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56 N'61 ELECTBONIOUE PRATIOUE
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A propos du
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'micro-ordinateur SINCLAIR ZX 81
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S'il vous arrive d'avoir à -\
classer et manipuler de -
nom breux rensei gnements
tels que noms, prénoms,
adresses ou numéros de
téléphone, en fait chiffres
ou textes quelconques, il
vous faut posséder un bon
programme de traitement
de fichier. Nous avons
testé pour vous une cas-
sette concernant un logi-
ciel de classement polyva-
lent particulièrement bien
adapté au ZX 81 :
VU.FILE
la présentation des rubriques, pré- dinateur vous demandera de lui
ous devrez posséder un ordi- sentation qu'il vous appartient d'ail- communiquer.
nateur disposant d'une mé- leurs de définir au préalable en
Nous reprenons les grandes
moire additionnelle d'au usant à votre gré de toutes les pos- lignes du seul petit fascicule glissé
moins 16 K-octets. Le chargement sibilités du clavier, y compris carac- dans le boîtier de la cassette.
se fera sans problème à partir de la tères inversés et symboles graphi-
cassette (face A) en utilisant bien ques. La page principale de titre vous
entendu la fonction LOAD " VU- proposera « âu rTlênu » guatre op-
ll vous reste bien entendu ensuite tions différentes :
FILE ". Environ irois minutes plus à remplir les diverses fiches qu'il
tard, si tout s'est bien passé, la pré- 1 - faire la présentatlon de la fiche
sera possible de compulser à vo-
sentation du dossier se fera auto- lonté en utilisant les services propo- 2 - inscrire VU-FILE
matiquement ou encore la page sés par l'ordinateur. De nombreuses 3 - conserver VU-FILE + les don-
principale de titre sera affichée. A instructions (en anglais, mais il suf- nées
signaler également un contrôle final fira de taper la première lettre) per-
de l'enregistrement avec éventuelle- 4 - laire la présentation pour l'impri-
metlent de traiter aisément ce fi-
ment un petit message en cas mante.
chier pour inscrire, supprimer ou
d'anomalie (toujours moins frustrant changer, ordonner, répertorier ou Nous choisirons I'option 1.
qu'un écran vierge !). imprimer les fiches du dossier. ll
Le principe du classement est fort sera possible également de recher- a) Préeentalion de la liche : les
simple : vous disposez d'un grand cher une fiche particulière selon un quatre lignes supérieures de l'écran
nombre de fiches identiques quant à critère (FILE) de recherche que I'or- sont réservées pour indiquer conti-
60 N'61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
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nuellement à I'utilisateur le mode que les données communes à toutes l'aide des flèches et taper NEW-
opératoire. les fiches ; faire STOP pour sortir du LINE pour marquer le début de
A ce stade, il est nécessaire d'or- mOde PRESENTATION. l'écriture après les titres ; un point
ganiser la disposition des divers d'interrogation en vidéo inversé ma-
titres ou dessins à l'aide du clavier b) Les sous-programmes: l'étape térialisera ainsi le début de chaque
comme sur une simple machine à suivante consiste à pr,éciser à l'ordi- sous-programme.
écrire. Le curseur (un carré noir) nateur à quel endroit il faudra com-
peut en outre se déplacer plus vite mencer à inscrire les renseigne- c) Ecriture des liches : la première
sur tout l'écran grâce aux touches 5, ments relatifs à chaque rubrique fiche vierge se présente à vous et
6, 7 et 8 = flèches. ll est important précédemment définie. ll faut ame- vous l'inscrirez sans aucune compli-
de noter qu'il convient de n'inscrire ner le curseur à l'endroit souhaité à cation à I'aide du clavier. Tapez N/L
N.61 ELECTROIVIOUE PRATIOUE 61
après chaque texte pour voir le cur- ORDER = ordonner (il faut préciser ser une FILE " de caractères
Seur « sauter au titre Suivant, puis sur quelle rubrique)
"
" comme clé de recherche.
à la fiche vierge suivante. De cette
SELECT = choisir (donner la FILE ll est aisé de manipuler ainsi
manière, vous pourrez introduire au-
de recherche) toutes les fiches, d'en modifier la te-
tant de fiches que vous voulez. La
QUIT = sortir (présente à nouveau le neur, de les présenter d'une ma-
touche STOP vous permettra une
fois encore de sortir de ce mode menu) nière particulière avant impression
(option 4) ou encore de sauvegarder
écriture. LIST = répertorier (provoque le défi-
sur cassette tout le fichier.
lement des fiches)
d) Utilieation du fichier: les tignes PRINT = imprimer (choisir une fiche
La face B de la cassette PSION
supérieures donnent à présent les comporte un excellent exemple
au préalable)
principales instructions dont dis- d'utilisation du programme VU-FILE.
pose l'utilisateur, mais en anglais, à COPY = copier (donne une copie ll s'agit d'un recueil de fiches sur
savoir : d'écran) tous les pays du monde avec divers
DELETE = supprimer (se position- renseignements comme la monnaie,
ENTER = inscrire (des fiches vierges
ner sur la fiche à détruire) la langue, la superficie, la popula-
seulement)
Ce vaste éventail est accessible tion, etc.
ALTER = changer (modification
simplement en tapant la première Nous vous conseillons d'expéri-
d'une fiche quelconque)
lettre de I'instruction anglaise soit menter sur ce fichier toutes les pos-
INFORM = informer (nbre de fiches par exemple F pour avancer dans le sibilités du VU-FILE avant de créer
et s/programmes) fichier. Un avantage important du vous-même votre propre banque de
FORWARD = avancer (pour consul- logicielVU-FILE est qu'il permet de renseignements.
ter le fichier) sélectionner une fiche particulière
ou une série de fiches grâce à l'ins- Guy ISABEL.
BACK = reculer (pour consulter le
fichier) truction SELECT ; ilfaudra au préa-
lable désigner le sous-programme
HESET = revenir (au début de la particulier auquel s'applique cette
liste des fiches) recherche et éventuellement préci-
il(orR
I S.V.P)
I ADRESSE
I
Lrrr
62 N'61 ELECTBONIOUE PBATIOUE
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§
t-
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§§
Les circuits
d'entrées (fig. 1)
ll s'agit d'entrées en basses impé-
dances, quelques centaines d'ohms,
16151413121110I ce qui est courant en VHF. En effet
ct1 des hautes impédances d'entrées
123156',7 I dans cette gamme de fréquences
sont techniquement possibles avec
E2 R( c-3-
t-t
niveau zéro (en TTL c'est l'inverse).
Si les bornes n" 2 et 3 sont à zéro, le
rsvl, â St +
Cl divise par 1 1, si I'une d'elles est à lo o :l
1 il y a division par 10, ll y a donc de
{. - -l
l
ol
^t
8)l
nombreuses façons de câbler un
95.H.90 pour diviser par 10 ;cel?e
que nous représentons figure 1 est
celle qui nous a donné les meilleurs
résultats sur oscilloscope.
oi:_-:J o
Di
-l
Les sorties no 8 ou 9 délivrent un
signalcarré de 800 mV d'amplitude
seulement, et sur une porteuse
B B #
.o.
continue. Aussi en les reliant à la
base et à l'émetteur du transistor ,,ô.
PNP Tz, celui-ci est alternativement .(o o)"
conducteur ou bloqué, d'où des si- \ÿ ïiil
I
I
gnaux de 0 à 4 V sur son collêcteur. (2N 5771) ,
D'après la notice du constructeur
la fréquence maxi du 95.H.90 serait
+
T1 ( BFYgO )
T2 ss v_[_
fu*
'-"{E4
#^
;ÉÊ*
à
masse " longeant certains traits de
liaisons ou passant sous des com-
posants.
-
{riq - Les langues de masse seront
larges, mais il est super-impératif
que tous les circuits de masse soient
en culs-de-sac. Rappelons encore
une fois qu'une masse eui ss m6t.6
"
la queue " peut devenir la cause
d'oscillations parasites.
4 Notre circuit imprimé est assez
compact mais sans aucune acroba_
tie de câblage, et sans strap. euel-
"&
Photo 2.
ques petits détails pratiques :
La mise en coflret
(photo no 3)
FACE AR (EXT)
Nous avons utilisé le boîtier alu-
minium ESM EM 14/05.
1) Percez la coquille claire du boÎ-
tier en respectant le plan de perçage
de la ligure no 4.
2lFixez le module avec trois en-
11
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II 1
I
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FOND I
lr
socles BNC, les inters Kr et K2, Puis
la LED dont les pattes ont été Préa-
lablement pliées vers le bas. s
r----
rl
3.5
I
-r--9-
I
lï
4) Par deux bouts de fil fin raccor-
I
I I gluT
masse du circuit. La masse du socle l
lqgs
Ea est donc amenée Par le boîtier.
6) Pour le câble de sortie, d'envi-
++++
s51
LED
1
K] BNC
se.s
K2
+
BNC
E2 E1
Matériel nécessaire
Clr : 95.H.90 (Fairchild) = Divi-
seur de hautes fréquences.
effet notre premier DECIMHERTZ de millivolts. Cette entrée " en- Cl2 : régulateur 5 V/1A, genre VA-
construit et décrit en 1978 ne s'est caisse " très bien des signaux 7805.
toujours pas déréglé... carrés de 4 V. T1 : BFY90 (NPN) 1 GHz) ou
1) Sans signal d'entrée alimentez 2N3571,3880, etc.
et mesurez la tension du curseur, L'utilisation pratique Tz:2N5771 (PNP 850 MHz),
entre la masse et une patte de C2 ou éventuellement 2 N2 90 5.
Quand vous ignorez complète-
Cl. Agir sur la vis du trimmer pour ment l'amplitude du signal à mesu- Dr à Da: diodes silicium rapides
obtenir 3,7 V. Débranchez le voltmè- rer utilisez d'abord l'entrée Ez dite (1N4148, BAX13, etc.).
tre. LED : A 5 mm rouge ou verte.
" TTL ", si vous n'avez pas de ré- Ct Cz, Cs, Ca, Cs: 22 nF cérami-
2) Branchez en sortie votre fré- ponse branchez-vous sur Er, avec
quencemètre. Mettez K2 vers le préampli ; sans oublier de toujours que disque.
socle E2 et sur cette entrée envoyez basculer I'inter K2 vers le socle en Cz: 1 nF céramique disque.
un signal carré TTL (0 à 4 V) d'au service... Cs : 10 nF quelconque.
moins 5 MHz. Ce, Ca:47 pF/16 V radial.
