LA SOLIDARITE

I. PHOTOLANGAGE

1. Complète le tableau suivant à l’aide des affiches ci-dessous.

Nom de l’association Connais / connais pas

Affiche 1

Affiche 2

Affiche 3

Affiche 4

Affiche 5

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2. Relie chaque association à son but principal

Organisation belge qui

contribue à la recherche et
à l’expérimentation de
modèles alternatifs de
développement.

Lutte contre la pauvreté :

aide apportée
bénévolement donnée dans
le domaine alimentaire.

Organisation belge récoltant

des fonds qui serviront pour
les personnes handicapées.

Organisation médicale belge

qui se mobilise en faveur
des personnes souffrant de
la lèpre.

Organisation qui s’attaque

de manière globale à la
pauvreté et aux inégalités.

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 II. BRAINSTORMING

Nous vivons dans un monde de compétition et d’individualisme. C’est chacun

pour soi, l’autre passe après. Nous nous battons chaque jour pour avoir notre
place au sein de la société. Nous sommes prêts à écraser les autres pour avoir ce
que l’on désir : un travail, une augmentation… Mais, et la solidarité dans tout
ça ? De nombreuses personnes et associations s’engagent pour aider un
maximum les personnes dans le besoin.
Faisons de même : soyons solidaires !

La solidarité

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III. DOCUMENTONS-NOUS SUR LE THEME

A. ECLAIRAGE BIBLIQUE : LE BON SAMARITAIN

1. Lis attentivement la bande dessinée ci-dessous.

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 2. Que fait Jésus quand son interlocuteur lui pose une question ?

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3. Qui est notre prochain ?

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4. Comment peut-on pratiquer la justice selon cette bande dessinée ?

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5. Quelle valeur est mise en avant par cette histoire ?

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 B. DEFINIR LA SOLIDARITE

Étymologie : du latin « solidus », entier, consistant, lien unissant entre eux les débiteurs d’une
somme.

La solidarité est le sentiment de responsabilités et de dépendance réciproque au sein d’un

groupe de personnes qui sont moralement obligées les unes par rapport aux autres. Ainsi les
problèmes rencontrés par l’un ou plusieurs de ses membres concernent l’ensemble du groupe.
La solidarité conduit l’homme à se comporter comme s’il était directement confronté au
problème des autres, sans quoi, c’est l’avenir du groupe (donc le sien) qui pourrait être
compromis.

La solidarité humaine est un lien fraternel et une valeur sociale importante qui unissent le
destin de tous les hommes les unes aux autres. C’est une démarche humaniste qui fait prendre
conscience que tous les hommes appartiennent à la même communauté d’intérêt.

La solidarité doit être distinguée de l’altruisme qui conduit à aider son prochain, par simple
engagement moral, sans qu’il y ait nécessité de réciprocité, ainsi que de la coopération où
chacun travaille dans un esprit d’intérêt général pour l’ensemble.

1. Connais-tu des organisations qui sont basées sur la solidarité ?

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 C. L’ECLAIRAGE DES TEMOINS D’HIER ET D’AUJOURD’HUI

MARTIN LUTHER KING

Une enfance brillante et aisée

Né à Atlanta dans une famille de pasteurs, Martin Luther King bénéficie d’un statut social plus
aisé que la majorité de ses condisciples Afro-américains. Bien qu’il soit au départ peu
enthousiaste pour cette voie, ce jeune étudiant brillant obtient une licence de théologie en
Pennsylvanie, suivant ainsi les traces de son grand-père. Après s’être marié à la pédagogue et
chanteuse Coretta Scott en juin 1953, il devient en 1954 pasteur dans une église baptiste de
Montgomery, dans l’Alabama.

L’épisode Rosa Park et le boycott des bus de Montgomery

Le 1er décembre 1955, Rosa Park refuse de céder sa place à un blanc dans un autobus de
Montgomery et se fait interpeller par la police. L’interdiction faite aux noirs d’étudier dans les
mêmes écoles que les blancs a été jugée inconstitutionnelle par la Cour Suprême en 1954, mais
dans de nombreux domaines, la ségrégation reste la règle.

