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L’École des maris de Molière, 1661.

stratagème d’Isabelle et de Valère

I : mise en place de l’intrigue


I,1
Sganarelle et son frère de 20 ans plus âgé Ariste
Sganarelle très austère, se moquent des j gens à la mode
Ariste mesuré, rappel l’idéal classique de l’honnête homme
Sganarelle l’accuse de jeunisme
Ariste mécontent que Sganarelle lui fasse sans cesse des remarques sur son âge
Sganarelle refuse d’être à la mode, et veut des habits pratiques et confortables.

I,2
Isabelle et Léonor sœurs
Isabelle est la pupille de Sganarelle, Léonor celle d’Ariste, donc les deux hommes sont leurs tuteurs
respectifs.
Lisette, suivante de Léonor
Sganarelle refuse qu’Isabelle sorte avec sa sœur et Lisette, Ariste demande à celui-ci d’accepter
Querelle entre les deux frères : Ariste bcp plus permissif avec Léonor que Sganarelle ne l’est avec
Isabelle qui doit rester au logis.
Sganarelle ne veut plus que Léonor vienne rendre visite à sa sœur
Léonor dit à Sg que sa manière d’agir ne va pas inspirer d’amour pour lui à Isabelle !! Mise en garde
v.141-142. Idem tirade de Lisette : la contrainte est contre-productive !! v.150-155
Ariste idem v.165… : ce n’est pas par la contrainte qu’on obtient une bonne conduite, mais au
contraire en gagnant le cœur de la personne, voilà de quoi ils essaient ts trois de persuader Sg
v.180-190 Ariste insiste en prônant une instruction par la douceur et ouverte sur le monde.
Conscient de sa différence d’âge avec Léonor, il veut laisser celle-ci libre de l’épouser ou non.
V205. Et si elle l’épouse, elle conservera les mêmes libertés, ce qui étonne Sg qui se moque de lui.
v.236-238 : Ariste lui réplique qu’il a plus de risque d’être cocu que lui, au vu de la manière dont il se
comporte.
v. 243-244 : Léonor dit à Sg qu’Ariste peut avoir confiance en elle, ce qui ne serait pas le cas si elle
devait être l’épouse de Sg! soutenue par Lisette.
Cl° d’Ariste « Enfermer sa femme est un mauvais parti » v.250.
Sg seul, veut envoyer Isabelle à la campagne

I,3 Valère et son valet Ergaste


Valère, amant d’Isabelle veut lier connaissance avec son austère tuteur

Valère salue Sg et se présente comme un de ses voisins, à son service et tente d’annoncer qu’il viendra
le voir chez lui : fin de non-recevoir

I,4 Valère et Ergaste : Sg vu comme un « bizarre fou » brusque


Valère « enrage de voir celle [qu’il] aime au pouvoir d’un sauvage »
Ergaste lui dit que cette austérité de Sg joue en sa faveur à lui, Ergaste ( cf sc 2)
V l’aime depuis 4 mois sans avoir pu lui parler
V ne sait pas si elle a remarqué son amour, ses yeux seuls ayant pu parler, car elle ne sort jamais sans
Sg
=> ruse à préparer.
Acte II : le stratagème d’Isabelle
Sc 1 : Isabelle + Sg mot stratagème employé dans un aparté d’Isabelle.
On comprend qu’elle a elle-même parlé à Sg de Valère (pour que celui-ci sache que son amour est
connu d’elle), que Sg traite de « jeune étourdi » en disant qu’il va lui parler = 1 er élément de son
stratagème.