Une application pratique et utile L1, L2, Ls : voir texte.
3) Manæuvrez très lentement la consiste à identifier avec précision 3 perlesferrite A 4 x 5 mm.
vis de Pr autour de la valeur préré- la fréquence d'une station radio FM, Fil cuivre émaillé A 0,4 à 0,6 mm,
glée jusqu'à lire sur le fréquencemè- quand on ne dispose pas d'un tuner environ 30 cm.
tre le dixième de la fréquence d'en- à affichage digital. Nous nous R1 : 150 {l (marron, vert, marron).
trée. Avec un trimmer dix tours la sommes servis du matériel suivant : R2 : 56 KQ (vert, bleu, orange).
plage de tolérance est environ sur
un tour : d'un côté le signal de sortie - Un générateur MF/VHF HEATH- Rs : 1 l<çl (marron, noir, rouge).
KIT modèle lG-5280, quifournit un Re : 470 9 (jaune, violet, marron).
disparaît, de I'autre il augmente un signal sinusoidal de faible amplitude Rs, Ra : 220 Q (rouge, rouge, mar-
peu en fréquence puis disparaît. ll
réglable de 0,3 à 110 MHz. ron).
faut préciser ce réglage : R7 : 390 Q (orange, blanc, mar-
4) Pour envoyer un signal d'ampli- - Un fréquencemètre digital ron).
HEATHKIT modèle 1M.4100. Fré-
tude minimum (- 300 mV), interca- quence maxi 35 MHz. Ra : 120 dl (marron, rouge, mar-
lez entre votre générateur et I'entrée ron).
E2 un pont diviseur constitué par - Un récepteur radio FM portatif, Rs : 220 I (rouge, rouge, marron).
une résistan ce de 470 O côté signal dont on arrête I'AFC (contrôle auto-
R1s : 680 A @bu, gris, marron).
et 33 O côté masse. La plage de ré- matique de fréquence), et que I'on
P1 : potentiomètre ajustable
glage du trimmer se réduit alors à règle sur une station quelconque.
10 tours 1 Kl
environ 1/8" de tour ! Gardez votre Le générateur qui n'est pas blindé Kt Kz : lnters simples.
calme... quand le fréquencemètre est situé à environ un mètre du ré- 2 socles BNC
indique enfin le dixième de la fré- cepteur radio. On élève lentement la 30 cm de câble blindé 1 conduc-
quence d'entrée, ne touchez plus à fréquence du générateur entre 88 et teur A 5 mm
rien et refermez le boîtier. Rappe- 105 MHz ; lorsqu'elle aiteint la fré- un circult imprimé 87 x 60 mm
lons que le signal carré de sortie est quence reçue par le poste c'est le (époxy) à réaliser.
toujours d'amplitude 0-4 V, même si silence total dans le H.P. 70 cosses poignards.
le signal d'entrée est sinusoidal. On lit par exemple sur le fréquen- Un radiateur pour Cl DIL 14 ou 16
Si on ütilise l'entrée E1 (par le cemètre 9,54 MHz, la fréquence (facultatif).
préampli) I'amplitude minimum du d'émission de cette « radio libre " 2 piles plates 4,5 V ordinaires.
signal est alors de quelques dizaines est donc 95,4 + 0,1 MHz. 1 coffret ESM EM 14/05.
70 N'61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
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rh
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Le schéma de principe Deux bobines restent cependant cuit consiste à réduire ta tàdition-
présentes, celle du circuit d'entrée nelle fréquence intermédiaire de
a ligure 1 présente le schéma et celle de l'oscillateur local. En 10,7 MHz à70 k{z.
de principe général du kit, qui effet, le circuit en question peut tra- Le choix de la fréquence intermé-
fait appel à trois circuits inté- vailler sur une gamme de fréquence diaire de 70 k{z donne une excel-
grés, et quand même un transistor. de 3 à 110 MHz. Ces deux bobines lente sélectivité et permet de rem-
permettent dans le cas présent, de placer les filtres de bande habituels
Tout se passe, toutefois, autour se caler sur la gamme 87,5 à
.du circuit TDA 7000 qui, comme par de simples réseaux RC qui peu-
'108 MHz, gamme FM bien connue
vous pouvez le constater, se vent être intégrés sur le cristal, ce
des auditeurs. qui par ailleurs élimine tout réglage.
contente de très peu de composants
périphériques ou discrets. La première innovation de ce cir- Les seuls réglages nécessaires
N.61 ELECTRONIOUE PBATIOUE 71
+
Ante n ne
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\-
{il;
R-2 R3 R1 R5
*,,*-----=_\Shunts/ / --_--,
-
Gatva
Fig.3 Fig.4
I-1
L'une des caractéristiques essen- ll est facile de montrer, toujours
ll
rE
î(pit.)
3
tielles d'un voltmètre continu, est sa par application de la loi d'Ohm, que
consommation propre, qui est évi_ l'ensemble respecte la relation :
demment celle du galvanomètre:
nous y reviendrons dans la partie
consacrée aux précautions d'em-
R=r-lî= r& Fig. 5 a
ploi. On a pris l'habitude d,exprimer ce qui permet de calculer le shunt R,
cette consommation :
.V
dès qu'on connaît les caractéristi-
ques du galvanomètre (r et 12.), et
sry RT
t 1,.-.t-l,.r,rL.*,j
{'t'I'!'t
Fig.6
Ir {
L'une des configurations généra- Fâ&$r iN rïÂt}
,. i.l ,[x! ,:
lement employées et c'est le cas du (E§ÏH'HD
CENTRAD 312 - est celle de la fi- ,l); *,:,
4o Ampèremètre alternatif
50 Ohmmètre
bæ
6o Capacimètre Photo B.
Le démontage,
Le CENTRAD 312 offre deux nécessaire
échelles de test des condensateurs : pour accéder
de 0 à 50 pF, et de 0 à 500 pF, qui aux fusibles,
mettent en æuvre la fonction ohm- se révèle
mètre. ll ne s'agit. donc pas de me- simple et rapide.
78 N'61 ELECTRONIOUE PBATIOUE
|- Une exploitation
rationnelle
des échelles
Qu'on nous permette, une fois en-
core, de renvoyer à notre article sur
les galvanomètres (,, Electronique
Pratique ", no 56). ll explique com-
ment, pour un appareil de classe
donnée (2,5 en continu dans le cas
du CENTRAD 312), la précision des
mesures diminue quand on se rap-
proche de l'origine de l'échelle. On
devra donc, toujours, choisir la
gamme donnant la plus grande dé-
viation possible.
Photo C. - Le deux fusibles, de 10 A et 250 mA, sont ici bien visibles. Cette règle souffre cependant
quelques exceptions, lorsqu'on tra-
vaille en voltmètre sur des circuits à
C - QUELOUES CENTRAD 312, mais concernent la haute impédance. ll faut alors que le
PRECAUT!ONS totalité des multimètres. On devra courant consommé par le multimè-
D'EMPLO! les garder toujours à l'esprit, faute tre reste très inférieur (quelques
de quoi certaines mesures se ver- pour cent) au courant propre du cir-
Brièvement résumés, les quelques raient entachées d'erreurs mons- cuit testé. Ainsi, aux bornes d'une
conseils énumérés ci-dessous ne trueuses, dues non point à l'appa- résistance de 100 kO où existe une
s'appliquent pas spécifiquement au reil, mais... à son utilisateur. chute de tension de 5 V, utiliser le
voltmètre sur la gamme 5 V... divise-
rait par deux la résistance réelle !
Mieux vaut alors employer le calibre
20 v.
ll - Les mesures de
résistances
Là, les erreurs deviennent maxi-
males aux extrémités des échelles,
et surtout vers les fortes résistan-
ces. Dans la mesure du possible, on
choisira le calibre qui permet de tra-
vailler vers le centre de l'échelle. On
n'oubliera pas que le tarage du zéro
dépend de la sensibilité sélection-
née, et qu'il convient de le refaire à
chaque changement de gamme.
Pour conclure
Avec son modèle 312,|a société
CENTRAD vise en grande partie, de
toute évidence, la clientèle des élec-
troniciens amateurs. Elle a réussi à
leur proposer un multimètre sympa-
thique, qui allie bien des qualités
techniques à une présentation
Photo D. agréable et fonctionnelle.
Vue d'ensemble Nous n'aurons guère qu'une criti-
sur le circuit que à formuler : ce matériel ayant
imprimé. souvent pour vocation d'équiper des
On trouve, débutants, queiques pages suppié-
en avant, mentaires dans le petit manuel
le coupieur d'instructions, consacrées à l'utilisa-
de pites, tron pratrque oe l'apparett, auratent
pour cieux été les brenvenues.
petites piles
crayon de 1,5 V. R. RATEAU
N" 61 ELECTRONIOUE PSATIOUE 79
Décidément les Anglais n'ont pas fini de nous étonner en
matière de micro-informatique !!! Après leZX 81 et le
succès qu'on lui connaît, voici un nouveau micro-ordina-
teur qui arrive avec de beaux atouts dans ses bagages :
I'Oric-1.
a première chose qui surprend et tout cela tient dans un boîtier de tème. ll faut alimenter l'Oric-1 via un
est la taille de la machine : lorme pupitre, pratique à utiliser, bloc secteur séparé, solution de plus
grâce à l'emploi de circuits in- dont les caractéristiques mécani- en plus adoptée. Un cordon avec
tégrés à haute intégration, I'Oric-1, ques sont les suivantes : une fiche Din à une extrémité et une
qui n'esl guère plus grand qu'un prise Péritel à l'autre bout transpor-
Hauteur: 52 mm,
magnétophone à cassette standard, Largeur : 280 mm, tera les signaux vidéo de l'Oric-1
a pourtant : Profondeur : 175 mm, vers votre téléviseur.
