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Congrès international sous le thème 

:
’De l’eau pour le développement durable dans le bassin méditerranéen ’’
21-22-23 Mai 2005 à Alger

CONFRONTATION DES NORMES ALGÉRIENNES DES EAUX


POTABLES AUX DIRECTIVES DE L’ORGANISATION MONDIALE
DE LA SANTÉ (OMS)
CONFRONTATION OF THE ALGERIAN STANDARDS OF
DRINKING WATERS TO THE DIRECTIVES OF THE WORLD
HEALTH ORGANIZATION (WHO)
Professeur S. TALEB*
*Laboratoire de Chimie Analytique Appliquée-Faculté des Sciences-Université D. LIABES- Sidi Bel-Abbès
(Algérie)
E.mail : safiatal@yahoo.fr /safiataleb@univ-sba.dz
Résumé 
L'eau potable de bonne qualité est essentielle à la santé.. A cet effet, il est
indispensable d'avoir une eau saine, car l'eau contaminée par des produits chimiques ou des
micro-organismes peut nuire à la santé. Cette eau doit répondre à des normes pré- établies
qui fixent les concentrations « seuil » à ne pas dépasser pour un certain nombre de
substances dangereuses et pouvant y être présentes. L'Organisation mondiale de la Santé
(OMS) publie, régulièrement, des Directives de qualité pour l'eau de boisson dont de
nombreux pays s'inspirent pour élaborer leurs propres normes nationales. Ces Directives
représentent une appréciation scientifique des risques sanitaires associés aux substances
biologiques et chimiques de l'eau de boisson et de l'efficacité des mesures déployées pour y
remédier. L'OMS recommande aux autorités nationales de prendre en considération les
aspects sociaux, économiques et environnementaux en procédant à une évaluation
comparative des risques et des avantages lorsqu'ils adaptent ces Directives aux normes
nationales. Qu’en est-il alors pour l’Algérie ?
L’objectif de cette étude est de réaliser une revue critique des Normes Algériennes de
potabilité des eaux de consommation humaine par rapport aux directives internationales.
Sont-elles conformes aux recommandations éditées par l’OMS ?
Summary
The good quality of drinking water is essential to health. To this end, it is essential to
have a healthy water, because the water contaminated by chemical products or micro-
organisms can harm health. This water must meet established pre standards which fix the
concentrations " threshold " not to exceed for a some number of dangerous substances and
being able there to be present. The World Health Organization (WHO) publishes,
regularly, the Directives of quality for the drinking water which many countries take as a
starting point to work out their own national standards. These Directives represent a
scientific appreciation of the medical risks associated to the biological and chemical
substances of the drinking water of and effectiveness of measurements deployed to cure it
WHO recommends to the national authorities to take into account the social, economic and
environmental aspects while proceeding to a comparative evaluation of the risks and
advantages when they adapt these Directives to the national standards. What happen does
then for Algeria?
The objective of this study is to carry out an assessment of the Algerian Standards of
potability of water of human consumption compared to the directives. Are they, in
conformity with the published recommendations by WHO ?

Mots clés : eau potable, norme algérienne de potabilité, paramètres de qualité, risque sanitaire.

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Congrès international sous le thème :
’De l’eau pour le développement durable dans le bassin méditerranéen ’’
21-22-23 Mai 2005 à Alger

1-Introduction :

