Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Thème :
Bouandas Abderahim
Nous tenons tout d’abord à remercier Dieu le tout puissant, qui nous a
donné la force et la patience de réaliser ce modeste travail.
En second lieu, nous tenons à remercier notre encadreur Mr : Hamel
Abdelmalek, ses précieux conseils et son aide durant toute la période du
travail.
Nos vifs remerciements vont également aux examinateurs pour l’intérêt
qu’ils ont porté à notre recherche en acceptant d’examiner notre travail
et de l’enrichir par leurs propositions.
Nous sommes aussi très reconnaissants envers l’ensemble du personnel
de l’entreprise ENPEC-Oued Smar, surtout ceux de la direction finance
et comptabilité, plus précisément Mr Youcef Kacimi pour toute
l’attention qu’il nous apporté.
Enfin, nous tenons également à remercier toute les personnes qui ont
participé de près ou de loin à la réalisation de notre travail.
Dédicace
A mes chers parents, pour tous leurs sacrifices, leur amour, leur soutien,
leur tendresse et leurs prières tout au long de mes études.
A mes chers frères Haythem, Houssem, DJassem et Rawnek pour leurs
encouragements permanents et leur soutien moral.
A mes chers amis Hatim, Rida, Amin, Mahyo, Houcin, Amir et Rabie
pour leur appui et leur encouragement.
A mon frère et mon binôme Abderahim qui m’a accompagné tout au
long de cette année pour la réalisation de ce travail.
Que ce travail soit l’accomplissement de vos vœux et le fruit de votre
soutien infaillible.
Mounsif
Dédicace
Abderahim
Liste des tableaux
Tableau N°23 Tableau non détaillé des flux de trésorerie de l’ENPEC Oued 90
Smar
Liste des figures
N° Titre Page
Amorti : Amortissement
avec le SCF……………………………………...……………………1
Oued Smar…………...……………....................................................60
Conclusion générale
Résumé
L’Algérie a appliqué le nouveau système comptable financier (SCF) qui est inespéré
des normes international IAS/IFRS dès l’exercice 2010 avec une application rétrospective
sur 2009 qui a apporté des nouvelles normes par apport au plan comptable national (PCN)
afin de garantir la transparence et donner une image fidèle sur la situation financière de
l’entreprise.
La comptabilité est la source des données concernant les techniques utilisées dans le
cadre de l’analyse de l’entreprise, c’est pour cela qu’on a choisi les travaux de fin
d’exercice qui traitent l’information financière et qu’ils occupent une place primordiale
dans la comptabilité financière car ils sont nécessaire à la détermination des résultats de
l’entreprise.
L’objectif de notre travail est de présenter un travail simple qui organise les travaux de
clôture des comptes au sein de l’entreprise nationale des produits électrochimiques ENPEC
selon le SCF.
Mots clés :
Globalization and the opening of international markets have forced the international
community to harmonize and unify accounting practices and rules through the
implementation of international accounting standards IAS/IFRS.
Algeria has applied the new financial accounting system (SCF) that is inspired from
the international standards IAS/IFRS since the financial year 2010 with a retrospective
application in 2009, which brought new standards to the national chart of accounts (PCN)
in order to guarantee transparency and give a true and fair view of the financial situation
of the company.
Accounting is the source of the data of the techniques used in the business analysis,
that’s why we chose the works of the end year that deal with the financial information and
which occupy an important place in the financial accounting, as they are necessary for
determining the results of the company.
The objective of our work is to present a simple work that organizes the closing work
of the accounts within the national company ENPEC electrochemical products according
to the SCF.
Key words:
أجبرت العولمة وفتح األسواق الدولية المجتمع الدولي على مالئمة وتوحيد الممارسات والقواعد المحاسبية من خالل
تنفيذ المعايير المحاسبية الدولية لإلبالغ المالي.
طبقت الجزائر النظام المحاسبي المالي الجديد المستوحى من المعايير المحاسبية الدولية لإلبالغ المالي منذ السنة المالية
0202مع تطبيق رجعي في عام 0222والذي جلب معايير جديدة مقارنة بمخطط المحاسبة الوطنية .من اجل ضمان
الشفافية واعطاء صورة حقيقية وعادلة عن الوضع المالي للشركة.
المحاسبة هي مصدر البيانات فيما يخص التقنيات المستخدمة في تحليل المؤسسة .لهذا السبب اخترنا اعمال نهاية السنة
المالية التي تعالج المعلومات المالية للمؤسسة وتحتل مكانة هامة في المحاسبة المالية ألنها ضرورية لتحديد نتائج
المؤسسة.
الهدف من عملنا هو تقديم عمل بسيط ينظم اعمال نهاية السنة في المؤسسة الوطنية للمنتوجات الكهروكيميائية
.ENPEC
INTRODUCTION GENERALE
Introduction générale A
Les travaux de fin d’exercice sont définis comme étant un état détaillé de tout ce que
possède l’entreprise et de tout ce qu’elle doit (Actif, Passif).
Quelle sont les étapes ainsi que les mécanismes de réalisation des travaux de fin
d’exercice au sein de l’ENPEC Oued Smar ?
Introduction générale B
Pour mener à bien notre travail et pour répondre à ces questions, nous avons essayé de proposer
un certain nombre d’hypothèses et qui se résument comme suit :
Nous avons choisi ce thème en raison de son importance dans la détermination du résultat
de l’entreprise, il nous permet aussi de mieux connaitre les travaux de fin d’exercice, et de
savoir la vision du SCF lors des opérations de réajustement et de régularisation des comptes
actifs et passifs ainsi que les produits et les charges que doit effectuer l’entreprise. Toutes ses
procédures ont un objectif d’établir les états financiers qui reflètent la situation patrimoniale et
financière de l’entreprise.
Afin de répondre à notre problématique, qui fera l’objet de notre étude, nous sommes
appuyés sur la démarche méthodologique suivante :
Une recherche documentaire : notre recherche est basée sur la consultation des
ouvrages, des articles et des sites internet, d’une part. D’autre part, nous avons consulté
les documents comptables de l’entreprise l’ENPEC-Oued Smar pour enrichir notre cas
pratique.
Méthode descriptive : Pour décrire le processus des travaux de fin d’exercice à travers
les procédures pratiquées par l’ENPEC et les fondements théoriques de notre thème.
Méthode analytique : Pour vérifier le respect des procédures comptables et financières
mises en vigueur par l’ENPEC.
Introduction générale C
Le troisième chapitre : Dans ce chapitre, on a rapporté l’étude de cas qu’on a réalisé au niveau
de l’entreprise ENPEC Oued Smar. On tient de présenter l’entreprise et de décrire sa procédure
d’inventaire physique et comptable et la régularisation des comptes. Enfin, l’établissement de
ses états financiers.
Chapitre 01
Introduction
L’environnement dit risqué, selon lequel marche le système d’informations des entreprises,
doit être accompagné d’une foule de décisions sobres prenant en compte la qualité de
l’information, ce qui rend les informations comptables et financières, utiles, nécessaires et
d’une grande importance au sein de l’entreprise, pour but d’éclairer et de perfectionner la
gestion et la prise des décisions des dirigeants.
On voit, aujourd’hui, que la comptabilité des entreprises s’est lancée à la recherche des
règles communes, une opération qui sert à normaliser la comptabilité.
La comptabilité est définie comme une technique de mesure qui constate l'enregistrement
et mémorise l'activité économique d'un agent économique privé ou public, ou de la nation. Elle
est destinée à servir d'instrument d'information à l'agent lui-même, ou au public, en vue soit de
répondre à l'obligation légale et fiscale, soit de l'analyse de la gestion et de la prévision. La
comptabilité désigne aussi l'ensemble de livre et documents comptables d'une entreprise ou d'un
particulier 1
Les premières traces d’activité comptable ont été datées par les archéologues et les
historiens au début du troisième millénaire avant Jésus-Christ. Ce travail de datation n’est pas
certain mais les spécialistes s’accordent pour fixer la naissance de l’activité comptable à
l’Antiquité.
Les recherches historiques confirment que la nécessité de compter est étroitement liée à
l’existence même de transactions. Quel que soit le stade de développement des populations, la
comptabilité est une science qui s’impose d’elle-même au fil du temps.
1
Silem A, lexique de gestion et de management, Dunod, Paris, 2016, p127
2
Conseil national de la comptabilité, Manuel de la comptabilité financière, édition 2013, p07
3
F.Françoise, Z.Fabrice, Comptabilité, Dunod, Paris, 2014, p4
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 4
Les principales évolutions de la comptabilité, à cette époque, reposent moins sur les
objectifs et la technique de la comptabilité que sur l’organisation interne des opérations
comptables rendues incontournables par la taille des domaines et des ordres religieux. D’un
point de vue technique, la comptabilité reste une comptabilité en partie simple.
La période du Moyen Âge est surtout marquée par la mise en évidence du rôle de la
comptabilité comme un véritable instrument de communication. Elle permet de compter, de
rendre des comptes et de surveiller
Toute transaction se traduit par deux mouvements de sens inverse. La comptabilité en partie
double constitue le fondement de la technique comptable telle qu’elle est utilisée aujourd’hui.
L’environnement économique a fortement évolué et connaît des mutations qui vont imposer
la tenue de comptes périodiques. Le capitalisme et la révolution industrielle font naître de
nouveaux besoins en matière d’information rendus possibles par les évolutions technologiques.
