Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
?
?
?
Efficacité énergétique
Toute action agissant positivement sur la consommation de l’énergie, quelle que soit l’activité du secteur
considéré, tendant à :
6. Et ce, en maintenant à un niveau équivalent les résultats, le service, le produit ou la qualité d’énergie
obtenue.
La performance énergétique est la quantité d’énergie effectivement consommée ou estimée dans le cadre
d’une utilisation standardisée à partir de valeurs de référence.
1. Les appareils et équipements fonctionnant à l’électricité, au gaz naturel, aux produits pétroliers liquides
ou gazeux, au charbon et aux énergies renouvelables, proposés à la vente sur le territoire national
doivent respecter des performances énergétiques minimales fixées par voie réglementaire.
2. Les consommations et/ou performances énergétiques des appareils et équipements visés à l’alinéa
précédent doivent être indiquées de façon lisible sur les appareils et équipements et sur leurs emballages
conformément aux normes d’étiquetage fixées en application de la législation et de la réglementation
relative à la normalisation
4. Entreprises de services énergétiques : toute personne morale qui s'engage vis-à-vis d’un consommateur
d'énergie à :
- effectuer des études visant à réaliser des économies dans la consommation de l'énergie ;
- préparer un projet qui réalise des économies d'énergie et veiller à son exécution, sa gestion,
son suivi et éventuellement son financement ;
- garantir l'efficacité du projet dans le domaine de l'économie d'énergie.
1. L’audit énergétique obligatoire, publié au BO le 2 mai 2019, s’applique aux consommateurs dont la consommation finale
totale d’énergie exprimée en tonne équivalent pétrole (tep) est supérieure à :
2. 500 tep par an pour le secteur tertiaire, les entreprises et établissements de transport et distribution
d’énergie et personnes physiques
2. Précise le contenu de l’audit énergétique obligatoire par secteur ainsi que les modalités de sa réalisation et de la
présentation des résultats
3. Définit les conditions et les principales modalités de délivrance, de renouvellement et de suspension de l’agrément
octroyé aux organismes d’audit
Le Règlement général de construction fixant les règles de performance énergétique des constructions a
pour objet de fixer les caractéristiques thermiques que doivent respecter les bâtiments par zone climatique,
afin d’atteindre les résultats suivants :
• réduire les besoins en chauffage et en climatisation des bâtiments;
• améliorer le confort thermique au sein des bâtiments;
• participer à la baisse de la facture énergétique nationale;
• réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Ledit règlement s’appliquera aux bâtiments résidentiels et tertiaires à édifier, à l’exception de l’habitat individuel
rural, et permettra de produire une nouvelle génération de constructions plus respectueuses de
l’environnement, avec une meilleure utilisation des techniques de l’efficacité énergétique dans le bâtiment.
Degré-jours de Chauffage : Mesure de la différence entre la température moyenne d’un jour donné par rapport
à une température de référence et qui exprime les besoins en chauffage domestique. La température de
référence utilisée est 18°C puisqu’en moyenne, quand la température extérieure tombe sous cette barre, on doit
chauffer l’intérieur pour y maintenir une température agréable. Lorsque la température extérieure est 18°C les
gains internes peuvent augmenter la température intérieure au-dessus de 20°C et on n’a pas besoin
de chauffer.
Les spécifications techniques minimales des performances thermiques sont exprimées, pour chaque zone
climatique et chaque type de bâtiment (bâtiment résidentiel ou bâtiment tertiaire), de deux manières une
approche globale dite performancielle et une approche simplifiée dite prescriptive.
On entend par :
On entend par :
• Bâtiment tertiaire, tout bâtiment relevant des secteurs suivants: tourisme, santé, éducation et
enseignement, administration, commerce et service.
