Apd Batiment

Maître d’ouvrage
Conseil Général de la Côte d’Or

Service Patrimoine
1 rue Joseph TISSOT
21000 DIJON
AVANT PROJET
LOT ELECTRICITE COURANT FORT ET FAIBLE
REAMENAGEMENT DES ATELIERS DU PARKING GAGNEREAUX
contact@bevm.fr
Affaire suivie par :

Olivier VERGNIAUD
03.80.680.680
AVANT PROJET OV R 1.09
Réaménagement des Ateliers Gagnereaux
Table des matières

1. GENERALITES 5
1.1. PREAMBULE : 5
1.2. LES ACTEURS DU PROJET 6
1.3. DISPOSITION COMMUNES ET ETENDUE DES OUVRAGES A REALISER 6
2. CONTRAINTES ET ENGAGEMENT 6
2.1. OBLIGATION DES TITULAIRES : 6
2.2. PROPRIETE INTELLECTUELLE DU PROJET : 6
2.3. DELAIS ET PLANNING DE REALISATION : 7
2.4. CONTRAINTES D’INTERVENTIONS : 7
2.5. ETAT DES LIEUX : 7
2.6. REUNIONS SUR SITE : 7
2.7. QUALITE ET ORIGINE DU MATERIEL : 7
2.8. GARANTIE DE REALISATION ET DE FONCTIONNEMENT : 8
2.9. CONTROLES, RECETTES ET LEVEES DES RESERVES : 8
2.10. FRAIS D’EXECUTION : 8
2.11. SECURITE ET PROTECTION DE LA SANTE : 8
2.12. REMISE EN ETAT, NETTOYAGE DES LOCAUX, PROTECTION DU MATERIEL: 8
2.13. GARANTIES : 9
2.14. DOCUMENTATIONS : 9
2.15. REGLEMENTATION : 10
3. ELECTRICITE COURANT FORT 12
3.1. ALIMENTATION GENERALE : 12
3.2. DISTRIBUTION SECONDAIRE 13
3.3. DISTRIBUTION ECLAIRAGE 13
3.4. Distribution prises de courant 13
3.5. Distribution "autres usages" 13
3.6. Distribution "MACHINES OUTILS" 14
4. ECLAIRAGE 15
4.1. ECLAIRAGE INTERIEUR : 15
4.2. PARTIE FAUX PLAFOND : Eclairages encastrés 15
4.3. PARTIES SANS FAUX PLAFOND : LUMINAIRE EN SAILLIE 17
4.4. PARTIES SANS FAUX PLAFOND : LUMINAIRES TYPE INDUSTRIELS 18
4.5. Eclairages SANITAIRES et COMPLEMENTAIRE 19
Ce document est la propriété intellectuelle exclusive de BEVM, toutes [2]

reproductions ou modifications sont interdites sans autorisation préalable
4.6. LUMINAIRES ETANCHES 19

4.7. HUBLOT 20
4.8. ECLAIRAGE DE SECURITE 20
4.9. ECLAIRAGE DE BALISAGE : 20
4.10. TOITURES VEGETALISEE : 20
5. APPAREILLAGE 21
5.1. Type d’appareillage : 21
5.2. Appareillage machine outils 21
6. ALARME INCENDIE 23
6.1. PRINCIPE DE L’INSTALLATION 23
6.2. CABLAGE DU SDI 24
6.3. DETECTEURS 24
6.4. DETECTEURS OPTIQUES DE FUMES 25
6.5. DECLENCHEURS 25
6.6. SIRENE 26
7. CABLAGE INFORMATIQUE 27
7.1. SYNOPTIQUE DE L’INSTALLATION : 27
7.2. LE CABLE A PAIRES TORSADEES CUIVRE: 28
7.3. LES PRISES RJ45 : 28
7.4. LES BANDEAUX DE BRASSAGE : 28
7.5. CORDONS DE BRASSAGE - UTILISATEURS : 29
7.6. ROCADE OPTIQUE : 29
7.7. ROCADES TELEPHONIQUES 30
7.8. COFFRET DE BRASSAGE 30
7.9. BORNES NORMALES ET BORNES REDUITES 31
7.10. COURANT FORT ASSOCIE AU CABLAGE VDI 32
7.11. IMPLANTATION 32
8. ALARME INTRUSION 33
9. EXPRESSION DES BESOINS ELECTRICITE COURANT FORT ET FAIBLE 33
10. MATERIEL COMPLEMENTAIRE 38
10.1. BARRIERE : 38
11. REGLES D’INSTALLATION 39
11.1. CONDUITS ET FOURREAUX 39
11.2. DEPOSE – REPOSE FAUX PLAFOND 40
11.3. REPERAGE – ETIQUETAGE : 40

11.4. REGLE DE REPERAGE : 40

11.5. RECEPTION DES INSTALLATIONS : 40
12. DEPOSE DES ELEMENTS 41

1. GENERALITES
1.1. PREAMBULE :
Le projet a pour objet principal le réaménagement des ateliers « Gagnereaux » du Conseil Général de la
Côte d’Or à Dijon.
Le présent document défini l’Avant Projet (A.P) des travaux des lots techniques suivants :
Electricité courant fort
Electricité courant faible
Plomberie – Chauffage
Ventilation
Eclairage
Cette phase met en place sur les bases du programme proposé par le maître de l’ouvrage les premiers
éléments destinés à :
Permettre de réaliser une définition suffisante de l’ouvrage pour consulter les entreprises.
Définir les matériaux et les matériels et leurs caractéristiques.
Définir le coût prévisionnel des travaux par corps d’état, sur la base d’un avant métré
Définir la planification de réalisation des travaux
1.1.1 LOCALISATION DU PROJET :
Site du Conseil Général 12 rue Gagnereaux 2100 DIJON

1.2. LES ACTEURS DU PROJET
Les différents acteurs du projet en cette phase Avant Projet sont :
Maitre d’ouvrage : Conseil Général de la Côte d’Or
Architecte – Etude de la construction : Agence Patrick BIDOT 21200 Beaune
BET TECHNIQUE – Fluides et électricité : BEVM 21000 DIJON
1.3. DISPOSITION COMMUNES ET ETENDUE DES OUVRAGES A REALISER

Le présent Avant Projet concerne le réaménagement des « ateliers Gagnereaux» au niveau des fluides et
réseaux.
Les titulaires seront responsables du bon fonctionnement et de la cohérence de l’ensemble de l'installation

et ne pourra invoquer une erreur, omission ou imprécision au présent document pour justifier d'un défaut
de fourniture ou de mise en œuvre d'un appareil ou d'un organe, étant entendu que l'entreprise s'est
rendu compte des travaux à effectuer, de leur importance et de leur nature.
2. CONTRAINTES ET ENGAGEMENT
2.1. OBLIGATION DES TITULAIRES :

Les titulaires se doivent de signaler toute erreur, omission, imprécision, contradiction ou ambiguïté qu'ils
pourraient déceler dans les documents faisant partis de la présente consultation.
Toute fourniture non explicitement demandée, mais nécessaire au bon fonctionnement des installations,
aux respects des règles de l'art d'installation, est due au titre du marché.
2.2. PROPRIETE INTELLECTUELLE DU PROJET :

Le personnel de BEVM est astreint au secret professionnel.
Tous les renseignements fournis à notre personnel, tous les documents qui lui sont confiés, tous les
entretiens auxquels il prend part, sont considérés comme strictement confidentiels.
Pendant toute la durée de la prestation, le titulaire fournira à BEVM toutes les informations nécessaires à
l'exécution de la prestation.
Les documents ou informations confiés à BEVM sont la propriété du titulaire et couverts par le secret
professionnel.
BEVM s’engage à une réserve morale et une discrétion totale concernant les documents ou informations
qui lui seront remis par les titulaires, notamment en ce qui concerne les produits ou les logiciels ne figurant
pas encore au catalogue de ces derniers et qui seraient proposés en réponse.

