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République Tunisienne Ministère de L’enseignement

Ministère de La Santé Supérieur et de La Recherche


Ecole Supérieure des Sciences et Scientifique
Techniques de la Santé de Tunis Université Tunis El Manar

TD
Pharmacologie
Dr Nadia JEBABLI PhD
Maître Assistante Universitaire
20/02/2023
Question N° 1
Pour chaque type de médicament identifié par une lettre,
faire correspondre l’action identifiée par un chiffre :

A. Le vaccin antirougeoleux
B. La pilule contraceptive
C. L’insuline
D. L’aspirine
E. La pénicilline G

Compléments :
1. a une action curative
2. a une action symptomatique
3. a une action substitutive
4. a une action préventive
R
Question N° 1
Pour chaque type de médicament identifié par une lettre,
faire correspondre l’action identifiée par un chiffre :

A. Le vaccin antirougeoleux → 4.
B. La pilule contraceptive → 4.
C. L’insuline → 3.
D. L’aspirine → 2. (4)
E. La pénicilline G → 1.

Compléments :
1. a une action curative
2. a une action symptomatique
3. a une action substitutive
4. a une action préventive
Q
Question N° 2

Les dérivés radio-opaques ne sont pas


considérés comme des médicaments

CAR
Les dérivés radio-opaques ne servent
qu’à établir un diagnostic médical

R
Question N° 2

Les dérivés radio-opaques ne sont pas


considérés comme des médicaments
(faux)
CAR
Les dérivés radio-opaques ne servent
qu’à établir un diagnostic médical
(vrai)

Q
Question N° 3

Quels sont les objectifs de l’étape de


l’expérimentation animale ?
- Sélection des molécules actives.
- Evaluation de la toxicité (sécurité).
- Etude de l’ efficacité (activité).
Question N° 4
Que signifie un coefficient chimio-thérapeutique bas ?
EXPERIMENTATION ANIMALE
ETAPE DE LA SECURITE
Question N° 5
Que signifie un coefficient chimio-thérapeutique bas ?

▪Dose toxique proche de la dose efficace


Question 5
A la fin de l’étape de sécurité, on a pu sélectionner deux molécules à
activité anti hypertensive :
Molécule A à C.C. = 4
Molécule B à C.C. = 30

Laquelle parmi ces deux molécules mérite d’être sélectionnée pour


la poursuite du développement d’un médicament antihypertenseur
?

▪ Molécule B à CC = 30
La voie orale est pratique pour le
traitement :
A. par l’insuline
B. à domicile
C. de grandes populations
D. de l’état de choc
E. de l’enfant qui vomit
La voie orale est pratique pour le traitement :
A. par l’insuline
B. à domicile
C. de grandes populations
D. de l’état de choc
E. de l’enfant qui vomit
La voie orale :
A. est la meilleure voie d’urgence
B. peut être une voie locale
C. peut être utilisée chez le comateux
D. peut être utilisée pour la pénicilline G
E. permet d’éviter le premier passage hépatique
La voie orale :
A. est la meilleure voie d’urgence
B. peut être une voie locale
C. peut être utilisée chez le comateux
D. peut être utilisée pour la pénicilline G
E. permet d’éviter le premier passage hépatique
Quelles sont les 3 principales règles à

respecter au moment de l’injection

intraveineuse ?
Quelles sont les 3 principales règles à
respecter au moment de l’injection
intraveineuse ?

Asepsie
Éviter les embolies (huileux, gazeux)
Lentement > 2 à 3 min
Citez les voies d’administration des
médicaments utilisées en cas
d’urgence.
IV
Sublinguale
Intracardiaque
Les dispositifs transdermiques ou patchs :

A. ont un effet uniquement local


B. contribuent à une meilleure observance du
traitement
C. n’évitent pas l’effet du premier passage
hépatique.
D. peuvent être utiles dans le sevrage tabagique
E. sont utiles dans le traitement des brûlures
cutanées
Les dispositifs transdermiques ou patchs :

