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Mise en scène
Ivo van Hove
Avec Christophe Montenez Oreste
ÉLECTRE / ORESTE Claude Mathieu le Coryphée Rebecca Marder Hermione
d’Euripide Cécile Brune le Chœur Gaël Kamilindi Apollon
Sylvia Bergé le Chœur et les comédiens de l’académie de
Éric Génovèse un esclave phrygien la Comédie-Française
Mise en scène Peio Berterretche Égisthe
Bruno Raffaelli un vieil homme
Ivo van Hove mycénien Pauline Chabrol, Olivier Lugo,
Noémie Pasteger, Léa Schweitzer
27 avril > 3 juillet 2019 Denis Podalydès Ménélas
le Chœur
durée 2h10 sans entracte Elsa Lepoivre Clytemnestre
et Hélène et percussions
Trio Xenakis : Adélaïde Ferrière*,
Julie Sicard le Chœur Emmanuel Jacquet*,
Loïc Corbery Pylade Rodolphe Théry*
Traduction Assistanat aux lumières Suliane Brahim Électre Othman Louati*, Romain
Marie Delcourt-Curvers François Thouret Maisonnasse*, Benoît Maurin*
Benjamin Lavernhe un laboureur
Assistanat au son mycénien * en alternance
Version scénique
Bart Van den Eynde Pierre Routin Didier Sandre Tyndare
et Ivo van Hove Assistanat au travail chorégraphique
Scénographie et lumières Laura Aris Réalisation des maquillages Claire Cohen et Annick Dufraux
Jan Versweyveld Traduction française parue aux Éditions Gallimard dans la collection « Folio théâtre »
Costumes En partenariat avec le Festival d’Athènes et d’Épidaure
An D’Huys
Musique originale AU CINÉMA - PATHÉ LIVE
et concept sonore Spectacle diffusé en direct dans plus de 300 salles de cinéma en France
Eric Sleichim
et à l’étranger
Travail chorégraphique Jeudi 23 mai 2019 à 20h15
Wim Vandekeybus
Reprises au cinéma le 16 juin à 17h, les 17 et 18 juin à 20h
Dramaturgie
Bart Van den Eynde TOURNÉE INTERNATIONALE
Assistanat à la mise en scène Théâtre antique d’Épidaure
Laurent Delvert 26 et 27 juillet 2019
Assistanat à la scénographie
Roel Van Berckelaer La Comédie-Française remercie M.A.C COSMETICS I
Champagne Barons de Rothschild I Baron Philippe
Assistanat aux costumes Le décor et les costumes ont été réalisés dans de Rothschild SA
Sylvie Lombart les ateliers de la Comédie-Française Réalisation du programme L’avant-scène théâtre
LA TROUPE
les comédiens de la Troupe présents dans le spectacle sont indiqués par la cocarde
SOCIÉTAIRES
Claude Mathieu Martine Chevallier Véronique Vella Laurent Natrella Michel Vuillermoz Elsa Lepoivre Christian Gonon
Thierry Hancisse Anne Kessler Cécile Brune Sylvia Bergé Julie Sicard Loïc Corbery Serge Bagdassarian Hervé Pierre
Éric Génovèse Bruno Raffaelli Alain Lenglet Florence Viala Bakary Sangaré Pierre Louis-Calixte Christian Hecq Nicolas Lormeau
Coraly Zahonero Denis Podalydès Alexandre Pavloff Françoise Gillard Gilles David Stéphane Varupenne Suliane Brahim Adeline d’Hermy
Georgia Scalliet Jérémy Lopez Clément Hervieu-Léger Benjamin Lavernhe Gaël Kamilindi Yoann Gasiorowski Jean Chevalier Élise Lhomeau
PENSIONNAIRES COMÉDIENS
DE L’ACADÉMIE
Sébastien Pouderoux Nâzim Boudjenah Danièle Lebrun Birane Ba Peio Berterretche Pauline Chabrol
Jennifer Decker Elliot Jenicot Laurent Lafitte Noam Morgensztern Thomas Keller Olivier Lugo Noémie Pasteger Léa Schweitzer
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des juxtapositions de trois textes de radicalisation est le problème
RENCONTRE AVEC de Shakespeare). Cela permet
d’aborder avec plus de complexité
central de la mise en scène
d’Électre / Oreste. La fin des
L’ÉQUIPE ARTISTIQUE l’univers d’un auteur et de proposer
un reflet encore plus percutant
Damnés est le point de départ
d’Électre / Oreste.