2.3. DELAIS ET PLANNING DE REALISATION :

Le délai global d'exécution sera à déterminer à compter de la date donnée par l’ordre de service.
Les délais indiqués sur le planning prévisionnel tiendront lieu d’engagement des titulaires vis à vis de la
réalisation des travaux.
2.4. CONTRAINTES D’INTERVENTIONS :

Les interventions pourront être réalisées en locaux occupés. En conséquence, l’Entreprise devra prendre
toutes les dispositions utiles afin d’assurer la sécurité des intervenants et du personnel. Les dégagements
ainsi que les issues de secours des dégagements et des locaux devront être constamment praticables.
Aussi, l’entreprise devra tenir compte des périodes d’ouverture et de fermeture de l’établissement pour
planifier ses interventions. Cette planification établie par l’Entreprise sera proposée pour accord au chef de
projet. Ces dispositions seront réputées incluses dans l’offre de l’Entreprise.
Les travaux bruyants tels que les percements importants, carottages, … pourrons être réalisés pendant les
heures de travail. Toutefois, il est demandé au titulaire d’élaborer un planning et de la soumettre au chef
de projet.
Ces dispositions seront réputées incluses dans l’offre de l’Entreprise.
2.5. ETAT DES LIEUX :

L’entreprise est réputé avoir vu les lieux et s'être rendu compte de leur situation exacte, de l'importance et de
la nature des travaux à effectuer et de toutes les difficultés et sujétions pouvant résulter de leur exécution.
Les renseignements donnés dans le présent C.C.T.P. et dans les différents documents joints constituent des
éléments d'information qu'il appartiendra, si nécessaire, aux titulaires, de compléter sous sa responsabilité.
2.6. REUNIONS SUR SITE :

La présence du titulaire aux réunions organisées par le Maître d'Ouvrage ou son représentant sera
obligatoire.
Il sera organisé une réunion de lancement des travaux, des réunions de chantier ainsi qu’une réunion de
réception des installations.
Les dates de convocation à ces réunions obligatoires seront communiquées ultérieurement et en temps
utile par le Maître d'Ouvrage ou son représentant.
2.7. QUALITE ET ORIGINE DU MATERIEL :

Tous les éléments de l’installation devront être neufs, en parfait état de fonctionnement et conformes aux
normes en vigueur et au présent descriptif.
Ils devront être garantis par leur constructeur pour l’utilisation envisagée, livrés sur le chantier dans leurs
emballages d’origine s’ils ne font pas partie d’un assemblage préalable et/ou munis de leurs étiquettes et
accessoires d’origine.
Les éléments de l'installation devront avoir une estampille ou un certificat de qualité délivré par un
organisme officiel chaque fois qu’une telle qualification existe.

Dans le cas où il n'existe aucune norme de l’UTE concernant le matériel utilisé, celui-ci devra répondre aux
règlements ou spécifications techniques générales ou particulières correspondant à l'usage auquel il est
destiné.
Les normes européennes seront respectées. Cette disposition concerne entre autre le gros matériel et les
conducteurs.
Tout appareil ne répondant pas à ces exigences sera refusé. Le matériel indiqué au mémoire technique sera
celui installé sur site.
2.8. GARANTIE DE REALISATION ET DE FONCTIONNEMENT :

L’Entreprise garantit d'une façon formelle la parfaite réalisation des travaux faisant l'objet de la présente
spécification technique, suivant les Règles de l'Art et en tenant compte de tous les règlements et décrets en
vigueur.
L’Entreprise s'engage à remplacer, réparer ou modifier, à ses frais exclusifs, toutes les fournitures et tous les
ouvrages reconnus défectueux. La responsabilité du titulaire couvrira également, et dans les mêmes
conditions, toutes les fournitures et tous les ouvrages qu'il sous-traitera.
2.9. CONTROLES, RECETTES ET LEVEES DES RESERVES :

Après émission du rapport final des organismes de contrôle, au PV de réception du Maître d’œuvre, tous
les travaux, les visites des organismes de contrôle, les interventions du Maître d’œuvre nécessaires et
complémentaires à la levée des réserves seront à la charge du titulaire.
2.10. FRAIS D’EXECUTION :

Les démarches à effectuer auprès des différents services (Commission de Sécurité, Organisme de Contrôle,
EDF, …), les plans, contre-calques à remettre pour l’obtention du certificat de conformité et de la mise sous
tension, ainsi que tous les frais afférents, sont à la charge du titulaire du marché.
2.11. SECURITE ET PROTECTION DE LA SANTE :

Le présent chantier fait l’objet des nouvelles dispositions de sécurité et de protection de la santé,
applicables aux travaux du BTP suivant la loi n° 14.18 du 31.12.93 et du décret n° 1159 du 26.12.94.
Le titulaire devra avertir officiellement le maître d’ouvrage, le maître d’œuvre et le coordinateur SPS de
toute sous-traitance envisagée. Dans ce cas, l’entreprise sous-traitante devra établir avant son intervention
un PPSPS et sera présente aux réunions préalables.
L’absence de déclaration de sous-traitance rend l’entreprise titulaire du marché responsable de tout
accident arrivé au personnel ou provoqué par le personnel de la sous-traitance.
L’entreprise devra fournir au coordinateur SPS tous les documents nécessaires à sa mission, notamment
lors des opérations préalables à la réception.
2.12. REMISE EN ETAT, NETTOYAGE DES LOCAUX, PROTECTION DU MATERIEL:

Les déplacements de mobilier, dépose d'équipements muraux sont à la charge de l'Entreprise. Ces
différents objets seront remis à leur place d'origine après les travaux.
Le démontage, le stockage et le remontage des faux-plafonds sont à la charge de l'Entreprise.

L'Entreprise prendra toutes les précautions et mettra en œuvre tous les moyens nécessaires pour protéger
le mobilier, les revêtements de sol et les revêtements muraux ainsi que pour réduire les nuisances créées
par les travaux (passage, bruit, saleté,...).
L'Entreprise se conformera aux directives de l’établissement quant aux interventions dans des lieux
sensibles.
Nettoyage, remise en état du chantier
L'Entreprise assurera un nettoyage quotidien de son chantier. Les emballages, gravats seront régulièrement
évacués, immédiatement s'ils présentent une entrave à la circulation et à la sécurité.
A la fin des travaux, l'Entreprise réparera toutes les dégradations qu'elle a pu causer : peintures, etc.
Si elle a dégradé des équipements dont elle ne peut assurer elle-même le remplacement ou la réparation,
les travaux de remise en état seront effectués par les corps de métier compétents ou concernés aux frais,
risques et périls de l'Entreprise.
Les percements et rebouchages des murs traversés, cloisons, les démontages et remontages des faux-
plafonds, faux-planchers sont également à la charge de l'Entreprise.
Les degrés coupe-feu des rebouchages seront respectés.
2.13. GARANTIES :
L’infrastructure des éléments de parking sera couverte par une garantie minimale de 1 an après la date de
notification de réception définitive de l’installation. Cette garantie prendra en compte l’ensemble des
matériels concernés par le présent marché.
Elle comprendra :
Le remplacement de tout élément défaillant
La main d’œuvre et les déplacements
Les prestations de maintenance seront totalement couvertes pendant toute la période de garantie.
Les titulaires décriront dans leur offre les garanties supplémentaires et les prestations associées disponibles
pour tous les éléments matériels concernés, notamment pour le système de câblage proposé.
Le constructeur devra également s’engager à fournir, pendant une période de 10 ans, tous les éléments de
matériel nécessaires à la maintenance et à l’extension des systèmes proposés.
Le constructeur fournira une certification des éléments installé valable uniquement pour l’opération
2.14. DOCUMENTATIONS :
Les offres seront accompagnées d'une documentation technique détaillée en français des matériels
proposés ainsi que des certificats de conformité aux normes en vigueur.

