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NOUVEL
ÂGE TOME 2
Copyrightfkeditions
Edition novembre 2020
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Le Tome 2 de la Revue NOUVEL ÂGE,
est une suite du Tome 1. Elle explicite
et lubrifie les différentes
problématiques ayants traits à notre
époque du moins depuis une trentaine
d’années maintenant.
La perspicacité lors de l’appréhension
de tous les thèmes abordés s’avère
nécessaire pour comprendre la
quintessence de cette revue.
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Après le Tome 1, voici le Tome 2 de la Revue
Nouvel Age. Suscitant votre intérêt dans la
perspective de remédier à certaines
problématiques d’essences énigmatiques
jusqu’à ce jour. Je vous encourage vivement à la
lecture.
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QUATRE THEMATIQUES
SONT ABORDEES DANS CE
TOME 2. :
• LE RACISME.
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Le racisme, est une forme de discrimination fondée sur
l'origine ou l'appartenance ethnique ou raciale de la victime.
Qu’elle soit réelle ou supposée. Il cherche à porter atteinte à la
dignité et à l'honneur de la personne, à susciter la haine et à
encourager la violence verbale ou physique. Il considère
également que certaines catégories de personnes sont
intrinsèquement supérieures à d'autres
Lorsque nous essayons de retracer son origine, certains
historiens estiment que le racisme est un sous-produit du
capitalisme européen en lien avec le colonialisme, chose qui
semble être certaine parce que partant du colonialisme et de son
fonctionnement, l’homme noir a été chosifié malheureusement
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en perdant la valeur dans une certaine mesure. Cette perte de
valeur a automatiquement créé une forme d’attitude négative
(racisme) qui a transcendé des générations en sorte que nous
continuons à vivre ses effets néfastes dans la société bien qu’elle
soit développée.
Le racisme est à la base de plusieurs problèmes au sein
de la société humaine. Tout lieu où il est prôné, il commet des
dégâts tant émotionnels que physiques. Ceux qui en sont victimes
vivent constamment sous une certaine peur et cela cause une
forme de réticence dans leur engagement et un sentiment
d’insécurité. Dans sa dimension pratique, nous remarquons que
le racisme en actes se manifeste par des actions individuelles
(violences, insultes...) ou encore par des systèmes de domination
qui sont institutionnalisés, c’est notamment le cas l’apartheid, la
ségrégation, la colonisation ainsi que l’esclavage.
Par contre dans sa dimension perceptive, le racisme se
base sur une différenciation très souvent corporelle, c’est-à-dire
en rapport avec la pigmentation de la peau, à cela s’ajoute aussi
au niveau des caractères moraux et culturels. Toujours dans sa
dimension perceptive, nous constatons aussi des discours à
caractère raciste, c’est-à-dire on peut évoquer la supériorité
physique d’un groupe visé (les noirs généralement) pour
souligner par contre leur infériorité intellectuelle, ce qui crée en
quelques sortes des stéréotypes racistes.
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Je pense que oui, Le racisme, la xénophobie et
l'intolérance sont des problèmes importants dans toutes les
sociétés humaines. Chaque jour, chacune et chacun d'entre nous
peut lutter contre les préjugés raciaux et les attitudes intolérantes
que nous rencontrons dans notre société.
Trois éléments peuvent entrer en jeu pour combattre le
racisme dans notre société. D’abord, nous devons le faire dans
nos lieux d’activités, c’est-à-dire au travail. Nous devons soutenir
tous ceux qui sont victimes ou encore susceptibles de l’être en
leur faisant savoir que nous sommes tous égaux et que la
différence raciale ne doit en aucun cas être sujet de mésentente,
encore moins de discrimination.
Ensuite, nous devons le cibler dans l’éducation. C’est-à-
dire mettre en place des idéaux qui permettent d’unir les gens de
différentes races, de créer une complicité capable de briser
toutes formes des stéréotypes racistes ancrés inconsciemment
chez certains, et organiser des programmes qui prônent l’égalité
raciale et qui découragent le racisme.
Enfin, nous devons être prompts à signer des pétitions et
protester à chaque fois qu’il y a des mouvements racistes. C’est-
à-dire étant donné que le racisme est un mouvement qui a une
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portée considérable, les protestations, la signature des pétitions
sont d’une grande importance, car elles suscitent l’attention
humaine et provoquent un réveil dans l’esprit de plusieurs afin
de mettre à un terme aux retombées, souvent irréparables, que
cause ce mouvement.