L'eau de boisson, de bonne qualité, est essentielle à la santé. S’assurer de sa


potabilité représente un défi pour le monde entier. L’ organisme humain a besoin
d'environ deux litres et demi d'eau par jour. L'eau sert à véhiculer les éléments nutritifs tout
en aidant à l'élimination des déchets et à maintenir le fragile équilibre électrolytique à
l'intérieur des cellules (Giddings, 1997). A cet effet, il est indispensable d'avoir une eau
saine, car l'eau contaminée par des produits chimiques ou des micro-organismes peut nuire
à la santé. On ne détecte souvent la contamination de l’eau de boisson qu’après une crise
sanitaire : déclaration de maladies à transmission hydrique pouvant entraîner la mort . Pour
cela, l’ eau doit répondre à des normes pré- établies qui fixent les concentrations « seuil »
à ne pas dépasser pour un certain nombre de substances dangereuses et pouvant y être
présentes. Cependant, bien qu’une eau potable soit conforme aux normes, cela ne signifie
pas pour autant qu’elle soit indemne de ces substances, mais que leur teneur est assez faible
pour ne pas mettre en danger la santé du consommateur (Berger,2004).
La norme est représentée par une valeur chiffrée , qui fixe une limite supérieure à ne pas
dépasser pour une substance donnée , ou une limite inférieure à respecter , exemple :
[NO3-]= 50mg/l ou encore une fourchette comprise entre un minimum et un maximum
(OMS,2000).
A l’heure actuelle, l’OMS publie de nouvelles recommandations qui aideront à prévenir la
contamination de l’eau de boisson. « Il s’agit d’un changement d’orientation extrêmement
important du point de vue de la santé publique. Ces directives révisées permettront aux
gestionnaires de la santé publique de s'attacher davantage à la prévention de la
contamination microbienne et chimique des ressources en eau » a déclaré le Dr Kerstin
Leitner : Sous Directeur général de l’OMS pour le développement durable. L'Organisation
mondiale de la Santé (OMS) publie, régulièrement , des Directives de qualité pour l'eau de
boisson , (OMS*, 2004), dont de nombreux pays s'inspirent pour élaborer leurs propres
normes nationales. Ces Directives représentent une appréciation scientifique des risques
sanitaires associés aux substances biologiques et chimiques de l'eau de boisson et de
l'efficacité des mesures déployées pour y remédier .L'OMS recommande aux autorités
nationales de prendre en considération les aspects sociaux, économiques et
environnementaux en procédant à une évaluation comparative des risques et des avantages
lorsqu'ils adaptent ces Directives aux Normes nationales. Qu’en est-il alors pour l’Algérie ?
L’objectif de cette étude est de réaliser une revue critique des Normes Algériennes de
potabilité des eaux de consommation qu’elles proviennent d’adduction publique, de source
ou embouteillées par rapport aux directives. Sont-elles conformes aux recommandations
éditées par l’OMS ?

2-Matériels et méthodes :

2a-Matériels :

L’analyse est effectuée à partir de textes réglementaires tels que la publication de


normes algériennes de potabilité des eaux de consommation, normes homologuées ( NA
6360), arrêté ministériel concernant les eaux de boisson pré-emballées, eaux minérales et
eaux de source ( journal officiel n°51 du 20août 2000).

2b- Méthode :

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Analyse statistique par logiciel Excell.

3-Résultats :

La réglementation algérienne en matière de qualité des eaux de consommation


n’est pas encore publiée dans le journal officiel. Ce sont des normes homologuées ( NA
6360), appliquées depuis une année. Les paramètres de qualité de l'eau y sont classés en
deux groupes :
 facteurs physico-chimiques ,
 facteurs indésirables et toxiques.
Pour les paramètres physico-chimiques : 17 paramètres y figurent . 7 paramètres (41%)
sont publiées avec leurs normes correspondantes en forme de niveau guide (NG)et 15
paramètres (88%) le sont à l’aide de la concentration maximale admissible (CMA) : qui
sont donc des critères de qualité à respecter. 6 paramètres (35%) possèdent à la fois la
valeur guide et la concentration maximale admissible.
Pour ce qui concerne les paramètres indésirables et toxiques : ils sont au nombre de 21 . 2
paramètres ( 9.5%) possèdent une valeur guide tandis que l’ensemble des paramètres
(100%) sont accompagnées de leur concentration maximale admissible. Enfin, seuls deux
paramètres possèdent à la fois la valeur guide et la concentration maximale admissible.
Deux types d’eau embouteillée existent officiellement : eau de source et eau minérale. La
qualité de l’eau de source est représentée par trois séries de paramètres : paramètres
organoleptiques au nombre de quatre (4) . Des paramètres physico-chimiques liés à la
structure naturelle de l’eau au nombre de 12 et des paramètres de substances chimiques
indésirables : 5.L’ensemble de ces paramètres possèdent une seule norme : CMA.
Par ailleurs, la qualité de l’eau minérale est caractérisée par deux ensembles de substances
chimiques : la première série est relative à la structure hydro-géologique : 16 substances
sont publiées avec des normes à ne pas dépasser. L’autre série de composants chimiques
sont des polluants , au nombre de 5 dont la présence est prohibée.