- 16 ou 48 K-octets de mémoire Poids : 1,1 kg. Et si votre prise Péritel n'est pas
vive (RAM) utilisateur disponibles, alimentée, ce n'est pas grave : vous
- la couleur avec le choix entre huit Précisons qu'il y a quand même trouverez dans la boîte de votre
diflérentes, un processeur pour animer tout Oric-1 une petite alimentation, style
- le son avec une sortie pour chaîne cela, un 6502-A, cadence par une calculatrice, se terminant par un
HiFi (6 octaves disponibles), horloge à 1 MHz. jack 2,5 mm que vous n'aurez qu'à
- un Basic microsoft de 16 K-octets Maintenant vite le côté intéres- mettre dans une embase montée
en mémoire morte (ROM), sant : la mise sous tension du sys- sur la prise Péritel elle-même.
N'61 ELECTRONIOUE PRATIOUE 81
Mise sous tension... L'écran se (VALIDATION ENTREE) et quatre ment de 0 à 7. Disons tout de suite
couvre de rayures blanches et touches fléchées pour déplacer le que les couleurs sont excellentes,
noires pendant une ou deux secon- curseur). très franches, sans bavures, même
des : la machine est en train de Le clavier n'est pas un vrai clavier sur les caractères minuscules. En
charger ses deux jeux de caractères mécanique au sens du terme mais il outre, le changement de couleur est
en mémoire vive. Ce chargement a un très bon toucher, on sent bien très rapide ; cela est dû à un circuit
terminé I'Oric-1 affiche : le déclic des touches ; la validation intégré hautement spécialisé...
CAPS de celles-ci pose d'autant moins de Ne cherchez pas votre texte ou
problèmes qu'elles sont sonorisées graphique si vous donnez les ordres
ORIC EXTENDED BASIC V1.O
par un bip (supprimé et remis par PAPER et INK avec le même chif-
@ 1983 TANGERINE
CTRL F) et qu'elles sont à répétition fre... I
4787A BYTES FREE
automatique. D'autres ordres Basic permettent
READY
Et luxe suprême la tonalité du bip de faire clignoter les caractères
Le CAPS qui apparaît en haut et à est différente selon le type de tou- (flash) et/ou de les avoir en double
droite de l'écran signifie que nous che enfoncée : aigu pour les touches hauteur (double) ; associé aux deux
sommes en mode majuscules ; on standard, grave pour les touches jeux de caractères que l'on peut re-
passera très simplement en mode
spéciales (CTRL, DEL, ESC...) avec définir à tout moment par modifica-
minuscules par un appui simultané une « sonnerie " pour CTRL G. tion de la mémoire, cela laisse pas
sur les touches CTRL (CONTROLE) mal de possibilités au program-
et T ; une deuxième manæuvre L'affichage meur ! (Accès par commande Basic
identique nous fera revenir en mode LORES 0 ou 1 suivant le jeu choisi).
majuscule. L'écran permet d'aff icher
28 lignes de 40 caractères avec les Bien sûr, la haute résolution est
Un petit détail : Basic n'accepte-
possibilités suivantes : un des aspects leg plus intéressants
que les ordres en majuscules.
des micro-ordinateurs récents ; ici
Maintenant que l'Oric-1 est prêt à - Changer la couleur du fond par sur l'Oric-1 on dispose dans ce
fonctionnner, voyons ce qu'il nous l'ordre BASIC PAPER suivid'un
mode (passage par ordre Basic
offre chiffrede0à7.
: HIRES), de 240 points (pixels) hori-
Au niveau du clavier, pas de pro- Couleursdisponibles : 0 = noir, 1 zontaux par 200 points verticaux. Le
blèmes : on dispose de 57 touches = rougê, 2 = vêîi,3 - jaune, bas de l'écran conserve trois lignes
avec une disposition standard 4 = bleu,5 = mâgênta(pourpre), d'alfichage normal permettant la
(QWERTY), ainsi que les touches 6 = cyan (bleu-vert), 7 = blanc. conversation avec le système (mes-
oTRL (CONTROLE), ESC (ESCAPE), - Changer la couleur du texte ou sages d'erreurs, commande directe
pour juger immédiatement du résul-
DEL (DELETE = supprimer par re- des caractères graphiques tracés
tour arrière du curseur), RETURN par I'ordre Basic INK suivi égale- tat).
A2 N'61 ELECTBONIOUE PRATIOU€
Ce que révèle l'intérieur de l'Oric-1.
Le Basic dispose de commandes pour DRAW ;ex : le chiffre 170 déci- rapport à la dernière position
appropriées à I'utilisation de la cou- mal = 10101010 binaire = ----, connue du curseur).
leur et des différents modes de ré- donc une ligne en pointillés), FILL Arrivé à ce stade, l'imbrication de
solution : (remplir un espace précis), CHAR zones colorées différentes, avec
PLOT (écrire dans l'écran en mode (écrire un ou plusieurs caractères texte, graphique, nécessitera pas
texte), CIRCLE (trace de cercle), dans l'écran en mode HIRES) et mal de commandes parmi lesquelles
DRAW (dessiner une ligne), PAT- deux adressages du curseur : CUR- il sera facile de s'égarer... à moins
TERN (dont la représentation bi- MOV (adressage en absolu du cur- qu'un logiciel spécialisé ne fasse
naire sera utilisée comme modèle seur) et CURSET (adressage par bientôt l'intermédiaire... A suivre !!
N" 61 ELECTRON]OUE PRATIOUE 83
à
o
B
- soit 300 bauds, vitesse moyenne,
mais d'une grande fiabilité compte
a tenu de l'utilisation d'un magnéto-
E phone à cassette standard ; com-
â
mande Basic CSAVE « nom du pro-
T gramme ", S (pour SLOW : lent).
Noter que le nom du programme
Nlr8 PEBITTL peut avoir jusqu'à 17 caractères, ce
8 qui est bien agréable (certains Basic
rvc (PAr) o n'acceptent qu'un seul caractère
o d'identification...).
- Soit 2 400 bauds, vitesse élevée,
pour laquelle il est demandé d'avoir
T
un magnétophone en bon état et
une cassette de bonne qualité.
+12V Commande Basic CSAVE. nom du
programme » sâr'lS le s. Les essais
que nous avons faits avec un appa-
reil et une cassette tout à fait ordi-
Le son est disponible grâce à un qui concerne la longueur d'une ligne naires se sont révélés très fiables.
circuit intégré spécialisé (un autre !), (79 caractères). Aucun problèmes, et quel plaisir de
le General lnstrument Gl 8912. ll pouvoir sauver et relire un pro-
nous offre la possibilité d'avoir trois - Trois instructions Basic qui de- gramme à cette vitesse, soit huit fois
vront être accompagnées de leurs plus vite que la vitesse lente !!! (A
canaux différents mixables, une paramètres, généreront des sons
prise DIN permet d'envoyer le son titre de comparaison, un micro-ordi-
plus complexes ; ils'agit de PLAY, nateur style TRS-80 modèle 3 sauve
dans un amplificateur extérieur SOUND et MUSIC. Une instruction
(chaîne HiFi) mais ce n'est pas indis- à 500 et 1 500 bauds). Une facilité
bien pratique pour les silences (et supplémentaire est de pouvoir avoir
pensable : un haut-parleur est inté- attentes de toutes sortes) sera WAIT
gré dans l'Oric-1 et il se fait enten- un démarrage automatique des pro-
suivid'un chiffre qui multiplié par grammes Basic ; il suffit d'ajouter la
dre !! 10 ms donnera le temps pendant le- commande auto derrière la com-
Là aussi, le Basic possède les ins- quel I'Oric-1 patientera sans rien mande de sauvetage : CSAVE " nom
tructions nécessaires pour exploiter faire... du programme ", AUTO (ce qui en-
les capacités du Gl 8912 :
Grâce à toutes ces commandes, traîne un RUN dès le chargement
- Quatre instructions Basic simples vous pourrez élaborer le programme achevé) on pourra aussi sauver des
permettent de générer le bruit d'un du siècle... ll faudra qu'il puisse pas- portions de mémoire en indiquant
laser spatial (ZAPI, un coup de fusil ser à la postérité sans aucune diffi- simplement l'adresse de début et de
(SHOOT), une explosion (EXPLODE), culté... Là aussi, l'Oric-1 se montre à fin de la zone souhaitée (ex. : mé-
une sonnerie (PING) utilisée par ail- la hauteur : le sauvetage de vos pré- moire écran). L'Oric-1 possède
leurs avec le CTRL G ainsi que pour cieux programmes se fera au format aussi la télécommande du magnéto-
vous indiquer que vous avez dé- Tangerine, format éprouvé et ce à phone, chose nécessaire si on veut
passé la capacité maximum en ce deux vitesses au choix : utiliser des fichiers sur cassette.
Il'IPRII'lANfE
CENIPRONICS N'§ DiEXTENSIOil
PERITEL
E/S K7
r v (rur) + SOll HrFi l. to
ALIUENÎâTIOü
9 VoLTS
taæat*
CLÀVIER 16 TOUCHES
TABLE DE FONCTIONNEMENT
LIAISONS
LIAISONS
TOUCHES 2 3 L 5 6 1 I
trtrtr8 1
trtrEE trtrtr
trtrtrtr trtr8
trtrtrtr trtrtr
trtrtr
CLAVIERS 16 et t2 ÏOUCHES
CLAVIER 4 TOUCHES
Le clavier à 12 touches esl lres Bien entendu, il existe des déco- morns trois touches quelconques du
voisrn de son grand frère à 16 tou- deurs. xy » contenus dans ces cir- clavier.
ches. La ligure 3 montre qu'il com- cuits intégrés élaborés du type
porte une colonne de moins, si bien M 190 MOS ou 74 C 922 N, mais
Ces considérations générales
que le fil no 1 ne se trouve jamais I'amateur ne pourra guère se les
procurer étant donné qu'ils ne sont étant passées en revue, passons
concerné par une liaison. maintenant au fonctionnement du
pas disponibles auprès des fournis-
Le cas du clavier 4 touches est décodage.
seurs courants de matériel électro-
encore plus simple Puisqu'il Y a su-
rabondance de fils de sortie par rap- nique. Mecanorma a préféré aban-
b) Principe des décodages des
port au peu de contacts à réaliser. donner cette voie pour se tourner
claviers 16 et 12 touches
vers le décodage réalisé à l'aide de
En fait, il s'agit d'une matrice à une (rig.5)
seule colonne dont le décodage s'en
composants courants. ll en résulte
un circuit imprimé un peu plus com- lls'agit de détecter la ligne hori-
trouve extrêmement facilité. La fi-
pliqué, il est vrai, mais que l'on peut zontale et la colonne verticale dont
gure 4 explicite les liaisons réalisées
lacilement réaliser à l'aide des l'intersection correspond au contact
suivant la touche sollicitée.
