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Organisation générale

  1 séances de cours ( cours + 1 CC)


Réseaux HWV\VWqPHV   10 séances de travaux dirigés
Sondes Kallel Khemiri
&KDUJpVGH7'V
1 2
Organisation cours Organisation TD
  1 séances de cours ( cours + 1 CC)   10 séances de travaux dirigés (9 TDs + 1 CC)
  1 séances de 1h30 heures
  Partie : 5pVHDX[ORFDX[ &RPPXWDWLRQ   9 séances de TDs/TPs de 3 heures
  C1&&: Introduction :Réseaux Locaux et Interconnexion des LANs   Salles réseaux : découverte et configuration de matériels Cisco
  C&: Réseaux Locaux et les méthodes d’accès (CSMA/CD)   Partie I : commutation
  C : Réseaux Locaux et les méthodes d’accès (Token ring)   TD1 : $UFKLWHFWXUH5pVHDX[0RGqOHVGHUpIpUHQFHV26,
  C: Les VLANs   TD : 5DSSHOFRXFKHV3K\VLTXHHW/LDLVRQ
  C: VTP/STP
  TD : 5pVHDX[/RFDX[0pWKRGHVG¶DFFqV
  CC   TD : 3DFNHW7UDFHUFRQILJXUDWLRQGHEDVHG¶XQFRPPXWDWHXUVXU3DFNHW7UDFHU
  TD : 3DFNHW7UDFHUFRQILJXUDWLRQDYDQFpHGHUpVHDX[ORFDX[YLUWXHOV
  TD : 973673
4
3
Objectifs pédagogiques de la première partie Références
  Acquérir une culture générale sur larchitecture des réseaux et   Analyse structurée des réseaux, 2ème édition, James Kurose et
une bonne connaissance des réseaux LAN Keith Ross, Traduction par Stéphane Pauquet, Pearson
  Architectures et topologies des réseaux Education France 2003
  Les réseaux locaux LAN: techniques d’accès CSMA/CD, Token ring,   Andrew Tanenbaum, «Réseaux » Dunod 2002
Ethernet, VLAN   Guy Pujolle, « Les Réseaux », Eyrolles, ed. 2005
  Interconnexion des réseaux Locaux   Khaldoun Alagha & Guy Pujolle & Guillaume Vivier, « Réseaux
  Consolidation avec des travaux pratiques sans fil et mobiles », octobre 2001
  Packet tracer : un simulateur de matériel réseau Cisco (routeurs,   Claude Servin, « Réseaux et télécoms », Dunod 2003
commutateurs)   L. Toutain « Réseaux Locaux et Internet »
  Salles réseaux : découverte et configuration de matériels Cisco   Le web
 022'/(: vérifier votre accès (login + mdp)
  …
8 9
Plan
Partie I : Commutation
  Généralités
C1- Introduction :Réseaux Locaux et   Classification
  Topologie
Interconnexion des LANs   Le modèle de référence
  Mise en relation
Sondes Kallel Khemiri   Les réseaux locaux
PRISM/ASR   Définition
  Interconnexion LAN
Sondes.Kallel@prism.fr
  Commutation
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Bibliographie
  TCP/IP architecture protocoles applications,
Douglas Cormer
Généralités   Computer Networking A top-Down Approch
Featuring the Internet, James Kurose et Keith
  Classification
Ross, second Edition
  Topologie
  Le modèle de référence   Réseaux et Télécoms, Claude Servin. Dunod
  Mise en relation
12 13
Définition
Introduction : Généralités
Déf. Un réseau est un ensemble   Définitions
de matériels et de logiciels
  Réseau d’ordinateurs : Ensemble de terminaux et
dispersés destinés à assurer
le transport de données. d’ordinateurs interconnectés par des télécommunications
mobile généralement permanentes
Matériels: routeur/switch
  Transmission : Action de transmettre quelque chose à
Logiciels: Protocoles quelqu’un.
- la délimitation des blocs Server
de données échangés
- le contrôle et organisation   Protocole : Ensemble de règles définissant le mode de
de léchange workstation communication entre deux entités.
14 15
Introduction : Généralités Structure des réseaux
  Objectifs des réseaux   Terminologie
  Partage des ressources : Rendre accessible à chacun les données, les
programmes et équipements indépendamment de leur situation   Système-terminal, hôte ou noeud du réseau
physique par rapport à l’utilisateur.
Tout simplement l’ordinateur…
  Augmenter la fiabilité: Permettre des copies d’un même fichier sur
plusieurs machines augmente la fiabilité face aux pannes d’une   Sous-réseau
machine.
Les hôtes sont connectés par le sous-réseau. Son
  Réduction des coûts : Plusieurs petits ordinateurs revient moins cher
que de gros serveurs à performance égale. rôle est le transport des messages d’un hôte à
l’autre. Il comporte généralement les lignes de
  Médium de communications : Des personnes éloignées transmission et les éléments de commutation
géographiquement peuvent travailler ensemble plus facilement.
  Travail coopératif
(hub, switch, routeurs).
16 17
Définition
Structure des réseaux
  Deux types de réseaux
  Réseau point à point
  Grand nombre de connexions entre machines.
  Les messages peuvent passer par plusieurs machines
avant d’atteindre leur destination.
  Différentes structures :
18 19
Structure des réseaux Classifications des réseaux
  Deux types de sous-réseaux   Critères de classification
  Réseau à diffusion (broadcast) ou à accès multiple   Topologie
  Un seul canal de communication
  Étoile, anneau, bus
  Tout le monde entend le message de tout le monde
  Un message est envoyé avec une adresse de destination : seul le   Taille
destinataire répond.   WAN, LAN, MAN, PAN, …
  Différentes structures :
  Technique de transfert
  À circuit ou à paquet
  À commutation ou à routage
20 21
Bus Anneau
Topologies Topologies (physique)
: le mode   Topologies de base
déchange des messages
dans le réseau, elle est - Bus
réalisée par un protocole
d'accès
  Ethernet - Etoile
  Token ring
: le mode de
raccordement des machines - Anneau
  Bus, étoiles etc
  Deux types de liaisons:
point-à-point ou mulipoints 22 23
Classification par taille Classification par taille
  PAN – Personal Area Network
  Interconnectent sur quelques mètres des équipements
personnels tels que les téléphones portables, PALM,
PDA*, oreillettes, domotique, auto-radio, etc…
  Couverture: de 10m à 100m
  Débit: quelques Mbits/s
  Technologies :
  USB
  bluetooth
  infra-rouge
  …
24 *Personal Digital Assistant 25
Classification par taille Classification par taille
  LAN – Local Area Network   MAN – Metropolitan Area Network
  Correspondent aux réseaux d’entreprises, réseaux   Couverture: la taille d’une ville
de campus ou équivalents.   Débit: quelques dizaines de Mbits/s
  Tailles restreintes   Interconnexion des entreprises, campus, et
éventuellement de particuliers.