C’est pour refuser cet état de fait que les personnalités noires de Montgomery lancent un appel
au boycott de la compagnie de bus de la ville. Le soir même de ce premier jour d’action, une
organisation est créée et Martin Luther King est élu à sa tête. Pendant presque un an, le boycott
se poursuivra malgré les tentatives d’intimidation concentrées sur Luther King : attentat contre
son domicile, emprisonnement. Enfin, la Cour Suprême donne tort à la compagnie de bus.

Le leader de la lutte non-violente

Fort de cette victoire au retentissement national, Luther King participe avec une dizaine de
personnalités noires du sud des Etats-Unis à la fondation d’une organisation nationale : le SCLC
(conférence des leaders chrétiens du sud). Élu à la présidence, il décide d’étendre à l’ensemble
du pays sa lutte non-violente pour les droits civiques des noirs. Luther King, en admirateur de
Gandhi, revendique l’influence de l’indien sur sa pensée. Par ailleurs, les actions se multiplient
dans les Etats-Unis : mouvement étudiant en 1960, campagne de Birmingham en 1963… Il
rencontre également des personnalités éminentes tel que le président Eisenhower.

« I have a dream » et le prix nobel

Le 28 août 1963, Luther King est à la tête de la marche sur Washington pour
le travail et la liberté. Devant 250 000 personnes, il prononce son célèbre
discours connu sous le nom « I have a dream ». Il appelle de ses vœux un
pays où chacun partagerait les mêmes droits dans la justice et la paix. Il sera
ensuite reçu par John Fitzgerald Kennedy. En 1964, il reçoit le prix Nobel de
la paix après avoir rencontré le Pape Paul VI. Il est alors une figure mondiale.

Voir vidéo (https://www.youtube.com/watch?v=XJ6mXKpiVs8)

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Une influence déclinante

Pourtant, son influence tend à diminuer au sein de la communauté Afro-américaine. Originaire

du sud des Etats-Unis, il a toujours lutté pour l’égalité, la reconnaissance et l’intégration d’une
communauté issue de l’esclavage et plutôt rurale. Mais les idées plus radicales et plus violentes
de Malcom X gagnent. Le rejet de la communauté noire a désormais un nouveau visage : les
banlieues extrêmement pauvres et violentes des grandes villes. Et l’assassinat de Kennedy,
perçu comme un défenseur des noirs, donne peu de place à l’espoir. Ainsi Luther King parait
quelque peu en retrait et impuissant face aux émeutes de Watt à Los Angeles. Toutefois, il est
aux côtés du président Johnson en 1965 lorsque celui-ci signe le « Voting Rights Act » qui
garantit l’égalité civique.

Face à de tels constats, il s’engage contre la guerre du Vietnam mais surtout il cherche à lutter
contre la misère, nouveau moyen indirect de ségrégation qui touche durement les Afro-
américains. Alors qu’il prépare une nouvelle marche contre la pauvreté, il est assassiné sur le
balcon de sa chambre d’hôtel à Memphis le 4 avril 1968.

Si sa mort prématurée l’a empêché d’agir contre la pauvreté, ses méthodes non-violentes ont
certainement été fondamentales pour l’accomplissement de l’égalité des droits tout en évitant
de plonger le pays dans une guerre civile ou communautaire. Ayant toujours refusé de céder à
la tentation de la violence, Luther King s’est imposé au même titre que Gandhi comme le
symbole d’une lutte qui ne laisse pas la place aux armes. Ainsi, et malgré le déclin de son
influence sur les dernières années de sa vie, 100 000 personnes lui rendent hommage lors de
ses funérailles à Atlanta.

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 LE PERE DAMIEN

La naissance de Jozef De Veuster

Tremelo, un petit village situé entre Louvain, Aarschot et Malines. C’est là que naît Jozef, le 3
janvier 1840. Il est le septième et avant dernier enfant de la famille De Veuster. Son père Frans
et sa mère Anna-Katrien possèdent une petite ferme et un lopin de terre.

Une courte enfance

Lorsque Pamphile, son frère aîné de 3 ans, entre dans les ordres et rejoint les pères des Sacrés
Cœurs à Louvain, Jozef – petit garçon joyeux – doit quitter l’école à 13 ans pour aider ses
parents aux travaux de la ferme. Il est prédestiné à reprendre le commerce de grains de son
père.

