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S’il n’avait pas la Chine à ses côtés, il ne pèserait rien, mais il se rêve toujours comme le grand

leader d’une révolution mondiale


Dans une rhétorique qui n’est pas sans rappeler l’époque soviétique, le libérateur des
peuples…
Il s’appuie beaucoup sur l’histoire de la décolonisation. Pour attaquer l’Occident. Avec
comme une allusion à (Edward) Snowden lorsqu’il parle des écoutes américaines. Cela
dévoile une visée beaucoup plus large que le Donbass, qui est la sienne depuis
longtemps, qui est de faire pièce à l’Occident. S’il n’avait pas la Chine à ses côtés, il ne
pèserait rien, mais il se rêve toujours comme le grand leader d’une révolution mondiale.

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