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Analyse de Texte- Matthias Berg

Aujourd’hui, je vais analyser un extrait du livre Matthias Berg, écrit par Yvette Z’Graggan. Yvette
Z’Graggan était une autrice suisse. Elle est née le 31 mars 1920 à Genève et est décédée le 16
avril 2012 dans la même ville. Elle écrivait des romans, des récits autobiographiques et des
nouvelles. Pendant une partie de sa vie, elle travaillait pour la Radio Suisse Romande et
maîtrisait la production des pièces radiophoniques et aussi traduisait des pièces radiophoniques
en allemand et en italien.

Cet extrait s’est situé en deux temps différents. La première partie de cet extrait s’est située
quand Marie et à Berlin, encore nerveuse d’aller communiquer avec son grand-père. Elle est
allée à Berlin pour essayer de retrouver son grand-père, Matthias Berg, qu’elle n’a jamais vu.
Elle est dans le square, regardant son grand-père sans le courage d’aller parler avec lui. La
deuxième partie s’est située après qu’Eva, la mère de Marie, vienne à Genève. Un peu avant,
Eva s’est échappée de la maison de son père, Matthias Berg, à Francfort et allée à Genève.

De la ligne “Ce tête-à-tête…” de la page 20 à la ligne “...l’écoutait avec passion” de la page 22,
il y a une description des pensées de Marie quand elle s’est assise dans le square en regardant
Matthias Berg. On voit sa nervosité d’aller s’introduire à lui et sa réflexion de quand Bertrand lui
a conseillée d’aller à Berlin et rencontrer Matthias Berg. De la ligne “quand je l’ai vue…” de la
page 22 à la ligne “...le nom de famille” de la page 25, on a une description par Bertrand, le
père de Marie, de sa rencontre d’Eva pour la première fois. Ici, le texte est écrit en “je” et “je” ici
et Bertrand.

Cet extrait est important car il montre que Bertrand était un très bon mari à Eva et un très bon
père à Marie. C’est le thème qui est développé ici. Jusqu’à maintenant dans le roman, il n’y
avait pas vraiment de description de Bertrand. Il n’y avait que d’histoire de la vie d’Eva et de sa
mère à Francfort.

J’ai découpé cet extrait en trois parties. La première partie est du début de l’extrait à la ligne
“...l’écoutait avec passion.” Je l’ai appelé le conseil de Bertrand. Dans cette partie, Bertrand
conseille à Marie d’aller retrouver son grand-père. A la page 21, il dit “N’attends pas trop, il doit
être vieux maintenant, écris lui”. Même si Marie hésitait d’y aller, Bertrand l’a forcé d’aller voir
son grand-père. Ça montre la caresse de Bertrand pour la famille d’Eva. Dans cette partie, il y a
aussi un autre axe qui est un peu représenté. C’est au premier paragraphe de l’extrait quand
Marie est assise face à face avec Matthias Berg. Dedans ce paragraphe, on peut voir les
pensées de Marie qui montrent qu’elle est encore nerveuse de parler avec lui. Par exemple ici,
elle ne peut même pas trouver la salutation quand elle le voit. On voit ici un champ lexical des
mots de nervosité comme “bêtement, découragée et ridicule”

La deuxième partie est de la page 22 de la ligne “Quand je l’ai vu…” à la page 24 à la ligne
“...qu’il y avait entre nous”. Je l’ai appelée “le rencontre d’Eva et de Bertrand”. Dans ce
passage, Bertrand parle de comment il est tombé amoureux d’Eva toute suite après qu’il l’ait
vue. A la page 22, il y a une comparaison “comme un dingue” qui montre encore la caresse de
Bertrand. Bertrand l’a aimée autant toute suite qu’il a aussi laissé sa fiancée Françoise. A la
page 24, on voit la ligne “Françoise était chez ses parents pour quelques jours, d’ailleurs même
si elle avait été là ça n’aurait rien changé.” Ca montre que Bertrand avait autant d’amour pour
Eva qu’il a laissé toute suite une fille qu’il avait connu depuis le collège.

La troisième partie est de la page 24 de la ligne “On s’est mariés…” à la page 25 à la ligne “...le
nom de famille” et je l’ai appelée “le regret de Bertrand”. Dans ce passage, Bertrand regrette de
ne pas avoir rendu Eva plus heureuse. A la page 24, on voit la ligne “Quelquefois je me disais
qu’Eva méritait peut-être mieux qu’un petit prof d’histoire:” Ça montre que Bertrand croyait
qu’Eva méritait plus que lui. A la page 25, on voit la ligne “Est-ce que c’est de ma faute?” Ici, on
voit clairement que Bertrand est en train de regretter qu’il n’ait pas fait plus que ça pour Eva. Il y
a une métaphore à la page 25 quand c’est dit “Peut-être qu’il y avait trop de blessures en elle,
les anciennes et puis aussi celle qui était récente et dont je n’ai sans doute pas assez bien
compris la gravité…” La métaphore est le mot “blessure” et ça veut dire les anciens problèmes
qu’Eva a eus. Ici aussi, Bertrand regrette de ne pas avoir assez bien compris les blessures
d’Eva.

En conclusion, cet extrait nous aide à comprendre la personnalité de Bertrand. A travers cet
extrait, on peut voir que Bertrand est quelqu’un de très sympa qui fait tout ce qu’il peut pour sa
famille.
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