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1
C nt re d'études et de recherch es
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p numéro s • 24 F
four les abonnements, adr e s sez
La V�e du C.E.R.P.I. 2-3
vous à Elisabeth RESTAU
a, rue des Bégonias 1 71 00 SAINTES
Til. (46) 93. 62. 28. M.tJt.onomle : UJLa.rùu 4-5-6
S�mlncUJt.e alpha.
voyer celui-ci à la réda c t i on,
dactylographié sur f eu i l l e b l anche
210/297. Lu e.oWt. vou.&
Les copies destinées à ê tr e insé "La V)..e apJt.� la V�e" 21-22
r6es dans "CERPI" s eront examinées ..
r
�E : c.ombie.n de. 6oi-6 a.u. c.oUfl.ll de. c.u dVtnieM moi-6,
I1Wr.On4 YI.OIU> e.n;te.ndu c.e. mot ; c.ornbie.n de. 6o-<A a.Wta.-t-il Uê. tJta.ru, ba.6ouê.,
touj01.1.!1..4 poWt la. bonne. c.a.!Ul e. bie.n .6ÛJt ; de. quelle. c.ouc.he. de. Jtidic.u.te. a.Wta.
t-il Ué c.ouvVtt e.;t Jte.c.ouvVtt. A!Ul.6i, je. ne. i.'empi.oie.Jta.i pM. Je. i.e Jtem
pla.ç.eMJ.. pal!. un a.u.tJte. mot, pi.IU> 6oJtt rna.i-6 pi.IU> UbJte., pi.IU> gJta.nd rna.A..-6
�ubi.é paJt le. phénomène. O. V.N.I. J'a.i envie. de. c.ornrnuniquVt c.e.t e.nthou
�me. a no-6 am.W , rna.i-6 a.IU>.6i a tolU> c.e.ux qui ont une. c.u.Jtio.&Uê. a i.' éga.Jtd
de. i.'u6ologie., qui vie.rr.ciluUe.nt no lUI voiJt a.u. CERPI, ou a qui noU.6 a.ppoJtte.
.!U.on4 no.tJte. 6oi e.;t no.tJte. rnu.&a.ge. da.n4 du e.xpo.6ition4 ofl du Jtê.union4
débw.
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J' a.voue. e.;t je. rn a.c.c.U.6e. d' a.voiJt envie. d' a.i.i.Vt be.a.uc.oup pi.IU>
.l.oin e.n �yc.hoi.ogie. ou tout a.u rnoiM de. .&uivJte. un c.hemin di66éJte.nt,
CVttu, je. ne. Jtemie. Jtie.n de. c.e. qui a. Ué 6a.U ; il 6a.i.la.il
i.e. 6a.iJte., � a.pJtè.& i.e. débJtoiU>.&a.illa.ge., il y a. i.a. c.oMtJtuc.tion. Au.6.&i,
je. vou.6 plt.Opo.6e. de. c.omme.nc.Vt lu 6onda.üoYI..6, .tu pla.M .6ont e.n bonne. voie..
d'e.nthoIU>.iM me..
Je. ne. ve.ux pa.Jta.phJtMVt pe.Monne., rna.L6 e.n a.dhê.Jta.nt a.u CERPI
vo!Ul a.ve.z 6a.U un c.hoix ; voU.6 a.ve.z .&u.Jttout a.66-Uuné du opiYI.ioM e.;t vo.&
.idéu : bJta.vo, mw il .6 Vta.li dornma.ge. de. lu ga.JtdVt pouJt VOU.6. AU.6.&i, je.
VO!Ul c.onv.ie. .:tou.6 à une. pa.Jtt impoJtta.n te. de. no.& a.c.tivdu. Ve.ne.z à no-6 Mi
Jtée.-6, ve.ne.z à. vo.tJr.e. l.ac.a.i., ê.c.Jtive.z- noU.6, noU.6 a.voYL6 du p!LOj w pou.Jt toU.6
e.;t du .tâ.c.hu a voU.6 c.on6iVt. Ne. Jt.Ute.z pM da.YL6 i.' ornbJte., c.'ut .6i bon
le. .&oi.e.il. En un mot, je c.ompte. be.a.uc.oup .6UJt voU.6 e.;t .6UJt votJte. a.ide., i.e.