4-Discussion et conclusions :

4a-Discussion :

Selon les directives de qualité pour l'eau de boisson de l’Organisation Mondiale de la


Santé (OMS**, 2004), la qualité de l’eau est caractérisée par trois principales catégories de
substances chimiques : des substances chimiques qui sont exclues car leur présence est
improbable dans l’eau de boisson : elles sont au nombre de 25. Des substances chimiques
dont les normes n’ont pas été établies ou publiées : 52, dont l’étude médicale ( toxicologie,
risque sur la santé) n’a pas donné de résultats probants. Ce sont des paramètres n’ayant
plus de caractère impératif, mais que leur non conformité pourrait être le signe d’un
dysfonctionnement.
Enfin, des composants chimiques dont la présence requiert une importance
sanitaire : ils sont au nombre de 94 accompagnées de leur valeur guide (VG).
Eaux d’adduction publique :
Parmi les paramètres physico-chimiques  mentionnés dans le texte des normes algériennes
de potabilité des eaux de consommation, normes homologuées ( NA 6360), y figurent le
pH, l’aluminium ( Al), l’ammoniac (NH3) et la dureté totale (Ca +Mg) qui sont des
paramètres dont l’OMS ne donne pas de valeur guide. Cependant, l’OMS précise les
raisons pour lesquelles , elle ne publie pas les normes. Les raisons sont les suivantes :

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Le paramètre physique : pH : bien que pH n'ait habituellement aucun impact direct sur des
consommateurs, il est un des plus importante paramètres opérationnels de qualité de l'eau.
Une attention particulière à la mesure du pH est nécessaire car il a une influence sur la
corrosion qui peut contaminer d'eau potable et comme conséquence défavorable : effets sur
son goût et aspect (OMS***, 2004). La valeur du pH exigé variera selon la composition
de l'eau et de la nature de matériaux employés dans la construction du système de
distribution. Enfin, l’OMS propose deux valeurs limites qui sont 6,5 –8. C’est ce qui est
publié dans les textes algériens (6,5 –8,5).
Pour la substance chimique : Aluminium l’Aluminium naturel aussi bien que des sels
d'aluminium utilisés comme coagulants pour le traitement d'eau potable sont à l’origine de
sa présence.
Des concentrations au dessus de 0,1–0,2 mg/litre sont la cause des plaintes du
consommateur en raison du dépôt de l'hydroxyde d'aluminium dans des systèmes de
distribution et de la coloration de l'eau par le fer. Il est donc important d’ optimiser des
processus de traitement afin de réduire au minimum l’aluminium résiduel.
L’OMS préconise des concentrations de moins que 0.1mg/litre alors les textes normatifs
algériens proposent la valeur de 0.2mg/l pour la CMA, ce qui conforme aux données de
l’OMS.
Pour la dureté totale : cela dépend du consommateur. La tolérance publique du degré de
dureté de l'eau peut changer considérablement d’une population à une autre, selon des
conditions locales. En particulier, les consommateurs sont susceptibles de noter les
changements de la dureté.
Selon l’OMS, l’eau présente un goût lorsque la teneur en calcium se situe entre 100 –
300 mg/litre, dépendant de l'anion associé. En revanche pour le magnésium, la
concentration sera inférieure par rapport à celle du calcium. Parfois, les consommateurs
tolèrent la dureté de l'eau même lorsque celle-ci est supérieure à 500 mg/litre . Ainsi, dans
les textes normatifs algériens, le calcium et magnésium possèdent une concentration
maximale respective de 200 mg/l et de 75mg/l pour la valeur guide . L’OMS ne propose
pas, pour cela de valeur guide
Pour les facteurs plus importants tels les substances indésirables et toxiques , publiées dans
les textes algériens, ne figurent pas des paramètres impératifs de qualité ( selon OMS)
telles que : les THM : trihalométhanes , bromates qui sont des sous-produits de
désinfection de l’eau , les borates. le benzène, l’acrylamide. sauf pour le baryum ,les HAP
( hydrocarbures aromatiques polycycliques). Il est très important de constater que les
normes algériennes des eaux d’adduction publique mentionnent seulement 21 paramètres
ayant un impact sur la santé du consommateur par rapport à 94 paramètres pour l’OMS
comme représenté dans la figure 1 suivante :

