Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Mohammad Shahid
Muhammad Umair
B1 Groupe D
Intro : La blockchain, une technologie émergente dont l'origine remonte à la création du
bitcoin en 2009, suscite un intérêt croissant à travers divers secteurs. Cette innovation
révolutionnaire présente un potentiel significatif pour améliorer la transparence et l'efficacité
dans de nombreux domaines. En tant que système de certification décentralisé et immuable,
la blockchain offre une alternative prometteuse aux méthodes traditionnelles de gestion des
données et des transactions. La blockchain peut être considérée comme une "feuille infinie"
sur laquelle les participants peuvent lire et écrire librement, sans possibilité de suppression
ou de modification ultérieure des informations enregistrées. Cette technologie se distingue
par sa transparence inhérente, garantissant que toutes les transactions et les données
enregistrées sont visibles par tous les participants autorisés. Cela permet une meilleure
confiance et une vérification indépendante des opérations. L'un des principaux avantages de
la blockchain réside dans sa capacité à améliorer la transparence des processus. En éliminant
les intermédiaires et en fournissant une trace immuable de toutes les transactions, la
blockchain permet de vérifier facilement l'origine, la validité et l'intégrité des informations
enregistrées. Des secteurs tels que la chaîne d'approvisionnement, les services financiers et
la gestion des données pourraient bénéficier de cette transparence accrue, renforçant la
confiance des utilisateurs et réduisant les risques de fraude et de manipulation. En outre, la
blockchain peut également améliorer l'efficacité des processus en éliminant les inefficacités
et les coûts associés aux intermédiaires traditionnels. Grâce à des fonctionnalités telles que
les contrats intelligents, des règles préétablies et automatisées peuvent être appliquées,
permettant ainsi l'exécution directe et sécurisée des transactions. Cela peut simplifier et
accélérer les opérations, réduire les erreurs et les litiges, et potentiellement réduire les coûts
associés aux processus traditionnels. Cependant, malgré ces avantages, il est essentiel de
reconnaître les défis et les limites auxquels la blockchain est confrontée. La consommation
énergétique élevée et les problèmes d'évolutivité sont des aspects à prendre en compte lors
de l'adoption de cette technologie. De plus, une mauvaise maîtrise de la blockchain peut
conduire à des failles de sécurité et à des conséquences potentiellement désastreuses. Dans
cette étude, nous nous pencherons sur la façon dont la blockchain peut améliorer la
transparence et l'efficacité malgré ces défis. Nous explorerons les différents cas d'utilisation
de la blockchain, les opportunités qu'elle offre ainsi que les limites actuelles. En analysant les
exemples concrets et les recherches existantes, nous chercherons à comprendre comment la
blockchain peut-elle améliorer la transparence et l'efficacité ?
Compréhension de la blockchain :
La blockchain repose sur trois principes fondamentaux : la décentralisation, l'immuabilité et
la sécurité. Tout d'abord, la décentralisation fait référence à l'absence d'une autorité centrale
dans le fonctionnement de la blockchain. Au lieu de cela, la blockchain opère sur un réseau
décentralisé de nœuds, où chaque participant possède une copie du registre. Cette
décentralisation élimine les intermédiaires et permet une prise de décision collective au sein
du réseau.
Ensuite, l'immuabilité est une caractéristique clé de la blockchain. Une fois qu'une
transaction est validée et ajoutée à un bloc, elle devient immuable, c'est-à-dire qu'elle ne
peut pas être modifiée ou supprimée ultérieurement. Cela est rendu possible grâce à
l'utilisation de fonctions de hachage cryptographiques qui lient chaque bloc au précédent,
formant ainsi une chaîne de blocs. Cette structure rend les données enregistrées sur la
blockchain résistantes à la falsification et à la manipulation.
Enfin, la sécurité est assurée par des mécanismes cryptographiques avancés. Chaque
participant de la blockchain dispose d'une paire de clés cryptographiques : une clé privée et
une clé publique. La clé privée est utilisée pour signer les transactions, tandis que la clé
publique est utilisée pour vérifier les signatures. Ces techniques de cryptographie
garantissent l'authenticité et l'intégrité des transactions en s'assurant que seules les parties
autorisées peuvent accéder aux données et effectuer des opérations.
La blockchain est composée de plusieurs éléments clés : les blocs, les transactions, les
mineurs et le ledger.
