RÉPONSES ET CONSEILS 36f
1 1 1
■44) — g - c 258, Aa17 ; 45) - g - c 246, 46) — - ^ - c 2 3 6 , > t4 1 a ; 47) c 259, c3«oî![48) c 2 9 l,
■c258 ; 49) c272, c 282 ; 50) —c 28 a, j4419. 19.7. On donne dans les réponses : la valeur
du paramètre pour laquelle le système est compatible, une solution particulière
•et la solution fondamentale du système homogène pour cette valeur du paramètre.
1) X= 15, = Ou*» ® = ^ii3» 2) A, = 9, X q— Cg|, O = C|j4 ; 3) A»= 7,
X« = c77, O = c116; 4) A. = 12, X 0 = c 89, O = C7 7 . 19.8. Combinaisons li
néaires dont la somme des coefficients vaut. 1. 19.9. Combinaisons linéaires
•dont la somme des coefficients vaut 0. 19.10. (1,1, . . ., 1). 19.11. (0, 0, . . .
. . . , 0, 1). 19.12. i ) A z = aa ; 2) A z = a + b; 3) Az = a a + f ib . 19.16. C o n
s e i l : le théorème se réduit aux problèmes 18.12, 19.14. 19.17. Si le
système d'équations comprend m équations à n inconnues et le rang de la matrice
principale est r, on a : 1 ) n = r ; 2) m = r ( C o n s e i l : appliquer le théorème
de Fredholm) ; 3) n > r, 4) m = n = r. 19.18. 1) Incompatible; 2) compa
tible; 3) incompatible. 19.19. Le système d'équations est compatible pour
a = 0, a = 1. Pour a = 0 la matrice fondamentale est c10l ; pour a = 1 la ma
trice fondamentale est la même, la solution particulière est c-7. 2) Le système
d'équations est compatible pour a = 0, a = 1. Pour a = 0 la matrice fonda
mentale est i4133; pour a = 1 la matrice fondamentale est la même, la solution
particulière est -Â -c192. 3) Le système d'équations est compatible pour a = 0,
lo
<l = 1, a = 2. Pour a = 0 la matrice fondamentale est A U1; pour a = 1,
«a = 2 les matrices fondamentales sont les mêmes ; la solution particulière est
^ 1 9 3 pour a = l et c 194 pour a = 2. 19.20. Le système est compatible si:
1) tous les A; sont distincts, ou 2) A,* = p pour un i. Dans le cas 1), la solution est
unique: xk = JJ ^ 1_, Ar= 1, . . . , w. Dans le cas 2) on peut choisir pour la
solution particulière la matrice-colonne dont tous les éléments sont nuis à l'ex
ception ae = 1. Pour décrire la famille fondamentale de solutions, notons
•que les inconnues principales sont celles auxquelles correspondent les différen
tes matrices-colonnes des coefficients. Par suite, la A-ième solution de la famille
fondamentale a la A-ième inconnue non principale égale à 1 et l'inconnue prin
cipale, à laquelle correspond la même colonne des coefficients, égale à —1
les autres composantes de la A-ième solution de la famille fondamentale sont mil
les. 19.21. C o n s e i l : représenter la solution du système d'équations homo
gènes comme différence de deux solutions d'un système non homogène.
19.22. 3) La condition nécessaire et suffisante d'équivalence des équations non
triviales axxx+ .. . + anxn = a, bxxx+ . . . + bnxn = b.........h1xl + . . . -\-hnxn = A
ai . . . ana
prises deux à deux est Kg 6. . . . b = 1. C o n s e i l : comparer chacune
hx . . . hnh
des équations données avec le système obtenu par réunion de toutes ces
•équations. 19.23. Le conseil est identique à celui du problème 19.22.
19.24. Les systèmes sont équivalents. 19.25. 1) Equivalents; 2) équivalents;
3) ne sont pas équivalents. 19.26. Les systèmes sont équivalents. 19.32. C o n-
s e i 1 : le système d'équations pour la détermination des coefficients possède
la matrice principale ae déterminant de Vandermonde W (alt ... ■. fln+l)
fll bi 1
problème 14.24,8)). 19.33. x*-Gx* + i i x - 5 . 19.34. 1) Rg a2 b. 1 = 3;
*3 b3 1
RÉPONSES ET CONSEILS 363
«1 1 x*+ j/3 x y 1
Ix y 1
** 1
= 3. 19.35. = 0. 19.36.
a3+ 63 «x 6! 1 = 0 .
2) R*
b» 1
°i ài 1 a2 ^2 ^
«3
\at 6j 1 ai+bl
«4 bt 1 *3 1
Ax B, Cx
Ax Bt i4j Bi Ci I
Ai Bx
19.37. 1) Rg At Bt < R ff A2 b 2 C2 ; 2) Rg
At B. A2 ^2 ^2 I
<Rg
A, B, a3 b3 c3
As B, ^3 ^3 ^3
A, Bt i44 i?4 C4|
19.38. 1) Les droites se coupent en un point unique; 2) les droites se coupent
fll & ! CX 1
ai b ic x 11 a2 b2 c2 1
a2 b2 cs 1 I
en un point unique. 19.39. 1) Rg
«3 b3 c3 1
= 4; 2) Rg fla Ùa ca 1 = 4.
a4 64 c4 1
a4 b4 c4 1 |
az bi c3 1
19.40. 1) Tous les points se trouvent dans un même plan ; 2) les points considérés
z'- + y * + z * x y z 1
«Ï + &Î+CÏ h ci 1
ne se trouvent pas dans un même plan. 19.41. û| “f“6j 4“C1 û2 ^2 C2 1 = 0.
Û 3 + ^ 3 + C3 fl3 b3 C3 1
fl, bi Cl 1 «1 b i Cf 1
19.42. 1) Rg fl* c2 1 = 3; 2) Rg «2 b2 c2 1 : 3. 19.43. 1) Tous les
«3 *>3 C3 1 bm cm 1
x y z 1
Ai bi cx 1
points sont alignés. 2) Les points ne sont pas alignés. 19.44. = 0.
fl* b2 c2 1
«a b3 c, 1
C o n s e i l : voir solution du problème 19.35. 19.45. l ) r = üf = l ; 2) r = R = 2;
3) r = 1, /? = 2, où r = Rg I Ax Bx £ i I
B i D i
/? = Rg A i C i
I ^2 *2 ^2 I A f B t C s D s
19.46. 1) r = R = i 2) r = Æ= 3; 3)~ r = R = 2; 4) r = l, /? = 2, 5) r = 2, R = 3,
A t Bx C| Ax Bx Cx Dx
33
a 3 b 3 c3 A2 Bj C3 D3
ment un prisme: 2) les plans ont une droite commune. 19.48. 1) r = R = 3;
= R — 2 ; 4)
A\ Bi Ci *i Cx ^>1
r = Rg Bs Ct A, S2 D3
R = Rg
a 3 B, Cs ^3
a 4 B4 Ci B a Ca &a
19.49. 1) Les droites ne sont pas coplanaires; 2) les droites se coupent.
20.1. 1) Non; 2) Oui. 20.2. Non. 20.4. 1) Oui ; la dimension est 1. 2) Oui ;
la dimension est n — 1. 3) Oui; la dimension est n — 1. 4) Non. 5) Oui; la
dimension est 1. 6) Oui ; la dimension est 2. 7) Non. 8) L’ensemble considéré
est un sous-espace vectoriel de dimension 1 pour a = 0° et pour a = 90°, et il
364 RÉPONSES ET CONSEILS
n'est pas un sous-espace vectoriel pour 0° < a < 90°. 20.5. La dimension de
l'espace est mn. La base est formée par les unités matricielles numérotées
dans un certain ordre (voir introduction au § 15). La base canonique est définie
dans l'introduction au ch. VIII. 20.6. 1) Oui; la dimension est n(n— 1).
2 ) Oui ; la dimension est n. 3) Oui ; la dimension est n (/i+1)/2. 4) Oui ; la
dimension est n (n + l)/2 . 5) Oui; la dimension est n(n —1)/2; 6 ) Non.
20.7. 1) Oui; 2) oui; 3) oui; 4) oui; 5) non; 6 ) non; 7) oui; 8 ) non; 9 ) non;
10) non; 11) non. 20.8. 1) La dimension est n + 1 ; la base est (1, /, . . . , tn).
2 ) La dimension est [n/2 ] + l , la base est (1, t*, . . . , t2k) (fr=[n/ 2 ]). 3) La
dimension est [(n + l)/2 J ; la base est (/, t3, ...» I**-1) (A*=[(n-f-l)/2j). 4) La
dimension est 2 n + l , la base est (1 , cost, sin /, . . . , cosnt, sinnt) 5) La
dimension est n + 1 ; la base est (1, co s/, . . . , cosnt). 6 ) La dimension est n ;
la base est (sin /, sin 2 /, . . . , sin nt). 7) La dimension est 2n + l î la base est
(eaf, ea<c o s /, ea<s in /, . . . , ea<cos n/, eat sin nt). 2 0 . 1 0 . 1 ) ( — 1 1 ) ; 2 ) *(1 , — 3 );
0 1 /2 - 1 4 /3
3) ' ( - 3 , 1/2, - 5 ) ; 4) '(5, - 1 1 , 14, - 2 ). 20.11. 7/2 1 -3
16/3 1 —1
20.12. 1) '(0, 5); 2) H - i , 11, 5); 3) y '(7, 9, 4, 0). 20.13. 1) c ., = 10c34-
— 7Cj5; 2 ) c 120 —cM— 2c83; 3) c201—c 190 — c l9B—C|49; 4) cM5 — —c ie e + c i»7 r
c 20®= c i««-f c 1P7. 20.14. 1) La dimension est 1 ; la base est c v 2 ) La dimen
sion est 2 ; la base est (c31, c2H). 6 ) La dimension est 1 ; la base est c«. 4) La
dimension est 2; la base est (c12 i, c lî4). 5) La dimension est 3; la base est
(Cm* Cm* c i b o ) ‘ 6 ) La dimension est 2; la base est (c19e, c 198). 7) La dimension
est 4 ; la base est (c166, c 1969 c 107, c m ). 8 ) La dimension est 0. 9) La dimension)
est 2; la base est (c1M, c197). 20.15. La dimension est 2; la base est (-4^ ,
^ 390)* 20.16. La dimension est 3; la base est ((1 + /)3, /3t 1)- 20.17. 1) ( — 2);
2) <(1/4, - 1 / 4 ) ; 3) «(1, - 2 , - 1 ) ; 4) <(1, - 1 , 2 , - 1 ) ; 5) <(1, 2, - 1 , 0, 1 ).
20.18. ' ( - 1 . 2, - 1 , 1). 20.19. ‘(1 , 1 , - 1 , 1 , 1 . 1 ). 20.20. ‘ (p „ (a ), - j - p'n (a ).
■rr Pn (a )> • - -, - V Pln } («)• 20.21. ((4, 2, —3). 20.22.1) La dimension est 1 ; la
&! n!
base est *(3, 1), 2) La dimension est 1 : la base est <(0, 1, 1). 3) La dimension
est 2; la base est (*(2, 0, —3), <(1, 3, 0)). 4) La dimension est 1 ; la base est
(23, — 18, 3). 5) La dimension est 0. 6) La dimension est 0. 7) La dimension
est 3; la base est (<(1, 2, 0, 0, 0), <( — 13, 0, 10, 2, 0), <(1, 0, 2, 0, —2)).
20.23. 1) Xi — 2x2-f-x3= 0; 2) = 3) 0 = 0 ; 4) x\ — x3— 0, x± — 2x2-|-
+ x4 = 0; 5) xj — x2= 0, 2 * ,—x3= 0, 2xl — x4 = 0; 6) 3xj —x2—2x3= 0 ;
7) 0 = 0 ; 8) x, = x3= x 3 = x4 = 0. 20.24. 1 ) ||3 ||; g, = 3^1 ; 2) || “ J _ ^ ||;
-5 0 -4
I i = — 6 ?î~b 13|i, 10|J —20çj ; 3) -4 - 1 4 5 i= -5 i;-4 & ,g s=
13 3 —1
3/2 — 3/2 0 2
—8 9 - 1 0
= - 4 ê; - & + 4&, ? ,= 1 3 Ç ;+ 3 g :-Ç i;4 )
4 -5 0 0
w -
1 1 /2 -7 /2 2 0
—|l i + 2 |i , ^= 4 6 1 -5 ^, g4= - ^ - | ; _ l |
RÉPONSES ET CONSEILS 365
1 -4 -3 3 —3 -3
—1 7 5 -3 5 6
*20.25. - 1 19 13 -3 12 13
4 29 19 —3 19 20
; 6i = 6;-4K -3S+ 3Ç î -
0 2 1 0 1 1
-2 5 -2 8 7 — 192 30 -1 8 6 -1 9 9
T -3 K -3 K . S ,= - 5 î + 7 K + 5 K - 3 K + 5 K + 6 |: .ç , = - 6 ; + i9 K + i3 5 ;-3 6 i+
+ 12K+13K. £ 4 * 4 K + 2 9 K + 1 9 K -3 K + 1 « ;+ 2 0 K , 55 - 2 g ; + g ; + g ; + g ; ,
9 40 9
î e = -2 5 g ; —2 8 7|i-192K + 30gJ — 1866i— 190?;. 20.26. —3 —11 —2
8 37 8
î i = 9g; + 40g; + 9g;, g2 = - 3g; - îtg; - 2g;, g3 = sg; + 3 7 g; + 8g;.
0 —18 1 — 10
0 — 2 1 0
20.27.