de notre société. Électre et Oreste B. V. d. E. Dans Les Damnés,
Laurent Muhleisen. Vous signez exil dans le luxe, dans le palais montrent comment, dans la tête Visconti dénonce un système
une adaptation de deux pièces d’un roi. Néanmoins, lui aussi des personnages, le salut n’est de violence qui anéantit tout sur
d’Euripide. Pourquoi, des trois se sent mal traité. Les points accessible qu’en choisissant le son passage en montrant la sou-
tragiques grecs ayant abordé de départ du frère et de la sœur chemin de la violence radicale. mission et la destruction de l’en-
l’histoire des Atrides, avoir divergent mais leur but reste Réunir ces deux textes en une semble des sphères sociétales
choisi cet auteur en particulier ? le même : la vengeance. Pour moi, pièce, c’est accélérer ce proces- engendrées par des forces
Ivo van Hove. Les pièces il s’agit là d’une histoire d’au- sus, animé par une rage et une politiques. C’est une analyse
d’Euripide sont d’une brutalité jourd’hui. férocité extrêmes, et montrer structurelle et radicale d’une plus
et d’un réalisme presque contem- Bart Van den Eynde. Nous avions comment s’opère la radicalisation. large dégradation : celle du libéra-
porains. Les sujets qu’il aborde, déjà pensé, dans un autre lisme. Les pièces d’Euripide ne
les histoires qu’il raconte sont contexte, à mettre en scène L. M. C’est votre deuxième spec- se focalisent pas sur ceux qui sont
très connus, mais il le fait d’une l’Électre d’Euripide. Notre pre- tacle à la Comédie-Française, au pouvoir, mais sur ceux qui en
manière très différente d’Eschyle mière idée était de partir de trois votre souhait est qu’il constitue sont rejetés, ceux qui n’en ont pas
ou de Sophocle, en s’intéressant facettes radicalement différentes avec le précédent – Les Damnés et qui n’ont donc pas accès à une
davantage aux émotions et à la du personnage : celle qui est – un diptyque. En quoi le texte utilisation légitime de la violence.
psychologie des personnages. en veille, qui attend son frère, de Visconti et ceux d’Euripide se Ce sont des exilés, impuissants
Il situe l’intrigue d’Électre dans celle qui devient un ange vengeur font-ils, à votre avis, écho ? Quelle dans une société où l’État reven-
un monde rural, aux abords de à son retour, et une troisième, place y occupe la tragédie ? dique le monopole de la violence.
la ville, loin du centre politique. celle qui émerge après la ven- I. v. H. Dans Les Damnés, on
La fille d’Agamemnon et de geance, après que ce but ultime a trouve deux jeunes hommes, L. M. Électre et Oreste sont animés
Clytemnestre a été bannie, elle vit été atteint. Quand il a été question Martin (Christophe Montenez) et par une même haine. Comment
en exil et a été donnée en mariage à de revenir mettre en scène une Gunther (Clément Hervieu-Léger) ; le processus de leur « passage
un laboureur. Elle a une conscience pièce à la Comédie-Française, ce sont d’abord des personnages à l’acte » se met-il, selon vous,
aiguë de ne pas vivre selon le rang cette idée avait évolué. Dans plu- totalement apolitiques, qui vont en place ? Quel rôle y joue le
auquel sa naissance lui donne sieurs de ses spectacles, Ivo avait devenir des fascistes pour des personnage de Pylade ?