D’où, si nous désirons vivre un monde meilleur, nous
devons à tout prix nous lever et mettre fin au racisme dans tous
les niveaux possibles. Chacun de nous à son niveau est à mesure
d’apporter sa pierre dans l’édifice en dénonçant l’inégalité, en
sensibilisant les gens à l’égalité des races, à l’unité et aussi en
valorisant chaque race par le respect et l’acceptation.
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« Divisés, nous sommes faibles. Unie,
l’Afrique pourrait devenir, et pour de bon,
une des plus grandes forces de ce monde »,
Kwame Nkrumah, premier président du
Ghana.
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Alors pourquoi s’unir ? Pourquoi ne pas agir comme
toujours, et espérer un miracle ? Quelles sont les voix qui
s’ouvriront à nous, si jamais ne nous nous unissons ? C’est ce à
quoi nous allons tenter de détailler dans cet article.
Alors oui, une Afrique unie, c’est vite dit, mais à quoi
devons-nous réellement nous attendre, si jamais ne cela devait se
produire ? Une union portera-t-elle vraiment ses fruits ? Eh
bien oui, une union portera évidemment ses fruits : Fini la
dépendance occidentale et fini la recolonisation. L’Afrique aura
de quoi rivaliser avec les grands de ce monde comme l’a si bien
dit Kwame Nkrumah.
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YANNICK MUTUMBI
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Si l'on vous dit : Consultez ceux qui évoquent
les morts et ceux qui prédisent l'avenir, Qui
poussent des sifflements et des soupirs,
Répondez : Un peuple ne consultera-t-il pas
son Dieu ? S'adressera-t-il aux morts en
faveur des vivants ? (Esaïe 8 :19).
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Cette fois, je me mis à faire attention à ses propos, cherchant à
les entendre de toute oreille. C’était une femme plutôt
travailleuse, suffisamment active pour subvenir seule aux
besoins de sa petite famille et la mettre dans des conditions
humainement acceptables. Il semble qu’elle avait perdu sa
mère plusieurs années en arrière, se retrouvant dans une
situation de jeune fille blésée, sans éducatrice ni amour
maternel à un des moments où on en a le plus besoin. Les
conditions africaines souvent conflictuelles autour des
questions d’héritages n’auraient alors pas tardé à enfoncer les
clous qui la crucifiaient. Les choses se seraient surement
passées différemment si sa chère maman ne s’était pas rendue
si tôt dans l’au-delà…
Est-ce à partir de là qu’elle a pensé à "maintenir" un contact
avec sa défunte mère ? Plus pertinent, est-ce vraiment possible
d’entreprendre une communication avec les morts ? Et quelle
en serait l’utilité pour les vivants ?
La pensée d’invoquer les morts fait partie de la vie humaine
depuis belle lurette. Et si elle se limite au stade de pensée chez
les uns, l’histoire prouve qu’elle s’est transformée en une
pratique régulière chez les autres, avec des procédés
apparemment maitrisés, si bien que l’on pourrait parler de tout
un art.
Bougies par-ci, figures puis formules à réciter par-là,
intervention d’intermédiaires humains ou d’autres esprits pour
"établir un contact"… tels sont les artifices les plus récurrents
depuis les sociétés anciennes, aux quelles l’on peut ajouter les
multiples "innovations" dans les cercles de parapsychologie.
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Quant aux raisons de telles initiatives, il est indéniable que
l’angoisse en soit la pierre angulaire et, bien souvent, l’angoisse
dans l’une de ses compréhensions les plus simples, celle d’une
"peur sans fondement".
Ainsi, certains se livreront à la nécromancie _art d’invoquer les
morts dans un but divinatoire_, avec pour objectif de contourner
leurs peurs de l’avenir en essayant de le connaître d’avance. Sur
un autre tableau, d’autres personnes voudront espérer plus que
de simples informations sur l’avenir, et s’attendront à
l’influencer en leur faveur "grâce" à un contact avec le monde
des morts, comme cela a semblé être le cas pour la femme
décrite ci-haut. On n’aurait pas non plus tort de penser que
d’autres encore s’y livrent simplement pour avoir mal digéré la
séparation avec un être cher, et qui espèrent le retrouver sous
une certaine forme en lui adressant directement des requêtes ou
en cherchant sa compagnie à travers un intermédiaire.
