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Dans les murs – scénario

Dans les murs : un scénario pour Mage : l’Ascension :

L’intrigue en quelques mots : un maître Hermétique fait appel aux PJ pour une requête
mineure. Isaac Atkins, un de ses apprentis lui a emprunté un volume de sa bibliothèque
personnelle. Le maître espérait revoir le livre dès que l’apprenti l’aurait recopié pour sa propre
biblio. Après des mois d’attentes, le tome ne lui a toujours pas été rendu, de plus, l’apprenti a
cessé tout contact. Inquiet de ce silence et soucieux de retrouver son ouvrage, le maître fait
appel aux PJ pour les récupérer.

Chez l’apprenti, le sol, les murs, et même les meubles sont couverts d’une étrange matière
palpitante et il y règne une odeur désagréable. Et dans cet air vicié, la douce mélodie d’un
piano se fait entendre, quelque part dans l’appartement. Il se trouve qu’Isaac a voulu tenter un
rituel qui le dépasse totalement afin d’offrir aux murs de son sanctuaire « des yeux et des
oreilles ». Malheureusement, le voilà fusionné avec le contenu de son appartement, ne
pouvant plus que continuer à communiquer grâce à son piano, abritant son cerveau. Les PJ
vont être mis face aux conséquences de l’hybris d’un de leur confrère et devront vivre avec
les choix qu’ils seront amenés à poser.

Un maitre Hermétique convoque les PJ pour leur faire part d’une requête mineure dont il ne
peut se charger lui-même par manque de temps. Un de ses jeunes apprentis, indiscipliné mais
prometteur lui a emprunté un ouvrage il y a de cela plusieurs mois mais voilà que récemment,
ce dernier ne donne plus de signes de vie. Inquiet, le Mage souhaite qu’il soit retrouvé et
confie cette tâche aux joueurs. Il dispose de bien peu d’informations sur son apprenti, un
jeune homme nommé Isaac Atkins ainsi qu’une adresse.

L’adresse est occupée par Samara, une fille à demi nue, qui dissimule à peine des traces
d’abus physique et des traces de piqures sur son bras. Il s’agit de son ex qui n’a plus de
nouvelles depuis 6mois et qui a trouvé refuge dans la drogue. Son dealer et nouveau petit ami
intervient si les PJ la questionne trop. Il se montre brutal et sûr de lui mais s’il est calmé ou
battu, il se réfugie dans la chambre ou quitte l’immeuble à la hâte. Elle avouera qu’il vivait
avec elle mais s’absentait certains soirs pour passer à l’appartement de son père. Jalouse, elle
a tenté de le suivre en soupçonnant qu’il allait voir une autre femme mais n’est jamais
parvenue à le filer jusqu’à destination. Mais elle peut les aiguiller vers un ami à lui, une sorte
d’artiste de rue qui tient un atelier en bordure de la ville.

Sarwar, est effectivement un artiste mais surtout un contestataire qui commence à jouir d’un
certain renom au sein de la rue. Certains politiciens ont voulu lui donner une leçon. Ils ont
validé un projet visant à redynamiser le quartier où est situé l’atelier de Sarwar, en rasant
celui-ci pour y construire une salle de danse classique pour petites filles riches. Autant dire
que le projet a été ouvertement moqué de la part des habitants jusqu’à ce que les promoteurs
débarquent et plante un avis d’expulsion sur le vieil entrepôt.
Sur place, les PJ ne trouveront qu’un entrepôt vide, sous scellé de police. Le lieu est désert
mais en tournant autour du bâtiment, ils peuvent voir des petits débris de verres colorés bleus
au sol (un gyrophare éclaté). Un jeune les observe assez ostensiblement dès lors qu’ils
s’intéressent au bâtiment, sans pour autant se montrer dans un premier temps (vigilance9). Il
finit par s’approcher pour intimer l’ordre aux PJ de foutre la paix à l’entrepôt. S’ils se
montrent diplomates (Streetwise8 pour reconnaitre que le jeune fait partie d’un gang, le Sol-
K, en manque de reconnaissance et que ses membres adorent être caressés dans le sens du
poil), le jeune leur dira ce qu’il a vu. Il était venu plus tôt dans la soirée pour rencontrer
Sarwar mais lorsqu’il est arrivé, il a vu des policiers trainer son ami vers un combi. Il a assisté
à l’altercation entre la police et d’autres jeunes du quartier, ceux-ci ayant allégrement caillasse
le véhicule, brisant gyrophares et vitres. La police semblait pressée de quitter les lieux car elle
n’a pas cherché à répliquer. En échange d’un petit billet, il accepte de donner le nom d’un
policier ayant participé à l’arrestation, le lieutenant Danes, qu’il connait pour avoir déjà subi
ses frasques. Ce qui permet de localiser aisément le commissariat où a été emmené Sarwar.