droit, et d’être oubliée. La situation déjà réuni plusieurs pièces d’un raisons purement personnelles. I. v. H. Malgré leurs conditions
d’Oreste est différente. Il est lui même auteur (Les Tragédies À aucun moment ils ne croient de vie très différentes, Électre
aussi banni d’Argos, mais vit son romaines et Kings of War sont à l’idéologie nazie. Ce processus et Oreste éprouvent le même
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sentiment d’injustice. Ils souffrent et partagent un but. La vacuité I. v. H. L’intérieur de cette boîte apparence de grand futs en cuivre
des conséquences du mal commis de leurs anciennes vies s’est mira- représente une sorte de trou noir martelé qui accentue le côté
par leur mère et son amant. C’est culeusement envolée. Le frère et dans lequel on disparaît. On peut rituel. Les timbales se conjuguent
en tout cas leur point de vue… la sœur ont un lien exclusif et un également monter dessus. Pour y avec d’autres instruments de per-
Dans ce contexte, Pylade est un but ultime qui parlent tout de suite pénétrer, on n’a pas d’autre possi- cussions tels que les tam-tam
personnage intéressant. Prince à Pylade, lui qui possède tout, bilité que d’emprunter un pont, (gongs très riches en harmo-
héritier, il se joint à Oreste pour et rien à la fois. En intégrant le très étroit, sur lequel on peut tou- niques), bols tibétains, crotales,
des raisons, disons, romantiques. groupuscule, il gagne simultané- tefois se croiser. Il donne l’impres- crécelles, fuseaux chantants
Il souffre d’un manque d’identité ment de la grandeur et une direc- sion d’être suspendu, de sorte que et flûtes. La présence du quatuor
propre ; participer au plan tion. Oreste veut tuer l’usurpateur les personnages semblent parfois et ses interventions musicales
d’Oreste lui donne un but dans la de son trône, Électre les assassins flotter, prêts à s’évanouir dans l’at- s’inspirent des ensembles musi-
vie, il a alors le sentiment d’exister. de son père. Pylade, lui, veut mosphère. Le but est de ne pas caux des théâtres nô, kabuki
N’oublions pas que son projet est appartenir à un groupe, faire fermer l’espace ; l’espace brut de et bunraku. Une présence quasi
de tuer Hélène, elle-même une quelque chose qui a du sens. la scène joue un rôle, il fait partie constante qui nourrit le récit sans
mère. C’est dans la vengeance Ensemble, ils vont tout enflammer de la scénographie. Enfin, deux pour autant en accentuer systé-
qu’il trouve l’amitié, une famille, de leur rage, lancer une tempête autres espaces, à jardin et à cour, matiquement les tournures dra-
un nid. de destruction. accueillent des percussionnistes. matiques.
B. V. d. E. En effet, si leurs positions Eric Sleichim. Le quatuor de per- J. V. Et dans cet environnement
de départ sont très différentes, L. M. Votre espace scénique est cussions se partage une instru- sonore, on ne verra que deux
Électre et Oreste partagent le composé d’un sol de boue, d’une mentation acoustique et électro- couleurs sur scène : le noir, cou-
même sentiment d’exclusion, « boîte noire » et de percussions, nique. Deux musiciens jouent de leur de la boîte, et le brun foncé,
la même impression de ne pas être comment s’articulent-ils avec timbales d’envergures différentes couleur du sol, de la boue qui le
à leur place, la même impuissance votre récit ? et de diverses percussions, alors recouvre. Cette boue symbolise
du dépossédé, la même conviction Jan Versweyveld. Les deux pièces que les deux autres jouent de la la situation des trois jeunes gens,
naissante que seule la violence d’Euripide se déroulent dans guitare électrique, de la batterie Électre, Oreste et Pylade, une
(illégitime), jusqu’au meurtre, peut deux espaces différents : Électre électronique et de la marimba- situation sans espoir, où toute
changer cela, et, enfin, les mêmes se situe dans un monde rural. midi qui génèrent de multiples vie future est inenvisageable. Mais
œillères (le même aveuglement) Oreste en revanche se joue en face échantillons sonores. Le choix elle ne constitue pas seulement
qui leur permettent d’ignorer du palais, dans la ville d’Argos. des timbales comme instrument un sol sur lequel les personnages
toutes les conséquences tragiques J’ai choisi de faire de ces deux « principal » s’est imposé d’abord marchent : elle peut les avaler,
de leurs actes. Lorsqu’ils se lieux un seul espace, au milieu par la noblesse de leur son : elles les faire disparaître. C’est le cas
retrouvent, ce sont tout de suite duquel se trouve une boîte noire peuvent être accordées et donc d’Oreste dans la deuxième partie
des âmes sœurs liées par le même flanquée d’une porte par laquelle avoir une fonction mélodique, du spectacle, lorsqu’il est face au
destin : ils ont trouvé une attache on entre et sort. mais aussi par leur magnifique palais d’Argos. C’est sa sœur qui l’a
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placé là, pour accuser ceux qui comme le souligne Ivo ; plus qu’un
sont à l’intérieur. Mais comme décor, c’est un paysage.
