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All content following this page was uploaded by Yassine Khelil on 04 October 2020.
Sur/alimentation
Chaleur (convection forcée) 3.1 Capteurs et défauts
Chaleur
(convection,
conduction et
rayonnement Friction Les défauts surveillés sur le système de lubrification sont
Système
d’alimentation et
Combustible
prêt pour
Système de combustion Puissance
au frein
définis par les experts de la façon suivante :
l’emploi (base moteur)
Combustible d’injection
Radiation Accessoires
(D1) fuite d’huile
(pompes,
Lubrification et
alternateurs …)
(D2) encrassement du filtre à huile
refroidissement
des éléments
mobiles (D3) usure de la pompe à huile
Système de
démarrage et
Système de (D4) encrassement du refroidisseur d’huile
Lubrification et lubrification
circuits électriques refroidissement
des éléments Les capteurs installés pour surveiller l’éventuelle appari-
mobiles Huile
tion des défauts, cités ci-dessus, sont :
Figure 1. Schéma des sous-systèmes du moteur Diesel (C1) la pression d’entrée filtre à huile (Pef h )
système d’injection a pour fonction de fournir du carbu- (C2) la pression de sortie filtre à huile (Phem )
rant mis sous pression aux cylindres. Des éléments comme (C3) la température d’huile entrée moteur (Them )
des filtres, des conduites, des pompes, des injecteurs, un
réservoir constituent ce système. Le circuit d’air (et des gaz 3.2 RCE et leur validation
d’échappement) permet de fournir de l’air aux cylindres
pour la combustion. Ce système contient un filtre à air, Ces relations de cause à effet associées au système de lu-
un turbocompresseur, des collecteurs et un refroidisseur brification sont données par des experts de la maintenance
d’air de suralimentation (RAS). Le système électrique est et sont exprimées par quatre règles :
composé d’un système de charge des batteries et d’un (R1) Une fuite d’huile peut être signalée par une dimi-
système de démarrage du moteur. Les relations entre ces nution de la pression et une augmentation de la
différents sous-systèmes sont illustrées dans la figure 1. température d’huile.
Pour surveiller le moteur, chaque sous-système est doté (R2) Un encrassement du filtre à huile peut être révélé
d’une liste spécifique de capteurs. La liste des capteurs a par une hausse de la pression différentielle du filtre.
(R3) Une défaillance ou une usure de la pompe à huile Certains paramètres comme la viscosité dynamique sont
peut causer une diminution de la pression et une connus et spécifiques à chaque catégorie d’huile. Le moteur
augmentation de la température. utilise une huile SAE 10W30 ayant pour paramètres µh =
(R4) Un encrassement du refroidisseur d’huile peut avoir 0.17P a.s et ρh = 865kg/m3 . Notons que l’effet de la
comme symptômes, une augmentation de la tempéra- température sur ces paramètres est négligé. En supposant
ture d’huile et une diminution des pressions. un écoulement laminaire, les paramètres C1i ainsi que Pref
sont identifiés par les moindres carrés.
4. MODÈLE DU SYSTÈME DE LUBRIFICATION
4.2 Modélisation de l’aspect thermique
Comme il a été dit précédemment, les RCE sont souvent
floues et peuvent contenir des incertitudes. Afin de valider Les équations dans (3) représentent un modèle du com-
ces relations, le système de lubrification est modélisé. Le portement thermique pour le système de lubrification
modèle doit prendre en compte les aspects physiques du dans un état de fonctionnement normal. La première
système afin de pouvoir insérer facilement les défauts et équation (3a) représente la relation entre le débit de
donc de valider les RCE. Une illustration de ce modèle est carburant ṁf donné par (4) et la chaleur libérée par la
donné dans la figure 3. combustion Q̇ht [Heywood, 1988]. La seconde équation
(3b) représente la représentation mathématique de l’aspect
thermique du système de lubrification (voir figure 3) où
la résistance thermique du refroidisseur d’huile RRH est
supposée constante.
ṁ a4
f
Q̇ht = a3 0.5 ≤ a4 ≤ 0.75 (3a)
Ap
Them 1
Ṫhem = (Q̇ht − ) (3b)
RRH cph qph
L’expression du débit de carburant en fonction de la
position pédale est décrite par (4) [Younes, 1993].
