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ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
DIRECTION GENERALE DES ETUDES
TECHNOLOGIQUES
Thème :
Installation photovoltaïque de recharge de
batterie de voiture électrique à travers une
station de recharge électrique fix
Classe : L2MT2
Groupe : 1
Introduction aux
installations
photovoltaïque
1. Principe de la conversion photovoltaïque :
L'énergie solaire photovoltaïque se base sur la conversion directe du rayonnement solaire en électricité
[l'effet photovoltaïque], grâce à des modules [ou panneaux] solaires photovoltaïques.
Ces modules rassemblent, dans un cadre métallique, plusieurs cellules photovoltaïques reliées entre elles
afin d'additionner leurs puissances de production d'énergie électrique.
Cette énergie produite par l'effet photovoltaïque résulte de la conversion directe -dans un
semi-conducteur- d'un photon en électron. Le module photovoltaïque convertit donc sur place
et très simplement l'énergie solaire qu'il reçoit en courant électrique continu.
L’installation autonome doit fournir de l’électricité de jour comme de nuit, en hiver comme en
été car seul le solaire alimente l’habitation en électricité. On comprend donc pourquoi ce
système n’est utilisé que dans les lieux isolés.
Le principe de l’installation autonome consiste à charger des batteries qui pourront stocker le
surplus de la production électrique pour pouvoir le réutiliser. Le courant est contrôlé par un
régulateur solaire qui gère la répartition de l’énergie. On peut rajouter un onduleur au système
afin d’alimenter des appareils électriques demandant plus de puissance. Par exemple un
ordinateur.
Les habitations équipées d’une installation reliée au réseau sont munies bien entendu de
panneaux solaires. Un onduleur va permettre de transformer le courant continu en courant
alternatif qui pourra être utilisé directement où être réinjecté dans le réseau si l’électricité
n’est pas consommée.
En cas de coupure du réseau, on peut rajouter une batterie au système, qui peuvent éviter de
nombreux inconvénients.
3. Composition d’une installation photovoltaïque raccordé :
Recharger une voiture électrique coûte moins cher que faire le plein d’essence. Toutefois, ce
geste représente un budget qui finit par être considérable à moyen et long terme. Dans ce
contexte, beaucoup d’automobilistes réfléchissent à un moyen de réduire les coûts tout en
faisant un acte pour préserver l’environnement. Une des solutions qui en ressort consiste à
coupler la borne de recharge avec une installation photovoltaïque. Cette démarche est
intéressante grâce à l’autoconsommation. Le surplus d’énergie produit est stocké puis
consommé ultérieurement, mais peut également être revendu. Pour que le système fonctionne,
des panneaux solaires ainsi qu’une borne de recharge raccordée à l’installation électrique font
partie des principaux équipements indispensables.
La priorité sera de dimensionner correctement l’installation et de choisir le nombre adéquat de
panneaux photovoltaïques. Ce paramètre dépend de plusieurs facteurs tels que la batterie de la
voiture, la puissance de la borne de recharge ainsi que le budget à allouer au projet.
L’exposition et la surface du toit, le nombre d’appareils domestiques dans la maison et le
nombre d’occupants du logement entrent aussi en ligne de compte.
En moyenne, une installation de 3 kWc (kilowatt-crête) est conseillée pour recharger une
voiture électrique standard. Cela est suffisant pour gagner une semaine d’autonomie soit 155
km. Rappelons qu’un Français parcourt quotidiennement 25 à 30 km. Au total, 8 à 10
panneaux photovoltaïques sont à prévoir pour obtenir l’énergie nécessaire à cette autonomie.
Le stockage de l’énergie est aussi une question à ne pas négliger. Le surplus d’électricité doit
être conservé soit dans une batterie soit via un système de stockage virtuel. La batterie
représente une solution courante, mais elle a pour inconvénient de coûter cher et de ne pas
être pratique à utiliser. C’est pourquoi de plus en plus d’utilisateurs préfèrent se tourner vers
le stockage virtuel. Son principe consiste à confier le surplus d’énergie produit à un compte
virtuel à la manière d’un compte bancaire. L’électricité peut être utilisée à tout moment par
son propriétaire qui tire profit de ce système en n’ayant aucun investissement de départ à
réaliser.