Sc 2 : Sg, Ergaste et Valère


Sg «tombe » sur Valère, et dit qu’il veut lui parler, devant chez Valère, ne veut pas entrer chez lui.
Sg lui parle donc d’Isabelle : il lui demande s’il sait qu’il est le tuteur de celle-ci. V répond que oui.
Sg ajoute qu’elle est destinée à devenir sa femme. V répond qu’il lui apprend cela.
Sg ajoute que ses « feux » doivent donc la laisser en repos
V joue l’innocent et demande qui lui a dit cela et Sg répond que c’est Isabelle elle-même, v.410, ce qui
laisse Valère sans voix.
Sg dit ainsi à V qu’Isa a bien remarqué son amour : sans s’en rendre compte il se fait ainsi le messager
de celle-ci auprès de V. Sg ajoute bien sûr que le cœur d’Isa est interdit à tt autre que lui.
Ergaste se doute bien qu’un « mystère assez fin est caché là-dessous » v.438, et il a compris qu’en
faisant cela Isabelle ne souhaite pas que cet amour cesse, et le dit à Valère.
De son côté, Sg est très satisfait de l’effet de son discours sur Valère, de lui-même et d’Isabelle, très
content de l’effet que l’éducation qu’il lui a donnée a sur elle, qui s’offusque seult des regards d’un
homme.

II, Sc 3Isabelle et Sganarelle


aparté d’Isabelle qui craint que V n’ait mal compris son message, et va donc en mettre en place
un autre et ainsi ajouter un 2e élément à son stratagème
Autosatisfaction de Sg qui rend compte de son entrevue avec Valère.
Mais elle le met en garde en disant que cela n’a pas fonctionné, car le serviteur du jh lui aurait jeté
par la fenêtre de sa chambre une boîte contenant un billet doux.
Elle dit vouloir rendre boîte et lettre et devoir trouver qqun pour cela.
Sg dit qu’il va s’en charger… mais veut voir ce qu’il lui a écrit.
Elle l’en empêche en lui disant que cela laisserait croire que c’est elle qui a ouvert et lu la lettre, ce qui
ne serait pas convenable !
Convaincu de sa bonne foi, Sg renonce à lire le billet, convaincu une nouvelle foi des effets de son
éducation austère sur elle. Et pour finir de le persuader, elle lui dit qu’il peut la lire tout de même s’il le
souhaite, ce qu’il refuse de faire bien évidemment ! Et il annonce qu’il va de suite s’acquitter de cette
tâche et revenir la rassurer.

II, 4
Sg seul au début de la sc : autosatisfaction, se félicite des effets de son éduc° sur Isabelle, puisque cette
éduc° lui a fait considérer le billet doux qu’elle a reçu comme une injure. Et imagine que ce ne serait
pas le cas pour Léonor.
Rend la boîte et la lettre à Ergaste en lui faisant remarquer qu’elle n’est pas décachetée, qu’Isa en est
irritée, et que son amour est donc sans espoir.

II,5
Valère, Ergaste : Ergaste raconte à Valère ce qui vient de se passer
Lecture à voix haute de la lettre : c’est donc une lettre qu’Isabelle elle-même a écrite à Valère. Sg
s’est donc fait sans sans rendre compte le messager d’Isabelle pour Valère !! On y apprend qu’elle
est ds le désespoir de devoir épouser Sg ds 6 jours !! et qu’elle préfère Valère au désespoir, mais aussi
qu’elle est amoureuse de lui, indépendamment de cette contrainte qui pèse sur elle. Donc le temps
presse et elle doit connaître les intentions de Valère à son égard.
Valère et Ergaste sont admiratifs de la ruse d’Isabelle et l’amour de Valère pour elle s’en trouve
renforcé. Annonce de l’arrivée de la « dupe ».
II,6 Sganarelle, Valère, Ergaste
Sg se croyant seul se réjouit de l’édit royal visant à freiner les dépenses luxueuses… des épouses
Puis interpelle V et lui fait remarquer que son amour est sans espoir et l’invite à aller voir ailleurs
V fait semblant d’aller ds son sens, de se rabaisser et vante le mérite de Sg. Il affirme qu’il n’aurait
jamais exprimé cet amour s’il avait su avoir un tel rival → le flatte.
Mais V demande à Sg de dire à Isabelle qu’il brûle d’amour pour elle depuis trois mois, que son
dessein était de l’épouser, que le seul obstacle à cela est Sg, et qu’il l’aimera tjrs. (= stratagème de
Valère pour répondre à la demande d’Isabelle exprimée ds sa lettre)
Sg confirme qu’il va dire tt cela à Isabelle.
→ Ergaste à V « La dupe est bonne ! »
Sg, seul, qui ne se doute de rien, prend V en pitié, et se valorise par une métaphore militaire.