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présence du prophète sur le sol d’Israël. Épeuré et prêt à tout
pour se sortir du pétrin, il jugea que son dernier recours serait
une tentative de communiquer avec son défunt prophète, ce qui
va le conduire à rencontrer l’inconnue mais depuis célèbre
sorcière d’Endor.
Samuel était mort ; tout Israël l'avait pleuré, et on l'avait enterré à
Rama, dans sa ville. Saül avait ôté du pays ceux qui évoquaient les
morts et ceux qui prédisaient l'avenir.
Les Philistins se rassemblèrent, et vinrent camper à Sunem ; Saül
rassembla tout Israël, et ils campèrent à Guilboa.
A la vue du camp des Philistins, Saül fut saisi de crainte, et un violent
tremblement s'empara de son cœur.
Saül consulta l’Éternel ; et l'Éternel ne lui répondit point, ni par des
songes, ni par l'urim, ni par les prophètes.
Et Saül dit à ses serviteurs : Cherchez-moi une femme qui évoque les
morts, et j'irai la consulter. Ses serviteurs lui dirent : Voici, à En Dor
il y a une femme qui évoque les morts.
Alors Saül se déguisa et prit d'autres vêtements, et il partit avec
deux hommes. Ils arrivèrent de nuit chez la femme. Saül lui dit :
Prédis-moi l'avenir en évoquant un mort, et fais-moi monter celui que
je te dirai.
La femme lui répondit : Voici, tu sais ce que Saül a fait, comment il a
retranché du pays ceux qui évoquent les morts et ceux qui prédisent
l’avenir ; pourquoi donc tends-tu un piège à ma vie pour me faire
mourir ?
Saül lui jura par l'Éternel, en disant : L'Éternel est vivant ! il ne
t'arrivera point de mal pour cela.
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La femme dit : Qui veux-tu que je te fasse monter ? Et il répondit :
Fais-moi monter Samuel.
Lorsque la femme vit Samuel, elle poussa un grand cri, et elle dit à Saül :
Pourquoi m'as-tu trompée ? Tu es Saül !
Le roi lui dit : Ne crains rien ; mais que vois-tu ? La femme dit à Saül : je
vois un dieu qui monte de la terre.
Il lui dit : Quelle figure a-t-il ? Et elle répondit : C'est un vieillard qui monte
et il est enveloppé d'un manteau. Saül comprit que c'était Samuel, et il
s'inclina le visage contre terre et se prosterna.
Samuel dit à Saül : Pourquoi m'as-tu troublé, en me faisant monter ? Saül
répondit : Je suis dans une grande détresse : les Philistins me font la
guerre, et Dieu s'est retiré de moi ; il ne m'a répondu ni par les prophètes
ni par des songes. Et je t'ai appelé pour que tu me fasses connaître ce que
je dois faire.
Samuel dit : Pourquoi donc me consultes-tu, puisque l'Éternel s'est retiré
de toi et qu'il est devenu ton ennemi ?
L'Éternel te traite comme je te l'avais annoncé de sa part ; l'Éternel a
déchiré la royauté d'entre tes mains, et l'a donnée à un autre, à David.
Tu n'as point obéi à la voix de l'Éternel, et tu n'as point fait sentir à Amalek
l'ardeur de sa colère : voilà pourquoi l'Éternel te traite aujourd'hui de cette
manière.
Et même l'Éternel livrera Israël avec toi entre les mains des Philistins.
Demain, toi et tes fils, vous serez avec moi, et l'Éternel livrera le camp
d'Israël entre les mains des Philistins. (1Sam28 :3-20)
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invocation de mort répondent à notre place, et leur réponse est
affirmative.
D’abord, le Dieu d’Israël aura à plusieurs reprises exigées qu’il
ne se trouve au sein de son peuple aucune personne qui pratique
l’art de faire appel aux morts, Saül lui-même ayant obéi à cet
appel en faisant de son mieux pour les exterminer du territoire
sous son contrôle ; la sorcière d’Endor n’ayant donc survécu
que parmi les clandestins.