0 6 0 4
; ? i= -is g ;+ ç ;-io g ;, g2= - 2g;+g;, ?3=6g;+
1 -5 0 —3
3/4 1/4 1 /2
, —3 + 4 i
■c 3o» 3) c 133------ 2c; 132. 22.5. 1) La dimension vaut 1 ; la base
est c6. 2) La dimension vaut 2 ; la base est c27, c39). 3) La dimension vaut
1 ; la base est c26. 4) La dimension vaut 1 ; la base est c134. 5) La dimension
vaut 2; la base est (c21&, c27ft). 6) La dimension vaut 3; la base est
(cm , c2U, c lie). 22.6. 1) (l + 3i); 2) *(l + 2i, 2 - i) ; 3) ‘(1 , 2) ; 4) ‘(1 + i, - 3 i ) ;
5) <(1, - i , 2); 6) <(l + i, — i, 0, 2). 22.7. 1) La dimension vaut 0. 2) La
dimension vaut 1; la base est l + 3it —2). 3) La dimension vaut 1; la base
est *(1, 1, 1). La dimension vaut 2; la base est (f(l — —1,0),
f(2 + i, 0, — 1)). 5) La dimension vaut 2; la base est (*( — 1, i, 1, 0),
*(l + i, 1, 0, - 1 ) ) . 22.8. 1) ( 3 - 3 i ) x 1- 2 x a= 0 ; 2) 0 = 0 ; 3) x1- x a= Ot
^ - * , = 0, (1 — i ) x , - x 4 = 0 ; 4) ( l 3 - 4 i ) XJ + 37XJ - (11 + 450 *3= 0 ;
5) (1 — 7 0 *i + ( — 11 + 7 0 x2+ 1 0 x 3= 0, ( - 1 9 + 130*! + (9 ~ 3i)x2 +
— l - 6 i —29—181
2 2
+ 10x4 = 0. 22.9. 1)114 + 111; l i = (4 + 0Sî ; 2)
2+ i 10—5i ;
2 2
1+ 6 29+18Î . 2+i 1 0 -5 i , , .
— — 9 6l 9 c2 2 * 2 o2*
2 — i — 1 — 2i 1 -i
3) — 2— i 3 + 10t —l+ 5 i
1 + 2i 1—8i 1 —4i
i i =(2 - 0 i; - (i+2 0 k + (i - 0 b, t, — (2+ 0 B+( 3+ iw ) B + (- i+ 50 ii;
Ç ,= (H -2 i)iî + ( l - 8 t ) B + ( l - 4 0 B - 22. 10. 1) * = i c 44; 2) o r
3) + 2 —9i)c44= 4 ‘(9 + 2 i, 4 — 18i). 22.11. 1) La dimension de la
O O
somme est 3 (la somme se confond avec tout l'espace) ; la base
est f a , a 2, bj). La dimension de l'intersection est 1; la base est
*(0, 4, 3 —i). 2) La dimension de la somme est 3 (la somme se confond avec tout
l'espace) ; la base est f a , a t , 6t). La dimension de l'intersection est 1 ; la base est
<(9 + lOi, 2 — 16i, — 10 — 30. 3) La dimension de la somme est 4 (la somme
se confond avec tout l'espace) ; la base est f a , a 2, a A, bA). La dimension de l'in-
RÉPONSES ET CONSEILS 367
tersection est 2 ; la base est (blt b2). 2 2 . 1 2 . 2 ) la base est composée des vec
teurs *(1 , 0 ), <(t, 0 ), *(0 , 1 ), *(0 , 0 * Le vecteur c „ possède dans cette base la matri
ce-colonne de coordonnées *(—3, 2, 0, —1). 22.13. 1) L'espace complexe est
(n + l)-dimensionnel ; la base est (1, t, . . . » tn). L'espace réel est (2n -tri
dimensionnel ; la base est (1, f, t, it, . . ., /n, itn). 2) Dans l'espace complexe la
matrice-colonne de coordonnées est égale à (1 — 2 if 3 + t, —3). Dans l'espace
réel elle est égale à <(lf —2, 3, 1, —3, 0).
23.1. 1), 5), 9) la transformation est linéaire; 2), 3), 4), 6), 7), 8), 10>
non. 23.2. Dans toute base: 1) la matrice nulle; 2) la matrice unité E \
3) la matrice scalaire XE (X est le rapport d'homothétie). 1) Ne l'est pas ;
2), 3) est un isomorphisme. 23.4. Pour c A l= X - £23.5. Non pour {o} =£ o/H^X-
23.6. 1) Projection orthogonale sur la droite r = t a ; 2) projection sur le
sous-espace r = t a parallèlement au sous-espace (r, n) = 0; 3) projection
orthogonale sur le sous-espace (r, n) = 0; 4) projection sur le sous-espace
(rt n) = 0 parallèlement au vecteur a ; 5) symétrie orthogonale par rapport au
sous-espace (r, n) = 0; 6) symétrie orthogonale par rapport à la droite r= ta.
23.7. Produit d'une projection orthogonale sur le plan (x, a) = 0 par une rota
tion de ji/2 autour de la droite x = ta. 2) Produit d'une projection sur le
plan (x, u, v) = 0, d'une rotation d'angle j i / 2 autour de la droite x = t[u, v],
et d’une homothétie de rapport | [u, v| |. 23.8. 1) cp(x) = x — ; le noyau*
est la droite [r. n] = 0; l'ensemble des valeurs est le plan (rf n) = 0;.
Rgq>=2; 2) qj(x) = (x, a) ■ 8 a ; le noyau est le plan (r, a) = 0 ; l'ensemble
El a I
des valeurs est la droite [r, a] = 0; R g< p = l; 3) <p(x) —x — a, le
(a» n)
noyau est la droite [r, a) = 0, l'ensemble des valeurs est le plan (r, n) = 0;.
Rg<p = 2; 4) cp(x) = ^ 4 a ; le noyau est le plan (r, n) = 0; l'ensemble des*,
(a, n)
valeurs est la droite [r, fa] = 0; R g < p = l; 5) <p(x) = x — 2(x, n) j ^ i ;
3> t IIÔ î 0
-1 1 0
>et on a dans 23.10 1) pour a (0, 1, 0), b(0, 0, 1)
2 0 1
12 3 0
2) JL pour a( l , 1, 0), b (0 , 0, 1 ); 3) || 2 3 — 1 || pour
' 5 1 —1 5
( —1 0 0
a ( —3,5 4, 5); 4) || 1/2 3/4 - 1 | | pour a ( l f 2, 3). 23.12. 1); 0 1 0
0 0 1
— 1 4 8 1 - 2 —2
2> - r 4 —7 4 —2 1 —2 C o n s e i l : utiliser les
3 )t
8 4 —1 —2 —2 1
—1 0 0
4 0 1
—1 2 0
0
L0 ; 2)
0
ff
Il 0 0 1 0 ± 1 0
3) A259 et i4260. 23.15. Dans 1) et 2) on a Ker <p= jg*, Im<p = J£'. Si la base
dans* X ' est formée par les k premiers vecteurs de base de l ’espace X , on a:
1 ) diag ( 1 , . . . , 1 , 0 , . . . , 0 )j (k unités); 2 ) || £* 0 ||° (£* est la matrice imité
d ’ordre *)• 23.16. diag (1, . . . , 1 , — 1, . . . , — 1 ) ; <pest un isomorphisme (le nombre
d’unités est égal à sa dimension de X ')• 23.17. 5) Soit (et , . . . , er) une base cAl.
Si les vecteurs er4>1, . . . yen la complètent jusqu’à [une base de J£, la matrice
de l ’application <p dans le couple de bases (elf (elf . . . , e r) s’obtient
à partir de la matrice de la transformation <p dans la base (elt . . . , c n) Par
élimination des lignes'de numéros r + 1 , . . . , n. 23.22. 1 ) Rg<p = dimJ£ =
= d im j£ , Ker qp= {o} ; 2) B = A~l . 23.25. C o n s e i l : choisir une base dans
X qui contient la base du sous-espace (si ce dernier n’est pas nul).
'23.26. 1 ) — 2aiv a2, 4as. Produit des tractions de rapports —2, 1 , 4 dans les
directions des vecteurs a i, a 2, a 3 respectivement. 2) 3ai, 3a2, 2a*. Homothé-
tie de rapport 3 dans le plan x = sax+ ta2 et traction de rapport 2 dans la
direction du vecteur 0 3 . 3) o, *(5, 0, —5), <(11, 5, — 1). 4) a i, ia?, — iav
Produit des tractions de l ’espace arithmétique complexe dans les directions
des vecteurs a i, a 2, a 3, de rapports 1, i, — i respectivement. 5) —a i, (l + i)<*2 »
(1 — i) 0 3 . Produit des tractions de l ’espace arithmétique complexe dans les
directions des vecteurs a it a 2, 0 3 , de rapports — 1 , 1 + i, 1 — i respectivement.
23.27. 1 ) <(0, 6 , 18); 2) o; 3) <(— 8 , - 1 1 , 3, 0, — 13); 4) <p(ai) = (2n— D a j,
<p(a&)=—ai1 (&= 2 , . . . , n ) . Dans les réponses aux problèmes 23.28, 23.29 et
23.31 on fournit les matrices - colonnes de coordonnées des vecteurs de base des
*vecteurs de base des sous - espaces recherchés. 23.28. 1 ) *(12, —5) et *(5, 12);
2) <(lf*l , - 1 ) *(3, 0, 2) et *(1 , l f —1) ; 3) ‘(1, - 1 , 1) et<(l, 1 ,0), *(0,1 ,- 1 ) ;
REPONSES ET CONSEILS 369
O
to
1
1—2 4 31 0 0 0
La base du noyau est formée de ; <pest surjective»
J 0 0 0 I * —2 4 3 L
23.48. 1) Le noyau est composé des matrices dont les n — 1 premières colonnes
sont nulles; <p est surjective. 2) Matrice || Fm(n-1) o || à m (n — 1) lignes et
mn colonnes. 3) <p est la multiplication à droite par la matrice || ^ n~1 | à n
lignes et n — 1 colonnes. 23.49. Le noyau est engendré par le vecteur *(lf —2r
1, —2); l'ensemble des valeurs se compose des matrices réelles de la forme
a b
Rg <p = 3 ; j4 = A 496. 23.50. i4 590. 23.51. 1) Le noyau est for
c a
mé des polynômes de la forme a0x M, l'ensemble des valeurs est composé des poly
nômes sans yn (an = 0) ; 2) le noyau est formé des polynômes de la forme anynr
l'ensemble des valeurs est composé des polynômes sans xn («9 = 0) ; 3) pour un
n impair la transformation est un isomorphisme, pour n = 2m son noyau est
composé des polynômes de la forme amxmym, l'ensemble des valeurs est composé
des polynômes ne contenant pas xmy m. Les matrices sont:
0 1 0 ... 0 0 0 ... 0 0
0 0 2 ... 0 n 0 ... 0 0
i) 0 n— 1 . . . 0 0
n 0 0 ... n
0 0 d <: . . . 0 o b ... 1 0
n 0 0 0
0 71— 2 . . . 0 0
3) 23.53. 1) Pour &= d im j£. 2) a) Soit
0 0 . . . —n + 2 0
0 .. 0 ... .0 —n-
(ai, . . . , a r) la base dans l'enveloppe linéaire des vecteurs al% . . . , a*. Dans ce
cas, or4l, sont des combinaisons linéaires des vecteurs alt . . .,a^. Dans
ce cas, ar+i« sont des combinaisons linéaires des vecteurs alT . . . , a r com
me le sont br+\, des vecteurs bu . . . , 6 r. b) La condition 1) et r = dim j£.
23.54. 1) BA"'1; 2) B; 3) E. 23*55. 1) BA~'\ 2), 3) A~lB. 23.56. 1) 4 ie ;
2) A31 » 3) A32; 4) ^ ei. J23.57. 1) a) A28: ; b) d iag(l, 2, 2); 2) a)
—1 —1 2 0 0 0
b) diag (0, 1, 1); 3) a) —5 — 1 2 ; b) 0 2 1* 4) a) *273 i
— 7 —3 6 0 0 2
—3 1 0
b) 0 —3 0 23.58. 1) a) AU1\ b) -^392 ; C) A r
/1172
0 0 2
- 2 + 3 o 2a
2
a 1—a
23.59. 1) 2) - 3 + 3 6 26 (a, 6 , c sont des nombres
2
6 1—6
—3 4 + 3c 2 c
quelconques). 2), 4) 9 n'existe pas. 23.60. 1) 9 est surjective ; dim Ker 9 = 1 ;
9 (a) = *(4, — 1 ); 2 ) 9 est injective R g 9 = 2 ; ©(a) = *(1 1 , 1 0 , — 6 ); 3 ) 9 est
surjective; dim Ker 9 = 2 ; 9 (a) = *(—4, — 6 , 0); 4) 9 n’est pas unique, le
rang peut être égal a deux ou trois, la dimension du noyau est 1 ou 0 res
pectivement. Dans le second cas 9 est injective. 9 (a) = *(— 10, — 10, — 13,10,28).