il est recouvert de boue, il est en
quelque sorte invisible. Le noir Propos recueillis
par Laurent Muhleisen
de la boîte détonne au milieu Conseiller littéraire
du brun très foncé du reste du de la Comédie-Française
décor. Mais l’espace est ouvert,
Le metteur en scène
Figure majeure de la scène théâtrale internationale, Ivo van Hove
compte à son actif une centaine de spectacles. En trois décennies,
l’actuel directeur artistique du Toneelgroep, aujourd’hui Internationaal
Theater Amsterdam, dont le champ d’exploration embrasse le monde
du théâtre, du cinéma et de l’opéra, a parcouru un vaste répertoire
d’œuvres, de Sophocle (Antigone) à Shakespeare (Kings of War),
Molière (Le Misanthrope), Tony Kushner (Angels in America),
Arthur Miller (Vu du pont), Ibsen (Hedda Gabler), Louis Couperus
(The Hidden Force) ou Hanya Yanagihara (Een klein leven, d’après
son roman Une vie comme les autres). Il trouve aussi son inspiration au
cinéma, dans les scénarios de Cassavetes, Pasolini, Bergman, Antonioni
ou encore Visconti dont il a porté à la scène Rocco et ses frères (2008),
Ludwig (2012), Les Amants diaboliques (Obsession, 2017) et
Les Damnés pour sa première mise en scène avec la Troupe en 2016
à la Cour d’honneur du Palais des papes lors du Festival d’Avignon
puis en septembre Salle Richelieu (repris cette saison jusqu’au 2 juin).
À l’opéra, il monte récemment Salomé de Strauss, Boris Godounov de
Moussorgski et présentera Don Giovanni de Mozart à l’Opéra national de
Paris en juin 2019 et Grandeur et décadence de la ville de Mahagonny
de Kurt Weill au Festival d’Aix-en-Provence en juillet 2019.
Loïc Corbery, Suliane Brahim, Rebecca Marder, Christophe Montenez, Gaël Kamilindi
(Festival d’Avignon, 2014), Hedda Gabler d’Ibsen (2016), Network
L’ÉQUIPE ARTISTIQUE de Lee Hall (2017), Boris Godounov de Moussorgski (2018). Elle signe
les costumes des spectacles d’Anne Teresa De Keersmaeker pour
la compagnie de danse Rosas (et notamment ceux de Così fan tutte
Bart Van den Eynde - version scénique et dramaturgie de Mozart et de Six concertos brandebourgeois de Bach). Elle a fait
Bart Van den Eynde travaille avec Ivo van Hove depuis 1995, sur des partie de l’équipe styliste d’Ann Demeulemeester pendant onze ans.