Parallèlement, les sociétés par actions se développent. Les textes de loi construisent progressivement
les prémices d’une normalisation comptable.
A cette époque les comptables doivent être capables de communiquer l’état du patrimoine
de l’entreprise et les revenus qu’elle dégage. Ainsi vont apparaitre des états comptables :
- Le bilan (situation du patrimoine) ;
- Le compte de résultat (revenu).
Dans ce contexte, les évolutions de l’environnement économique des entreprises et leur mode
de fonctionnement conduisent les comptables à occuper une fonction sensible. Ils doivent faire
preuve d’une déontologie et d’une éthique irréprochable.
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 6
Aide à la décision : temps d’écoulement des stocks, délais de paiement des clients,
mesure et prévision du résultat, position de la trésorerie vis-à-vis des dettes rapidement
exigibles, capacité d’emprunt et de remboursement….
Evaluation de l’élément de l’entreprise : actifs et passifs du bilan, charges et produits
du compte de résultat, éléments complémentaires inscrit à l’annexe
Contrôle extérieur des dirigeants : concernant les performances et les risque, la bonne
qualité de leur gestion, la poursuite des objectifs annoncés, le bien-fondé des décisions
prise.
1.4. La nature de la comptabilité :
1.4.1. Un art :
1
Cyrille Mandou, Comptabilité Générale de l’entreprise, 2 édition, 2009, p8
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 7
La comptabilité est considérée comme une science dans la mesure où elle apporte des
renseignements authentiques (systématique, vérifiable et faillible), et non pas des suppositions.
Son développement implique la formulation d’hypothèses et la construction de théories
permettant de prévoir et d’expliquer les phénomènes de son objet d’étude.
1.4.4. Un langage :
La comptabilité est un langage qui permet des choix et des interprétations, voire des options
Et selon le référentiel appliqué, le résultat final ne sera pas du tout le même, ce qui surprendra
Souvent les non-initiés, elle constitue un des langages formalisés des organisations et souvent
désigné comme le langage de la vie des affaires.
Le fondateur (ou tout au moins l’un des fondateurs) de la comptabilité en partie double est
le mathématicien Paccioli (1494). Malgré cette parenté, la comptabilité, si elle utilise la
mathématique (avec des opérations généralement simples), n’est évidemment pas une science
mathématique : les équations utilisées par les comptables n’ont pas pour objet de formuler des
raisonnements mathématiques mais, plus prosaïquement, de représenter les moyens et les
résultats des entités étudiées. On notera, d’ailleurs, qu’en matière comptable, le plus difficile
n’est pas d’additionner les valeurs, mais bien de les concevoir.
1
J. RICHARD et C. COLLETE : Comptabilité générale selon système français et normes IFRS ,8iéme édition,
Edition Dunod, 2008, p 5-7
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 8
S’il est vrai que la comptabilité a été très souvent et reste toujours inspirée par des juristes,
on ne peut pas dire qu’elle se confonde avec le droit :
– la comptabilité peut exister en dehors de toute régulation : dans beaucoup de pays, le droit ne
s’intéresse qu’à certaines formes de comptabilités et délaisse les autres. On peut montrer à cet
égard que cette étendue de la réglementation varie selon les systèmes économiques.
– ajoutons que, quand elle existe, cette réglementation de la comptabilité est multiforme : le
droit anglo-saxon de la comptabilité n’est ni le droit français ni le droit allemand ; à l’intérieur
d’un même pays, il peut y avoir plusieurs droits comptables : droit fiscal comptable, droit des
comptes consolidés, etc.
La comptabilité est donc devenue un objet de l’analyse socio-politique ; mais on peut dire
aussi que la comptabilité est un instrument de la politique. Nous verrons que les concepts de
résultat dépendent pour l’essentiel des acteurs sociaux qui ont le pouvoir à un moment donné
dans un pays donné.
– comme la comptabilité, l’économie doit tenir compte des divers systèmes sociaux pour
adapter ses conclusions à ces systèmes.
Il est vrai, cependant, qu’on peut soutenir que l’économie fait un travail de réflexion sur les
concepts (de valeur, par exemple) qui est ensuite utilisé par les comptables : l’économiste
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 9
réfléchit, le comptable applique. Mais cette vision, est à notre avis, erronée. Dans son travail
quotidien, le comptable est lui aussi obligé de forger des concepts pour représenter la matière
sur laquelle il travaille : le concept de maintien du capital, par exemple, a fait l’objet d’une
analyse extrêmement précise de la part des comptables dont les économistes peuvent se servir.
On sait, à ce sujet, que les relations entre les deux disciplines sont constantes. Il est vrai qu’on
pourrait soutenir que l’économiste serait plutôt un macro-économiste tandis que le comptable
est un micro économiste ; cette vision est doublement fausse : l’économiste comme le
comptable (qui peut être un comptable « national ») peuvent s’intéresser aussi bien à la
microéconomie qu’à la macroéconomie.
Il est vrai qu’on entend dire que l’économiste établit des lois d’équilibre de l’économie
tandis que le comptable se contente de mesurer. Là encore, cette vision est réductrice.
En résumé, une partie de la comptabilité, mais pas toute la comptabilité, peut s’apparenter à
l’économie.
Elle consiste à procéder à l'enregistrement de l'ensemble des données comptables sur une
période donnée puis à procéder en fin d'exercice à la comptabilisation des écritures
d'inventaires. Elle permet l'établissement des comptes annuels, du résultat fiscal et permet
la justification des différentes assiettes d'imposition. Plus globalement, elle permet la
justification des créances et des dettes envers les tiers, données à partir desquelles on évalue
l'entreprise et on compare ses performances et son évolution.
A la fin de chaque exercice comptable, cette variation est égale au résultat, qui est la
différence entre les charges consommés sur la période et les produits enregistrés sur la
même période.
1
Catherine Deffains-Crapsky, Comptabilité générale, 4 éditions. 2007. P15
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 11
Elle est parfois associée à d'autres techniques de management comme la gestion budgétaire
ou la gestion par les objectifs, à qui elle fournit les éléments de comparaison comme
comptabilité de gestion.
L’image fidèle est désormais placée au rang de l’unique objectif de la comptabilité. Elle
remplace le triptyque traditionnel des objectifs de la comptabilité « régularité, sincérité, image
fidèle ».
1
www.ladissertation.com, IFRS Et Image Fidèle. (Vu le 08/02/2018 à 22 :34).
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 12
La notion d’image fidèle est issue de la 4ème Directive européenne et inspirée du concept
anglo-saxon de « true and fair view » internationalement reconnu.
L’image fidèle ne peut se résumer par le simple respect des principes comptables. Le respect
des principes (régularité) est nécessaire, mais malheureusement pas toujours suffisant pour
atteindre l’image fidèle.
L’image fidèle est une notion globale et assez imprécise qui intègre, non seulement, le
respect des règles (les principes comptables, en l’espèce), mais aussi une sorte d’obligation de
fournir loyalement toute l’information utile et pertinente pour permettre à des tiers d’avoir, à
travers les états financiers, une perception exacte de la réalité économique de l’entreprise.
L’image fidèle est, en quelque sorte, la meilleure traduction possible de la situation de
l’entreprise.
L’image fidèle doit être fournie globalement par les états financiers, c'est-à-dire par le bilan,
le compte de résultat et l’annexe.
L’image fidèle est un des aspects les plus célèbres de la comptabilité britannique qui, selon
le droit des sociétés, constitue l'objectif des comptes annuels. Ce concept d’origine britannique
a été exporté dans de nombreux pays au sein du Commonwealth puis plus tard dans l'Union
européenne via la 4è directive, où ce concept est devenu une notion de droit supranational.
La régularité :
La régularité est définie comme la conformité aux règles et procédures en vigueur, le rappel
du principe de régularité des comptes conduit à reconnaitre implicitement que le respect des
prescriptions comptables conduit généralement à atteindre l’objectif d’image fidèle.
La sincérité :
La sincérité est définie comme l’application de bonne foi des règles et des procédures (en
vigueur) en fonction de la connaissance que les responsables des comptes doivent normalement
avoir de la réalité et de l’importance des opérations, évènements et situations.
Les informations comptables doivent donner à leurs utilisateurs une description claire, précise
et complète des opérations comptables pour assurer l’image fidèle.
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 13
Objectif :
Continuité de l’exploitation :
Les états financiers sont établis selon l’hypothèse que l’entreprise est en situation de
continuité et de poursuivre ses activités dans un avenir prévisible.
Objectif :
Légitimer la ventilation des charges et des produits entre les différents exercices de la vie de
l’entreprise ; Légitimer le principe du coût historique
Coût historique :
Les éléments du patrimoine de l’entreprise sont comptabilisés au bilan à leur valeur d’entrée
Objectif :
Prudence :
Prise en compte d’un degré de précaution dans l’exercice des jugements nécessaires pour
préparer les estimations dans des conditions d’incertitude.