L’approche performancielle consiste à fixer les spécifications techniques minimales en termes de performances
thermiques du bâtiment. Celles-ci sont évaluées à travers les besoins énergétiques annuels du bâtiment liés au
confort thermique. Ces besoins correspondent aux besoins calorifiques et/ou frigorifiques du bâtiment
indépendamment du type d’installations de chauffage et/ou de refroidissement utilisées. Ils correspondent à la
somme annuelle des sollicitations thermiques qu’impose le bâtiment à ses installations pour satisfaire les besoins de
confort thermique de ses occupants.
Les besoins annuels de chauffage et/ou de refroidissement du bâtiment sont calculés par des logiciels de simulation
énergétique de bâtiments ou par des outils informatiques simplifiés, en adoptant des températures de référence
pour le chauffage et la climatisation: 20°C en hiver et 26°C en été.
Les besoins énergétiques spécifiques annuels du bâtiment liés au confort thermique (BECTh) sont déterminés
selon la formule ci-dessous.
Les spécifications techniques minimales des performances thermiques des bâtiments sont fixées par le présent
règlement conformément à l’approche performancielle comme suit :
Autre: tous les autres types des bâtiments tels que: bureau, commerce, administration, service et autres
bâtiments publics.
03/03/2021 EL MOUMINI Zakaria 46
2.2 L’approche prescriptive
L’approche prescriptive consiste à fixer les spécifications techniques limites acceptables en terme de
caractéristiques thermiques des parois de l’enveloppe du bâtiment et ce, en fonction du type de bâtiment, de la
zone climatique et du taux global des baies vitrées TGBV des espaces chauffés et/ou refroidis. Ces spécifications
techniques peuvent être calculées par des logiciels de simulation énergétique de bâtiments ou par des outils
informatiques simplifiés.
Dans le cas où le TGBV est inférieur à 45% de la surface des murs extérieurs, les deux approches performancielle
et perspective sont applicables. L’approche prescriptive ne s’applique pas dans le cas où le TGBV est supérieur à
45% de la surface des murs extérieurs.
Les caractéristiques thermiques des parois de l’enveloppe d’un bâtiment correspondent aux coefficients de
transmission thermique (U) des toitures, des murs extérieurs, des planchers sur pilotis et des baie vitrées ainsi qu’au
facteur solaire équivalent (FS*) des baies vitrées et à la résistance thermique (R) des planchers sur sol plein.
U=1/(1/hi+1/he+(Σei)/λi+ΣRj)
1/hi+1/he : Résistance thermique superficielle d’échange d’une paroi sur les faces intérieure et extérieure par
convection et rayonnement (m2.K/W).
FS : Le facteur solaire (encore appelé Solar Heat Gain Coefficient, SHGC) est la quantité d’énergie solaire, exprimée
en pourcentage (%), que l’on retrouve derrière les baies vitrées exposées au rayonnement solaire (sans
protections solaires extérieures et intérieures).
Ce pourcentage de chaleur que l’on retrouve derrière la baie vitrée, est la résultante des phénomènes très
complexes de Transmission, d’absorption et de réflexion qui ont lieu dans le système considéré. Le coefficient FS
est donné par le fabricant des vitrages.
Il est à noter que le choix du type de vitrage devrait favoriser un coefficient de transmission du rayonnement
solaire visible le plus élevé possible pour un même coefficient « FS » et ce, pour assurer au mieux l’éclairage
FS*: Le facteur solaire équivalent des baies vitrées est la quantité d’énergie solaire, exprimée en pourcentage (%),
que l’on retrouve derrière les baies vitrées associées à leurs protections solaires architecturales extérieures. Pour
un ensemble de baies vitrées FS* moyen est déterminé par la formule ci-contre.
Une certification est une procédure par laquelle un organisme agréé et extérieur à
une entreprise garantit que : un produit, un service, un système d'organisation, un
processus... , répond aux exigences spécifiées dans un référentiel ( càd une norme).
Les demandes de certification ou de normalisation, auprès d'organismes agréés,
sont faites par les entreprises qui souhaitent :
• avoir un atout supplémentaire face à la concurrence,
• mettre ses clients en confiance.