23.61. 1) (1 + i) E ; 2) A „ ; 3) An ; 4) 23.62.1) - 1 ° |. 2) II1 °
0-2 r llo - 9
114 0 51 H-l * 0 0
2 1 -2 1
3) 4) 5) 0 0 0 6) 0 2 0
1 2 — 12 7
|5 0 4 10 0 —2
1 1 0 3 —3 2
7) 0 —1 1 8) -2 5 —3 9) Aa 7 ; 10) ax
0 0 -1 —3 5 -3
1+ * 1 0
23.63. 1) Il 3 2) 3) diag(— 1 , 1 + /. 1-,);
i-« 1 —1 —1
—i
4) diag (1, ©*, ©) ; 5) diag (2 , 2 , —2, 2 i); 6 ) diag ( *
0
—5
-: id-
36 — 25 —3 -4 2 — 18 -2 0 48
23.64. 1) 2) 3) —1
23 — 16 —2 15 7 7 —.17
5 —3
- 3 — 15 9
-4 -5
1 * 5 . 23.65.1) I" * 2)
4)t 5 25 —31 I 2 5 4 5
1 5 1
4 -2
3) C o n s e i l : écrire d’abord la matrice dans le base des vec
4 -1
—1 1
directeurs des droites données. 23.66. o — 1)
3 3
3 —1
3 4 0 Il 0 0 2 i iHbV3 - H
2) 4 3 3 ; 3) —1 1 2 i —y § 1 -1 -
; 4 )t
-2 —2 1 |] —1 0 3 —1—1/3 1 /3 —1 1
1 1- 1 / 3 - •1—V3 II 0» 0 —1
1 + V3 1 - ■i+V3 ; 5) —1 0 0 et
e tT
-1 + V 3 —i—y à i II 0> 1 0
2 —2 1
1 2 2
3
-2 -1 3
24*
372 (réponses et conseils
0 0. n
0 —1 1 1
B= 0 0 —2 1
0 0 0 ... — n
3) j4 5 M . 2 3 . 6 9 . l ) L a i - i è m e e t l a / - i è m e c o l o n n e s c h a n g e n t d e p l a c e ; 2 ) la
& -iè m e e t l a Z -iè m e l i g n e s c h a n g e n t d e p l a c e ; 3 ) l a i - i è m e c o l o n n e e s t m u l t i p l i é e
>ar X, la /-ième ligne est divisée par p ; 4) la /-ième colonne s’ajoute à la Z-ième et
Jnuméros
a fc-ième ligne s’ajoute la Z-ième. 23.70. i) Deux lignes et deux colonnes de
i et / changent de place ; 2) la Z-ième ligne est multipliée Dar X, la Z-ème
colonne est divisée par X ; 3) la /-ième colonne s’ajoute laZ-ième, et la Z-ième ligne
est retranchée de la /-ième ; 4) des permutations analogues affectent les colonnes
et les lignes de la matrice ; 5) la matrice initiale laisse place à la matrice qu’on
obtient par symétrie centrale. C o n s e i l . En résolvant les problèmes 23.69
à 23.71, on peut se servir des formules (3), (4) de l’introduction au $ 23 et des
problèmes 15.27 à 15.30. 23.73. Rg<p. C o n s e i l : utiliser le problème 23.72
ou 23.71 et la méthode de Gauss. 23.74. 1) diag (1, 0) dans les bases (‘(1, 0),
' ( - 1 , 1)) et (‘(1, 1), U 0 ,1)); 2) E dans les bases (*(1, 0), «(0, 1)) et (<(1, 3),
*(3, 10)) ; 3) diag (1 ,1 ,0 ) dans les bases (*(1, 0, 0), *(0, 1, 0)), et ('(0, —1, —1),
*(1, 0, 1), *(0, 0, 1)),; 4) diag (1, 0, 0) dans les bases (*(1, 0, 0), *(1, 1, 0),
*(1, —1, —1)) et *(1, —1, 2), *(0, 1, 0), *(0, 0, 1)); 5) i4670 dans les bases:
(«(1 , 0 , 0 , 0 , 0 ), «(0 , 1 , 0 , 0 , 0), «(0 , 1 , 2 , 0 , 0 ), *(2 , 0 , 1 , - 1 , 0 ), <(0 , 0 , 1 ,
O, 1)) et (*(1, 1), «(2, - 2 ) ) ; 6) i4 .l6 dans les bases :(*(1, 0, 0), <(0, 1, 0), *(0, 1,
U) et (* (-2 , - 2 , - 3 , 4,6), <(—2, - 2 , - 2 , - 1 , 5), «(0, 1, 0, 0, 0), «(0, 0, 0,
1,0), *f0, 0, 0, 0, 1)). 23.77. X£, où X est un nombre arbitraire. 23.78. 1)
<pi|> existe pour n — &, existe pour m = Z. 23.79. Soient < p : 5 î * # 1*
x : # s -*■ 5lt- 1) n = t, m = k ; 2) s = n, t = m = k ; 3) t =
= k = n, Z = m; 4) k = n, Z = m. 23.80. Si qp:J£ X et M = <p (J£),
on a (p = i<p, où <p:j% <M et *X est une injection canonique.
-1 4 —2 — 3 8 —5 2 8 - 5
23.82. 1) 2 —1 —1 2) 0 5 —4 ; 3) 3 5 —4 . C o n
-1 0 1 —2 5 — 3 3 13 —8
s e i l : Soient^, B, C les matrices formées par les colonnes de coordonnées des
vecteurs a bi et (Z = l, 2, 3), X , Y les matrices des transformations <p et dans
la base donnée. Dans ce cas, XA = B , Y B = C, Y X A = Y B = C , c’est-à-di-
re que la matrice Z. De la transformation i|?<p vérifie l ’équation matricielle
ZA = C . Dans la base (alf a2, a3) on a Z' = i4-1Z>l = A ^ C , AZ' = C'. Dans
25 —10
la base (6X, ù2, 63) on obtient Z ” = B~lZB. 23.83. 1), 2) 0; 3)
40 — 15
-6 0
4) 5) C o n s e i l : <p — ip = 5t 23.85.1) Matrice
—5 - 6
E
d’ordre n + 1, où E est la matrice unité d’ordre n — k + 1 pour
RÉPONSES ET CONSEILS 373
A:< n, 0 pour k > n ; 2) matrice (—l ) 5 diag (0, 2?, 2*2?, . . n*2?) (Tordre
0
2n + l , o ù £ = pour k = 2s — 1, B = . pour k = 2s (k =
r : 1
= 1, 2, . . . , ;s = [ ( * + l ) / 2 ) 23.86. 1) a) (tD) o + ai* + + «n*n)=
= axt + 2aat2 + . . . + nant* ; b) (Dx) (a0 + axt + . . . + a - t71) — a0
+ 2axt + . . . + (* + 1) antn ; c) [D, x] = i. 2) C o n s e i 1 : démontrer par
récurrence en utilisant le résultat de c) 23.91. Comparer avec 15.59 23.100.
2) Supposons que l'application z y possède dans un couple de bases la matrice
E u (unité matricielle). La base dans L (£>, (S) se compose de toutes les applica
tions t y \ dim L (^°, (Si) = mn. 23.101. 1 \ 2), 4), 5) non; 3), 6) oui. 23.103.
1)» 2), 3), 5) non pour d # 1 ; 4), 6) oui. 23.104. C o n s e i 1 : si les faces du ré
flecteur sont confondues avec les plans de coordonnées, le vecteur directeur du
rayon subit les réflexions successives de matrices diag (1,1, —1), diag (1, —1,1),
diag ( - 1 , 1, 1).
Dans les réponses aux problèmes sur la recherche des valeurs propres e d e s
vecteurs propres, on donne pour chaque valeur propre X soit l'ensemble .1-’ des
vecteurs propres associés à X, soit une base du sous-espace propre ; si la trans
formation est diagonalisable, on indique la forme diagonale de sa matrice et une
base propre, ou bien la matrice des colonnes de coordonnées des vecteurs de cette
base. 24.1. C o n s e i l : l'ensemble étudié est contenu dans un sous-espace
A B nn
propre. 24.3. n— r. 24.4. , où jt= d iag(X x, ...,X*), Xji • • •»X*
O cl
étant les valeurs propres. 24.13. C o n s e i l : le polynôme de degré impair
à coefficients réels possède au moins une racine réelle. 24.14. 2) Soit det
(A— X2?) = (Xx— X) . . . ( Xn—X) ; il vient alors = 2 X^.-.Xi- où
.....V
(ilt ...ïji) parcourt ktous les fc-uples d’éléments de Tensemble {1,2, ...,/*}
(/c = l, . . . , n) ; tr i4 = Xx+ .. . + Xn : det i4 = Xx . . . Xn. 24.15. Tous les vec
teurs non nuis. 24.16. La valeur propre est X (de multiplicité n), les vecteurs
propres sont ae1 (a=^0). 24.17. Xx, . . . , X n- 24.18. La base recherchée est
e = (elt . . . , e n)» où (ex, ...,*&) est une base de X 9 et (e ^ i, . . . , * n) celle de
X m. 1) diag (£*, 0); 2) diag(£*, —En-k) dans la base [e. 24.19. 1) X= l,
x + 2 y = 0 ; X = —1, x + 3 y = 0; diag( —1, 1) dans la base (*(-2, 1, <(—3, 1));
2) X= l, x + y = 0; X= 0, 4 x + 5 y = 0; d iag(l, 0) dans la base (*(1, — 1),
*( —5, 4)); 3) X= 1, 3x—2y = 0: X= 2, x —y = 0; diag(1, 2) dans la base ('(2, 3)f
*(1, 1)). 24.20. 1) X = l , la droite x = s = 0; X= 0, le plan y = 0; diag(0,
1, 0) dans la base donnée; 2) X= l , la droite x = y = z; X= 0, le plan
x + x - f 2 = 0; diag (1, 0, 0) dans la base (*(1, 1, 1), *(1, — 1,
0) , *(1, 0, — 1)). 3) X= l , le plan x + y + r = 0; X= 0, la droite x = y
= z; diag (1, 1, 0) dans la base (*(1, —1, 0), *(1, 0, —1), *(1, 1, 1)).
4) X= l , le plan —x - f y + 2 s = 0 ; X= Ô, la droite —2x = 2y = z ; d ia g (l, L 0)
dans la base (*(1, - 1 , 1), *(1, - 3 , 2), « (-1 , 1, 2)). 5) X = l , le plan x = 0;
X= 0, la droite 2x = 2 y = —z; diag (1, 1, 0) dans la base (*(0, 1, 0), *(0,0,1),
*(1, 1, —2)). 6) X= 1, le plan x = y; X= 0, la droite —2x = 3y = 6s;
d iag (1, 1, 0) dans la [base (*(1, 1, 0), *(0, 0, 1), *(-3, 2, 1)). 7) X = l , la
droite —2 0 x = 1 5 y = 12s; X = 0,1eplan 2x + 3 y — 2 = 0 ; diag(1, 0, 0) dans la
base (*(—3, 4, 5), *(1, 0, 2), * (0, 1, 3)). 8) X= l, la droite 2 x = y = 2s; X= 0,
le plan 2 x + 3 y —4 s = 0 ; d iag(l, 0, 0) dans la base (*(1, 2, 1), *(—3, 2, 0),
*(2, 0, 1)). 9) X = 1, le plan x = 0 ; X = —1, la droite y = s = 0; diag(—1,1,1)
dans la base (*(1, 0, 0), *(0, 1, 0), *(0, 0, 1)). 10) X = l , la droite x = 2 y = z;
X = —1, le plan 2 x + y + 2 s = 0 ; diag(l, —1, —1) dans la base (*(2, 1, 2),
* ( - l , 2, 0), *(1, 0, -1 )). 11) X = l , le plan x + y + s = 0 ; X = - 1 , la droite
x = y = z; diag(l, 1, - 1 ) dans la base (<(1# - 1 , 0), <(1, 0, -1 ), *(1, 1, 1)).
12. X = 1, le plan x = 0 ; X = —1, la droite 2 x = y = —s ; diag(l, 1, —1) dans
374 REPONSES ET CONSEILS
b) diag (I, (û2, (o), i4383 (o>= e2,li/3). 4)_ X1# 2 = 3; a), b) non. 5) ^ = 0,
X2 t 3 = ± i V 3; a)non; b) diag( 0 , i “l/3 , —iV 3)» A9ha. 6 ) >i t 2 = l ; a) , b) non.
7) Xi *=(1 dt V 3 )/2 , X3. 4 = 1; a), b) non. 8 ) X i 2 = i , X3 i 4 = - i ; a) non;
b) diag (i, i,—i, —i), ^ 4 8 r- 9) Xj#3 = l + i, ^ , 4 = 1 —i; a) non;
b) diag (1 + i,1 + i, 1 - i , 1 - 0 , AA9H. 10) Xl t 2 = i , X3 , 4 = - i ; a) b) non.
24.34. Soit (elv . . . , e „ ) la base canonique, m = [(n + l)/2), r = [w/2).
1) d iag(£m, —Er) dans la base formée par les vecteursefc+en-fe+i (fc = l, . . .
. . . , m) et efc—en-h+i ( fc=l , . . . , r) . 2) diag (3£m, —Em) dans la base de
l ’exemple 1). 3) diag (2n—1 , —1, 1) dans la base des vecteurs e1+ . . .
. . . + e „ , e ^ e k (A*= 2, . . n). 4) diag (x + ( n - l ) y , x - y , . . . , x - y ) dans la
base de l ’exemple 3). 5) X = 0 , le vecteur propre de base est le vecteur
n- 1
2 (—l ) a £ n -ie*«-i î l a transformation n’est pas diagonalisable. 6) diag X
5= 0
X (n—1, n—3, . . . , 1 —n), les coordonnées du k-ième vecteur propre de base
sont les coefficients du polynôme (l + r)n-* (1 —i)*”1 ordonné suivant les
puissances croissantes de t. 7) diag ( 2 c o s ^^Tî“ » . . . , 2 c o s nü^ï~ ) dans la
n
base des vecteurs a* = 2 sin A*=l, . . . , n . 8) diag (0, . . . , 0 , n)
5=1
dans la base (alt . . . , a n), où (alt . . . , a n. t) est la base du sous-espace
* i - * 2+ . . . + ( - l ) n- l *n = 0, a„ = e 1 - e 2+ . . . + ( - l)» -* en. 9) d iagx
X (2£m, —2Em) pour n = 2m ; diag (2£m_lt 1, —2£m_1) pour n = 2m—1 dans
la base formée par les vecteurs e*+2e„_jn . 1 (Ar= l, . .. , m), «fc—2en.^ +l (Ar=
= 1 , ... , r). 1 0 ) X= 0 avec vecteurs propres e lf . . . , e r ; pour n = 2 m— 1 on
a encore X= 1 avec vecteur propre em ; la transformation n’est pas diagona
lisable. 11) diag (i£m, —iEm) pour n = 2m; diag (i£m- i, 1, - i £ m-i) pour
n = 2m—1 dans la base des vecteurs e* + ien-fc+i (Ac= l, . . . , m), e* —
—ien-fc+i (Ar— 1 , . . . , r). 1 2 ) diag (1 , e , . . . , e n"1) dans la base des vecteurs
376 (REPONSES ET CONSEILS
1 1
= — ( A + tA ) + — (A— tA) fournit la décomposition recherchée. 24.54. X = l t
S M
les vecteurs propres sont les matrices hermitiennes non nulles; X = —1, les-
vecteurs propres sont les matrices antihermitiennes non nulles. 24.55. 1)
8 0 8 11° °l
1°
—1 0 » |o —1 ’ || 1 0 |
diag (—4, —4, 4, 4) dans la base formée par
10 0 II 1 0 0 1
0 1 ’ X= 5 , les matrices propres sont I ^ ; 3) diag (e,.
0 3
1 0 0 1
e, e2, e2), e = e2îll/3, dans la base des matrices
—e 0 0 —e
O
00
0 —e
i
0 0 I
1
3 e -1
Nk
00
CO
3 8 -1 1 1 | 0 0
1
U a 12 — «21 «
«1 1 «12 «2i «22““ «11 0 —«21
1) Si A* , on a Am — 2) a).