II, 7 Sganarelle de retour chez lui et Isabelle


Sg rend compte à Isa de tt ce que lui a dit Valère : qu’il se retire, mais aussi de la force de son amour et
du dessein de celui-ci de l’épouser s’il n’y avait eu l’obstacle de Sg. (Sg a ainsi encore une fois servi
d’intermédiaire malgré lui, cette fois de Valère vers Isabelle)
En aparté, Isa rassurée sur les intentions de V, mais, haut, dit reprocher à Sg de plaindre un homme
qu’elle hait.
Et elle introduit un nouvel élément à son stratagème : elle dit à Sg avoir appris que V voulait
l’enlever donc avant que Sg ne l’épouse avant 8 jours,.
Elle reproche à Sg d’avoir été trop doux avec V.
Elle dit à Sg que V pense qu’elle l’aime et ne veut pas se marier avec Sg. Elle ajoute à Sg que V se
joue de lui. Elle dit craindre d’être exposée à une action déshonorante et Sg la rassure et lui
annonce qu’il va réprimander V.
Suite du stratagème : Isa dit bien à Sg qu’il doit dire à V qu’elle est au courant de son projet
d’enlèvement : ce qui a pour but d’en donner l’idée à V !! Elle le défie de vouloir la surprendre, lui
dit qu’il doit agir de manière à ne pas être la cause d’un malheur : en fait tt le discours d’Isa que Sg doit
répéter à V est à double sens, à double entente.
Sg accepte, puis, seul, se leurre, vante les mérites d’Isa qui le flatte.

II, 8 Sganarelle chez Valère et Ergaste


Sg réprimande Valère pour son projet d’enlèvement (projet que découvre évidemment V), lui dit
qu’il tient cela d’Isa, et que celle-ci lui dit de mettre fin à tt cet embarras (Sg ne se rend pas
compte du message à double entente que contiennent les paroles qu’il transmet : l’« embarras »
n’est pas le projet d’enlèvement mais le mariage prévu entre lui et Isa !!)
V dit alors qu’il renonce si Isabelle a vraiment dit cela.
=> Sg lui propose alors de venir chez lui entendre Isa elle-même le lui dire !!

II, 9 Chez Sganarelle : Sg, Isabelle et Valère : 1ère scène où Isa et V sont réunis et vont pouvoir se
parler (en présence de Sg).
Isa fait semblant d’être outrée que Sg lui amène V.
Sg lui dit qu’il a ft cela pour qu’elle confirme ses sentiments négatifs à V.
Ce qu’elle fait, toujours par un langage à double entente. Idem ds la réponse de V.
v. 731...Tirade d’Isa où elle développe ses sentiments antithétiques à l’égard des deux hommes
présents… mais habileté : sans jamais nommer ni « l’un » ni « l’autre » ! ou en utilisant la
périphrase : « celui que déjà je regarde en époux » v. 762. + double jeu ds la didascalie
idem, périphrase ds la réponse de Valère qui, au lieu de dire je, dit au v. 775-776 : « vous ôter la
présence / De celui qui vous fait si grande violence ». + V. 783 « et dans 3 jours / Vos yeux ne
verront plus l’objet qui vous est odieux », donc sous-entend qu’il va l’enlever ds 3 jours.
Sg plaint une nouvelle fois Valère et va jusqu’à l’embrasser !