2.15. REGLEMENTATION :
Réglementation- documents applicables
L'installation devra satisfaire à l’ensemble des normes et règlements en vigueur au moment de leur
réalisation et en particulier à ceux désignés ci-après en les complétant :
• Règlement sanitaire Départemental

• Arrêté du 25 Juin 1980, modifié par l’arrêté du 2 Février 1993, relatif au règlement de sécurité contre les
risques d’incendie et de panique dans les E.R.P
• Arrêté du 2 février 1993 modifiant et complétant certains articles du règlement de sécurité du 25 juin
1980.
• Code de l’Urbanisme
• Articles L 123-2, R 123-2 à R 123-55 et R 152-4 et R 152-5 du C.C.H.
• Prescriptions de la Commission de Sécurité
• Code du Travail
• Les DTU et leurs additifs
• La réglementation spécifique au désenfumage
• (articles DF, IT n°247, normes NF S 61-930 à 61-940, etc. …)
• Normes : NFC 14.100, NFC 73.200
• Fascicule FDS 61-949 commentaires et interprétations des Normes NFS 61-930 et suivantes.
Normes SSI :
• NFS 61-930 « systèmes concourant à la sécurité contre les risques d'incendie » de décembre 2001
• NFS 61-931 « dispositions générales» de avril 2004
• NFS 61-932 « règles d'installation» de septembre 1993
• NFS 61-933 « règles d'exploitation et de maintenance» de avril 1997
• NFS 61-934 « centralisateurs de mise en sécurité incendie (C.M.S.I.)» de mars 1991
• NFS 61-935 « unité de signalisation (U.S.)» de décembre 1990
• NFS 61-936 « équipements d'alarme (E.A.)» de juin 2004
• NFS 61-937 « dispositifs actionnés de sécurité - fiches DAS I à IX et XI à XIV» de décembre 1990
• NFS 61-937-1 « dispositifs actionnés de sécurité – Prescriptions générales» de décembre 2003
• NFS 61-937-2 « dispositifs actionnés de sécurité – Portes battantes à ferm. Auto.» de décembre 2003
• NFS 61-937-3 « Porte coulissante à fermeture automatique» de décembre 2004
• NFS 61-937-4 « Rideau et porte à dévêtissement vertical» de juin 2005
• NFS 61-938 « DCM, DCMR, DCS, DAC » de juillet 1991
• NFS 61-939 « alimentations pneumatiques de sécurité - règles de conception» de mars 1992
• NFS 61-940 « alimentations électriques de sécurité - règles de conception» de juin 2000
Normes ECS :
• NF 61962, NF-EN 54-2 relatives aux Equipements de Contrôle et de Signalisation (ECS) et organes
constitutifs d'un système de détection incendie (SDI)
• Norme EN54-3 relative aux diffuseurs sonores d’évacuation

• Norme EN54-4 relative aux systèmes de détection et d’alarme incendie – Equipement d’alimentation
électrique
• Instruction Technique n°246 relative au désenfumage dans les Etablissements Recevant du Public (ERP)
• Instruction Technique n°263 relative au désenfumage des volumes libres (atriums) dans les ERP
• Norme NFC 15-100 règles relatives aux installations électriques à basse et très basse tension.
• Règle n°7 de l’Assemblée Plénière des Sociétés d’Assurance Dommages (APSAD) relative aux règles
d’installation des Systèmes de Détection Automatique d’Incendie.
• Les exigences de la qualification d'entreprise APSAD I7/F7
Les articles MS et en particulier :
• MS58 : Obligations de l'installateur et de l'exploitant

• MS59 : Système de Mise en sécurité (SMSI) et sur l'obligation d'utiliser un Centralisateur de Mise en
Sécurité Incendie (CMSI) de type A ou Bl.
• MS61 : Définition de la diffusion de l'alarme.
• MS66 : Règles spécifiques applicables aux Equipements d'alarme de type 1 ou de type 2,
• MS68 et MS69 : Obligations d'entretien, de vérification et sur les consignes d'exploitation
• Normes NFS32-001 sur la nature du son modulé d'évacuation.
Câblage informatique :
Le système de câblage à prévoir doit être conforme, au minimum, aux normes des systèmes génériques de
câblage structurés en vigueur :
• ISO/CEI 11801 (Amend 1 & 2) : Norme internationale.
• EN 50173 (Amend 1) : Norme européenne.
• EIA/TIA-568A (Addendum 5): Norme américaine.
La conformité du système de câblage devra respecter les dispositions complémentaires suivantes et

notamment concernant les normes des installations électriques basse tension, de compatibilité
électromagnétique et de protection contre l'incendie :
• HD 608 : Spécifications génériques des câbles à paires symétriques.

• EN 187000 : Spécifications génériques des câbles à fibres optiques.
• NF C 15-100 : Installation électrique basse tension
• UTE 89336 : Directive compatibilité électromagnétique.
• EN 50081-1 : Compatibilité électromagnétique (émission).
• EN 50082-1 : Compatibilité électromagnétique (immunité).
• IEC 332, HD 405 : Propagation du feu.
• IEC 1034, HD 606 : Emission de fumée.
• IEC 754, HD 602 : Acidité et corrosivité.

Electricité Courant Fort :

Les documents concernés sont les suivants :
• D.T.U. 70.1 relatif aux installations électriques,

• norme NFC.12.101 et additif, décret du 14 Novembre 1988 relatif à la protection des travailleurs
dans les établissements qui mettent en œuvre des courants électriques et arrêté d'application,
• norme NFC.12.201 et additifs : protection contre les risques d'incendie et de panique dans les
Etablissements Recevant du Public,
• norme NFC 14.100 : installation de branchement de première catégorie,
• norme NFC 15.100 : installations électriques à basse tension,
• guide NFC 15.103 : choix des matériels électriques en fonction des influences externes,
• guide NFC 15.105 : détermination des sections des conducteurs et dispositifs de protection,
• norme NFC 20.010 : symbole de définition relatif au degré de protection du matériel électrique,
• norme NFC 20.030 et additif : matériel électrique à basse tension. Protection contre les chocs
électriques : Règles de sécurité,
• norme NFC 20.455 : essais relatifs au feu - Méthodes d'essai - Essai au fil incandescent et guides,
• norme NFC 91.100 relative à la protection de la radiodiffusion et télévision contre les troubles
parasites d'origine industrielle,
• décret 57.161 du 17 Octobre 1957 et arrêté du 4 Juin 1973 : classification des matériaux par
rapport au danger d'incendie,
• règlement de sécurité contre l'incendie, dans les Etablissements Recevant du Public.
3. ELECTRICITE COURANT FORT
3.1. ALIMENTATION GENERALE :

Le tableau général présent actuellement sur le site sera conservé. (TGBT dans le local gardien)
Il sera créé un local technique avec une armoire électrique dédiée au nouvel aménagement. (TD)
L’ensemble des nouveaux départs de l’installation partiront de celui-ci
Nous préconisons la mise en place d’un tableau dédié aux locaux ateliers
Une liaison sera créée entre le TGBT existant et le futur TD celle-ci passera par le sous sol sous
cheminement de câble
Ce tableau Général dédié aux ateliers comprendra les protections

D’éclairage
Des PC banalisées
Des PC dédiées informatique
Des PC spécifiques aux machines outils
Les courants faibles divers

3.2. DISTRIBUTION SECONDAIRE

Principes généraux
Les câbles et conducteurs issus des tableaux divisionnaires destinés à l'alimentation des appareils
d'éclairage, des petits appareillages, des prises de courant et des petites forces diverses sont de type
suivant :
U1000R2V pour les parcours apparents présentant des risques mécaniques,
Seules les installations des locaux techniques sont réalisées en apparent, dans tous les autres locaux les
câblages sont réalisés en conduits encastrés ou en chemin de câbles en faux plafond.
Les câbles basse tensions seront en conducteurs cuivre jusqu'à (et y compris) la section de 35 mm².Ils
pourront être en aluminium au-delà.
Les canalisations seront réalisées en conducteurs A05 VV-U, R ou F ou U1000 RO2V aiguillés sous
fourreaux isolants, genre ICD, IRO - APE ou ICO - APE.
Lors de la pose, les câbles seront repérés par marques distinctives avec référence aux désignations des
schémas et des carnets de câbles.
En aucun cas des conducteurs destinés à véhiculer des tensions et des sources différentes n'emprunteront
un même câble.
3.3. DISTRIBUTION ECLAIRAGE

La distribution éclairage est réalisée en câble U1000R2V posé sur chemins de câbles et/ou sous tubes IRO-
APE en montage métro à l'intérieur des faux plafonds et en encastrées pour les parties terminales.
Tous les circuits d’éclairage sont de type monophasé, ils alimentent au maximum 10 luminaires dans les
zones administratives, les zones non publiques et locaux de maintenance.
3.4. DISTRIBUTION PRISES DE COURANT