«21 — «12 0 «n —«22 «J*
0 ~«12 «21 0
X=0 , les matrices propres sont E, >410« ; b) diag(0, 0, 2, —2) dans la base*
|1 0|
(E, A22t A5, M6); c) diag(0, 0, —2i, 2i) dans la base des matrices I I*
-1 i 1
10 » - * MM 24.58. 1) d iag(l, 1, — 1, —1) dans la-
| 1 0 i JM 1 - i
base (E, —j45, A m); 2) X= l, les matrices propres sont £ , A1Qé. 24.59.
X.= 1 ; les fonctions propres sont: 1) 1, y, y1 ; 2) 1, 2x + y , (2x + y ) a. C o n
s e i l : on peut se servir du résultat obtenu dans le problème 23.50. 24.60. 1)*
X= 0, le vecteur propre est xn ; 2) X= 0, le vecteur propre est y71; 3) diag(/z,
n—2, . . . , —n) dans la base (xn, xn-1y, . . . , yn~1x1 yn). C o n s e i l : on peut-
se servir du problème 23.51. 24.61. 1) X = l , les vecteurs propres sont les
constantes; X= 0 , les vecteurs propres sont x, xy, xa. 2) d iag(lf 1, 1, 1, — 1,
— 1) dans la base (1, x + y , xy, xa+ y a, x —y, xa—y2). 3) X = l , les vecteurs
propres sont 1, x, x2, y2 ; k = — 1, les vecteurs propres sont y, xy. 24.62. 1)
diag (2, —2, 0) dans la base (x + x2, x —x2, 3 —5xa) ; 2) diag(2/3, 4/3, —8/15)
dans la base ( 6 x + l, x, 3xa—1). 24.63. 1) diag(n/2, —ji/2) dans la base
(s in x + c o s x , s in x —cosx); 2) diag(ji/2, n/4, Ji/4) dans la base (1, cos2xy
sin2x). 24.64. X = 0 , les vecteurs propres sont les polynômes harmoniques,
c'est-à-dire les solutions de l'équation de Laplace A p= 0. Pour n = 0, ce sont
des polynômes de degré zéro, et pour n ^ 1 il existe deux polynômes horao-
[n/21
gènes harmoniques linéairement indépendants de degré n: un = 2 j ( —*)*X
*-o
[n/21
vn = y t ( —1)* C o n s e i l : u „ + f o n=
k-0
378 (Ré p o n s e s e t c o n s e il s
1 0 I 1
= (x + ii/)n. 24.65. Transformations de matrices
0 1 I 0
A B □ A O
24.72. 1)
« O C
2)
B C
la matrice A est d'ordre k.
24.75. Tout sous-espace est invariant. 24.76. Plan entier et sous-espace nul.
24.77. Droite x = ta et plan (x, a) = 0. 24.78. Si la matrice de la transfor
mation est diagonale dans la base (ex, . . ., en), les sous-espaces invariants non
nuis sont engendrés par tous les systèmes de vecteurs . . ., eih. Le nombre
des sous-espaces invariants est 2n. 24.79. Soit £ la somme directe des sous-
•espaces propres de la transformation <p: = £ — £ \ © . . . ® £ s- Tout sous-
•espace invariant rjl est alors de la forme rAl=cAl\ © . . . © r///a, où rJi i est un
.sous-espace de £ ( (* = 1, . . ., s). 24.80. Sous-espace {o} et enveloppes li
néaires des vecteurs ex, . . ., ek pour chaque k = 1, . . ., n. 24.81. vllx+<>//•,
où cAl i est un sous-espace quelconque de £ t (i = 1» 2). 24.82. 2) C o n s e i 1:
se servir des problèmes 24.2 et 24.26, 4). 24.83. 2) C o n s e i l : se servir des
problèmes 24.26,1) et 23.98. 24.85. C o n s e i l : se servir du problème 24.84. 24.86.
Sous-espaces invariants triviaux : {o} et espace entier. Autres sous-espaces inva
riants ; 1 ) sous-espaces unidimensionnels de vecteurs de base *(2 , —1 ) et *(1 , —1 ) ;
2) sous-espace unidimensionnel de vecteur de base *(—1, 2); 3) sous-espaces
•unidimensionnels de vecteurs de base ai = *(0 , 1 , 1 ), a* = *(1 , —1 , —1 ), « 3 =
= *(1 , —1 , —2 ), sous-espaces bidimensionnels qui sont les enveloppes linéai
res des couples de vecteurs a;, ak, 1 ^ i <Z k ^ 3 ; 4) sous-espace unidimension
nel & de vecteur de base *(3, 5, 6 ), sous-espace bidimensionnel fi de base
•(*(2, 1, 0), *(1, 0, —1)), tout sous-espace c41 de l ’espace fi ; toute somme cAl +
+ ^ 1 5), 6 ) sous-espaces propres M , JT dont les bases sont formées par les vec
teurs ek + en-h+v * < * < [ ( * + 1 )/2 |, et ek — en_fc+l, 1 ^ [n!2\ ;
tous sous-espaces fi des espaces c/J, JT ; toute somme <P + fit 7) sous-espa-
•ces propres rA l^JT de base ex+ . . .-f-e* et (ex — e a, . . ., ex — en) ; tout sous-
espace & de l'espace JT ; toute somme & + S 4 1 . 24.87; Les sous-espaces inva
riants (n — l)-dimensionnels se définissent par les équations: 1 ) xx — 2 xa +
+ x 3 = 0 et xx — x2 + x 3 = 0 ; 2) (2a + 30) xx — ax2 + 0xs = 0 ( | a | +
+ I 0 I ^ 0) ; 3) xx — x2 + 2x3 = 0 ; 4) xx — x2 = 0 ; 5) xx + 2xa ± (x3 +
+ 2x4) = 0 ; 6 ) xx + x 3 ± (xt + x4) = 0 ; 7) 2xx + x2 + 3x 3 + x4 —• x 5 =
= 0 ; 8 ) xx + x2 + . . . + xn = 0 . C o n s e i 1 : utiliser les résultats du pro
blème 24.84 ou 24.85, 2). 24.88. 2) La base dans £ est (‘(1, —1, —1, 0),
*(0 , 0, 0, 1)). 24.89. 1 ) C 0 n s e i 1 : si (e., . . ., ek) est une base de £ k (k =
= 1, . . ., n), (ex, . . ., en) est la base recherchée. 24.90. La base recherchée
«st définie par la matrice S. La solution n'est pas unique.
0 •- 2 5 0 0 1 0 0 0 0
1) 0 5 1 » 5= 1 5 0 ; 2) 0 0 1 s
0 0 5 1 4 1 0 0 0
1 1 0 -1 -1 -1 2 1 1
Il “
-1 2 0 ; 3) 0 -1 1 , 5 = 1 01 0
0 -3 1 0 0 -1 II 1 —1 0
A) La matrice ne se réduit pas à la forme triangulaire sur le corps des nombres ré
els. C o n s e i 1 : se servir du problème 24.89. On peut utiliser les résultats du
problème 24.87. 24.91. 2) Si &!, . . ., kr sont les ordres des blocs diagonaux,
on a dim £ j = kx + . . . + kj (j = 1, . . ., r). 24.93. 1) k = 0, les vecteurs
propres sont les constantes ; 2) X = 0 , at (a ^ 0) ; 3) X* = — a cos kt (a #
^ 0), k = 0 , 1 , . . ., n; 4) Xk = —A?*, b sin kt (b ^ 0 ), k = 0 , 1 ...........n.
RÉPONSES ET CONSEILS 379
25.4. 4) a), 5), G), 9) et 10) elle le peut; 1) et 2) elle ne le peut pas, car la
propriété de symétrie est violée ; 3), 8 ) et 12) elle ne le peut pas car la propriété
de positivité stricte est violée ; 4) b), 7) et 11) elle ne le peut pas car la propriété
de positivité stricte est violée, mais F (x, x) > 0. C o n s e i 1 : en vérifiant la
propriété de positivité, réduire F (x, x) à la somme de carrés. 25.6. 6 ) a),
8 ), 9) et 12) elle le peut ; 1), 2), 3) et 7) elle ne le peut pas car la propriété de sy
métrie hermitienne est violée; 4), 5) et 10) elle ne le peut pas car la propriété
de positivité stricte est violée ; 6 ) b) et 1 1 ) elle ne le peut pas car la propriété de
positivité stricte n’est pas vérifiée, mais F (z, z) > 0. C 0 n s e i 1 : en véri
fiant la propriété de positivité stricte, réduire E (x, x) à la somme des carrés des
modules des coordonnées des vecteurs. 25.7. a 21 = a12, axx > 0, a22 > 0 ,
fln a 22 — I flia I 2 > 0. 25.10. Oui et de plusieurs façons. 25.11. 2) et 5)
oui, elle les possède toutes ; 1 ) non, car la propriété de positivité stricte est violée ;
3) non, F (X , 0, mais l ’égalité F (X , X) = 0 n’implique pas que X est
une matrice nulle; 4) non, car la propriété de linéarité est violée. 25.13.
Ft (X , y). 25.16. Pour n, elle ne l'est pas; la propriété de positivité stric
te est violée, mais (/, /) > 0. 25.18.. La matrice de Gram de la base (/t,
i 12 0 1 2 — 2 I2 0
est : 1 ) a) 1 5 4 | ; b) ; 2 ) a) ; b) 3) a)
14 5 |o 2 — 2 6 10 1
380 «RÉPONSES ET CONSEILS
4 2 2
4 6 1 1 0 II 1 2 1— * 2 0
O I
JN (
b) | ; b) ; 5) a) 2 2 1
6 12 | o 3 | ; 4 ) a ) | 1+ i 3
2 1 3
4 0 0 3 1 — 2* 2 + i l
b) 0 4 0 ; 6) a) 1 + 2* 1 2 + i ; b) E. 25.19. r = ||£/y||, *, / =
0 0 8 2— i 2 —i 6
= 1, n + 1 , où 1) — étant le symbole de Kronecker), r = £;
min <f-l, 1) j -
2) Ktj*= 2 ( < ; si « = 0, on a * „ =
fc=0
m
= « i - l ) ! ) * 6 i j ; 3) g i j = 2 <j+^ -2. 25.20. Si r = ||gjh II. U * = 1, . . . . n + u
h= i
P (0 = ao+ a i* + .. . + a n*n, g(*) = Po+Pi* + • • *+ Pn*n» on a: 1) £./&= (/ +
71+1
+ *—i)-‘, (p, 9)= 2 «/-iP*-i(/ + fc—l)~x; 2) gjk = 0 si / + * est impair,
i. * = t
n+1
gjk — 2(j + k — 1)"* si ; - f k est pair; V otj-iP*-i ( / + * —l)-1
(p, q) = 2
i. *= i
(somme sur les / + A pairs). 25.21. 3) det T' = det T (det S)2. 25.23. C o n s e i l :
I2 1
utiliser le résultat du problème 25.20. 25.24. 1) Fr =
1 2 ” (Xf y)-----lr
i —i 4 0
2) r r = . (x, y) = 2; 3) I\ = (x, y) = 7 ; 4) r =
—1 3 0 1
3 —2 1
0 1
l 1 »( —2 3 —1 » (*» y) — 3 ; 6) —
1o 2
1 -1 1
2 0 0 1 * 0
0 3 0 , (x, y ) = — 3; 7) Tr = —* 4 0 , (x, y) = 7i. 25.25. 1>
0 0 1 0 0 1
5 V 2 ; 2) V3Ô; 3) 1 /6 ; 4) 3*1/5; 5) 1 /7 ; 6) l/ÏÔ . 25.27. 5) Le somme des
carrés des longueurs des diagonales du parallélogramme est égale à la somme
b
des carrés des longueurs de ses côtés. 25.29. ( J/ ( x) g( x) dxj ^
a
b b b b
< J
a
|/(* )|* d * .$ |* (x )|* d x ;
a
(Ja
|/( * ) + * ( * ) |* d * ) 1/2< (Ja
|/( * ) |* d x ) 1/2+
b
+ ( $ l<r(*)l*dx)1/2 . 25.33. 1) x1= xï = 0 ; 2) 3*,—» * = 0 ; 3) 2xt+ x t = 0 ,
s e i l : COS(/n« •
- 2 , 1); 5) 4" '(2. 1. _ 2 >» " ïT f**1* °* 1}* ~ ^ / ï t(~ X' 4’ 1): 6) Ï 7 T ‘(1,
1, - 1 , 0), - ‘(0. 1, 1, - 1 ) , ‘(1, 0, 1, 1). 26.15. 1) -^ g -« (l, 2, 1),
— ^ y i j 2* *d» ®* 4)>
*(0, 4, 1). 26.17. Le couple donné peut être complété jiuqu’à la basé
2V5
orthogonale par les vecteurs de matrices-colonnes de coordonnées suivantes
1) * ( - l , 0, 1, 0), *(1. —6, 1, 2); 2) *(1, 1, 0, 0), ‘(1, - 1 . - 1 , 1); 3) *(1:
- 1 , — 1, 1), ‘(2, - 1 , 2, — 1). 26.18. Par exemple: 1) - ^ = - ‘(1,0,1, - 1 ) ,
« * • ( ' • ‘• '■ - t
— | - e - ‘, e~*t— . 26.25. 2) |p* | * = 2 (2*+1)-*, *> 0
26.26. gft(t) = 2ft(Arl)*((2fc)I)-l pft(t). * > 0 . 26.28. Le système normé
S r»(D
-i
Tm (t)
yr=T»
d* procéder au changement de variable 0 = Arc cos t .