Comment Jozef devient Damien

Jozef, adolescent très actif, prend de plus en plus conscience de sa vocation religieuse. Il décide,
à 19 ans, de tracer sa propre route contre le gré de ses parents. Il commence son noviciat
(temps d’épreuve imposé aux novices) à Louvain où il reçoit le nom religieux de Damien. A
peine 6 mois plus tard, il a déjà fait une si forte impression sur ses supérieurs qu’ils l’autorisent
à entamer des études de prêtrise.

Damien gagne Hawaï

Son frère se voit confier une mission à Hawaï. Souffrant du Typhus, il ne peut cependant
prendre le départ. C’est ainsi que Damien prendra sa place alors qu’il n’est même pas encore
ordonné prêtre. Il arrivera à Honolulu après un long voyage de 148 jours. Ce tournant décisif
dans la vie de Damien changera la vie de milliers d’autres personnes.

La colonie de Molokaï

Damien est ému par l’histoire d’un évêque. Des lépreux occupent un recoin de Molokaï, dans
une colonie coupée du monde extérieur. Coincés entre la mer et de hauts récifs, ils n’ont plus
qu’à attendre la mort. Damien se doit de les aider. Il gagne l’enfer de Molokaï et deviendra ainsi
le véritable pionnier de l’aide au développement.

Un des leurs pendant 16 ans

Damien ne considère les lépreux ni comme des pécheurs, ni comme des pariats mais comme
des amis. Il partage leur vie et est à la fois policier, infirmier, enseignant, menuisier,
entrepreneur de pompes funèbres et missionnaire. Il construit même des logements et cultive
des légumes. Bien qu’il soit pleinement conscient du risque de contamination, il se refuse à
n’accomplir le travail qu’à moitié.

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Il bouscule le monde et fait appel à la conscience des gens

Aucun être humain ne devrait subir d’excommunication, encore moins une horrible
condamnation à mort. Tel est le message que Damien lance au gouvernement d’Honolulu dans
ses lettres. Il réclame un soutien et du matériel pour les lépreux. Ses lettres le rendent célèbre.
Plus important encore : elles suscitent le soutien financier du monde entier.

La mort d’un lépreux

L’inévitable arrive : Damien est également frappé par la lèpre. Il vivra toutes les étapes de la
maladie en continuant, toutefois, son travail normalement. Damien mourra le lundi 15 avril, à
l’âge de 49 ans. Il se fera enterrer parmi ses amis. Mais il vit toujours à travers l’exemple
exceptionnel qu’il a donné au monde.

Damien selon Gandhi

« Le monde de la politique et du journalisme compte peu de héros comparables au Père

Damien de Molokaï. Il vaut la peine de se pencher sur la source de tant d’héroïsme. » Tels furent
les mots du Mahatma Gandhi.

L’année Damien

Tremelo, le village natal de Damien, est le cadre de nombreuses manifestations éclatantes.

L’apothéose de ces célébrations est sans nul doute le cortège historique de Damien. Les
habitant de Tremelo veulent montrer sans pudeur que Damien occupe toujours une place très
importante dans leur vie.

Béatification de Damien par le Pape

Le Pape Jean-Paul II béatifie Damien De Veuster le dimanche 4 juin 1995. Plus

de 100 ans après son décès, Damien continue à vivre.

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 GANDHI

Gandhi, issu de la caste des Vayshia, est né en Inde, à Porbandar dans l’État du Gujarat, dans
une famille relativement aisée. Élevé dans les valeurs indouistes, il apprend à connaitre les
autres religions et la tolérance envers elles. Suivant les coutumes de sa caste, il se marie à l’âge
de 14 ans.

Attiré par le style de vie occidentale, Gandhi part en 1888 à Londres pour faire ses études de
droit. C’est là qu’il lit la Baghavad-Gita, le principal texte de l’hindouisme qui aura une grande
influence sur lui. Après trois années en Angleterre, il revient en Inde et exerce sans beaucoup
de succès le métier d’avocat.