1. Cadre normatif en matière de management de
l’énergie
Norme ISO 50001
1. Description
L'ISO 50001 est à présent, l'unique norme qui définit les exigences de mise en œuvre des Systèmes de Management
de l'Energie en général. Le SME, selon la norme, est basé sur l'amélioration continue de la maîtrise des
consommations énergétiques. Il assure aussi bien aux entreprises qu'aux Communes, des économies d'énergie
pérennes et permet de valoriser leurs démarches.
Selon l'Organisation Internationale de Normalisation, cette norme définit le cadre d'exigences pour que les
organismes puissent :
1. Définir une politique pour une utilisation plus efficace de l'énergie
2. Définir des cibles et des objectifs assurant la mise en œuvre de la politique
3. Maîtriser des donnes pour mieux cerner l'usage et la consommation énergétique
4. Prendre des décisions cohérentes avec les donnes
5. Mesurer des résultats
6. Examiner l'efficacité de la politique
7. Améliorer en continu le management de l'énergie
Le SME, selon la norme ISO 50001, est basé sur la méthodologie d'amélioration continue PDCA (Planifier, Faire, Vérifier
et Agir) représentée ci-dessous.
Plan : Planifier
Check : Contrôler
Act : Agir
1. Introduction
La Loi n°13-091 (publié le 18 mars 2010, page 58-22 du Journal Officiel) relative aux énergies renouvelables s’inscrit
dans le cadre de la production d’électricité d’origine renouvelable.
2. L’accès au réseau électrique national MT, HT et THT pour tout producteur d’électricité d’origine renouvelable.
3. La possibilité d’exporter de l’électricité d’origine renouvelable par l’utilisation du réseau national et des
interconnexions.
4. La possibilité pour un développeur de construire une ligne de transport directe en cas d’insuffisance de capacité
de réseau électrique national de transport et des interconnexions.
4. Exploitant : toute personne morale de droit public ou privé ou toute personne physique réalisant
et exploitant une installation de production d’électricité ou d’énergie thermique à partir de sources
d’énergies renouvelables, conformément aux dispositions de la présente loi et des textes pris pour
son application.
5. Réseau électrique national : tout réseau électrique destiné à acheminer ou à distribuer
l’électricité, des sites de production, vers les consommateurs finaux.
6. Gestionnaire du réseau électrique national de transport : toute personne morale responsable
de l’exploitation, de l’entretien et du développement du réseau électrique national de transport et, le
cas échéant, de ses interconnexions avec des réseaux électriques de transport de pays étrangers.
7. Ligne directe de transport : ligne d’électricité reliant un exploitant à son client en dehors du
réseau électrique national.
Pour toute installation, modification ou exploitation d’une capacité électrique d’origine renouvelable, les régimes
réglementaires s’appliquent en fonction de la puissance installée :
Régime de déclaration:
Toute modification affectant les caractéristiques principales de l’installation doit être communiquée au
préalable à l’administration.
Délivrée sur la base de critères définis dans les articles de 8 à 12 de la loi 13-09 et des textes pris pour son
application;
Accordée pour une durée de 25 ans, prorogeable une seule fois pour la même période,
Les modalités de constitution et de dépôt du dossier de demande de réalisation d’installation sont définies par
voie réglementaire.
Demande de raccordement :
Demande de raccordement au réseau national HT, THT et MT nécessaire pour toute nouvelle installation ou toute
modification, auprès du gestionnaire de réseau électrique national de transport.
Contrat d’accès au réseau national de transport :
Les modalités d’accès techniques et commerciales de connexion au réseau électrique de MT, HT et THT sont fixées dans
une convention conclue entre l’exploitant et le gestionnaire du réseau de transport.
En cas d’insuffisance de capacité du réseau électrique, l’exploitant peut être autorisé à réaliser et à utiliser pour son
usage propre des lignes directes de transport, dans le cadre d’une convention le reliant avec le gestionnaire du réseau.