Un ledger est un enregistrement décentralisé et immuable de toutes les transactions
effectuées sur le réseau.
Le ledger est composé d’un ensemble de blocs. Chaque bloc contient deux parties. La
première partie représente le corps du bloc. Il contient les transactions, appelées également
faits (facts), que la base de données doit enregistrer. Ces facts peuvent être des transactions
monétaires, des données médicales, des informations industrielles, des logs systèmes, etc. La
deuxième partie est l’entête(header) du bloc. Ce dernier contient des informations
concernant le bloc tel que :
-L’horodatage (enregistrement de l'heure et de la date à laquelle un événement ou une
action spécifique s'est produit)
-Le hach des transactions (c’est une sorte de "signature numérique" unique qui identifie de
manière sécurisée cette transaction) etc.
Elle contient aussi le hachage du bloc précédent. De ce fait, l’ensemble des blocs existants
forme une chaîne de blocs liés et ordonnés. Plus la chaîne est longue, plus il est difficile de la
falsifier. En effet, si un utilisateur malveillant veut modifier ou échanger une transaction sur
un bloc, il devra modifier tous les blocs suivants, puisqu’ils sont liés par leurs hachs. Ensuite,
il doit changer la version de la chaîne de blocs que chaque objet participant stocke.
Schéma explicative :
Différence entre blockchain public et privé : ( modifier la transition )
Blockchain publique : Une blockchain publique est un réseau décentralisé accessible à tous.
Dans ce type de blockchain, n'importe qui peut participer au réseau, vérifier les transactions
et ajouter de nouvelles transactions aux blocs. Les données sur la blockchain publique sont
transparentes et visibles par tous les participants. Un exemple bien connu de blockchain
publique est Bitcoin. Dans une blockchain publique, la sécurité repose sur un consensus
distribué, généralement basé sur un algorithme de preuve de travail.
Blockchain privée : Une blockchain privée est un réseau décentralisé accessible uniquement
à un groupe restreint de participants autorisés. Contrairement à la blockchain publique,
l'accès à une blockchain privée est généralement contrôlé par des autorisations et des
restrictions. Les participants doivent être approuvés pour rejoindre le réseau et avoir des
droits spécifiques pour ajouter ou valider des transactions. Les données sur une blockchain
privée peuvent être plus confidentielles, accessibles uniquement aux participants autorisés.
Nous allons maintenant nous focaliser sur les mineurs. Ils jouent un rôle essentiel dans la
sécurisation de la blockchain et la validation des transactions. Pour mieux les comprendre
nous allons prendre un exemple.
Explications des transactions :
Prenons un exemple, si on veut envoyer de l’argent à quelqu’un :
Une personne A veut envoyer de l’argent à une personne B, pour faire cela il doit passer par
une banque, la banque vérifie si la personne A aux fonds nécessaires et si c’est le cas il envoie
de l’argent à la personne B. Pour la blockchain c’est tout le contraire, ils utilisent un système
de Wallet, personne en dehors de ne nous peut vérifier ce qu’il contient. Pour la transaction
dans la blockchain il y a plusieurs étapes :
1.Inscription dans le registre des transactions de la blockchain
2.Regroupement des transactions (représenté par un hash qu’on peut caractériser de
pièce d’identité du bloc )
3.Vérification de la transaction par les mineurs : c’est ceux qu’on appelle les mineurs,
ils vérifient la nature du registre ensuite ils vérifient l'hash du bloc, pour valider une
transaction un mineur lance un programme, ils utilisent donc la puissance de leur
ordinateur pour vérifier les transactions et par conséquent ils sont payés pour chaque
transaction prouvée (proof of work )
4.Horodatage et ajout du bloc à d'autres bloc ce qu’il va former une chaîne de bloc
d’où le nom blockchain la transaction devient visible par tous mais il ne peut plus être
modifié
Plusieurs cryptomonnaies utilisent là blockchain comme par exemple : Bitcoin Ethereum.
Litecoin, XRP, Eos, Tron, Monero, Solana, Stellar, Neo et Dogecoin et plein d’autres. Toutes ces
cryptomonnaies ont besoin de la blockchain pour exister. En résumant tout là blockchain
permet de faire des transactions sécurisées tout en restant anonyme.
