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Revues & Magazines > Accès IEEE > Volume: 9 

Conception mise en œuvre et exploitation d’un Plus comme ça

microréseau à l’échelle d’un laboratoire d’éducation Conception d’un système de gestion de

l’énergie avec capacité d’atténuation des
Éditeur : IEEE Citez ceci  PDF fluctuations de puissance pour les sources
d’énergie renouvelables hybrides PV/éolien
2021 13e Conférence internationale sur
Alper Nabi Akpolat ; Yongheng Yang ; Frede Blaabjerg ; Erkan Dursun ; Tous les auteurs
l’électronique, l’informatique et l’intelligence
artificielle (ECAI)
    Publié: 2021
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Un système de gestion de l’énergie efficace
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pour les sources d’énergie renouvelables
hybrides
Add to Citation Alerts Innovations 2019 dans les technologies de
 Libre accès  Commentaire(s) puissance et d’informatique avancée (i-
PACT)
Sous licence Creative Commons Publié: 2019

Abstrait Afficher plus

Sections de
documents

JE. Introduction

II. Description et
modélisation du
microréseau à The general block diagram of the discussed system. As depicted in the graphical abstract, this
l’échelle du EMS generates various control signals based on the data it receives from DG... View more
laboratoire
Abstract:To enable more wide-scale exploitation of renewable energy sources
III. Schéma de (RESs), distributed generations (DGs) as in microgrids have gained
contrôle du prominence recently. This study desc... View more
système

IV. Système de
 Metadata
gestion de Abstrait:
l’énergie Pour permettre une exploitation plus large des sources d’énergie renouvelables
(SER), les générations décentralisées (DG) comme dans les micro-réseaux ont PDF
V. Résultats de la
récemment pris de l’importance. Cette étude décrit la conception, la
simulation Aide
modélisation, la mise en œuvre et l’exploitation d’un microréseau, dans lequel
Afficher le plan un système d’alimentation hybride autonome a été installé pour un laboratoire
complet 
d’éducation et de recherche. La nature instable des SER entraîne des
problèmes de compatibilité de l’alimentation sur les DG. Par conséquent,
Auteurs
fournir un flux d’énergie décent des énergies renouvelables aux charges est la
portée de ce document. Pour satisfaire les profils de charge définis et maintenir
Chiffres
la puissance avec le niveau souhaité, la conception et le fonctionnement des
convertisseurs de puissance sont également une partie remarquable de la
Références
performance des micro-réseaux. Pour une structure de micro-réseau robuste,
l’algorithme de contrôle présenté comprend un système de gestion de l’énergie
Références
(SME) entre les énergies renouvelables, les batteries et les charges.
Principalement, la modélisation du système a été développée dans
Mots-clés
 l’environnement MATLAB/Simulink. De plus, des études de cas ont été
Métrique 
illustrées pour démontrer davantage le système simulé. Dans ce cadre, certains
Downl
profils de charge ont non seulement été alimentés, mais le flux d’énergie a
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également été géré et analysé pour assurer un fonctionnement efficace et
flexible avec deux cas EMS différents. Le fonctionnement en temps réel a
également été fourni pour valider le système dans diverses conditions d’entrée
et de sortie lors d’un cours de laboratoire.

Publié dans : IEEE Access ( Volume: 9)

Page(s) : 57949 - 57966 Numéro d’acquisition de l’INSPEC:

20984840
Date de publication : 13 avril 2021 
DOI: 10.1109/ACCESS.2021.3072899
ISSN électronique : 2169-3536
Éditeur : IEEE

 Organisme de financement :

Schéma fonctionnel général du système discuté. Comme le montre le résumé graphique, ce SME
génère divers signaux de contrôle basés sur les données qu’il reçoit de la DG... Voir plus

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Contents

CCBY - IEEE n’est pas le détenteur des droits d’auteur de ce

matériel. Veuillez suivre les instructions via
https :// creativecommons . org / licences / by / 4 . 0 / pour 
obtenir des articles en texte intégral et des stipulations dans la
documentation de l’API. 

SECTION I.
Introduction
Au cours du siècle dernier, le réchauffement climatique a atteint
rapidement un stade remarquable grâce au CO2 émission. Dans PDF
un avenir proche, le passage aux sources d’énergie renouvelables Aide
(SER) telles que l’hydraulique, l’éolien, le solaire, l’hydrogène, les
vagues, la géothermie et l’énergie de la biomasse devrait
s’accélérer rapidement. Les micro-réseaux font référence à
l’intégration de la production décentralisée (DG) avec une forte
pénétration des ressources renouvelables.

Une autre définition émergente des micro-réseaux est qu’ils font

partie des réseaux intelligents, ce qui augmente la flexibilité
d’approvisionnement des réseaux intelligents. Un microréseau
peut être décrit comme faisant partie d’un réseau électrique avec
DG basé sur des sources renouvelables, des convertisseurs
d’électronique de puissance, des systèmes de stockage d’énergie
 et des charges, qui peuvent fonctionner de manière autonome et
interagir avec le réseau de distribution [1]. La transformation de
Downl
l’énergie existante en technologie, production, transport,
PDF
distribution et contrôle pose également de nombreux défis. On
s’attend à ce que les DG produisent une puissance fluide, mais ce
n’est pas une transaction sans effort en raison de leurs entrées
physiques intermittentes [2].. À cette fin, des applications de
microréseaux stables robustes et sophistiquées assistées par des
algorithmes de contrôle sont essentielles pour un fonctionnement
robuste des interfaces électroniques de puissance et des
exigences de gestion de l’énergie [3]. En raison de ces facteurs
physiques déséquilibrés, pour obtenir une puissance maximale
autant que possible du système, il n’est pas préférable de
fonctionner sans convertisseurs dotés d’algorithmes de contrôle.
Dans ces topologies, les convertisseurs d’électronique de
puissance jouent un rôle crucial dans la répartition de la
puissance stable [4].. En bref, fournir une énergie robuste au
côté de la demande est l’un des principaux objectifs des micro-
réseaux. Par conséquent, les problèmes de flux de puissance tels
que les harmoniques et les déséquilibres doivent être diminués et
compensés correctement. Avec une approche correcte, les
convertisseurs d’électronique de puissance de contrôle peuvent
gérer la stabilité de la tension au niveau du bus CC dans les
microréseaux CC. Ensuite, les contrôleurs peuvent être étendus
aux onduleurs DC-AC agissant comme des filtres actifs de
dérivation. Les déséquilibres de tension et la distorsion
harmonique peuvent être affaiblis au point de couplage commun
(PCC) en utilisant des contrôleurs hiérarchiques et distribués.
Qu’ils soient connectés au réseau ou autonomes, les
microréseaux doivent fournir une alimentation ininterrompue
aux charges, c’est-à-dire que des convertisseurs bidirectionnels
CC-CA sont utilisés pour fournir une puissance stable aux
charges [5].. Certains problèmes de flux d’alimentation sont
traités par rapport à plusieurs DG dans le microréseau hybride
AC-DC en contrôlant l’affaissement de la tension [ 6].. En outre,
les problèmes de synchronisation entre le microréseau et le
réseau électrique devraient sans aucun doute être résolus. À cette
fin, une boucle à verrouillage de phase (PLL) généralement basée
sur une deuxième harmonique est préférée principalement pour
éliminer ce problème [7].. En d’autres termes, les micro-réseaux
peuvent être examinés en deux groupes en tant que type AC et
DC. Par rapport aux microréseaux CA, les microréseaux CC
présentent des avantages apparents tels qu’une efficacité et une
fiabilité élevées, un faible coût, un contrôle simple et une
flexibilité, etc. [8]. En outre, la synchronisation de fréquence, le
contrôle de la puissance réactive et les problèmes d’effet de peau
n’existent pas dans les microréseaux CC. Par conséquent, il est
évident que les schémas de contrôle appliqués des microréseaux
à courant continu ne sont pas aussi sophistiqués que ceux des
microréseaux à courant alternatif [9].. Nous nous sommes
également occupés de la conception de la mise en œuvre d’un
microréseau CC. Dans les microréseaux à courant continu, une
intégration de système de stockage d’énergie peut permettre un
PDF
système de gestion de l’énergie (EMS) flexible et dynamique pour
augmenter la stabilité et la qualité de l’énergie [10], qui peuvent Aide

être contrôlées avec des techniques d’optimisation [11].

D’autre part, étant donné que les énergies renouvelables

fortement pénétrées devraient être plus réalisables dans un
avenir proche, les systèmes de stockage d’énergie par batterie
(BESS) seront en mesure de jouer un rôle important en termes
d’intégration fiable et rentable des sources d’énergie
intermittentes au réseau. Dans ce contexte, les BESS sont des
unités indispensables des micro-réseaux CC. Comme on le sait,
les batteries fonctionnent pour atténuer l’énergie générée par les
énergies renouvelables, distribuer de l’énergie lisse aux charges
et augmenter le niveau d’évolutivité [12]. Lors de la conception,
 l’utilisation et la durée de vie du BESS doivent être bien prises en
compte en raison de leur coût total de possession. Certaines
Downl
recherches montrent que les batteries doivent fonctionner à un
PDF
niveau d’état de charge (SoC) défini [13].. En outre, le niveau de
SoC est recommandé pour les batteries plomb-acide pour
fonctionner entre 50% et 80% [14].. Par conséquent,
l’épuisement et la surcharge ont de mauvais effets sur la durée de
vie du calendrier de la batterie [15], qu’il convient d’éviter [16]..
Pour cette raison, les niveaux de SoC (%) des batteries doivent
être estimés avec précision par certaines méthodes telles que
l’apprentissage automatique [17], la stratégie de lissage de
l’alimentation basée sur la prédiction du modèle [18],
l’observateur de Luenberger [19] ou le filtre de Kalman [20] et
ils doivent être exécutés sur une bande protégée contre les
surcharges et les décharges [21]. . Pour atteindre cette
présomption, il est explicitement nécessaire de concevoir un
contrôleur de charge-décharge pour confiner les niveaux de SoC
et ce contrôleur de charge devrait évidemment également
participer à la gestion de l’énergie de l’ensemble du système.