Il est difficile qu'un employé puisse suivre les mesures d'économie d'énergie s'il méconnaît la véritable implication
que cela peut apporter, aussi bien pour l'établissement que pour l'environnement. Tout d'abord, il est nécessaire de
mettre en contexte les bénéfices de l'économie de l'énergie, en mettant en évidence les aspects suivants :
2. La réduction de l'empreinte écologique : le changement climatique causé par l'activité anthropique est aujourd'hui une réalité.
Il est nécessaire que le personnel de l'établissement connaisse le concept de l'empreinte écologique et comprenne que la
réduction des émissions CO2 dépend aussi de nos habitudes de consommation de l'énergie.
3. Fondements de base de l'efficacité énergétique : Il est nécessaire d'instaurer le concept : "la meilleure énergie est celle qui
n'est pas consommée". Dans ce contexte, les économies d'énergie réduisent non seulement les coûts mensuels dans la
facture, mais permettent également une réelle contribution à la durabilité de l'environnement.
4. Mesures d'économie d'énergie : les mesures décrites dans ce guide seront inutiles si elles ne sont pas transmises au
personnel. En transmettant à chaque employé de l'établissement ce que celui-ci puisse faire afin de contribuer à la réduction
de la consommation, vous garantissez la réussite des résultats escomptés.
Il est fondamental que les résultats des mesures soient communiqués à l'ensemble des travailleurs impliqués. Cette
mesure va les encourager à continuer de mettre en œuvre des actions qui contribuent aux économies d'énergies. De
cette façon, ils sentiront qu'ils ont fait partie du succès obtenu par l'établissement.
Pour une bonne transmission de l'information, il est recommandé de mettre en place un bulletin mensuel avec un
bref descriptifs des mesures prises en faveur de l'efficacité énergétique et un résumé des indicateurs énergétique
adaptés par l'établissement. Ce bulletin peut être distribué par email à tous les employés, ou bien affiché dans le
tableau d'affichage.
La direction de l'établissement ne doit pas se conformer seulement à la mise en œuvre des mesures d'amélioration de
l'efficacité énergétique. Il est donc recommandé d'évaluer régulièrement les objectifs atteints, faisant place à de
nouvelles idées, des améliorations et de la participation active de employés.
Pour cela, il est recommandé de créer un comité d'efficacité énergétique, composé de représentants de la direction, le
personnel de maintenance et des employés de l'établissement, qui se réunirait périodiquement pour analyser la mise
en œuvre des plans d'action et de ses résultats.
Un programme de sensibilisation des employés (PSE) exhaustif peut contribuer à impliquer le personnel et lui présenter
les méthodes de réduction des pertes d’énergie, des coûts de fonctionnement et d’amélioration de la compétitivité.
Choisissez un chef
Il faut un chef compétent pour prendre la responsabilité de votre PSE. Ce chef de projet nommé pour l’occasion, cette
personne doit disposer de l’autorité nécessaire pour mettre le programme en œuvre.
Trouvez un champion
Demandez à un directeur général, ou à une personne occupant un poste de direction de soutenir le PSE, ce qui aidera
à mettre l’engagement de l'entreprise à réduire sa consommation d’énergie en lumière. Le champion doit être
enthousiaste et disposé à prendre la tête des efforts pour garantir l’intégration de l’efficacité énergétique dans la
culture de l'entreprise.
L'équipe doit s’entendre sur des objectifs précis pour le PSE del' entreprise. Par exemple, il est possible que vous
souhaitiez augmenter la productivité ou réduire la consommation énergétique à hauteur d’une valeur précise. Peut-
être cherchez-vous à intensifier l’engagement de votre personnel dans les efforts d’amélioration de l’efficacité
énergétique. Ou peut-être l'entreprise tient-elle à démontrer son leadership pour atteindre les objectifs
environnementaux.
Quels que soient les buts fixés, prenez soin de les faire contrôler et approuver par la haute direction.