G. WASCOWISKI �
1
- LE C, E. R. P. L
Qui fait quoi ?
1er Adjoint -Elisabeth RESTAU, 8 rue des Bégonias, SAINTES T é l . 93. 62. 28
2èm Adjoint -Claude SOURIS, rue des Vendanges SAINTES - Tél. 93.22.09
1er Adjoint- ilain KIM 167 , rue D. Mas siou SAI�ES -Tél. 93 . 05 . 22
(heures bureau )
2èm Adjoint - Abel LANDAIS rue du Moulin de SAINTES- Tél. 93. 01 . 64
la Gr i lle
.
Commission enquête OVNI- Responsable Claude SOURIS
Bernard MA.RS I N
Guy WASCOWISKI
2
CALENDRIER C. E. R. P. I.
°
- VERONICA n 9,
°
- O . V. N.I . 43 n 2 du Groupement Langeado i s d e recherches
u f o l o g iques ,
°
- UFOLOGIE BULLETIN n 1 du C . I . J.U . ,
3
uranus
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Soleil
Ombre
port�e Der les
\ 1nne1ux.
'
... d'U11nus
-/ \
/
1
1,
URANUS est l a 7e pl anè t e de notre système sol a i re . D é c ouver t e
par S i r Wi l l iam Herschel l e 1 3 mars 178 1, prise pour une comè te. C ' est Bode
qu i lui donne son nom d ' Uranus , nom l a t in d ' Ouranos , d i eu grec du c i el é t o i
l é.
Sa isons :
Aspec t
- Cou l eu r b l euâtre avec des taches d iffuses , n ' est pas obser-
vab l e à l ' oe i l nu ,
- Magni tude 5,7 .
Const i tu t ion :
Sa t el l i tes :
SATELLITES D'URANUS
(d'apnale Bureau dea longitudes, 1971)
LurtiMU RJoolulitlfl lMmAin Mapi"* DkDII.DI'fÙ
dl l'triül sùlhtJu (m km) (lllollttir 1t dttù)
(nt jouu)
lg,o G.P. Kuiper 1948
15,2 w. L.u.sell 1851
15,8 w. Lusell 1851
14,0 W. Herschel 1787
1.1-·3 W. Hench el 1787
.. ·/ ...
5
JO Mar s 1977 , découverte des anneaux d'Uranus .
(1) révolution sidérale : temp s que met la p l anè te pour f aire un tour
comp let au tou r du Soleil.
(3) occultation d'une planè te par une é toile : cel a permet de d é terminer
les dimens ions exac t es du corps opaque interpo s é ,
sa vites s e, l'ex t ens ion de s on atmosphère et s a
composition par analy se spec tr os copique.
L.ON3UELR ru MÈTRE
En 1790 , la Cons tituante a décrété que l'uni t é de longueur
ou mètre s erait la dix-millionième partie du quart d'un méridien
terres tre . Donc , par définition , la longueur de l'ellip s e mérid ien
ne é tait 40 000 km. En r éalité , on a commis une erreur de 2 288 m.
par défaut pour la mesure du quart du méridien. Le mè t r e ét alon
définition primitive.
a • 6 378 393 m .
b • 6 356 549 m .
a+ b
l • • 6 367 471 m .
