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Résumé :
INTRODUCTION .................................................................................................................... 3
2.2.1 La Communauté....................................................................................................... 9
Bibliographie........................................................................................................................... 20
ANNEXE ................................................................................................................................. 21
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Nous aborderons cette théorie avec le cas l’innovation de la Blockchain. C’est une technologie
qui a été mis en évidence grâce au Bitcoin en 2008. Elle commence à se développer de plus en
plus dans les secteurs financiers, bancaires et de nombreux domaines.
Ainsi, à l’aide de la théorie de la Vision Organisante (SWANSON ET RAMILLER, 1997),
nous étudierons la manière dont est perçue la Blockchain par les différents acteurs des métiers
de la comptabilité.
Finalement, notre problématique est la suivante : Quelle est la vision des différents acteurs
de la Blockchain dans le domaine de la comptabilité ?
Dans cette partie, nous allons établir une description factuelle de notre sujet de recherche.
L’objectif de cette phase est de poser les bases nécessaires pour la compréhension de nos
résultats. Ainsi nous présenterons ce qu’est une Blockchain, puis de manière synthétique nous
rappellerons les grandes notions comptables, finalement nous essayerons de mettre en évidence
le lien qui existe entre eux.
Bien qu’aucune définition ne fasse consensus, plusieurs participants se sont prêtés au difficile
exercice de définir la blockchain, ainsi nous rappellerons quelles sont les définitions des
différents acteurs principaux qui participent au discours de la Vision Organisante (SWANSON
et RAMILLER, 1997). Premièrement, pour l’assemblée Nationale, la Blockchain “est un
registre, une grande base de données qui a la particularité d’être partagée simultanément avec
tous ses utilisateurs, tous également détenteurs de ce registre, et qui ont également tous la
capacité d’y inscrire des données, selon des règles spécifiques fixées par un protocole
informatique très bien sécurisé grâce à la cryptographie.” (ASSEMBLE NATIONALE, 2018).
Puis, selon l’article académique de O. DESPLEBIN et Al. (2019), “la technologie Blockchain
permet la tenue d’un registre public de transactions, organisées par ordre chronologique, et
s’appuie sur un réseau décentralisé d’utilisateurs, par exemple Internet.” Enfin pour SAP, la
Blockchain est définie de la manière suivante : “Imaginez une base de données avec des
informations stockées en blocs. Ces blocs peuvent être copiés et répliqués sur des ordinateurs
individuels. Tous sont identiques et synchronisés les uns avec les autres. Lorsque quelqu'un
ajoute ou soustrait des données, les informations sont modifiées dans chacun d'eux.” (SAP,
2022)
Pour notre étude, nous définirons la Blockchain comme une grande base de données où l’on
peut y enregistrer des informations, des transactions, des documents. Elle peut être partagée
avec tous les utilisateurs. Elle a de nombreux avantages comme la sécurisation, la transparence
des données, l’automatisation… Il existe aussi quatre types de réseaux de la Blockchain :
publiques, semi-privées, privées et consortium (SAP, 2022). Chaque transaction ne pourra pas
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Le Plan Comptable Général est entré en vigueur en 1984 et a constitué le Plan Comptable
Général que l’on connaît aujourd’hui. Il existe dix principes comptables généraux fixés par le
Code de commerce et le PCG (Plan Général Comptable). Les principes comptables reposent
sur trois notions : la sincérité, la régularité et la fidélité de l’image. Ces postulats forment un
référentiel comptable et permettent d’installer un cadre strict applicable à toutes les entreprises.
Ils reflètent de façon fiable les états financiers et l’activité d’une entreprise grâce à une
application de bonne foi, conformément aux procédures. Le respect de ces principes comptables
en France est obligatoire sauf exception.
La notion de sincérité, en adéquation avec les principes comptables, consiste à appliquer des
règles et des procédures qui transcrivent la connaissance, la réalité des événements qui
constituent la vie d’une entreprise. Aujourd'hui, ce principe repose essentiellement sur la vision
globale des dirigeants ou des décideurs d’une entreprise afin de traduire la situation économique
la plus loyale possible. Pour aider à respecter l’intégrité des notions comptables et donc des
principes comptables, de nombreux dirigeants utilisent des logiciels de gestion. Ces outils
aident les gestionnaires dans la tenue de leur compte.
La notion de la régularité de la comptabilité consiste à rappeler que les comptes d’une entreprise
sont soumis à des règles et des principes comptables. La comptabilité doit donc être conforme
aux textes de lois. Cette notion de régularité peut être contrôlée en interne et en externe. Cela
permet de vérifier la bonne mise en place des règles comptables au sein de l’entreprise.