La distribution de prises de courant bureaux médecins et infirmières, s’effectue en câble U1000R2V posé sur
chemins de câbles en faux plafond.
La distribution des prises de courant ménage ou appareil s'effectue par câble de type U1000R2V encastrés en
cloison, ou goulotte.
Chaque disjoncteur monophasé différentiel du tableau alimente au maximum 8 PC.
3.5. DISTRIBUTION "AUTRES USAGES"

Les alimentations des équipements "autres usages" : sèches mains, sèches cheveux, convecteurs, etc... seront
réalisées depuis le tableau de zone en câble de la série U1000R2V posé sur chemin de câbles.
Il sera prévu un départ pour 2 équipements au maximum

3.6. DISTRIBUTION "MACHINES OUTILS"

Les alimentations des équipements "MACHINES OUTILS" : scie, hotte d’aspiration, soudure etc... seront
réalisées depuis le tableau de zone en câble de la série U1000R2V posé sur chemin de câbles.
Les câbles cheminent en sous sol et aboutissent au droit de l'équipement à alimenter.
Il sera prévu un départ par équipement.
Tableau des puissances pour la partie machines outils
N° DESIGNATION TENSIONS P (KW) U1000R2V LIMITES DE PRESTATIONS

1 SCIE A RUBAN TRI+N (380V) 2,2 5G2,5² Câble en attente, sur boite de dérivation
2 RABO FS 430 TRI+N (380V) 4,0 5G2,5² Câble en attente, sur boite de dérivation
3 MORTAISE A CHAINE TRI+N (380V) 2,0 5G2,5² Câble en attente, sur boite de dérivation
4 TOUPIE TERONNEUSE TRI+N (380V) 5,0 5G2,5² Câble en attente, sur boite de dérivation
5 TOURS TRI+N (380V) 10* 5G4² Câble en attente, sur boite de dérivation
6 COMBINE TS 150 TRI+N (380V) 8,0 5G2,5² Câble en attente, sur boite de dérivation
7 SCIE PANNEAU VERTICAL TRI+N (380V) 8,0 5G2,5² Câble en attente, sur boite de dérivation
8 GROUPE ASPIRATION TRI+N (380V) 10* 5G4² Câble en attente, sur boite de dérivation
9 SCIE A BAIN HUILE TRI+N (380V) 2,0 5G2,5² Câble en attente, sur boite de dérivation
Limites de prestations :
A la charge du lot Courants Fort :

Disjoncteurs dans l' armoire électrique :
Gamme : GV
Disjoncteur moteur : GV2 ME
Déclencheur : ME
Calibre max : 25A
Câblage jusqu'à proximité des machines outils
Raccordement sur boite de dérivation
A la charge du Maître d'Ouvrage :

Raccordement des machines depuis les boites de dérivation laissées en attente

4. ECLAIRAGE
Suite au diagnostic réalisé le 28 juin 2008 sur site, il à été constaté que l’éclairage actuel est obsolète et très
peu pratique au vu de l’utilisation des locaux. BEVM préconise un changement complet de l’ensemble des
luminaires afin de repartir sur des bases saines et aux normes actuelles.
4.1. ECLAIRAGE INTERIEUR :

Les éclairages actuellement présent sur le site seront tous déposés.
A ce stade du projet il est considéré les bases de travail suivantes :
Bureaux : traitement en faux plafond
Atelier : traitement brut sans faux plafond avec cheminement apparent
Stockage / Locaux techniques : traitement brut sans faux plafond avec cheminement apparent
Sanitaires : traitement en faux plafond
4.2. PARTIE FAUX PLAFOND : ECLAIRAGES ENCASTRES

Le soumissionnaire devra la fourniture et la pose de luminaire de type encastré « faux plafond »
Les luminaires sont positionnés suivant les plans dans les bureaux et sanitaire.
Les luminaires devront être conformes à l'article EC4 du règlement de sécurité.
A l'exception des circuits "éclairage des salles d'eau", tous les autres circuits seront protégés par des
différentiels 300mA.
Les équipements d'éclairage prévus au présent lot comprennent :

la fourniture, pose et raccordement de tous les appareils d'éclairage, des interrupteurs,
boutons-poussoirs , etc...,
l'implantation du matériel est indiquée sur les plans.
L'emplacement définitif du matériel pourra être modifié à l'exécution, sur la demande du Maître
d'Ouvrage.
L'entreprise devra tenir compte des directives données sur les plans d'implantation pour les principes
d'allumage des différents locaux (boutons poussoirs agissant sur des télérupteurs, interrupteurs simple
allumage, interrupteurs va-et-vient, etc,...).

Caractéristique proposé (Stade projet)
ENCASTRES
Encastrés 4 X 18 W - YMIR grille alu grand brillant - très basse luminance

Ballast électronique - rendement 0.66 B
Création de séparation d’éclairage pour chaque pièce indépendante et découpage en 2 zones sur les
espaces de d’une surface supérieure à 15 m2
Passage câble type 1000 R2V 3G 1,5 mm² (ou équivalent) par faux-plafond et descente dans cloisons
amovibles ou placostyl.
Fourniture et raccordement d’interrupteurs simple allumage ou va et vient
Quantitatif :
VERNISSAGE : 4 encastrés
PEINTURE : 2 encastrés
ESPACES VERTS : 4 encastrés
ATELIER ELEC : 4 encastrés
MAGAZIN : 5 encastrés
Bureau et salle de réunion du R+1 : 9 encastrés
Bureau RDC : 2 encastrés

TRAITEMENT EN LUMINAIRES ENCASTRES
4.3. PARTIES SANS FAUX PLAFOND : LUMINAIRE EN SAILLIE

Le soumissionnaire devra la fourniture et la pose de luminaire de type saillie aux caractéristiques
identiques aux éclairages encastrés.
Quantitatif :
ATELIER PLOMBERIE : 8 LUMINAIRES EN SAILLIE

DEGAGEMENT partie basse : 2 LUMINAIRES EN SAILLIE
MACON 2 LUMINAIRES EN SAILLIE

4.4. PARTIES SANS FAUX PLAFOND : LUMINAIRES TYPE INDUSTRIELS

SUSPENSIONS INDUSTRIELLES
Suspensions YTIS réflecteur en polycarbonate strié
Corps en métal laqué gris
2 lampes 42 W fluo compactes
verre de fermeture polycarbonate strié
Quantitatif :
DEBIT CORROYAGE – USINAGE : 10 suspensions

MONTAGE : 5 suspensions

4.5. ECLAIRAGES SANITAIRES ET COMPLEMENTAIRE

Pour la partie sanitaire , et dégagement sanitaire
Fourniture, pose et raccordement de hublots commandé localement depuis détecteur de présence dans
le faux plafond ;
Caractéristiques :
Description et équipement : Plafonnier avec lampe G24d-1 2x26W, boîtier et
cercle en fonte d’aluminium, réflecteur en aluminium
verrine satinée, diamètre 280 mm x ép. 122 mm
Indice de protection : IP 64/65 - IC 1 Joule(s)
Classe électrique : Classe I
Classement au feu : 960°C
Implantation : partie sanitaire suivant plan d’implantation.
4.6. LUMINAIRES ETANCHES

Pour les parties dépôt et passage,
Fourniture, pose et raccordement de luminaires étanches commandé localement depuis détecteur de

présence.
Etanches - 2 X 58 W
Ballast électronique HFS
Vasque polycarbonate
Quantitatif :
PASSAGE : 8 étanches
STOCKAGE SELECTIF : 1 étanche
DEPOT MENUISERIE : 2 étanches
LOCAL : 1 étanche
DEPOT ESPACES VERTS : 2 étanches
DEPOT MACON : 2 étanches
USINAGE – CORROYAGE 10 étanches

4.7. HUBLOT
Pour la partie visserie
Fourniture, pose et raccordement d’un hublot commandée localement par détecteur de

présence.
2 hublots PHILIPS gondola 1 x 18 W
4.8. ECLAIRAGE DE SECURITE

L’éclairage de secours existant sera déposé et remplacé par un éclairage de secours non permanent, auto
testables, de type fluorescent avec lampes témoins à LED, en bloc autonome.
Le blocs de balisage placé au-dessus des portes donnant sur l’extérieur sera avec étiquette « SORTIE » (ou)
« SORTIE DE SECOURS ». Le niveau d’éclairement sera de 45 lumens au minimum imposé.
Soit 8 blocs de secours
4.9. ECLAIRAGE DE BALISAGE :

