La portée des mouvements sociaux: ce qui se passe quand les gens se révoltent

Les nouvelles générations ont aperçu une réalité mondiale ou les hégémonies ont consenti
les dynamiques d'oppression comme la privation des droits et la discrimination. En plus, ils
essayent à tout prix, de faire taire les gens qui se soulèvent à propos de la situation. De
manière similaire Catherine Chatignoux, Valérie-Micaela Bain et Djamila AMRANE,
journalistes francophones, montrent l’impact que pourrait avoir ce qui commence comme
une petite manifestation sociale.
A la lumiere de Pologne, madame Chatignoux écrit par Les Echos les réussite d’un
mouvement populaire qui a pris les rues: plus de 500 mil personne qui dénoncent les efforts
constitutionnelles pour reduire le droit à l’avortement aux cas de viol, d'inceste ou quand la
vie de la mère est en danger en exclu. Grâce à la colère du peuple manifestant, le
gouvernement s’est rétracté et des représentants comme le chef de cabinet du Premier
ministre ont soutenu que le gouvernement est en train de discuter une nouvelle position.
Quelques académiciens comme Olgierd Annusewicz assurent que ces déclarations même
que les nouvelles mesures contre la propagation du Covid sont des stratégies pour éviter les
protestations, selon l’article publié le 4 novembre de l’année présente.
Au sein de 2020 le mouvement Black lives matter est aussi devenu un des mouvements les
plus puissants du siècle. D'après Patrice Cullors intérroge par Valérie-Micaela Bain en
Radio-Canadá, le mouvement a surgit d’un mot-clic d’appui publié en 2013 par Valeria
Garza, puis la création d’une plateforme numérique par Opal Tometi, puis l’ouverture d’un
foundation de promotion du leadership noir en Amérique et Royaume-Uni pour
posteriormente se mondialiser. Le mouvement qui a acueilli le but d’exponer le racisme
encore présente dans la société globale cherche d’encourager la commaunaté pour faire
face a la discrimination que les autorités ont ignoré. Selon l’article publié le 18 octobre
2020, Cullors affirme que la portée du mouvement a été possible dû au soutien de toutes les
personnes qui veulent un changement en faveur de la vie des personnes noires.
L’entretien réalisé à Fatma Baichi par Djamila AMRANE en OpenEdition Journals s’oppose
à l'idée précédente que les mouvements sont utiles quand ils sont massifs et quand ils sont
pacifiques. Madame Baichi, Algérienne membre du FLN, rappelle les brochures et les
chants patriotiques des orchestres qui ont nourri son envie militaire depuis qu’elle était
petite. En tant que femme, elle a du faufiler afin de faire la politique et quelques annés plus
tard au milieu de la révolution de 1954 quand Messali voulait se réconcilier paisiblement
avec la France, elle a confirmé la nécessité de la force et les armes au nom de la liberté.
Une fille peureuse qui tremblait à chaque attentat et qui était ignorée par ses grand frères a
assuré la cotisation de 1 000 et 2 000 franc par mois en distribuant de manière prudent des
brochures à Saint-Eugène.
Quoi que ce soit le type de manifestation
En 1954, lorsque la révolution a commencé, nous étions tous contents. À l’époque nous
étions tous messalistes, on nous expliquait que Messali voulait faire ça politiquement, mais
pour libérer un pays, la politique ne suffit pas. Il faut les armes. Si tout le peuple ne se lève
pas méchamment, il n’y a pas de liberté. De messalistes nous sommes devenus FLN.
Messali pour moi était l’homme qui voulait libérer son pays. J’étais jeune à l’époque, je parle
d’après mon esprit de jeunesse. Il voulait s’entendre amicalement avec la France, lui faire
comprendre que l’Algérie est aux Algériens, que la France pouvait rester mais qu’il fallait
nous donner nos droits. Je me rappelle bien son visage, un homme âgé à la barbe noire,
avec un burnous et un chèche. On chantait les chansons messalistes, on chantait pour lui. Il
luttait pour l’indépendance, mais c’était inutile, la France le faisait marcher. Au début on
avait peur, on avait la trouille

publié le 18 octobre 2020

Quelques académiciens comme Olgierd Annusewicz assurent que ces déclarations même
que les nouvelles mesure contre la propagation du Covid sont des stratégies pour éviter les
protestation, selon l’article publié le 4 nov. 2020

article publié le
tout prix de dévier l’attention

de faire taire les gens qui s’en rendent compte.

grâce auxquelles ils ont acquis le contrôle

Dans l'échelle mondiale, les nouvelles générations ont dévoilé leurs yeux devant une scène
ou les hégémonies cherchent à cacher les dynamiques d'oppression sur laquelle ils ont
organisé les société et essayent de faire taire les gens qui s’en rendent compte.

Les nouvelles générations ont aperçu une réalité mondiale ou les hégémonies cachent les
dynamiques d'oppression présentes dans les sociétés et essayent de faire taire les gens qui
s’en rendent compte.
cévier l’attention

la normalité en faisant taire el peuple en cachant les dynamique d'oppression

niveau mondial, les nouvelle géneration ont dévoilé ses yeux as nuevas
generaciones se han destapado los ojos frente a una realidad en la que una
supremacía