transferts élaborés par Mecanorma. réalisé par la.touche. La détection
lndépendamment de la mise en des colonnes y se réalise grâce à la
Les décodages
æuvre de composants courants et mase en ceuvre du " 741 , de ser-
donc bon marché, ce choix possède vice, bien connu de nos lecteurs.
a) Le principe l'avantage de présenter à l'amateur Observons son fonctionnement.
un fonctionnement... pédagogique,
Les tables de fonctionnement La touche se trouvant non sollici-
ce dernier prélérant tout de même
mises en évidence au chapitre pré- comprendre les montages qu'il réa- tée, l'entrée inverseuse e- se trouve
cédent montrent que les liaisons ob- lise.
directement soumise à la tension
tenues ne sont pas directement ex- d'alimentation, par l'intermédiaire
ploitables dans le cas général. ll est Un autre avantage du décodeur d'une résistance de 10 kO. Si
donc nécessaire d'effectuer un dé- est son fonctionnement par « tout ou V = 9 V, alors le potentiel de e 4
codage, dont le rôle consiste à pré- rien " : une pression progressive en s'exprime par ia relation :
senter à sa sortie, par exemple, un rntensité sur une touche donnée se
état logique haut sur la sortie 13
rorsque l'on sollicite la touche 13 du
tracluira, à un moment précis, par
une apparition brutale et complète
V"+=9x
#*= =8.4v
ctavrer. les autres sorties dLr ctéco- dli niveaLr iogrque '! à ta sortie cor- Comme V"- ) V. +, ta sortie S
cieur restant à un état bas, Le clavier responctante du décodeur ei cect s'établit au niveaLr bas, ptrtsque te
r6 rouches sera donc accompagne sans étar rntermêdrarre o | 4', ,.. lonctionne rcr en cornpara-
d'ur decodeur comportant I en- Enfin, ie décodeur â composants reur Pratrquement re p(rrenllel oe
trees er lË sortres le ctavier â courants a une autre caractênstique sortre se situe aur alenlorlrsi de 2 v
l2 iouches aura un décodeur com- QU, êST SOUVenr Ur; avantage er, L entree Ê oe ia porte ANf
portanr S entrees (bierr que 7 seule" efler alor$ que ie oecodeur . xy ,. (Ct, 40tt'l ,erani assimilabie ê ur nt-
menr sorenr operationnellesl er étabore ne permer que la sollicita- veaL bas I entree È: sÊ lrorJvânt
l2 sorties. Quant au clavier de tiorr d'une touche a ia fois ie déco. quanT a ellÉ. a ur etat bas' par l'iniet.
4 touches. ii sera lumele a urr c,êco- oeur cte ta presente rêalisatior, auto.. mêdaarre d€ la resislance oé 68 Kçl
deur de 8 enirees er de 4 sortres. rise l'utilisatior, srmultanée d'au la" sortie s5 prêsenTe ur, erat; bas
,,1 El, l,
8 13t t12 2t t1 5t t6
@
r0 13
12 el 18 2l 11 5l 16
@
2 l0 13
+9V
: ,1
r3l I12 9l 18 2l 11 5l 16
; 1
213
ll
H-
chapitre précéctent. la colonne Y codeurs.
sera séch€ sort à ;'arr. sort avec ur
étanl unique dans le cas du <. 4 tou- paprer buvarc
ches ", point n esT besorn de passer
par la mise en æuvre d'un,' 74' ,, Par ta sur1e. or positionnera re
translerT sur re côte cuivre au be-
une simple porte NOB suffit à mettre
en évidence ia sollicitation de la tou- sotn en I'immobrlrsanr à | aroe oe
, DECODEUF DT CLAVIER TOUCHES rubar' adhésit por.rr ensuite' appit-
che concernée A ''étal de rePos "
quer à i arde O'une spatule oL c r.rr'
une entrée de cette porte étant sou-
mrse à un étal bas et l'autre à un
oblet autre comporlanl unÊ partte
état haut, la sortie s'établit à un état arrondie. Cetle applicairon achevée
bas. Par contre, lorsque la touche et sorgneusement vérifiée. on plon.
gera ia ptaque clans le perchtorure
concernée relie i'entrée A à la pola-
rité négative du circuit, les deux en- de fer (ce dernier éiant au morns à
trées de la porte NOR se trouvent à 20 "C) en le remuant de temps à
un état bas et il en résulte !'appari-
autre afin d'obtenir une gravure ra-
pide et nette. Cette dernlère étani
tion d'un niveau logique un sur la
sortie. obtenue, l'ensemble est nettoye ef
rincé abondamment à !'eau tièoe
puis frotte à nouveau à i'arde c une
d) Décodeur du clavier 16 touches poudre abrasive fine. Tous les lrots
(rig.7) seroni perce,q à i arde d'ur' lorer oe
C.8 mm saut ceux destrnés a rece-
li s'agit simplement de la générali- voir les prcots qur devronl être
sation et de l'extension des princi- percés à | arde o'un forer de ' .i- mn,
pes mis précédemment en lumière. de diamètre
Quatre ,,74-t ,, onr leur entrée tnver-
seuse reliée aux 4 colonnes de la
matrice, tandis que leur entrée posi- b) lmplantation dee comPosants
(r.g, 12)
tive est soumise à un potentiet fixe
déterminé par des ponts de résis- On implantera d aboro les straps
tances. Les sorties de ces ,,741 ', de liaison qur sont cles chLites de fil
sont reliées chacune à l'une des en- de cuivre de G,5 mm de diamètre (ou
trées de 4 portes AND dont les des chutes cle connexions de résls-
autres entrées se trouvent reliées
aux 4 lignes de la matrice lsurte page t32i
92 N" 61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
qr\
Parmi les nombreux nouveaux circuits intégrés, qui appa-
raissent sur le marché, peu sont destinés à des applica- §
tions « grand public » tel que le TDA 7000, circuit radio FM
monolithique. §\
-
È
Ce circuit intêgré révolutionnaire intègre en effet, toutes
les fonctions d'une radio à modulation de fréquence §
aÈ
depuis I'antenne jusqu'à la sortie basse fréquence.
Lancé en production massive, ce circuit d'une trentaine de
francs est destiné à équiper la plupart des radio-récep-
teurs portables. La version miniaturisée ouvre déjà de
nouveaux domaines d'application puisqu'il sera possible
de loger des circuits radio FM à I'intérieur d'un crayon ou
autres objets tels que briquets, porte-clés, montres, calcu-
lettes ou boîtes d'allumettes.
es établissements
" CIBOT ",
bien connus de nos lecteurs,
et toujours à l'affût des derniè-
res nouveautés ont eu la gentillesse
de nous confier les premiers échan-
tillons de ce circuit miracle que nous
allons présenter.
Le circuit en question
Les amateurs non expérimentés
ont très vite délaissé le domaine
I.F, FILTER
d'applications de la haute fré- a.t
quence, et notamment la réalisation 'tn
des récepteurs en raison des multi- TDA TOOO
ples difficultés de mise au point des
divers étages. Qu'ils soient au-
jourd'hui rassurés, le TDA 7000 leur
apportera toute satisfaction au prix
d' une extraordinaire technologie,
qui dépasse le stade de notre simple
initiation à l'électronique.
Sachez cependant que la pre-
mière innovation de ce circuit
consiste à réduire la traditionnelle
fréquence intermédiaire de
10,7 MHz à75 KHz.
L'excursion de la modulation se
trouve alors réduite à + 15 kHz par
réaction sur I'oscillateur local, ce qui
entraîne une réduction considérable
de la distorsiorr harmonique.
94 NC 61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
l8-LEAD DUAL IN-LINE; PLASTIC (SOT-1O2HE)
S
th Le choix de la fréquence intermé-
2? max
S\
È
diaire de 70 kïz donne une excel-
lente sélectivité et permet de rem-
c
o
oi
ol
placer les filtres de bande habituels =
o
§ par de simples réseaux RC qui peu- I
vent être intégrés sur le cristal. ce
= qui par ailleurs élimine, à notre plus 3.9
3,4 ;r
grande joie. tout réglage. L! rx
I
Réalisation pratique
La ligure 4 précise grandeur na-
ture le tracé du circuit imprimé qui
pourra se reproduire par le biais de
la méthode photographique et de
l'époxy présensi bilisé.
TDA TOOO
b t='o"'
l.Eo+^g
( q"* '*ÿ@..
h
F"*"
d b o'o" o Et--r* {D
d ho""
sf_f'\-! l-^JrgNFffff; *1àB
.l....J
V-
ë -ror
-rrrl
-c-ls* ;+
æ -oNF
{:}m(
[J@x
aaa ;i" ,rt*§r,
GNO +6
*.
(22..û)
J
On n'oubliera pas toutefois de Liste des composants 1 x 1,5 l<Q (marron, vert, rouge).
ménager le circuit intégré en atten- 1x 5,6 l<{l (vert, bleu, rouge).
1'ê version
dant quelques instants entre les
1 x 22 l<Çl (rouge, rouge, orange). 1 x 10 Kl (marron, noir, orange).
soudures des différentes broches. 1x 22 Kl (rouge, rouge, orange).
1 x 22 pF céramique 1 x 100 l<dl (marron, noir, jaune).
Assurez-vous également des ca- 2 x 39 pF céramique
ractéristiques de la diode varicap. 1x 300 Kl (orange, noir, jaune|
1 x 47 pF ceramique.
1 potentiomètre 100 l<9log.
La réalisation de la bobine L2 ne 1x 150pFcéramique.
1 x 39 pF céramique.
devrait pas vous poser de difficultés. 1 x 180 pF céramique.
1 x 47 pF ceramique.
Sur le mandrin vous bobinez trois 1 x 220 pF céramique. 1 x 150 pF céramique.
tours et demi en spires jointives du 2 x 330 pF céramique. 1 x 180 pF céramique.
filde cuivre émaillé de 0,8 mm par 1 x 1,8 nFcéramique-
1 x 220 pF céramique.
exemple. 1 x 2,2 nF céramique. 2 x 330 pF céramique.