  Débits de 10Mbps à 10Gbps
  Haut débit, très important dans le coeur de réseau,
  Couverture: de 100m à 1000m redistribué en de moindres mesures aux
  Topologies les plus utilisées : bus, anneau, étoile extrémités.
  Gérés généralement par une entreprise.
  Technologies :
  Technologies :
  Ethernet
  ATM
  Token ring
  FDDI
  WiFi
  WiMAX
  HipperLan …   …
26 27
Classification par taille Classification par la technique de transfert
  WAN – Wide Area Network   Besoin d’un mode de mise en relation entre les
  Réseau longue distance (de l’ordre du pays)
Couverture: Mondiale éléments du réseau : deux modes
  Peuvent être des réseaux terrestres (essentiellement de
la fibre optique), ou hertziens (comme les réseaux
satellitaires).
  Débit: quelques Mbits/s
  Technologies :
  ATM
  X25
  Frame Relay
  MPLS
  Satellite
  RNIS, IP, GSM
  …
28 29
Modes de mise en relation :
Modes de mise en relation Mode non connecté (Datagramme)
  Deux modes de fonctionnement pour transiter les   Mode non connecté
informations   Par analogie avec un envoi de
courrier
  Connecté   Une seule phase (Transfert des données)
  Non connecté   Simple ⌧  ⌧ 
  Plusieurs chemins possibles ⌧   
Hôte C
  Dépend : ⌧ 
☺  Plus léger, parfois plus rapide ⌧  ⌧ 
  Du service demandé

Hôte A
☺  Service non fiable Aucune garantie
  Du protocole utilisé   Utilisé pour la messagerie  
Hôte B
électronique (le destinataire n’a pas
besoin d’être là), la consultation de
bases de données…
30 31
Modes de mise en relation :
Mode connecté
  Mode connecté (Circuit virtuel,CV/
circuit physique)
-  Par analogie avec un appel
téléphonique (3 temps)
1.  Etablissement d’une connexion Les réseaux locaux
⌧  ⌧ 
2.  Transfert des données  
3.  Libération de la connexion
⌧  Hôte C
⌧  ⌧ 
☺  Service fiable: Chemin dédié Circuits ⌧    Définition
commutés (SVC) ou Circuits

Hôte A
permanent(PVC)
☹  Complexe, Une connexion alourdit le Circuit virtuel

Hôte B
transfert Difficile pour des
applications multipoints (autant de
connexions que de paires d’hôtes)
  Utilisé pour le transfert de voix ou de
fichiers 32 35
Qu'est-ce qu'un réseau local Objectifs des LANs
  Un réseau local (ou en anglais LAN, local area network), est un réseau
permettant d'interconnecter les ordinateurs d'une entreprise ou d'une
organisation. Grâce à ce concept, on a un système permettant :
  D'échanger des informations
  De communiquer
  D'avoir accès à des services divers
  Un réseau local relie généralement des ordinateurs (ou des ressources
telles que des imprimantes) à l'aide de supports de transmission filaires
  Paires torasadées
  Ou câbles coaxiaux la plupart du temps sur une circonférence d'une centaine de mètres
  Exemple de types de technologies utilisées dans les LANs :
  Token ring
  IEEE 802 LANs, Ethernet et Fast-Ethernet
  FDDI (anneau en fibre optique), ATM, 802.11(a,b,g,...)
36 37
Les constituants matériels d'un
Exemple de réseau local réseau local
  Un réseau local est constitué d'ordinateurs reliés par un ensemble
d'éléments matériels et logiciels. Les éléments matériels permettant
d'interconnecter les ordinateurs sont les suivants :
  La carte réseau (parfois appelé coupleur): il s'agit d'une carte
connectée
  Le transceiver (appelé aussi adapteur): il permet d'assurer la
transformation des signaux
  La prise: il s'agit de l'élément permettant de réaliser la jonction
mécanique
  Le support physique d'interconnexion: Il est généralement filaire
  Le cable coaxial
  La paire torsadée
  La fibre optique
38 39
Les constituants matériels d'un Les constituants matériels d'un
réseau local réseau local
40 41
Les constituants matériels Interconnexion
  Définition: Fonction pour réaliser l’interfonctionnement de réseaux hétérogènes
d'un réseau local   Hétérogénéité des réseaux :
  Matériels
  Capacité
  Taille de paquets
  Protocoles
  Services
  Méthode : Identifier le niveau d’hétérogénéité afin de déterminer les fonctions requises
pour établir l’interconnexion (Modèle OSI)
  Selon le niveau d’hétérogénéité considéré : Mise en œuvre d’un dispositif
d’interfonctionnement
  Techniques employées:
  Amplification – Encapsulation
Encaps
ncaps
caps
capsulati
apsulati
ul on
ulat
  Fragmentation/Réassemblage – Conv
Conversion
onv
nvversio
rsion d
rs
rsi de proto
prot
protocole/service
cole
cole/
ole serv
servi
erv ce
ce
  Équipements employés:
  Répéteurs (Repeter) – Conce
Concentrateurs
onc
once
ncentrat
nt eur
ntra eurs
eu
urs (Hub)
ur (Hubb
  pont (Bridge) – Commu
Commutateurs
ommu
omm
mmu
mutateu
ateu
teurs
eurs ((S
(Switch)
witch
it )
  Routeurs (Router)
  Passerelles (Gateway)
42 43
Interconnexion de LAN Interconnexion de LAN
  Problématique
The image cannot be displayed. Your computer
may not have enough memory to open the
image, or the image may have been corrupted.
Restart your computer, and then open the file
again. If the red x still appears, you may have to
unité
delete the image and then insert it again.