Enfin la notion de la fidélité de l’image a pour but de montrer une vision juste et objective des
comptes de l’entreprise. Cette notion est complémentaire avec la notion de sincérité. Le but
pour ces deux notions est de tenir les comptes de manière la plus loyale et transparente et d’avoir
une image fidèle du patrimoine. L’article 123-15 Code de Commerce prévoit notamment que
« Le bilan, le compte de résultat et l'annexe » doivent comprendre autant de rubriques et de
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Entrée dans le
réseau Regroupement des
Inscription d'une informations dans
écriture comptable un "Bloc"
Validation du Inscription du
"Bloc" par le Bloc dans la
réseau Blockchain Blockchain
Reception de
l'écriture
2.2.1 La Communauté
Les 1 et 2 représente la communauté. Il s’agit des acteurs qui ont un intérêt pour la technologie.
Il peut s’agir des enseignants chercheurs, des journalistes, des professionnels ou encore de l'État
(ABRAHAMSON, 1996). Ils créent un discours communautaire avec des expressions
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Les 3 et 4 est la sous culture des praticiens. Le but est d’adapter le discours aux praticiens qui
sont les prescripteurs des technologies au sein des entreprises. Les praticiens permettent de
stabiliser le discours communautaire et d'apporter des discussions plus précises sur les
problèmes actuels de l’innovation. Il partage “une matrice culturelle commune importante”
(VAN DE BELT et RIP, 1987). Leur contribution consiste à contrôler et équilibrer le
développement de la Vision Organisante en arbitrant sur les différentes contributions.
Le 5 est la problématique business. Les pratiques business sont des ressources décisives à la
construction du discours. Dès lors qu’un nouveau secteur d’activité va arriver, il vient avec une
problématique métier. La problématique business qui est commerciale est un des facteurs
principaux dans le processus de promotion et de légitimation de la Vision Organisante. Elle se
définit comme une variable nécessaire de la Vision Organisante.
Les 6 et 7 sont l'invention et l’adaptation. L’objectif est de faire évoluer le discours sans que la
technologie évolue. Cependant les besoins peuvent faire évoluer la technologie.
Les 8 et 9 adoption et diffusion. Lorsque le discours est pertinent et convaincant il est plus facile
de le diffuser et de faire adopter l’innovation aux autres. La diffusion a des effets réciproques
sur le discours puisqu'elle apporte des preuves pragmatiques à la vision.
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La théorie de la Vision Organisante (SWANSON et RAMILLER, 1997) nous montre que les
technologies de l’information sont un business. La communauté représente les personnes qui
ont intérêt commercial et économique. La Vision Organisante est un outil de promulgation
nécessaire (bien que non suffisante) d’une technologie nouvelle. Elle ne découle pas
simplement du “ fait que tout le monde le fait ” (TOLBERT et ZUCKER , 1993) pour qu'elle
puisse être adoptée. La Vision Organisante fournit et façonne la perception de cette innovation
qui implique de nouvelles technologies. L'hétérogénéité des participants est essentielle dans la
construction de l’interprétation comme base de la Vision Organisante. Plus il y aura de
personnes reconnues qui travaillent sur cette technologie, plus la communauté attirera le regard
sur elle. Cela permettra l’accroissement de la communauté et la valeur de l’innovation et donc
de la Vision Organisante. E. SWANSON et N. RAMILLER comparent cette théorie à une
montgolfière qui prend de la hauteur en fonction des interactions et des interprétations. Plus
elle prend de la hauteur, plus elle sera visible et plus la communauté sera grande.
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Dans cette partie, nous allons nous appuyer sur la théorie de la Vision Organisante de E.
SWANSON et N. RAMILLER (1997) ainsi que sur la taxonomie de KAGANER et Al (2010)
cela nous permettra d’établir la perception du discours communautaire dans la Vision
Organisante. Premièrement, nous allons présenter le contexte de notre étude, puis dans une
seconde partie, nous allons synthétiser la méthode de codage développer par KAGANER et Al.
(2010) (taxonomie). Ensuite nous allons présenter notre méthodologie de codage. Enfin nous
allons analyser nos résultats via une comparaison avec les travaux de LYNN et Al. (2018).
3.1 Contexte
Aujourd’hui, selon le site officiel d'Alphabet, Google est le moteur de recherche numérique
préféré et le plus utilisé par la société, puisqu’il représente, selon les chiffres officiels, 91% des
utilisateurs en France contre 89 % aux USA. Google en tant que G.A.F.A.M (Google, Amazon,
Facebook, Apple, Microsoft) offre une exposition idéale sur le marché de l'information quasi
dominante. Selon E. SWANSON et N. RAMILLER (1997) l'hétérogénéité des contributeurs
est essentielle, pour cette étude.