En 1893, Gandhi est employé comme conseiller juridique pour une société indienne en Afrique
du Sud. Il y découvre comment les noirs ainsi que les indiens y sont privés de nombreux droits
civiques et sont victimes de l’intolérance et du racisme. Il entreprend alors, pendant les vingt
années qui suivent, un combat de résistance non-violente et de de non-coopération face aux
autorités d’Afrique du Sud. Il développe, en 1909, ses théories du combat par la non-violence
et la désobéissance civile de masse, la Satyagraha.

Ayant obtenu des avancées significatives en 1914 de la part du gouvernement sud-africain,

Gandhi retourne en Inde. Considérant que, pour obtenir leur citoyenneté, les indiens doivent
participer à la défense de celle-ci, il leur demande de s’engager dans l’armée pour soutenir les
britanniques dans la Première Guerre mondiale.

Après la Première Guerre mondiale, Gandhi, vite rejoint par des millions d’indiens, s’oppose
aux britanniques en organisant la résistance civique et des campagnes de non-coopération.
Devenu célèbre dans toute l’Inde, il est surnommé « Mahatma » (la grande âme). Il lance
également une campagne visant à obtenir l’indépendance économique face à
l’appauvrissement de la population et la destruction de l’industrie locale, conséquence de la
politique coloniale britanniqye. Mais sa campagne de désobéissance civile est un échec. Il est
arrêté pour subversion en 1922 par le gouvernement britannique et libéré en 1924.

En 1930, bénéficiant d’une influence considérable, Gandhi entreprend une nouvelle campagne
de désobéissance civile visant à la suppression des impôts, notamment sur le sel. Il est de
nouveau emprisonné, puis libéré en 1931. Toujours par des moyens non-violents mais actifs, il
entreprend alors une lutte pour l’abolition du système de castes et l’égalité des droits. Après
l’indépendance partielle de l’Inde en 1935, il combat pour l’unification des principautés
indiennes locales. A la tête du Parti du Congrès, il œuvre pour l’indépendance totale de l’Inde.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Gandhi, refusant de soutenir les britanniques sans la
contrepartie d’indépendance immédiate, lance un appel pour que ceux-ci quittent l’inde. Il
s’ensuit la plus radicale révolte pour l’indépendance et de terribles répressions. Gandhi est
arrêté en 1942, puis libéré pour raison de santé.

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 En 1944, les britannique s’engagent à accorder l’indépendance aux indiens
s’ils mettent un terme aux querelles entre musulmans et membres du parti du
Congrès. Gandhi s’oppose de toutes ses forces à la partition du pays mais doit
se résoudre à la création de deux États, l’Inde et le Pakistan, en 1947, pour
garantir la paix intérieure. Il ne peut empêcher le déchainement de violence
entre les musulmans et les hindous et meurt assassiné le 30 janvier 1948 par
un fanatique hindou.

Les combats non violents de Gandhi pour la défense des droits de l’homme eurent une
influence importante sur les mouvements de libération et de défense des droits civiques dans
le monde entier, notamment pour les noirs en Amérique du Nord.

1. En quelques lignes, explique qui sont :

 Martin Luther King

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 Le Père Damien

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 Gandhi

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 2. Quels sont les points communs de ces trois hommes ?

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D. INVICTUS

Regarde attentivement le film Invictus réalisé par Clint Eastwood et réponds aux questions.

Synopsis

En 1944, l’élection de Nelson Mandela consacre la fin de l’Apartheid, mais l’Afrique du Sud reste
une nation profondément divisée sur le plan racial et économique. Pour unifier le pays et
donner à chaque citoyen un motif de fierté, Mandela mise sur le sport, et fait cause commune
avec le capitaine de la modeste équipe de rugby sud-africain. Leur pari : se présenter au
Championnat du Monde 1995…

Questionnaire

1. D’où sort Nelson Mandela au début du film ?

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2. Dans quel pays se déroule le film ?

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3. Quel poste occupe Nelson Mandela en 1955 ?

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4. Les « blancs » sont-ils tous d’accord avec cette situation ? Cite un moment du film.

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 5. Quel est le surnom de Nelson Mandela ?

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6. Autour de quel sport Mandela veut-il travailler pour créer une nation unie ?

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7. A qui s’adresse-t-il pour cela ?