Ce fil émaillé comporte un isolant, 2 x 3,3 nF céramique. 1 x 1,8 nFcéramique.
ne cherchez pas à étamer les extré- 2 x 10 nF céramique.
1 x 2,2 nF céramique.
mités sans avoir préalablement pris 1 x 22 nF céramique. 2 x 3,3 nF céramique.
soin de gratter avec le tranchant du 1 x 100 nF céramique.
3 x 10 nF céramique.
tournevis l'émail. Le cuivre doit ap- 2 x 150 nF céramique.
1 x 22 nF céramique.
condensateur variable 10 à
paraître nu et là seulement vous 1
140 pF.
1 x 100 nF céramique.
pourrez l'étamer.
TDA TOOO RTC
2 x 150 nF céramique.
Sans cette précaution vous ne (voi r circu it imp ri mé).
1 x BB 109 Varicap
L1
réaliserez qu'un collage et non une 1 transistor PNP 8C558.
L2 (voir texte).
soudure et votre récepteur ne fonc- 1 zener BZX 79/3 V
tionnerait pas. 2" version 1 TDA TOOO RTC.
On veillera également à la bonne
1 x 82 A @ris, rouge, noir). Lr et Lz (voir texte).
mise en place du transistor PNP, au
besoin on se reportera à la photo-
graphie de présentation.
Après les ultimes vérifications,
notamment au niveau des valeurs
des condensateurs céramiques, on
raccordera une antenne (un fil de
50 cm).
La sortie BF se reliera à un petit
amplificateur BF ou bien à un écou-
teur cristal ou piézo.
Dès la mise sous tension, un léger
souffle doit se faire entendre et la
manæuvre du potentiomètre devrait
vous faire tomber sur une station.
Si vous êtes déjà en possession
d'un récepteur FM, par comparai-
son, vous pourrez recentrer la
gamme en déplaçant le noyau ferrite
à I'aide d'un bâtonnet isolant.
I
N'61 ELECTRONIOUE PRATIOUE 97
A2\
§
Pour mettre un terme à l'appréhension quasi maladive des §\
-
utilisateurs du ZX 81 face aux coupures intempestives du
È
il
secteur ou encore pour vous permettre d'aller faire pren- §
I
I
dre l'air à votre ordinateur favori et I'autoriser à vous
accompagner en voiture et même à pied (sans perdre un
-i
{
r
octet du programme en mémoire !), nous vous invitons à
réaliser un système d'alimentation secouru bien adapté au
micro-ordinateur ZX 81 .
,l
È
\
i\
>
-
\ htegre
- zx ar o{/oFF
\a)
t
\
sinclair (22Ol9ÿ)
F,*
6 ELEMENTS Cd.Ni
OU 5 PILES 15V
*VON
^A
SECTEI,R 22O
TEXTE
o o o
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ZXAl POT{ER SUPPLY
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I a
m
N
o
o
-
=
o
o
z
i
i
{
>
Ce jeu reproduit, comme son nom l'indique, une partie de §
squash. L'amateur électronicien et sportif pourra ainsi pra-
tiquer ce jeu très à la mode en ce moment sans pour cbla È
transpirer sang et eau pour rattraper la balle.
Ce jeu électronique se distingue néanmoins du vrai jeu de \-
squash par le fait qu'il se pratique tout seul et non à deux
comme dans la réalité. On peut donc assimiler ce mon-
tage à un entraînement en vue d'une véritable partie.
algré cela, ce montage appor- La balle est symbolisée par I'illu- quelques secondes et un bruitage
tera à son réalisateur beau- mination d'une des 24 LED. Etant sonore, genre Bip-Bip, se fait enten-
coup de plaisir, tant par sa donné que les LED s'allument à tour dre.
présentation originale que par l'effet de rôle, celles-ci donnent l'illusion
sonore qu'il produit lorsqu'une balle Ce délaiécoulé, la partie redé-
du déplacement de la balle. Les
est manquée. marre toute seule. Quant au joueur,
deux côtés et le fond de l'écran sont
celui-ci est symbolisé par l'illumina-
en fait les trois murs sur lesquels la
Principe tion d'une des 4 LED plates. Son
balle va rebondir avant de revenir
déplacement est assuré par la rota-
L'écran sur lequel se déroule la vers le joueur, ce dernier devant se
tion d'un potentiomètre. Ce dernier,
partie est constitué par une matrice trouver sur la trajectoire de cette
sur notre maquette, a été remplacé
de 24 LED (4 x 6) et d'une rangée balle afin de pouvoir la renvoyer. par un potentiomètre à glissière
de 4 LED plates représentant le dé- Dans le cas contraire, la partie dont l'effet esthétique est quand
placement horizontal du joueur. s'arrête automatiquement pendant même bien meilleur.
N'61 ELECTBONIOUE PBATIOUE 103
tance de 47 kQ et un condensateur
Mylar de 100 nF. En effet, dès la
mise sous tension, on dispose d'un
niveau 1 à la borne RAZ des
CD4029, grâce à cette résistance et
à ce condensateur, et cela pendant
une durée de I'ordre du dixième de
seconde.
10 13 12 11
3 Grâce à la figure 5, on comprend
très bien qu'il n'y aura qu'une seule
1614
sortie de chaque décodeur qui sera
2
rc 14 au niveau 1, ceci aussi bien pour le
I15 balayage vertical qu'horizontal. Sur
1
la mairice de LED nous n'en aurons
donc qu'une seule d'allumée, et ce
6 sera celle qui sera à l'intersection
des niveaux 1 de chaque décodeur.
D'autre part, nous avons vu dans
le chapitre " principe de fonctionne-
ment " que la balle devait rebondir
sur les murs et devant le joueur.
Pour cela, nous allons nous servir
du fait que les circuits intégrés lC11
et lCtg peuvent compter mais aussi
décompter, suivant l'état de leur en-
trée 10.
La commande de ces entrées est
assurée par deux bascules Rs for-
mées par les portes NOR de lCro. Le
fonctionnement de ces bascules est
le suivant : lorsqu'une des extrémi-
610 U Ét tés des décodeurs est à l'état haut,
13 elle envoie un niveau 1 à l'entrée de
'12
la bascule correspondante. ll s'en-
'tl
suit un changement d'état à la sortie
de cette bascule, ce qui se traduit
par I'inversement de comptage du
compteur.
Ce chapitre étant traité, passons
maintenant à la partie concernant le
déplacement du joueur et la détec-
tion d'une balle manquée. La simu-
lation du joueur est assurée princi-
palement par le circuit intégré lC1
qui est un quadruple ampli OP
Analyse du schéma La matrice de LED est reliée à LM324, utilisé ici en comparateur.
électronique deux compteurs-décompteurs. L'un On ne reviendra pas sur le montage
assure le balayage vertical et l'autre de ces comparateurs qui reprend
Le schéma de principe est donné le balayage horizontal. celui qui a été décrit dans " Un Vu-
à la ligure 1. Ces compteurs-décompteurs sont mètre stéréo à LED " du no 57 nou-
Ce dernier'comporte deux parties constitués de deux circuits intégrés velle série d' Electronique Pratique.
distinctes l'une de l'autre, à savoir, chacun, à savoir un CD4029 qui est Si I'on n'utilisait que lC1, on aurait à
d'une part le déplacement de la le compteur up/down BCD propre- la sortie des comparateurs une
balle sur l'écran, et d'autre part ment dit, et un CD4028 quiest le rampe lumineuse, genre « bar-
celui du joueur avec toute une partie décodeur BCD -* décimal. Pour graph ". Aussi, nous allons devoir
consacrée à la détection d'une balle plus de précision, nous vous propo- convertir cette rampe lumineuse en
manquée et au bruitage sonore qui sons les tables d.e vérité de ces deux un point lumineux mobile, et ceci
s'ensuit. circuits à la ligure 5. grâce aux portes NAND de lC2 et
Commençons d'abord par le cir- Pour chacun des deux compteurs, AND de lCg et lCa.
cuit qui assure le déplacement de la une remise àzéro (RAZ) en début de Le tout enfin étant commandé par
balle. partie est assurée par une résis- le potentiomètre Pr.
N" 61 ELECTRONIOUE PRATIOUE 1O5
'i. , -l
r2 182l+
il
n
l*l ) rôrr I
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-{R27F. a^€
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8
Êrôi*at I *
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I
ü=
!l frfrm
e
L '''''"'i"
, ,i ,':ü
fifP, ,rr
l
La détection d'une balle manquée
est assurée quant à elle Par les
portes AND restantes de lOo et lCc,
de celles de lCs et des portes " OU
exclusives " de lCo et lC7.
Dès que I'on rate une balle, c'est-
à-dire lorsque le joueur ne se trouve
pas devant celle-ci quand elle est au
bas de l'écran, on constate un ni-
veau 1 à la sortie de la Porte " OU
exclusive " corlêsPondante à la co-
lonne où se trouve la balle.
IE,
Ce niveau 1 déclenche un monos-
table constitué de deux Portes NOR
de lCs, ce qui a Pour conséquence
d'une part de bloquer les deux
compteurs lCrr et lCrg, et d'autre
part de déclencher le générateur so-
nore construit autour des Portes
-
NAND de lCg.
I
imprimés
Pour la réalisation des modules I
i 1 o o o 1 1 1 1 o 0 o 0 1 0 o o o 0 o o o tails.
.l
o o 0 2 0 0 0 0 o 1 o o o 0 o o o
D'autre part, en ce qui concerne
1 1
1 0 0 1 1 3l 1 o o o o 0 1 o o o 0 o 0
le circuit lll. on prendra soin d'ente-
1
1 o 1 o o 1 al o o o o o o 1 o o 0 o o
1 o 1 o 1 1 5
,l
o o o o o o o I o o o o ver la bande de cuivre oar où passe
I o 1 1 o 1 6 o .l 1 o o o 0 o o
o o 0
1 o o o
o 0
l'anode des LED, et ceci afin d'éviter
o 1 1 1 1 7 't 1 1 0 o o o 1 tout court-circuit.