Pour éliminer de nombreux facteurs qui affectent négativement

le fonctionnement du système, le point notable est le choix de
former un algorithme de contrôle basé sur EMS avec des
méthodes de résolution de problèmes [22]– [23] [24].. En
conséquence, les recherches ont proposé diverses approches EMS
telles que l’EMS optimal en tenant compte de la dégradation de
BESS [25], en désignant la planification optimale de chaque DG
[26] pour répondre correctement à la puissance à la demande.
L’utilisation d’EMS dans la planification, l’exploitation, la
conception et le contrôle de tous les besoins des systèmes
énergétiques, en commençant par une technique
d’organigramme simple, en abordant des problèmes
d’optimisation plus robustes et en rendant le système applicable
à différents types de solutions à de nouvelles situations
particulières d’intérêt, est analysée en détail étape par étape dans
[27]. Toujours dans [28], un PROJET DE SME coopère pour
contrôler le système d’alimentation hybride à l’aide de
convertisseurs de puissance. De même, une autre approche, c’est-
à-dire que les harmoniques sont atténuées en contrôlant les
courants et les tensions des convertisseurs de puissance dans un
système hybride intégré au réseau en [29]. À propos, un contrôle
efficace et pratique des systèmes de distribution est un facteur
critique pour la satisfaction des consommateurs, la gestion
optimale des actifs du réseau de distribution et la performance
globale du système électrique. Des applications avancées de
système de gestion de la distribution en temps réel [30] ont été
réalisées, telles que la répartition de la charge, le flux de charge
déséquilibré, la prévention des surcharges et le contrôle réactif de
la tension de puissance. Après avoir étudié tous les défis
exigeants, les bancs d’essai de microréseaux à l’échelle du
laboratoire [31]- [32] [33] sont devenus importants dans lesquels
ils contiennent une unité d’acquisition de données pour la
surveillance et la gestion de l’état via LabVIEW [34] comme une
PDF
interface homme-machine.
Aide

Pour répondre aux exigences en fournissant des approches

raisonnables aux problèmes mentionnés ci-dessus auxquels nous
sommes confrontés aujourd’hui, la diffusion des énergies
renouvelables et des sources d’énergie alternatives est l’un des
remèdes les plus efficaces. Les applications d’énergie
renouvelable basées sur des micro-réseaux sont essayées d’être
adaptées au système de différentes manières, à la fois en tant que
systèmes à grande échelle à la base de la centrale électrique, à
l’échelle du laboratoire à des fins éducatives ou en tant que
systèmes locaux à petite échelle. Ces systèmes émergent comme
un domaine d’investigation et de recherche distinct au sein du
concept des micro-réseaux, qui sont essentiels pour la qualité, la
 surveillance et la durabilité de l’énergie. En conséquence, les
structures et les algorithmes complexes, y compris ces systèmes,
Downl
devraient être flexibles afin d’utiliser les ressources énergétiques
PDF
de manière efficace et appropriée. À cet égard, la portée
principale de ce document est les études sur certaines
améliorations, la modularité, la fonctionnalité et la résolution de
problèmes pour une intégration efficace de la structure flexible
dans le système. Pour sélectionner l’algorithme EMS optimal
pour un flux de puissance fluide, il faut d’abord comprendre le
cœur du flux de puissance et le type de structure de conception
qui est discuté. Cette étude vise à modéliser et à établir un
système de micro-réseau à l’échelle du laboratoire qui peut
relever les défis énergétiques possibles de manière simple. En
outre, nous élucidons de produire de la puissance efficace avec
moins de pertes afin de répondre à l’efficacité énergétique des DG
aux charges. Le système susmentionné, un laboratoire
d’éducation et de recherche dans lequel la configuration
expérimentale a été installée notre Université, est situé pour les
étudiants et les chercheurs.

Le reste de cet article est organisé comme suit : la description et

la modélisation de l’ensemble du système de microréseau
proposé sont traitées dans la section II. Le schéma de contrôle de
ce système est décrit à la section III. L’algorithme de gestion de
l’énergie et une étude de cas appartiennent au système sont
conçus dans la section IV. Les résultats de la simulation et de la
mise en place expérimentale sont également présentés dans les
sections V et VI, respectivement, et enfin le document est conclu
dans la section VII.

SECTION II.
Description et
modélisation du
microréseau à l’échelle du
laboratoire
Comme on peut le voir sur la Fig. 1, le système contient un réseau
photovoltaïque (PV), une éolienne, une unité de pile à
combustible et un banc de batteries comme DES SER, des
convertisseurs électroniques de puissance, des filtres et des
charges. La Fig. 1 illustre le système de micro-réseau à l’échelle
du laboratoire. La puissance nominale du réseau photovoltaïque
est égale à 1 kW et est conçue par un modèle à diode unique. Une
commande de suivi du point de puissance maximale (MPPT)
extrait la puissance maximale du panneau solaire à l’aide d’un
convertisseur de suralimentation DC-DC unidirectionnel. Pour
suivre un point de puissance maximale (MPP) calculé par
l’algorithme MPPT, un mécanisme de contrôle en cascade
entraîne un convertisseur CC-CC. Le mécanisme de contrôle en PDF
cascade est une série de contrôleurs de modulation de tension et Aide

de largeur d’impulsion (PWM).


 GRAPHIQUE 1.
Description du microréseau proposé à l’échelle du
Downl
laboratoire d’éducation.
PDF

Alors que le réseau photovoltaïque et l’éolienne sont la principale

source d’énergie, le banc de batteries est spécifié comme source
d’énergie complémentaire. L’unité de pile à combustible est à des
fins éducatives et est activée par un électrolyseur qui fonctionne
avec un surplus d’énergie après le délestage. En d’autres termes,
si le SoC a une valeur optimale, l’électrolyseur est utilisé, puis
l’hydrure métallique H2 le tube est rempli pour alimenter l’unité
de pile à combustible. Ainsi, l’unité de pile à combustible est
fournie avec H2 gaz qui est produit par l’électrolyseur et dispose
également d’un convertisseur DC-DC compact et d’une charge
DC. Le réseau PHOTOVOLTAÏQUE est connecté au bus CC via
un convertisseur de suralimentation DC-DC unidirectionnel,
tandis que le banc de batteries est connecté au même bus avec un
convertisseur dc-DC buck boost bidirectionnel. En outre, le
système de conversion de l’énergie éolienne est également
connecté au système de la même manière que le réseau
photovoltaïque. En ce qui concerne la source d’alimentation
principale, le BESS contient six pièces de batteries, trois pièces
connectées en parallèle et deux pièces d’entre elles en série.
Pendant ce temps, le réseau électrique est une autre source
d’énergie principale. Le réseau électrique alimente les charges
alors que la puissance produite est insuffisante et que le niveau
de SoC du banc de batteries est inférieur à la valeur saine définie,
ce qui signifie fonctionner en mode réseau. La connexion entre le
réseau électrique et le microréseau est contrôlée par un onduleur
DC-AC bidirectionnel interconnecté. Comme le montre la Fig. 1,
le réseau électrique est connecté au laboratoire à partir d’un
transformateur de distribution monté sur poteau. Des diodes de
protection ont été installées pour empêcher les DG connectés
dans le modèle d’être exposés à un courant inverse négatif du bus
CC. À d’autres égards, les paramètres des composants du système
appartenant au système de microréseau à l’échelle du laboratoire
sont donnés dans le tableau 1.

TABLEAU 1 Composants des systèmes de conversion

d’énergie

PDF
Aide


 Fondamentalement, on peut considérer que ce micro-réseau à
l’échelle du laboratoire réalise le flux de puissance à travers des
Downl
convertisseurs d’électronique de puissance à l’aide d’un EMS
PDF
basé sur des contrôleurs de système. Dans le système proposé, les
modèles mathématiques de chaque composant sont impératifs
pour concevoir un EMS sophistiqué afin de pouvoir intégrer les
algorithmes de contrôle. Lors de la modélisation du
comportement électrique du système, leur structure doit être
bien connue avant d’être utilisée dans une variété d’applications.
Ainsi, nous avons modélisé le système pour tester dans de
nombreux scénarios et valider la méthodologie de contrôle.
Certes, les modèles sont une représentation facilitée et limitée
(c’est-à-dire uniquement électrique) de nos systèmes réels.