A LAN 1 d'inter- LAN 2 B
fonctionnement
  les solutions
7 application application 7
6 présentation passerelle présentation 6
5 session session 5
4 transport transport 4
routeur 3
3 réseau réseau
pont
2 liaison liaison 2
répéteur
1 physique physique 1
44 45
Les Stations d'interconnexion Le répéteur
  Le répéteur/ Hub/
Concentrateur Station Station
Segment 1
R
  Les ponts
  Commutateur Station Station
Station Station

Segment 4
Segment 2
Segment 3
  Les routeurs R
R
R : Répéteur
  Les passerelles GW 46 47
Niveau physique: Répéteur Niveau physique : Concentrateurs / Hubs
  Traite le problème de l'atténuation   Un Hub émule un bus
  Régénère le signal et filtre le bruit   Diffusion des messages sur tous les ports
  Pour augmenter la portée géographique du support
  détection des collisions (le signal de collision est retransmis à l'ensemble des stations)
  Liaison Hub/Station ou Hub/Hub en paires torsadées (1 pour l'émission, 1 pour la
  Fonctionne au niveau Physique (bit), réception)
  ne connaît pas la trame,
  ne procède à aucun filtrage (ne diminue pas la charge du réseau),
  détecte les collisions et les propage (jam),
  remet en forme les signaux électriques ou optiques,
  Débit identique
  Changement de type de support
  Ne peuvent être utilisés que sur les mêmes types de segments (Ethernet-
Ethernet ou Token Ring-Token Ring)
  Car il opère au niveau physique : il n’y a pas d’intélligence
48 49
Niveau physique: Le répéteur (Hub) Niveau trame: Pont ou commutateur de trames
  interconnexion au niveau de la couche physique   Limitations du répéteur
  permet l ’interconnexion de 2 segments augmenter la distance Diminution du débit par nœud
  ne possède pas d'@MAC Limitations physiques
  Distance maximum imposée par Ethernet ( long segment = 500 m et longeur max = 2.5km)
  régénère le signal pour compenser un affaiblissement ou changer de média
(câble coaxial à paire torsadée)   Nombre limité de hubs en cascade (exemple : 4 au max pour la norme 10 BASE 5)
Répéter le signal reçu d’un port d’entrée vers tous les ports de sortie Un même domaine de collision
  n'effectue aucun filtrage : transparent au protocole   Interconnexion par filtrage de trames
  aucune administration Performance
  Diminution de la charge par segment physique
  Augmentation de la bande passante disponible par transmissions parallèles
A B C D E F
Sécurité
  Isolation des trafics
Flexibilité des débits : Un pont délivre sur tous les ports un débit à la vitesse du médium
Augmentation de la portée géographique
  Utilisation de liens point à point
Hub Indépendance des segments car isolation des trafics
Capable de convertir des trames de formats différents (ex : Ehernet Token Ring).(hétérogène)
Une trame envoyée par A à B est reçue par toutes les stations B, C, D, E, F 50 51
Niveau trame:Le pont Niveau trame : Le pont (bridge)
  interconnexion au niveau MAC
  permet de
structurer un réseau d'entreprise en le segmentant physiquement
rallonger un réseau local
RESEAU RESEAU
relier deux réseaux de technologies différentes
LLC LLC
  possède une @MAC (transparente pour les stations)
MAC1 MAC1 MAC2 MAC2
3 3
PHY1 PHY1 PHY2 PHY2
LLC LLC
2 2
MAC 1 MAC 1 MAC 2 MAC 2
Réseau 1 Réseau 2
1 PHY 1 PHY 1 PHY 2 1 PHY 2
55 Réseau 1 Réseau 2 56
Niveau trame:Le pont (bridge) Niveau trame:Le pont (bridge)
  difficultés   fonctions supplémentaires
filtrer le trafic non destiné à un segment 8QVZLWFKSHXWILOWUHUOHWUDILFTXL
les LAN peuvent utiliser un format de trame Q
HVWSDVGHVWLQpjXQVHJPHQWGHUpVHDXVSpFLILTXHHWQ
DFKHPLQHUTXHOHVWUDPHVGHGRQQpHVGHVWLQpHVjFHVHJPHQW
différent reformatage &HODSHXWDLGHUjUpGXLUHODFKDUJHVXUOHUpVHDXHWjDPpOLRUHUOHVSHUIRUPDQFHV
ne pas laisser passer les trames destinées à une station sur le
le pont peut constituer un goulet d'étranglement même segment8QVZLWFKSHXWEORTXHUOHVWUDPHVGHGRQQpHVGHVWLQpHVjXQHVWDWLRQVXUOHPrPH
VHJPHQWDILQGHUpGXLUHODFKDUJHVXUOHUpVHDX&HODSHXWrWUHSDUWLFXOLqUHPHQWXWLOHORUVTXHSOXVLHXUVVWDWLRQVVRQW
lorsque
FRQQHFWpHVDXPrPHVHJPHQWHWTXHFHUWDLQHVG
HQWUHHOOHVQHVRQWSDVXWLOLVpHVDFWLYHPHQW
  les LAN ont des débits différents et que le pont relaie une
apprentissage des infos de filtrage 8QVZLWFKSHXWDSSUHQGUHOHVDGUHVVHV0$&GHV
communication d'un LAN rapide vers un LAN plus lent8Q GLIIpUHQWHVVWDWLRQVFRQQHFWpHVDXUpVHDXHWHQUHJLVWUHUFHVLQIRUPDWLRQVGDQVVDWDEOHGHILOWUDJH&HODOXLSHUPHWGH
VZLWFKSHXWDSSUHQGUHOHVDGUHVVHV0$&GHVGLIIpUHQWHVVWDWLRQVFRQQHFWpHVDXUpVHDXHWHQUHJLVWUHUFHV VDYRLUVXUTXHOSRUWGHVRUWLHDFKHPLQHUOHVWUDPHVGHGRQQpHVGHVWLQpHVjFKDTXHVWDWLRQHWG
RSWLPLVHUODWUDQVPLVVLRQ
LQIRUPDWLRQVGDQVVDWDEOHGHILOWUDJH&HODOXLSHUPHWGHVDYRLUVXUTXHOSRUWGHVRUWLHDFKHPLQHUOHVWUDPHV GHGRQQpHV
GHGRQQpHVGHVWLQpHVjFKDTXHVWDWLRQHWG
RSWLPLVHUODWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHV administration à distance (agent SNMP)
 3OXVLHXUVFRPPXQLFDWLRQVRQWOHPrPHSRUWGHVRUWLH6L A B C D E F
SOXVLHXUV FRPPXQLFDWLRQV GRLYHQW rWUH WUDQVPLVHV SDU OH PrPH SRUW GH VRUWLH GX SRQW FHOD SHXW
HQWUDvQHUXQHFRQJHVWLRQGXUpVHDXHWUDOHQWLUODWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHV
57
Pont
58
Une trame envoyée par A à B n’est reçue que par les stations de même segment (B et C)
Niveau trame: Principe du pontage Niveau trame: Principe du pontage
  Pont (ou commutateur) est un relais   Un pont possède autant de lignes (ou interfaces) que de LAN interconnectés;
retransmet les trames en fonction de l'adresse MAC de destination chaque ligne contient la sous-couche MAC appropriée
  Séparation en domaines de collision:
Permet de segmenter le réseau en sous-réseaux indépendants
Transmission de trames en parallèle (sur des ports différents).