Or, il se fait que Dieu ne peut pas interdire une chose impossible
à réaliser ; autant l’on faisait passer les enfants par le feu, autant
l’on pratiquait l’adultère, autant l’on invoquait les morts ; et Le
Dieu d’Israël était ouvertement opposé à toutes ces pratiques
réelles. Il ne s’agissait donc ni d’une métaphore, ni d’une
manière de parler ; l’on invoquait effectivement les morts.
Ensuite les faits. Au moment du contact avec la sorcière, le roi
était totalement déguisé et difficile, voire impossible à
reconnaître ; certainement pour être bien accueilli par une
pratiquante dont il avait lui-même exterminé les confrères, et
pour ne pas se rater en provoquant sa panique ou sa fuite. Cette
idée de déguisement ne rencontra aucune objection des
serviteurs qui avaient révélé l’adresse de la "sorcière",
probablement parce qu’ils étaient tous conscients du fait que,
autrement, la consultation risquerait de passer pour une
arrestation ou une opération de ratissage.
Dans la suite des faits, la mystérieuse femme ne se douta
naturellement de rien quant à l’identité du roi. L’entourloupe du
déguisement fonctionna parfaitement bien, jusqu’au moment
où Samuel se mit à "monter de la terre" ; une sorte de
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connaissance intuitive permit alors à la sorcière de découvrir
que l’homme derrière le déguisement était en fait Saül. Il est
clair qu’une communication spirituelle lui avait permis de faire
le lien entre les deux personnages. Et les lumières vont
continuer d’éblouir la scène : le défunt prophète et le roi vont
communiquer librement…
L’on dira certes que l’au-delà aurait pu faire monter un "autre
esprit", et nous reviendrons plus loin sur cette éventualité. Pour
l’instant, remarquons que l’écriture elle-même dit qu’il s’agit
de "Samuel". Lorsque la femme d’Endor le vit en même temps
qu’elle reconnaissait l’identité de Saül, elle poussa un cri de
choc, se disant peut-être que sa vie était en danger. Ensuite, à la
description de ce "dieu qui monte de la terre", ou ce "vieillard
enveloppé d’un manteau", "Saül comprit que c’était Samuel".
Ces éléments de précision écrits noir sur blanc ne laissent
pratiquement aucune chance au moindre argument contre…
Est-ce important de revenir sur leur dialogue ? Le roi se fait
réprimer sans ménage, on lui rappelle sa désobéissance et la
sentence prononcée du vivant de Samuel, et comme il était en
quête d’information sur l’avenir, il est notifié de sa mort
prochaine.
Le lendemain, à la mort de Saül sur le champ de bataille, Dieu
seul sait dans quel climat les deux hommes se sont entretenus
dans l’au-delà… enfin, s’ils s’y sont rencontrés !
Les Philistins poursuivirent Saül et ses fils, et tuèrent Jonathan,
Abinadab et Malkischua, fils de Saül.
L'effort du combat porta sur Saül ; les archers l'atteignirent, et le
blessèrent grièvement.
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Saül dit alors à celui qui portait ses armes : Tire ton épée, et m'en
transperce, de peur que ces incirconcis ne viennent me percer et me
faire subir leurs outrages. Celui qui portait ses armes ne voulut pas,
car il était saisi de crainte. Et Saül prit son épée, et se jeta dessus.
Celui qui portait les armes de Saül, le voyant mort, se jeta aussi sur
son épée, et mourut avec lui.
Ainsi périrent en même temps, dans cette journée, Saül et ses trois
fils, celui qui portait ses armes, et tous ses gens. (1Sam31 :2-6)
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la volonté de Dieu ; le comble c’est qu’en dépit de cela,
l’entêtement et la nécromancie de Saül ont réussi à faire
massacrer non seulement ce cher Jonathan, mais aussi ses deux
frères, soit une fratrie qui avait quand même des chances de
vivre paisiblement sous le règne de David.
Contrairement à ce que l’on pourrait espérer de certaines
pratiques, on n’en récoltera souvent que pure désolation. Quand
même il y aurait un semblant de profit, le temps finit par révéler
que nul ne peut espérer gagner en pactisant avec les ténèbres.
Dans un des plus pertinents discours, Jésus a résumé tout ce qui
précède dans un propos que l’on peut paraphraser de cette
manière : "Si les vivants ne s’en sortent pas avec les moyens
que Dieu leur donne chaque jour, ils ne s’en sortiront pas, même
si on devait leur envoyer les morts en renfort".