A. Système de conversion de l’énergie solaire

Comme mentionné, le système de conversion de l’énergie solaire
comprend un réseau photovoltaïque et un convertisseur de
suralimentation qui est exploité par le contrôleur basé sur MPPT.
Avant de continuer, les composants du système photovoltaïque
sont importants à mentionner. Après avoir expliqué la
production photovoltaïque, toutes les unités et tous les facteurs
qui affectent la quantité de production doivent être pris en
compte correctement. Essentiellement, la production
photovoltaïque est affectée par l’irradiance solaire et la
température en tant qu’intrants.

Comme on le sait, un panneau photovoltaïque consiste à

combiner des cellules photovoltaïques qui sont simplement un
semi-conducteur de jonction p-n. De plus, les réseaux
photovoltaïques sont connus pour être formés avec des panneaux
photovoltaïques. En raison de leurs entrées variables telles que
l’irradiance solaire et la température, une modélisation précise de
ces structures non linéaires est vitale. Nous avons donc
sélectionné un modèle à cinq paramètres (diode unique) pour le
modèle de PV en tant que circuit équivalent d’une cellule PV,
comme le montre la Fig. 2. Tant que le courant de sortie de la
cellule (JE
) peut être calculé avec (2) selon les lois de
C ELL

Kirchhoff.

−JE
C ELL − JE
SH + JE
P H − JE
D = 0 (1)

Voir la source

et

V +JE R
CELL CELL S V C ELL + JE
C ELL
R
JE
C ELL = JE
P H − JE
0 (e
nV t
− 1) −
RSH

nkT ST C
Vt =
q

Voir la source
PDF
Aide


GRAPHIQUE 2.
Circuit équivalent d’un panneau PV (modèle à diode
unique).
 Les cinq paramètres inconnus sont les suivants: le courant généré
par la photo à (conditions d’essai standard) STC-JE
, courant de
PH

Downl
saturation de diode à STC-JE
, résistance en série-R
, résistance
0 S

PDF
au shunt-R
, et le facteur d’idéalité de la diode-n
qui n’ont pas
SH

trouvé dans les fiches techniques; cependant, peut être extrait

indirectement des valeurs de la feuille de données [35] ou peut
être estimé avec l’une des méthodes comme Bisection et
Lambert-W existant dans [36], [37].

Pour les autres paramètres du modèle, exprimés en (3), V

définit
t

la tension thermique équivalente de la cellule, q

désigne la charge
de l’électron, k
identifie à la constante de boltzmann, et T ST C

(°K) appartient à la température de référence au STC. Comme

mentionné précédemment, le réseau photovoltaïque comprend
un module de série et quatre chaînes parallèles avec chaque
panneau a 250 W. Ainsi, la puissance nominale totale correspond
à 1 kW. Comme indiqué, le système de conversion de l’énergie
solaire a été conçu avec un convertisseur de suralimentation DC-
DC unidirectionnel qui est contrôlé par l’algorithme MPPT pour
plus de récolte de l’énergie naturelle provient du soleil contre des
entrées variables. Ainsi, l’extraction de la puissance maximale du
réseau photovoltaïque a été ciblée. Essentiellement, un
algorithme MPPT est utilisé dans la commande du convertisseur
en ajustant la tension PV de référence, c’est-à-dire V
pour
REF

maximiser le rendement énergétique autant que possible dans

tous les cas. En outre, l’algorithme MPPT est exploité avec un
contrôle proportionnel-intégral (PI) qui produit un rapport
cyclique pour démarrer PWM en détectant la différence entre une
tension produite de référence.V
et actuel-JE
. Ainsi, la
PV PV

puissance maximale des réseaux photovoltaïques au bus CC est

fournie efficacement.

L’un des algorithmes MPPT les plus préférés est perturb and
observe (P & O) a été préféré. Cette méthode détermine le
changement de puissance à la caractéristique tension-puissance
de la structure PHOTOVOLTAÏQUE. Si le changement de
puissance, c’est-à-dire dP / dV est positif, on peut en déduire que
la puissance actuelle est sur le côté gauche du MPP, sinon, dP /
dV est négatif, la puissance actuelle est sur le côté droit du MPP.

dP ∣
∣ = 0 (4)
dV ∣ P =P
MPP

Voir la source

Ainsi, on s’attend à ce qu’il atteigne le MPP (c.-à-d. la colline) en

déterminant dans quelle direction la puissance actuelle doit être
approchée. Ces méthodes sont simples et pratiques à appliquer
aux systèmes photovoltaïques [38].

B. Système de conversion de l’énergie éolienne

Ce système comprend une éolienne, une machine synchrone à
aimant permanent (PMSM) comme générateur, un redresseur de PDF
diodes avec un filtre LC et enfin un convertisseur CC-CC Aide

unidirectionnel. L’éolienne envoie également sa puissance au bus

CC avec ces composants. La sortie de cette alimentation CC
dispose d’un régulateur de tension-courant avec un contrôleur
PI. Le PMSG triphasé est intégré dans les éoliennes. Le profil de
vitesse du vent n’a pas trop de fluctuation à l’endroit donné. La
turbine a une petite puissance nominale; néanmoins, pour
récolter l’énergie éolienne au niveau souhaité, un convertisseur
boost a été préféré.

Essentiellement, le système de conversion de l’énergie éolienne a

été conçu en cinq parties. L’éolienne de ce système se compose
d’une turbine à axe horizontal de trois pales avec un angle de pas
 nul (β
). Il n’est fortement pas recommandé de connecter un
générateur synchrone directement au réseau, sauf s’il dispose
Downl
d’un système d’engrenage variable. Pour cette raison, les
PDF
générateurs synchrones préférés dans les applications éoliennes
sur le marché sont connectés au système avec un convertisseur
de puissance à grande échelle [39]. Bien que ce convertisseur de
puissance à grande échelle puisse fournir un flux d’énergie fluide
à des vitesses de vent variables, il est indéniable que le coût et la
perte de puissance pourront augmenter. Les générateurs
synchrones sont largement utilisés pour la vitesse variable du
vent dans les applications d’éoliennes en raison de leurs faibles
vitesses de rotation synchrones qui peuvent se conformer à la
fréquence du réseau. Il est judicieux d’être préféré dans ces
applications, une fois que la vitesse du vent possède beaucoup
plus de variance [40], [41]..

La valeur maximale de la tension de phase est V

, sortie m

moyenne de la tension du redresseur V

est V o DC
et il peut être
défini comme suit :

T
1
V DC = ∫ V 0 (t)dt (5)
T 0

Voir la source

Exploitant (5), la tension moyenne de la sortie V DC −out

peut être
trouvé comme

2π/3

6 –
V DC −out = ∫ √ 3V m sin θ dθ (6)
2π
π/3

Voir la source

ou
–
3√ 3
V DC −out = V m = 1.654V m (7)
π

Voir la source

Un filtre LC a été utilisé pour supprimer les harmoniques haute

fréquence provenant du redresseur de diode. Nous pouvons voir
qu’il est filtré à travers un filtre LC pour éliminer les
harmoniques et obtenir un DC plus pur sans oscillations pour
transférer une puissance lisse au bus DC. La fréquence de
coupure (f
) du filtre LC peut être donné par

1
f = (8)
−−−
2π√ LC

Voir la source
PDF
Aide

Les caractéristiques de puissance de l’éolienne par rapport à la

vitesse du vent sont illustrées à la Fig. 3. La puissance de sortie
de la turbine peut être comptée comme étant de 320 W pour 0,8
par unité de puissance mécanique nominale, de sorte que la
puissance de sortie nominale nominale indique 400 W à la
vitesse du vent de base. La rigidité du groupe motopropulseur est
infinie et le facteur de frottement et l’inertie de la turbine doivent
être combinés avec ceux du générateur couplé à la turbine. La
puissance de sortie de la turbine est donnée comme suit :

ρA
3
Pm = Cp (λ, β) ν (9)
wind
2
 Voir la source

Downl
où
PDF C
est la fonction du coefficient de performance de la turbine,
p

ρ
est la densité de l’air (kg/m3), UN

est la zone balayée de la
turbine (m2), V
la vitesse du vent (m/s), λ
est le rapport
wind

entre la vitesse de la pointe de la pale du rotor et la vitesse du

vent, β
l’angle de pas de la lame (degré) et P
est la puissance de m

sortie mécanique de la turbine (W). L’équation (10) est utilisée

pour modéliser C  (λ
, β
), celle fondée sur les spécifications de
p

la turbine de modélisation [42].

−c /λje
Cp (λ, β) = c 1 (c 2 /λ je− c 3 β − c 4 )e 5 + c6 λ (10)

Voir la source

avec

1 1 0.035
= − (11)
3
λ λ + 0,08β β +1

Voir la source


GRAPHIQUE 3.
Caractéristique de la puissance de la turbine par rapport
à la vitesse du vent.