dispositif actif filtrant (collision) : permet de diminuer la charge du réseau./HVZLWFKSHXWILOWUHUOHVWUDPHVGH
GRQQpHVHWQ
DFKHPLQHUTXHFHOOHVTXLVRQWGHVWLQpHVjXQVHJPHQWGHUpVHDXVSpFLILTXH&HODSHXWDLGHUj
UpGXLUHODFKDUJHVXUOHUpVHDXHWjDPpOLRUHUOHVSHUIRUPDQFHV
Pas de limitation du nombre en cascade,OQ
\DSDVGHOLPLWDWLRQDXQRPEUHGHVZLWFKHVTXLSHXYHQWrWUH
FRQQHFWpVHQFDVFDGHF
HVWjGLUHOHVXQVDSUqVOHVDXWUHV&HODSHXWrWUHSDUWLFXOLqUHPHQWXWLOHSRXUOHVUpVHDX[
GHJUDQGHHQYHUJXUHTXLQpFHVVLWHQWXQHFRQQHFWLYLWppWHQGXH
• les trames A<-->B ne sont pas transmises sur le segment 2
• les trames C<-->D ne sont pas transmises sur le segment 1,
• la distance entre A et D est en théorie illimitée avec ponts et 59 60
segments en cascade ,
• les collisions sont filtrées.
Fonctionnement des Ponts Différents types de ponts
  Une table de localisation basée sur l'adresse MAC permet de connaître le LAN de   Ponts simples
sortie (FDB - Forwarding Data Base)   table d'acheminement (FDB) statique (configurée par l'administrateur)
  Ponts transparents
  Un timer est associé à chaque entrée de la table (les stations peu bavardes sont
  FDB construite dynamiquement et maintenue à jour par analyse des trames entrantes
éliminées)
  déplacements de stations transparents
  Quand un pont reçoit une trame
  Ponts à routage par la source
  LAN destination = LAN source -> rejet de la trame   la route à suivre est indiquée par la trame elle-même
  LAN destination <> LAN source -> acheminement   une trame de découverte est envoyée vers le destinataire avant l'envoi des données
  LAN destination inconnue, diffusion de la trame sur toutes les lignes sauf celle d'entrée   champ RI dans Token Ring (Routing Information)
  Ponts distants:
Reformatage des trames   Interconnexion de LAN distants de plusieurs centaines de kilomètres par des liaisons point à point
(liaisons louées par exemple)
  Le format de l'en-tête des trames diffère d'un LAN à l'autre
  Le pont doit reformater les trames
  -> consomme du temps CPU
  -> il faut recalculer le CRC
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FDB - Forwarding Data Base
Adresse DA/SA/RA/TA : Adresse destination (finale) / source(initiale) / station réceptrice (niveau sans fil) / station émétrice (niveau sans fil)
Le pont simple Le pont routeur
  Conversion du format des trames   Construction des tables de routage
  Filtrage d'adresse   Contrôle de flux
  Gestion des bits de contrôle des trames   Filtrage du trafic local
63 64
Ponts Transparents Ponts/commutateurs
  Conçus à l’origine pour interconnecter des réseaux Ethernet,   Pas vraiment de différence !
  fonctionnent en « auto-apprentissage »: « plug & play »   Dans les deux cas, sur Ethernet, une ligne = un domaine de collisions
  découvrent automatiquement la topologie du réseau Ethernet   On parle plutôt de commutateur (switch) quand on interconnecte des machines individuelles et de pont pour
  le pont construit au fur et à mesure une table de correspondance entre adresses sources et segments sur l'interconnexion de LAN
lesquels les trames correspondantes sont acheminées.   Un commutateur possède en général plus de lignes qu'un pont
  Les trames à destination d’une adresse non inscrite sont répétées sur tous les ports, sauf le port de   Equipements configurés de manière à gérer une ou plusieurs stations par port,
réception   Commute les trames au niveau MAC
  Aujourd’hui également utilisés pour interconnecter les réseaux Ethernet et Token Ring :
  Convertissent les trames d’un format à l’autre,
  les stations du réseau Token Ring doivent être configurées de manière à limiter la longueur de leurs
trames à 1500 octets (longueur maximum d’une trame Ethernet); nécessaire car il n’existe pas de Echanges simultanés :
possibilité de segmentation au niveau de la couche LLC. • A (port 1) <--> B (port 2)
• C (port 3) <--> D (port 4)
Echange non commuté :
• A (port 1) <--> E (port 1)
65 66
Commutateur (Switch) Ethernet commuté
  Équipement réseau au niveau trame
  Réduire à une station par segment Ethernet commuté   un LAN 10BaseT dans lequel on aurait remplacé le hub
  Ne plus avoir de collision par un commutateur (switch) Ethernet
  2 méthodes de commutation
store and forward fast forward ou on the fly   comparable à un pont multi-port
réception intégrale de la trame retransmission de la trame en   protocole modifié
puis stockage, choix du routage, sortie dès le décodage des bits
et retransmission vers un port de sortie de l'adresse destinataire   pas de détection de collisions
☺  100 vers 10 Mbit/s possible   100 vers 10 Mbit/s impossible   paires torsadées utilisées en full-duplex
☺  filtrage d'erreurs   pas de filtrage d'erreurs
  la station peut simultanément émettre et recevoir
  temps de latence fonction de la ☺  latence faible
longueur de la trame   débits variables selon le port
D
A   1, 10, 100, 1000 Mbit/s
B Commutateur
E
67 68
C
F
Le routeur La passerelle GW
APPLICATION APPLICATION APPLICATION
PRESENTATION PRESENTATION PRESENTATION PRESENTATION
RESEAU RESEAU SESSION SESSION SESSION SESSION
LLC 1 LLC 1 LLC 2 LLC 2
TRANSPORT TRANSPORT TRANSPORT TRANSPORT
MAC1 MAC1 MAC2 MAC2
RESEAU RESEAU RESEAU RESEAU
PHY1 PHY1 PHY2 PHY2
LIASON LIASON LIASON LIASON
Réseau 1 Réseau 2 PHYSIQUE PHYSIQUE PHYSIQUE PHYSIQUE
Réseau 1 Réseau 2
69 70
En résumé
Le hub (concentrateur) Le Switch
C’est le matériel réseau le plus basique. Le switch (ou commutateur) travaille lui sur les deux premières
Utilisé pour un réseau local avec un nombre très limité de couches du modèle OSI.
machines. Il distribue les données à chaque machine destinataire, alors que le
C’est une multiprise RJ45' qui amplifie le signal réseau => une hub envoie toutes les données à toutes machines qui répondent.
requête destinée à un ordinateur X du réseau sera envoyée à la Conçu pour travailler sur des réseaux, avec un nombre de
totalité des ordinateurs du réseau. machines légèrement plus élevé que le hub, La commutation dans les
Cela réduit considérablement la bande passante et pose des il élimine les collisions de paquets éventuelles (une collision apparaît
problèmes d'écoute du réseau. lorsqu'une machine tente de communiquer avec une seconde alors qu'une autre est déjà
en communication avec celle-ci..., la première réessaiera quelques temps plus tard).