Figure 3. Aspect thermique et hydraulique du modèle du ṁf = ω(b1 + b2 xrack + b3 x2rack ) (4)
système de lubrification
Une écriture compacte des équations (3) et (4) est donnée
par (5).
4.1 Modélisation de l’aspect hydraulique
(1 + C5 xrack + C6 x2rack )a4 Them
Ṫhem = C3 − C4 (5)
Les équations dans (1) représentent un modèle simplifié ω 1−a4 ω
a
du comportement hydraulique du système de lubrification a3 b1 4 1 b2
où C3 = a
a11 a12 cph Ap4
, C4 = a11 a12 cph RRH , C5 = b1 ,
dans un état normal de fonctionnement (voir figure 3). b3
Les équations (1a) et (1b) sont liées à la pompe à huile C6 = b1 et 0.5 ≤ a4 ≤ 0.75.
[Bachus and Custodio, 2003]. Le reste assimile le circuit à Les paramètres a4 , C3 , C4 , C5 et C6 du modèle thermique
des conduites cylindriques successives ayant des longueurs sont identifiés en minimisant l’erreur de sortie.
respectives L1 , L2 , L3 et des diamètres D1 , D2 , D3
associés au refroidisseur d’huile, au filtre et au bloc moteur
[King, 2002]. Les équations sont décrites pour trois parties 4.3 Validation du modèle
du système où δP1 = Perh − Pref (différence entre la
pression d’entrée du refroidisseur d’huile et une pression Les modèles (2) associés au refroidisseur d’huile et au filtre
de référence), δP2 = Perh − Pef h (pression différentielle ainsi que le modèle (5) sont validés sur un nouveau jeu
du refroidisseur) et δP3 = Pdf h = Pef h − Phem (pression de données réelles, en comparant les estimations de Pef h ,
différentielle du filtre à huile). Phem , Them et les valeurs mesurées. Les résultats sont
ωph = a1 ω (1a) présentés dans la figure 4. Les erreurs relatives d’estima-
tion données par la calcul de la déviation maximale entre
qph = a2 ωph (1b) l’estimation et la mesure rapportée à la valeur nominale
2
ρh qph Li sont respectivement de 4.07%, 4.61% et 2.21% pour Pef h ,
δPi = 32fi 2 5 i = 1, . . . , 3 (1c) Phem et Them .
π Di
16
débit laminaire (Rei < 2000) Les résultats donnent de bonnes tendances même si le
fi = Rei (1d) modèle reste un modèle simplifié et que les conditions
0.079Re−0.25
i débit turbulent (Rei > 2000)
qph d’utilisation sont différentes. Ce degré de précision est
Rei = ρh π i = 1, . . . , 3 (1e) suffisant pour la validation des RCE heuristiques.
4 h Di
µ
Une écriture plus compacte de (1) est donnée par (2).
5. VALIDATION DES RCE VIA LE MODÈLE
C1i ω (Rei < 2000)
δPi = (2)
C2i ω 1.75 (Rei > 2000) Afin de valider les règles (R1) à (R4), les défauts (D1)
1.75
où i = 1, . . . , 3 ; C2i = 1.7876ρ0.75 0.25 (a1 a2 ) Li à (D4) sont introduits dans le modèle, en faisant varier
h µh π 1.75 Di4.75
et
les paramètres identifiés (voir section 4). Notons que les
C1i = 128µh a1πD
a2 Li
4 variations faites pour la validation de RCE ne sont que de
i
sorties modèle données réelles conduite du navire. Beaucoup de mesures (températures,
7
pressions, ...) varient en fonction de la vitesse moteur.
[bar]
5
0 0.5 1
temps [h]
1.5 2 2.5 (C3) du sous-système (voir section 3.1) est dynamique ce
7 qui conduit à la mise en place d’un réseau de neurones
dynamique en mettant la mesure retardée yi (t − 1) en
[bar]
6
entrée du réseau.
efh
p
5
0 0.5 1
temps [h]
1.5 2 2.5 Le réseau a une structure à deux couches. La couche cachée
100
a 20 neurones et des fonctions sigmoı̈des en sortie, la
couche de sortie a une fonction linéaire. Le nombre de
Them [°C]
90
neurones de la couche cachée est choisi après une étude
80 de l’erreur d’estimation et du coût de calcul en fonction
0 0.5 1 1.5 2 2.5
temps [h] du nombre de neurones.