Comme on le sait, les coefficients et les caractéristiques de la

turbine peuvent varier pour différentes valeurs de l’angle de
tangage β
. Le modèle du générateur synchrone à aimant
permanent (PMSG) est basé sur (12) en cadre d-q. En outre, le
couple électromagnétique du générateur T
peut être formulé em

comme suit : (11) à condition que : L

est égal à L
, q d

Vd Rc −ωL c je
d
d je
d
ed
[ ] = [ ]∗[ ] + Lc [ ]+[ ]
Vq ωL c Rc je
q
dt je
q eq

(12

T em =P φje
q
(13

PDF
Voir la source Aide

En ce qui concerne le modèle du PMSG par (12), la

transformation de Clarke est prise en considération, de sorte que
le modèle PMSG dans α
-β
frame peut être exprimé comme suit :
 ⋅ −Rs 0
je ⎡ ⎤ je
 [ ⋅
α
] =⎢ Ls −Rs ⎥ ∗ [
α
]
je ⎣ ⎦ je
Downl β
0 Ls
β

PDF 1 0
⎡ ⎤ V α − eα
+ Ls 1 [ ] (14)
⎣ ⎦ V β − eβ
0 Ls

eα = − ω φ sin θ (15)

eβ = ω φ cos θ (16)

Voir la source

où V
-Vq et V − V
sont des vecteurs de tension de stator, je
, je
d α β d q

et je − je
sont des vecteurs de courant stator, e − e
et e − e
α β d q α β

sont des forces électromotrices magnétiques directes et

quadratiques, respectivement. R
est la résistance de chaque
c

phase du stator. ω
est la vitesse angulaire électrique du rotor, φ
est le flux magnétique permanent, et enfin L
est l’inductance de c

chaque phase du stator.

C. Unité de stockage d’énergie (banque de

batteries)
Dans les microréseaux autonomes, les batteries sont largement
préférées pour fournir de l’énergie en tant que dispositif de
stockage d’énergie [23]. De même, pour les opérations insulaires
ou raccordées au réseau, la nécessité d’une unité de stockage
d’énergie optimale est indispensable pour stabiliser la puissance,
atténuer la production des systèmes DG tels que l’énergie solaire
et éolienne, fournir l’énergie aux charges lorsque les DG sont
privées de production et fournir une énergie fluide du côté de la
demande [43].

En raison de sa longue durée de vie et de ses coûts par capacité,

le plomb acide fait partie des dispositifs de stockage d’énergie
électrochimique hautement préférés dans l’industrie. Étant
donné que les acides de plomb ont un volume et un poids par
kWh utilisable élevés par rapport aux autres types de batteries, ils
sont largement préférés pour les applications statiques
contrairement aux véhicules électriques [44]. Cependant, la
batterie usagée ne se décharge pas complètement, mais a plutôt
une profondeur de décharge recommandée (DoD), ce qui signifie
combien peut être utilisée avant d’être rechargée. Les batteries au
plomb-acide devraient être consommées à près de 50% doD. Au-
delà de cette valeur, leur durée de vie est affectée négativement.

Les batteries peuvent être classées en trois types de modèles tels

que le modèle électrochimique, mathématique et équivalent de
circuit électrique. Le modèle générique mathématique a été
utilisé dans cet article pour le développement rapide de modèles
de batteries basés sur des valeurs de fiche technique, qui sont
également égales au modèle de [45]. La Fig. 4 illustre le modèle
de circuit équivalent de la batterie. Ce modèle appartient à une
tension de batterie variable (V
) qui peuvent être exprimés
Batt

dans les deux modes tels que la décharge et la charge pour la PDF
batterie au plomb-acide, à l’aide d’un convertisseur Aide

bidirectionnel DC-DC buck-boost.


Downl

PDF 
GRAPHIQUE 4.
Modèle de circuit générique mathématique équivalent de
la batterie.

Les paramètres peuvent être ajustés pour illustrer un type de

batterie et ses caractéristiques de décharge. Une courbe de
décharge typique est formée de trois parties. La première partie
illustre la chute de tension exponentielle une fois la batterie
chargée. La forme de la goutte change avec le type de batterie. La
deuxième partie illustre la charge qui peut être obtenue à partir
de la batterie jusqu’à ce que la tension tombe en dessous de la
tension nominale de la batterie. Enfin, le troisième illustre la
décharge totale de la batterie, lorsque la tension baisse
rapidement. Alors que (17) désigne la fonction de décharge de la
batterie, (18) exprime la fonction de charge.

Q
V Batt = E0 − RBatt je
Batt − K je
Batt t
Q − je
Batt
t

Q
∗
− K je + exp(t) (17)
Q − je
Batt t

Q
V Batt = E0 − RBatt je
Batt
−K je
Batt
t
Q − je
Batt
t

Q
∗
− K je + exp(t) (18)
je
Batt t − 0,1T

Voir la source

où UN
est la tension de zone exponentielle (V), B
est la capacité
inverse de la zone exponentielle ((Ah)−1), E
est la tension
0

constante de la batterie (V), R

est une résistance interne (Ω
),
Batt

je
Batt
t
charge réelle de la batterie (Ah), je
(A) est le courant de
Batt

décharge de la batterie, K
est constante de polarisation (V/(Ah)),
je
est dynamique de courant basse fréquence (A), Q
est la
∗

capacité nominale ou nominale de la batterie (Ah). Les valeurs

SoC des batteries peuvent être calculées avec la méthode de
comptage en ampères-heures (coulomb). Dans cette méthode, on
suppose que la capacité de la batterie est connue et que les
paramètres de la batterie tels que la tension et le courant peuvent
être mesurés avec précision. D’autre part, un cycle complet est
défini comme une décharge complète et les charges à 100% DoD
sont exprimées comme suit:

S oC = 1 − DoD (19)

Voir la source

Comme on le sait, si le SoC a une valeur de 100% ou est égal à 1, il

PDF
représente une batterie complètement chargée et 0% signifie une
batterie vide. S oC
est la valeur initiale du SoC qui est formulé
je
Aide

comme suit :

t1
1
S oC = S oCje− ∫ je
Batt
dt (20)
Q t2

Voir la source

Il convient de mentionner que la banque de batteries a été créée

pour le compte de l’unité de stockage d’énergie qui comprend 6
pièces de batterie. Une seule batterie a une capacité de 200 Ah et
sa tension de sortie est de 12 V. Par conséquent, comme 3 pièces
 de connexion parallèle et 2 pièces de série permettent à la banque
de batteries qu’il correspond à une capacité de 600 Ah, 24 V avec
Downl
une tension de sortie et aussi 14,4 kWh avec une capacité
PDF
énergétique.

D. Système de conversion de pile à combustible

Dans ces systèmes, sans l’utilisation d’une chaudière ou d’une
turbine, l’énergie électrique est générée par le flux d’électrons
uniquement à la suite de réactions chimiques des piles à
combustible [46]. L’efficacité totale obtenue par la réaction
électrochimique entre l’hydrogène (H2) et l’oxygène (O2) peut
atteindre jusqu’à 80 %. Par conséquent, l’exploitation des piles à
combustible est principalement due à leurs performances de
haute fiabilité, à leur prix d’entretien bon marché et à leurs
faibles émissions de polluants [47]. Nous avons utilisé le modèle
générique détaillé préféré de la pile à combustible qui a une
résistance interne et diode, sont alimentés par l’hydrogène et
l’air. Ce modèle correspond au modèle équivalent pile à
combustible illustré à la Fig. 5. Le système de conversion de pile
à combustible est également connecté au bus CC via un
convertisseur de suralimentation CC-CC unidirectionnel qui est
contrôlé par un contrôleur de référence de tension PI car il ne
génère pas de caractéristiques de sortie entièrement stables
comme les autres systèmes DG.

je
fc 1
E = Eoc − N Aln ( ) (21)
je
0
sT d /3 + 1

V f c = E − Rint je
fc (22)

Voir la source

où E
est une tension en circuit ouvert (V), N
est le nombre de
OC

cellules, UN

est la cinétique d’activation de la pile à combustible
liée à la pente de Tafel (V), je
est un courant d’échange (A), T
est
0 d

un temps de réponse (sec), R

est une résistance interne (Ω
) du
int

modèle de pile à combustible, enfin je

et V
est généré le
fc fc

courant de pile à combustible (A) et la tension (V),

respectivement.

PDF
Aide


GRAPHIQUE 5.
Modèle détaillé de pile à combustible.

L’équation (21) existe dans [48], est également liée à (23) et

(25) qui représentent les pertes d’activation de la tension de la
pile. Ces pertes ont été modélisées électriquement avec une
 branche RC parallèle. Variation imprévue du courant de la pile, la
tension de la pile à combustible affiche un délai (τ = RC
), soit
Downl
près de trois fois la constante de temps avant l’état d’équilibre.
PDF
En raison de ce phénomène, il inclut avec une fonction de
transfert de premier ordre 1/(sT 3 + 1
). d/

En outre, (22) donne la tension totale de la pile résultant des

pertes ohmiques. Ce modèle détaillé représente la pile à
combustible qui présente un certain comportement en réponse
aux changements de température, de pression, de débit de
carburant et d’air, de teneur en hydrogène dans le carburant et de
teneur en oxygène dans l’oxydant. Ces changements sont la
tension en circuit ouvert (E
) de la pile, le courant d’échange (
OC

je
0
), et la pente de tafel (A) [49].