Les hubs travaillent sur la première couche du modèle OSI
Le Répéteur
Ce dispositif ne fait qu'amplifier le signal pour les réseaux qui
s'étendent sur de longues distances.
LAN
Le Routeur
Il autorise l'utilisation de plusieurs classes d’@ IP au sein d'un
même réseau et implémente un protocole de routage capable de : Principe de la commutation
• déterminer la route ayant le plus faible coût, Selon l'importance et le
• permettre plusieurs routes vers le réseau, type de réseau, on utilise le
Problème de congestion
• échanger les informations de routage précises en évitant les
erreurs, plus souvent un des trois Techniques et modes de commutation
• minimiser le trafic généré par le protocole et donc maximiser la concentrateurs les plus
bande passante utile
• éviter les pointes de charge dans le réseau, être évolutif pour généraux : Les Hubs,
supporter la croissance du réseau, avoir un temps de convergence Switchs et Routeurs
rapide après la détection d’un changement de routage
• mécanisme de sécurité afin d’éviter des modifications de
configuration frauduleuses 71 74
Commutation dans les LAN Principe de la commutation (2)
  Issue de la téléphonie (RTC) et des réseaux grande distance (WAN)
  Apparition dans Ethernet (Switched Ethernet)
  garantit une certaine bande passante
  évite les problèmes d'effondrement dans le cas des réseaux CSMA/CD
chargés
  permet des communications full-duplex
  Aujourd'hui, les commutateurs sont largement utilisés dans les réseaux
Ethernet
  Principe de la commutation
  Commutation = mise en relation directe d'un port d'entrée avec un port   Table construite par analyse du trafic entrant (@MAC source)
de sortie   Les trames à destination d'une @ non présente dans la table sont répétées sur tous
  établissement d'une liaison point à point dynamiquement (réseaux locaux) en les ports sauf le port d'entrée
fonction d'une table d'acheminement (FDB : Forwarding Data Base)   Plusieurs trames peuvent être traitées simultanément
  Mémoire limitée dans le commutateur
  plus de problème d'accès multiples au support (évite les collisions)
  les entrées les plus anciennes sont effacées
75   un timer est associé à chaque entrée de la table 76
  il est réinitialisé lors de la réception d'une trame de cette provenance
Modes de mise en relation:
Techniques de commutation Mode connecté Vs non connecté
  Rappel de la mise en relation   Chaque couche peut fonctionner suivant 2
  Types de commutation modes de fonctionnement (dépend du
  Techniques de commutation protocole)
Connecté
Non connecté
  Dépend :
Du service demandé
Du protocole utilisé
77 78
Modes de mise en relation :
Modes de mise en relationFIWHFKGHWUDQVIHUW Mode non connecté
  Deux modes de fonctionnement pour   Par analogie avec un envoi de courrier
transiter les informations   Chaque message est auto-suffisant (sans état)
  Mode non connnecté (Datagramme)   Aucune garantie
- Une seule phase (Transfert des données)   ☺ : Plus léger, parfois plus rapide
- Simple
- Plusieurs chemins possibles
: Service non fiable
  Utilisé pour la messagerie électronique (le
⌧  ⌧ 
⌧    destinataire na pas besoin dêtre là), la
⌧  Hôte C
⌧  ⌧  consultation de bases de données…
Hôte A

79 80

Hôte B
Modes de mise en relation : Modes de mise en relation :
Mode connecté Mode connecté
  Par analogie avec un appel téléphonique
  Mode connecté (Circuit virtuel,CV/circuit physique)
- Etablissement d’une connexion   3 temps
- Transfert des données Établissement de la connexion (synchronisation,
négociation, etc..)
- Libération de la connexion
Utilisation de la connexion
- Service fiable
Relâchement de la connexion
- Complexe
  ☺ : Service fiable
- Chemin dédié
⌧  ⌧ 
- Circuits commutés (SVC) ⌧    : Une connexion alourdit le transfert
⌧  Hôte C
- ou Circuits permanent(PVC) ⌧  Difficile pour des applications multipoints (autant de
  ⌧ 
Hôte A
connexions que de paires dhôtes)
    Utilisé pour le transfert de voix ou de fichiers
Circuit virtuel Hôte B
81 82
Modes de mise en relation Nombre de liens=N(N-1)/2 ?
 Technique de commutation : la manière
d’interconnecter 2 correspondants
2
1
 Le fonctionnement d’un nœud (routeur/switch)
  Nombre de liens=N(N-1)/2 (N: nombre de nœuds)
 Temps de traversée du réseau Tp
Tp=(L+pH)(1+ N/p)/D
HQRFWHWV
L: longueur de message , N : nombre de nœuds&
HVWOHQRPEUHGHGLVSRVLWLIV,
N = 6 noeuds
p : nombre de paquets, H : entête protocole, D : débitHQELWVSDUVHFRQGH ESV Liens=15
83 84
Démo! Segmentation/fragmentation
  Soit n équipements à connecter. Pour le premier
équipement, on doit avoir un lien vers chacun des
n-1 autres équipements. Pour le second équipement,
on doit avoir n-2 liens vers les autres équipements
(le lien avec le premier équipement étant déjà assuré.
Etc.. On a donc au total : (n - 1) + (n - 2) + ... + 1
liens
  rappel
  Ici le nombre de lien est la somme de p= 1 à n-1 de   La MTU, ou maximum transmission unit
Up = n – p 85 86
Démo! Temps d’emission d’un
Modes de mise en relation
message
  Techniques de commutation
Commutation de circuit (p=1, N=0)
  Le message est transmis en un seul bloc, il n'y a
aucun noeud dans le réseau puisque la connexion est
établie d'avance.
Commutation de messages (p=1, N>0)
  Le message est transmis en un seul bloc, il peut y
avoir plusieurs noeuds dans le réseau.