Bien entendu, il s’agit là d’un acte à portée politique. Certains pontes de la ville ont décidé
d’éprouver le jeune artiste rebelle en s’en prenant à lui de manière détournée. Il a été arrêté
sous un motif fallacieux et emmené au commissariat de manière anonyme où il pourra être
passé à tabac pour lui ôter l’envie de protester et de se dresser contre la politique locale et les
intérêts des promoteurs. Ils ne se doutent pas qu’ils sont en train de réveiller son instinct de
guerrier et qu’ils se forgent un ennemi bien pire que l’actuel. Cependant, sur ce chemin,
Sarwar ne fera pas long feu et deviendra rapidement un martyr.

Leur capacité à rencontrer Sarwar va dépendre d’eux. Au commissariat, il a été enregistré


sous un faux nom mais est la seule arrestation du soir pour le Danes, encore faut-il penser à le
mentionner. L’agent d’accueil, loin des magouilles, n’objectera rien à ce que les PJ
rencontrent leur ami qui n’est retenu que parce que personne ne paye la caution qui s’élève à
500$. Ce dernier est dans une cellule où Danes s’occupe de lui faire passer le goût du pain. Si
les PJ interviennent avec de bons arguments, le policier grogne mais cesse de maltraiter
Sarwar et quitte le bâtiment. Les caméras de sécurité ont été bien évidement coupée et
personne n’osera témoigner contre Danes parmi le personnel. Sarwar, quant à lui, se montre
méfiant mais reconnaissant, il n’est pas dupe et pense que les PJ sont là pour lui faire une
offre concernant son entrepôt. Cependant, il accepte de les aider au sujet d’Isaac, à condition
d’être sorti au plus vite, il craint que son atelier ne soit victime d’un accident comme un
incendie pas si involontaire que ça. Qu’ils payent la caution, fassent jouer leurs relations ou
toute autre solution viable, dès qu’il sort, l’artiste tient parole et leur confie qu’il possède un
double des clefs dans son atelier. Il explique rapidement qu’Isaac les lui avait confiées un soir
en lui demandant de la garder et de la donner à quiconque la réclamerait s’il venait à ne plus
donner de nouvelles. Il avoue qu’il avait trouvé la demande étrange mais vu le milieu dans
lequel il évolue, il a vu des trucs bien plus barrés. Suite à quoi, il invite le groupe à le suivre.
Arrivés en vue de l’entrepôt, une volute de fumée noire se déploie dans le ciel. Sarwar a un
mauvais pressentiment et presse les joueurs. En effet, la bâtisse qu’il occupe a
mystérieusement pris feu. L’artiste s’élance sur la clôture qu’il gravit d’un bond sans perdre
de temps à l’ouvrir et s’engouffre dans le bâtiment. Bien entendu, sans l’intervention des PJ,
le feu ne sera pas maitrisé et l’artiste émergera de l’entrepôt au dernier moment, couvert de
suie et crachant ses poumons en brandissant une clef noircie. Au cas où ils se montrent
réactifs, avec ou sans usage de la Magie, le feu peut être maitrisé sans grande difficulté. Ce
qui pousse Sarwar à leur en dire plus sur les pressions qu’il subit et leur permet de repérer du
Tass cristallisé dans un coin de la pièce principale sous la forme d’un petit tube de gouache.
Quoi qu’il en soit, Sarwar leur donne également une adresse précise pour trouver Isaac.