Installer des panneaux photovoltaïques pour recharger une voiture électrique est intéressant du
point de vue financier. En moyenne, une voiture électrique consomme 15 kWh / 100 km.
Chaque jour, elle parcourt une distance de 25 à 30 km et dépense donc au quotidien entre 4 à
5 kWh d’énergie, ce qui fait un total annuel de 1500 kWh. Or, une installation à énergie
solaire permet de disposer chaque année d’une quantité de 3600 kWh. L’opération est
largement rentable, surtout si l’utilisateur choisit un système de stockage virtuel qui est moins
cher. Il peut ainsi utiliser l’énergie disponible pour alimenter les appareils de la maison durant
toute l’année.
Par ailleurs, avec le Plan Solaire 2021, des avantages fiscaux sont offerts aux automobilistes
qui prévoient de mettre en œuvre une installation solaire domestique. Ils ont droit à des
baisses de prix sur l’installation et des primes à l’autoconsommation et peuvent revendre
l’énergie dont ils n’ont pas besoin.
Comme l’électromobiliste n’est plus obligé de passer par le réseau électrique standard, il fait
d’importantes économies sur sa facture énergétique.
Avoir des installations photovoltaïques est aussi un acte écocitoyen. Cette ressource naturelle
remplace l’utilisation des énergies fossiles qui commencent à se tarir et s’inscrit comme une
solution imparable à la préservation de l’environnement. L’utilisateur profite en même temps
d’une énergie gratuite et écologique.
Recharger avec une installation solaire implique l’utilisation d’un outil intelligent pour le
monitoring de la production des panneaux photovoltaïques. La borne de recharge doit être
couplée à un gestionnaire intelligent en charge de superviser l’installation. Via une interface
web, l’utilisateur peut suivre la production électrique et visualiser l’impact des facteurs
externes dans le bon fonctionnement des panneaux solaires. Ces outils de supervision
proposent plusieurs fonctionnalités comme la détection des pannes, le suivi de la rentabilité et
de la performance de l’installation, une assistance à distance, etc. Les informations transmises
permettent à l’utilisateur de déterminer les moments les plus propices de la journée pour
recharger son auto.
Si mettre en œuvre un projet d’installation solaire semble contraignant pour
l’électromobiliste, mais qu’il souhaite malgré tout recourir à une ressource propre et naturelle,
l’alternative est de choisir un fournisseur d’électricité verte. Ces opérateurs utilisent l’énergie
hydraulique, solaire, éolienne ou issue de la biomasse pour faire fonctionner le réseau.
La recharge de sa voiture électrique avec des panneaux solaires suppose l’installation d’une
infrastructure de recharge spécifique à l’usage de l’énergie solaire.
D’abord, pour collecter cette énergie, il vous faudra vous munir d’une installation
photovoltaïque, composée de panneaux solaires, et d’une borne de recharge raccordée à votre
installation électrique. Cette dernière vous permettra ensuite de recharger votre voiture
électrique au moyen de l’énergie solaire produite par vous ou de l’électricité produite par le
réseau. Dès lors que votre autoconsommation en énergie solaire est importante, l’électricité
injectée dans votre voiture électrique sera d’autant plus verte.
Par ailleurs, des solutions naissantes portent sur des bornes de recharge parfois appelées
“bornes de recharge solaires” ou encore “bornes de recharge photovoltaïques”. On peut penser
à la borne de recharge développée par la startup française Smart Green Charge, ou encore
celle du constructeur anglais Zappi.
Alors que la première est en cours de développement et prévoit l’utilisation combinée des
énergies renouvelables, solaire et éolienne, la borne Zappi a déjà prouvé son efficacité. Cette
solution innovante vous permettra de recharger intelligemment votre voiture électrique. Le
système développé est dit “intelligent”. En fonction du mode de recharge choisi, FAST, ECO,
ou ECO+, vous pouvez piloter la recharge de votre véhicule électrique. Il vous sera ainsi
possible de choisir la puissance et les heures de recharge, ainsi que de décider qui du réseau
électrique ou de votre installation solaire fournira l’électricité. A la différence d’une borne de
recharge classique, vous pouvez donc choisir de ne recharger qu’avec l’énergie solaire
produite.