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8. En 1994, quelle est la couleur de peau des joueurs de l’équipe des Springboks ?

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9. Avant 1994, pourquoi certaines équipes refusent de joueur contre l’Afrique du Sud ?

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10. Comment évoluent les relations entre les « blancs » et les « noirs » ? Pourquoi ?

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11. Quelle leçon tirer de ce film ?

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12. As-tu apprécié ce film ? Pourquoi ?

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 IV. RESSOURCES DE LA FOI CHRETIENNE

A. LA FEMME ADULTERE

Jésus se rendit au mont des Oliviers. Mais dès le matin, il revint dans le temps et tout le
peuple s’approcha de lui. Il s’assit et se mit à les enseigner.

Alors les spécialistes de la loi et les pharisiens amenèrent une femme surprise en train de
commettre un adultère. Ils la placèrent au milieu de la foule et dirent à Jésus : « Maître, cette
femme a été surprise en flagrant délit d’adultère. Moïse, dans la loi, nous a ordonné de lapider
de telles femmes. Et toi, que dis-tu ? ».

Ils disaient cela pour lui tendre un piège, afin de pouvoir l’accuser. Mais Jésus se baissa et
se mit à écrire avec le doigt sur le sol.

Comme ils continuaient à l’interroger, il se redressa et leur dit : « Que celui d’entre vous qui
est sans péché jette le premier la pierre contre elle ». Puis il se baissa de nouveau et se remit à
écrire sur le sol.

Quand ils entendirent cela, accusés par leur conscience, ils se retirèrent un à un, à
commencer par les plus âgés et jusqu’aux derniers. Jésus resta seul avec la femme qui était là,
au milieu.

Alors, il se redressa et, ne voyant plus qu’elle, il lui dit : « Femme, où sont ceux qui
t’accusaient ? Personne ne t’a donc condamnée ? »

Elle répondit : « Personne, Seigneur ». Jésus lui dit : « Moi non plus, je ne te condamne pas :
vas-y et désormais ne pèche plus ».

1. Pourquoi Jésus est-il dans une situation délicate.

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2. De quelle manière Jésus fait-il preuve de solidarité ?

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3. Pourquoi Jésus pardonne cette femme ?

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4. A ton avis, doit-on être solidaire avec tout le monde ? Pourquoi ?

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 B. LA GUERISON D’UN PARALYTIQUE

Quelques jours après, Jésus revint à Capharnaüm. On apprit qu’il était à la maison, et il
s’assembla un si grand nombre de personnes que l’espace devant la porte ne pouvait plus les
contenir. Il leur annonçait la parole.

Des gens vinrent à lui, amenant un paralytique porté par quatre hommes. Comme ils ne
pouvaient l’aborder, à cause de la foule, ils découvrirent le toit de la maison où il était, il ils
descendirent par cette ouverture le lit sur lequel le paralytique était couché.

Jésus, voyant leur foi, dit au paralytique : « Mon enfant, tes péchés sont pardonnés ». Il y
avait là quelques scribes, qui étaient assis, et qui se disaient : « Comment cet homme parle-t-il
ainsi ? Il blasphème. Qui peut pardonner les péchés, si ce n’est Dieu seul ? ».

Jésus, ayant aussitôt connu par son esprit ce qu’ils pensaient au-dedans d’eux, leur dit :
« Pourquoi avez-vous de telles pensées dans vos cœurs ? Lequel est le plus aisé, de dire au
paralytique : tes péchés sont pardonnés, ou de dire : lève-toi, prends ton lit, et marche ? »

« Or, afin que vous sachiez que le Fils de l’homme a sur la terre le pouvoir de pardonner les
péchés : je te l’ordonne, dit-il au paralytique, lève-toi, prends ton lit, et va dans ta maison ».

Et, à l’instant, il se leva, prit son lit, et sortit en présence de tout le monde, de sorte qu’ils
étaient tous dans l’étonnement et glorifiaient Dieu, disant : « Nous n’avons jamais rien vu de
pareil ».

1. Retrace les différentes étapes de l’histoire.

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2. Cette histoire retrace l’un des miracles réalisés par Jésus. En connais-tu d’autres ?

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V. TACHE FINALE

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