Annulé suite à la réunion du 12 janvier : Mise en place d’une barrière pour réguler la circulation
4.10. TOITURES VEGETALISEE :
Projecteurs leds KANDJAR orientables
Sur piquet – 3 leds 1 W angle 45°
Corps en fonte d’aluminium – IP 65
5 coloris de leds au choix
Fourniture, pose et raccordement de luminaires étanches commandé par détecteur jour/nuit

5. APPAREILLAGE
Les appareillages tels que interrupteur, bouton poussoir et prise de courant seront de type normalisé 10A-
250V .
Les boutons poussoir des circulations seront équipés de voyant lumineux. Les fixations seront réalisées par
vis .
Les appareillages seront encastrés dans des boîtiers adaptés au support. La hauteur des appareillages
respectera les normes handicapées.
Les boîtiers seront positionnés de manière à éviter les ponts phoniques et la diminution du degré coupe feu
de la paroi ; Les boîtiers traversant seront interdits
Dans les pièces humides l’équipement sera constitué d’appareillage en PVC IP 55 positionné à 1.20ml du
sol.
Appareillage spécifique pour les machines outils
Nous fournir la liste de futures machines outils pour dimensionnement
5.1. TYPE D’APPAREILLAGE :

Appareillage encastré :
LEGRAND MOSAIC 45 (interrupteurs - BP - prises ménage), ARNOULD, ALOMBARD ou équivalent
Appareillage sur goulotte dans les pièces type bureaux et sur les pièces atelier électricité , plomberie,
magazin.
LEGRAND MOSAIC 45, ARNOULD, ALOMBARD ou équivalent
Appareillage en locaux techniques :
LEGRAND PLEXO, IP55 ou 57, ARNOULD, ALOMBARD ou équivalent
5.2. APPAREILLAGE MACHINE OUTILS

IMPLANTATION DES APPAREILLAGE DE COURANT FORT MACHINE A OUTIL
ALIMENTATION PAR LE SOUS SOL EN LIEN DIRECT AVEC LA MACHINE SUR CHEMINEMENT DALLE MARINE

IMPLANTATION DES PRISES BANALISEE ET PC SPECIFIQUES

6. ALARME INCENDIE
Actuellement il existe une centrale d’alarme incendie situé dans le local du poste de garde à
l’entrée.
Nous recommandons le changement de la centrale (stade avant projet).
Les détecteurs incendie seront positionnés dans les locaux techniques et à risques
Etage 1, non concerné pas des locaux à risques
L’installation prévue constitue un système de sécurité incendie de catégorie A.
A ce titre elle aura pour fonctions essentielles :
⋅ Le déclenchement manuel de l’alarme en cas d’incendie

⋅ La mise en sécurité de l’établissement comportant :
♦ la diffusion du signal d’alarme auprès des personnes concernées
♦ la diffusion sonore du signal d’évacuation des occupants
6.1. PRINCIPE DE L’INSTALLATION

L’établissement sera protégé sur 1 zone.
Le système de sécurité incendie sera constitué d’un système de mise en sécurité incendie :

⋅ un réseau de déclencheurs manuels regroupés en zones de détection

⋅ un centralisateur de mise en sécurité incendie implanté dans le bureau directeur constitué :
• d’une unité de signalisation
• d’une unité de commande manuelle centralisée
• d’une unité de gestion d’alarmes
6.2. CABLAGE DU SDI

Le système proposé autorisera indifféremment un câblage des lignes principales en boucle ou en ligne
ouverte, à partir des mêmes modules de gestion.
Les lignes de détection seront réalisées en câble de section minimale 8/10eme avec écran.
Les liaisons des éléments déportés (tableau(x) d’exploitation, d’alarme restreinte, coffret de contrôle
alimentation, etc..) seront obligatoirement redondantes et réalisées en câble de catégorie CR1 C1 au sens
de la norme NFC 32 070.
Chaque ligne de détection disposera d’une réserve d’au moins 10% en point de détection supplémentaire.
Les connexions aux bornes de tous les équipements seront exécutées après repérage, proprement et
solidement.
Les conducteurs seront tous repérés à l’intérieur des équipements centraux par des étiquettes numérotées
solidement assujetties (papier adhésif interdit).
Le câblage devra respecter les données du constructeur et les normes en vigueur (en particulier la norme
NFC 15-100 et la NFS 61-932).
6.3. DETECTEURS
Les détecteurs automatiques d'incendie seront de type ponctuels, identifiables individuellement et
constitués :
D'un socle permettant sa fixation mécanique et le raccordement des câbles par bornes autoblocantes
sans vis et une possibilité de blocage mécanique évitant l'extraction malveillante du capteur.
D'un capteur adapté aux phénomènes à détecter, fixé au socle par verrouillage baïonnette résistant
aux vibrations. Il comporte un élément électronique hermétiquement scellé interchangeable par
simple embrochage, un voyant lumineux clignotant de signalisation de fonctionnement visible de
tous cotés.
Les divers types de capteurs devront être interchangeables dans les socles sans modification de
l'installation.
Chaque détecteur sera obligatoirement équipé d’un isolateur de ligne : cette solution garantit le
fonctionnement de la totalité de l’installation de détection en cas de défaut d’un tronçon de câble ou
d’un détecteur, à l’exception du seul détecteur en défaut.
Ils seront certifiés selon les normes NF S 61-950 et S 61-962, à ce titre, estampillés NF-MIC et seront
conforme au MS57
Ils devront répondre aux conditions d'exploitation suivantes :

Température ambiante: - 25°C ...+70°C,

Humidité relative maximum admissible: 95% sans condensation,
Mode de protection selon CEI: IP 43, Compatibilité électromagnétique élevée (résistance à des
champs de 50V/m)
Auto-test automatique
6.4. DETECTEURS OPTIQUES DE FUMES

La priorité sera donnée aux détecteurs de type optique de fumée large spectre.
Locaux à risque courants
Les détecteurs des locaux à risques courants seront de type FDO221/FDB de la gamme C-line SINTESO de
SIEMENS ou techniquement équivalent, avec traitement des signaux par algorithmes de détection.
Locaux à risques importants (atelier bois + vernissage)
Pour les locaux à risques importants, ou à atmosphère polluée ils seront de type FDO241/FDB de la gamme
S-line SINTESO de SIEMENS ou techniquement équivalent, équipés du Système d’Analyse Avancé de signal
ASA, permettant de configurer le capteur en fonction des phénomènes d’incendie à détecter et des
influences environnementales.
Les détecteurs devront fonctionner selon le principe de diffusion de lumière avec un capteur. La structure
de la chambre de mesure optoélectronique devra isoler des phénomènes parasites, mais détecter les
particules de fumée blanche et noire de manière optimale.
Les détecteurs optiques de fumée devront être capable de détecter un large spectre de fumée répondant
aux foyers TF1, et TF3 à TF5 de la norme EN 54-7 grâce à un système original de mesure optoélectronique
avec capteur hautement performant.
A noter également que le contrôle des détecteurs devra se faire sans aérosol, seule sera admise la perche
optoélectronique qui reste une solution saine pour l’environnement.
Pour les mêmes raisons de respect de l’environnement (label HQE : Haute Qualité Environnementale), les
détecteurs devront avoir une conception écologique, utiliser des matériaux recyclables, et ne pas posséder
de radioéléments artificiels.
6.5. DECLENCHEURS
Les déclencheurs manuels seront associés au tableau de signalisation et seront installés à 1.10m au-
dessus du sol, à chaque niveau, à proximité de chaque issue.
Ils seront constitués d’un boîtier de couleur rouge en matière plastique, comportant un
contact à fermeture commandé par une pression sur le bouton avec volet de protection. Le
contact devra rester maintenu jusqu’à la remise en forme de la membrane déformée par un
outil spécialisé.
Une diode électroluminescente permettra de signaler l’état d’alarme du boîtier.