1 1 o o o o o o 1 o o o o o o o o 1 o
I 1 1 o o 1 o s 1 o o 1 o o o o o o o o o 1
t o 1 o o o 1 o
o o 'I 1 1 1 7 2' Montage, câblage
o 1 I o l€
Comme d'habitude. on commen-
cera par souder les nombreux
straps.
r-GlF On soudera ensuite les supports
tltlt des circuits intégrés en ayani soin
a1 de bien les orienter.
Après cela, on passera au mon-
tage des diodes, des résistances. et
pour finir des condensateurs.
L'implantation de ces compo-
sants. pour ies modules i et ll, vous
or"/a est proposée à la ligure 3" Par
.i--
,/ ,
contre. en ce qui concerne le mon-
tage de ia matrice de rED et du
I
tl *-/ -"/ ,/ circuit intégré lCrz. on se reportera à
atlS\rP
/\h
,/a la ligure 4. Pour cela, cn orendra
> 27 in bien soin d'orienter les LED correc-
â temeni et de bien les aligner
Les composanls élant tous
lrr
r- montés. on passe ensuite au raccor-
,r*y'-4
,.----
re/ ?-
\..,= -J
-t
cl
dement des différents modules
entre eux. Pour cela, on s'aidera de
la ligure 5, qui montre les directions
à prendre pour chacun des fils de
liaison qui partent des modules.
Pour plus de précision, on doit réu-
xr#=.
1'E é
\,.' nir les lettres entre elles. Par exem-
ple e I avec e ll. Le chiffre romain
,î après la lettre indique ie module sur
lequel se rend le fil.
.'...:::
On n'oubliera pas de souder " en
I'air " les deux diodes qui restent,
sur leur module respectif, ni la résis-
t +r/ tance Rs qui sera soudée sur le po-
tentiomètre lui-même.
En ce qui concerne Lzs, |,za, Lzt.
Lzeet Lzg, leur cathode est repérée
sur le module I par un petit point.
En dernier lieu, on raccorderâ
également les alimentations des
trois modules entre elles.
108 N" 61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
ï
f
rc--
, .'
ôc :-r
a -i
Rre, Rzo, Rzr, Rzz : 360 Q (orange.
bteu. marronl
Rzs, Rzt, Rzs, Rza' 1 l«i (marron.
I ., C 'L\--I
CCC C I
2a
notr. rouge)
ÇcÇoo+-
cc c'
Rzz 47 l<{l (jaune, viotet, orange)
,O
:@ |--_---.1--
c, c R26 470 l<dl (1aune. wolet. laune)
r
I
A1A2G
§.vs-bô]-e
A2
J
i
A1
U lrlrsollon
Epoisseun : 8.5
--
ÇL
N. 6r ELEcrBoNrouE PRATroue rr r
I
/i\
n
entendu, s'annule dès la fin de celle-
ci. ll en résulte une Puissance de
IV lil\
I
sortie faible. Par contre, si cette ré-
sistance est faible, la conduction se
produit dès le début de l'alternance,
et on obtient une puissance plus im-
F---l-::r---- portance. La ligure 5 illustre graphi-
quement ce Phénomène.
---T--
4. Le variateur intégré (fig. 4)
de0à70"C.
Photo 3. - Le montage à t'intérieur du coffret se résume à sa plus simple 5. Le montage
expression.
Le variateur, dont l'encombre-
ment est très faible (voir fig. 4)' peut
se loger dans n'imPorte quel Petit
boîtier. Cependant, la partie métalli-
que destinée à la fixation se trou-
vant sous tension (anode), il est in-
dispensabte de veiller à son
isolement électrique par rapport à
un boîtier métallique. llen est de
même pour un boîtier en matière
plastique pour lequel on utiliserait
une vis de fixation en métal... ll faut
donc penser à la sécurité d'utilisa-
tion. Pour le reste, aucun Problème
n'est à signaler ; les schémas ci-
joints suffisent amplement à réaliser
le montage qui ne comportera Pas
de circuit imPrimé...
La photo de notre maquette re-
présente un exemple de réalisation
possible, mais, bien entendu, beau-
coup d'autres possibilités existent
pour une utilisation optimale de cet
intéressant comPosant.
Robert KNOERR
112 ÀIO 61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
Même avec des composants courants, il est possible ar\
d'aboutir à des réalisations véritabrement spàctaculaires
et dont I'utilité pratique est indéniable. §
th
Ainsi, le présent montage mêmorise dans un premier §
temps un numéro de téléphone, suite à l,introduction È
d'une carte de format à peine supérieur à cerui d'un ticket
de métro, dans une fente de lecture. Cet enregistrement §
achevé, I'appareil assurera automatiquement ét fidèlement ==
la.composition du numéro en question en dispensant son
utilisateur de toute intervention sur le cadran'ou le clavier.
Sur cette carte imprimée principale, on distingue les circuits 4029 compteur. Remarquez également la
présence des nombreux straps de liaison qui ont permis d'éviter le circuit du type double face.
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Au premier plan, on aperçoit la section alimentation et la ll faut prévoir des liaisons pour le circuit imprimé supérieur
partie du lecteur optique. du lecteur optique.
question s'ouvre trois fois consécu- quence des sollicitations du contact pondre à la valeur de 1/3. Ainsi, lors
tivement. Bien entendu, ces coupu- " C , doit être de 10 Hz ; autrement d'un chiffrage, et pour une période,
res doivent répondre à certaines dit, une période correspond à 1/10 s le COntaCt .:, C » êSt :
normes, pour ce qui est de leur (100 ms). Mais au sein de cette pé- fermé pendant 100/3 ms.
durée et de leur fréquence. La fi- riode, le rapport cyclique de la
-
- ouvert pendant 200/3 ms.
gure 1 illustre ces principes de base. durée de I'ouverture sur celle de la
En particulier, on note que la fré- période complète doit également ré- De plus, pour séparer un chiffre
1 16 N'61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
- soit d'un indicatif départemental
d'un seul chiffre suivi d'un numéro
de sept chiffres.
-f-:\ül
Chi f trc branchement sur le poste téléphoni-
2 3 t 5 6 7 o I 0
composé que, il est naturellement nécessaire
de composer auparavant, dans ce
Nombrc
d. I cas particulier, le fameux 16 de
couPUres
2 3 1 5 6 7 a IO " "
façon manuelle et de n'introduire la
carte qu'après obtention de la tona-
lité caractéristique. Bien entendu, et
dans le cas le plus général, il est
r tout à rait possible de mémoriser
également un numéro à sept chiffres
du chiffre précédent, ilest néces- ou à six chiffres.
I saire de ménager un temps de fer-
meture du contact d'au moins
d'autres départements. En effet, de
tels appels nécessitent le chiffrage :
Aussitôt la totalité du numéro en-
- soit d'un indicatif départemental
t 800 ms.
Toutes ces caractéristiques doi-
de deux chiffres suivi d'un numéro
registrée, un second compteur
prend son départ êl1 « vi(6p1 ,, ar"-
de six chiffres ; cessivement les mémoires précé-
vent être rigoureusement respec-
tées sous peine d'introduire des er-
Éde reurs au niveau de la prise en
nisé compte de l'opération de chiffrage
par le central téléphonique dont dé-
hire pend le poste.
par
us
b) Principe de lonctionnement
b du lecteur-chiffreur
Le synoptique de la figure 2 indi-
que sommairement ce fonctionne-
ment. Une carte, dont nous verrons
le détail du codage au paragraphe
suivant se trouve introduite dans un
lecteur. Ce lecteur est essentielle-
ment composé d'une rangée de cinq
phototransistors disposés en face
Ç de cinq diodes infrarouges. De ce
fait, la lecture de la carte consiste à
v
§D^\"
c€7 )
déchiffrer cinq colonnes, les quatre
premières sont réservées au codage
des chiffres, alors que la dernière
ù, nous sert à indiquer au dispositif de mé-
de morisation, le nombre de chiffres à
xJleurs,
étude composer. Pendant I'opération d'in-
troduction de la carte, un compteur
ede assure la commande successive de
mémoires formées de huit comp-
teurs-décodeurs CD 4029, chacun
1 de ces circuits intégrés représentant
treprise
étude. donc un chiffre.
ll est donc possible d'enregistrer
ainsi jusqu'à huit chiffres, ce qui
permet justement de prévoir des
appels téléphoniques à destination
N. 61 ELECTRONIOUE PRATIOUE 11 9
ml
I
rigrde ou Ptestrque \
(/Myl,ar
\ -\-/ ou transtucide /
transoarent
8 chiflres
\\- 7 chrffrrs
6 chiflrcs
Codagc btnalrÊ
\r.r- OCBAN
c I A
0 0 u 0 0
0 0 0
z 0 0 I 0
3 0 0 1
l, 0 0 0
5 0 0 1
6 0 0
'1 0 1
I 0 0 0
I 0 0
Grandê pastitte
Petite pastiLLe
DURAND René
PHILIPPE Jacques
DUPoNT Paul (, ruq de la Forêt
( Cotonne N ) 2, rue Ces Près 3, rue du Lac
57OCO METZ 6?OOO STRÀSBOURG
/nér. cs zzo\ 2r000 DIJ0N
\vé""n0r." / 7308170 {88)3214 05
231805
r 112lc6
- --f
|
3o Prcmièrc lignc L.,.J
t
Æ
iY
/ pHrs /,\/le;;,, I /, Y
ear3 /r\/[ ,-
eatzl / putt
Æ
Æ
remise à zéro des comPteurs lCz et entrée " Horloge ". Notons égale-
lumière ne vient s'interposer entre ment, qu'en règle générale, et en
ces deux comPosants, le Phototran- lCe ainsi que le déverrouillage de
certaines portes. Notons par ailleurs particulier lors de la phase de comp-
sistor assure une conduction maxi- tage, I'entrée de validatiofl « V » êst
male. En conséquence un Potentiel que lors du retrait de la carte de
lecture, ce même Phénomène se soumise à un état bas, ce qui est
suffisant Pour établir un courant nécessaire au fonctionnement du
base-émetteur dans le transistor produit. Ainsi, il est possible de faire
cesser un chiffrage en cours à n'im- compteur. En effet, toute impulsion
amplif icateur correspondant' appa-. négative présentée sur I'entrée 6 de
raît à l'émetteur du phototransistor. porte quel moment Par le simPle re-
trait de la carte de lecture' la fiorte AND ll de lCz a Pour effet de
Ce transistor étant saturé, le niveau la déverrouiller et donc de présenter
de son collecteur est voisin de zéro : un état bas à sa sortie. Or, au mo-
c'est un niveau zéro logique. e) Comptagè du nombre de
chitlree comPorant !e numéro et ment de la mise sous tension ainsi
Par contre, si une Pastille noire et commande de la mémoriration qu'au moment de I'introduction de
opaque s'intercale entre la diode et (fig.6) la carte, on produit justement cette
le phototransistor, ce dernier se blo- impulsion négative.