A. ont un effet uniquement local


B. contribuent à une meilleure observance du
traitement
C. n’évitent pas l’effet du premier passage
hépatique.
D. peuvent être utiles dans le sevrage tabagique
E. sont utiles dans le traitement des brûlures
cutanées
L’enrobage des comprimés permet de :
A. Protéger le principe actif contre l’humidité
B. Dissimuler le goût
C. Résister au suc gastrique
D. Séparer des principes actifs incompatibles
L’enrobage des comprimés permet de :
A. Protéger le principe actif contre l’humidité
B. Dissimuler le goût
C. Résister au suc gastrique
D. Séparer des principes actifs incompatibles

Réponse(s) : A, B, C
En ce qui concerne les voies d’administration des médicaments :

A. La voie orale est indiquée chez le nouveau-né qui vomit


B. L’intensité du premier passage hépatique est plus importante par la voie orale
que par la voie sublinguale
C. La voie alvéolaire est une voie locale qui peut avoir un effet général
D. La voie rectale permet d’éviter la dégradation du principe actif par les enzymes
digestives
E. L’administration par voie intramusculaire ne nécessite pas le respect des règles
d’asepsie
En ce qui concerne les voies d’administration des médicaments :
A. La voie orale est indiquée chez le nouveau-né qui vomit
B. L’intensité du premier passage hépatique est plus importante par la voie orale
que par la voie sublinguale
C. La voie alvéolaire est une voie locale qui peut avoir un effet général
D. La voie rectale permet d’éviter la dégradation du principe actif par les enzymes
digestives
E. L’administration par voie intramusculaire ne nécessite pas le respect des règles
d’asepsie

NB: Les produits administrés par voie alvéolaire peuvent avoir un effet général en raison de la riche
vascularisation de la muqueuse alvéolaire et de la possibilité de résorption qui s’en suit. C’est pour cette
raison qu’on administre par cette voie des
anesthésiques généraux gazeux (peroxyde d’azote, éther)
Quel est l’intérêt du dosage de l’isoniazide (INH®, Niazid®).

Variabilité génétique au niveau de l’acétylation

Adapter la dose à administrer selon le profil d’acétyleur

Éviter
Acétyleur lent Acétyleur rapide

Surdosage Sous dosage

Effets indésirables toxiques Inefficacité du traitement


Citez les 5 facteurs dont dépend la diffusion
passive des médicaments.
Citez les 5 facteurs dont dépend la diffusion
passive des médicaments.

1/ La taille
2/ Le gradient de concentration
3/ La solubilité
4/ L’ionisation
5/ La fixation protéique
Expliquez pourquoi l’état de choc peut diminuer
la résorption digestive de la majorité des
médicaments.

Vasoconstriction digestive
(diminution du flux sanguin)

Baisse de la résorption
Les études de toxicité chronique (à terme) :

A. nécessitent une administration de doses fractionnées dans la journée

B. s’effectuent chez une seule espèce animale

C. permettent de calculer le coefficient chimio-thérapeutique

D. s’étalent sur plus de 6 mois

E. sont nécessaires pour les études de sécurité de tout nouveau médicament


Les études de toxicité chronique (à terme) :

A. nécessitent une administration de doses fractionnées dans la journée

B. s’effectuent chez une seule espèce animale

C. permettent de calculer le coefficient chimio-thérapeutique

D. s’étalent sur plus de 6 mois

E. sont nécessaires pour les études de sécurité de tout nouveau médicament

REPONSE : ADE
La dose létale 50 (DL50) :

A. peut être calculée lors du screening dirigé

B. permet de calculer le cœfficient chimiothérapeutique

C. permet de calculer la dose minimale mortelle

D. permet de comparer la toxicité de deux produits

E. est généralement le double de la dose efficace 50


La dose létale 50 (DL50) :

A. peut être calculée lors du screening dirigé

B. permet de calculer le cœfficient chimiothérapeutique

C. permet de calculer la dose minimale mortelle

D. permet de comparer la toxicité de deux produits

E. est généralement le double de la dose efficace 50

REPONSE : BD

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