2
i
L'ellp s e est la courbe que l'on peut trac er , en tendant un
f il fixé en deux points F et F ' . Elle e s t donc le lieu d es points
d'un plan , dont la somme des distances à d eux poin t s fixes est
cons t an t e . (MF+ MF' • Cons tante) . Les poin t s F et F ' sont appelés
lea 6oyv�. Le g�nd axe A A' et le petit axe B B ' s on t des deux
s eaments d é t erminé s par inter s ection de l'ellip se respec tivement
avec la droite F F' et sa médiatrice. La f o rme d'une ellip se dé
pend de son ex�e�cité, qui es t le rappo rt
§ § § § §
7
B 1 LAN DE L ' A N NEE 19 7 7
- = - = - = - = -
Une des raisons d'ê tre du C. E . R. P. I. , son caract ère cul ture l
a été pendant l e coqrs d e l'année 1977 bien rempli.
Nous avons eu maintes fois l ' oc c a s ion de montEer les dif f érentes
activités de notre association.
...; ra troisième, .beaucoup plu s intéres s ante par son côté éducatif
a été donnée au lycée tech�ique de Saintes l e 13 Décemb re, avec la par tici
p ation de 130 é l è ves et .de cer t ains de leurs enseignants. Ma l g r é quelques
'qq�etions posies p.ar un contesta-tair�. , nos conf érenciers ont su r ésoudre l es
di.f Ü e'IJÜés.
- l a quatrième, l e 4 Mai, invité par le Pr é s ident et l'animateu r
d u G.E.P.O.M. (groupe d e recherches dont l e siège es t s itué à l a b a s e aérien
ne 722 à Saintes) , le C . E. R . P. I . a animé conjointement avec Mr WEBER , du
groupe ufologique et a s t ronomique de Rochefort� un diaporama suivi d e déba t
devant une soixantaine d ' élèves et de gràdés .
- la c inquième, l e mercred i 7 Décembre, faisant suite d a ns une
semaine du f antastique à une soir ée "hypnose" de Jean-Jacques DEXTER. Le
C.E . R . P.I. a tenu une conférence devant 70 per s onnes de S t -Jean d ' Ang ély
à la Maison des Jeunes . Le d éroulement d'une telle soir ée a été f acilité
par l a contribution.dé Mme GEORGET de S t -Jean, adhér ente au C.E. R . P . I . et
nous l a r emercions ;
Manifes ta tion qui a permis à not re C entre de se f aire 3 00 F
entre aa partic ipat ion sur les entrêes et s es ventes de bulletins .
�
Nous pas serons mainte nt aux é tudes à l ' intérieur du C . E.R.P.I .
-Une soirée, le 24 mar s à l'hôpital de La Rochelle pour une
meil l eure connaissance des ondes du cerveau et de l'appareil qui ser t à
les r econna î t re et retran s c r ire "l ' élec tro-encéphalog ramme". Soirée animée
par le Dr BAYARD, p sychia tre, et ef fec tuée dans le cadre de l'étude des
1
8
. . • • • •
ondes a l pha , ondes du cerveau qui sont propices au déc l enchement de phéno
mènes parapsycho logiques.
Nous devrions d'ailleurs dans quelque t emps avoir une deuxième
soirée sur ce même suje t .
- une journée comp l è t e , le premier séminaire "enqu ê t eur" b ranche
"ufo l ogie". S éminaire de forma t ion théorique de nos futurs enqu ê t eurs.
L'année 1978 devrait voir se dérouler-un séminaire identique. ·r1 y a au
1 3 participants (No t ons pour mémoire que le C . E. R . P. I . dispose ac tue l l ement
de 8 enquêt eurs a t t itrés) .
Claude SOURIS .
Cul ture et Lo isirs) a organisé , sur le thème "Science et Vie quo tidienne" ,
une exposition qui s ' est t enue à la salle Saintonge du 3 au 1 1 F évrier 1 978.
mystérieuse.
9
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0 O. V. N. 1. AU - DESSUS DE L ' 1 LE D'O L E RON
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d'ombre
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trainée orangée
Agrandissement
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TE� �. E.e.l>.t. Charente-Maritime
O. V.N.l. AU-DES SUS de L'ILE D'OLERON ,
n° 50 - Claude SOURIS
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Premier cas
Le samedi matin 19 Novembre 1977 à 8 h 0 5/8 h 10,
Monsieur G. ouvre ses volets lorsqu'il voit dans le ciel au-dessus du vil
lage "La Bétaudière" à côté de St-Denis, un objet volant immobile. Il est
oblongue avec une barre au centre dans le sens de la hauteur en forme de
flamme floue, d'apparence brillante et lumineuse.