que, de mème le transistor corres- Au fur et à mesure de I'introduc- L'avance du comPteur lCz a une
pondant ne conduit Plus, si bien que tion de la carte de lecture et du défi- autre conséquence : en effet, dès
le collecteur présente un état haut. lement des colonnes de Pastilles I'apparition du niveau logique 1 sur
En résumé :
perpendiculairement à la ligne de une sortie donnée, une brève imPul-
pastille provoque un lecture, le phototransistor placé en sion positive se trouve transmise par
- I'absence de regard de la colonne N Présente au- une capacité. Ainsi, lorsqu'un état
état bas aux collecteurs des transis- tant d'états hauts consécutifs que
tors amplificateurs ; haut apParaît sur la sortie Sl, une
cette colonne comporte de pastilles. impulsion de durée proportionnelle
- la présence d'une Pastille opaque Ces impulsions positives sont prises au produit :
provoque un état haut. en compte Par la Porte AND lV de
Ainsi lorsque l'on Présente la lC2 montée en Trigger de Schmitt' Rgr
2 -"''
c_
carte de lecture dans la fente prévue Ce montage confère aux signaux
du lecteur, nous avons vu au Para- disponibles à sa sortie des fronts se trouve disponible sur la cathode
graphe G du premier chapitre que montants et descendants bien verti- de la diode Ds. C'est la commande
les premières Pastilles " lues ' se caux et aptes à assurer le fonction- de la mémorisation de la Première
trouvent sur les colonnes C et D' ce nement du comPteur lC7 qui est un mémoire ainsi que nous le verrons
qui a pour conséquence I'apparition classique CD 4017 bien connu de au moment d'aborder le fonctionne-
d'un état bas à la sortie de la Porte nos lecteurs. RaPPelons qu'un tel ment des compteurs CD 4029.
NAND ll de lCr. llen résulte une compteur avance Par déPlacement
du niveau logique 1 sur ses sorties La raison d'être des diodes De à
impulsion négative comParable à
consécutives, au moment du front Drs consiste à protéger les entrées
celle déjà évoquée ci-dessus et qui
montant du signal Présenté sur son PRESET de ces comPteurs
"
assure, s'il en était encore besoin, la "
122 N'61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
-o
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L-- -J L:]
N. 61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
contre les tensions négatives qui se - le temps de pause entre deux comme nous le verrons ultérieure-
manifestent au moment de la dé- chiffrages successifs doit être au ment. Le niveau logique 1 ainsi pré-
charge des capacités Cz à Crl lors- moins de 0,8 seconde. sent sur la sortie de la Porte AND I
que l'état haut quitte la sortie cor- En nous plaçant dans le cas du
de lC5 est transmis sur I'entrée 13
respondante. Les oscillogrammes chiffrage duzéro, nous notons que de la porte lV par I'intermédiaire de
de la ligure 8-2 illustrent cette com- D26. L'autre entrée de cette même
cette période des chiffrages consé-
mande de la mémorisation. porte est soumise, en général, à un
cutifs devra être au moins égale à
(0,1 s x 10) + 0,81 = 1,8seconde. état haut. En effet, le lecteur véri-
fiera aisément qu'un état bas se
Par mesure de sécurité de fonc-
l)Blocage du complage
tionnement, nous adopterons donc
produit uniquement :
après la lecture (fig. 6) - si I'une des trois portes NAND, lll
2 à 2,5 secondes. Cette valeur est
fonction des résistances Ræ, Rlg, de et lV de lCs et lV de lCr Présente un
Ainsi que nous I'avons vu au mo- état bas à sa sortie,
ment de la description de la carte de la capacité Crs et surtout de la posi-
lecture, le signal de fin de lecture se tion du curseur de I'ajustable Ar. La - si le point B sequitrouve lui-même à
se Produit au
ligure 9 reprend le fonctionnement un état bas, ce
manifeste par la présence simulta-
du fameux. 555 " en y indiquant les moment de la mise sous tension ou
née d'une pastille sur les colonnes B
relations mathématiques servant au avant le début de la lecture opto-
et D. Cette position étant atteinte,
calcul de la période de base. En dé- électronique de la carte.
on enregistre un état haut à la sortie
de la porte AND I de lCz. L'entrée 6 finitive, et à la sortie de lC+ nous La première condition se réalisera
de la porte AND llétant en général disposons de créneaux destinés, seulement lorsque lC6 occuperâ unê
soumise à un état haut, un niveau comme nous le verrons par la suite, position identique à celle de lCz ; le
logique 1 se trouve disponible à la à l'avance du compteur-suiveur lCa lecteur aura donc déjà comPris à ce
sortie de cette seconde Porte. Cet et à la commande des débuts de niveau que ce signal sera celui de la
état haut subsiste même si la carte chiffrage. fin des opérations de chiffrages.
continue d'avancer encore un peu et Pour le moment, nous en sommes
que les pastilles des colonnes B et D h) Commande des débuts
à la commande du premier chif-
de chillrage (fig. 6)
dépassent la ligne de lecture, grâce frage, et lCs, précédemment mis à
à la diode de verrouillage Da. ll est Le paragraphe e a mis en évi- zéro, occupe la position S. Un état
en effet préférable pour des raisons dence que la fin de la lecture opto- haut se trouve donc disPonible à la
de sécurité de fonctionnement, de électronique de la carte se concréti- sortie de la porte AND lV de lCs. Cet
prévoir un peu plus loin la limite mé- sait par I'apparition d'un état haut à état haut subsiste grâce à la diode
canique d'introduction de la carte la sortie de la porte AND ll de lCz- de verrouillage Der, même si le ni-
de lecture. Cet état haut se trouve répercuté veau 1 de la sortie de la Porte AND I
En définitive, dès la fin des oPéra- sur la sortie de la porte AND lll à de lCs, qui dépend du.555 », v€flâit
tions de lecture et de mémorisation, condition que lCz occupe I'une des provisoirement à disparaître. Par la
on observe la présence d'un état positions Se, Sz ou 56. Autrement même occasion, I'entrée 6 de la
haut sur l'entrée " V " du compteur dit, il faut que le numéro " lu " com- porte AND ll, de lCs, montée en trig-
lCz, ce qui a Pour conséquence : porte bien 6,7 ou au plus 8 chiffres. ger de Schmitt, transmet les oscilla-
Un numéro incomplet ou au tions de lCa au compteur-suiveur
- de bloquer le compteur lCz
contraire comportant trop de chif- ]Co, eui avance en se positionnant
(même si on revenait légèrement en
fres n'est donc pas pris en compte. d'abord sur 51, S2... et ainsi de suite.
arrière avec la carte de lecture de
ll s'agit donc d'une sécurité supplé- En même temps, et par l'intermé-
façon à engager à nouveau quel-
ques pastilles de la colonne N) ; mentaire introduite dans le mon- diaire de la porte AND lll de lC5, on
tage. enregistre un état haut, en phase
- de démarrernous les opérations de
verrons le fonc- L'état haut ainsi disponible se avec celui disponible sur !a sortie du
chiffrage dont
" 555 , de commande
qui se traduit
tionnement dans les paragraPhes trouve ensuite acheminé sur I'en-
trée 1 d'une porte AND I de lCs. par de brèves impulsions positives
suivants. transmises par Czt, et observables
Pour qu'il soit transmis au niveau de
la sortie de cette porte, il faut que sur I'anode de D65 $ag.7l.
g) Base de temps de I'autre entrée se trouve soumise à Aussitôt que, suite à une impul-
la commande du nombre un état haut. Cette condition n'est sion positive transmise par le trig-
de chillres (lig. 6) remplie que si les entrées de la ger, lCs occupe une position identi-
porte inverseuse NAND lll de lOr que à celle de lcz, se Produit
ll s'agit de la fréquence à laquelle sont soumises à un état bas, ce qui !'apparition d'un état bas sur I'en-
devront se succéder les comPosi- revient à dire que le signal issu du lrée 12 de la porte AND lV de lCs,
tions des chiffres consécutifs for- 555 de lCr doit se trouver à un ni- qui se déverrouille, par la même oc-
mant un numéro. Dans les PrinciPes veau logique zéro. Ainsi parmi les casion, si bien que la sortie de cette
définis au début de cet article, nous conditions mises à la commande du porte passe à l'état bas. Notons tou-
avons vu que : début des chiffrages ligure une posi- tefois que cette dernière impulsion
tion cyclique donnée du multivibra- de commande se trouve quand
-pulsion
la période élémentaire d'une im-
teur, ce qui est très important même transmise au niveau de
était de 0,1 seconde,
124 N'61 ELECTRONIOUE PRATIOUE
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L: _l
É
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L:"i
VT
en mu[tivibrateur
a +æ uéptatJ
Diode infrarouge TIL 32 Photo - transistor TIL 78
s{\r
*J
BC 108,109
2N 2222
2 N 2905
-F--
f;;n I
Ccmpteur - décodeur décrmai
;2 ;i ->7
t8 S9
S5
H
:
SO 51
=0 :
S3 S5
=0
R
0 f : 0 0 0 0 0 o 0 I
S1
_r 0 0 0 0 0 0 0 0 0
50 2 J- 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0
3 _r 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0
T=0.7(RA+2RB)C
S2
L r 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0
d
S6
TA _RA+RB 5 _r 0 0 0 0 o 0 0 0 0 0
T RA + 2RB 57 6 _r 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
,|
S3 -r 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
I J 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0
i5 ]NTEGRE5 I _r
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[a*oæ
I II como(e"r-
_:---,i- déconote-r CL 0 c B ,9 gPNP
HL l)/ brna re
0 _r 0 0 0 0
NPN
1
_r 0 0 0 I
oÉcuEucreverut oÉcsnnoE 2 _r 0 0 0
4 portes NAND à 2 eniiecs
SORTI E SEUIL
3 J- 0 0 1 1
PRESET
t _r 0 1 0
Même brochage
RAZ nÉrÉnEN ce ct ,] que CD 4081
D 5
-r 0 1 0
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1
JAM D c
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CI JAMB 9 § 'l 0 0 1 0
B I _f 0 0 0 0
cg U/D
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4 portês NOR à 2 entrées
6 § 0 0 0
Mème brochage
B/D que CD4081
0 0 0 'I
1 0
-{-
0 _r 0 0 0 0 0 0
_r
=>-
9 0 1 0 0 1
évite bien des erreurs : isolant rouge Photo 2. - Les sortr'es se raccordent à un connecteur spécial
pour le « plus », noir pour le
« moins
". De même, il est avanta-
geux de graver, à l'aide de lettres
transfert, diverses indications utiles
sur la surface visible de l'époxy :
+ I V, - 9 V, les numérotations de Liste des composants
picots, etc.