Commutation de paquets (p ≥ 1 et N ≠ 0)
  Le message peut être transmis en plusieurs paquets, il
peut y avoir plusieurs nœuds dans le réseau.  Temps de transmission d’un paquet/message:
L: longueur de message, N : nombre de nœuds,
tp,Te
87 88
p : nombre de paquets, H : entête protocole, D : débit  Un message = p paquets
Réseau coeur: commutation de Circuits
Le réseau coeur
  Réseau maillés de routeurs ressources réservées de
  La question fondamentale: bout en bout par
comment les données sont appel
transférées à travers le
  bande passante de lien,
réseau ?
  Commutation de circuits:
capacité de commutation
circuit dédié par appel:   ressources: non partagées
réseau téléphonique   initialisation de lappel
  Commutation par paquets: demandé
données envoyées sur le
réseau par “morceaux”
89 90
Commutation de Circuits: FDMA et TDMA Réseau coeur: commutation par paquets
Example: chaque flux de données est Problèmes de ressources:
FDMA divisé en paquets
4 users   la demande dagrégation
  les paquets des de ressources peut
dépasser la moyenne
frequency utilisateurs A, B
disponible
partagent les ressources
  congestion: paquets en
time de réseau file, attente pour
TDMA   chaque paquet utilise la lutilisation de lien
bande passante totale de   store and forward
lien (enregistrement et
frequency retransmission)
91 92
time
Commutation par paquets: multiplexage
Commutation par/de paquets/circuits
statistique
10 Mbs Par paquets permet à plusieurs utilisateurs d’utiliser le réseau!
A Ethernet Multiplexage statistique C
  Liaison de 1 Mbit
  Chaque utilisateur:
1.5 Mbs
B   100 kbps quand “active”
File d’attente des paquets   actif 10% du temps
En vue d’une transmission N users
Sur la liaison de sortie
1 Mbps link
  commutation de circuits:
D E   10 utilisateurs
  commutation par
Les Séquences de paquets A & B n’ont pas les paquets:
mêmes intervalles de temps alloués    avec 35 utilisateurs,
93 probabilité > 10 actifs 94
multiplexage statistique. moins de 0.0004
Commutation par paquets: store-and- Commutation par paquets: segmentation du
forward Message
L Découpage du message en
R R R 5000 paquets
  1,500 bits par paquet
  L bits : longueur de Exemple:   1 msec pour
message et R débit de
  L = 7.5 Mbits transmettre un paquet
lien
 R = 1.5 Mbps sur un lien
  délai = 3L/R
 délai = 15 sec   pipelining: chaque lien
travaille en parallèle
  Délai réduit de 15 sec
95 96
à 5,002 sec
Commutation de trames
Arrivée d’une trame unicast
sur un port
Commutation de trames
Port Adresse MAC
Adresse MAC source stockée dans la table 1 0A-04-23-66-F4-DE
de commutation avec le numéro de port   A veut communiquer avec E 1 0B-04-23-66-F4-DE
associé si l’entrée n’existe pas 2 0C-04-23-66-F4-DE
  La table de commutation est déjà remplie
3 0D-04-23-66-F4-DE
4 0E-04-23-66-F4-DE
Examen de l’adresse MAC de destination
1 4
Non L’adresse est-elle Oui
dans la table de
commutation ? 2 3
La trame est La trame est
transmise sur tous transmise sur A B C D E
les ports sauf le le bon port de
port source sortie
0A-04-23-66-F4-DE 0B-04-23-66-F4-DE 0C-04-23-66-F4-DE 0D-04-23-66-F4-DE 0E-04-23-66-F4-DE
Commutation de trames Commutation de trames
Port Adresse MAC Port Adresse MAC
1 0A-04-23-66-F4-DE 1 0A-04-23-66-F4-DE
  A veut communiquer avec E   A veut communiquer avec E 1
1
2   A ne connaît pas l’adresse MAC de E 2
  A connaît l’adresse MAC de E
3 3
  La table du commutateur est vide   La table du commutateur est vide
4 4
1 4 broadcast 1 4 broadcast
2 3 2 3
broadcast
A B C D E A B C D E
0A-04-23-66-F4-DE 0B-04-23-66-F4-DE 0C-04-23-66-F4-DE 0D-04-23-66-F4-DE 0E-04-23-66-F4-DE 0A-04-23-66-F4-DE 0B-04-23-66-F4-DE 0C-04-23-66-F4-DE 0D-04-23-66-F4-DE 0E-04-23-66-F4-DE
Problème de congestion Problème de congestion (2)
  Plusieurs ports d'entrée peuvent simultanément   Contrôle de flux "back pressure" dans certains
être dirigés vers un même port de sortie commutateurs
  saturation des files d'attente (p
(perte de trames))
  émission de données vers les liens qui consomment
trop de ressources du commutateur -> provoque
l'arrêt des émissions (collisions) en CSMA/CD (ne
fonctionne que pour du half-duplex)
  en full-duplex, émission d'une trame particulière
indiquant un délai pendant lequel l'équipement ne
doit plus émettre de trames
101 102
Comment la perte et le délai se produisent? Différents types de retards
Les paquets enfilés dans les buffers du routeur   1. temps de traitement   2. temps dattente
  Débit d’arrivée des paquets sur le lien dépasse la   contrôle d’erreurs bit   temps d’attente sur le
capacité de lien de sortie   détermine le lien de sortie lien de sortie avant
Paquet étant transmis (delay) transmission
  dépend de niveau de
transmission
A A congestion de routeur
propagation
B B
Paquets en file (delay) nodal
processing queueing
libres (disponibles) buffers: les paquets seront perdus
(loss) si les buffers ne sont pas libres 103 104
Différents types de retards Techniques de commutation
  Cut through ou fast forward - commutation rapide à la volée
3. Délai de transmission : 4. Délai de propagation :   dès que le port de destination est connu (premier champ de la trame
  R=link bandwidth (bps)   d = length of physical link
Ethernet), les données sont recopiées directement vers le port de
sortie
  L=packet length (bits)   s = propagation speed in   plus performante en terme de nombre de trames commutée par
medium (~2x108 m/sec) seconde.