RÉPONSES ET CONSEILS 383
X (3—51*), y l , - - y - ( l - 31*)}; 2) ( - |- ( 3 - 5 l* ) , - y ( 5 l- 7 « » ) , - - y - X
35 \
X (l — 3 1 * ),---- g-(3< —513) ] . 26.42. La base recherchée est par exemple*
formée par les vecteurs de matrices-colonnes de coordonnées 1) *(1, — 10, 0),
H0, 7, 1); 2) <(3, 2, - 5 ) ; 3) ‘(5, 1, 0, 0), <(2, 0, - 1 , 0), <(9, 0, 0, 1); 4>
*(2, 1, 0, - 3 ) , *(1, 0, 1, 4); 5) <(1, 0, - 5 , 1), <(0, 0, 1, - 3 ) ; 6) <(5, - 3 , \ r
0, 0), ‘(4, 2, 0, — 1, 0), ‘(1, — 1, 0, 0, 1). 26.43. Par exemple: 1) ( - ^ = - ‘(U
.+ 4)
2 ^ -=- <(1, —3, 2, 1, —3) J . 26.44. La base recherchée est formée, par exem
ple, par les vecteurs de matrices-colonnes de coordonnées: 1) *(1, 1, —1, l) r
<(10, 1, 0, - 2 ) ; 2) *(0, 1, 1, - 1 ) , *(1, 0, —2, 3); 3) <(1, 1, - 1 , - 1 , l) r
<(0, 1, 2, 3, 4). 26.45. Par exemple: 1) * i—3xa—2x3= 0; 2) 2xl —xt = 0 r
x3= 0, 5xj—x4 = 0; 3) x ! + x t = 0, 2x3+ x 3—x4 = 0; 4) 3x1+ x 1+ x s = 0^
2xj — 2xa-f-x4 = 0; 5) 2 x .—x1+ 3 x « + x 4 = 0; 6) —2xa—3xs—x4= 0, 3xi-f-
+ 3xa—x8-f-X5 = 0. 26.51. Z= m, det || (/y, £&) Il 0.
384 •REPONSES ET CONSEILS
9 —3 3 6 i 2 4-4 1 —1 1 — 1 1
15 —2 —3 1 - 1 • 2 >ï ô 1 2 — 2
-.3)4 1 —1 3 1
2 3 - 1 1 —2 —4 4 - 1 1 1 3
1 0 0 1 2 0 - 1 - 1 6 6 12 - 6
0 3 0 0 6 41 —2 1
4
0 1 1 0 1 1
« - 0 1 1 0 ; 5) T - 1 0 2 - 1 ; 6)42 12 - 2 38 2
1 0 0 1 - 1 0 - 1 2 - 6 1 2 41
-7 12 - 4 4 -4 2 1 -2
1 12 3 —6 6 1 2 —1 2 -4
28.S. 1) ^ y 2> t 1 2 —4 —2 3) 4" x
—4 - 6 - 1 3 - 2
4 6 —2 —13 — 2 —1
1
-1 -1 1 —1 0 0 0 1 1 0 -
-1 -1 -1 1 0 0 1 0 1 0 3 0 0
X ; 4) ;5)T
1 —1 1 1 0 1 0 0 —2 0 1 —2
-1 1 1 1 1 0 0 0 —2 0 — 1
— 15 6 12 — 6 3 -1 -1 —1
6 20 — 2 1 1 — 1 3 —1 —1
6) — 2 28.6. 1) 4 -
; 21 12 - 2 17 4 - 1 —1 3 —1
—6 1 2 20 -1 -1 - 1 3
5 —3 —1 0
CO
i
i
i
1 -1 7 3 -5 —3 2 0 — 1
2) -1 2 —3 3 9 3 ; 3) 4" —1 0 2 3
- 1 - 5 3 7 0 —1 3 5
1 2 — 1 2 1 - 1 - 1 - 1
2 4-2 4 1 - 1 1 - 1 - 1
28.7. 1) -i- —1
4) w —1 - 2 1 — 2 — 1 1 — 1
2 4 - 2 4 — 1 _ 1 - 1 1
25-340
286 (RÉPONSES ET CONSEILS
O to
CD CO
—5 —1 - 3 —1
O M
3
i
1 1
—1
1 1 3 —5 ,v y1 -6
1
2) î 3) 4) — X
6
-3 3 3 3 —2 0 —3 6
—1 - 5 3 1 0 —2 G 3
-4 2 -1 2
m m
2 - 1 - 2 4
—1 —2 - 4 - 2 (/fc, Afc)
*=1 *=!
2 4 —2 —1
28.10, 28.11. 1) ©* = q>; 2) si <p(z) = Xx, on a <p*(x) = Xx. 28.12. 1) et 2) <p*=
= cp ; 3) <p*= qr*. 28.13. 1) q^nror1 ; 2) <p* est une projection sur la direc
tion de parallèlement au supplémentaire orthogonal de l'enveloppe linéaire
du vecteur a; 3) q>*=— <p. 28.14. 1) <p*= <p; 2) la transformation <p* repré
sente une traction suivant les mêmes directions orthogonales deux à deux
n
de rapport suivant la direction / = 1, n. 28.15. <p* w = s <*• *j) n ■
_ 5«l __
28.17. 1) <p*(x) = Mx; 2) <p*(x) = Ux. 28.18. 1) <p*(X)=MX (<p* (X) = MA') ;
b
2) q>* (X) = X (<B) (q>* (X) = X' (5j). 28.19. 1) ç* (p) (t) = J K (*, t) p (*) ds.
-3 2 0 0
28 .21 . 2) yt* = r-»(M )r. 28 .22. 1) 2) — ; 3)
• 10 6 2 5 4
-1 3 3 6 9 0
0 1 -1 - 3
-1 4 5 ; 4) -3 -5 -1 . 28.23. 1) 2)
-1 1 5
2 - 2 0 2 2 —3
2 2 -2 0 1 1
1 + i — 1+ i
3) 4) — 2 —2 3 5) 2 — 1 1 fi>
1— i 2
3 2 0 —4 6 4
—2 2 3 8 0 0 2— i 1 4—i
2 —2 - 5 12 - 1 - 1 1 » 8) 2i — 1 l + 2i
oo|
2 2 3 12 51 49 —1 i 0
1 — 2 15 i | 7 3 1—2 + 4 i 2 + 9t
28.24. 1) ; 2) ; 3) 4>
1 —1 7 —3 - 1 | 2— 1 2 —4i
1 — 3 10 1 -1 1 11 2—3i 10*
0 2 — 4 ; 5) 1 0 1 ; 6) — i — 5—4i 20 i
- 1 —2 — 1 5 —3 3 4+4t 2 —4+ 5i
0 —5 0
—7 0 1 —5
28.25. 1) 2) 28.26. 1) -g- 6 0 2 2>
3 1 —1 3
0 15 0
0 0 0 0 0 0 0 2 0
6 0 0 28.27. 1) 10 0 3 0 — 3 . 28.28. <p*= —cp;
2> I
0 5 0 0 2 0 0 2 0
REPONSES ET CONSEILS 387
a 2 fc, 2A+l==;f’ fl2 A+i, a = — * (*= 1 * «)» les autres a*k = 0, où a*k (y, * =
= ï, . . . , 2 n + 1 ) sont les ^éléments de la matrice associée à la transforma
tion <p*. 28.29. 3) (aq>)* = aq>* ; 5) (p (q>))* = p (<p*) ; les énoncés des propriétés
l) f 2), 4) ne changent pas. 28.31. 1 ) det <p*= det 9 ; 2) det q>*=det cp. 28.39.
1) Les valeurs propres des transformations <p et <p* se confondent ; 2) les
valeurs propres de <p* sont les complexes conjuguées de celles de <p. 28.41.
C o n s e i l : se servir du problème 28.33. 28.44. Pas toujours. 28.45. 2) Non.
28.46. 1) xx+ x 2+ x 3= 0; 2) x 1 - x 2 + 2 x 3 = 0 ; 3) 3 ^ + x * — 2 x 3 = 0 ; 4) 4 xx+
+ x 2 —3x3= 0 ; 5) 3 x j + 5x2+ 6 x3 = 0 . 28.48. 2) Transformation définie dans
une base orthonormée par la matrice j413. 28.54. 3) Cette base n’existe pas.
Dans les autres problèmes de ce numéro, la base et la matrice sont définies
de façon non univoque. Ce sont par exemple les vecteurs de matrices-colonnes
de coordonnées (rapportées à la base initiale) et les matrices: 1) ■ ■ *(1, —1,
*(1 , 1 , —1 ), ainsi que les bases obtenues à partir des bases indi
quées plus haut par multiplication de certains vecteurs par —1 , et les matrices
modifiées de façon adéquate.
6) X1 = l , Xî = 4 , / i = ^ = - ‘ ( - l , l + o, / . = — «(!-«•, 1); 7) X2 = - 1 , X 2 =
1 ) ; 1 0 ) X 1 = 1 , X j = 2 , Xs = 4 , / x = ^ = - ‘ ( l , - 1 . - 1 ) = (1 ,0 ,
1 ). / s = r 4 = - * (1 , 2 , - 1 ) ; 11 ) X l = Xî = l , ^ = 7 , / , = - ^ ‘ ( l , - 1 , 0), / 2 =
y 6 K2
= ^ — <(1. 1, - 2 ) , / , - ; p g - * (1 ,1 ,1 ); 12) X1= Xî = 0, X, = 18, / i = ^ = ‘ (1,
+ 0, 40, 2, 2, - 1 ) , / , = - g - ‘ ( 3 - i , - 3 - 1 , - 4 0 ; 18) X j = - 1 ,
- 0 , 0 ; 4) x ,= i , x ,= ^ l ± î H . x ,=
- ^ v 5 . / l = ÿ f ‘ (1.1.1). /.=
* - lV 5 * " 2K
^ « ( l - i V â , l + i V 3 , - 2 ) ; 5) X4= l, xt = 1- + f - ^ , x, = L J |3 / J
21/3
/ 1= ^ = ‘ ( 1 . 1 . 0 ) , / t = - | - <(l, - 1 , < 1/2), / s = 4 ‘ ‘ (l*_ l*“ i l / 2 ): 6) X‘ = 1'
0, 16/15, 0); 2) (1, 1/3, 1/5, 1/7). 31.20. (1, 0, . . . . 0). 31.21. 1) (1, <0, . . .
. . . , IJ); 2) (1, 0, . . . 0 ) . 31.23. 6=3<p1-3 q )t+«p3. 31.25. *! (0........... 0, 1,
0, . . . . 0) (l'unité occupe la (At+l)-ième place) pour Ar^n; (0, . . . , 0) pour
k>n. 31.26. 1) (x„, . . . . xn),oùxj = 0 pouri^Ar et xj = < (I— 1) ...
. . . (t—At) t*- *- 1 pour 1 > Ar; 2) kl (0, . . . . 0, 1, 0, . . . . 0) (l’unité est
à la (* + l)-ièm e place). 31.29./(*) = 3ÇJ + 5& + 4&. 31.31. 1) (0,
0, 2); 2) (5, - 5, - 2 ) ; 3) (3, 3, 3); 4) (0, 1, 2). 31.32. 6 , = <pt A =
=~2 (<P3—<Px). ^ « P i —2q>ü+<Pï. ou * = «Mm 31.33. 6h (p)=
.— *3* 4 ); 6)
2 (x2 —x ^ + x 2 —XjXj—x ^ + x î + s j ) ; 7) 2 (x2 —x ^ + x 2 —x ^ - f -
n- 1
“l“X§—XjX4 -j-x*—* 4^5 "H*?““ *»*• “H*•) » 2 X|X/+1, 32.4. b (x, y) = (k (x +
i=»l
— 1/) = k (x)— k (y))/2. 32.5. 1) La i-ème et la ;-ième ligne changent de place
ainsi que les colonnes i et 7 ; 2 ) la i-ième ligne et la i-ème colonne sont
multipliées par X (dans ce cas, l’élément diagonal se trouvant à leur intersec
tion est multiplié par X2) ; 3) à la ligne i s ’ajoute la ligne / multipliée par kr
et à la colonne i s’ajoute la colonne j multipliée par X (ceci étant, l'élément
diagonal se trouvant à leur intersection se transforme suivant la formule bu =
—bu + 2Xbij + Wbjj) ; 4) les éléments de la matrice se transforment par une
symétrie par rapport a la diagonale non principale. 32.6. Matrice orthogonale.
32.7. 1) 13xî2 - 46xJ xi + 41x;2 ; 2) x ; 2 + 2xi2 ; 3) x;2; 4) 8 x ',2 - 18x'txJ—
— 8 xixJ + 3xi2 — 6 xixi — 4xi2 ; 5) 7x | 2 — l l x i 2 — 2xJ2 + 3x^xi — 6 x^X3 +
+ 1 l^ixi ; 6) 20x; 2 + 8 xi 2 + 35xJ2 ; 7) (ra - 1) x 't 2 + (n - 2) x;2+ . . .
. . . + x^L, + (2ra — 3) xjxi + (2ra — 5) xjxj + (2ra — 5) xjxj + . . . + xjx^+
+ . . . + X ^x'*. 3 2 .8 .1 ) x ? + xi2; 2, 2, 0 , 2 ; 2) x;2 - x ; 2; 2, 1 , 1 , 0 ;
3) xj2—xi2 ; 2, 1, 1 ,0 ; 4) x;2 ; 1, 1 ,0 , 1; 5) - x ; 2- x ; 2; 2, 0, 2, - 2 ; 6 ) - xj2;
1. 0, 1, - 1 ; 7) x ; 2 + xi 2 —xi2 ; 3, 2, 1, 1 ; 8 ) x ; 2 - xi 2 - xi2; 3, 1, 1, - 1 ;
9) xJ2 + xi 2 + xi2; 3, 3, 0, 3, ; 10) x',2 ; 1 ,1 , 1, 0, 1 ; 11) xj2 + *i2; 2, 2, 0, 2 ;
12) x;2—xi2—xi2 ; 3 ,1 , 2, - 1 ; 13) x't2 + xi2 + xi2+ x j 2 ; 4, 4, 0, 4 ; 14) x't2+
+ xi2 + xi2 + xi2 — xi2 — xi2 ; 6, 4, 2, 2 ; 15) xJ2 + xi2— xi2 — xj2 ; 4, 2, 2,
0; 16) —xJ2 — xi2 — xi2; 3, 0, 3, —3. 32.9. Soit ra la dimension de l’espace
vectoriel. Les formes définies positives sont: 1) pour ra = 2, 9) pour ra = 3,
13) pour ra = 4. Les formes définies négatives sont: 5) pour n — 2, 16) pour
ra= 3. Les formes semi-définies positives sont: 1) pourra> 2 , 4, 4) pour ra^2,
10) , 11) pour ra> 3, 9) pour ra > 3, 9) pour ra > 3, 13) pour ra > 4. Les formes
semi-définies négatives sont : 5) pour ra > 2, 6 ) pour ra > 2, 16) pour ra > 3.