Vous devez clairement définir qui votre message doit atteindre pour qu’il soit efficace. Votre public interne
comprend les gestionnaires, les superviseurs et les employés effectuant les activités quotidiennes de l'entreprise.
Votre public externe comprend d’autres personnes et organismes qui peuvent partager votre intérêt pour les efforts
d’efficacité énergétique, tels que vos clients, vos fournisseurs, ainsi que le public général.
Par exemple, la communication à l’interne concernera les aspects pratiques de votre plan pour l’efficacité
énergétique : comment, où et pourquoi. La communication s’adressant à un public externe démontrera
l’engagement de votre installation pour la responsabilité environnementale et sa diligence pour réduire sa
consommation énergétique.
Que souhaitez-vous que votre public sache de PSE? Orientez-vous par rapport à vos objectifs. Communiquez l’objectif
du programme aux personnes qui doivent le connaître. Mettez aussi l’accent sur les avantages, pas seulement sur des
détails précis. Ce qui compte, ce n’est pas tant le fait d’avoir un plan que ce que ce plan vous permettra d’accomplir.
1. souligner en quoi une réduction des factures énergétiques sera avantageuse pour l’entreprise, le personnel et
l’environnement,
3. encourager les employés à mettre en pratique ce qu’ils ont appris au travail dans la gestion de la consommation
énergétique de leur foyer.
Faites appel à l’engagement de votre équipe, à son enthousiasme et à son imagination pour trouver de nouvelles
idées pour des évènements et des activités qui vous permettront de faire la promotion des objectifs de PSE.
Organisez des séances de discussions ouvertes régulières pour discuter de vos plans.
Une fois vos messages clés et vos outils de communication en place, vous pourrez élaborer un calendrier pour le PSE,
présentant les détails de chaque projet et chaque échéance.
Répartissez vos évènements et vos activités tout au long de l’année pour rappeler le travail de PSE au personnel. Organisez
une journée spéciale mettant en avant les mesures de l'entreprise en faveur de l’efficacité énergétique pour renforcer
l’engagement des employés.
Utilisez les supports de communication de l'entreprise pour faire la promotion de l’évènement. Faites appel à des
partenaires de promotion, organisez des expositions. Mettez en place une ligne de renseignement sur l’efficacité
énergétique pour faire la promotion de programme et réunir les suggestions d’améliorations de personnel.
Concentrez-vous sur la réalisation d’économies d’énergie grâce à des rénovations, à l’intégration de l’efficacité énergétique
dans la planification des activités de vos installations et sur la réduction de la consommation énergétique, chez vous et sur
la route.
Enfin, établissez un budget. Répartissez-le en catégories : les coûts relatifs à la communication et aux évènements
peuvent par exemple être divisés entre ceux liés aux rafraîchissements, aux prix, aux divertissements et à la location
du matériel. Examinez vos dépenses régulièrement pour contrôler vos coûts.
Envisagez la possibilité de faire appel à un financement externe si vos plans dépassent les moyens de votre
organisme. Communiquez avec des fondations communautaires, des clubs philanthropiques de votre région actifs
pour la protection de l’environnement, et avec différents échelons des gouvernements et des services publics. Ne
négligez pas les donations de produits ou autre de fournisseurs et de clients partageant vos objectifs.
Des évaluations régulières permettront de cerner les méthodes efficaces, ainsi que les modifications éventuellement
nécessaires pour rester sur la bonne voie. Prenez des notes et des photos lors de la mise en œuvre de manière à
établir une référence de mesure de progrès vers les objectifs précis d’amélioration de l’efficacité énergétique.
Utilisez vos outils de communication pour tenir tout le monde informé des progrès de votre organisme dans la
réduction de sa consommation énergétique et de son empreinte environnementale. Rédigez des rapports
d’avancement à l’intention du personnel et de la haute direction. Il n’est pas nécessaire que ces rapports soient longs
; ils visent à mettre en relief les réussites de vos pratiques d’efficacité énergétique et à bâtir un soutien pour vos
campagnes futures.