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Tout comme la première trêve, sa prolongation n’a pas fait taire les armes à Khartoum et
d’autres régions, en particulier au Darfour. Ce cessez-le-feu arrive à expiration dimanche à
minuit. La guerre a fait 528 morts et 4.599 blessés, selon des chiffres officiels largement sous-
évalués, et les deux camps s’accusent mutuellement de violer la trêve.
Dimanche, des témoins ont fait état de combats près du quartier général de l’armée à Khartoum
et de frappes aériennes à Omdurman, banlieue nord de la capitale. « Il y a de très violents
combats, des coups de feu résonnent dans ma rue toutes les quelques minutes depuis l’aube »,
rapporte un témoin. Alors que les combats entrent dans leur troisième semaine, les cinq
millions d’habitants de la capitale, quand ils ne fuient pas, restent barricadés, essayant de
survivre aux pénuries de nourriture, d’eau et d’électricité.
Dimanche, des témoins ont fait état de combats près du quartier général de l’armée à Khartoum
et de frappes aériennes à Omdurman, banlieue nord de la capitale. « Il y a de très violents
combats, des coups de feu résonnent dans ma rue toutes les quelques minutes depuis l’aube »,
rapporte un témoin. Alors que les combats entrent dans leur troisième semaine, les cinq
millions d’habitants de la capitale, quand ils ne fuient pas, restent barricadés, essayant de
survivre aux pénuries de nourriture, d’eau et d’électricité.
Dimanche, des témoins ont fait état de combats près du quartier général de l’armée à Khartoum
et de frappes aériennes à Omdurman, banlieue nord de la capitale. « Il y a de très violents
combats, des coups de feu résonnent dans ma rue toutes les quelques minutes depuis l’aube »,
rapporte un témoin. Alors que les combats entrent dans leur troisième semaine, les cinq
millions d’habitants de la capitale, quand ils ne fuient pas, restent barricadés, essayant de
survivre aux pénuries de nourriture, d’eau et d’électricité.
Dimanche, des témoins ont fait état de combats près du quartier général de l’armée à Khartoum
et de frappes aériennes à Omdurman, banlieue nord de la capitale. « Il y a de très violents
combats, des coups de feu résonnent dans ma rue toutes les quelques minutes depuis l’aube »,
rapporte un témoin. Alors que les combats entrent dans leur troisième semaine, les cinq
millions d’habitants de la capitale, quand ils ne fuient pas, restent barricadés, essayant de
survivre aux pénuries de nourriture, d’eau et d’électricité.