  time to send bits into link   elle propage les trames erronées et en particulier les trames ayant subi
= L/R   propagation delay = d/s des collisions
  Store & Forward - stockage avant retransmission
transmission
  une trame est entièrement mémorisée avant retransmission
A propagation   permet vérification du CRC, des longueurs minimales et maximales
des trames, détection des trames de collision
  mais: mémoire sur le commutateur, délai supplémentaire
B
nodal
105 106
processing queueing
Techniques de commutation (2) Ethernet full-duplex
  Variantes   Ethernet full-duplex impossible sur un support
  méthode "fragment-free" : équivalent au « cut-through » mais supprime les trames trop
courtes (collisions)
partagé avec accès CSMA/CD
  méthode au choix de l'administrateur du commutateur : la méthode est fixée par une
commande
  méthode adaptative :   Ethernet full-duplex nécessite une liaison point à
  démarrage en mode « cut-through » point, utilisable dans les deux sens de
  passage en "store & forward" au delà d'un certain seuil de taux d'erreurs calculé par
vérification des CRC
communication, sans méthode d'accès
  retour en mode "cut-through" en dessous du seuil
  doubler la bande passante d’un réseau local
  Invalider la détection de collision
107 108
/DFRPPXWDWLRQGHFLUFXLWHVWXQHWHFKQLTXHGHFRPPXWDWLRQTXLSHUPHWGHFRQQHFWHUGHX[DSSDUHLOVHQVHPEOH
GHPDQLqUHSHUPDQHQWHSHQGDQWWRXWHODGXUpHGHODFRPPXQLFDWLRQ&HODVLJQLILHTXHOHOLHQGHFRPPXQLFDWLRQ
Conclusions sur la commutation HQWUHOHVGHX[DSSDUHLOVHVWpWDEOLG
DYDQFHHWTX
LOQ
\DDXFXQQRHXGLQWHUPpGLDLUHGDQVOHUpVHDX
'DQVODFRPPXWDWLRQGHFLUFXLWOHPHVVDJHHVWWUDQVPLVHQXQVHXOEORFVDQVrWUHGpFRXSpHQSOXVLHXUVSDTXHWV
  Meilleur accès au média &HODSHUPHWGHJDUDQWLUXQHTXDOLWpGHWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHVFRQVWDQWHHWGHUpGXLUHOHWHPSVGHODWHQFHHQWUH
O
HQYRLHWODUpFHSWLRQGXPHVVDJH
  meilleur contrôle de la bande passante : le trafic est dirigé vers la station
spécifiée uniquement /DFRPPXWDWLRQGHFLUFXLWHVWVRXYHQWXWLOLVpHSRXUOHVFRPPXQLFDWLRQVjKDXWGpELWFRPPHODWpOpSKRQLHRXOD
YLGpRFRQIpUHQFHFDUHOOHSHUPHWGHJDUDQWLUXQHWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHVHQWHPSVUpHO&HSHQGDQWHOOHHVW
  la charge du réseau est mieux répartie (segmentation du trafic) PRLQVVRXSOHTXHG
DXWUHVWHFKQLTXHVGHFRPPXWDWLRQFRPPHODFRPPXWDWLRQGHSDTXHWFDUHOOHQpFHVVLWHXQH
FRQQH[LRQSHUPDQHQWHHWQHSHUPHWSDVGHSDUWDJHUOHOLHQGHFRPPXQLFDWLRQDYHFG
DXWUHVDSSDUHLOV
  moins de conflits d'accès, collisions réduites
/DFRPPXWDWLRQSDUSDTXHWVHVWXQHWHFKQLTXHGHFRPPXWDWLRQTXLSHUPHWGHWUDQVPHWWUHGHVGRQQpHVVXUOH
  Les trames de diffusion sont répétées sur tous les ports UpVHDXHQXWLOLVDQWGHVSDTXHWVGHGRQQpHVLQGpSHQGDQWV'DQVFHWWHWHFKQLTXHOHVGRQQpHVVRQWGpFRXSpHVHQ
SOXVLHXUVSDTXHWVTXLVRQWHQYR\pVVXUOHUpVHDXGHPDQLqUHLQGpSHQGDQWH&HODSHUPHWGHSDUWDJHUOHOLHQGH
  Intelligence dans le port du commutateur FRPPXQLFDWLRQDYHFG
DXWUHVDSSDUHLOVHWGHUHQGUHOHUpVHDXSOXVVRXSOHHWpYROXWLI
  analyse des trames, mémorisation, prises de décision /DFRPPXWDWLRQSDUSDTXHWVHVWVRXYHQWXWLOLVpHGDQVOHVUpVHDX[GHGRQQpHVSRXUDPpOLRUHUOHVSHUIRUPDQFHV
HWODYLWHVVHGHWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHV(OOHHVWSDUWLFXOLqUHPHQWDGDSWpHDX[UpVHDX[jIDLEOHGpELWHWDX[
  temps de traversée de l'équipement plus élevé UpVHDX[jWUDILFYDULDEOHFDUHOOHSHUPHWGHSDUWDJHUHIILFDFHPHQWODEDQGHSDVVDQWHGLVSRQLEOH&HSHQGDQWHOOH
SHXWrWUHPRLQVILDEOHTXHODFRPPXWDWLRQGHFLUFXLWFDUHOOHQpFHVVLWHXQWUDLWHPHQWVXSSOpPHQWDLUHGHVSDTXHWV
  Deux techniques : "store & forward" et "cut through” HWSHXWrWUHDIIHFWpHSDUGHVSUREOqPHVGHSHUWHGHSDTXHWVRXGHUHWDUGVGHWUDQVPLVVLRQ
109 110
/HPXOWLSOH[DJHVWDWLVWLTXHHVWXQHWHFKQLTXHGHPXOWLSOH[DJHXWLOLVpHGDQVODFRPPXWDWLRQSDUSDTXHWVSRXU
SDUWDJHUHIILFDFHPHQWODEDQGHSDVVDQWHGLVSRQLEOHVXUXQOLHQGHFRPPXQLFDWLRQ&HWWHWHFKQLTXHFRQVLVWHj
DWWULEXHUGHPDQLqUHG\QDPLTXHHWDOpDWRLUHGHVWUDQFKHVGHWHPSVGHWUDQVPLVVLRQDX[GLIIpUHQWVDSSDUHLOV /DFRPPXWDWLRQSDUSDTXHWV6WRUHDQG)RUZDUGHVWXQHWHFKQLTXHGHFRPPXWDWLRQTXLFRQVLVWHjVWRFNHUOHSDTXHW
FRQQHFWpVDXUpVHDX GHGRQQpHVGDQVXQEXIIHU PpPRLUHWDPSRQ DYDQWGHO
HQYR\HUVXUOHUpVHDX&HWWHWHFKQLTXHHVWXWLOLVpHSRXU
DPpOLRUHUODILDELOLWpHWODTXDOLWpGHWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHVVXUOHUpVHDX
/HPXOWLSOH[DJHVWDWLVWLTXHHVWVRXYHQWXWLOLVpGDQVOHVUpVHDX[GHGRQQpHVSRXUDPpOLRUHUOHVSHUIRUPDQFHVHWOD
YLWHVVHGHWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHV,OSHUPHWGHSDUWDJHUOHOLHQGHFRPPXQLFDWLRQGHPDQLqUHpTXLWDEOHHQWUHOHV /RUVTX
XQSDTXHWGHGRQQpHVDUULYHVXUXQQRHXGGXUpVHDXHQXWLOLVDQWODFRPPXWDWLRQSDUSDTXHWV6WRUHDQG
GLIIpUHQWVDSSDUHLOVHWGHPD[LPLVHUO