6.6. SIRENE
Sirène d’alarme en environnement sonore normal
Leurs principales caractéristiques seront les suivantes :

Son émis conforme à la norme NF S32.001
Puissance acoustique 90 dB à 2m
Classe A
Indice de protection IP 33
Alarme Visuelle (FLASH) (positionné dans les ateliers bois )

Fonctionnement continu
Feu flash 2,5 et 5 Joules. Éclair de haute intensité
Visibilité : 360 degrés
Base d encastrement en option
Robuste, fiable, installation aisée
Base blanche ou rouge ABS non propagateur de flammes

7. CABLAGE INFORMATIQUE
7.1. SYNOPTIQUE DE L’INSTALLATION :
Concentration informatique – liaison existante
Un coffret informatique de type 15U 600*600 sera positionné dans le local technique. Il accueillera la
distribution du câblage informatique banalisé. Ce câblage sera de type catégorie 6 conformément à la
charte du Conseil Général
Infrastructure :
Une liaison fibre optique sera reprise sur le coffret existant sur les locaux de « Côte d’Or Tourisme » au
sous sol.
Structure proposée
Liaison fibre optique 6 brins multimodes 50/125

Câble cuivre 32 paires entre les deux concentrations
Soit :
Local technique atelier
Locaux Côte d’Or tourisme

7.2. LE CABLE A PAIRES TORSADEES CUIVRE:

La distribution terminale vers les postes de travail s'effectue par un câble de catégorie 6A, à paires
torsadées cuivre de type U/FTP. L'extrémité des câbles est raccordée directement sur les prises. Leur
longueur, amorce comprise ne doit pas dépasser 90 m.
Le câble 4 paires sera disposé selon une topologie en étoile du répartiteur aux prises terminales. Les câbles
sont des câbles simples 1x4 paires de Catégorie 6A - 100 Ohms munis d’une gaine à faible propagation de
la flamme (LSZH).
La performance de résistance au feu et à l’émission d’halogène doit être conforme à la norme IEC 60332-1
au minimum.
Les câbles proposés doivent être munis d’un certificat de laboratoire indépendant attestant la conformité
aux performances de catégorie 6A (3P, Delta Testing…). Les câbles disposent d’un marquage métrique
apposé sur la gaine.
Précision sur la mise en œuvre :

Lors de l’installation, le raccordement des câbles aux connecteurs RJ45 doit être effectué avec soin : pour
tout câble, la gaine est maintenue jusqu'au plus près de la prise ou du panneau sur lequel il doit être
raccordé et le pas de torsade est conservé au plus près du point de raccordement.
7.3. LES PRISES RJ45 :

La prise doit être de type RJ 45 en conformité avec la norme IEC 60603-7-5. Ses performances doivent être
conformes à la catégorie 6A, selon le draft 6 de la norme ANSI/EIA/TIA 568 B.2-10.
La prise RJ45 est blindée et doit permettre un raccordement de l'écran sur la plus grande surface possible
idéalement 360°. La convention de câblage EIA/TIA 568 B sera appliquée.
Les connecteurs installés côté poste de travail disposent d’un volet de protection.
La prise doit s’adapter sur un matériel de connexion standard (Mosaic 45x45, plinthe, perche). La
dimension de la prise permet d’installer 2 RJ45 par plastron de dimension 45mm x 45mm.
7.4. LES BANDEAUX DE BRASSAGE :

Les bandeaux de brassage doivent présenter des caractéristiques conformes à la catégorie 6A. La taille des
panneaux est de 19 pouces pour intégration dans la baie et de dimension 1U en hauteur. Ils sont
modulaires, vides, conçus pour recevoir 16 ou 24 ports RJ 45.
Les connecteurs frontaux sont de style RJ45, ils sont conformes à la norme ISO/IEC 8877 et au draft 6 de
l’EIA/TIA 568B.2-10. Les connexions proposées doivent respecter la convention de câblage IA/TIA 568 B.
Le panneau de brassage présentera un point de connexion des masses et des écrans de terre. Ces points
seront raccordés à la terre.
Le panneau de brassage devra être associé à un guide câble horizontal avec anneaux de maintien
permettant le passage des cordons de brassage cuivre RJ45 en face avant. Il devra être fait attention que
les étiquettes de repérage des prises RJ45 ne soit pas masquée après la pose des cordons de brassage.

7.5. CORDONS DE BRASSAGE - UTILISATEURS :

Les cordons de brassage et de points d’accès devront être de type U/FTP 100 ohms et du même
constructeur que les câbles cuivre de distribution afin de certifier la chaîne de liaison.
Une prise RJ45 9 plots (8 plots + écran) sera équipée à chaque extrémité des cordons.
Ces cordons devront être disponibles dans des longueurs de 0,5 m, 1 m, 2 m, 3 m et 5 m.
La gaine extérieure est conforme à la norme IEC 60332-1 relatif à la faible propagation de la
flamme.
Ils devront pouvoir être équipé de bagues de couleur pour en faciliter l'identification
7.6. ROCADE OPTIQUE :

Dans tous les cas (quelque soit la distance), pour des cheminements fortement perturbés ou si cela est
stipulé dans le présent document, la fibre optique sera utilisée comme rocade informatique. Le lien optique
est réalisé à l’aide d’une fibre multimode 6 brins à structure serrée et gradient d’indice.
La bande passante de cette liaison fibre optique doit être conforme aux prescriptions de l’ISO 11801 éd. 2
pour la fibre OM3 dans le cadre d’applications à 10 Gigabit/s (IEEE 802.3ae) : les liens optiques devront
répondre aux exigences de la classeOF300 (ISO 11801 éd.2).
Ses caractéristiques sont les suivantes :

Diamètre de cœur de 50 /125 μm,
gaine extérieure sans halogène conforme à la norme NFC 32062/C2 - CEI332-1
protection contre l’humidité,
protection anti-rongeur par structure non métallique (fibre de verre par exemple) pour les liens
extérieurs, renfort de traction pour tirage et utilisation en vertical,
Tiroirs optiques
Les tiroirs optiques devront être conçus pour réaliser l'épanouissement, le raccordement et le brassage des
fibres optiques. Ils devront s'adapter sur des baies 19 pouces et seront montés sur glissière permettant un
accès et une mise en œuvre particulièrement aisée.
La face avant devra pouvoir accueillir 6/12/24 connecteurs optiques (en fonction du nombre de fibres)
pour une hauteur de 1U et sera réglable en profondeur.
Les traversées optiques à retenir pour la connexion des fibres devront être conformes aux prescriptions des
composants de la classe d'application optique multimode : connecteur SC.
Chaque tiroir optique devra être associé au-dessus avec un bandeau 19 pouces guide câble permettant le
passage des cordons de brassage optique.
Les cordons de raccordement optiques doivent être munis des connecteurs appropriés. Ils utilisent du câble
optique double ou simple contenant de la fibre dotée d’un revêtement résistant et d’une deuxième
enveloppe LSZH. Les cordons devront être réalisés à partir de fibre optique OM3.

7.7. ROCADES TELEPHONIQUES

Les câbles sont du même type que ceux utilisés pour la distribution terminale ou de type SYT. Ils sont à
gaine LSZH et composés de 32 paires torsadées en cuivre.
Spécifications électriques du câble de type SYT : Impédance : 100 Ohms +/-15% de 1 à 16 MHz,
La connexion des câbles de rocade sera réalisée au sein des répartiteurs et sous répartiteurs, schéma de
câblage droit et conformément aux recommandations du constructeur. La rocade téléphonique sera
adaptée en nombre de paires pour un usage de la totalité du bâtiment.
Traitement des ressources coté baie de brassage :

Mise en place de panneau de ressource téléphone RJ45 16,32 ou 50 connecteurs sur 1U – fil contact 4/5
Traitement des ressources téléphoniques côté Autocom

Pour les systèmes téléphoniques ne possédant pas nativement de connexion de type RJ45, le choix des
équipements de connexion à installer pour le câblage des ressources téléphoniques dépendra du nombre
de ligne de postes à distribuer :
Moins de 48 lignes de postes : raccordement direct de l'autocommutateur sur des bandeaux RJ45
dédiés aux ressources téléphoniques. Chaque type de joncteur téléphonique (analogique,
numérique, RNIS, …) devra être raccordé sur une zone équipée d’un bandeau RJ45 dédié et repéré.
Plus de 48 lignes de postes : mise en place d’un répartiteur téléphonique standard sur fermes
autoporteuses équipées de modules autodénudants 8 paires à coupures (modules CAD).
7.8. COFFRET DE BRASSAGE
Coffret de brassage 19", 600x500 mm de 15U , composée de 2 montants avant 19’’ et de 2 montants
arrière 19’’ avec éléments de fixation au format 19" et équipé d’un ensemble d’anneaux de guidage vertical
pour les cordons de brassage.
porte avant transparente fermant à clé.