32.10. 1) x\y\ + xiyi; 2) x\y\ ; 3) x\y\ + x^J; 4) x\y\ — x^J; 5) x\y\ —
— *2 J/2 “ x 3tf3 Î 6) x\y \ + * 2^2 + * 3^3 ’» 7) ne ** réduit pas (la forme est asymé
trique). 32.12. 1) xj2 + xi2 p o u r .X > l/3 , xj* pour X = 1/3, x',2—xi* pour
^ < 1/3 ; 2) x',2 + xi2 pour | X | < 8, xj2 pour | X | = 8, xj2 — xi2 pour‘| X | >
>. 8 ; 3) xj2 — xi2 - f xi2 pour X > — 6, x;2 — xi2 pour X= — 6, xj2—xi2—
—xi2 pour X < — 6; 4) x;2+ x i 2—xj2+ 'xj2 pour X > 7 /4 , xj2 + x i2—xi2 pour
X= 7/4, x;2+ xi2—xj2 pour X < 7 /4 ; 5) xj2+ x i —xi2 pour X =3,x;2+ x ia—xi2—
donnée (elf en) à la base (ej, . . . e'n), ainsi que la forme diagonale dans
la nouvelle base. 1) Atl, *;*— 9*;1 ; 2) At t , - ||- * ; * ; 3) >tM, *;*+9*;*; 4) Aiit
*'n = en, e; +ft = _ L . ( efc_ ein. fc) ( l < A < n - l ) ; 26) 2 2 *? ! « i" 4 |( « k +
^ i=l '
ji*
+ ' 2n-a+i). « n + fc = -^ -(« ft—«î„-k+i) (1 27) 2 *i* cos -TXT-
n + 1 dans
V2 a=i
71
toii
la base des vecteurs eÂ= /a/|| /a ||, où /a = 2 s*n n + 1 et (k = 1, . . . . n).
i-1
32.28. 1) * î* -x ;* ; 2. 0 ; 2) *;*; 1, 1; 3) * ? + * ; * ; 2, 2; 4) - x ^ ; 1. - 1 ;
5) - x M - xjvî, 2. 2; 6) - z ? - x p ; 2. - 2; 7) x"* + x 'î + x j î ; 3. 3; 8)
x"iVi + xlvl ; 2, 2 ; 9) x’t y\ + x%y\ — xjyj ; 3, 1 ; 10) x^ + x ? — x ? ;
3. 1 ; 11) x;*+x;* + x 3, 3; 12) x;* - x ? - x ? ; 3. - 1 ; 13) x? +
+ x ? ; 2, 2; 14) x ^ ; 1, 1 ; 15) - x"t*; 1. - 1 ; 16) x\y\ - x;y't ; 2, 0;
17), 18) x ; * + x ? + x ? - x j * ; 4, 2; 19) x ? + x ? + x ; * + x ; * ; 4, 4; 20) x ? -
- x ? - x ? - x ? ; 4, - 2 ; 21) x T ^ + x ^ - x ^ - x ^ ; 4, 0; 22) x ;* -x ;* -x ;* ;
*. = - D ^ £ L ± f L . f =&r;s+ 0 ,2x;*, 7) x1 = ( V 3 x ï -
-y 2 x l)/V 5 , xî = ( ( V 2 - 2 V 3 ) x î + ( V 3 + 2 V 2 ) x ; ) /V 5 ; f= 3 x ? -2 x ^
g=x7«+x;»; 8) xt = V ( ^ + T x ;- V â x ; ) / V ^ + î , xt = ( ( y S - m l / ï + ï ) x g +
+ (V 'a + l+ m V 5 )x ;)/V 2 ü + l; f = (« + l ) * ï * - « * ? . g = x ^ + x ;* ; 9) xx =
*1 2x3
; f= 3 x ? + 2 x j* .
VT * V 3 T 1 /2 V6 ’ 3 V3 V 2 T Vê
g = x r-+ x :* + * ;* ; iO )x x
*t | 5x2 i 7*î ____ If
1/5 + 4 V 3 + 4 l / 5 ’ * 1/5 21 /3
*3 , V 5 xg
f = 5x1*— x ? —5xga, g = x î* -x ; s + x ;* ;
l y l " ’ *3== 41/3
2x1
11) xx = _ îi | *1 *a - _ -l/â X m X - *** I - 2x1
~ a - f
V 2 + Vô V 3 ’ X2“ y 3 ^ ^ V 6 + V 3 ’ f = ,irr +
+ 3xga—3xga, g = x ;a+xga+ xga, g = x ? + x ? + x ? -, 12) xx = ^ â= r ' - * '
y î4 1/5
. 8xî 4x; 3x: 3x7
+~T7ET
V7Ô ’» x2 1/14 ‘ V 5 ' 1/7Ô ’
X3 — ^ è - ; != * ? + * ? + * ? „
1/Ï 4 1 y7o
9x! — xg , 6 x 3 -{-7 X4 8 x ;— 2 x ; , 5 x ;— 8 x ;
g=14î»; 13) xj =
1 /6 ' 1 /3 ! 1 /6 ^ 1/3
3*1 *2 I ^*3 + 4*4 __ *1 *2 , *3 + *4 _ r « «n . « » « » , « •• «
----- ÿ ï ~ + l/â ' ’ * « - - ÿ f - + - ^ - ; I = 3 * , s+3x?+6x3*-Cx4v
g = — xg1 — xg » — xga — x j* ; 14) x x = x ; + x : + x j — x j, x . = (x g + xg+ xg+ 3 x g )/2 ,
* * = * ; + * : . *4= ( - * î + * ; + * s + * î ) / 2 ; f= 2 (x g * + x g q -x g a-x ;* ), g = x g » +
- |- x g * - |- x g » - { - x î * . 3 2 .3 7 . Les fo rm e s x J e t x | s o n t d ia g o n a le s , m a is p a rm i
le u r s c o m b in a is o n s lin é a ir e s il n ’y a pas de fo rm e s d é fin ie s p o s itiv e s .
40 1
3 2 .3 9 . 1) 5 x î * ; 2 ) x l * + 4 * î a ; 3 ) 4 ) 9 x ; * - x ;a . 3 2 .4 1 . i )x~t; 2 ) , 3 ) .
—i 0
4 ) * î 2 + * i 2 î 5) * ; * + x i * + x J* ; 6) * ; 2 + * J * ; 7 ) x J* . 3 2 .4 2 . 1) | | - i || ; 2 )
00
3 4i 1—3* 2 0 1+ i 0 1+ i
3) ; 4) ; 5) ; 6)
—5 i | 2 1— i 1+ i — 5| 1— i —5
1 —i 0 2—5t I 2 3
7) 0 —3 ; 8) 0 3 — 6 4i ; 9) m a tric e u n ité .
4+ 1 0 2+i 2+ 5* —4i 1 + 3 1 /2 || _ _
3 2 .4 3 . 6 ) J l + O x ^ + j l — 0 * t * i - 5 |x 2
J*; 8 ) _ 2 |* il2+ 3 x 1x2+ 3 x 2x l +
2 |*i |a. 32.44. 1) 5 |*i |2— 2xxx2 — 2xgXx + 8 |x 2|*; 2) extx2 + exjXj ;
i=l _ __ _ _ _ _
3) 8 |* 2 l * + 2 x 1x2+ 2 x2x1+ xix3+ x 3x1+ 2x3x3+ 2 x 3x2; 4) 7 ( l*i 1*+ 1*2.1*+
+ l* sl* + lî4l*)+3xjX 2+ 3 x 2x1+ ( l + 20 *ix3+ ( l — 2i) * 3*x+ (— 1 + 2<) XXX^ —
— ( l + 2 i) x 4X | + ( l + 2 i) X jX 3 + ( l + 2 i) x& 2 — (1 + 2<) X jX 4 + ( — 1 + 2 i ) x 4x 2 —
CO
1 —3 0 2 21 14
1
»
-3 1 0 — 1 1 —4 3 12 8
©) 0 ; f) 1 ;
Y (x*y*—x*y')
**«11 «'“il 1 xlalz xla.
3) 4)
x*a„ x*atl 1**«« **«!
Y (x*y1—xiy*)
(a {+ a|)x*); 7) ( * ‘a‘+
1 cos a 1 1 —cos a
37.1. 2) a) b)
cos a 1 siû*a || _ c o s a 1
I 0 s in a
c) s in a 0
37.2. C o n s e i l : si S est la matrice de passage d’une
base orthonormée à la base donnée e9 la matrice de Gram de la base e vaut
fSS ; on peut également utiliser le problème 35.21. 37.4. ôj, gü. 37.5. gii9
60 34 60 —371
gii. 37.7. 1) gligtkai; 2) « ^ = 0. 37.8. 1) a) _ |;b ]
-37 21 -3 4 21 [
402 - 2 4 8 — 2 6 II 3 1 -5 6 22
c) 2) a)
1 - 1 H5 b) 19 * c) |
—248 153 7 23 —9
4 7 13 2 - 1 13 14 17 51
3) a) 4 7 17 ; b) 6 9 19 t C) 8 9 71 37.9. 1) Non;
11 19 25 13 17 25 53 67 37
6 8 li
Il 10 - 4 42 161|
2) oui. 37.10. 1) a) ; b) | .2 ) a) 10 17 24
1 -2 3 1 -1 1 3 - 4 5 1
1 — 1 —3
2 _2 3
b) - 1 6 32 18 37.11. 1) a) 4 683 ; b) AUl ; c) AU 7 ] d) 4 68S; 2) a)
43 —21 —9
■^•87 î b) 4 688 ; c) A9g4 ; d) 4 886; 3) a) *4:35 î b) 4 736; c) A7gl\ d) < 4 7 3 7 * 37.12.
1) a) 4 7 l9 ; b) ^ 7 1 9 ; 2) a) A-u ; b) <4 7 1 2 - 37.13. 1) 2 2 ) aj ; 3) aj.
37-14. = gugmja\{ .k. 37.16. Le vecteur y s’obtient de x par une rotation
d’angle ji/2 dans le sens opposé à celui de la plus petite rotation amenant ex
en ei9 si (ex, et) est une base directe. C o n s e i l : calculer les coordonnées
du vecteur x dans base orthonormée directe. 37.17. C o n s e i l : calculer les
coordonnées de z dans une base orthonormée directe.
0 «3 — «2
38.1. ± — «3 0 (le signe + correspond à la base directe).
a2 — fll 0
38.3. l M 49 9 ; 2 M ,3 i; 3 M 439. 38.4. 1) ( 2 1 ,- 2 1 ,4 2 ) ; 2) ( - 1 , 0 , 2); 3) ( - 2 ,
—2, —2, 0, 0, 0), ; 4) (0, 0, 3, 0, 3, 0). 38.5. 1) 0 ; 2) 2/3 ; 3) 26 ; 4) (—23, - 3 2 ,
8, 107/3) ; 5) (0, 0, 1/6, 1/6) ; 6) ( - 2 , - 2 , - 3 , 0, 3, 3, 0, 4, 4, 0). 38.6. 1)3;
2) 0; 3) - 3 ; 4) ( - 2 , 11, 15, - 5 ) ; 5) ( - 1 , - 1 , 1 , 1 ) . 38.9. (p l)"1 det ||/* (x,)||.
38.10. 1) —8; 2) 3. 38.14. C’est une matrice formée par les mineurs d’ordre
2 de la matrice «S. 38.18. 1) 2) Non; 3) Oui. 38.19. 1), 3) Oui ; 2), 4) non.
38.21. Les vecteurs l%1' = u 1*“ appartiennent à un sous-espace en
gendré par le p-vecteur décomposable u. 38.22. Non. 38.23.1) Enveloppe linéai
re des vecteurs *(1, 0, —1, —2), *(0, 1, 2, 3). 3) Enveloppe linéaire des veceturs
‘( - 1 . 1 , - 4 , 0 ) , ' ( - 1 , 0 , - 2 , 1 ) . 2), 4) {0 }. 38.25. 1), 2 ) 1 (2,1, 3, 2, 4 ,- 1 ) ;
26*
404 RÉPONSES ET CONSEILS
4) C e t t e fo r m e n ' e x i s t e p a s ; 2 ) g 2 = —p + a/*» 3 ) g 2 = — 2p +a p (a é ta n t un
n o m b r e q u e lc o n q u e ) . 3 8 .3 1 . 1) Z1 A /* , o ù p = 2 g l + 6g*, P = g* — 2g*;
2 ) Z1 A P + P A Z4 * o u Z1 = 2g* + 2 g 2, Z2 = g 2 + g 3 + g 4, P = 2**» p =
= g4 ; 3 ) Z1 A Z2 + Z3 A Z4» o ù /* = 2 g l - 2 g * ,Z 2 = * 2,Z 3 = 2g*, Z4 = g4 ;
4 ) Z1 A Z2» o ù P = 2 g 1 + 2g* — 6 g 4, Z2 = g 2 + g 3 + 2 g 4 (g 1, g 2, g*, g4 é t a n t
l a b a s e b i o r t h o g o n a le a l a b a s e i n i t i a l e d a n s J g 4).
LISTE DES MATRICES
Matrices-colonnes ck
1.11 — 3 ||. 2. || 6 1. 3. || 9 | . 4. || 1 — —2 i | 5. || 7 --i||.
+ 6. || 6—7i
4 . 8. —1 9. || 6 1 . 10 —4 1. 11. 1- 12. 1
_2 1 6 1 11 1
14. 7 15. _2 16. 18.
11 1* 17 II 17' 1 2 II3
m —1 3 -9 1 ' 10
-4
3 20.
26.
1 °l
i 21
—1
2i
21. 10
—6
27. Il—3 + 2 i
22 .
-9
14 23.