Clavier 16 touches : Rz à Re : 100 Kl (marron, noir,
L'alimentation peut être une pile Rr à Rq : 10 Kl (marron, noir, jaune)
de 9 V ou encore fournie par le sec- orange) Rnà Rrc: 68 Kl (bteu, gris,
teur par l'intermédiaire d'un mon- Rs à Re : 6,8 ldl (bleu, gris, rouge) orange)
tage comportant un transformateur, Rg à Rp : 100 Kl (marron, noir, lC1 à lC3: 741
un pont redresseur, des capacités, jaune) lCe à lCo : CD 4081 (4 portes AND
un transistor ou un régulateur, stabi- Rrc à Rrc : 68 Kl (bleu, gris, à 2 entrées)
lisés par une zéner. La planche
219300 Mecanorma comporte un
orange) Connecteurs I broches
lCr à lQ: pA 741 14picots
circuit imprimé en transfert pour lCs à lOe : CD 4081 (4 portes AND Clavier souple 12 touches.
cette application. à 2 entrées)
Enfin, pour la réalisation de ces Connecteur I broches Clavier 4 touches :
décodeurs, il convient comme tou- 18 picots
jours de rester méthodique et or-
Rr à Bt : 100 Kl (marron, noir,
Clavier souple 16 touches. jaune)
donné. Ne passez pas au travail sui- Clavier 12 touches: lC1 : CD 4001 (4 partes NOR à
vant sans avoir vérifié le travail Rr à Rs : 10 Kl (marron, noir, 2 entrées)
précédent. Evitez toute précipitation
et vous aurezla satisfaction de voir
orange) Connecteur I broches
Ra à Ra : 6,8 Kl (bleu, gris, 6 picots
fonctionner vos montages du pre- rouEe) Clavier souple 4 touches.
mier coup...
Signalons pour terminer la possi-
bilité de décorer et d'identifier les
claviers à l'aide de films adhésifs
couleur Mecanorma et d'y appliquer
par transfert les lettres et les sym-
boles désirés.
Dans un prochain article, nous
publierons une application originale
d'un clavier souple qui intéressera
sans aucun doute un bon nombre
de lecteurs.
132 N" 61 ELECTfiONIQUE PRATIOUE
!r!!\ ull- llül
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e9e999 g ôI ôôôôôôô ô
910111213141516
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Les minuteries qui équipent fréquemment les couloirs et Isuffit pourtant de combiner un
escaliers présentent le grave inionvénient d'être action- télérupteur et une minuterie
nées pour.une durée constante. Ce système, peu-souple, pour obtenir l'effet recherché.
En temps normal, le fonctionnement
est contraire aux exigences en matièie d,écoàomie est celui d'un télérupteur. Mais, en
d'énergie. cas d'oubli, une minuterie remet le
La solution consisterait à placer un télérupteur. parfait, système au repos.
m?ig que se passe-t-il si on oublie d'étein'dre ? Lerésuitat Le montage que nous vous pro_
posons reste d'une simplicité éton_
rejoint le précédent. nante.
T1
o
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ll pourra donc être entrepris Par sue de ce temps, une impulsion est rieure à un montage à transistors.
tous, sachant qu'aucun appareil de transmise à un circuit qui effectuera Pourquoi donc s'en priver ? Le bou-
mesure n'est utile Pour la mise au la remise àzéro de la bascule et, par ton-poussoir attaque l'entrée 1 de la
point. Les composants ne vous cau- conséquent, l'extinction de la lampe. porte NAND d'lCr. Dès action sur ce
seront aucun souci quant à l'aPPro- En fait, cette minuterie n'agira que poussoir, un état bas (0) est présent
visionnement. dans le cas d'oubli d'extinction ma- en 1 de lCr
nuelle. En effet, le poussoir peut, à
Aussitôt un état haut (1) est pré-
I- Sehéma synoptiEue tout moment, être actionné et, par
l'intermédiaire du monostable, re- sent en 3. Cela permet de charger
Le bouton-poussoir qui com- C1 par 3 de lC1, Cr et Rz. Pendant le
mettre directement au repos la bas-
mande le télérupteur présente le cule, ce qui éteindra la lampe.
temps de cette charge (0,2 s envi-
grave inconvénient de donner Plu- ron), on trouve un état haut en 5 et
En résumé, le poussoir peut allu- 6, puis un état bas en 4 donc en 2.
sieurs impulsions dues aux rebonds.
mer ou éteindre la lampe, tandis que Ainsi, même si plusieurs impulsions
Si cela n'est pas important Pour un
la minuterie ne sert qu'à éteindre la sont produites par le poussoir, seule
modèle électrique, il nous est indis-
lampe. L'alimentation est, bien sûr, la première sera active. L'état bas
pensable de les supprimer ici. Ce
prise sur le secteur. Par contre, pour en 4 arrive en 12 et 13. La sortie 11
rôle est confié à un monostable qui
obtenir des durées bien constantes présentera un état haut. L'entrée
délivre un signal actif d'une durée (minuterie, monostable, etc.), il est
supérieure au rebond. Ainsi la pre- horloge de lCr est sensible aux
indispensable de réguler cette ten- flancs montants (de 0 à 1). Or, la
mière action est prise en compte.
sion. Ce rôle est confié à un circuit sortie 11 vient de lui donner ce
Ce signal attaque I'entrée horloge intégré bien spécifique qui régula- flanc.
d'une bascule. Celle-ci passe âu tra- rise la tension à 9 V.
vail. La sortie de ce circuit (C-MOS) La bascule lC2 change d'état. On
est cependant trop faible pour acti- peut remarquer un état haut sur la
ver directement le triac. On passera
ll - Schéma de princ§pe
sortie Q (1), ce qui a pour effet de
donc par un transistor, qui action- ll est représenté à la ligure 2. On polariser Tr via Rs. T1 devient
nëra la gâchette du triac : la lamPe peut remarquer que ce circuit est conducteur et alimente la gâchette
s'allume. pratiquement conÇu à l'aide de cur- par + 9 V, gâchette, Ro, Tr et masse.
Simultanément, un temPorisateur cuits intégrés. La reproductibilité Le triac devient passant et alimente
0 à 5 mm est mis en marche. A l'is- avec les circuits C-MOS est supé- la lampe (Ph, lampe, triac et neutre).
136 N'61 ELECTRONIOUE PRAÎIOUE
Simultanénrent, la sortie Q (2) qui
était à l'état haut et quiavait chargé
Ca passe à l'état bas : Ca, qui ne
peut plus se recharger, se décharge
lentement dans l'ensemble consti-
tué par Rs et Pr. Pendant,e ternps
de cette décharge,les entrées 8 et 9
sont toujours à l'état haut. De ce
fait,la sortie 10 reste à l'état bas ; la
barne RAZ est inactive.
C4 présente une tension suffisam-
ment îaible pour que les entrées 8 et
9la considèrent comme un état bas.
Aussitôt la sortie 10 passe à 1.
Les tableaux de vérité indiquent
bien que, si on présente un état haut
sur l'entrée R du 4013, celui-ci se
remet à zéro. C'est exactement ce
qui se produit aussitôt.
La bascule repasse donc à zéro, Photo 2. - Détait de montage des éléments de la carte imprimée.
ce qui fait présenter un état bas sur
la sortie Q. Tr se bloque et le triac
ne conduit plus. La lampe s'éteint
aussitôt.
Dès lors, la sortie Q repasse à 1.
- Cs évite des déclenchements in- Procéder ensuite au repérage des
tempestifs du monostable à la suite sorties, afin d'éviter toute erreur lors
Ca peLlt ainsi se recharger par Ds et
de parasites électriques sur la ligne du câblage. lmplantez les compo-
Ra. L'état 1 en 8 et I permet un état reliée au bouton-poussoir. sants selon la figure 4. Contrôlez
bas en 10 : la borne R repasse à 0 et bien le sens et la valeur de chaque
le 4013 est prêt à être de nouveau composant. N'hésitez pas à placer
sollicilé. les circuits C-MOS sur des supports
afin d'éviter tout dessoudage labo-
â
De la même manière, lorsque le
rieux. Fixez le triac et le régulateur à
4013 est au travail(sortie Q à 1), il lll - Le circuit imprimé l'aide de vis et écrous de 3 mm.
c
F
est possible d'agir sur le poussoir, F
ce qui donnera un flanc montant en ll est représenté à la figure 3. Le Veillez particulièrement à ne pas I
3 de lCa, le 4013 se remettra au tracé est assez aéré. ll est cepen- court-circuiter les broches conti- F
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sants, comme il se doit, inadvertance, le circuit in- porter gros, mais pour cela il faut les
séparait les éléments tégré lCr : CD 4001 se re- breveter. Demandez la notice 78
Sigma toujours no composants.
"Comment breveter ses inventions".
1 des
constitutifs du récepteur trouvait dans la liste du Contre 2 timbres à ROPA: B.P.4l, La nouvelle liste informatisée "ln{o-
et de l'émetteur. De nom- récepteur. 62101 Calais. Nouveautés à prix chocs" vient de
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Post-accé 3 kV l2 x 15[4Hz 5mVà l\.4H2. 10 mv/cm. Dé- 5 mV a 20 V. [,lontée
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2mV-35MHz la selecl o. d- nomb'e 0etraces Ve'-teroe (batteries ou bloc C2 S Synchro TV
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