Pour déterminer le plus précisément possible le bon nombre de panneaux solaires à installer
Ainsi pour calculer la surface optimale de panneaux solaires pour recharger votre voiture
électrique, un des calculs possibles consiste à diviser votre consommation énergétique ou la
puissance totale souhaitée par le facteur d’ensoleillement de votre région.
Puis, il vous faudra à la fois estimer votre besoin kilométrique quotidien, et sa correspondance
en nombre de kWh consommés par votre voiture. Cela vous permettra alors de déterminer de
la manière la plus précise possible le calcul du dimensionnement de votre installation solaire.
Si on estime qu’en moyenne, un français parcourt 31 km par jour en voiture, cela représente
environ 155 km sur une semaine. Pour une Renault Zoé, cela correspond à une consommation
de 20 kWh. Au premier trimestre 2021 en France, 1 kWc a permis de produire entre 0,5 kWh
et 7 kWh par jour suivant la région observée. Ainsi, 20 kWh pourront être produits en une
journée d’été avec une installation solaire de 3 kWc. Donc durant cette journée, vous
produirez assez pour faire vos trajets de la semaine.
En définitive, la recharge des véhicules électriques grâce aux panneaux solaires semble être
une alternative opportune et innovante à la recharge classique.
A. Le raccordement électrique :
a. Déséquilibre :
Dans la plupart des régions, les gestionnaires de réseau autorisent le raccordement jusqu'à 5
kilowatts de puissance onduleur sur une phase. Si l'onduleur injecte simultanément sur les 3
phases, il n’y a pas de déséquilibre.
b. Connexion principale :
L'onduleur est placé sur un groupe séparé. On considère la taille de la machine et on choisit
un onduleur qui délivre un courant inférieur en plein soleil.
c. Type de réseau :
Il existe différents types de réseau, tels que TN, TT, Delta-IT, etc. Les onduleurs Sunny Boy
peuvent être utilisés universellement. Veuillez vérifier le type de réseau du client en utilisant
le tableau de compatibilité.
B. Type de panneau :
Plusieurs types de panneaux différents existent sur marché, dont la grande majorité sont
toujours des panneaux cristallins. La plupart des panneaux peuvent être utilisés avec tous les
types d'onduleurs. Un nombre limité des panneaux exigent une utilisation exclusive en
combinaison avec un onduleur dans lequel se trouve un transformateur. Consultez le manuel
du fabricant du panneau à ce sujet. Le Sunny Design Web vérifiera ce point pour vous et vous
en informera.
La capacité de vos panneaux est exprimée en watts crête. Cela ne signifie pas que les
panneaux produiront vraiment cette capacité. Au Benelux, par exemple, cela n'arrive que
rarement. C'est pourquoi, au Benelux, nous choisissons généralement un onduleur de
puissance inférieure à la puissance crête des panneaux. Il y a donc une plus grande puissance
des panneaux raccordés par rapport à la puissance de sortie de l'onduleur
(surdimensionnement). Un onduleur qui est peu chargé est souvent moins efficace qu'un
onduleur qui travaille à une plus grande capacité. C'est pourquoi un surdimensionnement des
panneaux donne in fine un rendement supérieur.
D. Sous-dimensionnement ou surdimensionnement :
a) Sous-dimensionnement des panneaux :
Lorsque les panneaux sont sous-dimensionnés (puissance onduleur supérieure à celle du
panneau), l’onduleur fonctionne parfaitement, techniquement, s’il peut atteindre sa tension de
démarrage. L'usage est limité de cette manière lorsque seuls quelques panneaux peuvent être
installés chez le client.
La sélection de la bonne taille est également importante dans le cas d'installations PV plus
grande. L'impact peut être fort sur les coûts d'investissement et donc sur le coût global de
votre projet.
Le calcul du logiciel gratuit Sunny Design (web) est optimisé afin de convertir autant que
possible l'énergie solaire. Le résultat du calcul se définit par un « facteur d'efficacité
énergétique ». Le calcul automatique considère la valeur minimale de 99,8 %. Pour les
installations commerciales, le dimensionnement tient souvent compte d'un facteur d'efficacité
énergétique de 99,0 %. De cette façon plus d'un panneau peut être installé par onduleur. Au
total, vous devez investir dans moins de panneaux et installer moins d'onduleurs. Le coût
global d'investissement décroît également du côté AC.