Un encrassement (D2, D4) est lié à un phénomène de Figure 5. Structure du réseau de neurones
dépôt conduisant à la réduction de la section du débit
(D2 , D1 ). Donc, l’encrassement est simulé en diminuant 6.2 Apprentissage
le diamètre des conduites. De plus, l’encrassement (D4)
réduit la conductivité thermique et peut être traduit par L’apprentissage du réseau se fait par l’algorithme d’op-
la hausse de la résistance thermique (RRH ). timisation de Levenberg-Marquardt. Un premier jeu de
données est utilisé pour l’apprentissage et un deuxième
Une usure de la pompe (D3) correspond à la baisse de pour la validation et le test. Ces deux jeux contiennent
la capacité ou à l’incapacité (pire cas) de fournir un des données sur différents modes de fonctionnement du
débit. Cela correspond principalement à la réduction de moteur en fonction de la vitesse moteur (voir la figure
l’efficacité de la pompe (a2 ) et quelques fois à une chute 6). Les résultats de l’apprentissage sont présentés dans la
du rapport de réduction (a1 ) si une courroie est utilisée. figure 6.
Le tableau 1 présente pour chaque défaut les variations
correspondantes mises en place et les symptômes observés.
ω
ω [tr/min]
2000
Les règles (R1) à (R4) sont vérifiées, seules les hausses 1500 données réelles
de température d’huile dans (R1) et (R3) ne sont pas 1000 sortie RNA
0 1 2 3 4
constatées.
phem[bar]
7 7
[bar]
0 1 2 3 4 0 1 2 3 4
(D1) qph & Pef h & Phem & Them →
(D2) D2 & Pdf h % Them → 2 2
pefc[bar]
pepi[bar]
1 1.5
(D3) a1 a2 & Pef h & Phem & Them →
0 1
0 1 2 3 4 0 1 2 3 4
(D4) D1 & et RRH % Pef h & Phem & Them %
[°C]
100 0.5
[bar]
90 0
hem
dfc
0 1 2 3 4 0 1 2 3 4
temps [h] temps [h]
)[bar]
1
)
hem
Les résidus sont générés en comparant chaque mesure de
hem
0 0
R (p
capteur yi (t) avec son estimation correspondante ŷi (t) cal-
r (p
−0.1 −1
culée via le réseau de neurones, où l’indice i fait référence 0 1 2 3 4 0 1 2 3 4
temps [h] temps [h]
à chaque variable. L’expression du résidu est définie par :
0.1
)[bar]
1
ri (t) = yi (t) − ŷi (t) (6)
)
efh
0 0
R (p
efh
r (p
−1
7.2 Génération des seuils −0.1
0 1 2 3 4 0 1 2 3 4
temps [h] temps [h]
)[°C]
1
)
prenant la plus grande valeur de dispersion de l’erreur
hem
hem
0 0
R (T
entre l’estimation du RN et la mesure sur l’ensemble des
r (T
−1
données de validation de l’apprentissage. Ces seuils sont −0.2
0 1 2 3 4 0 1 2 3 4
définis par : temps [h] temps [h]
max
T hi = βimax maxj∈{1,...,N } (yi (j) − ŷi (j))
min (7)
T hi = βimin minj∈{1,...,N } (yi (j) − ŷi (j)) Figure 7. Évolution des résidus dans le cas d’un défaut
où N est le nombre de données utilisées pendant l’étape sur la pompe à huile
de validation de l’apprentissage et i fait référence aux Le défaut est détecté de manière quasi-instantanée même
variables prises en considération. si l’amplitude du défaut est assez faible. La détection du
Pour garder le nombre de fausses alarmes acceptables et défaut se traduit par le passage du résidu normalisé de 0
en même temps pour prendre en compte l’aspect variable à −1, indiquant une chute.
des fonctions “max” et “min”, des coefficients d’ajustement
8.2 Résultats expérimentaux
βimax et βimin sont introduits aux expressions des seuils.
Comme déjà mentionné, l’approche est appliquée à des si-
7.3 Évaluation des résidus tuations réelles avec des défauts sur le système d’injection.