Nous avons donc choisi d'extraire les premiers articles que proposait le moteur de recherche
des quatre communautés sélectionnées. Cette sélection des communautés est importante dans
toutes études. Elle doit représenter les principaux acteurs en lien avec la Vision Organisante
(SWANSON et RAMILLER, 1997).
C’est pourquoi nous avons choisi la représentation médiatique de l’innovation (Média), la
vision du pouvoir légal (Etat), les revues scientifiques et académiques (Universitaire), ainsi que
des revues commerciales d’acteurs majeurs de la comptabilité, du contrôle et de l’audit
(Fournisseur).
Pour notre étude, nous avons sélectionné des articles entre 2018 et 2022, ce qui nous place après
l’analyse de LYNN et Al. (2018), qui traite la Vision Organisante de la Blockchain via Twitter.
Nous avons donc recensé treize articles de communauté hétérogène mais convergeant vers la
légitimité d’une Vision Organisante (SWANSON et RAMILLER, 1997).
Premièrement la légitimité cognitive, elle permet de diffuser des connaissances sur la nouvelle
technologie au sein de la communauté. Cette légitimé prend en compte tout ce qui définit les
caractéristiques de l’innovation, ses points forts, ses avantages concurrentielles. Finalement elle
prend pied dans la validation des différents acteurs (KAGANER et Al., 2010). La légitimité
cognitive fonctionne par des mécanismes similaires à la fonction d’interprétation des Visions
Organisante. Cette phase a pour finalité de fournir des explications et un but à une innovation,
elle permet de la rendre plausible (KAGANER et Al., 2010).
Ensuite, KAGANER et Al. (2010) redéfinissent la légitimité pragmatique qui repose sur des
calculs rationnels. Leur but est de voir ce qui a été mis en place pour attirer l’intérêt personnel
et voir l’utilité de la technologie pour les parties prenantes. La légitimité pragmatique étudiera
la manière dont est développée la technologie dans différents secteurs (résultats financiers,
résultats opérationnels, résultats technologiques). Elle prend en compte aussi la manière dont
est promue la technologie via les publicités par des partenaires, des acteurs de l’innovation.
La légitimité normative repose sur de nombreux travaux dont SCOTT (2001) et SCHUMAN
(1995), et sur un accord conjoint entre entreprise et public communautaire sur les normes et les
valeurs morales d’une innovation. Cette légitimité normative est un apport nouveau de
KAGANER et Al. (2010) puisque dans la légitimité de la Vision Organisante de E. SWANSON
et N. RAMILLER (2003) celle-ci n’est pas prise en compte.
Puis pour terminer, la légitimité réglementaire concerne la conformité entre les nouvelles
technologies et les règles juridiques existantes, elle agit comme un régulateur de l’innovation.
Ces légitimités forment un tout et s’imbriquent les unes dans les autres.
La taxonomie de KAGANER et Al. (2010) est fondée sur l’étude de ces quatre formes qui
interagissent de manière empirique. Ainsi elle permet d’avoir une perception de la Vision
Organisante (SWANSON et RAMILLER, 1997) de l’innovation de la Blockchain et de son
adaptation au domaine comptable. Nous avons repris le codage mis en place par KAGANER et
Al. (2010) lors de son étude.
Notre méthode reprendra la vision stratégique développé par KAGANER et Al. (2010) de
manière groupée, ainsi notre codage correspondra aux différents groupes stratégiques cognitif,
pragmatique, normatif et réglementaire. Notre grille comprendra donc dix codes en se basant
sur les travaux de KAGANER et Al. (2010) au lieu des trente proposées (voir le tableau 1 dans
l’annexe).
Nous avons choisi ce codage, car comme le dit DESPEBLIN et Al. (2018), l’interaction entre
les experts scientifiques et la communauté comptable experte n’est pas encore optimale. Cela
nous permettra donc de dégager une tendance sur la perception de la Vision Organisante
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Notre analyse de résultat est réalisée en fonction des codes établis lors de la méthodologie. La
figure 4 ci-dessous présente la fréquence d’apparition du codage stratégique établi pour l’étude
en fonction de celui proposé par KAGANER et Al. (2010) et en prenant en compte la
méthodologie de codage de notre étude (annexe 1). Les trois stratégies qui ressortent le plus
sont CI (stratégie cognitive lié au système : 30,77%), CII (stratégie cognitive lié à la mise en
œuvre : 27,47%), PI (stratégie pragmatique de justification « rationnel » :13,19%). Plus
précisément, nous constatons que la stratégie de légitimité cognitive lié au système et lié à la
mise en œuvre représente à elle deux 58,24% des sujets abordés dans les articles étudiés.