Des plateaux de grande profondeur avec points de fixation à l’avant et à l’arrière pour le support
d'équipements non rackables.
1 ensemble de 8 prises 220v 2 P+T par baie, pour l’alimentation des éléments actifs. Ces prises
seront fixées sur les montants 19" en horizontal ou en vertical en fonction des souhaits du maître
d’ouvrage. Chaque bandeau de 8 prises 220 V 2P+T est alimentée par un circuit qui lui est propre.
Ce circuit est protégé par un disjoncteur différentiel 16A/30mASI à mettre en place dans le tableau
divisionnaire.
Des bandeaux de brassage catégorie 6A U/FTP de capacité 16 ou 24 ports 1U.
Tiroir optique 6/12 ports
Panneau téléphone 16,32 ou 50 ports sur 1U
Des panneaux passe cordons 1U équipés de lyres pour le guidage horizontal des cordons
Le coffret sera relié à la terre.

7.9. BORNES NORMALES ET BORNES REDUITES

Composition
BN 3RJ45 + 3 PC 2P+T détrompées
BR 3RJ45 + 3 PC 2P+T détrompées
IMPLANTATION DES PRISES BANALISEES RJ 45

7.10. COURANT FORT ASSOCIE AU CABLAGE VDI

Prévoir 1 disjoncteur 30 mSI pour 9 PC maximum
Disjoncteur à positionner dans tableau dans local technique et identifier clairement.
7.11. IMPLANTATION
Désignation BN BR
Local technique - 1
Magasin 1 1
Atelier plomberie - 2
Atelier electricité 1 -
Atelier macon - 1
Dégagement - 1
Espace vert 1 -
Montage 1 1
Peinture 1 -
Dépôt menuiserie - 1
Debit corroyage 1 1
Usinage 1 1

Vernissage 1 -
Bureau RDC à côté local technique 1 -
Total 9 10
8. ALARME INTRUSION
Mise en place d’une alarme intrusion dans les locaux (détecteur volumétrique)
L’entreprise devra la fourniture, la pose et le raccordement d’un système d’alarme intrusion

filaire.
La configuration du système d’alarme intrusion sera à la charge de l’entreprise : reconnaissance

des éléments entre eux, temporisation d’entrée et de sortie…
Les détecteurs à installer seront de types volumétriques.
Le clavier à codes d’activation/désactivation sera positionné vers la porte d’entrée, côté

dégagement ( côté locaux espace vert / maçonnerie)
9. EXPRESSION DES BESOINS ELECTRICITE COURANT FORT ET FAIBLE

Local technique 1
A PREVOIR
Electricité 3 Prises PC 2P+T banalisée

Interrupteur
Eclairage étanche
Traitement du hors gel par
convecteur électrique
Incendie A créer
Informatique A créer 1 BR
Bureau (10,73 m2)
A PREVOIR

Interrupteur
Eclairageencastré
Informatique A créer 1 BN
Atelier Plomberie
A PREVOIR

5 éclairages
2 Interrupteurs éclairages
Incendie A créer
Informatique A créer 2 BR
MAGASIN
A PREVOIR

1 Interrupteur éclairage
Eclairage
Incendie A créer
Informatique A créer 1 BN+1BR

SANITAIRE RDC
A PREVOIR
Electricité 1 Interrupteur éclairage à détection

Eclairage hublot
Incendie -
Autres Sèche main
ATELIER ELECTRICITE
A PREVOIR
Electricité 1 Interrupteur éclairage

12 prises banalisées ( sur goulotte en plan de
travail avec protection spécifique)
Incendie A créer
Informatique 1 BN
Autres tableautin
ATELIER MACON
A PREVOIR

6 prises banalisées
Incendie A créer
Informatique 1 BR
DEGAGEMENT
A PREVOIR

Incendie Bris de glace
Informatique 1 BR

ESPACE VERT
A PREVOIR
Electricité 1 Interrupteur +éclairage

Incendie -
Informatique 1 BN
PEINTURE
A PREVOIR

Incendie A créer
Informatique 1 BN
MONTAGE
A PREVOIR

Incendie 1 détecteur
Informatique 1 BN+ 1BR
Electricité dédiée 1 machine outil + protection spécifique
VERNISSAGE
A PREVOIR

Informatique 1 BN

USINAGE
A PREVOIR
Electricité 2 Interrupteurs +éclairage

Incendie 2 détecteurs
Electricité dédiée 3 machines outils + protections spécifiques
Alimentation Alimentation + protections machines

+extraction des poussières
DEBIT CORROYAGE
A PREVOIR
Electricité 2 Interrupteurs +éclairage

Electricité dédiée 2 machines outils + protections spécifiques
Alimentation Alimentation + protection machine extraction

des poussières
DEPOT MENUISERIE
A PREVOIR

Informatique 1BR

DEPOT ESPACE VERT
A PREVOIR

Informatique 1BR
DEPOT MACONNERIE
A PREVOIR

Informatique 1BR
10. MATERIEL COMPLEMENTAIRE
10.1. BARRIERE :
L'entreprise devra la fourniture et la pose d’une barrière motorisée à l’entrée du nouvel aménagement.
Une carrosserie robuste en acier 20/10° minimum résistant aux intempéries et aux tentatives de
vandalisme et peinture de finition cuite au four, couleur à préciser ;
Lisse de barrière droite, rouge et blanc, de 3m avec verrouillage électromagnétique ;
Manœuvre manuelle de secours ;
Les lisses seront équipées d'un système permettant de les "dégonder" du type « vis plastiques » ou
tout système facilement remplacé si endommagé, et d'un système d'alarme reportée sur le poste
d’exploitation déporté (détection de dégondage).
Vitesse d’ouverture ou fermeture inférieure à 4 secondes ;
Couleur standard, à préciser par l’entreprise ;
Système d’ouverture fermeture par télécommande (émetteur / récepteur )

Lot de 5 télécommandes à fournir.

11. REGLES D’INSTALLATION
Les travaux objet du présent document doivent être réalisés en tenant compte des cheminements prévus
pour les courants forts existants ou à réaliser. Pour ce faire, l'entrepreneur prendra toutes les précautions
nécessaires afin que les règles de cheminement soient respectées.
En cas de passage obligé par une goulotte ou une gaine (passage en partie visible), on prévoira une section
supérieure de 30 % à celle du chemin de câble correspondant. Dans le cas où le chemin de câble serait à
moins de deux mètres du sol, l'entreprise prévoira les dispositions de sécurité concernant les parties
saillantes.
Leur fixation sera latérale, sur un seul côté, afin de laisser un accès latéral pour la pose et dépose des
câbles. Les changements de plans ou les virages s'effectuent au moyen des raccordements spéciaux, fournis
par le fabricant.
A la sortie des chemins de câbles, les câbles ou conducteurs doivent reposer sur des parties métalliques ne
présentant pas d'arêtes vives et être fixés au chemin de câble. Les extrémités des chemins de câbles sont
donc repliées afin de présenter une surface arrondie, sont équipés de raccords convexes ou d’éléments de
protection (boudin, caoutchouc fendu autocollant par exemple).
Les chemins de câbles peuvent être horizontaux ou verticaux. Dans les deux cas, les câbles sont fixés par
attaches velcro ou colliers « juste glissants ».
Rappel : Les traversées de dalles et de murs coupe-feu étanches seront rebouchées par plâtre ou protégées
par caoutchouc au silicone, ou sachets thermo-expansifs.
Il est possible d'utiliser, tant pour les courants faibles que pour les courants forts, des chemins de câble
existants à condition qu'ils respectent les règles ci dessus.
11.1. CONDUITS ET FOURREAUX

La distribution entre le chemin de câbles et la prise terminale se fera sous fourreaux annelés.
Lors du cheminement non apparent de moins de 5 câbles, l’utilisation de conduits PVC rigide sera
autorisée. Ces conduits seront fixés à intervalle régulier à la structure (et non sur les primaires des faux
plafonds). Le conduit acier ne sera utilisé qu’en cas de besoin (passages exposés à des perturbations)
Rappel : L’utilisation de fourreaux est faite systématiquement pour chaque traversée de parois