Eoc =Kc En

0.5
−44,43 RT PH 2 PO
2
En = 1.229 + (T − 298) + dans( )
zF zF PH 2 O

zF k(PH + PO ) −ΔG
2 2
je
0
= exp( )
Rh RT

RT
UN =
zαF

Voir la source

où E
est la tension de Nernst (V), K
est constante de tension à
n c

l’état nominal de fonctionnement, P

et P 2
sont H2 O

respectivement la pression partielle de l’hydrogène et la pression

partielle de l’oxygène à l’intérieur de la cheminée (atm). En ce qui
concerne les constantes, k
est la constante de Boltzmann (
1.38 × 10
J/K), h
est également la constante de Planck (
−23

6 626 × 10
J s), R
est égal à 8,3145 J/(mol K), F
est de
−34

96485 A s/mol. ΔG
est la barrière d’énergie d’activation (J), T
est la température de fonctionnement (K), et enfin α
est le
coefficient de transfert de charge, z
est le nombre d’électrons en
mouvement. Comme on peut le voir sur la Fig. 5, selon les
entrées, les nouvelles valeurs de E
, je
et UN

sont dérivés de
OC 0

l’utilisation des blocs A, B et C. Dans le bloc A, les taux

d’utilisation de l’hydrogène (U
) et l’oxygène (U 2
) peut être
fH2 fO

exprimé comme suit :

60000RT je
fc
U f H2 = (27)
zF Pf uel V f uel x

60000RT je
fc
U f O2 = (28)
2zF Pair V air y

Voir la source

où P
et P
sont la pression du carburant et la pression
f uel air

absolue de l’air (atm), V

et V
débit de carburant et débit
f uel air

d’air (l/min) x
et y
sont respectivement le pourcentage
d’hydrogène (%) dans le carburant et d’oxygène (%) dans
l’oxydant. Par tous les moyens, il est nécessaire d’inspecter ce PDF

taux de carburant (l / min) de la pile à combustible à partir du Aide

réservoir d’hydrogène, de sorte qu’un régulateur de taux de

carburant a été conçu sur la base de (23) avec la rétroaction du
courant pour le débit nominal (V lpm
).

60000RT N je
fc
V lpm = (29)
2zF Pair U f H 2 x

Voir la source

Ainsi, la pile à combustible génère une tension continue. Comme

le montre la Fig. 6, la courbe de polarisation typique (tension-
 courant) se compose de trois zones. La première zone indique la
réduction de la tension d’activation due à la durée des réactions
Downl
chimiques qui se produisent à la surface de l’électrode. La
PDF
deuxième zone décrit la perte résistive due à la résistance interne
dans la cheminée, tandis que la troisième zone décrit les pertes
de transport de masse dues à des changements dans la
concentration de réactifs entraînant une utilisation de carburant
[50].


GRAPHIQUE 6.
a) V-I et b) courbes caractéristiques P-I de la pile à
combustible utilisée dans le modèle.

E. Interconnexion du convertisseur DC-AC

bidirectionnel et des groupes de charge
Le convertisseur DC-AC bidirectionnel est le convertisseur
fondamental du système. En plus d’être l’unité qui transfère la
puissance générée par les DG et donc du bus DC aux charges, le
transfert en douceur de la puissance est effectué dans cette unité.
Du côté de la charge du système vers le côté de la grille, le filtre
LCL existant qui diminue les harmoniques de courant à haute
fréquence. Lors de la conception, si la fréquence porteuse du
PWM est définie, la fréquence de coupure de LCL est conçue pour
être plus petite que la fréquence porteuse afin de pratiquer une
atténuation suffisante pour les harmoniques proches de la
fréquence porteuse et réduire davantage l’ondulation du courant.
Le modèle mathématique de l’onduleur DC-AC bidirectionnel
conçu peut être décrit en négligeant le condensateur de filtre (C
),

dJE
L
V L = V G + RT JE
L + LT (30)
dt
dV L
JE
L = JE
f + JE
C = JE
f + C (31)
dt

Voir la source

où L = L + L
, R = R + R
, V
est la tension du
T f G T f G L
PDF
réseau, JE
est le courant de la grille, et JE
est le courant latéral du
L f
Aide
convertisseur. Le filtre LCL est composé d’inductance L
et f

résistance R
du côté du convertisseur, une autre inductance L
f G

et résistance R
du côté de la grille, et enfin du condensateur (
G

C
) amorti par RC.
f

La conception soignée des filtres LCL est une considération

importante pour obtenir un courant de grille de haute qualité.
Les paramètres LCL peuvent être calculés à partir des équations
suivantes afin que le convertisseur et la grille puissent
fonctionner ensemble dans l’harmonie souhaitée [51].. En outre,
l’approche PWM unipolaire a déclenché les commutateurs pour
effectuer l’onduleur.
 2
(En )

 ZB =
P
(32)

Downl

PDF
Voir la source

pour condensateur,

1
CB =
ωG Z B

Voir la source

avec

Cf ≤ 0,05CB (33)

Voir la source

où, la valeur du condensateur du filtre (C

) est limitée par la
f

réduction du facteur de puissance (moins de 5 %) de la capacité

nominale. k
est un facteur d’atténuation, doit être considéré
un

comme 0,2 [52].

–
√ 2P
JE
max = (34)
3V f

ΔJE
Lmax =0.1JE
L (35)

Voir la source

Le courant nominal moyen est présumé fluctuer de 10 % en (33).

Où Z
est l’impédance de base, E
est une tension effective
B n

d’une phase, P
est une puissance active, C
est la capacité de
B

base, ω
est la vitesse angulaire de la grille, V
est la tension du
G f

filtre, f
est la fréquence de commutation. Ainsi, les valeurs des
SW

inductances peuvent être exprimées comme suit :

V DC _Les Bus
Lf = (36)
6fSW ΔJE
Lmax

1 + kun
LG = (37)
2
kun
Cf ω
SW

Voir la source

Les paramètres de l’onduleur conçu sont présentés dans le

tableau 2. De plus, les condensateurs de bus CC sont calculés
comme suit

JE
DC
CDC _Les = (38)
2ωΔV
Bus

DC _Les Bus

Voir la source
PDF
Aide

TABLEAU 2 Paramètres de l’onduleur d’interconnexion

bidirectionnelle


 La consommation quotidienne moyenne d’énergie des groupes de
charge et des appareils du système est exprimée dans le tableau
Downl
3. Au total, quatre types de charges de 1670 W comprennent une
PDF
alimentation de 600 W, une armature d’éclairage de 520 W, un
électrolyseur de 300 W, un multimètre de 250 W, qui peut être
connecté au microréseau. Ils consomment un total de 1670 W
d’énergie électrique lorsque tous sont connectés.

TABLEAU 3 Profil de charge

SECTION III.
Schéma de contrôle du
système
Un contrôle approprié des convertisseurs de puissance n’a pas
seulement des boucles de rétroaction multiples traditionnelles,
en plus de PWM est essentiel. Le contrôleur est l’une des pièces
principales du système pour atteindre une haute performance. La
configuration générale et la structure de contrôle du système de
conversion de l’énergie solaire avec un convertisseur de
suralimentation DC-DC unidirectionnel qui représente
l’acquisition de la puissance maximale du réseau photovoltaïque.
L’algorithme MPPT, qui détecte le courant et la tension générés
par le réseau, génère une tension de référence. Cette tension de
référence est contrôlée par le contrôleur PI en fonction de la
valeur de tension instantanée, ce qui permet d’envoyer le signal
PWM au convertisseur. Pour obtenir une précision maximale
avec dynamisme, la taille du pas a été sélectionnée comme 0,01 V
pour l’algorithme P&O MPPT. La fréquence de commutation est
réalisée pour le convertisseur PV, est de 10 kHz.

Avant de progresser, il est intéressant d’expliquer l’acquisition

des fonctions de transfert nécessaires pour les contrôleurs après
avoir simplifié et linéarisé le système modélisé. R
est égal à PV

V P V /JE
, qui est la résistance de sortie du réseau
PV

photovoltaïque, la fonction de transfert entre la tension d’entrée

du convertisseur (V
) et le cycle d’utilisation (D
) est indiqué
PV

dans le modèle à petit signal comme suit :

−VDC

V P V (s) LCP V
= (39)
s 1
D(s) 2
s + +
R P V CP V LCP V

PDF
Voir la source Aide

Considérons maintenant que les redresseurs sont largement

classés comme contrôlés et non contrôlés en ce qui concerne les
redresseurs. Le redresseur à pont complet non contrôlé utilise
uniquement des diodes comme dispositifs semi-conducteurs de
commutation dans les applications où le contrôle du flux de
puissance n’est pas obligatoire. Néanmoins, les thyristors,
MOSFET ou IGBT peuvent être préférés dans un redresseur
contrôlé pour gérer le flux de puissance. Par conséquent, la
structure de redresseur à pont complet non contrôlée a été
utilisée avec un filtre LC pour obtenir de l’énergie de la turbine en
raison de la faible puissance de crête du système de conversion
 du vent. Dans le but d’obtenir une puissance fluide grâce à un
filtre LC, l’alimentation continue du bus CC est contrôlée par un
Downl
convertisseur de suralimentation CC-CC unidirectionnel. De
PDF
même, la résistance de sortie du WT, c’est-à-dire R
est égal à WT