1
Guide pratique des travaux de fin d’exercice, Mohamed Diaby, L’Harmattan, 2014, p9-11
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 14
Objectif :
Eviter de :
Surévaluer les actifs et les produits ; -sous évaluer les passifs et les charges -reporter sur les
exercices futurs les risques apparus pendant l’exercice en cours
Le résultat de chaque exercice est indépendant de celui qui le précède et de celui qui le suit
pour sa détermination
Objectif :
Rattacher à chaque exercice les charges et les produits qui le concernent, rien que ceux-là
Intangibilité du bilan :
Objectif :
Garantir la continuité de l’information fournie par les états financiers ; Interdire l’imputation
directe des opérations sur la situation nette sans être passée par le compte de résultat
Objectif :
Ne pas induire le lecteur des états financiers en erreur. Présenter les créances, les dettes,
les charges, et les produits tels sans aucune compensation
Importance significative :
Ne doivent être pris en compte que les éléments susceptibles d’influencer le jugement que les
destinataires des états financiers peuvent porter sur le patrimoine, la situation financière, et le
résultat.
Objectif :
IASB1 :
L’IASB est l’organisme chargé d’élaborer les normes IFRS, successeur de l’International
Accounting Standards Committee (IASC). L’IASB est constitué de 16 membres nommés pour
une durée de 5 ans renouvelable une fois.
Les membres de l’IASB sont issus des milieux professionnel suivants : Audit ; Utilisateurs
des états financiers ; Autres.
Ces principaux rôles sont l’élaboration et la publication des normes IFRS, approbation de
l’interprétation préparée par (IFRS Interpretation Comitee).
Pour jouer pleinement son rôle, l’IASB s’est doté d’une organisation innovante et adapté.
Cette organisation est composée des organes suivants 2:
- IFRS Foundation :
IFRS fondation est l’entité mère de l’IASB. C’est une entité à but non lucratif enregistré
dans l’Etat de Delaware aux Etats-Unis, elle est constituée de 22 membres nommés pour une
durée de 3 ans et dont les rôles sont les suivants :
- Informer l’IASB des avis reçus à l’égard des projets des normes élaborés par celui-ci ;
1
Benoit et Xavier, Normes Comptables Internationales et gouvernance des entreprises : le sens des normes
IFRS, 2009, p16
2
El HOUSNEY YOUSSEF et ALAOUI HAMEDI SALAHEDDINE, Introduction aux normes comptables
internationales IAS/IFRS, édition CAGEX, 2014, p 18-19
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 16
Cet organisme est composé de 14 membres votants, du président et deux observateurs, les
membres votants sont désignés par les membres de l’IFRS Foundation pour une durée de 3 ans
renouvelables. Ses principales missions sont :
- Commenter les normes qui peuvent donner lieu à des interprétations différentes ;
- Commenter les sujets nouveaux relatifs à l’information financière et qui n’ont pas été
prévus dans le référentiel international ;
Fonctionnement :
La structure est conçue pour soutenir les dispositifs qui sont considérés comme souhaitables
en établissant la légitimité d’un organisme de normalisation.
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 17
Ses membres sont des experts techniques, représentent la communauté financière la plus large
et sont indépendants.
Les IFRS/IAS sont des normes internationales d’information financière élaborée par l’IASB,
au lendemain des scandales financiers (ENRON…), destiné à standardiser la présentation des
données comptables échangées au niveau international. Il s’agissait avant tout de rétablir la
confiance en instaurant la fiabilité, la transparence et la lisibilité des comptes1
Les normes IFRS sont nées d’une initiative entre les organismes professionnels comptables
d’Allemagne, d’Australie, du Canada, des Etats-Unis, de France, du Japon, du Mexique, des
1
Andernak, l’essentiel des IFRS, édition Eyrolles 2013, p14
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 18
L’objectif des états financiers est de fournir des informations sur la situation financière
(bilan), la performance (compte de résultat) et les variations de la situation financière (tableau
de flux de trésorerie) qui soient utiles à un large éventail d’utilisateur pour la prise de décision
économique.
Le cadre conceptuel définit les différents éléments du bilan : les actifs, les passifs et les
capitaux propres. Les actifs sont définis comme les ressources contrôlées par l’entreprise du
fait d’évènements passés et dont des avantages économique futurs sont attendus par l’entreprise.
Quant aux passifs, il s’agit des obligations actuelles de l’entreprise résultant d’événements
passés et dont l’extinction devrait se traduire par une sortie de ressources représentatives
d’avantages économique futurs. Quant aux capitaux propres, ils représentent la différence
arithmétique entre les actifs et les passifs.
Le cadre conceptuel définit également les produits et les charges du compte de résultat. Les
produits correspondent à des accroissements d’avantages économiques au cours d’un exercice
comptable, sous forme d’entrées ou d’augmentation d’actifs ou de diminution de passifs, et qui
ont pour résultat l’augmentation des capitaux propres. Quant aux charges, ce sont des
diminutions d’avantages économiques futurs nées au cours de l’exercice sous forme de sorties
ou de diminution d’actifs, ou de survenance de passifs qui ont pour résultat de diminuer les
capitaux propres.
1
Idem
2
Gérard Hirigoyen, Normes Comptables Internationales IAS/IFRS, de Boeck, 2005, p12
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 19
L’information est considérée comme pertinente quand elle influence les décisions
économiques des utilisateurs en les aidant à évaluer les événements passés, présents ou futurs
ou en confirmant et corrigeant les événements passés.
La fiabilité s’analyse par l’absence de toute erreur matérielle ou de biais dans les états
financiers. Les comptes sont fiables s’ils représentent de manière fidèle la réalité économique
de l’entreprise, si la substance (la réalité économique) prime sur la forme juridique, et si
l’information est neutre, prudente et exhaustive.
Par ailleurs, l’information répond au critère de comparabilité si elle peut être présentée de
façon cohérente et constante dans le temps pour permettre aux utilisateurs d’effectuer des
comparaisons significatives entre les entreprises.
Enfin, une information est intelligible si elle est facilement compréhensible par les
utilisateurs dont on attend in niveau de connaissance raisonnable ainsi que la volonté d’étudier
l’information sérieusement.
1
Idem
2
Gérard Hirigoyen, op.cit, p13
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 20
L'ordonnance n°75/35 du 29 avril 1975 portant Plan Comptable National dont l'article 1 er
stipule : « Le Plan Comptable National annexé à la présente ordonnance sera obligatoire à
compter du 1er Janvier 1976 en vue de son application aux :
- Les entreprises soumise au régime réel de la comptabilité, quelle que soit leur forme
En 1973 le Conseil Supérieur (CSC) de la comptabilité a été installé par le ministre des
finances, est chargé d’élaborer un nouveau Plan Comptable National PCN adapté à l’économie
socialiste. Le PCN adopté par l’ordonnance n° 75-35 du 29/04/1975, entré en vigueur en 1976.
- La détermination du résultat ;
1
Dr M.CHEURFA DJAMAL. Le droit comptable et la normalisation comptable en Algérie. Thèse de doctorat.
2016. p
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 22
promulgué avant le code de commerce, il n’a pas pris en compte l’ensemble des dispositions
régissant les sociétés commerciales.
Avec la transformation des sociétés nationales en sociétés par actions SPA, il était
nécessaire de normaliser les opérations comptables de constitution des sociétés, de répartition
des résultats, d’augmentation du capital et de dissolution et liquidation. Ainsi, différentes
parties (institutions) ont contribué pour combler le vide constaté en normalisation comptable.
C’est pour cela que durant la période 1991-1998 est caractérisé par une pluralité d’organe de
normalisation :
- La Direction Générale des Domaines : Ministère des Finances est intervenue en 1997 pour
normaliser les travaux de liquidation des Entreprises par l'introduction du compte 85 Résultat
de Liquidation. - la Banque d'Algérie a pris en charge la normalisation comptable de l'activité
bancaire par le biais de Règlements.
- Émettre tout avis sur les questions de technique comptable, de droit ou de finances.
Cette loi a été publiée au journal officiel n°74 de l’année 2007. Elle comprend (7) chapitres
et (43) articles, elle a pour objet de définir :
Ce décret, publié au journal officiel n°27 précise le cadre conceptuel qui a pour objet de
mettre en évidence les conventions et principes comptables de base ainsi que les définitions des
actifs, des passifs, des charges et des produits. Alors les caractéristiques qualitatives de
l’information financière, les hypothèses sous-jacentes, les conventions comptables et les
éléments des états financiers. Ainsi la qualité de l’information présentée dans les états
financiers.
1
Journal officiel de la république Algérienne N°75
2
Kettouche Achour, revue des économies nord, revue scientifiques, périodique, spécialisé, approuvé N°6,
université Hassiba Ben Bouali, Chlef, Algérie, 2009, p288.
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 24
Deux arrêtés ont été mis en place (publie au journal officiel n°19), l’un concerne la
comptabilité des entreprises de grande et moyenne taille et l’autre pour les petites.
Elle a pour objet de mettre en évidence les modalités et procédures à mettre en œuvre pour le
passage de l’ancien référentiel comptable (PCN) au nouveau (SCF).
Cette instruction prévoit que toute personne physique ou morale astreint à la tenue d’une
comptabilité (en application de la loi n°74-11 du 25 novembre 2007 portant le SCF algérien)
doit respecter, pour la présentation de ses états financiers applicable sur le territoire algérien à
compter au de 1 janvier.
Les coopératives ;
Les personnes physiques ou morales produisant des biens ou des services marchands ou
non marchands dans la mesure où elles exercent des activités économiques qui se
fondent sur des actes répétitifs ;
Toutes autres personnes physiques ou morales qui y sont assujetties par voie légale ou
réglementaire.