II, 10 Isabelle et Sg retournement de situation car nouvel obstacle car, ravi, touché de ce qu’il croit
être la force de l’amour d’Isa pour lui, Sg décide d’avancer leur mariage au lendemain, ce qui
contrecarre, sans qu’il s’en rende compte, les plans de Valère. Sg prend l’effroi d’Isa pour de la pudeur.
Annonce de rebondisst pour le 3e acte, en aparté, Isa prie le Ciel de lui inspirer une parade.
Acte III : comment résoudre l’obstacle de l’avancée au lendemain du mariage avec Sg

Sc 1 monologue d’Isa désespérée de ce mariage avec Sg et annonçant qu’elle confie son sort à son
amant

Sc 2 : Isa et Sganarelle
Isa semble mettre en place un projet de fuite mais celui-ci est interrompu par Sg et elle va alors devoir
improviser un nouveau stratagème pour se sortir de cette situation délicate, et donc cacher sa
tentative de fuite.
Il l’interroge de manière suspicieuse sur la sortie de sa chambre.
Elle finit par lui dire qu’elle sort car sa sœur lui a demandé sa chambre.
Et face à la perplexité de Sg, elle lui affirme que Léonor aime Valère !! dit qu’ils avaient une liaison
depuis un an. Léonor vient de le lui apprendre. Isa fait croire à Sg que Léonor, très triste d’avoir
appris que Valère aimait sans espoir Isa, a demandé à celle-ci de pouvoir parler à V en faisant
croire à celui-ci qu’il allait parler à Isabelle (ce qui rend crédible le lieu du rendez-vous) v.837.
Sganarelle est outré du comportement de Léonor, mais ravi que son frère soit ainsi trompé !
Isabelle affirme qu’elle est mécontente du comportement de sa sœur, mais qu’elle a cédé à sa demande
en voyant son chagrin.
Isa dit qu’elle allait à ce moment là inviter la vertueuse Lucrèce quand Sg l’a surprise.
Sg veut chasser Léonor qui est censé être dans la chambre d’Isa.
Isa le convainc de laisser sortir celle-ci de sa chambre afin qu’elle ne se plaigne pas qu’Isa n’ait pas
gardé son secret.
Elle ajoute qu’il doit la voir sortir en restant caché.
Il accepte en disant qu’ensuite il va se précipiter avec joie chez son frère pour lui apprendre son
malheur. Il reste donc dehors.
Isa rentre ds la maison et fait mine de s’adresser à sa sœur pour dire à celle-ci qu’elle doit sortir
de sa chambre.
Isa sort et se rend chez Valère, suivie par Sganarelle qui la prend pour Léonor, à la faveur de la nuit.

Sc 3 : devant chez Valère, Isabelle, Valère et Sg


On comprend que Valère voulait tenter qque chose cette nuit-là. Ses paroles sont interrompues par
l’arrivée d’Isabelle qui se présente.
Elle est entendue de Sg qui pense que c’est Léonor se faisant passer pour Isa. Il est dupé.
Valère promet à Isabelle le mariage dès le lendemain, avant qu’elle ne rentre dans son logis.
En entendant cela, Sg croit tjrs que c’est Léonor qui demande cela à V en se faisant passer pour
Isa.
Sg se réjouit alors de voir V dupé alors que c’est lui-même qui l’est !
Isabelle est donc rentrée chez V après sa promesse de mariage et Sg reste seul en scène continue à
croire que V est dupé en étant ainsi obligé d’épouser Léonor.
Il veut alors les faire surprendre tous les deux et frappe à la porte d’un commissaire.

Sc 4 : Sganarelle, le commissaire, le notaire et suite


Sg demande au commissaire de surprendre deux personnes : en disant que V a séduit un jf qui est chez
lui et qu’il fut donc les marier.
Le commissaire lui ft remarquer que cela tombe très bien car il est en présence d’un notaire (donc on
comprend qu’en fait Sg va ainsi malgré lui contribuer à avancer le mariage d’Isa et V!!! un comble !!
forme d’ironie du sort.)