28. H— 1
—1
6
"•ri
29. || 3
2
31. 1 32. 2 1| 33. Il 2 || 34. 1 1 II 35. 1 1
—1 — 2 || * Il 1 II 1 3 || 14
37. U 2 38. 5+8i 39. 3+ i 40.
6 -5 + 2 t 7— 6i i+<|
42. 3—i 43. || 1— i 44. 1 i 1 45. 2+3t
3— 6i 1 2 | —3i
| | l + i II 48. H -4 + 2 M 49. 2 50. 0
2 II 47>
- 4 II- Il 1+ 3, Il • 1 1 -3 + 7 . | 1 • 0
10 -3
51. 1 52. 1 53. 7 54. 9 55. — 4 56. (
1 —1 . 1 . 0 10 11
—1 1 1 0 9 4
57. 1 58. 20 59. 3 60. 0 61. 8 62. - 5
0 —5 10 5 —3 _2
0 65 14 6 —9 1
63. 1 64. I —1 65. — 4 66. 67. 0 68. - 1
2 1 1 1 0
—2 I 2 5 2 1
69. — 26 70. 13 71. 72. — 5 73. — 9 74. - 3
—11 9
. 1 . 7 71
— 67 6 3 17 41
75. 1 76. | 1 1 77. 0 78. 3 79. 20 80. 2
2 il —1 1 . —2 . 6
0 | -3 | 1 7 42 11
81. 6 82. | — 5 | 83. 1 84. 4 85. 7 86. X
3 7 2 3 • -2 5
3 1 —3| 3 1 X 7
406 LISTE DES MATRICES
3 II 2 5 II - 2 3
203. 2 II 2044 II3 205. 0 206. 2 207. 1 208. —4
2 II 3 0 2 1 -2
2 • 3 • 1
• 3 • 1
• -1
2 II II 3 1 3 2 * 8
299. 5 210 . 1 211. 1 212. 3 213. 4 214. 1
1 5 4 1 17 4+ i
• — 2 • — 1
■ 4 • -5 • 5—i
9 5 5 8 18 —2 —t
"215. 1 216. 2 217. || 0 218. 3 219.
1 3 10
- 2
1
•
2 -5 • 6
•
1 -i 4—i Il 8 3
220. 1 221 . 0 222.
1 0
223. 0 224. 1
2 1 ! 2 2 + i • 0
1 • 0
• 0 • 0 • 1
3-» 3- i 5 —21 6 +* -1
408 LISTE DES MATRICES
1
1+ i 3+i 7+2i 2
-3 + 2 i 4 —i 9—2< • 1 1
0 -3 -5 - i 2 -
-1
4 .
279. 1 280. -1 281. 0 282. 1
2 2 4
3 1 6
1 • 2 • 4 • •
2 -1 2 .
1 2 3 pH-l
Matrices A k
I. || 1 0|| 2. | | - 1 2
3 4 7.
13|| 3. || 1 1 1 || 4. ||0
1 + 1 /2 2 — 1 /5 8. 13547 13 647
1 0 0||.
9.
Il : i
9 ” 5II
5 7 2 + 1 / 5 1— 1 /2 28423 28523 —5 3 1|
10. 2 51 11. 10 —2 II 12.
I1 M •
13.
Ml 14. T0
1 31 • |l 3 fl* Il l| i II' 1 0
15. —1 0 16. » 1 —1 17. 3 5 II 18. 1 2| • 19. » 1 1
0 1 1 1 5 9 1| 3 4 1 2
20 . 0 —1 21. 0 0 22 . 0 1 23. 02 1 -1
1 0 0 2 1 0 - 2 0 1. " J
25. I 7 —4 26. 5 14 27. 3 28. 1 3
| —5 3 6 13 —2 61 3: 1
29. 1 /2 1 /3 30. 25 60 31. 1 2 II 32. 1 :3
V6 3 60 144 1 2 • •3 10
33. 2 1 34. II2 Ml 35. 1 —1 36 0 2
—1 - 1 II1 1 II * —2 2 —1 —3
37. —4 5 38. 5 3 39. 3 1 40. 4 -2
5 —4 —3 —1 —3 0 —3 1
41. 0 21 42. 5 —8 I 43. ||1 n| 44. Il5 - 1 45. 1 - 1
12 —3l • 2 —3 • 0 11 || 4 1 3 -2
46. —4 0 47.
1 5 - 2 1| 48. 4/3 —1 49. 4 —3
1 4 • 1 -2 8 1‘ —1 3/4 12 —8
50. 0 - I l 5 1 . y — 7 - -2| 52. || 11 53 1/2 V3/2
1 - l| II 8 il Il 18 —1/3/2 1/2
54. i / y ï ô 3 /y ïô 55. 3 56. 57. 112 5
—3 / y ï ô i / y ï ô 5 Il 5 13
58. » 1 —2 59. 2 60. 1i y i —2/V!
—2 5 —2 2iyi i/ys
410 LISTE DES MATRICES
3 3 • •
1 1 3 4 2 3
1
1
123. 1 —2
1
—8
0
6
3 —2
124. 1
0
0
1
125.
1
0
1 1
0 1
0
1 0
|| 0 0
1
126.
1
0
3
3
I 0
1
2
1
0 1 —4 —3 —1 2 —2 0
127. Il 0 0 128. 111 011 129. 1 0 130. 0 0
H—i 0 P 1 • 0 1 0 1
Il —2 —1 || a &|| —1 1 1 0
131. | 0 0 132. || 1 2 133. 0 0 134. 0 0 135. 0 0
Il 3 0 • 0 1 • 1 —2 • 0 0
îî 0 2 0 7 0 5 0 1
LISTE DES MATRICES 411
1 - -1 - 2 I 10 1 oI 3 -2 2
245. 21 - 1 0 --4 246. 2 - 6 - 5 1 247. 2 -5 4
-1 0 5 2 2 - 6 - 5 -3 16 12
-4 2 1 -2 6 5 4 -20 -15
248. 16 0 32 249. •3 1 - 2 || 250. 0 1 -2
-4 0 -8 6 -2 4 —1 0 3
- 8 0 -1 6 -1 5 5 -1 0 | 2 -3 0
LISTE DES MATRICES 413
1/3 0 4/(31/2) 0 5 /V 3 Ô -1 /1 /6
- 2 /3 1/1/2 1/(31/2) - 1/ 1 / 5 2 /1 /3 0 2 /1 /6
315. -1 /1 /6 -1 /1 /2 1 /1 /3 II 316. 1/ 1 /2 -1 /V 6 1 /1 /3
1 /1 /6 -1 /1 /2 -1 /1 /3 I 0 2 /V 6 1 /1 /3
-2 /1 /6 0 -1 /1 /3 II 1 /1 /2 1 /1 /6 -1 /1 /3
317. 0 1/ V 2 1/ 1 / 2 318. 1 /1 /1 0 1 /1 /2 2 /V lO |
3 /5 - 4 / 1 /5 0 4 / 1 /5 0 i/V ïô -1 /1 /3 2 /1 /ÏÔ 1
4 /5 3/ 1 /5 0 — 3 / 1 /5 0 - 2 / 1 /5 0 l/V B
319. 1/ 1 / 2 1 /1 /6 - 1 / 1 / 3 1| 320. 1/ V 2 1/1/3 -1 /1 /6 |
0 -2 /1 /6 -1 /1 /3 . 1 /1 /2 -1 /1 /3 1 /1 /6
-1 /1 /2 1 /1 /6 - 1 / 1 / 3 1| 0 - I / V 3 -2 /1 /6 |
1 /1 /6 1 /1 /3 0 -2 /1 /5 . 0 1 /1 /3 -2 /1 /6
-2 /1 /6 -2 /1 /3 Ô -1 /V 5 -1 /1 /2 1 /V 3 1 /1 /6
O -4 /1 /Ï8 1 /3 . -1 /5 /2 0 1 /2 1/575
1 /1 /2 -1 /1 /Î8 -2 /3 2/ I /5 0 1 /1 /5
325. 9 /(7 V Ï Ô ) 1 /1 /ÏÔ 6 /7 326. 1 /1 /1 8 1 /1 /2 2 /3
3 /(7 1 /1 0 ) -3 /1 /ÏÔ 2 /7 . 4 /1 /1 8 0 -1 /3
2 l/Ï Ô /7 0 -3 /7 1 /1 /Î8 -1 /1 /2 2 /3
-3 /1 /Ï4 -1 /V 3 1 /V 4 2 ) -3 /V Î4 0 5 /1 /7 0
329. 1 /1 /2 1 /1 /6 1 /1 /3 330. | 1 /1 /3 -2 /1 /3 1 /1 /3
1 /1 /2 -1 /V 6 -1 /1 /3 1 /(3 — 1 /3 ) 1 /(3 + 1 /3 ) -1 /1 /3 .
353. 2 - V 3 / 2 3 /1 /2 354.
0 27/1/Ï4 -6 5 /V 4 2 355. 1/ V 2 3 /1 / 2
0 2 2 /1 /3 ■ 0 0 14/1/3 . 0 2 11
0 0 2 0 0 0 0 0 -1
0 1 /7 31
1 (i)11 0) x+y x y
365. 1 1 1 366. 1 1 i 367. 3 6 9 M* 368. 1 + i V 2 i - V 2 1
1 a a • a b C • 4 8 12 II.
1+ 1 V 3 f - 1 / 3 1
1 a* a* a* 6* c* 2 7 JL
l + i / 4 i—]/4 1
369. 1 - i — 3-4-2t 2 - i 370. 2+ i —3 2+ i
—4 + 6* 4 - 3* - 3* m — 1 + 5i - - 2 - 3i 1 - 2i
-8+ i 5- i 4 2 + i -- 3 + * 0
371. 1 1-- i 2+i 372. 1 21 1 -* 373. 0 2 2
1—3* —2 —4 i 5 -5 * -i 2 -1 -i . 1 2 2
2i 2 + 2 * -2 + 4 * 3 6/ 3 -3* 1 3+* 3-*
'4 1 6 LISTE DES MATRICES
KO KO
5 9 10 18 12 12 1 -1 1 -1 2 -1 3 -
9 15 12 20 0 0 11 -3 -1 1 -1 0 1 -1
15 27 20 36 0 0 12 -3 1 -1 l| 3 -1 1 -1
467. 4 5 9 3 468. 1 1 1 -1 469. 2 -1 3 -7
3 2 7 -2 1 1 -1 1 3 0 3 -7
- 1 3 2 -2 1 -1 1 1 3 1 -2 7
7 7 6 -1 1 1 1 1 3 1 -3 8
470. 1 1 - 1 0 471. 2 - 1 0 0 472. 1 1 1 1
-3 0 - 1 1 -1 2 -1 -1 1 i -1 -i
0 1 10 0 - 1 2 0 1 -1 1 -1
0 0 10 0 - 1 0 2 1 -< - 1 i
473. 2 1 -1 0 474. - 5 - 2 - 3 - 1 475. 1 0 1 0
1 0 1 -1 4 2 2 1 -1 1 -1 1
0 1 1 0 • 6 3 3 1 -1 - i -1 i
1 0 1 1 2 -3 4 0 - i 3i - -3 i -3 -
476. 1 1 1 0 477. 0 0 0 478. 1
1
0
o
0 1 1 1 0 0 1 0 1 0
1 0 -1 1 • 0 1 0 0 1 0
1 -1 0 -1 1 0 0 1 0 1
479. 0 1 0 0 480. -2 4 -4 481. 1 -1 1 - 1
1 0 0 0 -2 8 2 -2 —1 1 -1 1
0 0 0 1 0 0 4 5 • 1 -1 1 -1
0 0 1 0 0 0 5 4 - 1 1 -1 1
482. 1 0 -1 483. 1 1 4 484. 1 1 1 1
0 -1 0 -1 -2 2 1 1 -1 -1
-1 0 1 -2 -1 2 • 1 -1 1 -1
0 -1 1 0 1 1 -1 1 - 1 -1 1
485. 3 -1 -1 -1 486. i 1 0 C) 487. 0 01 0
1 1 1 - 3 1 i 0 C) 0 00 1
1 1 -3 1 0 0 i ii • 3 40 0
-1 3 -1 -1 0 0 1 i -1-100
LISTE DES MATRICES 419
523. 3 5 4 1 524. 2 5 1 4
4 9 i 6 —5 8 -7 -1
2 7 l 8 3 5 4 1
1 4 -1 5 2 4 2 2
6 7 11 -4 1 3 0 3
525. 1 -2 l + 2i - i + < 530. 1 2 5 5 !3 531. 1 2 0 0 0
-1 3 - 1 - -3 i 2 -- i 3 4 6 6 6 3 4 0 0 0
i 1+ i 1 2i . 0 0 1 i 1 . 0 0 111
2i 0 21 - 2 + 2i 0 0 1 2 2 0 0 12 2
0 2 —i - 1 - 21 2- i 0 0 1 2 :3 0 0 12 3
532. 1 1 1 0 0 533. 1 10 100 103 10* 534. 0 0 0 0 1
12 3 0 0 0,1 2 30 400 5000 0 0 0 10
0 1 1 1 1 0 0,t 3 60 800 0 0 10 0
0 2 3 4 5 0 0 0,1 4 90 0 10 0 0
0 4 9 16 25 0 0 0 0,1 5 10 0 0 0
535. 1 1 1 1 0 536. () 7 0 1 0 537. 3 5 5 5 5
1 2 3 0 0 1 4 3 9 1 5 3 5 5 5
0 1 1 1 1 (3 1 0 5 0 5 5 3 5 5
0 a b c d 2 8 4 ir 5 5 5 5 3 5
0 fl* b2 C2 J2 <3 3 0 1l 0 5 5 5 5 3
538. 6 1 4 1 8 539. 1 - 1 0 0 0 540. 4 1 - 1 4 9
7 - 7 7 2 2 0i 1 - 1 0 0 17 2 - 2 17 82
14 5 10 3 18 . 0i 0 1 -- 1 0 . 3 0i _ 2 - l 4
4 -1 1 2 1 -8 cl 0 0 1 - i 4 1 0 12 27
9 - 7 8 2 i5 1 1 1 1 1 2 2 - 1 10 0
541. 4 3 -4 2 2 542. 1 2 2 : 2 2 543. :2 1 0 0 0
2 - 1 - 3 —4 2 2 1 2 :2 2 12 10 0
3 1 1 2 -1 2 2 1 2 2 i0 1 2 1 0
1 2 3 4 - 1 2 2 2 1 2 i0 0 1 2 1
-1 1 - 1 —2 3 2 2 2 2 1 i0 0 0 1 2
544. 1 2 3 0 0 545. 7 10 15 25 20 546. 12 10 0
2 3 4 0 0 15 22 18 30 36 2 3 10 0
1 1 1 0 0 0 0 3 5 6 3 4 10 0
0 0 0 1 2 0 0 5 9 11 0 0 0 1 3
0 0 0 3 4 0 0 6 11 14 0 0 0 2 4
547. 3 -1 1 0 2» 548. 1 0 0 1 -1
2 - 5 C1 1 1 0 1 - 2 3 - 3
1 0 C1 _ 1 2 0 0 - 1 2 -2
0 2 1 1 -- 1 1 —1 1 0 1
1 1 - 3 1 01 1 —1 1 -1 2
549. 0 2 —2 0 •4 550 0i 0 - 1 1 0
-2 0 4 5 3 1 0 -1 1 0
2 -4 0 1 1 1 0 -1 0 1
0 5 —1 0 2 0i 1 - 1 0 1
4 -3 —1 ■2 0 0» 1 - 1 0 0
LISTE DES MATRICES 421
551. 1 -1 0 0 1 570.