1
Journal officiel de la république algérienne N°75, op.cit, p3
Chapitre 01 : Généralité sur la comptabilité et ses principes en conformité avec le SCF 25
Les changements dus à l’adoption du SCF algérien ne portent pas sur la technique
comptable elle-même, mais ils concernent certaines règles de comptabilisation,
d’estimation et d’évaluation des actifs, passifs, des charges et des produits.
Les principes apports du SCF, en comparaison avec le PCN, résident ce qui suit :
Conclusion
Cette opération réside une décision en la reliant aux considérations fiscales et à la volonté
des pouvoirs publics, ce qui la rend une pratique sensible, car cela pourrait toucher à la fidélité
de l’entreprise.
Dans ce cas-là tous les utilisateurs sont demandés pour être connaissant et pratiquant de
nouvelles normes comptables.
Chapitre 02
Introduction
L’inventaire est une opération qui se fait par toutes les personnes morales et physiques à
la fin d’exercice, afin d’établir les documents de synthèse dans le but de présenter l’image
fidèle.
L’inventaire est une obligation légale, donne lieu à la comptabilisation à la date de clôture
d’un certain nombre d’opérations, afin de répondre aux objectifs fixé par la loi et le respect des
principes fondamentaux du système comptable.
Ces travaux de fin d’exercice ont pour objet de constater les pertes de valeurs et d’évaluation
les éléments du bilan de l’entité et d’ajuster ses comptes avec la réalité physique
Dans ce chapitre nous allons voir l’ensemble des opérations de fin d’année, sera réparti en
quatre section :
Avant d’établir le bilan de fin d’exercice, il est nécessaire de procéder à un inventaire des
éléments actifs et passifs de l’entreprise.
Cet inventaire permet de fournir l’évaluation la plus exacte possible du résultat de l’exercice et
du patrimoine de fin de période et de présenter les documents de synthèse annuels obligatoires.
L’ensemble des opérations consistent à relever en nature, en quantité et en valeur tous les actifs
et passifs de l’entité à la date d’inventaire, sur la base de contrôle physique et de recensement
de pièces justificatives et au moins tous les douze mois (généralement à la clôture de l’exercice).
Les travaux d’inventaire constituent une obligation légale découlant de plusieurs sources1 :
1
Ch.TOUAHRI, Séminaire sur les travaux d’inventaire, décembre.2016, p01
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 30
Ces documents peuvent être tenus sous forme de registres (sous forme de piqures
d’inventaire comme pour les stocks) ou de fiches spécifique comme c’est le cas pour les
immobilisations.
Le contenu et le tracé des documents d’inventaire ne sont pas normalisés, chaque entreprise
peut en prévoir le tracé en fonction de ses besoins en matière d’information 1
- Les immobilisations ;
- Les stocks ;
- Les créances ;
- Les dettes ;
- Les valeurs mobilières de placement ;
- La banque ;
- La caisse.
1
Ch.TOUAHRI, Séminaire sur les travaux d’inventaire, op.cit, p02
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 31
Le livre d’inventaire est un livre comptable obligatoire regroupe les éléments actifs et
passifs en quantité et en valeur relevés lors de l’inventaire, il se présente sous la forme :
1
Jean-Luc Siegwart, La comptabilité financière, édition Nathan, 2010, p220
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 32
A la date de clôture, les travaux d’inventaire sont effectués selon le processus suivant :
L’inventaire extra-comptable
Recensement (existence physique) et évaluation des éléments du patrimoine de l’entreprise
Ecriture de régularisation
Correction des comptes en fonction de l’inventaire extra-comptable
L’usure physique qui dépend de facteurs opérationnels attendus comme les cadences
auxquelles l’actif est utilisé et le programme de maintenance ;
L’obsolescence technique ou commerciale découlant de changement dans la production
ou d’une évaluation de la demande du marché pour le produit fournis par l’actif ;
Les limites juridiques sur l’usage de l’actif, telles que les dates d’expiration des contrats
de location, de concession de licences,…
1
LANGLOIS (G) et autres : manuel de la comptabilité approfondie, édition BERTI, 2013, p80
2
Ch.TOUAHRI, Séminaire sur les travaux d’inventaire, op.cit, p07
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 34
Source : Langloise (G), Friederic (M), Manuel de comptabilité approfondie, Berti 2013, p 58
La valeur brute est la valeur de comptabilisation initiale de l’actif, sous réserve de pertes de
valeurs ultérieures. On entend par cette valeur pour chaque catégorie d’immobilisation :
Immobilisations acquises : prix d’achat, y compris les droits de douane et les taxes
non remboursables, et les frais directement attribuables au transfert de l’actif jusqu’à
son lieu d’exploitation et à sa mise en état pour permettre son exploitation, après
déduction des remises et rabais commerciaux. La base amortissable comprend
également l’estimation initiale des couts relatifs au démantèlement, à l’enlèvement de
l’immobilisation et la remise en état de site sur lequel elle est située.
1
Ch.TOUAHRI, Séminaire sur les travaux d’inventaire, op.cit, p08
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 35
Le taux linéaire dont la charge d’amortissement est fonction est égal : 100 / la durée
d’utilisation restante de l’actif. Cette charge d’amortissement annuelle sera égale au produit de
la VNC (valeur nette comptable) et le taux linéaire.
1
Tarhilissia .L, Cours de la comptabilité financière selon le système comptable financier, école supérieure de
commerce, 2017/2018, p106
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 36
Une fraction admettant comme numérateur le nombre correspondant à la durée d'utilisation déjà
courue et comme dénominateur n (n+1)/2,
1
Tarhilissia .Op.cit. p106
2
Jean-Luc Siegwart, op.cit, p243
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 37
2.5.1. Définition :
Ces indices de perte de valeur peuvent être internes (obsolescence, dégradation physique,
modification importante dans les conditions d’utilisation, performance inférieure à celle
initialement prévue) ou externes (valeur de marché, changement des taux d’intérêt ou de
rendement).
En effet, la perte de valeur diminue la base amortissable et la reprise de cette perte de valeur
porte la VNC à un montant supérieur ; ce pourquoi, il faut procéder à chaque fois que ces
évènements surviennent à la modification du plan d’amortissement initialement prévu2.
1
Ch.TOUAHRI, Séminaire sur les travaux d’inventaire, op.cit, p18
2
Idem
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 38
31/12/N
31/12/N
3.1. Définition :
Cette obligation signifiée que l’entreprise n’a pas d’autres alternatives réalistes pour
soustraire à son obligation.
Les provisions pour dépréciations d’éléments d’actifs ont pour objet la constatation
comptable de la baisse de la valeur de ces actifs à la date de clôture. Les éléments d’actif
concernés sont :
A la date de l’inventaire certains stocks subissent des dépréciations donc on comptabilise ces
dépréciations comme suit :
La dépréciation des créances clients correspond au montant des créances que l’entreprise
risque de ne pas recouvrer lorsque les clients ne sont pas solvables ou lorsque les factures sont
en litige en fin d’exercice comptable. Il s’agit donc de créances douteuses puisque le risque est
probable. Par contre, certains clients n’étant plus solvable ou les factures contestées par le client
ne seront plus payées de manière certaine, la créance est alors irrécouvrable1.
1
www.memocompta.fr, Dépréciation des créances clients, (Vu le 02/04/2018 à 15 :20).
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 41
411 Clients X
Afin de justifier le montant des dépréciations liées à chaque client, l’entreprise doit établir un
état de ses créances douteuses à l’inventaire
la dépréciation
Source : béatrice et Francis Granguillot, Comptabilité générale, édition 15, 2011-2012, p282
La dépréciation est considérée comme une charge non décaissable, sa comptabilisation est
comme suit :
Débit Crédit
685 Dotations aux amorts, prov et pertes de valeur actifs X
courants clients
491 Pertes de valeur sur comptes de clients X
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 42
L’entreprise doit suivre l’évolution de ses créances sur les années à venir ainsi à la clôture de
chaque exercice.
Débit Crédit
685 Dotations aux amorts, prov et pertes de valeur actifs X
courants clients
491 Pertes de valeur sur comptes de clients X
La créance est irrécouvrable lorsque sa perte apparaît comme certaine et définitive, la créance
constaté directement dans un compte de perte.
Débit Crédit
654 Pertes sur créances irrécouvrables X
411 Clients X
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 43
Des provisions évaluées à la date de clôture, destinées à couvrir des risques et des charges
que des événements survenus ou en cours rendent probables, nettement précisés quant à leur
objet mais dont la réalisation est incertaine.
Elles sont comptabilisées au crédit du compte 15 « provisions pour charges » per le débit du
compte 68 « dotations aux provisions »
Débit Crédit
681 Dotations aux amorts, prov et pertes de valeurs actifs X
non courants
15 Provisions pour charges – passifs non X
courants
En cas de diminution :
Débit Crédit
15 Provisions pour charges – passifs non X
courants
781 Reprise d’exploitation sur pertes de X
valeur et provisions
Selon le système comptable financier, les entreprises sont libres de choisir la méthode de
suivi des stocks, il existe deux méthodes : inventaire permanant ou intermittent.