Le riche dit : Je te prie donc, père Abraham, d'envoyer Lazare dans
la maison de mon père ; car j'ai cinq frères.
C'est pour qu'il leur atteste ces choses, afin qu'ils ne viennent pas
aussi dans ce lieu de tourments.
Abraham répondit : Ils ont Moïse et les prophètes ; qu'ils les écoutent.
Et il dit : Non, père Abraham, mais si quelqu'un des morts va vers eux,
ils se repentiront.
Et Abraham lui dit : S'ils n'écoutent pas Moïse et les prophètes, ils ne
se laisseront pas persuader quand même quelqu'un des morts
ressusciterait. (Luc16 :27-31)
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nécromancie s’avère être un véritable couteau à double
tranchant. L’autorité de Christ sur le monde des morts ne laisse
aucune entreprise libre allant de ce monde vers les trépassés et
vice versa. Les expériences des nécromanciens modernes étant
truffées d’entourloupes de quelques esprits démoniaques
planant sur le deuxième ciel, la séduction, la manipulation, puis
la destruction sont les issues les plus certaines d’une séance
d’invocation de mort.
Enfin et surtout, quand cela aurait été possible d’échanger avec
les défunts, ça ne serait qu’une entreprise inutile, toutes les
ressources nécessaires au succès et au salut des vivants étant
déjà à leur disposition sans apport de l’au-delà. Inutile donc
d’oser, ni d’espérer "troubler Samuel" dans son repos, nous
vivons les temps que l’ecclésiaste a su voir de loin, les temps
où "les morts sont morts".
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Tiré de : "Derrière les voiles : l’hypothèse
d’un monde invisible".
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GLOVELY MULAKU
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En se basant sur ses sources, l'amour Éros nous renvoie vers un amour
intense, charnel, un amour rempli des désirs érotique entre deux personnes de sexe
différent selon la logique, bien que la réalité d'aujourd’hui nous fait halluciner.
L’amour Éros est basé que sur la sensualité, Marcela Iacub nous dit dans
Aimer tue : « Car lorsqu'on parle d'amour, il faut distinguer les trois acceptations
de ce mot que les grecs dénommaient agapé, philia et éros. »
Tandis que les deux premières faisaient allusion aussi bien à l'amour
désintéressé et généreux qu'à l'amitié, seul éros délimitait une réalité qui ressemble à
la nôtre. Seul éros était selon les Grecs, un amour fou, absolu, celui qui fait que les
gens se retrouvent dans des situations proches du délire, pour tout oublier, pour
s'arracher au monde frustrant et sauvage qui est le nôtre, le substituer aux autres liens
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absents, compenser leurs échecs, prendre la place de toute spiritualité. Cet amour-là
s'est développé comme la foudre et chacun est prêt à tout pour le vivre.
LES INTRUS
Quand il s’agit de l’érotisme, plusieurs questions nous
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ses règles, ses lois. Les règles que nombreux humains vivant sur
terre ignorent.
CE QUE NOUS
DEVONS SAVOIR
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moins couché même une fois déjà avec un
mec ».
La tête qu’a faite le père me hante toujours l'esprit. Sa
réaction ne m’a pas plus : Au lieu de sauver l'enfant, il s’est
barré. Je crois que la faute, si notre génération tend à se fondre
comme une sucette, revient à aussi nos parents qui, aujourd’hui,
négligent des leçons élémentaires liées à l’éducation sexuelle et
prévention des enfants adolescents contre les abus de l’acte
sexuel. Beaucoup de parents ne savent plus dialoguer, orienter,
montrer à l’enfant l’importance de l’absence, et le bien-fondé
de cela pour les jours propices.
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L’évolution de la technologie expose, en l’occurrence
l’internet, expose les jeunes à l’immoralité, à la perte de
contrôle. Certains programmes télévisés sont venus susciter la
curiosité des jeunes quant aux pratiques sexuelles avant le
temps, car ils parviennent désormais à mettre en pratique tout
ce que la télévision leur propose comme programmes. L'homme
est né ainsi, un animal prêt à copier tout ce qu’il voit, s'il n’est
pas bien dressé.
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disent bien que vos corps sont le temple du Saint Esprit, un
temple ne doit être souillé en aucun cas.
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pour satisfaire leurs passions d’une manière conforme à la
morale.
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