Mr et Mme G. prennent alors des jumelles et peuvent mieux
observer l'objet. A la base de celui-ci paraissent exister des réacteurs. La
barre noire au centre paraît être un renflement. Alors arrive comme un avion
long courrier à réaction qui fait le tour de l'engin, celui-ci bascule comme
pour prendre la forme d'un dirigeable et disparaît rapidement à l'horizon au
Sud-Est Est, soit 1 20° environ.
Cet objet était de couleur jaune orangée. Tout ceci a duré
environ 3 minutes dans un ciel dégagé et sans aucun bruit (phénomène trop
loin).
= : ..
n° 5 2 - Claude SOUR I S
Date : 19 Novembre 1977.
Lieu : La Garenne
TêiiiOin Mme X.
Deuxième cas
Le même jour, Madame X sortait de chez elle à ''La Garenne",
pour aller accompagner ses enfants à l'arrêt du car de ramassage.
Elle voit soudain dans le ciel deux objets dans la direc
tion du village de La Bétaudière. Tout en marchant, elle peut continuer à les
détailler. Le plus gros ressemblait à une barre aux deux bouts arrondis, po
s'e dans le sens de la hauteur. Il était blanc mat, sa longueur égalait le
diamètre lunaire, d'apparence métallique. Tant qu'au petit, comme un point
ponctuel, il avait une trainée orangée à l'arrière. Il était brillant à l'ho-
rizon.
8 h 13 - 8 h 14, Madame X voit le petit objet faire un tour
complet du plus gros, qui part alors à une très grande vitesse en direction
de 1 'Est.
L'observation de cet objet n'aura donc duré que 4 ou 5 mn.
A ce moment là, le petit revient en direction de Mme X, passe au-dessus
d'elle. Il a alors l'apparence d'une boule noire et se déplace sans aucun
bruit. Mme X avait d'abord pensé à un avion au début de la v1s1on, mais que
11objet soit passé dans un silence complet tout en n'étant pas très haut lui
a fait annuler cette hypothèse.
A noter :
Ces deux enquêtes bien sûr donnent deux visions d'une même
chose et c'est très important de trouver des cas semblables.
Egalement :
1°) une ligne à haute tension entre les deux villages
d'observation,
2°) une faille géologique à 3 km, à l'Ouest,
3°) lieu de fréquents séismes, épicentre très près
(quelques kilomètres).
=
: = : : :
•
•
•
11
Enquête C.E.R.P. I. de notre secteur de SAINTES
n° 35 - Claude SOURIS
Henri KIM
Alain KIM
Date 17 mars 1 977 - 20 h solaire, 2 1 h locale.
Lieu Petit Séminaire de Recouvrance - Cne de SAINTES.
Témoins : Mr Bernard L'HOSTIS et Mr l'Abbé LONGO.
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Orangé (flou)
au paysage
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, Il,cétai t 2 1 h., je discutais avec 1 'Abbé. LONGO en atten
dant le début de l\Otre,t"�union "Terre des Hommes".
_,,_ ·.':'M8chinal�ment, je levai la tête et vis en direction du
Nord-ouest quatre·6bjéts biancs (comme du papier) avec le dessous flou et
orangé. Ils se déplaçaien� à très grande vitesse en formation de losange et
rappelaient pâtlé\Jr'fcifm-è une raie manta. Ils mesuraient approximativement
4 . cm (bras . tendti)..
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12
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n° 53 - G . WASCOWISKI
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13
LE JOURNAL DES CHOSES LES PLUS MBMORABLES QUI SE SONT PASSÉES AU DERNIER
SIÈGE DE LA ROCHELLE,
-
= - = -
- =
PASa.JIER.