30 Marchandises X
31 Matières premières et fournitures X
32 Autres approvisionnements X
Débit Crédit
60 Achats consommés X
38 Achats stockés X
60 Achats consommés X
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 45
Pour les écarts positifs ou négatifs justifiés, ils sont enregistrés au compte 60 « achats
consommés » et en contre partie des comptes de stock concernés.
Pour les écarts positifs ou négatifs non justifiés, ils sont enregistrés au compte
757 « produits exceptionnels sur opérations de gestions » pour les écarts positifs ou aux
compte 657 « charge exceptionnels de gestion courant »
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 46
Pour les écarts positifs ou négatifs justifiés, ils sont enregistrés au compte 723 « variation de
stocks d’encours » et en contre partie du compte C/33 ou C/34.
Les écarts positifs ou négatifs non justifiés, ils sont enregistrés au C/757 ou le C/657 et en contre
partie des comptes se stocks concernés.
Les écritures d’étalement visent à répartir les charges et produits sur les périodes comptables
appropriées. Leur effet sur le compte de résultat est lissé sur au moins deux exercices
comptables. On identifie deux écritures d’étalement :
Les charges constatées d’avance neutralisent l’effet des charges qui affectent en tout ou
partie l’exercice comptable suivant (assurances, loyers, abonnements, etc.). Elles sont
généralement calculées sur le montant hors taxes de la dépense, sur une durée de 360 jours et
comptabilisées comme suit :
6X Charges X
Régularisation des charges
A l’inverse, les produits constatés d’avance ont vocation à répartir dans le temps les produits
qui concernent totalement ou partiellement un ou plusieurs exercices comptables suivants. Ils
sont comptabilisés de la manière suivante :
1
Tarhilissia .L, op.cit. p 178-184
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 47
Les écritures de rattachement ont pour objectif de rattacher à l’exercice en cours des charges
ou des produits qui le concernent mais dont le justificatif est daté de l’exercice suivant. Elles
peuvent avoir deux natures différentes :
Une charge à payer est une charge connue avec certitude au moment de l'inventaire mais
dont la pièce justificative, permettant l'enregistrement comptable, ne sera reçue qu'au cours de
l’exercice comptable suivant. Afin que la charge soit prise en compte pour le calcul du résultat
de l’exercice N, les travaux de fin d’exercice comportent l’ajustement suivant :
Afin que le produit soit pris en compte pour le calcul de résultat de l’exercice N, les travaux
de fin d’exercice comportent l’ajustement suivant :
Élaborer un état de rapprochement bancaire signifie justifier les écarts constatés entre les
soldes de deux comptes réciproques ouverts chez deux agents économiques différents pour
1
Tarhilissia .L, op.cit. p 188
2
Idem
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 48
enregistrer leurs relations. Ce qui est emploi chez l’un est ressource chez l’autre et
réciproquement.
Un rapprochement bancaire consiste donc à compléter chacune des deux comptabilités avec
des opérations non encore enregistrées chez l’un ou chez l’autre.
Pour réaliser un rapprochement bancaire, l’entreprise doit munir les documents suivants :
Après l’inventaire comptable, l’entreprise doit présenter chaque fin d’exercice son activité
et l’état de son patrimoine à travers ces documents de synthèse :
Le bilan
Le compte de résultat par nature (par fonction en annexes)
Tableau de variation des capitaux propres
Tableau des flux de trésorerie
Les annexes.
Le système comptable financier à induit le tableau de variations des capitaux propres et le
tableau des flux de trésorerie qui ne figurent pas dans le plan comptable national.
1
www.salem.over-blog.com, procédures de rapprochement bancaire, consulté le 24/04/2018, 15:22
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 49
4.4.1. Le bilan :
Un bilan est un état de synthèse qui expose la situation patrimoniale de l´entreprise à une
date donnée, le bilan prend généralement la forme d'un tableau dont la partie des ressources est
appelée "passif" et celle des emplois est appelée "actif".
En principe, le bilan doit présenter les quatre catégories suivantes d’actifs et de dettes :
ce sont les actifs destinés à être vendus ou consommés durant le cycle d’exploitation de
l’entreprise.
ceux détenus à des fins de transaction
ceux destinés à être réalisés dans les douze mois suivant la clôture de l’exercice
et ceux qui font partie de la trésorerie ou des équivalents de trésorerie
Tous les autres actifs sont considérés comme actifs non courants.
ce sont les dettes dont le règlement est prévu durant le cycle d’exploitation de
l’entreprise,
ce sont celles détenues principalement à des fins de transaction
ce sont celles pour lesquelles l’entreprise ne dispose pas du droit d’en différer le
règlement au-delà des douze mois suivant la clôture.
Les dettes non courantes : toutes les autres dettes sont des dettes non courantes
1
Ould Amer Smail, La normalisation comptable en Algérie : Présentation du nouveau système comptable et
financier, 2010, p33
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 50
Modèle du bilan :
ACTIF N N N N
Note Brut Amorti/PDV Net Net
ACTIFS NON COURANTS
Ecart d’acquisition
Immobilisation incorporelles
Immobilisation corporelles
Terrains
Bâtiments
Installations, machines et outillage
Matériel de transport
Autre immobilisation corporelles
Immobilisations en concession
Immobilisations en cours
Immobilisations financiers
Titres de filiales
Titres mis en équivalence (1)/Entreprise
associées
Autres participation et créances rattachées
Autres titres immobilisés
Prêts et autres actifs financières non courants
Impôt différé actif
TOTAL ACTIFS NON COURANTS
ACTIFS COURANTS
Stocks et encours
Marchandises, Matières et fournitures
Produits Finis et encours
Autres stocks
Créance et emplois assimilées
Clients
Autres débiteurs
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 51
Impôts et assimilées
Groupe et associés
Autres créances et emplois assimilés
Disponibilités et assimilés
Placements et autres actifs financiers
courants
Trésoreries
CAPITAUX PROPRES
Capital émis
Capital non appelé
Primes d’émissions
Réserves
Ecart de réévaluation
Ecart d’équivalence
Résultat net de l’exercice
Report a nouveau
TOTAL CAPITAUX PROPRES
PASSIFS NON –COURANTS
Emprunts et dettes financières
Impôt différés et provisionnés
Autres dettes non courantes
Provisions à long terme
Produit constatés d’avance à long terme
TOTAL PASSIFS NON –COURANT
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 52
PASSIFS COURANTS
Fournisseurs et comptes rattachés
Autres créditeurs
Impôts et autres dettes parafiscales
Groupe et associés
Autres dettes courantes
Trésorerie passif
TOTAL PASSIFS COURANTS
TOTAL GENERAL PASSIF
Le compte de résultat est un état récapitulatif des charges et des produits réalisés par
l’entreprise au cours de l’exercice. Il ne tient pas compte de la date d’encaissement ou de
décaissement. Il fait apparaître, par différence, le résultat net de l’exercice : bénéfice/profit ou
perte. Il existe deux façons de présenter le compte de résultat :
1
Ould Amer Smail, op.cit. p35
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 53
Chiffre d’affaires
Ventes de marchandises
Ventes de produits finis
Ventes de travaux
Prestations de services
Autres ventes
Variation stocks produits finis et en cours
Production immobilisée
Subventions d’exploitation
Production de l’exercice
Achats consommés
Services extérieurs et autres consommations
Consommation de l’exercice
RESULTAT OPERATIONNEL
Produits financiers
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 54
Charges financières
RESULTAT FINANCIER
Impôt exigibles
Impôt différés (variations)
Produit extraordinaire
Charges extraordinaire
RESULTAT EXTRAORDINAIRE
L’état des variations des capitaux propres est un état de synthèse qui présente le résultat de
la période ainsi que les charges et les produits qui sont directement imputés en capitaux propres.
Cet état présente les effets des changements de méthode effectués sur l’exercice. Il présente
aussi le solde des réserves (résultat non distribué), les distributions des dividendes et les
variations du capital.
-Augmentations de
capital
-Résultat net de
l’exercice
Solde au 31 décembre
n
Source : Conseil National de la Comptabilité (CNC), Modèles d’états financier, p 09
Les équivalents de liquidités sont les placements à court terme, facilement convertibles en
un montant connu de liquidités et dont la valeur ne risque pas de changer de façon significative.
Ils sont détenus dans le but de faire face aux engagements de trésorerie à court terme. Leur
échéance est normalement inférieure à trois mois. Le SCF exige que les entreprises (autres que
les très petites entreprises) établissent un tableau des flux de trésorerie1.
1
Ould Amer Smail, op.cit. p37
2
Idem
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 57
Les activités de financement : ce sont celles qui entrainent des changements des
capitaux propres et des capitaux empruntés de l’entreprise, elles comprennent :
- L’émission d’actions ;
- Le rachat d’actions de l’entreprise ;
- L’émission d’obligations, d’emprunts, de billets de trésorerie ;
- Le remboursement des montants empruntés.
L’annexe des états financiers est un document de synthèse qui comporte des informations
utiles pour la compréhension des opérations figurant sur les états financiers :
Les critères essentiels qui permettent de déterminer quelles sont les informations à faire figurer
dans l’annexe sont le caractère pertinent de l’information et son importance relative.
1
Ould Amer Smail, op.cit. p41
Chapitre 02 : Présentation d’ensemble des opérations de fin d’exercice 59
Conclusion
Pour déterminer le résultat de l’exercice qui traduit la situation réelle de l’entreprise et qui
présente fidèlement l’image de la société, nous avons abordé dans ce chapitre tous les travaux
de clôture tels que la constatation des amortissements, les provisions, les dépréciations et les
travaux de régularisation.