L’immeuble ne paye pas de mine, une vieille construction qui semble se tasser sous les
années, écrasée entre deux bâtisses plus modernes, plus larges, plus lumineuses et plus hautes.
Isaac habite au troisième et l’ascenseur est en panne. La clef de Sarwar tourne péniblement
dans la serrure et immédiatement après l’ouverture de la porte, une odeur nauséabonde
envahit le palier. Alors que les PJ redoutent sans doute le pire, une faible musique s’échappe
des tréfonds de l’appartement, le son d’un piano, triste, doublé d’une mesure en deux temps,
un fort et un faible, répétant les mêmes notes avec un rythme hypnotisant.

En allumant la lumière, la vision d’horreur se dévoile, l’appartement, en entier, meubles y


compris est couvert d’une sorte de matière rosâtre, légèrement visqueuse, qui semble palpiter
à mesure que les PJ s’aventure dans l’antre d’Isaac. Sur l’un des murs, ils peuvent voir,
comme placardé, une page d’un antique volume à l’écriture manuscrite en patte de mouche
agrémentée de symboles qu’ils peuvent reconnaitre comme servant d’indication à un rituel
(Esotérique 7). Sans doute est-ce une page de ce que les PJ ont été mandés de ramener. Dès
qu’ils tentent de la décoller du mur, un filet de liquide visqueux se détache du plafond
lentement tandis que le papier résiste (Athlétisme 8).

Réussite : la feuille se décolle dans un bruit de succion écœurant.

Echec : la feuille refuse de se détacher du mur.

Echec critique : le liquide visqueux entre en contact avec la peau et la brule (1blessure).

Une bonne connaissance en biologie permet de déterminer que le liquide s’échappant du


plafond contient des sucs gastriques. La mélodie au piano se fait plus nerveuse, plus rapide, si
la page est arrachée. En avançant, ils se sentent observés (vigilance9) pour remarquer un œil
furtif se déplaçant rapidement sur le mur avant de glisser derrière un meuble et de disparaitre
dans la masse gélatineuse murale. Ils peuvent encore trouver deux autres feuilles insérée dans
le mur. Sauf que cette fois, l’appartement réagit plus violemment s’ils les arrachent
(tremblement, pseudopodes sortant du mur pour frapper aveuglément un joueur,…). Tandis
que la musique s’accélère encore à chaque page, devenant véritablement nerveuse et
cacophonique.
Une fois face au piano, dans la pièce principale, ils remarquent que le piano et son tabouret
sont les seuls deux objets, à l’exception des pages, qui ne sont pas couverte de l’étrange
matière rosâtre. La musique se calme si quelqu’un a l’idée de mentionner le nom du Maître
d’Isaac ou d’expliquer ce qu’ils viennent faire ici, la maison devenant neutre voire amicale.
S’ils tentent de jouer du piano, le piano leur répondra dans un premier temps en répétant leurs
notes puis en ajoutant des variations qui peuvent être perçues comme du morse (académics8).
Le message est clair : A.I.D.E.Z.M.O.I.

Il devient assez clair que quelque chose a tourné mal pour l’apprenti. N’importe quel mage
disposant de la sphère de vie pourra comprendre qu’il s’agit d’un rituel qui a mal tourné,
forçant le motif d’Isaac à fusionner avec son propre appartement. Heureusement, dans son
malheur, le jeune prodige n’est pas mort et reste tout à fait sauvable pour quiconque manipule
un peu la Vie. Chose qu’il pourrait aisément expliquer lui-même si la souffrance provoquée
par la position peu envieuse dans laquelle il se trouve ne l’empêchait pas de penser. Tout ce
qu’il parvient à faire, jusqu’à l’arrivée des PJ est de répéter la même boucle musicale dans sur
son piano, se raccrochant au son pour ne pas perdre la raison de douleur.