Il se vit en notre pais d'Angoulême unes espouvantable et prodigieuse
VLSLOn de spectres et phantômes qui parut en plein jour vers le ciel. C'es
toit quantité de petits nuaux qui descendirent en terre, desquels se for
mèrent environ douze cents hommes grands et beaux, armez d'armes bleues, d'en
seignes parties bleues et partie rouge à demy desployées. Les tambours avaient
leurs caisses comme prêts à battre, un chef marchait à dix pas devant eux.
Cette armée a gagné une forêt où le tout disparut.
- = - = - = - a -
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MEROJRE FRANÇOIS ANNÉE lfœ - page 292
- = - = = -
re l a mission .
Cet t e cro ix étai t longue de c i nquant e coudées, e l l e paru t à l a sort i e
d u Saint-Sacrement e t l e précèda pendant t o u t e l a pro c e s s ion, qui dura près
de deux heures ; ell e s 'arrê tai t quand la pro c ess ion s'arrê t a i t et d i s p arut
quand le Saint-Sacrement rentra dans l 'ég l i s e. Le t emps étai t chaud, s erein
sans nuage e t sans vent. La cro ix étai t p resque couchée et t enda i t d ' ori ent
en o c c ident. Le p i ed en étai t fort l ong. Plu s de mi l l e pers onnes la v i rent
et ent re ces mille p l u s de c inquant e nouv eaux convert i s . C e l u i qui écriva i t
c e c i e t d ' après lequel j ' ai t rans cri t l e réc i t at t e s tai t l ' avo i r vu.
_ • -·= - a - m - m - = - z - = - = - : -
15
A CETTE EPOQUE,LA SURETE NATIONALE
S ' I NT ERESSAI T DE J A AU X O. V. N. I.
'+
' "+ "+ "+ "+ ''+
a.ù. c.oJt.� e.:t, voya.nt :toute c.e.:t:te 0ou.te, e.U.e eLU qu.etqu.u moû qu.' on ne
c.ompll..i..t p:u, et .61 e.n6u.-i..:t da.n6 te bo.i.6 en c.oWta.nt. In6ilnc.ilveme.n:t, tu
'pay�a.n.6 Jt.e.c.ul�ent de 0Jt.a.yeuit, e.:t c.e.to. tu .tJa.u.va. c.a.Jt, peu. a.p1tè6, la.
�phèJt.e écia..ta. en .6ilenc.e, ta.nç.a.tt:t du moltc.ea.u.x. pa.lt:tout, e:t c.u moltc.ea.ux.
b!UltèJt.e.n:t j 1.1.6 q.u. 1 a c.e. qu. 1 ili 6tl..64 ett:t 1tê.dtUû en pou.dlte.
· Vu Jt.ec.he!tc.hu: 0u.Jt.ent en:tltepwu pou.Jt. dlc.ou.v}[.).Jt t 1 homme
"'ffldWe.ux. ma..i.6 il pM.U:t 4 1 UJr..e ê.va.not..U...
§ = § = § a § = § = §
11
Suite du 7ème cas de cette série,
le contact de Antonio Villas Boas,
en raison de l'importance de son
récit, vous sera présenté en trois
fois et non en deux comme annoncé
dans notre n° 14.
Esquise de la machine par A. V. B.
-
LE CONTACT DE Af'ITONIO VILLAS BOAS ( 2ème partie)
-. '
.•
En s ui te , l a d i f f i c ul té de r e s p i r e r m e q ui t ta ,
ma i s j ' é ta i s e nc o re s ou f f ra n t de na us é e s due s à l ' od e 11 r . Pui s
j e m e s e n t i s dé s e s pé r é , m e d em a n d a n t c e qui a l la i t e nc o r e a r
ri ve r . Je do i s e x p l i q u e r que j us q u ' i c i j e n ' a v a i s a uc une i dé e
d e s t r a i t s d e c e s e n t i t� s . T o u s l e s c i nq é ta i e n t ha b i l l é s de "
11 • . . 1. . .