Enfin, quand toutes les opérations traités et constatées ont été bien régularisées, nous
pouvons établir la balance et les documents de synthèse et la réouverture des livres comptables.
Chapitre 03
Introduction
Notre étude est consacrée à la prise en charge d’un cas de l’entreprise nationale de
production électrochimique ENPEC sis à Oued smar. Nous avons abordé en cette première
section, l’ historique de l’entreprise à savoir la légitimité de sa création, une présentation
générale, le type de produit ciblé par l’ENPEC, qui est comme activité principale , la production
des accumulateurs considérés comme un segment très indispensable pour le démarrage des
moteurs. Les accumulateurs sont largement demandés pour tous les véhicules roulants, ainsi
que pour les moteurs industriels ce qui justifie une forte demande de ce produit sur le marché
national et étranger.
Dans la troisième section nous avons abordé les amortissements ainsi que les différentes
provisions et l’état de rapprochement bancaire.
Enfin, la quatrième section traite l’élaboration des états financiers à savoir le compte de
résultat, le bilan et le tableau des flux de trésorerie, comme documents transmissibles aux
déférents utilisateurs selon le code de commerce en vigueur.
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 62
A sa création, par un décret exécutif N°83-22 du 1er janvier 1983 (voir annexe N°01), deux
entités industrielles lui ont été rattachées : le complexe Piles et Accumulateurs de Sétif et l’unité
de production d’accumulateurs d’Oued Smar.
Le complexe de Sétif est le fruit d’un contrat du type « produit en mains » conclu
En Mars 1971 entre d’une part ENIE et d’autre part un consortium allemand (de l’Ouest)
composé de deux sociétés spécialisées, l’une dans la fabrication des batteries (HAGEN) et
l’autre dans la fabrication des piles (BRANZ).
Les travaux de construction du Complexe de Sétif ont débuté en septembre 1971 et se sont
achevés en fin 1973 Le Complexe a été officiellement inauguré le 18 janvier 1974.
L’unité Accumulateurs de Oued SMAR, crée au début des années 50 par un industriel
français, était connue sous le nom POLYSOL.
Elle a été nationalisée et rattachée à ENIE en 1974. Les équipements abandonnés par
POLYSOL qui étaient dans un état de vétusté avancée, furent entièrement remplacés en 1978,
par du matériel neuf, d’origine américaine. Sa capacité fut portée dés lors de 80.000 à 150.000
batteries par an.
On peut donc considérer que les deux entités (complexe de Sétif et unité d’Oued SMAR) ont
démarré en 1974 et qu’elles ont en 2018, toutes deux quarante-quatre ans d’âge.
L’ENPEC est une entreprise publique économique rattachée à la société gestion des
participations de l’état « SGP »
A/ Ses métiers :
-Accumulateurs de démarrage
C/ Type de production :
Eau Déminéralisée :
Conditionnement :
Bouteille inviolable de 1 Litre
Bidon de 5 Litres
Fut de 20 Litres
Affinage Plomb :
Recyclage de tous les types de Batteries usagées
Plomb au Sélénium
Fiche d’identité :
EFFECTIF 90
021 51 59 87
CONTACTS 021 51 69 01
Email : enpecuos@yahoo.fr
Domaine d’activité :
- Le développement
- La fabrication
- La commercialisation d’accumulateurs.
Capacité de production :
séchage)
4 Mûrissage des plaques 02 Chambres de murissage
Tableau n°12 : Liste des produits fabriqués par l’unité de Oued Smar
ENPEC NS 40 36 AH 12 V ENPEC NS 90 90 AH 12 V
ENPEC 75 75 AH 12 V
Son marché :
Le marché algérien est un marché en pleine croissance offrant de réelles possibilités de
développement.
Pour les accumulateurs, un parc véhicules de 3,5 millions offre un marché de remplacement de
près de 1,5 millions de batteries par an.
Le partenariat :
Le développement des télécommunications et de l’informatique en Algérie, l’importance
croissante accordée à l’énergie solaire, constituent des marchés conséquents pour la batterie
industrielle.
Ces marchés peuvent être conquis dans le cadre d’un partenariat avec L’ENPEC
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 68
Direction d’unité
Service Finances et
Assistant de Direction
comptabilité
Secrétariat
Management de la
qualité
Service moyens
généraux et contentieux Service Ressources
humaines
Service Hygiène et
Service Contrôle Qualité
sécurité
A/ Première étape :
Les travaux d’inventaire sont dirigés par un comité de pilotage créé à l’échelle entreprise
qui sera composé des responsables de l’entreprise, ce comité de pilotage est chargé des
missions suivantes :
- Fixer les objectifs liés aux travaux d’inventaire ;
- L’élaboration du planning d’intervention des équipes de comptage ;
- Le contrôle d’avancement des travaux d’inventaire ;
- Désigner la cellule de collecte, suivi et traitement des écarts.
La CCITE désignée par le comité de pilotage est chargé de centraliser les données
d’inventaire, réaliser les rapprochements contradictoires et dégager les écarts et assurer leur
traitement.
La CCITE doit assurer que tous les lots sont localisés par la visite des aires de
stockage pour s’assurer que les produits sont bien rangés et que chaque lot possède
l’identification ainsi que les papillons de comptage en 3 exemplaires
La CCITE doit superviser, orienter et assister les équipes de comptage en cas de
difficulté
La CCITE doit récupérer : Les papillons de comptage (les 3 exemplaires) en prenant
soin de vérifier les séquences numériques pour ne pas omettre aucun.
B/ Deuxième étape :
L’inventaire de fin d’année 2016 s’est déroulé en quatre phases, selon l’information de la
Direction Générale relative aux travaux d’inventaire, à savoir :
Les deux équipes ont procédé à cet inventaire durant la période allant du 01/12/2016 au
19/12/2016, à savoir :
- Equipements de labo.
- Matériel roulant et matériel de sécurité
- Matériel de bureau et matériel informatique
- Equipements de production et installations annexes
- L’immobilier et les aménagements
OPERATIONS ECHEANCES
1/- INVESTISSEMENTS :
Sur la base des documents qui lui ont été transmis par les équipes de comptage à savoir, les
papillons de comptage et les feuilles d’inventaire, on compare l’inventaire physique achevé et
la comptabilité de l’entreprise afin de ressortir des écarts et les réajuster.
Les écarts, leurs explications ainsi que les décisions y afférentes sont résumés dans ce qui
suit :
► Les stocks
- Les pièces de rechange :
Tableau n°14 : Etats des écarts entre le fichier comptable et l’inventaire physique (Pièces de
rechange)
12 322710 Produits - -
pharmaceutiques
13 322800 Fourniture 5037,19 5 026,41 10,78
quincaillerie
14 322900 Fourniture 507 301,41 507 301,41
bureau/informatique
Les équipes ont recensé 2611 articles ; la commission de traitement a relevé une valeur totale
de l’inventaire physique de : 20 610 223,8 DA
Ecart expliqués et traités par : Des sorties des vis et attaches retournes au magasin sans
l’établissement bons de réintégration au magasin d’un montant de : 1 000,06DA
Nombre d’articles : 5
Montant : 1000.6
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 75
Ecart traité par un bon de mise en consommation il s’agit des pièces d’outillage consommé
directement par le service maintenance.
Joint rondelles
Coude mixte 20 27
Coude FF 20/27
Réduction diam 15/12
Fil à souder
Electrovanne 1p -14063 A
ECART : -224,14
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 76
Selon le conseil d’administration, on constate cet écart comme écart négatif de stock et
se comptabilise comme suit :
Tableau n°16 : Etats des écarts entre le fichier comptable et l’inventaire physique
(Marchandises, matières premières, produits finis et produit semi finis)
- Matières premières : La matière premières est constituée de 143 articles d’un montant
de : 33 910 419,06 DA, il n’a été enregistré aucun écart entre l’inventaire physique et
l’inventaire comptable ; aussi le constat est le suivant :
Ecart négatif : Néant
Ecart positif : Néant
ECART : NUL
- Produits finis :
Les deux équipes de comptage ont recensé 10 articles, sans écarts entre elles et pour une
valeur de : 162 369 419,10 DA
Ecart négatif : Néant
Ecart positif : Néant ECART : NUL
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 77
- Produits semi-finis :
Les équipes de comptage ont recensé 29 articles pour une valeur de :
38 922 851,65 DA
Ecart négatif : Néant
Ecart positif : Néant
ECART : NUL
- Marchandises :
Douze articles ont fait l’objet de comptage et ont été valorisée pour un montant de :
187 251,78 DA
Ecart négatif : Néant
Ecart positif : Néant
ECART : NUL
► Les immobilisations :
Tableau n°17 : Etats des écarts entre le fichier comptable et l’inventaire physique (les
immobilisations).
N° Valeur Valeur/Ecart
Ordre L’inventaire Inventaire Théorique Positifs Négatifs
Immobilisations
- Matériel de production :
Avant traitement : 378 articles selon l’inventaire physique pour un montant de
290 604 320,84 DA
Apres traitement : 378 selon le solde comptable pour un montant de
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 78
Soit un écart négatif sur 15 articles pour un montant de 885 264,77 DA, constitué par le matériel
réformé (lot N°05) non présenté aux équipes d’inventaire se trouvant au niveau du
site « d’ALFREIX ».