Un autre aspect qui joue lors d'installations plus importantes est la puissance du raccordement
général. L'on désire fréquemment raccorder un maximum de panneaux solaires sur ce
raccordement général, et nous proposons plusieurs solutions à cet effet :
Puissance d'onduleur exactement définie : la somme des puissances de tous les onduleurs
est inférieure ou égale à la puissance du raccordement général. Un maximum de panneaux est
admis sur ces onduleurs.
Limitation statique : la somme des puissances de tous les onduleurs est légèrement plus
élevée que la puissance du raccordement général. La puissance de sortie d'1 ou de plusieurs
onduleurs est réglée par logiciel à une valeur inférieure afin de pouvoir réinjecter un
maximum dans le réseau.
Limitation dynamique : la valeur de puissance réinjectée dans le réseau public est mesurée
en continu au niveau du raccordement général. Si la consommation d'électricité dans le
bâtiment est trop faible, le risque existe que la réinjection soit trop importante. Dans ce cas la
puissance de sortie des onduleurs est réduite. La taille de l'installation PV est calculée sur la
base de la consommation d'électricité.
Le cas échéant, vous pouvez également définir un profil de consommation à l'aide du logiciel
et déterminer si une batterie ou un Sunny Home Manager 2.0 peut s'avérer utile.
Chapitre3:
maintenance
d’installation
photovoltaïque
Procédure de la
maintenance
préventive des
installations
photovoltaïque :
La maintenance préventive des installations photovoltaïque s’agit du contrôle technique
pendant des dures bien déterminé et régulière, qui est fait pour assure la bonne fonctionnent et
état des différents composants et augmenter la dure de vie de l’installation photovoltaïque.
1) Périodicité :
La fréquence des opérations de maintenance préventive est annuelle voire pluriannuelle pour
les parcs photovoltaïques de grande puissance, tandis qu'elles ne sont réalisées qu'une fois
tous les 1 à 10 ans pour les petits systèmes en toiture.
• Installations inférieures à 36 kWc : tous les 2 ans
• Installations entre 36 kWc et 1 MWc : tous les ans
• Installations supérieures à 1 MWc : tous les 6 mois
2) L’élément a contrôler dans un système photovoltaïque :
Module :
Un module photovoltaïque est un générateur électrique qui transforme l'énergie issue des
photons de la lumière en électricité.
Quel entretien pour les panneaux photovoltaïques ?
Il suffit d'utiliser une eau à température ambiante et d'une brosse souple montée sur un
manche télescopique. Il faut évidemment ne pas marcher sur les panneaux solaires afin
d'éviter de les casser. Un passage au jet doux peut aussi faire l'affaire.
Onduleurs :
Les coffrets courant continus sont les points d'entrée des câbles venant des modules
photovoltaïques. Ces coffrets contiennent principalement les mises en parallèle des chaînes de
modules et les protections électriques en courant continu.
Toitures :
Grâce à une toiture photovoltaïque, on récupère l'énergie solaire pour la transformer en
courant électrique. Si la source d'énergie ne coûte rien, le prix de l'installation elle-même
représente un investissement lourd mais de nombreuses aides financières diminuent la facture
finale et le surplus d'électricité peut se revendre.
La Fluke 393 FC fournit un avertissement de polarité audio lorsque vous testez la tension du
circuit ouvert. Si vous constatez que la polarité est inversée, cela peut signifier que d’autres
circuits du boîtier de jonction sont connectés par inadvertance en série, ce qui entraîne des
tensions supérieures à la tension d’entrée maximale du variateur.
Toute saleté ou ombre sur les modules eux-mêmes peut entraîner une réduction de la sortie.
Bien que les modules soient généralement conçus pour ne pas nécessiter de maintenance
pendant des années, ils peuvent devoir être nettoyés. Le pollen et la poussière peuvent être un
problème important dans certaines régions du pays.