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Figure 1 : Comparaison entre nombre des paramètres chimiques d’importance sanitaire des
eaux d’adduction publique et celles de l’OMS

Seulement 21/94 soit 22,3% des paramètres sont publiés dans les normes algériennes.
Pour ce qui concerne la publication des normes guide , seules 2 des 21paramètres possèdent
des valeurs : ce sont le cuivre ( Cu ) et le fluor ( F) comme le montre la figure 2

Figure 2 : Comparaison entre le nombre des valeurs guide algériennes et celles de l’OMS

Cependant, si les valeurs guide ne sont pas publiées, les textes mentionnent des valeurs
pour les concentrations maximales admissibles ( CMA).

Eaux embouteillées et eaux de source :


Pour ce qui concerne les eaux embouteillées : eaux minérales
(arrêté ministériel concernant les eaux de boisson pré-emballées, eaux minérales et eaux de
source ( journal officiel n°51 du 20août 2000).
les 16 paramètres chimiques représentent ( 16/94) 17% des données de l’OMS qui sont
représentées dans la figure n°3

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Figure 3 : Comparaison entre nombre des paramètres chimiques d’importance sanitaire des
eaux embouteillées et celles de l’OMS

Les valeurs publiées sont des CMA puisqu’il est mentionné que ce sont des taux à ne pas
dépasser. Sont-elles conformes à celles de l’OMS ? 6 paramètres ont des valeurs identiques
aux valeurs guide de l’OMS ce qui représente (6/16= 37,5% ) comme le montre la figure 4

Figure 4 : paramètres chimiques d’importance sanitaire des eaux embouteillées identiques
à celles de l’OMS

Et 5/16 (31,25%) possèdent des valeurs supérieures à celles publiées par l’OMS.
( tableau 1)

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Tableau1 : quelques valeurs des normes d’eaux embouteillées algériennes


( minérale)supérieures à celles données par l’OMS
Eau embouteillée ( CMA )* OMS ( VG)
Arsenic 0,05mg/l 0,01mg/l
Baryum 1mg/l 0,7mg/l
Borates 5mg/l 0,5mg/l
Fluorures 2mg/l 1,5mg/l
Sélénium 0,05mg/l 0,01mg/l
* Arrêté ministériel concernant les eaux de boisson pré-emballées, eaux minérales
et eaux de source ( journal officiel n°51 du 20août 2000).

4b- conclusions :.

