Il est aujourd'hui évident, en ce début de millénaire, que cette
Église de Vatican II n'est pas l'Église catholique. Elle ne contient pas une même foi, ni une même hiérarchie, ni les mêmes sacrements d'origine. Il s'agit d'une contrefaçon de l'Église catholique. Sur la foi et les mœurs, le pape se doit d'être infaillible. Il ne peut enseigner l'erreur, n'a pas le droit d'être hérétique et pas seulement ex cathedra. Wojtyla, Ratzinger, Bergoglio étant dans la continuité de Vatican II, ils n'enseignent pas la religion catholique. Tous ces faussaires ayant usurpé le Saint-Siège ne furent ou ne sont pas des vicaires du Christ. Ils ne sont pas des papes. Compte tenu du baromètre Vatican II, Pie XII fut le dernier véritable pape.
Depuis sa mort en 1958 et le concile qui suivit, tout porte à
croire que les chefs de Rome qui se sont succédés furent tous francs-maçons. Dans son livre Au nom de Dieu, l'anglais David Yallop nous apprît que le très probable assassinat du pape Jean Paul 1er fut l'œuvre de la loge P2, 33 jours après le début de son règne, et que ce meurtre intervint juste après qu'il ait évincé deux francs-maçons de l'Église romaine (Marcinkus et Villot). Cet assassinat fut un signal fort envers quiconque entreprendrait de remettre Rome sur les bons rails de la tradition catholique. Avec le recul, ce n'est pas un hasard si, à la fin de sa vie, le cardinal Lienart qui fut franc-maçon Kadosh (30e degré) déclara: << Humainement, l'Église est perdue. »>¹ Depuis le décès de Pie XII, le bilan des chefs du Vatican n'est pas rose mais terriblement morose. Auteur de la fameuse encyclique Pacem in Terris publiée lors de l'ouverture du concile, Jean XXIII a très probablement appartenu à la franc-maçonnerie. En effet, d'après l'écrivain franc-maçon Pier Carpi, le soi-disant pape de l'époque fut un initié dans l'Ordre des Rose-Croix. Divers éléments à charge démontrent que ce dernier et Paul VI étaient vraisemblablement des francs-maçons. Jean XXIII eut par ailleurs pour conseiller l'américain Norman Cousins qui fut membre du CFR, de la Lucis Trust et de la Fabian Society. Lors d'un entretien réalisé par Louis-Hubert Rémy, le père Malachi Martin affirma sans ambiguïté : « Sur l'appartenance de Jean XXIII à la franc-maçonnerie, toutes les preuves sont dans les
Proofs of A Conspiracy: against all the religions and governments of Europe, carried on in the Secret meetings of Free Masons, Illuminati, and Reading Societies, collected from good authorities