Sc 5 : Sganarelle chez Ariste


Sg dit lui apporter une bonne nouvelle et lui demande où est Léonor.
Ariste répond qu’elle est au bal chez son amie.
Sg se moque de lui et lui rappelle ses belles paroles sur la liberté que l’on doit laisser aux femmes et
pour clarifier ce que V considère comme une « énigme » v.963, il ajoute que « son bal est chez
Monsieur Valère » et qu’ils avaient une liaison avant que V. ne tombe amoureux d’Isa.
Face à l’incrédulité d’Ariste, Sg lui demande de le suivre.
Sc 6 : Le commissaire annonce à Sganarelle et Ariste, en présence du notaire, que V est d’accord pour
épouser et que la fille ne veut pas sortir à moins qu’ils ne soient d’accord eux aussi.

Sc 7 : Le commissaire, le notaire, Sganarelle, Ariste, et Valère


Valère à la fenêtre de sa maison : il en défend l’entrée, sauf s’ils accordent leur signature pour son
mariage avec « l’objet de [s]on amour », habilement, cette périphrase ne nomme pas la jeune fille
concernée. D’où la question d’Ariste qui doute que se soit Léonor, mais Sg en est sûr et est sûr que
Valère ne s’est pas rendu compte de l’identité de la jeune fille.
Valère finit par nommer Isabelle, ce qui rassure Ariste, mais Sganarelle lui dit qu’il ignore « le secret. »
=> Sganarelle : « Nous consentons tous deux que vous soyez l’époux / De celle qu’à présent on
trouvera chez vous ». v. 1025-1026.
Le commissaire précise que le nom de le jf est en blanc sur l’acte de mariage car ils ne l’ont pas vue.
Ariste fait remarquer à Sg le manque de clarté ds la discussion sur le nom de la jf concernée.
Ariste et Sganarelle signent tous les deux. Le commissaire et le notaire sortent.
Sg s’apprête à révéler son soi-disant « secret » à Ariste…

Sc 8 : ...quand arrivent Léonor et Lisette !!


Léonor est en train de dire à Lisette qu’elle préfère grandement le vieil Ariste aux jeunes gens.
Étonnement de Sganarelle, qui vient de parler à Ariste (hors dialogue), quand il les voit toutes deux.
Ariste se pense trahi par Léonor.
Celle-ci ne comprend pas ce qu’il veut dire, lui dit que rien n’a changé et lui dit même qu’il veut
l’épouser dès le lendemain !
Série de questions rhétoriques de Sg à Léonor qui lui demande si elle ne sort pas de chez Valère et si
elle n’aime pas celui-ci.
Léonor demande de qui viennent « de telles impostures ».

Sc 9 : Tous les personnages


Apparition d’Isabelle qui demande pardon à sa sœur d’avoir utilisé son nom dans son « stratagème »
v.1080. Elle dit y avoir été contrainte par l’urgence de la situation.
Elle fait aussi morale à Sg : pour lui cela doit être une leçon (cf titre de la pièce) : « Je vous sers
beaucoup plus que je ne vous abuse » v.1084.
Valère lui rappelle qu’il a signé !
Et Ariste lui fait remarquer qu’il est seul responsable de cette issue !
Lisette va dans le même sens en ajoutant que sa conduite pourra servir d’exemple… à ne pas suivre !
Sg stupéfait n’en revient pas et parle d’une « ruse d’enfer » v.1102 et dit renoncer à la gente féminine.
Ariste les convie tous chez lui et prône l’apaisement.
Les derniers mots sont laissés à Lisette qui s’adresse au public, brisant ainsi le 4e mur et fait le lien avec
le titre de la pièce : « Vous, si vous connaissez des maris loups-garous, / Envoyez-les au moins à l’école
chez nous »
=> paroles à relier au double idéal classique : instruire et plaire + au but moral de la comédie classique :
« castigat ridendo mores » : châtier les mœurs par le rire.

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