Le contenu des textes normatifs algériens est très confus puisqu’il est reconnu,
internationalement, deux grands types de classification [5] :
Type I : paramètres organoleptiques ( 2 sous-types :facteurs physiques, facteurs
chimiques : substances minérales, organiques. )
Type II : paramètres chimiques d’ importance sanitaire ( 4 sous-types : composants
minéraux, composants organiques, pesticides, métabolites issus des désinfectants)
Dans les normes homologuées ( NA 6360), la classification des paramètres en deux
catégories est très insuffisante . Elle ne fournit aucune indication sur l’importance sanitaire
de la substance chimique
D’autre part, certains paramètres chimiques classés impératifs de qualité de l’eau de
consommation humaine ne figurent pas dans les textes algériens comme les sous-produits
issus de la désinfection tels que : les bromates ( 10micro-g/l) et les THM ( 100micro-g/l)
(chloroforme, bromoforme, dibromochlorométhane et bromodichlorométhane.) dont les
normes internationales ne cessent de diminuer en prenant le soin de ne pas compromettre
la désinfection de l’eau à cause de leur incidence sur la santé publique
Le benzène, l’acrylamide, le plomb doivent nécessiter à l’avenir une surveillance dans
l’eau du robinet, à cause d’un risque accru sur la santé humaine.
L'acrylamide est un monomère résiduel des polyacrylamides, utilisé essentiellement dans
les produits de traitement des eaux destinées à la consommation humaine (notamment dans
les adjuvants de floculation).Sa présence dans l'eau provient en général de sa migration
depuis les produits de traitement utilisés pour le traitement de l'eau. La limite de qualité
étant de 0,10 µg/L
Par ailleurs, la publication de la réglementation européenne et française des eaux destinées
à la consommation humaine à l’exclusion des eaux minérales naturelles (Extrait du
décret 1220,2001) est fort intéressante, en ce sens où le texte est très clair et précis . Nous
pourrions nous en inspirer pour la réglementation nationale : il existe deux critères :
limites de qualité et références de qualité
Etant donné l’importance capitale que revêt cette réglementation pour la consommation des
eaux potables sur la santé publique, il est impératif de revoir le fonds et la forme du
contenu de nos normes . Ceci pour une meilleure compréhension pour l’application du
contrôle de qualité de ces eaux.
Enfin, par son impact socio-économique, la normalisation officielle et son strict respect
d’application est une sécurité tant dans les domaines de la santé que de l'environnement .

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5-Références :

[1] Giddings M., 1997. « La lumière sur l'eau potable. » , Santé Canada.

[2] Berger G., Sabouret J.F., Tissier M., 2004. « dossier scientifique : l’eau. » CNRS-
France

[3]OMS : Organisation Mondiale de la Santé ,Octobre 2000. « Aide-mémoire », N°256.

[4]Cahiers Techniques de Stage VII , Norme Algérienne (NA 6360) « Norme de potabilité


des eaux de consommation. », E.P-A.D.E., Tizi-Ouzou.

[5] OMS : Organisation Mondiale de la Santé ,1994. « Directives de qualité pour l’eau de


boisson. »Recommandations, Vol1, ,2ème Edition, Genève

[6] OMS* : WORLD HEALTH ORGANIZATION, 2004« Guidelines for Drinking-water


Quality »Recommendations ,Vol1, third Edition,Geneva,494p.

OMS **: WORLD HEALTH ORGANIZATION, 2004: chemical summary tables,


annex 4, dans « Guidelines for Drinking-water Quality » ,Vol1, p.488-493, third
Edition,Geneva.

OMS ***: WORLD HEALTH ORGANIZATION, 2004. « Acceptability aspects » chap


10 dans « Guidelines for Drinking-water Quality » ,Vol1, p.488-493, third Edition,Geneva.

[7]Extrait du décret 2001-1220 « Réglementation française et européenne des eaux


destinées à la consommation humaine. » (à l'exclusion des eaux minérales naturelles)

[8] [Communiqué de presse , 21 septembre2004 , Congrès Mondial de l’Eau de


l’International Water Association (IWA).MARRAKECH/GENEVE , OMS.

[9]Arrêté ministériel concernant les eaux de boisson pré-emballées, eaux minérales et eaux
de source ( journal officiel n°51 du 20août 2000).

[10]Circulaire DGS/SD7A n° 2003-445 du 17 septembre 2003 concernant les modalités


d'application de l'arrêté relatif aux méthodes d'analyse d'échantillons d'eau et à leurs
caractéristiques de performance

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