Les résultats nous montrent à travers les articles, ce que le système de l’innovation peut faire et
surtout comment il le fait (CI). On voit aussi que les acteurs qui construisent la Vision
Organisante (SWANSON et RAMILLER, 1997) appliquent une stratégie de légitimité de
promulgation de l’innovation (CI). De plus, on constate que la stratégie de légitimité de mise
en œuvre (CII) qui vise à mettre en avant l’innovation obtient un score élevé. Nous allons
analyser les réponses que nous offre la taxonomie de KAGANER et Al. (2010), concernant la
légitimité pragmatique de justification (PI). Elle est liée à la crédibilité de l’innovation et à sa
connexion aux atttentes du monde réel.
En parrallèle, nous constatons que les résultats obtenus par LYNN et Al. (2018) sur l’analyse
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des Tweets de la Blockchain par la taxonomie de KAGANER et Al. (2010) obtiennent des
Nous constatons que la légimité pragmatique de réussite (PII) et de valeur technologique (PIII)
n’ont pas été soulignées dans nos articles. C’est-à-dire qu’aujourd’hui il manque des exemples
concrets sur les capacités d’amélioration de l’innovation dans le domaine comptable.
Les stratégies pragmatiques d’alliance (PIV) et de réputation (PV) n’obtiennent pas de résultats
probants pour que nous puissons les analyser.
Concernant les résultats obtenus sur la légitimité normative (NI) et réglementaire (RI), nous
pouvons observer une similitude forte avec les travaux de recherche de LYNN et Al. (2018).
C’est-à-dire que les résultats ne sont pas significatifs. Cela se traduit selon LYNN et Al. (2018)
et KAGANER et Al. (2010), par une logique de non adoption de légitimité normative en ce qui
concerne les innovations informatiques. Concernant les résultats de la stratégie de légitimité
réglementaire, LYNN et Al. (2018) avance qu’ils viennent du fait que la « technologie est dans
un stade précoce ».
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46% Etat
23% Fournisseur
69% Média
Universitaire
8% 23%
Nous constatons qu’environ 70 % de nos articles sont couverts par seulement deux groupes
d’acteurs (média et universitaire). La proportion d’article provenant de l’Etat (représenté par un
rapport parlementaire) semble trop faible ce que peut expliquer la faible présence de la
légitimité règlementaire (RI).
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Dans cette étude, nous avons pu appréhender des nouvelles notions et nous familiariser avec la
théorie de la Vision Organisante de E. SWANSON et N. RAMILLER (1997) ainsi qu’avec la
taxonomie de KAGANER et AL. (2010). Plus précisément, nous avons appliqué le modèle
conceptuel des deux théories à l’innovation de la Blockchain dans le domaine comptable. Nous
avons procédé en trois parties : la présentation factuelle des différents éléments, la
synthétisation de la théorie et la construction de notre méthodologie. L’objectif de ce rapport
était de répondre à la question : Quelle est la vision des différents acteurs de la Blockchain
dans le milieu de la comptabilité ?
En comparant nos résultats avec l’article sur légitimité Vision Organisante et la Blockchain
écrit par LYNN et Al. (2018), nous remarquons que cette technologie n’est pas encore étudiée
au sens des légitimités normative et réglementaire dans le domaine comptable. En revanche,
LYNN et Al. (2018) ont constaté le rôle important de Twitter sur la légitimité pragmatique,
notamment sur la publicité des acteurs sur le terrain. De notre côté, nous avons constaté la faible
présence de cet argument s’expliquant avec les travaux de DAVID et Al (2019) par
l’impossibilité d’expliquer la technologie avec un nombre limité de caractère. Du côté, des
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1
Pourquoi l'État doit reconnaître la Blockchain comme un secteur stratégique, La tribune,
2018
Florian DEVOYE, Juliette RELET, Sourour LANOUAR, Mehdy CHELABI
articles de presse, de fournisseur ou du gouvernement rien n’a encore été réellement mis en
place qui pourrait nous apporter des résultats concrets.
Pour conclure, la Blockchain offre des possibilités incroyables dans le secteur comptable au vu
de ces caractéristiques et permet de décentraliser les transactions mais aussi les responsabilités.
Nous pouvons aussi noter les efforts des communautés de faire vivre la Vision Organisante de
la Blockchain dans le domaine comptable. Aussi nous pouvons que conseiller les organisations
à continuer d’investir dans la communauté pour faire s’élever cette montgolfière aussi haut que
possible.
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Brender, N. &. (2018). Impacts de la Blockchain sur le métier d’auditeur (No. ARTICLE).
David, M. G. (2019, June ). Stratégies de légitimation et vision organisante du CRM: l'analyse d'une
revue professionnelle. In 24ème conférence de l'Association Information et Management
(AIM): Management de la transformation numérique.
Kaganer, E. A.-P. (2010). Building legitimacy for IT innovations: the case of computerized physician
order entry systems. Journal of the Association for Information Systems, 11(1), 2.
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