Il existe plusieurs mécanismes de validation de blocs tels que la Delegated Proof of Stake
(DPoS), la Proof of Stake/Time (PoST), la Proof of existence (PoE), etc. Je vais en expliquer 2 le
Pow et le PoS.
I ) Le PoW et le PoS :
PoW (prof of work) :
Dans ce mécanisme, un mineur doit effectuer un travail, comme par exemple des calculs
mathématiques difficiles à calculer mais qui sont faciles à vérifier ou des puzzles etc. Le
blockchain ajuste la difficulté du « défi » de validation des blocs en fonction du temps moyen
nécessaire pour les résoudre, afin de maintenir un délai de validation stable. Un exemple de
problème mathématique est le problème du plus court chemin dans un graphe, qui est
utilisé dans certains protocoles de preuve de travail pour sécuriser les transactions. Le
problème consiste à trouver le chemin le plus court entre deux nœuds dans un graphe
donné, en utilisant un algorithme comme l'algorithme de Dijkstra. La difficulté du problème
réside dans le fait que le nombre de chemins possible dans un graphe peut être très grand,
ce qui rend le calcul du plus court chemin très difficile pour les graphes de grande taille.
Comme cité précédemment, si un attaquant veut modifier un bloc, il doit modifier tous les
blocs qui le succèdent et fournir une nouvelle PoW pour chacun de ces blocs, ce qui
nécessite une énorme puissance de calcul et d’énergie
5 exemples :
Blockchain dans la médecine :
La blockchain pourrait être utilisée pour enregistrer les informations sur les allergies d'un
patient de manière sécurisée. Chaque fois qu'un médecin diagnostique une allergie chez un
patient, cette information serait ajoutée à la blockchain. Lorsque le patient arrive à l'hôpital
inconscient suite à un accident, les médecins peuvent accéder à la blockchain en utilisant les
informations d'identification du patient, telles que son nom, prénom et date de naissance, et
vérifier rapidement s'il y a des allergies enregistrées.
Cela permettrait aux médecins de prendre des décisions éclairées sur les traitements à
administrer, en évitant les médicaments ou les substances auxquels le patient est allergique.
Cela pourrait potentiellement réduire les risques liés à l'administration de médicaments
incompatibles et améliorer la sécurité des patients.
En utilisant la blockchain, les informations médicales du patient seraient stockées de manière
sécurisée et transparente, avec un historique immuable des ajouts et des modifications
apportés aux données. Cela garantit l'intégrité et l'authenticité des informations médicales,
tout en respectant la confidentialité du patient grâce à des mécanismes de cryptage.
L’utilisation de la blockchain dans le domaine de la médecine peut certainement offrir des
avantages, ce qui pourrait améliorer la qualité des soins et la sécurité des patients.
Mais ce n’est pas tout, La blockchain permet de crée des dossiers médicaux électroniques
(DME) infalsifiables, protégés par cryptographie et accessibles seulement aux personnes
autorisées. Cela peut aider à prévenir les fraudes, les erreurs médicales et à protéger la
confidentialité des informations personnelles des patients. Un exemple que je peut citer : Le
projet MediLedger est un exemple d'utilisation de la blockchain pour suivre les médicaments
tout au long de la chaîne d'approvisionnement pharmaceutique, de la fabrication à la
distribution et à la vente. Les détails de chaque médicament, tels que les dates d'expiration
et les informations sur les fabricants, les distributeurs et les pharmacies, sont stockés sur la
blockchain pour assurer la transparence et la sécurité des informations. Cela aide les
entreprises pharmaceutiques à prévenir la contrefaçon et à détecter rapidement les produits
défectueux, ce qui améliore la sécurité des patients et renforce la confiance des
consommateurs dans leurs produits.
Cependant il n’y a pas que des bons côtés ( modifier la transition )
Les mauvais côtés :
La blockchain peut stocker des informations médicales de manière sécurisée, mais il est
important de s'assurer que seules les personnes autorisées y ont accès. Il faut prendre des
mesures de sécurité pour protéger les informations personnelles des patients.
La gestion d'une grande quantité de données médicales sur la blockchain peut poser des
défis en termes de capacité et d'évolutivité du réseau. La blockchain doit être en mesure de
gérer efficacement une grande quantité de transactions et de données médicales en
constante expansion pour assurer des performances optimales.