Le s pa nta lons é ta i e n t a u s s i a j u s t é s à la c e intu
re , au ba s de s j ambe s , s a n s f r o i s s ure s o u pl i s nul l e pa r t , e t
a uc une s é pa ra tion n ' e x i s ta i t à l ' e n d r o i t où c omm e nc e n t l e s
c h a us s u r e s , ce s d e rn i è r e s a ya n t d e s s eme ll e s de 5 à 7 cm
d ' é pa i s s e u r . La po inte d e s c ha us s u re s é ta i t f o r te m e n t incur
v é e d e v a n t , ma. i s s a ns s e t e rm i n e r to u t à fa i t e n p o i n t e c omme
c e l l e s q u e l ' on o e u t vo i r d an s l e s l i v re s d ' h i s t o i re d ' a ut re
f o i s . I l me s em bl a i t que le s c ha us s u re s d e va i e n t ê t re b e a u
c o up trop g ra nde s
p o u r l e s p i e d s de s ind i v i d u s , q ui , p o u r tant
pa ra i s sa i e n t trè s a l ' a i s e . C e s v ê tem e n t s de va i e n t p o ur ta n t
l e s g ê n e r que lque p e u , ca r l e u r s m o uv em e n t s é ta i e n t un p e u
ra i d e s l o r s de l e u r s dé p la c em e n t s .
I l é ta i e n t t o u s d e l a m êm e ta i l l e qu e m o i , pe u t
ê t re un p e u p l u s p e t i t s q ua nd m ê m e , t e na n t c om p te de le ur
c a sque , s a uf un , c e l n i qui m ' a va i t a t t ra p é le p r e m i e r v e r s l e ·
tra c te ur , q ui n e m ' a r r i v a i t pa s m ê m e a u m e n t o n .- I l s pa ra i s ·
sa i e n t to us r ob u s te s , q u o i q u e j e p e n s e q u e j ' a u ra i s f o r t b i e n
p u a v o i r l e de s s u s s i j e n ' a v a i s e u à m e b a t t re que c o n t r e un
s e ul à la f o i s . M a i s t o u t c e l a e s t s a n s ra ppo r t a v e c la s i tu
a ti on où j e me tro uva i s ma int e na n t .
Aprè s une l ongue p é r i o d e , un b rui t à l a p o r t e m e
f i t s ursa u te r . J e m e t o u rna i da n s c e t t e d i re c t i on e t e u s une
i m m e n s e s ur pr i s e . La p o r t e é ta i t ouve r te e t une f e mme e nt ra i t
m a rc ha.h t ve rs m o i . Elle vena i t le n teme n t , pe u t- ê t re a m us é e de
la s urpri se qu i d e v a i t ê t re i n s c r i t e sur ma f i g ur e . J ' � ta i s
s tu p é f a i t , non s a n s ra. i s on , c a r e l l e é ta i t e n t i e rem e n t nue ,
c omme m o i , e t nu- p i e d s .
Da plus , e lleé ta i t t r È s be l l e , q uo i q ue d ' un
t y pe d i ff é re n t d e s femm e s q uej e c o nna i s s a i s � Se s ·c h e v e ux
é ta ien t b e a ux , p r e s q u e bl a nc ::; ( c o mm e le s c he ... e � dê c ol o rê s a u
p e r ox y d e ) s ou pl e s , pa s trè s a bonda n t , a r r i v a n t a m i -c h e m in d e
s o n c ou , l e s e x tr ém i té s enr oul é e s e n deda ns , e t s é pa ré s pa r
une ra i e a u m i l i e u . Se s ye u:x é ta i e n t g ra nd s e t bl eu s , p l us
a l l on g é s que r o nd s , é ta n t w1 pe 11 b i dé s - ' V e r s l ' e x té r i e u r
( c omme le s y e ux d e s f i l l e s q i s e ma q u i ll e n t p our r e s s e m b l e r
à d e s p r i nc e s s e s a ra be s ) ; i l s s ta ie nt a i ns i , ma i s à la d i f
f é r e nc e q u ' i l s é ta i e n t na tu re l s , s a n s ma q uill a g e a ucun . L e
ne z é ta i t d ro i t , s a ns � t re po i n tu , n i r e m on t a n t , ni t r o p
g ra nd . C e qu i s u r p rena i t é ta i t l e c on t o u r d e s on v i s a g e . L e s
p omm e t t e s t r è s h a u t e s f a i s D i e n t p a ra � t r e l e v i s a g e p l u s la r g e
( b e a uc o u p plus l a rg e q u e c e lui de s femme s d ' Amé r i que d u Sud) .