A ce moment-là, un bruit timide se fait entendre depuis la porte d’entrée suivi d’une voix
interrogative qui appelle un dénommé Atkins. Si rien n’est fait, elle insiste précisant qu’il
s’agit de M. Allen, le voisin du dessous et que si personne ne lui répond il n’hésitera pas à
appeler le propriétaire et la police. Le voisin est un homme petit à la calvitie prononcé et entre
deux âges. Il est extrêmement surpris de ne pas trouver Isaac et s’excuse de déranger en
triturant son pull. Par contre, il se montre insistant et doit être physiquement bloqué pour ne
pas pénétrer dans l’appartement. Il se plaint qu’une tache sombre est apparue au milieu de son
salon, au plafond, et soupçonne son voisin d’en être responsable, aussi, il veut s’en assurer. Il
ne connait pas bien Isaac, un jeune homme discret qui ne passait que quelques soirs dans la
semaine mais il ne l’a pas vu depuis au moins 3mois. Par contre, il entend le piano répéter les
mêmes notes en boucle, depuis 2semaines, il est venu se plaindre et tambouriner à la porte
mais rien n’y a fait. De plus, le propriétaire était en vacance et n’a pas pu l’aider, pas plus que
la police qui lui a ri au nez. C’est ce soir, quand il a perçu des variations dans la mélodie qu’il
s’est empressé de monter, certains que l’enregistrement qui diffusait en boucle depuis 15jours
avait été remplacé par un véritable musicien. Bien qu’énervant, il se montre soucieux au sujet
d’Isaac, qu’il considère comme un voisin parfait, à l’exception des dernières semaines, mais il
est tout prêt à passer l’éponge avec une excuse sincère de ce dernier. Il doit être rassuré au
sujet de son voisin et de la tâche de manière convaincante (Empathie8) embrouillé au sujet
d’une histoire louche, il n’a aucune envie d’y être mêlé (subterfuge6) ou menacé
physiquement (intimidation5) pour lâcher l’affaire définitivement. Les deux dernières
solutions le pousseront tout de même à passer un appel anonyme à la police au sujet d’un
voisin assassiné ou autre fantaisie. Ne pas répondre à la porte amènera à un résultat similaire.

Une fois l’importun géré ou ignoré, Isaac possède encore la force mentale pour répondre à
trois questions par oui ou non en morse avant de répéter en boucle A.I.D.E.Z.M.O.I. S’il est
rassuré, il réussira à mouvoir la masse murale afin de révéler une porte invisible jusqu’alors.
Dans cette dernière se trouve un lit où repose une grosse masse palpitante d’où sortent toute
une série de canaux clos qui semblent innerver l’intégralité de l’appartement. S’y trouve
également le manuscrit, ouvert, arborant fièrement des vestiges de pages déchirées.

A partir de là, plusieurs possibilités s’offrent aux PJ, ils peuvent apaiser Isaac qui finira par
libérer les pages contenues dans les murs et répéter son appel à l’aide. Ils peuvent opter pour
la manière forte et arracher les pages visibles des murs, ce qui poussera Isaac à les considérer
comme des intrus et à les combattre activement. Ils peuvent bouter le feu à l’appartement pour
détruire la monstruosité qu’elle abrite plutôt que de la laisser poursuivre sa parodie de vie. Ils
peuvent même intenter un rituel extrêmement vulgaire de vie pour forcer un retour à la normal
d’Isaac. Ou toute autre solution qui leur semblera viable. La violence sera la voie la moins
valide puisqu’il risque fort de ne ramener qu’une poignée de page et qu’ils seront sans doute
forcés de tuer l’apprenti ou de fuir en l’abandonnant à son triste sort. Quoi qu’il en soit, le
temps presse, ils disposent de deux heures après le départ du voisin pour quitter les lieux où
ils devront s’expliquer avec une patrouille de police qui sera moins aisée à convaincre. Pire,
suite à leur rapport, au petit matin, une cellule de la technocratie risque fort bien de débarquer,
ayant intercepté certains mots-clefs l’ayant mise en alerte. Ils viennent pour purifier tout par le
feu, y compris les éventuels témoins, appliquant l’adage qu’un bon déviant de la réalité est un
déviant mort.