productions telles que Vu du pont d’Arthur Miller, et avec le Toneelgroep
Amsterdam depuis 2005 notamment sur Kings of War d’après Shakespeare, Eric Sleichim - musique originale et concept sonore
The Other Voice de Ramsey Nasr (2016), Een klein leven d’après Hanya Après avoir étudié aux conservatoires de Bruxelles et de Liège, il crée
Yanagihara (2018). Depuis 2005, il travaille également en tant que dès les années 1980 des compositions musicales pour le théâtre,
dramaturge pour des productions de danse et de théâtre avec, entre des chorégraphies, des performances, des films, des vidéos artistiques,
autres, Guy Cassiers, FC Bergman, Meg Stuart, Arco Renz, Lisbeth des expositions et des concerts. En 1988, il fonde BL!NDMAN (quatuor
Gruwez, Simon Stephens, Peter Verhelst, Judith Herzberg. Il est réguliè- de saxophones) qui devient en 2000 un ensemble de quatre quatuors
rement invité à donner des master classes dans des écoles de théâtre ‒ saxes, cordes, percussions et vocal ‒ participant à plusieurs spectacles
et dirige depuis 2015 le master théâtre de l’Académie de Maastricht. mis en scène par Ivo van Hove (Tragédies romaines, Teorema,
The Fountainhead, Kings of War, Les Damnés…). Il collabore aussi
Jan Versweyveld - scénographie et lumières avec Guy Cassiers, Anne Teresa De Keersmaeker, Wim Vandekeybus,
Formé à l’Institut Saint-Luc de Bruxelles et à l’Académie royale des beaux- Meg Stuart, Heiner Goebbels, Johan Simons, Jan Fabre…
arts d’Anvers, Jan Versweyveld travaille depuis 1981 avec Ivo van Hove
et sa compagnie. En parallèle, il conçoit les décors et lumières de Wim Vandekeybus - travail chorégraphique
nombreuses productions à l’international, pour le théâtre et l’opéra. Fondateur de la compagnie bruxelloise Ultima Vez, il est depuis plus
Il collabore avec des compagnies innovantes du paysage théâtral de trente ans l’un des chorégraphes les plus éminents de Belgique,
néerlandophone, telles que Rosas (Anne Teresa De Keersmaeker). également cinéaste et photographe. Dès son premier spectacle, What
Il a présenté récemment avec Ivo van Hove Lazarus d’Enda Walsh the Body Does Not Remember en 1987, couronné d’un Bessie Award,
en 2015, Hedda Gabler d’Ibsen et Les Damnés d’après Visconti en 2016, Wim Vandekeybus mêle les disciplines. Il travaille, entre autres, avec
Don Giovanni de Mozart en 2017, Boris Godounov de Moussorgski Peter Vermeersch, Thierry De Mey, David Byrne, Marc Ribot, David
en 2018, ainsi que Così fan tutte de Mozart et Six concertos brandebour- Eugene Edwards et Arno, ou encore Mauro Pawlowski et Trixie Whitley
geois de Bach par Anne Teresa De Keersmaeker. qui ont composé des bandes et paysages sonores pour ses productions.
En 2015, il sort son premier long métrage, Galloping Mind. En 2017,
An D’Huys - costumes il signe le travail chorégraphique de Salomé de Strauss mise en scène
An D’Huys étudie à la Royal Fashion Academy d’Anvers. Elle travaille par Ivo van Hove à l’Opéra national d’Amsterdam.
régulièrement avec Ivo van Hove depuis 2002, notamment pour Kings Directeur de la publication Éric Ruf - Secrétaire générale Anne Marret - Coordination éditoriale Pascale Pont-
of War d’après Shakespeare, Vu du pont d’Arthur Miller (2014), Lazarus, Amblard - Portraits de la Troupe Stéphane Lavoué - Photographies de répétition Jan Versweyveld
Page 29 : Théâtre antique d’Épidaure © Evi Fylaktou - Conception graphique c-album - Licences n°1-1079408
Antigone de Sophocle (2015), The Fountainhead d’après Ayn Rand n°2-1079409 - n°3-1079410 - Impression Stipa Montreuil (01 48 18 20 20) - avril 2019
30 31
Réservations 01 44 58 15 15
www.comedie-francaise.fr
Salle Richelieu Théâtre du Vieux-Colombier Studio-Théâtre
01 44 58 15 15 01 44 39 87 00/01 01 44 58 98 54
Place Colette 21 rue du Vieux-Colombier Galerie du Carrousel du Louvre
Paris 1er Paris 6e 99 rue de Rivoli
Paris 1er