11.2. DEPOSE – REPOSE FAUX PLAFOND

Le titulaire doit prévoir toutes les sujétions pour la dépose et la repose des faux plafonds et les sujétions s’y
rapportant :
consolidation des réseaux existants en faux plafonds

éclairage provisoire
dépose repose de tous les équipements électriques rendues nécessaires par la dépose repose des
faux plafonds.
A cet effet, un état des lieux, devra être établi lors de la réunion de lancement des travaux afin de constater
l'état des plafonds existants. Cet état des lieux sera nécessaire pour établir la responsabilité de l'installateur
sur les dégradations éventuelles.
11.3. REPERAGE – ETIQUETAGE :

Les étiquettes de marquage devront être :
Lisibles, Indécollables et ineffaçables

Visibles sans manipulation de l’objet repéré
Durables dans le temps
11.4. REGLE DE REPERAGE :

Une étiquette dilophane gravée sera placée sur l’arrivée de distribution indiquant l’origine et les numéros
de la première à la dernière caméra.
11.5. RECEPTION DES INSTALLATIONS :

La réception des installations a pour but d’évaluer la conformité des installations, avec les spécifications
techniques, à l'égard des règles de l’art et aux normes en vigueur. Cette prestation sera à réaliser avec le
Maître d'Ouvrage ou son représentant et fera l'office d'une fiche de réception de l'installation.
Les points suivants seront contrôlés :
La conformité architecturale de l'installation.

La conformité des locaux techniques.
La conformité de l'implantation des concentration et superviseur.
Les quantitatifs livrés et installés.
Le repérage et étiquetage de l'installation.
La pose des câbles
Les cheminements des supports, leurs dimensionnements et fixations.
L'alimentation électrique des éléments
La conformité du dossier des ouvrages exécutés.

L’entreprise doit remettre impérativement au Maître d’Ouvrage 3 ou 4 exemplaires du dossier des

ouvrages exécutés DOE :
Deux exemplaires pour le Maître d’ouvrage

Un pour la direction du patrimoine immobilier (support papier et informatique)
Un exemplaire pour le maître d’œuvre, (support informatique).
12. DEPOSE DES ELEMENTS

Avant de commencer les travaux, l’entreprise devra prendre connaissance du Plan Départemental de Gestion
des Déchets, pour repérer les filières d’élimination et de valorisation.
Un système de tri facilitera l’évacuation vers les filières appropriées.
L’entreprise décrira de manière concrète le procédé d’évacuation et d’élimination des déchets qu’elle
souhaite mettre en œuvre.

Maître d’ouvrage
Conseil Général de la Côte d’Or

Service Patrimoine
1 rue Joseph TISSOT
21000 DIJON
Budget Courant Fort et Faible
REAMENAGEMENT DES ATELIERS DU PARKING GAGNEREAUX
contact@bevm.fr
Affaire suivie par :

Olivier VERGNIAUD
03.80.680.680

13. BUDGET AVANT PROJET

Courant Fort
Désignation Quantité Prix unitaire Prix total
TGBT 1 500,00 € 500,00 €
Armoire atelier 1 1 3 000,00 € 3 000,00 €
Alimentation machines 8 500,00 € 4 000,00 €
Canalis Force 1 350,00 € 350,00 €
Canalis Eclairage 1 250,00 € 250,00 €
CDC 500 1 300,00 € 300,00 €
CDC 300 1 200,00 € 200,00 €
Luminaires encastrés 28 190,00 € 5 320,00 €
Luminaires apparent 12 190,00 € 2 280,00 €
Suspensions industriels 15 250,00 € 3 750,00 €
Eclairage sanitaires 1 1 500,00 € 1 500,00 €
Luminaire étanche 26 150,00 € 3 900,00 €
Bloc secours 1 1 500,00 € 1 500,00 €
Poste de travail banalisé 30 100,00 € 3 000,00 €
Poste de travail spécifique 30 150,00 € 4 500,00 €
Divers 1 500,00 € 500,00 €
Courant Faible
Désignation Quantité Prix unitaire Prix total
BN 9 300,00 € 2 700,00 €
BR 10 250,00 € 2 500,00 €
fibre optique + rocade 1 1 500,00 € 1 500,00 €
coffret 1 1 000,00 € 1 000,00 €
goulotte 50 25,00 € 1 250,00 €
CDC 300 90 20,00 € 1 800,00 €
Incendie 1 2000,00 € 2 000,00 €
Alarme 1 1 500,00 € 1 500,00 €
Total 49 100 euros HT
Complément demandé le 12 janvier 2009
Barrière avec télécommandes 5000,00 euros HT


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Maître d’ouvrage

Conseil Général de la Côte d’Or

REAMENAGEMENT DES ATELIERS DU PARKING GAGNEREAUX

Affaire suivie par :

Table des matières

Ce document est la propriété intellectuelle exclusive de BEVM, toutes [2]

4.6. LUMINAIRES ETANCHES 19

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11.4. REGLE DE REPERAGE : 40

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1.1.1 LOCALISATION DU PROJET :

Site du Conseil Général 12 rue Gagnereaux 2100 DIJON

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1.2. LES ACTEURS DU PROJET

Les différents acteurs du projet en cette phase Avant Projet sont :

Maitre d’ouvrage : Conseil Général de la Côte d’Or

Architecte – Etude de la construction : Agence Patrick BIDOT 21200 Beaune

BET TECHNIQUE – Fluides et électricité : BEVM 21000 DIJON

1.3. DISPOSITION COMMUNES ET ETENDUE DES OUVRAGES A REALISER

Les titulaires seront responsables du bon fonctionnement et de la cohérence de l’ensemble de l'installation

2.1. OBLIGATION DES TITULAIRES :

2.2. PROPRIETE INTELLECTUELLE DU PROJET :

Ce document est la propriété intellectuelle exclusive de BEVM, toutes [6]

2.3. DELAIS ET PLANNING DE REALISATION :

2.4. CONTRAINTES D’INTERVENTIONS :

2.5. ETAT DES LIEUX :

2.6. REUNIONS SUR SITE :

2.7. QUALITE ET ORIGINE DU MATERIEL :

Ce document est la propriété intellectuelle exclusive de BEVM, toutes [7]

2.8. GARANTIE DE REALISATION ET DE FONCTIONNEMENT :

2.9. CONTROLES, RECETTES ET LEVEES DES RESERVES :

2.10. FRAIS D’EXECUTION :

2.11. SECURITE ET PROTECTION DE LA SANTE :

2.12. REMISE EN ETAT, NETTOYAGE DES LOCAUX, PROTECTION DU MATERIEL:

Le démontage, le stockage et le remontage des faux-plafonds sont à la charge de l'Entreprise.

Ce document est la propriété intellectuelle exclusive de BEVM, toutes [8]

Nettoyage, remise en état du chantier

Les degrés coupe-feu des rebouchages seront respectés.

Ce document est la propriété intellectuelle exclusive de BEVM, toutes [9]

• Règlement sanitaire Départemental

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Les articles MS et en particulier :

• MS58 : Obligations de l'installateur et de l'exploitant

La conformité du système de câblage devra respecter les dispositions complémentaires suivantes et

• HD 608 : Spécifications génériques des câbles à paires symétriques.

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Electricité Courant Fort :

• D.T.U. 70.1 relatif aux installations électriques,

3. ELECTRICITE COURANT FORT

3.1. ALIMENTATION GENERALE :

L’ensemble des nouveaux départs de l’installation partiront de celui-ci

Ce tableau Général dédié aux ateliers comprendra les protections

Ce document est la propriété intellectuelle exclusive de BEVM, toutes [12]

3.2. DISTRIBUTION SECONDAIRE

U1000R2V pour les parcours apparents présentant des risques mécaniques,

3.3. DISTRIBUTION ECLAIRAGE

3.4. DISTRIBUTION PRISES DE COURANT

3.5. DISTRIBUTION "AUTRES USAGES"

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3.6. DISTRIBUTION "MACHINES OUTILS"

Tableau des puissances pour la partie machines outils

N° DESIGNATION TENSIONS P (KW) U1000R2V LIMITES DE PRESTATIONS

A la charge du lot Courants Fort :

A la charge du Maître d'Ouvrage :