V /JE
, la fonction de transfert entre la tension d’entrée du
WT WT

convertisseur (V WT
) et D
est énoncé par le modèle à petit signal
comme suit

−VDC

V W T (s) LCW T
= (40)
2 s 1
D(s) s + +
R W T CW T LCW T

Voir la source

Dans cette étude, l’unité de stockage d’énergie comprend des

batteries plomb-acide et un convertisseur bidirectionnel DC-DC
buck-boost qui est lié au bus DC pour fournir l’énergie aux
charges en permanence, une fois que des entrées non
productrices se produisent. L’utilisation de ce convertisseur
buck-boost DC-DC bidirectionnel vise à maintenir la tension du
bus DC, tandis que la tension change en fonction de la production
et de la consommation. Cette utilisation passe par le contrôle de
la tension du bus CC et du courant de la batterie avec le
contrôleur PI en cascade. Cette structure en cascade est divisée
en deux parties en ce qui concerne la tension du bus CC et le
contrôleur de courant. La fréquence de commutation a été
atteinte pour ce convertisseur comme10 kHz. Les modes du
convertisseur bidirectionnel DC-DC buck-boost qui effectue deux
modes différents tels que le mode buck et le mode boost. Alors
que le mode buck correspond à la charge, le mode boost décharge
la banque de batteries. En supposant que la tension du bus CC
indique V
ainsi R
DC = P /(JE )
est la résistance de
DC DC Bat
2

sortie du banc de batteries et la fonction de transfert entre la

tension d’entrée du convertisseur (V
) et D
peut être défini
P

comme suit :

V DC (s) (1 − D)(RDC − sL)

=
JE
BAT (s) )
1 + (s RDC CDC ) + (1 − D)
2

2
JE
BAT (s)
2RDC + sR CDC
DC
=
2
D(s) s LCDC RDC + sL + RDC − 2DRDC + RDC D

V BAT
∗
RDC (1 − D)

Voir la source

Le contrôle de l’unité de pile à combustible est réalisé grâce à un

convertisseur de suralimentation DC-DC unidirectionnel,
existant avec un régulateur de tension de référence PI et
également un régulateur de débit qui ajuste le débit de carburant.
Où R = V
FC
/JE
est la résistance de sortie de la pile à
FC FC

combustible, la fonction de transfert entre la tension d’entrée du

convertisseur (V
) et D
peut être exprimé comme suit
FC

−VDC
PDF
V F C (s) LCF C
Aide
= (43)
2 s 1
D(s) s + +
R F C CF C LCF C

Voir la source

Du côté du réseau, les répartiteurs bidirectionnels DC-AC ont

obtenu la puissance aux groupes de charge en ajustant la tension
du bus CC et en fournissant la synchronisation du réseau via PLL,
en outre, en contrôlant également le courant du réseau. Comme
on le sait, PLL est un système de contrôle de rétroaction non
linéaire qui synchronise sa sortie en fréquence et en phase avec
 son entrée [53].. Les valeurs prévues des gains des contrôleurs PI
sont données dans le tableau 4.
Downl

PDF
TABLEAU 4 Paramètres des gains du contrôleur PI

La Fig. 7 montre la structure de contrôle générale de l’ensemble

du système. Il est visible que les exigences de gestion de l’énergie
affectent les commutateurs appartiennent au convertisseur
bidirectionnel DC-DC buck-boost et à l’onduleur DC-AC
bidirectionnel, en termes de charge ou de décharge liés aux
modes système. Le contrôle du système avec les exigences EMS a
fonctionné en fonction du mode système tel que le mode batterie
ou grille à l’aide de certaines pièces des disjoncteurs et des relais.
En bref, la structure de contrôleur de tension-courant de
référence PI en cascade a non seulement été préférée pour
obtenir de bons résultats, mais cette structure de contrôleur est
également sélectionnée comme l’un des contrôleurs les plus
courants de l’industrie pour mettre en œuvre cette conformation
au système mentionné.


GRAPHIQUE 7.
Structure de contrôle proposée.

SECTION IV.
Système de gestion de
l’énergie PDF
Aide

Comme indiqué précédemment, l’EMS a deux modes différents.

En mode batterie, les batteries sont alimentées par des DG et par
la suite les charges le sont également. Malgré les batteries
déchargées jusqu’à un certain S oC min

Niveau, l’onduleur
distribue l’alimentation aux charges en mode batterie. De plus,
dans ce mode, la grille est déliée. Au contraire, en mode grille, si
le niveau de SoC est inférieur à la valeur minimale, c’est-à-dire
S oC
, les batteries doivent être chargées, puis sont chargées
min

par le réseau. L’organigramme du SME peut être indiqué à la Fig.

8. Si la valeur du SoC atteint plus de S oC
, l’électrolyseur est
max
 effectué et les charges peuvent également être alimentées si
nécessaire.
Downl

PDF


GRAPHIQUE 8.
Organigramme du système de gestion de l’énergie.

Principalement, il est préférable de mentionner les priorités du

chargeur et des sources de sortie. L’EMS permet au
prosommateur de définir des priorités pour le fonctionnement du
système. La priorité de la source de production peut être
examinée avec trois questions telles que 1) solaire, 2) SBU (c’est-
à-dire réseau de batteries solaires-utilitaires) et enfin 3) réseau
de services publics. De même, la priorité de la source du chargeur
est divisée en trois questions telles que I) réseau de services
publics, II) solaire d’abord et III) réseau de services publics et
sélections solaires. Après cette sélection, il est nécessaire de
définir les limites initiales du SoC en tant que SoC
et SoC
min max

.

Alors que la sélection de la source de charge fournit les batteries

à charger à la sélection associée, la sélection de la source de sortie
donne la priorité au point de génération qui distribue
l’alimentation aux charges via l’onduleur.

Étant donné que le système mentionné a une grande puissance

potentielle de solaire photovoltaïque, l’énergie solaire est
prioritaire pour alimenter les charges en permanence. La
puissance du système dans des conditions d’entrée et de sortie
variables, c’est-à-dire dans des conditions de charge, peut être
équilibrée comme suit :

⎧ PBAT , si SoCmin ≤ S oC ≤ Tod max

PN ET =⎨ (BatteryModeON ) PDF
⎩
PLOAD , si S oC ≤ Tod min  (GridModeON )
Aide
PN ET = PBAT = PP V + PW T − PLOAD − PLOSS

Voir la source

où P BAT

est l’alimentation de la banque de batterie, lorsque les
charges sont alimentées et P
est la puissance de charge
LOAD

demandée par le courant, P

et P
sont générés à partir de
PV WT

panneaux photovoltaïques et d’éoliennes, respectivement, P LOSS

est la perte de puissance totale dans le système. Le banc de

batteries a une capacité d’énergie de 14400 Wh avec 100% du
niveau SoC, même si les DG sont inefficaces pour générer de
l’énergie, tout le groupe de charge peut être alimenté pendant
 8,62 heures avec une pleine capacité du banc de batterie en mode
batterie allumé. La puissance nette demandée (P N ET
) peut être
Downl
défini comme (45) selon le mode de fonctionnement.
PDF

Lorsqu’une étude de cas est réalisée pour déterminer les résultats

de la simulation comme suit :

Initialement, la puissance devrait devenir presque le réseau

photovoltaïque de 1 kW, l’éolienne de 400 W, si
l’éclairement, la température et la vitesse du vent sont
optimaux pour produire de l’énergie bien sûr. Ces DG sont
connectés indirectement à la banque de batteries. Le banc
de batteries est directement connecté aux charges via le
convertisseur bidirectionnel DC-DC buck-boost.
Précisément, nous pouvons dire que les DG alimentent le
banc de batteries. La puissance générée par les panneaux
photovoltaïques et l’éolienne est tentée de tenir près de la
puissance nominale de 1,4 kW par la commande MPPT et
est renvoyée à la banque de batteries.

Pour une meilleure illustration, nous pouvons gérer une

leçon virtuelle qui se tient dans le laboratoire
susmentionné. Dans un premier temps, une armature
d’éclairage (520 W) est branchée et consomme le banc de
batteries connecté au système photovoltaïque et éolien.
Dans le même temps, une alimentation (600 W) est
allumée. La même séquence est ensuite reconnectée pour
la leçon suivante. Le reste de l’énergie générée par les SER
est retourné pour charger les batteries.

Après ces leçons, un multimètre (250 W) est branché pour

mesurer certaines variables à dessein dans le laboratoire. Si
les DG ne fournissent pas suffisamment d’énergie aux
charges, le banc de batteries est déchargé jusqu’à la
sécurité souhaitée S oC min

niveau. Sinon, il est chargé une
fois que la puissance est plus satisfaisante que la demande
de charge. Même si le banc de batteries n’est pas suffisant
pour alimenter, l’alimentation complémentaire est fournie
par le réseau électrique après avoir changé de mode de
fonctionnement pour alimenter les groupes de charge et
charger les batteries.

Avant ou après cette utilisation à tout moment, dans le cas

où le niveau de SoC est plus que défini S oC max
, afin que
les batteries ne se surchargent pas, l’électrolyseur est
allumé pour générer H2 puis stockez H2 dans le H2 tube
d’hydrure métallique pour l’alimentation du système de
pile à combustible. Dans le but de remplir le H2 , le système
de pile à combustible sera prêt à fonctionner.