Imaginons que chaque fois qu'un médecin ajoute une nouvelle information médicale à la
blockchain, comme un diagnostic ou des résultats d'examens, cela compte comme une
transaction. Si de nombreux médecins et patients utilisent la blockchain, cela peut générer
un grand nombre de transactions à traiter.
Mais les données médicales elles-mêmes prennent de la place. Elles peuvent inclure des
informations sur les antécédents médicaux, les traitements passés, les allergies, etc. Au fur et
à mesure que de plus en plus de patients rejoignent la blockchain, la quantité de données
stockées augmente rapidement.
Mais, la gestion de cette échelle peut être un défi technique. Il faut s'assurer que la
blockchain est conçue de manière à pouvoir faire face à la croissance continue du nombre de
transactions et de données, en s'assurant qu'elle reste rapide et efficace même lorsque le
réseau est très sollicité. Donc il faut trouver une blockchain publique qui a un grand nombre
de TPS (transaction par seconde).
Même avec l'utilisation de la blockchain, il est possible que des erreurs (humaine) se
produisent lors de la saisie ou de la transmission des données médicales. Par exemple, des
erreurs de frappe ou des inexactitudes dans les informations saisies peuvent conduire à des
données incorrectes dans les dossiers médicaux. Il est donc essentiel d'effectuer une
vérification et une validation rigoureuses des données avant de les enregistrer sur la
blockchain. Par exemple imaginons qu'une personne se rend chez son médecin et reçoit une
ordonnance pour un médicament spécifique. L'ordonnance est ensuite enregistrée sur une
blockchain pour garantir sa sécurité, sa confidentialité et sa traçabilité. Cependant,
imaginons qu’il y a une erreur dans la prescription, on ne pourra pas la changer facilement,
pour modifier l’ordonnance erroné on peut créer un smart contract. Une fois que l’erreur est
detecté par le patient ou le pharmacien, il signale l'erreur, si l'erreur est validée, le médecin
peut être notifié de l'erreur et invité à approuver la correction de l'ordonnance. Une fois que
la correction est approuvée, les détails de l'ordonnance peuvent être mis à jour sur la
blockchain.
4eme exemple :
Domaine Ventes :
La blockchain peut être utilisé pour enregistrer les mouvements des stocks des produits et
elle permet aussi de mieux gérer les stocks, éviter les fraudes liées à la contrefaçon ou a la
falsification de produits ( que nous verrons plus tard ). Carrefour, une entreprise française,
utilise la blockchain pour suivre et garantir la qualité de ses produits alimentaires, tels que la
viande, le lait et les fruits et légumes. Les clients peuvent scanner un QR code sur les
produits pour obtenir des informations sur leur provenance et leur qualité. La blockchain
assure que les données de chaque produit sont enregistrées de manière sécurisée et
transparente. En cas de problème de sécurité alimentaire, la blockchain permet de retrouver
rapidement les produits contaminés/périmé.
Le mauvais coté : La mise en place d'un système de traçabilité basé sur la blockchain
nécessite une infrastructure solide, comprenant des serveurs et des mécanismes de stockage
etc. Ces éléments peuvent entraîner des coûts initiaux élevés pour l'entreprise, en particulier
lorsqu'il s'agit de gérer de grandes quantités de données provenant de multiples
fournisseurs.
Les entreprises, comme Carrefour, qui utilisent la blockchain pour la traçabilité des produits,
développent souvent des solutions sur mesure adaptées à leurs besoins spécifiques. Cela
implique des efforts de développement de logiciels, de codage et de test pour créer un
écosystème fonctionnel et fiable. Ces activités de développement peuvent nécessiter des
ressources financières et humaines considérables.
Voyons voir maintenant comment la blockchain permettrais d’éviter certain type
d’arnaque :
Chaine d’approvisionnement :
Pour comprendre les problèmes liés à la chaîne logistique, nous allons essayer d’expliquer le
cycle de vie d’un lot de blé qui va être transporté d’une entité vers une autre.
Pour commencer l’Office algérien interprofessionnel des céréales (OAIC) reçoit la matière
première nécessaire pour l’état à travers deux principales entités: à savoir l’agriculteur
algérien et aussi à travers l’importation du blé à l'échelle internationale. Ensuite, l’OAIC
s’occupe de traiter, de stocker, et d’empaqueter le blé dans des lots prêts à être vendu au
deuxième maillon de la chaîne qui est la minoterie, cette dernière s’occupe de vérifier la
qualité, puis le revendre à la prochaine entité de la chaîne qui est le grossiste pour qu'à la fin
arrivé au destinataire final qui est la boulangerie.