Tableau n°18 : Etats des écarts entre le fichier comptable et l’inventaire physique après
traitement des écarts (pièce de rechange)
Tableau n°19 : Etats des écarts entre le fichier comptable et l’inventaire physique après
traitement des écarts (pour les immobilisations)
N° Valeur Valeur/Ecart
Ordre L’inventaire Inventaire Stock Positifs Négatifs
Immobilisations
1 Matériel de 290 604 320,84 290 604 320,84 - -
production
2 Matériel de bureau, 2 935 397,18 2 935 397,18 - -
informatique
Total général 293 539 718,02 293 539 718,02 - -
Tableau n°20 : Etats des écarts entre le fichier comptable et l’inventaire physique après
traitement des écarts (les stocks)
Tableau n°21 : Etats des écarts entre le fichier comptable et l’inventaire physique après
traitement des écarts (les écarts 2016)
Les immobilisations sont des éléments identifiables du patrimoine de l’entreprise, ils sont
destinés à servir des avantages économiques pour l’entité.
Une grande partie des immobilisations ont une durée de vie limitée et elles se déprécient avec
le temps.
Les taux d’amortissement se varient selon l’investissement comme les montre le tableau
suivant :
- La mise à jour du fichier comptable des investissements par la sortie des articles vendus
ou cédés et l’entrée des articles reçus ou achetés et la date de début d’amortissement
selon le PV de mise en marche.
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 82
Le contrôle des calculs automatiques du fichier des investissements avec les nouveaux
articles.
- Le rapprochement entre l’état global des immobilisations (voir annexe N°04) et la
balance comptable des comptes immobilisations.
Le code de travail a défini l’âge de retraite est 60 ans pour les hommes et de 55 ans pour
les femmes, et selon les informations fournis par le service des ressources humaines que le taux
d’actualisation pris en compte est de 5% et il est inchangé depuis longtemps.
En ce qui concerne les impôts déférés, l’ENPEC Oued Smar constate que les impôts déférés
liés à l’indemnité de départ en retraite et les autres impôts se constatent au niveau de la direction
générale à Sétif.
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 85
La constatation de ces impôts déférés pour indemnité de départ en retraite se fait comme suit :
Tous les salariés ont le droit des congés payés lors qu’ils ont travaillé durant une période
minimum au cours de l’année de référence.
Pour l’ENPEC, ce droit fait générer une obligation financière qui doit être inscrit dans les
documents comptables de l’entreprise.
La provision pour les congés payés se calcule à partir du salaire des mois précédents moins les
indemnités liées aux activités concernées et les primes.
L’ENPEC Oued Smar n’attend pas jusqu’à la fin d’exercice pour examiner son solde
dans sa banque car elle fait un rapprochement bancaire chaque fin de mois afin de vérifier la
concordance des comptes entre le compte « banque 512 » qui figure dans la comptabilité de
l’entité et le relevé de compte de la banque (document établit par la banque chaque fin de mois).
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 86
Pour établir l’état de rapprochement bancaire, on doit réunir les éléments suivants :
Après le contrôle de toutes les opérations passées dans les relevés de compte, l’entreprise
doit ressortir les écritures qui n’ont pas été passées dans les comptes comptables et les régularise
L’ENPEC ne constate pas vraiment des écarts à la clôture car ces rapprochements sont déjà
réalisés et vérifiés avant cette date.
Si on prend le compte bancaire de l’ENPEC Oued Smar dans l’agence de la BEA et le numéro
du compte dans la comptabilité de l’entreprise, on trouve que les soldes de ces comptes sont
égaux (voir annexe N°05).
Le compte de résultat est un document de synthèse que permet d’analyser le résultat des
activités de l’entreprise selon ses principaux agrégats de mesure de performances, et d’autre
part de déterminer le résultat des activités ordinaire (avant et après impôt) tel que les produits
et les charges sont classés par catégories et par compte.
Les éléments du calcul de résultat des exercices 2015 et 2016 pour L ENPEC sont présentés
comme suite :
Production de l’exercice :
On constate une augmentation de 109 401 907,42 de la production de l’exercice ainsi que du
chiffre d’affaire par rapport à l’année 2015. Il s’ensuit que l’entreprise se trouve en situation de
croissance sur la vente de ses propres produits.
Consommation de l’exercice :
Représente tous les biens et services achetés à des tiers externes de l’entité
La valeur ajoutée de 2016 est supérieure à 2015, ce qui signifie que l’ENPEC a réalisé une
marge bénéficiaire plus importante que 2015.
Excédent brut d’exploitation = valeur ajoutée – charges des personnel, impôt, taxes et
versement assimilés
On remarque que l’EBE de 2016 est égal à dix fois l’EBE de 2015 et cela indique que la
rentabilité de l’entreprise est très progressive par rapport à l’année 2015, car l’ENPEC a bien
maitrisé les charges personnelles pendant l’année 2016.
Résultat opérationnel :
L’ENPEC a un résultat opérationnel positif de 4 644 970,50 par rapport à ce que nous avons
obtenu en 2015 (-14 908 946), ce qui confirme une amélioration des performances de
l’entreprise.
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 89
Résultat financier :
On constate un résultat financier négatif (-79 460,06) en 2015 par rapport à le résultat financier
positif réalisé en 2016 (338 736,80), cela indique que la politique financière de l’ENPEC est
efficiente en 2016.
Résultat net des activités ordinaires = total des produits des activités ordinaires –total
des charges des activités ordinaires
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 90
Le résultat des activités ordinaires est de 3 105 753, est un résultat comptable après
inventaire positif par rapport à le résultat négatif de 2015.
Par rapport à le résultat réalisé en 2015 (-16 675 691,04), l’ENPEC est performante en 2016
car elle a réalisé un résultat positif de 3 105 753.
4.2. Le bilan
Le bilan est un document de synthèse, il s’agit d’un tableau récapitulant toute les ressources
et les emplois d’une entreprise, qui expose sa situation financière et son patrimoine.
L’ENPEC comme une entreprise tenant une comptabilité financière doit procéder à un arrêt
de ces comptes chaque année pour établir son bilan1.
Commentaires :
Le compte « résultat net d’exercice » qui a un solde débiteur figure au passif en déduction
des capitaux propres, tel que les comptes qui ont un solde débiteur se placent à l’actif.
1
Article 10 du code de commerce
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 91
de tiers » et « pertes de valeur sur actifs financiers courant » ont un solde créditeur augmentent
les actifs.
Les comptes amortissements des immobilisations qui ont un solde créditeur qui représente
le montant des amortissements cumulés, de la date d’entrée du bien dans le patrimoine à la date
d’inventaire concernée.
Afin d’obtenir la VNC, l’amortissement des immobilisations qui figurent à l’actif du bilan
en soustraction des comptes immobilisations.
Les provisions pour dépréciation d’actif, dont le montant correspond au solde créditeur des
comptes : « pertes de valeur sur immobilisations », « pertes de valeur sur stocks et en cours »,
« pertes de valeur sur compte de tiers » et « pertes de valeur sur actifs financiers courant »,
figurent à l’actif du bilan en déduction de la valeur brute comptable des postes de l’actif
concernés.
Les comptes de régularisation sont réduits aux charges constatés d’avance (actif) et produits
constatés d’avance (passif) et sont reportés au bas du bilan.
Les effets à recevoir et les effets à payer sont regroupés avec les créances et les dettes
d’exploitation.
Le résultat se classé au passif dans la masse des capitaux propres et égal la différence entre :
Il représente les entrés et les sorties de disponibilités selon leur origine, il a pour but
d’apporter aux utilisateurs une base dévaluation de la capacité de l’entreprise à générer de la
trésorerie.
Le tableau suivant représente un tableau non détaillé des flux de trésorerie de l’ENPEC Oued
smar des exercices 2016 et 2015
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 92
Tableau N°23 : Tableau non détaillé des flux de trésorerie de l’ENPEC Oued smar
Flux de trésorerie provenant des activités -30 392 533,61 5 562 853,52
opérationnelles
Flux de trésorerie provenant des activités -140 169,78 -2 481 931,82
d’investissement
Flux de trésorerie provenant des activités de - -
financement
Variation de trésorerie -30 532 703.39 3 080 921.70
Commentaire :
Selon le tableau de variation de trésorerie (voir annexe N°10), il ressort que les flux de
trésorerie net liés aux activités opérationnelles pour l’exercice 2015 est positif d’un montant de
(5 562 853,52) ce qui signifie que les encaissements liés aux activités opérationnelles dépassent
les décaissements liés aux (versements fournisseurs, intérêts et autres frais financiers payés),
contrairement pour l’exercice 2016 est négatif d’un montant de (-30 392 533,61). Pour éviter
ce type de situation négative ultérieurement l’entreprise doit chercher les causes de cette
diminution à fin de les traitées.
Nous constatons que les flux de trésorerie net liés aux activités d’investissement sont
négatifs pour les deux exercices à cause de l’acquisition des immobilisations
corporelles/incorporelles d’un montant de (2 481 931,82) et (140 169,78) respectivement pour
les exercices2015 et 2016. Ce genre d’immobilisations absorbe des sommes importantes de la
trésorerie.