Il1 0 0 0 0 1 571. 1 1 0 1 1 1
1 -1 0 0 -1 l|o 1 0 0 0 I* 0 1111
0 0 0 1 0
0 0 -1 0 0
—2 2 0 0 0
572. - 1 0 1 1 1 II 573,
0 1 - 1 - 1 î lr
575. 1 -1 1 1 -
2 1 -- 1 - 1
577. 2 - 1 3 - -2 4 578. 1112 2
4 - 2 5 1 7 0 1112
2 -1 1 8 2 110 2 1
580. 1 4 2 2 1[ 581. 1
1 - 2 2 - 2 -1 1
1 2 0 2 -1 2
583. - 2 1 1 1 -1 2 1 - 1 - 1 1
1 - 1 2 - 1 1 1 - 1 1 1 —2
7 - 5 1 - 5 5 3 3 -3 -3 4
585. 1 - 1 2 4 - 2 586. -3 3 12 6 -9
3 9 - 14 2! 1 -3 3 12 6 -9
3 6 -- 9 1 1 2 -2 -8 -4 6
587. 1 2 2 5 588. 2 1 - 1 - 1 1
2 3 - 5 26 - 1 -1 1 1 -2
3 - 4 8 - 9 3 3 -3 -3 4
- 4 1 - 3 -12 4 5 -5 -5 7
589. 3 0 3 0 - ■2 0 590. 1 a b a* ab b1
0 3 0 3 0 - 2 0 1 0 2a b 0
2 0 1 0 0 0 0 0 1 0 a 26
0 2 0 1 0 0 0 0 0 1 0 0
0 0 0 0 1 0
0 0 0 0 0 1
591. 1 0 — 1 0 1 0 592. 1 --1 - 1 1 0 0
0 1 0 - 1 0 1 -1 2 4 0 1 5
1 — 1 0 0 1 -1 2 --3 - 5 1 0 - 4
0 1 — 1 0 0 1 0 1 3 1 1 5
1 0 0 -1 1 0 0 1 3 1 0 4
1 0 2 2 1 5
593. 2 0 1 0 0 0 594. 0 1 0 •. « 0
0 2 0 - 1 0 0 0 0 2 ... 0
— 1 0 2 - 1 0 0
0 — 1 — 1 2 - 1 0 0 0 0 n
0 0 0 - 1 2 -1 0 0 0 ... 0
0 0 0 0 -1 2
422 LISTE DES MATRICES
595. 0 1 0 c 596. 2 0 0
0 0 1 0 0 4 0
0 0 0 1 0 2n
597. 0 0 ... 0 598. 0 1 - 1 ... - 1 599. 0 1 1 ... 1
1 0 0 0 2 ... -1 0 0 2 . .. 1
0 1/2
0 0 0 ... n 0 0 0 ... . n
0 0 Un 0 0 0 ... 0 0 0 0 ... 0
Matrices d’ordre n
600. 1 601. Xi 602. 1 /X i
to
• 0 • 0
' . • .
0 0
0 UK
n
603. k 604. 1 605. ^■1
0 0
• •
0 . ’ 0 0
K 1
606. 607. II 608. 1 1 0 0
0 0 0 1 0 0
0 0 0 0 1 1
n XnA’i
0 0 0 1
609. i -1 0 ... 0 0 610. 1 0 0 .. 0 0 0
0 1 —1 . . . 0 0 3 1 0 .. 0 0 0
0 0 0 ... 1 1 0 0 0 .. 3
0 0 0 ... 0 1 0 0 0 .. 0
611. 3 1 0 ... 0 0 612. X 1 0 ... 0 613. 0 1 0 ... 0 0
0 3 1 ... 0 0 0 Jt 1 ... 0 0 0 1 ... 0 0
•
0 0 0 ... 3 1 0 0 0 ... 1 0 0 0 .0 1
0 0 0 ... 0 3 0 0 0 ... X 0 0 0 ,0 0
614. 615. 616. 1 0 . 0 0
0 0 . 0 1
0 0 . 1 0
0 0 0 0 0 0
1 0 0 1 2 3 0 1 0 0
617. 1 1 1 . .. 1 618. 1 2 3 ... n 619. 1 - 1 1 . . . (-1 )" -1
0 1 1 . .. 1 0 1 2 . . . n—1 0 1 - 1 . . . (-1)" -*
0 0 0 . .. 1 0 0 0 ... 1 0 0 0 ... 1
LISTE DES MATRICES 423
1 0 0.. . 1 0 0 0 0... . 1 1 0 1 1 1 . 0 1
1 0 0.. . 0 1 0 0 0 . . .. 0 1 1 1 1 1 .. . 1 0
«25. 1 2 2 ... 2 2 626. 3 5 5 ... 5 5 627. * y y ... y
2 1 2 ... 2 2 5 3 5 ... 5 5 y * y ... y
•
2 2 2 ... 1 2 5 5 5 ... 3 5 y y y ... x
2 2 2 ... 2 1 5 5 5 ... 5 3
628. 0 1 1 ... 1 1 629. II1- -Jt 2 3 ... Tl
1 0 2 ... 2 2 1L 2 —X 3 n
1 2 0 ... 2 2
Il 1 2 3 ... fi—X
1 2 2 ... 2 0
«30. 1 1 1 ... 1 1 631. 2 1 1 .. 1 1
1 2 1 ... 1 1 1 3 1 ... 1 1
1 1 3 ... 1 1 • 1 1 4 ... 1 1
1 1 1 ... 1 n 1 1 1 •. 1 n+ 1
«32. 0 1 1 ••• 1 1 1 633. 1 2 3 ... n
1 0 1 ••• 1 1 1 —1 I0 3 ... fi
-1 - 1 0 ... 1 1 1 • —1 2 0 ... n
-1 - ■1 —1 ... -1 —1 0 —1 2 —3 ... 0
«34. 0 1 0 0 ... 0 0 635. 0 1 0 0 0 0
1 0 1 0 ... 0 0 —1 0 1 0 0 0
0 1 0 1 ... 0 0 0 —1l 0 1 0 0
•
0 0 0 0 ... 0 1 0i 0 0 0 0 1
...
0 0 0 0 1 0 0i ... 0 0 0 -1 0
636. 2 1 0 0 ... 0 0 637. 1 —2 1 3 ...
( 0 0
1 2 1 0 ... 0 0 0 1 -2 L ... à
0 0
0 1 2 1 ... 0 0 0 0 1 ^ 2 ... i
0 0
•
0 0 0 0 ... 2 1 0 0 0 (3 ... 1 —2
0 0 0 0 ... 1 2 0 0 0 (3 ... 0 1
424 LISTE DES MATRICES
0 0 0 0 .. —2 —71+ 3 n —1
0 0 0 0 0 -1 — 71+ 1
641. 1 2 3 ... 71 - 1 71 642. Il * 1 * 2 . . . <X„- 1 «71
2 3 4 71 1 *2 *3 . . . fln «1
3 4 5 ... 1 2 •
Il «71 «1 . . . fl„- 2 «71-1
n 1 2 ... 7i— :2 71— 1
643. «1 «2 ... an 644, 1 1 1 1
«71 «1 ••- * 7 1 -1 ... Xn
H *3 ... «
«2 ... flj
xj-* xr* ... K -1
645. 1 1 1 1
1 6 e* en -l
1 8» e4 ea(n“1) •
2 -2 4 -4 2 2 -2 -2 -2 -5 2 5
2 -2 4 -4 4 4 -4 -4 -1 -3 1 3
692. -3 -5 -2 - 1 693. 0 0 0 0 694. 1 2 3 4
3 5 2 1 1 2 3 4 -4 -3 -2 - 1
•
-4 -7 -5 - 3 1 —2 3 -4 ■ -4 -3 -2 - 1
4 7 5 3 0 0 0 0 5> 6 7 8
695. 3 5 6 10 696. 3 6 5 10 697. 1 1 1 1
5 9 10 18 9 12 15 20 0 1 0 1
9 15 12 20 5 10 9 18 1 1 2 2
15 27 20 36 15 20 27 36 0 1 0 2
698. 1 -1 3 1 699. 1 2 -1 /2 1/2
-1 -:3 1 -1 -4 -3 3/2 5/2
-4 1 -2 3 -1/2 1/2 — 2 -1
1 6 3 8 3/2 5/2 7 8
700. 1 -1 -1 /2 1 701. 2 2 4 4 702. 2 2 3 1
-1 -3 -1 5/2 2 2 4 4 2 2 3 1
-1 /2 1 -2 3 2 0 4 0 3 1 4 -4
to
5/2 3 0 -4 3 1 4 -4
1
-1 8
0
2 2 2 1 -3 0 0 0 1/2 - 7 / 2
1
o
3 2 4 0 0 -4 -7 /2 -1 /2 0 0
1
2 1 0 -4 4 0 4 0 1/2 7/2 0 0
426 LISTE DES MATRICES
0 -1 /2 0 0 0 2 0 -4 -1 -- 3 0 0
1/2 0 0 0 2 0 4 0i -1 .-3 0 0
709. 0 0 0 -1 710. 3 3 2 2 711. 2 7 4 7
0 0 1 0 5 5 1 1 1 9 1 3
0 - -1 C 0 ■4 4 5 5 3 7 12 19
1 0 C 0 -7 7 3 3 15 24 27 42
712. 4 5 2 2 713. 1 1 1 1 714. 3 3 3 3
- 1 5 18 2 2 1 3 31 5 2 7 6 11
-5 i5 0 0 0 -1 -1 - 2 1 -1 0 - 2
9 9 0 0 0 1 OI 2 0 3 0 6
715. 1 i 1 1 716. 1 1 1 2 717. 1 1 2 5; 6
- 2 - 3 i - 3 - •7 () 0 C) 0 3 4 *3r 8
3 5 8 10 1 1 1 2 9 10 13 14
0 1 0 1 t 1 1 2 11 12 15 16
718. 39 101 39 101 719. 89 89 -3 3 -3 3
100 259 100 259 0 89 0 -3 3
728. 2 5 5 4 4 4 6 3 3 729. 2 4 6 ! 5 4
5 2 5 4 4 4 3 6 3 5 4 ;3 :2 4
5 5 2 4 4 4 3 3 6 5 4 ;3 !3 4
730. 2 14/3 14/3 14/3 10/3 4 16/3 4 8/3
14/3 10/3 4 10/3 4 14/3 4 14/3 10/3
16/3 4 8/3 4 14/3 10/3 8/3 10/3 6
731, 0 0 0 0 0 1 0 --1 0
0 0 —1 0 0 0 1 0 0
0 1 0 -1 0 0 0 0 0
732 0 3 -3 0 10 -IC) 0 -9 9
-3 0 3 -10 0 IC) 9 0 - 9
3 -3 0 10 - 1 0 c) -- 9 9 0
733. 1 10/3 19/3 10/3 3 19/3 19/3 19/3 19/3
10/3 3 19/3 3 5 7 19/3 7 4
19/3 19/3 19/3 19/3 7 4 19/3 4 1
734. 2 14/3 16/3 14/3 10/3 6 16/3 6 8/3
14/3 10/3 6 10/3 4 14/3 6 14/3 10/3
16/3 6 8/3 6 14/3 10/3 8/3 10/3 6
735. - 6 -2 5 31 12 50 - 6 2 6 --25 31
3 12 - 1 5 - 6 24 30 3 12 15
1 5 —6 - 2 10 12 1 5 - -6
736. -2 -1r 7 4 14 -1 4 - 2 ► _ 7 7
1 4 5 ■2 8 10 1 4 -5
1 3\ -2 ■2 -- 6 4 1 3 2
737. 6 21 -2 1 20 70 - 70 - 1 8 - 6 3 63
- 3 -1 2 15 - 1 0 - 4 0 50 9 36 -4 5
-3 9 6 -1 0 -3 0 20 9 27 -1 8
À NOS LECTEURS
Les Editions Mir vous seraient très reconnais
santes de bien vouloir leur communiquer votre
opinion sur le contenu de ce livre, sa traduction
et sa présentation, ainsi que toute autre suggestion»
Notre adresse:
Editions Mir, 2, Pervi Rijski péréoulok
Moscou, 1-110, GSP, U.R.S.S.
Dans la même collection
Ccl ouvrage a son origine dans les cours faits par l’auteur, can
didat ès sciences physico-mathématiques, à l’Institut physico
technique de Moscou.
Dans les premiers chapitres, la géométrie analytique est présen
tée sous une forme à la fois concise et complète, ce qui est fait
dans le but de préparer le lecteur à l’assimilation de l’algèbre
linéaire. Une partie de cet ouvrage traite de sujets qui font tra
ditionnellement l'objet du cours d’algèbre linéaire: théorie des
matrices et des systèmes d’équations linéaires, espaces euclidiens
et vectoriels, formes quadratiques, espaces affines et tenseurs.
Les autres chapitres reprennent un cours spécial destiné à pré
parer les étudiants à la maîtrise des méthodes de l'algèbre li
néaire pour la résolution de problèmes scientifiques et techni
ques.
S'adresse aux étudiants des Ecoles techniques supérieures ayant
un programme poussé de mathématiques ainsi qu'aux ingénieurs
•et chercheurs.
Dans la même collection
GÉOMÉTRIE ANALYTIQUE
par V. / line et E. Pozniak