Conclusion :

Elles peuvent être multiples, soulignant l’effet de l’action des mages sur un monde vivant qui
réagit en fonction. Autant profiter de ce petit scénario pour montrer l’hybris des jeunes mages
et l’importance des conséquences que portent nos actes.

-Dans le cas où Isaac s’en sort, il gardera de profondes séquelles de cette expérience
malheureuse, il se ruera hors de l’appartement, le regard apeuré, après avoir laissé les clefs de
ce dernier aux PJ qui héritent d’un petit pied à terre mais surtout d’un sanctuaire. Quant à
Isaac, il refusera de reprendre contact avec son maitre et tournera le dos à la magie pour aider
Samara à sortir de son addiction.

-Au contraire, si Isaac est abandonné à son triste sort, il ne survivra pas à la nuit, la
Technocratie s’en assurant suite au passage d’agents qui épureront la bâtisse et y tendront une
souricière afin de capturer d’éventuels autres déviants de la réalité.
-Le groupe optant pour une gestion violente du problème devra détruire Isaac, ce qui n’est pas
forcément compliqué puisque la destruction du piano met fin lentement au problème de
l’apprenti. La matière couvrant les murs pourrissant à vue d’œil, les voilà avec un autre
problème à gérer, un cadavre en décomposition tartinant environ 100m². Le feu est également
une solution viable et rapide mais il sera impossible ou très risqué d’aller reprendre le tome
dans la chambre dissimulée.

-Le Maitre sera ravi de récupérer son ouvrage. Il comprendra la décision d’Isaac ou sa mort,
bien qu’il le regrette sincèrement mais il oubliera assez vite, s’absorbant dans un nouveau
projet grandiose dont il ne souhaitera rien dire. Il se montrera au contraire désappointé si les
PJ n’ont qu’une poignée de pages à lui ramener, leur rappelant l’importance que peut avoir un
tel ouvrage issu de la collection privée d’Hypathie d’Alexandrie, une femme pour qui il
semble avoir beaucoup d’admiration, contrairement à ce qu’il ressent envers le petit groupe en
ce moment. Il y a fort à parier qu’ils viennent de se faire un ennemi, en quelque sorte. Ils
gagnent tous le défaut Ennemi à 1.

-Samara, sans Isaac, il y a fort à parier qu’elle finira sous peu dans la rubrique fait divers d’un
journal faisait ses choux gras des malheurs quotidiens d’une grande ville qui broie les âmes
les plus fragiles et les recrache dans le caniveau. Dans le cas où elle est débarrassée manu
militari de son dealer, ce dernier ne cherchera pas à la revoir, estimant qu’il a trop à y perdre.
De plus, s’ils passent un peu de temps avec elle et l’aident à sortir la tête de l’eau, elle pourrait
s’avérer un contact utile voire un servant dévoué, à condition bien sûr qu’Isaac ne
réapparaisse pas.

-Sarwar quant à lui n’est pas un ingrat et dès lors que les PJ l’aident à sortir de sa cellule
acceptera de leur servir de contact concernant les rumeurs de la rue. Il n’est cependant pas
prêt à se mouiller intégralement pour eux et demeure totalement absorbé par sa tâche de
réhabiliter son quartier. Ceci étant dit, à condition que les PJ s’intéressent à lui, ils se rendront
compte que son amitié avec Isaac n’était pas si innocente. En effet, l’artiste a établi son atelier
sur un Node de très faible puissance capable de générer un point de Tass mensuel qu’Isaac
récoltait.

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