Pour ce qui est de la variation des flux de trésorerie de l’ENPEC Oued smar, pendant
l’exercice 2015 est positive dont le montant s’élève à (3 080 921.70), contrairement à l’exercice
suivant 2016 est négative d’un montant de (-30 532 703.39) ce qui nous observer certaines
instabilités de la gestion de la trésorerie.
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 93
Résultat
Après traitement des écarts, on a obtenu un écart de 224,14 DA, il s’agit des pièces
d’outillage consommé directement par le service maintenance. Cet écart a été traité par un bon
de mise en consommation.
Nous avons trouvé que la procédure d’inventaire physique et comptable a été correctement
appliquée.
D’autre part :
Pour ce qui est des charges et les produits constatés d’avance, l’ensemble des impôts déférés
ne nous sont pas fournis par le comptable de l’entreprise car ils sont traités au niveau de la
direction générale à Sétif.
Chapitre 03 : Les opérations des travaux de la clôture au sein de l’ENPEC Oued Smar 94
Conclusion
Le projet ENPEC ciblant l’industrie des accumulateurs représente une idée ingénieuse à
lancer car le produit « accumulateurs » et indispensable, non substituable pour le démarrage des
moteurs de tous le parc roulant (moteur industriel), ce qui justifie la forte demande de ce produit
sur le marché du moins national.
L’ENPEC doit mettre en place une gestion comptable analytique et dans la détermination
des coûts afin d’être compétitive et assurer sa durabilité, d’ailleurs pourquoi ne pas accéder à
une stratégie leader de produit ce qui permet un développement socioéconomique participant à
l’absorption de chômage et devenir un important contribuable à la fiscalité.
Evidement un facteur clé de succès, de cette progression est la tenue ajour de toute les
écritures comptables de l’entreprise afin de satisfaire les obligations de cette mission et préparer
à la fin d’exercice, en traitant linéairement les amortissements des immobilisations, les
provisions, perte de valeur et les états de rapprochements bancaire, à noter que la procédure
physique du patrimoine de l’entreprise est primordiale suivi d’une correction comptable des
écarts susceptibles au 31/12/2016.
Enfin, l’ENPEC déploie sur le plan comptable des réflexions et des efforts considérables
œuvrant à améliorer sa gestion comptable par l’application du système comptable financier
(SCF), tout en obéissant à sa nouvelle nomenclature des comptes.
CONCLUSION GENERALE
Conclusion générale
Beaucoup de pays ont adopté ces nouvelles normes comptables IAS/IFRS pour harmoniser
les outils comptables afin de s’adapter à la mondialisation des marchés et les transactions
internationales et de fournir aux investisseurs, actionnaires et les autres parties prenantes des
données fiables, transparentes, normalisées, homogènes et comparables.
L’Algérie a commencé d’appliquer ces normes en 2010 via le passage du plan comptable
national (PCN) au nouvel système comptable financier (SCF) afin d’assurer un meilleur
contrôle des comptes et d’apporter plus de transparence et de fiabilité dans l’information
financière.
Nous avons constaté à travers notre étude au sein de l’entreprise nationale des produits
électrochimiques ENPEC que la comptabilité est l’organe de vision de l’entreprise permettant
de fournir de manière continue et à tous moment un état de la situation financière de l’entreprise.
Donc, on confirme la première hypothèse.
Les travaux de fin d’exercice traités représentent une obligation juridique à toute personne
morale ou physique afin de bien contrôler et poursuivre ce qu’elle a et ce qu’elle doit. C’est
pour cela on confirme la deuxième hypothèse qui dit que ces travaux consistent à élaborer un
inventaire annuel des éléments actifs et passifs et d’arrêter les comptes à la fin d’année.
Ces documents sont destinés pour informer les utilisateurs et les parties prenantes et pour
présenter fidèlement la situation financière et patrimoniale de l’entreprise.
L’unité de production ENPEC-Oued Smar après avoir vérifié sa démarche des travaux de
fin d’exercice, elle a négligé les éléments suivants :
La méthode de réévaluation libre n’est pas utilisée pour toutes ses immobilisations et la
seule méthode est celle du coût historique.
Les charges et les produits constatés d’avance liés à cette unité de production.
Dans ce cadre, et après avoir entamé l’étude pratique, nous recommandons les points suivants :
Les travaux de fin d’exercice sont donc une nécessité dans la fonction comptable de la
société pour bien connaitre et savoir où sont les points faibles et la situation réelle de
l’entreprise.
Notre travail présente certaines limites liées aux contraintes relatives à notre interventions
et possibilité d’assister durant la période de la préparation d’inventaire physique, comptage et
le déroulement générale d’inventaire.
D’autre part, nous avons posé toutes les questions possibles pour recenser des rapports en
matière de l’inventaire physique au sein de l’ENPEC Oued Smar.
Conclusion générale
Enfin, l’objectif de notre recherche à travers notre intervention est d’assurer que la prise
d’inventaire a été effectuée sincèrement et correctement. Nous espérons que ce travail contribue
à apporter une valeur ajoutée en matière de maitrise des travaux de fin d’exercice.
Notre thème permet d’ouvrir d’autres brèches de réflexion telle que par exemple, le
traitement des amortissements des immobilisations, les différentes provisions et les nouveautés
apportés à ce notre selon le nouveau référentiel comptable.
BIBLIOGRAPHIE
BIBLIOGRAPHIE
Ouvrage :
Guide pratique des travaux de fin d’exercice, Mohamed Diaby, L’Harmattan, 2014
Textes juridiques :
Décret N°83-22 du 1er janvier 1983 portant création de l’entreprise nationale des
produits de l’électro-chimie (ENPEC).
Mémoires et thèses :
BENKARA (A) : travaux de fin d’exercice, mémoire fin de cycle pour l’obtention du
diplôme d’étude supérieure spécialisé comptabilité, CACI PINS MARITIMES
ALGER, 2011-2012.
BENSGHIR (A) : les travaux de fin d’exercice et techniques d’élaboration des états
financiers, mémoire de fin de cycle en vue de l’obtention du diplôme de Master en
sciences de gestion, spécialité finance d’entreprise, Université Abderrahmane Mira
Bejaia, 2013-2014.
SLIMANI (E) : les travaux de fin d’exercice selon le nouveau système comptable et
financier (SCF), mémoire de fin de cycle pour l’obtention du diplôme de Master en
sciences commerciales, spécialité finance et comptabilité, EHEC Alger, 2015-2016.
Sites web :
www.memocompta.fr
www.ladissertation.com
www.salem.over-blog.com,
ANNEXES
ANNEXES
Annexe N°01 : Décret de création de l’entreprise ENPEC Oued Smar
Annexe N°02 : Procès-verbal de réunion de la cellule de collecte d’information et de
traitement des écarts (CCITE)
N° 1
Page :
9-Rapport Final 18/22
ENPEC d’Inventaires
O.SMAR
Etaient présents :
Mr. E.SOLTANI Directeur d’unité
Melle N .KRIM Coordinatrice et responsable de l’opération d’inventaire
Mr N. BOUFETTA Superviseur Matières Premières
Mr R. BENHAGOUGA Superviseur Produits Finis-Semi- Finis, Déchets et Rebut
Mr F. NAIM Superviseur d’Investissement
Mr T.KERAI Superviseur Pièces de Rechange
Mr L. SALMI Représentant des Travailleurs
Mr A. KHIAT Représentant des Travailleurs
ORDRE DU JOUR :
Traitement des écarts entre l’inventaire physique et l’inventaire comptable 2016.
Début de la réunion : 10 h 00
Fin de la réunion : 15h 00
Ce jour, Dimanche 12/01/2017, la CCITE, présidée par Monsieur SOLTANI El Hadj, Directeur
d’unité s’est réuni en vue de traiter les écarts dégagés entre les inventaires physique et
comptable de l’exercice 2016.
Les superviseurs ont exposé les écarts relevés ainsi que les explications fournies à cet effet.
Annexe N°03 : Liste de contrôle des papillons de comptage
Annexe N° 04 : Etat global des immobilisations de l’ENPEC
Annexe N°05 : Etat du rapprochement bancaire du mois de novembre 2016
Annexe N°06 : La balance après inventaire de l’ENPEC au 31/12/2016
Annexe N°07 : Le compte de résultat de l’ENPEC
Annexe N°08 : L’actif du bilan de l’ENPEC
Annexe N°09 : Le passif du bilan de l’ENPEC
Annexe N°10 : Tableau des flux de trésorerie de l’ENPEC
Table des matières
Remerciement
Dédicace
Liste annexes
Liste d’abréviations
Sommaire
Résumé
Introduction générale…………………………………………………………………A
Introduction…………………………………………………………………………....2
1.4.1 Un art….…………………………………………………………...6
1.4.4 Un langage………………………………………………………....7
Du SCF………...………………………………………............23
Conclusion………………………………………………………………………...26
Introduction…………………………………………………………………………28
2.5.1 Définition……………………………………………………….37
3.1 Définition……………………………………………………………….39
3.2 L’obligation…………………………………………………………….39
Conclusion………………………………………………………………………...59
Oued Smar……………………………………....................................................60
Introduction………………………………………………………………………….61
4.2 Le bilan…………………………………………………………………86
Conclusion ………………………………………………………………………….94
Conclusion générale
Bibliographie
Annexes