Ma i s immé d ia tem e n t au -de s s o us , l e v i sa g e d e v e n a i t ra p i dem e n t
é t r o i t., . s.e; te .rm. iné:j n� pa r·. un . m e n ton p o i n tu . C e dé tai l d onna � t
a u ba s du v i s a g e u n e f o rme f ra nc heme n t t r i a n g u l a i re . Se s l e -
v re s , é ta i e n t t r è s minc e s , p r e s q u e pa s v i s i b l e s . Se s o r e i l l e s ,
· · q tie j e v i s p l u s ta rd , é ta i e n t pe t i t e s , ma i s p a s d i f f é re n t e s
d e c e l l e s de s f e m m e s de c he z n o u s . L e s j oue s h au t e s cb nna i en t
j ' l ' i.Iil pre s s i on q u ' il y a v a i t un o s p r ononc 2 a u - d e s s o us , ma i s j e
v i s plu s ta.rd q u' e l le s é ta i en t te n d re a u touc h e r , e t fa i t e s
de c ha i r , s a n s auc une s en sa t i on d ' o s .
·
Son c o r p s é ta i t b e a u c o u p p l us b e a u q u e c e ux d e s
f emm e s que j ' a.va i s c onnu e s j u squ ' ic i . I l é ta i t m i nc e , a v e c
de s s e ins ha u t s , b i e n s é pa r é s , un·e ta i l l e f i n e , pa s d ' e s toma c
d e s ha nc h e s la r g e s . S e s p i e d s p e ti t s , s'e s ma i n s l o ng ue s e t
é t r o i t e s , se s d o i g t s e t ong l e s n o rm a uJI: . Elle é t a i t b i e n plus
pe t i t e que mo i , s a tê t e a t t e i g n a n t j u s t e m e s é pa u l e s . ( C e c i
l a i s s e p e n s e !'. q u ' a v e c un uni f o rm e , s o :.1 l i e r s e t c a s q ue , e l l e
d e v a i t a r rive r à s o n m e n t o n , e t ê t r e la pe rs o nne q u i l ' a v a i t
s a i s i a. u d'but de son a v e n ture . )
C e t te femme s ' a p p r o c ha de m o i , s i l e nc i e u s e m e n t • •
• • • • • • • • • • • • •. 1 • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • "
11
Su i t e dans no t r e n° 16.
L E S E M 1 N A 1 RE A L PHA ?. ?
•
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t«)S FAO.A..TES SUBCONSC I ENTES PEINENT ETRE EVE i u.EES PAR DES MEnfJDES PUREMENT
MOOAL.ES .
La prat i que de la méd i t a t ion e t du nidra-yoga , c er tains ens e i gnement s é s o té
r iques e t r e l i g i eux perme t t ent après une l o ngue période d ' ini t i a t i o n , d e maî
tr i ser des é ta t s et niveaux d e cons c i enc e au p l u s gr and po t en t i e l menta l , qui
s ' accompagnent d ' ond e s c érébra l e s l en t e s " a l pha" .
La r echerche exp ér imenta l e a étud i é l ' e s s ent i e l de c e s ini t i a t i o ns , l e s a
rationa l i s ées e t mi s e s sous une f o rme ad ap t ab l e à chaque ind iv i du . La s ophro
l og i e , le training autogène , l e b io f eedback par exemp l e , perme t t en t d e maî
t r i ser l e s rythmes l en�s du c erveau , no tamment les ond e s a l pha •
. ..