La pile à combustible qui contient de nombreuses structures

complexes atteint l’entraînement opérationnel requis à partir de
ce micro-réseau avec de l’énergie propre. Il a été prouvé que le
PDF
système fonctionne bien avec cette étude de cas avec des résultats
de simulation et d’expérimentation. Cette étude de cas représente Aide

non seulement un scénario empirique, mais aussi un scénario de

routine lors d’une leçon de laboratoire. Naturellement, dans ce
scénario, l’utilisation du système, des groupes de charge et des
algorithmes de contrôle peut être variée, les innovations requises
pour les activités de recherche et de développement en éducation
peuvent être essayées. Comme le montre la Fig. 9, cet EMS
génère divers signaux de commande en fonction des données
qu’il reçoit des DG, des charges et du réseau. Ces signaux
contrôlent les convertisseurs d’électronique de puissance, qui
sont les principaux porteurs du système, et les relais pour
allumer et éteindre le réseau, les charges et les convertisseurs.

Downl

PDF


GRAPHIQUE 9.
Schéma fonctionnel général du système discuté.

Il convient de mentionner que les systèmes de stockage par

batterie jouent un rôle clé dans l’amélioration de la stabilité du
microréseau et la réduction des effets néfastes de la nature
intermittente des SER. La principale source d’énergie pour les
charges est le réseau photovoltaïque et l’éolienne; cependant, la
banque de batteries stocke l’énergie excédentaire générée du côté
photovoltaïque en tant que sources d’énergie complémentaires.
Une fois que le réseau photovoltaïque et le système d’éolienne ne
peuvent pas se permettre une puissance suffisante (en raison de
conditions météorologiques insuffisantes) et que le SoC du banc
de batteries est inférieur à la valeur définie (S oC
), ainsi
min

l’exploitation isolée se termine, et l’énergie complémentaire est

fournie par le réseau.

SECTION V.
Résultats de la simulation
Des résultats de simulation et d’expérimentation sont révélés
pour vérifier le système avec les exigences proposées en matière
de SGE. En tant qu’entrées des DG, l’irradiance solaire, la
température et la vitesse du vent sont générées en obtenant un
ensemble de données à l’échelle d’une station météorologique à
utiliser dans le modèle de simulation. Lors de la définition d’un
modèle de charge aléatoire d’une leçon qui se déroule en
laboratoire, il est possible que la courbe de puissance de ces
charges définies soit visible à partir de la Fig. 10. Comme on peut
le voir à la Fig. 10 (a), parmi t = 0,05
– 0.15 s et encore t = 0,25
– 0,35 s, l’armature d’éclairage a été impliquée avec sa puissance
au-delà de 500 W. Pendant ces périodes, l’alimentation a été
mise sous tension, comme le montre la Fig. 10 (b). Après t = 0,45
s, l’électrolyseur a été allumé avec une puissance de 300 W pour
générer H2 fonctionnement du gaz à la pile à combustible environ
0,20 seconde. À ce moment-là, le multimètre a demandé une
puissance de 0,20 s pour mesurer certaines variables dans la
PDF
leçon, comme on peut le voir sur la Fig. 10 (c) et (d). Ainsi, tous
les moments de branchement appartiennent aux charges peuvent Aide

être montrés séparément à la Fig. 10. Comme argument connu

selon lequel la fréquence des charges AC devrait correspondre à
la fréquence de la grille telle que 50 ou 60 Hz, la fréquence de
fonctionnement des charges AC peut être extraite de la période
de leur forme d’onde existant à la Fig. 11. Comme on le voit, les
périodes de forme d’onde sont égales les unes aux autres et il est
évident qu’une période est de 20 ms, de sorte que la fréquence
des charges AC peut être considérée comme 50 Hz.

Downl

PDF

GRAPHIQUE 10.
Les courbes des puissances de charge: (a) Puissance
d’éclairage, (b) Puissance d’alimentation, (c) Puissance
de l’électrolyseur et enfin (d) Puissance du multimètre.


GRAPHIQUE 11.
Les courbes des charges: (a) l’état de commutation de la
charge, (b) les puissances actives de la charge et (c) le
courant de la charge.

PDF
Aide


GRAPHIQUE 12.
 Station météorologique sur le toit du bâtiment du
laboratoire pour l’utilisation des données
météorologiques.
Downl

PDF

L’armature d’éclairage, puis l’alimentation électrique sont

impliquées consécutivement, de sorte que le pas observé de
l’escalier dans la puissance de la batterie pourrait être attribué à
un incrément de la demande de charge. De même, le multimètre
est impliqué pendant l’opération d’électrolyse, donc une autre
étape inférieure à la précédente peut provenir de cette autre
demande de la Fig. 11 (b). Il y a trois demandes de charge
consécutives quant à la raison pour laquelle ce résultat a été
observé. De plus, à partir de t = 0,9
Jusqu’à la fin, dans
l’inexistence de toute demande de charge, une augmentation
observée de la Fig. 13 (c) pourrait être attribuée à une petite
baisse de la puissance de la batterie sous l’effet d’énergie solaire,
comme le montre la Fig. 15 (b). Les profils d’entrée des DG tels
que le solaire et l’éolien ont été obtenus à partir de la station
météorologique peuvent être montrés à la Fig. 12 avec les
données à l’échelle de la station météorologique. Ces données
peuvent être évaluées comme l’effet du profil variable en entrée
dans le système, comme le montre la figure 13 a) et b).


GRAPHIQUE 13.
Les profils d’entrée: (a) l’irradiance et la température
solaires, (b) la vitesse du vent et (c) l’énergie des
générations distribuées. PDF
Aide

Downl

PDF


GRAPHIQUE 14.
Les sorties de fonctionnement du système de pile à
combustible pendant 10 secondes; a) la puissance de la
pile à combustible, b) le débit de consommation de
carburant en termes de compteur à roue à aubes
d’insertion (Ipm) et c) l’efficacité de la pile à
combustible.


GRAPHIQUE 15.
Les courbes du banc de batteries, (a) S oC
niveau, (b)
puissance, (c) courant et (d) tension.

PDF
L’état d’équilibre de la pile à combustible en présence du
Aide
combustible, comme on le voit sur la Fig. 14 (a), prend environ 5
secondes. Les débits d’air et de carburant ressemblent à une
caractéristique parallèle à la puissance générée, mais l’efficacité
de la cheminée est inversement liée à la puissance générée,
comme le montre la figure 14 b) et c). À la suite de l’étude de cas
définie dans la simulation, l’électrolyseur s’est arrêté t = 0,64
s.
Electrolyser a stocké de l’hydrogène pour l’utilisation de la pile à
combustible pendant cette période de fonctionnement. Selon les
algorithmes de gestion de l’énergie à t = 0,7
la pile à
combustible a absorbé le combustible stocké pour générer de
l’énergie à l’aide du fonctionnement continu du régulateur de
débit.
 Pour une meilleure illustration de l’étude de cas, il est évident de
voir au premier coup d’œil que la Fig. 15 est divisée en douze
Downl
événements. À cette fin, l’analyse du comportement du système
PDF
devient facile. En fait, la Fig. 15 illustre le comportement de
l’alimentation principale, c’est-à-dire le banc de batteries. La Fig.
15 (a) montre le niveau de SoC du banc de batteries, qui indique
la valeur en pourcentage liée à sa capacité, permet également de
rendre la batterie intelligible pour les personnes. Dans ce cadre,
la Fig. 15 (b), (c) et (d) montre la puissance, le courant et la
tension de la batterie, respectivement. Avant de continuer, il est
important de se référer au fait que la forme de la courbe de
courant est la même que la courbe de puissance, contrairement à
la courbe de tension. Lorsque le courant est positif, cela signifie
décharger, sinon correspond à la charge. Ces événements divisés
peuvent être alignés comme suit.

Les premier, onzième et douzième événements montrent

qu’aucune charge n’est impliquée et que le banc de batteries est
chargé d’une puissance de 500 W. Dans le second cas, l’éclairage
est d’environ 500 W, qui est activé. Ainsi, le niveau de SoC reste
constant pendant cette période. Une fois l’autre charge activée
pour le troisième événement, les batteries sont déchargées et le
niveau de SoC diminue.

Pour le quatrième événement, puisqu’il n’y a pas de charge

jusqu’à t = 0,25
, les batteries sont alimentées par les DG dans la
limite de leur capacité comme le montre la Fig. 15 (c), le courant
est négatif et les batteries sont chargées. Dans les cinquième et
sixième événements, les armatures d’éclairage et l’alimentation
sont à nouveau activées en séquence et agissent de manière assez
similaire à proximité des deuxième et troisième événements.
Cependant, la raison n’est pas la même car la puissance fournie
par les DG dans ce modèle est inférieure à la puissance des
deuxième et troisième événements, de sorte que le niveau de SoC
a tendance à baisser.

Le septième événement est similaire au quatrième événement,

mais la pente ascendante du niveau SoC est légèrement inférieure
en raison de la puissance inférieure existante des DG. Dans le
huitième événement, avec l’inclusion d’une puissance de charge
moindre, c’est-à-dire l’électrolyseur dans le profil à vide, la
puissance des DG est légèrement compensée, la pente de la
montée du SoC diminue mais son niveau a augmenté. Après ce
cas, le multimètre est allumé au neuvième événement, les charges
vident légèrement la batterie. Avec le multimètre éteint et la
puissance des DG dans le dixième événement, les batteries sont
rechargées dans une petite mesure. Enfin, comme les onzième et
douzième événements ont des profils déchargés de la même
manière, la puissance des DG est transférée et chargée sur les
batteries. Dans le douzième événement, la pente de charge plus
élevée est due à la puissance plus élevée des DG.