La même méthodologie est réalisée comme celle présentée
En fonction de l’état de fonctionnement des sous-systèmes précédemment. Le système d’injection a deux capteurs :
du moteur, les résidus doivent réagir ou non. Cette réaction (C4) pression entrée filtre à carburant (Pef c )
des résidus est formulée en introduisant de résidus norma- (C5) pression sortie filtre à carburant (Pepi )
lisés définis par :
ainsi qu’un capteur logiciel Pdf c qui correspond à la
1 si ri (t) > T hmax
i différence Pef c − Pepi . Deux types de défauts sont étudiés :
Ri (t) = −1 si ri (t) < T hmin (8) (D5) fuite de carburant, une faible fuite commençant à
0 si T hmin ≤ ri (t) ≤ T hmax
i i i t = 30.35 min et finissant à t = 31.07 min suivie
où 1 caractérise une hausse, −1 une chute et 0 un fonc- d’une fuite plus sévère de t = 32.03 min à t = 34.35
tionnement normal (sans défaut). min
(D6) encrassement du filtre à carburant, un faible encras-
8. RÉSULTATS sement commençant à t = 35.37 min et finissant à
t = 42.70 min puis un plus sévère de t = 42.70 min à
t = 53.25 min.
Dans cette section, la procédure de diagnostic est ap-
pliquée au système de lubrification et étendue par la suite Les relations de cause à effet fournies par les experts sont
au système d’injection qui contient une instrumentation validées et résumées par :
en capteurs similaire. Un dysfonctionnement du système (R5) Une fuite de carburant se traduit par une baisse de la
de lubrification peut avoir de conséquences graves coûtant pression
chères à réparer (comme le grippage des pistons). Donc, (R6) Un encrassement du filtre se traduit par une augmen-
une simulation des défauts est effectuée sur le système tation de la pression différentielle du filtre.
de lubrification, les résultats sont donnés dans la section La figure 8 représente les résidus ainsi que les résidus
suivante. Afin de consolider notre approche, les résultats normalisés pour les cases (D5, D6). Notons qu’aux instants
obtenus en situation réelle sur le système d’injection sont 30.42 min et 30.35 min, les résidus normalisés des deux
présentés dans la section 8.2. pressions pef c et pepi passent de 0 à −1 indiquant la
présence d’une fuite. Ensuite à l’instant 32.70 min et 32.17
8.1 Résultats de simulation min, ces résidus passent de nouveau de 0 à −1 indiquant
toujours une fuite (il s’agit de la fuite sévère). Les deux
L’usure de la pompe à huile est simulée par des chutes niveaux (faible et sévère) sont détectés correctement après
des pressions d’huile (pef h et phem ). Le défaut débute à un bref délai. Le même raisonnement peut être fait sur
l’instant t = 10 min (0.16 h) et est d’amplitude 0.65 bar l’encrassement. À l’instant 35.38 min, le résidu normalisé
(soit 9.6% de la valeur nominale de pef h et de phem ). La de la pression différentielle pdf c passe de 0 à 1. Quelques
figure 7 représente les résidus et les résidus normalisés du fausses alarmes et non-détections sont à noter, mais leur
cas (D3). nombre reste acceptable.
résidu seuil résidu normalisé tection in diesel engines. Proc. of American Control
0.5 1 Conference, pages 1128 – 1133, 2009.
r (pefc)[bar]
R (pefc)
−0.5 0
G.O. Chandroth, A.J.C. Sharkey, and N.E. Sharkey. Arti-
−1 ficial neural nets and cylinder pressures in diesel engine
−1
−1.5
20 30 40 50 20 30 40 50
fault diagnosis. Proceedings of INMARCO98, 1998.
temps [min] temps [min] J.B. Heywood. Internal combustion engine fundamental.
0.2 1 McGraw-Hill Inc, New York, USA, 1988.
r (pepi)[bar]
R (pepi)
−0.2 0
F. Kimmich, A. Schwarte, and R. Isermann. Fault detec-
−0.4 tion for modern diesel engines using signal and process
−1
20 30 40 50 20 30 40 50
model-based methods. Control Engineering Practice,
temps [min] temps [min] 13 :189–203, 2005.
1 1 R.P. King. Introduction to practical fluid flow.
r (pdfc)[bar]
R (pdfc)
Butterworth-Heinemann, 2002.
0 0
I. Morgan, H. Liu, G. Turnbull, and D. Brown. Predictive
−1
−1
20 30 40 50 20 30 40 50
unsupervised organisation in marine engine fault detec-
temps [min] temps [min] tion. IJCNN, pages 249–256, 2008.