XWLOLVDWLRQGHODEDQGHSDVVDQWHGLVSRQLEOH )RUZDUGLOHVWG
DERUGVWRFNpGDQVXQEXIIHU/HQRHXGYpULILHDORUVO
LQWpJULWpGXSDTXHWHWYpULILHTXHWRXVOHVFKDPSV
GHO
HQWrWHGXSURWRFROHVRQWFRUUHFWV6LOHSDTXHWHVWYDOLGHLOHVWHQYR\pVXUOHUpVHDXYHUVVDGHVWLQDWLRQILQDOH6LOH
/HPXOWLSOH[DJHVWDWLVWLTXHHVWJpQpUDOHPHQWSOXVVRXSOHHWSOXVpYROXWLITXHG
DXWUHVWHFKQLTXHVGHPXOWLSOH[DJH SDTXHWHVWFRUURPSXRXVLO
HQWrWHGXSURWRFROHFRQWLHQWGHVHUUHXUVLOHVWUHMHWpHWQHVHUDSDVWUDQVPLVVXUOHUpVHDX
FRPPHOHPXOWLSOH[DJHHQWHPSVRXOHPXOWLSOH[DJHHQORQJXHXUG
RQGH&HSHQGDQWLOSHXWrWUHPRLQVILDEOHTXH
FHVWHFKQLTXHVFDULOUHSRVHVXUXQSDUWDJHDOpDWRLUHGHODEDQGHSDVVDQWHHWSHXWrWUHDIIHFWpSDUGHVSUREOqPHV /DFRPPXWDWLRQSDUSDTXHWV6WRUHDQG)RUZDUGHVWVRXYHQWXWLOLVpHGDQVOHVUpVHDX[GHGRQQpHVSRXUDPpOLRUHUOD
GHFRQJHVWLRQVRXGHUHWDUGVGHWUDQVPLVVLRQ TXDOLWpGHWUDQVPLVVLRQGHGRQQpHV(OOHSHUPHWGHJDUDQWLUTXHOHVSDTXHWVGHGRQQpHVVRQWWUDQVPLVGHPDQLqUH
ILDEOHHWGHUpGXLUHOHQRPEUHG
HUUHXUVGHWUDQVPLVVLRQ&HSHQG
(QUpVXPpOHPXOWLSOH[DJHVWDWLVWLTXHHVWXQHWHFKQLTXHGHPXOWLSOH[DJHXWLOLVpHGDQVODFRPPXWDWLRQSDU
SDTXHWVSRXUSDUWDJHUHIILFDFHPHQWODEDQGHSDVVDQWHGLVSRQLEOHVXUXQOLHQ
111 112
Généralités: Aspect vertical: Principe des couches Généralités Aspect horizontal: Protocoles
  Une couche i fournit un service à une couche i+1 en sappuyant par le   Interface de service : définit les opérations sur le protocole
service fournit par la couche i-1.
  La couche i+1 voit la couche i uniquement par le service offert.   Interface de bout en bout : définit les messages échangés avec
  La couche i+1 n’a aucune vue sur la couche i-1 lentité distante
  Abstraction pour masquer la complexité à la couche supérieure (1 couche   2 couches de niveau i de 2 systèmes différents dialoguent avec le
= 1 boite noire) même protocole
  Découpage des messages et encapsulation   Protocole = Ensemble de règles et de conventions pour la
conversation
113 114
Généralités Communications entre couches Généralités Communications entre couches
  La couche i du système A dialogue uniquement avec la   Les explorateurs (niveau 3) communiquent en
couche i du système B en utilisant un protocole de niveau i.
  Deux couches de niveau i ne peuvent dialoguer quen traversant les couches.
traversant les couches j < i.
  Pour mieux comprendre, un exemple :
  Soient 2 explorateurs français, l’un en Espagne, l’autre en Bolivie
  Ils ne peuvent parler directement car ils ne savent pas utiliser le
télégraphe => médium de transmission
  Ils ont besoin d’un technicien pour envoyer et recevoir les infos. =>
couche de niveau 1
  Ils ne parlent pas espagnols, ils ont besoin d’un interprète. => couche
de niveau 2
115 116
Généralités Généralités
117 118
Modèles de référence OSI : Modèle de Référence
  Le modèle OSI
  Norme
  Très précis
  Vaste
  Le modèle Internet ou TCP/IP
  Standard de fait
  Plus ciblé
  Plus pratique
  Imposé par sa simplicité
  Tous 2 des modèles de couches
119 120
OSI: SAP-SDU-PDU
OSI : Modèle de Référence
IDU
ICI SDU
Couche N-1
SAP En-tête
Interface
SDU SDU
Couche N ICI
N-PDU
IDU: Interface Data Unit
ICI: Interface Control Information
SDU: Service Data Unit
121 SAP: Service Access Point 122
N-PDU: N-Protocol Data Unit
Le Modèle OSI Le Modèle OSI
N N° Nom Fonctions de la couche
Nom Fonctions de la couche
°
Elle réalise l'acheminement et le routage (choix d'un Elle définit les mécanismes communs aux applications et
3 Réseau chemin) des informations au travers du réseau. 7 Application
la signification des informations échangées.
Elle permet le transfert fiable de données entre
systèmes adjacents (directement connectés). Elle 6 Présentation Elle se préoccupe de la syntaxe, compression, cryptage.
2 Liaison détecte et corrige des erreurs de transmission. Elle
contrôle et régule le flux d'information sur la liaison.
Elle fournit les outils de synchronisation et de gestion
5 Session
du dialogue entre les entités communicantes.
Elle décrit les interfaces mécaniques et électriques et
les protocoles d'échange des bits. Par exemple elle Elle fournit les moyens de transport d'information d'un
définit les modalités de transmission (half ou full bout à l'autre d'un réseau entre deux utilisateurs
1 Physique duplex), le type de liaison (parallèle ou série), le 4 Transport situés dans des systèmes différents,
codage des informations, le fonctionnement des indépendamment des caractéristiques du réseau
interfaces électriques, etc. réellement utilisé et de la présentation des données.
Encapsulation / Décapsulation Encapsulation TCP/IP : exemple
125 126
Fin du Rappel
127

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