PDF

SECTION VI. Aide

Fonctionnement en temps
réel avec résultats
expérimentaux
Les résultats expérimentaux sont réalisés pour étayer les
résultats de la simulation. Initialement, le micro-réseau à
l’échelle du laboratoire RES à haute pénétration modélisé a été
installé. Ensuite, un système de test en temps réel a été créé pour
l’opération avec contrôle et algorithme de gestion de l’énergie
proposé. L’EMS a été conçu et orienté à l’aide d’une interface de
 logiciel de gestion pour l’onduleur d’interconnexion DC-AC
nommé 'W atchP ower
' connecté à l’ordinateur et à tout le
Downl
matériel. Comme on peut le voir sur la Fig. 16 montre tous les
PDF
composants du système mentionné. Le réseau photovoltaïque et
l’éolienne sont situés sur le toit du bâtiment dans lequel le
laboratoire existe. La pile à combustible, les convertisseurs de
puissance et les groupes de charge CA existent à l’intérieur du
laboratoire.


GRAPHIQUE 16.
Mise en place expérimentale d’un système de micro-
réseau à l’échelle du laboratoire.

Pour recueillir des données expérimentales dans le même ordre

de type de charge et voir si le SME proposé satisfait ou non aux
charges CA, le système a été exécuté pendant 30 minutes avec
deux cas EMS différents. Ensuite, les données expérimentales ont
été collectées par demi-minute, analysées, tracées et comparées
aux résultats de la simulation.

De la même manière, les charges AC sont impliquées dans le

même ordre que la simulation. Tout d’abord, le temps entre
t = 1,5
– 4,5 min et t = 7,5
– 10,5 min les armatures d’éclairage

sont actionnées. Aux 1,5 dernières minutes de ces intervalles de

temps, l’alimentation est exécutée consécutivement.
L’électrolyseur est impliqué dans le système entre t = 13,5
–
18,6 min. À ce moment de fonctionnement, le multimètre est
branché pendant 6 minutes jusqu’à ce que t = 21
min.

Comme indiqué précédemment, l’interface d’acquisition de

données, à savoir WatchPower (C), permet aux utilisateurs de PDF
définir à l’avance les conditions de départ du fonctionnement du Aide

système. Deux cas EMS différents ont été définis en modifiant la

priorité de la source de sortie comme 1) les propriétés solaires et
2) SBU (c’est-à-dire le réseau solaire-batterie-réseau de services
publics) dans le but de cibler la priorité de la source du chargeur
comme seulement II) solaire d’abord. Les résultats
expérimentaux ont été essayés d’obtenir par des conditions
d’entrée et de sortie (charge) proches dans la mesure du possible.
La combinaison de cas a été opérée comme suit :

1. 1) Solaire et II) couple solaire-premier, tandis que

l’irradiance solaire moyenne a été obtenue 849 W / m2, la
vitesse moyenne du vent a été de 12,4 m/s pour le cas 1.
 2. 10 minutes plus tard, le cas 2 a été identifié par le système.
 L’irradiance solaire moyenne a été mesurée à 812 W/m2 et
Downl
la vitesse du vent a été de 13,2 m/sec avec 2) SBU et II)
PDF
couple solaire.

Avec l’acquisition expérimentale de données au cours de ces cas,

la puissance de charge active, la puissance de la batterie et la
puissance des DG (les DG de puissance réelles, c’est-à-dire
P DG
= P PV
+P
) sont illustrés à la fig. 17. Il est utile de
WT

mentionner qu’une fois les données expérimentales recueillies, la

vitesse du vent était assez faible. En ce qui concerne le banc de
batteries, le niveau de SoC, la puissance, le courant et les courbes
de tension peuvent être montrés à la Fig. 18. Avec une chute
rapide de la puissance des DG, les batteries se déchargent pour
alimenter les charges. Les pertes réelles dans le système peuvent
également être calculées comme (45).


GRAPHIQUE 17.
Courbes de données expérimentales; (a) puissance de
charge active, (b) puissance de la banque de batteries,
et (c) puissance DG demandée (somme de la puissance
PV et WT).

PDF
Aide

Downl

PDF


GRAPHIQUE 18.
Courbes de données expérimentales concernant la
banque de batteries; (a) Niveau SoC, (b) puissance, (c)
courant et enfin (d) tension.

Deux cas différents sont testés sur le micro-réseau à l’échelle du

laboratoire pour une validation plus poussée des performances.
Comme le cas 1 inclut la priorité de la source de sortie comme 1)
solaire, les sources d’alimentation principales effectuent un
fonctionnement un peu plus fluide sans pics inutiles par rapport
au cas 2. De plus, il est évident que les résultats expérimentaux
ont des résultats similaires aux résultats de simulation qui sont
comparés les uns aux autres. On peut considérer explicitement
que l’expédition de l’énergie excédentaire consiste à stocker la
banque de batteries. En raison du comportement naturel, le
courant et la puissance de la banque de batteries ont une courbe
caractéristique parallèle, contrairement à la tension opposée.
Avec l’algorithme de gestion de l’énergie, le système met le
microréseau en mode réseau sans tomber sous le S oC
niveau
min

pour faire fonctionner la banque de batteries dans une bande

saine.

En mode réseau, le système alimente les charges en cas de

demande et charge également les batteries lorsqu’il n’y a pas de
charges. En d’autres termes, les charges sont fournies par le
réseau dans ce mode, de sorte que les batteries sont alimentées
par la puissance obtenue à partir des DG (s’il existe encore) ou
par le réseau.

Dans le but de vérifier le fonctionnement du système, un autre

scénario a été mis en œuvre en définissant l’initiale S oC min
et
S oCmax

valeur de 60 % et 80 %, respectivement.

Lorsque la capacité de la batterie diminue de 60 %, le système

passe en mode réseau et continue d’alimenter les charges à
travers le réseau électrique. La capacité de la batterie ne peut être
intégrée dans le système qu’en repassant en mode batterie après
avoir un niveau de SoC raisonnable de 80%. Ainsi, la Fig. 19
représente le résultat de simulation de ce scénario de
fonctionnement multimode et la Fig. 20 fait également référence
au résultat expérimental de ce scénario. En conséquence, nous
pouvons affirmer que les principales sources de la gestion de la
demande de charge du système sont respectivement les DG, les
batteries et, enfin, le réseau de services publics. PDF
Aide

Downl

PDF 
GRAPHIQUE 19.
Résultats de simulation d’un fonctionnement multimode
avec un SoC initial de 70 %. Entre près de
t = 0,45 ∼ 0,78
, le système fonctionnait en mode

réseau. En raison de l’absence de toute charge t = 0,61

s les piles ont été alimentées.


GRAPHIQUE 20.
Résultats expérimentaux d’un fonctionnement multimode
avec le cas 1 avec un SoC initial de 60%. À t = 10,29
min les charges ont été alimentées en mode grille puis
presque à t = 34,5
min, le mode batterie était à
nouveau activé.

SECTION VII.
Conclusion
Dans cet article, la mise en œuvre de la conception, la
modélisation et l’exploitation d’un microréseau autonome ont été
proposées pour un microréseau expérimental de laboratoire
d’éducation et de recherche à l’échelle du laboratoire. Par rapport
au caractère instable des SER, une alimentation continue et
fiable a été essayée pour atteindre et fournir des DG aux charges.
La configuration expérimentale a été réalisée en douceur, dont
les résultats ont un comportement complémentaire car les
résultats de la simulation sont frappants. Bien que la fluctuation
de l’entrée DG existe, le banc de batteries pourrait lisser les
harmoniques, satisfaire les charges AC grâce au contrôle et au
PDF
fonctionnement soignés des convertisseurs de puissance. Une
Aide
fois que plusieurs charges sont incluses dans le groupe de charge
en même temps, le système répond à ces charges sans
dépassements. Les cas EMS proposés ont été mis en œuvre pour
protéger la durée de vie de la batterie et ont également réussi les
opérations assignées pour améliorer la flexibilité du système
général. Ainsi, on peut extraire des résultats expérimentaux que
la puissance de crête et la fluctuation sont relativement
diminuées avec succès. Il a été prouvé que le système fonctionne
bien avec cette étude de cas avec des résultats de simulation et
d’expérimentation.

Le modèle approprié, l’installation robuste et le fonctionnement

sain de ce microréseau à l’échelle du laboratoire fournissent une
 base prête pour des recherches plus sophistiquées à l’avenir. De
plus, le système peut être proposé pour les applications
Downl
résidentielles, en particulier qui ont des charges critiques pour
PDF
fournir un flux d’énergie continu à l’aide d’un EMS souhaité.
Dans ce micro-réseau à l’échelle du laboratoire, tout le besoin du
système est fourni via de l’énergie verte pendant une leçon, ce qui
est remarquable et instructif. Le système étudié améliore la
qualité de l’éducation et de la recherche, dans de multiples
disciplines en génie électrique. Notamment, cette structure de
système a présenté la possibilité d’étudier dans de nombreux
domaines tels que les énergies renouvelables, le contrôle,
l’électronique de puissance, les logiciels, etc. aux chercheurs et
aux étudiants.

Authors 
Figures 
References 
Citations 
Keywords 
Metrics 

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