B IBLIOORAPHI E :
Il n ' es t pas néc e s s a i r e d e s e p r éparer s p éc ia l ement au s émina i r e a l pha .
Tou t ef o i s l a l e c ture d e " l a VYNAM1Q.UE MENTALE , ou comment d éve lopper vo s
f a cu l t és paranorma l e s " de Chr i s t r ian H. God efroy (La f f on t ) p eu t ê t r e un bon
pr éambu l e .
Document prê t é par Sod i ac Forma t ion , 43 , avenue d e Wagram 750 17 PARIS
téléphçm� : Chr i s t ian H . GODEFROY 16 ( 3 2 ) 34 . 6 1 . 59 .
- = - = -
20
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I l y a q ue l q ue s m o i s , s o r ta i t e n l i b ra. i ri e
un l i v re que la pre s s e e t l a ra d i o nous p rome t ta i e n t de
puis quelqu e s temp s . I l s ' a g i t de " La v i e a p r è s la. v i e "
du Doc te ur MOODY , doc te u r e n ph i l o s o ph i e e t m é de c in a ux
u . s.A.
Le s c e n t c inqua n te do s s i e r s du Do c te u r
M OODY , e t c ' e s t l à q u e ré s i d e toute la. que s t i on , pré s e n
te n t d e s anal o g i e s p ré c i s e s , ind i s c u tabl e s e t te l leme n t
t r o ubla n te s . U n l i e n tènu un i tou te s c e s o b s e rva t ions .
La m 8m e cho s e à que lque s d é ta i l s p rè s e s t a. r r i v é e a ux
pe rs onne s de$ro i s c a té g o r i e s c i té e s p l u s ha u t .
21
a c c ue il l i r . Elle s ont t rave r s é une s o r te de tunne l o b s c ur ; -
Elle s on t vu " l ' E t re de Lum i è re " e t da ns l e s d e ux p rem i è r e s
c a t� g o ri e s , e lle s s on t re venue s sur la te rre , ma i s e lle s
l ' on t re g r e t té , e t l e u r v i e da ns tous l e s c a s a pri s un
a u tre s e n s . Elle s s on t de ve nue s me i l l e ure s , plus a t te n t ive s
à l ' é c oute d ' e ll e s -m �m e s e t de s a u t re s , e t on t c om p r i s c om
b ien nous � t i an s l o in de mene r l a v ie ve r s laque l l e nous
d e vri on s tendre .
B i e n s û r , le Doc te ur MOODY te nte de s e x p l i c a
t ions m é d i c a l e s , a p r è s avo i r fa i t r é fé rene e à : la Bi ble , à
·.
G . WASC OW i sK I
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N E . M O R M O N S
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T E A • E N N E M I
I C T E R . C A M
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inc onsc i e n te s de l ' homme - Ré d u i t l e s e f f o r t s - - 2 - L i e ux de c ul
ture - - 3 - C h a ng e m e n t s - Re la t i ons - - 4 - C e t a rc h i pe l a s on t ri
angle - I l e de F ra nc e - - 5 - L i v r e sa c ré - E� p r im e 1 � né g � t i on - -
6 - 7° , d é c o uv e r t e pa r HERSC H E L e n 1 78 1 - V i l l e d e Sa i n to n g e - -
7 - I n t e rj ec t i on e n fa n t i ne - Ob j e t d e m � t i è r e p r é c i e u e - - 8 -
Six i ème , e l l e se d i s t i ng ue de s a u t r e s pa r s o n a s p e c t da r a c t é r i s t i
que - Po s s 6dé e - - 9 - Po uble r è g l e - Ré fl è c h i - En t e l - - 1 0 - On
y t rouve une da l l e - Le à l ' e nv e r s 1 1 - Pa r t i e d ' Al i s e - S te -
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