M. Nyberg and T. Stutte. Model based diagnosis of
Figure 8. Évolution des résidus dans le cas d’une fuite de the air path of an automotive diesel engine. Control
carburant et d’un encrassement du filtre à carburant Engineering Practice, 12 :513–525, 2004.
A. Pernestal. A bayesian approach to fault isolation with
9. CONCLUSION application to diesel engine diagnosis. Licenthiate the-
sis, KTH School of Electrical Engineering, Stockholm,
Sweeden, 2007.
Une méthodologie utilisant des réseaux de neurones est
M. Sachenbacher, A. Malik, and P. Struss. From electrics
présentée dans ce papier. Une étape préliminaire a conduit
to emissions : Experiences in applying model-based
à la validation les relations de cause à effet à partir d’un
diagnosis to real problems in real cars. Proc. 9th Int.
modèle analytique. Les résultats montrent que les RCE
Work. on Principles of Diagnosis, pages 246–253, 1998.
sont fiables mais une attention particulière doit être ac-
cordée à l’étape d’isolation, surtout que l’influence des R. Younes. Élaboration d’un modèle de connaissance
défauts sur les variables n’est pas équivalente. Notons du moteur Diesel avec turbocompresseur à géométrie
qu’après une première phase de validation en simula- variable en vue de l’optimisation de ses émissions. Phd
tion, la méthodologie a été testée sur des données réelles thesis, École Centrale de Lyon, 1993.
présentant des défauts. Les résultats montrent l’efficacité Annexe A. NOMENCLATURE
de l’approche quant à la détection des défauts. Ces derniers
sont détectés quasiment instantanément même si leur am- a1 Rapport de réduction.
plitude est faible. Le nombre de fausses alarmes et de non- a2 Coefficient d’efficacité (rendement) et de conver-
détections reste acceptable. De plus, un post traitement sion (m3 ).
sur les résidus peut améliorer les résultats. a3 , a4 Constantes.
Ap Surface du piston (m2 ).
Les perspectives de ce travail consistent à étudier la sen- b1 , b2 Constantes.
sibilité aux défauts et d’améliorer l’isolation des défauts. cph Capacité thermique de l’huile (J.kg −1 K −1 ).
Une autre perspective consiste à généraliser cette approche D Diamètre des conduites cylindriques (m).
à d’autres systèmes autre que le moteur Diesel. f Facteur de friction.
L Longueur des conduite cylindriques (m).
REMERCIEMENT ṁf Débit carburant (kg/s).
µh Viscosité dynamique (P a.s).
Les auteurs tiennent à remercier les partenaires du projet ω Vitesse de rotation du moteur (rad/s).
BMCI : DCNS, PREDICT, SIMB, CMR, ECT, ECM, ωph Vitesse de rotation de la pompe à huile (rad/s).
CRAN, FEMTO, LEAT et EDF. Pdf h Pression différentielle du filtre à huile (P a).
Pef h Pression d’entrée du filtre à huile (P a).
RÉFÉRENCES Perh Pression d’entrée du refroidisseur d’huile (P a).
Phem Pressure de sortie filtre à huile (P a).
R. Antonic, Z. Vukic, and L. Kuljaca. Fuzzy modeling and
Pref Pression de référence (P a).
control of marine diesel engine process. Proc. of 11 th
Mediterranean Conf. on Control and Automation, 2003. qph Débit d’huile (m3 /s).
L. Bachus and A. Custodio. Know and Understand Cen- Q̇ht Flux de chaleur transférée (J/s).
trifugal Pumps. Elsevier Ltd, Oxford, United Kingdom, ρh Densité de l’huile (kg/m3 ).
2003. Re Nombre de Reynolds.
Y. Cai, S. Cheng, Y. He, and P. Xu. Application of RRH Résistance thermique du refroidisseur d’huile
image recognition technology based on fractal dimension (K/W ).
for diesel engine fault diagnosis. The 9th International Them Température de l’huile à l’entrée du moteur (K).
Conference for Young Computer Scientists, pages 2948 xrack Position pédale (%).
– 2953, 2008.
R. Ceccarelli, C. Canudas de Wit, P. Moulin, and A. Sciar-
retta. Model-based adaptive observers for leakage de-