Le système photovoltaïque est utilisé pour faire fonctionner les charges électriques du
bâtiment. Tout problème avec les charges affectera également le système. La première étape
consiste à vérifier les interrupteurs de charge, les fusibles et les disjoncteurs avec la Fluke 393
FC pour voir si la tension correcte est présente au niveau du raccordement de la charge.
Ensuite, utilisez la pince 393 FC pour vérifier les fusibles et les disjoncteurs. Si vous trouvez
des fusibles grillés ou des disjoncteurs déclenchés, localisez la cause et corrigez ou remplacez
le composant défectueux. Si la charge est un moteur, un disjoncteur thermique interne peut
être déclenché ou il peut y avoir un enroulement ouvert dans le moteur. À des fins de test,
branchez une autre charge et vérifiez si elle fonctionne correctement.
Comme pour tout système électrique, vérifiez que les fils ne sont pas cassés et que les
raccordements ne sont pas desserrés. Nettoyez tous les raccordements sales et remplacez tous
les câbles défectueux. Une fois l’alimentation coupée, vérifiez et réparez les défauts de terre.
Si des fusibles ou des disjoncteurs sautent ou se déclenchent à nouveau, c’est qu’il y a un
court-circuit que vous devez localiser et réparer.
Si la charge ne fonctionne toujours pas correctement, utilisez la Fluke 393 FC pour vérifier la
tension du système au niveau du raccordement de la charge. La taille du fil peut être trop
petite et doit être augmentée. Il est également possible que les fils qui circulent vers les
charges soient trop longs. Cela s’affichera comme une basse tension à la charge. Dans ce cas,
vous pouvez réduire la charge sur le circuit ou faire passer un fil plus gros.
Vous travaillez probablement avec des variateurs de vitesse tous les jours, vous êtes donc
habitué à vérifier l’alimentation AC et DC. Le variateur d’un système photovoltaïque peut
également tomber en panne et causer des problèmes. Le variateur convertit le courant continu
du système photovoltaïque en courant alternatif pour une utilisation dans le bâtiment.
Si le variateur ne produit pas la bonne sortie, procédez d’abord à une vérification et
enregistrez la tension d’entrée DC et le niveau de courant de fonctionnement du variateur. Sur
le côté AC, utilisez la Fluke 393 FC pour vérifier la tension de sortie et les niveaux de courant
du variateur. Un grand nombre de ces systèmes ont un affichage qui indique les performances
actuelles du variateur et du système. Comme la pince 393 FC effectue un relevé TRMS, vous
pouvez utiliser la tension et le courant pour mesurer et enregistrer la sortie en kilowatts (kW).
Si possible, utilisez l’écran du variateur pour afficher le total actuel des kilowattheures (kWh).
Vous pouvez ensuite noter cette valeur et la comparer à celle enregistrée lors de la dernière
inspection. Sur le côté DC, vous pouvez utiliser la pince 393 FC pour vérifier l’alimentation
DC et enregistrer le relevé dans l’application Fluke Connect™ de votre téléphone.
Un fusible grillé
Un disjoncteur déclenché
Des fils cassés
Utilisez la pince 393 FC pour mesurer le côté AC de sortie du variateur ; la charge sur le
variateur peut avoir une demande de courant trop élevée. Avec l’affichage double indiquant la
tension et la fréquence alternatives, vous pouvez déterminer si la sortie AC du variateur
fonctionne correctement.
Le variateur peut être relié à l’utilitaire local. La sortie de courant alternatif du variateur
fluctue avec le niveau d’apport solaire sur l’installation. Le variateur maintient la tension de
sortie et la phase correctes vers le réseau. Tout problème de tension de l’installation peut
entraîner l’arrêt du variateur. Dans ce cas, contactez le fournisseur pour les réparations.
Lors du dépannage des boîtiers de jonction, les mesures et les calculs d’ampérage sont
essentiels pour déterminer si les panneaux photovoltaïques fonctionnent correctement. La
mesure du courant sur des panneaux individuels ou la combinaison des mesures de courant
vous aideront à déterminer si une cellule a mal fonctionné.
La conception de mâchoire plus fine de la pince multimètre Fluke 393 FC vous permet
d’avoir plusieurs conducteurs dans la mâchoire pour les mesures de courant combinées, même
dans des espaces étroits ou encombrés tels que les boîtiers de variateur ou de jonction.