Nous allons voir par la suite les problèmes liés au système actuel ainsi que les pertes causées
par ce dernier et comment la Blockchain va permettre de résoudre les principaux problèmes
de cette chaîne d'approvisionnement.
La solution basée sur la blockchain permet d'établir une traçabilité complète du blé
subventionné tout au long de la chaîne logistique. Chaque lot de blé est marqué avec un
identifiant unique, enregistré sur la blockchain et associé à des informations telles que la
date, l'heure, la variété, les conditions de stockage, etc. Les capteurs collectent en temps réel
les données de contrôle de qualité, telles que la température et l'humidité, et les
enregistrent sur la blockchain. Ainsi, chaque entité de la chaîne logistique, de l'OAIC à la
boulangerie, peut accéder aux informations de traçabilité du lot de blé subventionné, vérifier
son historique, sa provenance et les conditions de stockage tout au long du processus. Cela
améliore la transparence et permet de s'assurer que le blé subventionné est utilisé
conformément aux réglementations et aux objectifs établis.
Smart contracts et blockchain : Les smart contrats sont principalement utilisés sur des
plateformes de blockchain, telles que Ethereum, qui prennent en charge les contrats
intelligents en tant que fonctionnalité de base.
Il y a 4 grande caractéristique dans le smart contract :
1) Un contrat sans intermédiaire
2) Un contrat automatique ( il s’exécute et s’applique tout seul )
3) Un contrat impossible à modifier
4) Un contrat public ( visible par tout le monde )
3eme limites : le smart contract se base sur l’ethereum, c’est une cryptomonnaie dont le cour
varie constamment puisque c’est une monnaie décentralisé(il n’est pas régie par une
banque), il n’est donc pas prudent de conclure un smart contract qui se base sur une
monnaie qui est volatile. Pour remédier a ce problème, il est possible d’utiliser des Stable
coins, ce sont des cryptomonnaie dont le cours ne change pas (exempe l’USDC)
Aujourd’hui il existe des plateformes qui utilise cette technologie je vais en citer quelques-
unes :
1) Ujo Music : cette plateforme utilise la blockchain ethereum pour permettre au artiste
de télecharger les œuvres de manière transparente (qui on été évoqué
précédemment)
2) Mycelia : cette plateforme propose la gestion des droit d’auteur, la traçabilité des
œuvres etc..
3) Choon : cette plateforme permet aux artistes de télécharger leur musique, d'établir
des contrats intelligents et de recevoir des paiements en crypto-monnaie. Les
auditeurs peuvent écouter de la musique et soutenir directement leurs artistes
préférés en utilisant le token natif de la plateforme. ( tous ces méthode on été
évoqué plus en haut )
Mauvais côté : ( modifier la transition )
1) La capacité du réseau bitcoin est limité a 7 transactions par seconde, ce qui est pas
beaucoup. Elle peut entrainer des retards dans le traitement des transactions liées au
streaming ( par exemple si on veut acheter du contenu sur la plateforme ). Tout cela
peut affecter l’expérience utilisateurs la plateforme de streaming peut même être
temporairement fermé a cause du nombre excessif d’utilisateurs. ( l’etherum varie
entre 15 et 30 TPS )
2) Quand la demande de transaction est saturé, les frais de transaction sur le bitcoin on
tendance a augmenter et rendre les transaction plus couteuse ce qui peut dissuader
certains utilisateurs.
3) Impacte environnementale : comme je l’ai expliqué dans un autre word de notre
projet d’étude l’utilisation de la blockchain dans la diffusion continue de contenu peut
avoir un impact environnementale négatif, c’est a cause du proof of work qui
nécessite beaucoup de puissance de calcul et d’électricité.
-Lorsque de nombreuses données sont enregistrées sur une blockchain, cela peut ralentir le
processus de traitement des informations. Imaginez une file d'attente pour faire enregistrer
vos informations sur la blockchain. Si beaucoup de personnes souhaitent enregistrer leurs
données en même temps, cela peut prendre plus de temps pour que toutes les transactions
soient traitées. (plus il y a de données stockées sur la blockchain, plus la blockchain elle-
même devient lourde à gérer pour les ordinateurs qui la maintiennent.)